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  • Cluny (Saône et Loire) : salon du livre libertaire le 24 septembre 2017
    https://infokiosques.net/spip.php?article1483

    Réservez votre dimanche 24 septembre pour découvrir des titres et des éditeurs libertaires de qualité : L’Échappée, La Lenteur, CNT-RP, Libertalia, Nada, Noir et Rouge, Acratie, Niet !, Asymétrie, Editions Libertaires, Editions du Monde libertaire, Nuits rouges, ... Horaires : de 9 h à 19 h. Salle des Griottons, à Cluny (71). Programme 10h30 - Yves Meunier : « La Bande noire » (éd. L’Échappée) 11h - Lecture de David Rougerie 14h - Aurélie Carrier : « Le grand soir », voyage dans l’imaginaire (...)

    #ailleurs

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Cluny_(Sa%C3%B4ne-et-Loire)

  • Comment lutter ? Par une Résistance Populaire Autonome - Groupe anarchosyndicaliste de l’Yonne/ #CNT-AIT
    http://gasycntait89.over-blog.com/article-comment-lutter-par-une-resistance-populaire-autonome

    Qui n’a pas constaté l’inefficacité des actions des syndicats- réformistes ? Depuis vingt ou trente ans, combien de « Journées nationales » ? Combien de promenades syndicales en centre ville ? Et pour quel résultat ? Pour des reculs qui succèdent aux reculs ! Si les syndicats-réformistes, année après année, nous envoient droit dans le mur, ce n’est pas un hasard ; c’est qu’en vérité ils ont une mission bien précise à remplir : « le maintien de la paix sociale ».

  • La commune - #Pierre_Kropotkine - Groupe anarchosyndicaliste de l’Yonne/ #CNT-AIT
    http://gasycntait89.over-blog.com/article-la-commune-pierre-kropotkine-109910162.html

    Quand nous disons que la révolution sociale doit se faire par l’affranchissement des Communes, et que ce sont les Communes, absolument indépendantes, affranchies de la tutelle de l’État, qui pourront seules nous donner le milieu nécessaire à la révolution et le moyen de l’accomplir, on nous reproche de vouloir rappeler à la vie une forme de la société qui s’est déjà survécue, qui a fait son temps. « Mais, la Commune — nous dit-on — est un fait d’autrefois ! En cherchant à détruire l’État et à mettre à sa place les Communes libres, vous tournez vos regards vers le passé : vous voulez nous ramener en plein moyen-âge, rallumer les guerres antiques entre elles, et détruire les unités nationales, si péniblement conquises dans le cours de l’histoire ! »

    Eh bien, examinons cette critique.

  • WESER Bourgogne vend ses salariés comme ses marchandises, dans le même emballage ! - Groupe anarchosyndicaliste de l’Yonne/ CNT AIT
    http://gasycntait89.over-blog.com/article-weser-bourgogne-vend-ses-salaries-comme-ses-marchand

    C’est une histoire somme toute banale, une histoire d’externalisation (vocabulaire technocratique pour designer la cession d’une activité ou d’un service d’une entreprise à une autre).
    WESER Bourgogne (1) décide au 1er trimestre 2012 de se séparer de l’activité de son parc de stockage (ce qui comprend l’activité chargement). Quoi de mieux que de céder en « toute légalité » le service et ses salariés à un transporteur local nommé RAVE, surtout lorsque le Code du Travail l’y encourage.
     
    En effet, selon l’article L.122-12 alinéa 2 du Code du travail, toute entreprise peut céder une des ses activités, un de ses services à une autre entreprise. L’article précise simplement que en cas de « modification dans la situation juridique d’un employeur, notamment par succession, vente, fusion, mise en société, tous les contrats de travail en cours au jour de la modification subsistent entre le nouvel employeur et le personnel de l’entreprise ».
     
    Conformément à la jurisprudence, l’article L.122-12 alinéa 2 du Code du travail s’applique en cas de transfert d’une entité économique conservant son identité, dont l’activité est poursuivie ou reprise. Et bien sûr ces conditions sont généralement remplies lorsqu’une société externalise un service. Dès lors que l’opération de transfert porte sur un service homogène constituant une entité autonome : disposant de moyens propres, la cession, selon le régime de l’article L. 122-12, ne présente pas de difficultés.
     
    Cerise sur le gâteau, les salariés concernés ne peuvent pas s’opposer au transfert de leur contrat de travail. En effet le salarié qui s’y oppose est considéré comme démissionnaire avec les conséquences juridiques en découlant :il n’aura pas droit à une indemnité de licenciement et n’aura pas vocation à percevoir des allocations de chômage.

    La seule condition garantie pour les salariés est que leur contrat de travail continue dans les mêmes conditions chez le nouvel employeur. Mais bien sûr la validité des emplois dans le temps reste très floue, le nouvel employeur est à même d’appliquer des licenciements dans la mesure où il respecte le droit du travail (Licenciement pour faute, licenciement économique...).

     
    L’externalisation est une pratique « massive » depuis les années 90. Elle permet aux entreprises de taille importante de se centrer sur leur « cœur de métier » et de diminuer les coûts (Masse salariale...). C’est une forme de transfert des charges avec la particularité que les salariés font partie du transfert, une forme de flexibilité que le MEDEF appelle de ces vœux, flexibilité du temps de travail et du lieu (appelée mobilité) et que les gouvernements successifs reprennent dans leur proposition de loi : par exemple, la loi proposée par le député Warsmann (UMP) adoptée en février par l’Assemblée Nationale et qui stipule que « la mise en place d’une répartition d’horaires sur une période supérieure à la semaine et au plus égale à l’année, prévue par un accord collectif, ne constitue pas une modification du contrat de travail ». L’accord du salarié n’est donc pas nécessaire pour que la modification de la durée du temps de travail s’applique.
     
    Travailler a comme particularité de nous mettre en situation de ne pas contrôler notre temps et notre espace. Les travailleurs l’avaient bien compris dès le 19ème siècle et leurs luttes ont très tôt revendiqué la réduction du temps de travail mais aussi le libre choix de leur activité, de leur temps et de leurs déplacements.
     
    L’exemple du traitement réservé aux salariés de WESER démontre encore que les besoins de l’entreprise, du capitalisme et du système de domination sont contraires à nos propres besoins sociaux.
     
     
    1- Weser Bourgogne est situé en Saône et Loire (71)

  • #Libye : le CNT offre l’impunité pour les ex-rebelles | Humanite
    http://www.humanite.fr/monde/libye-le-cnt-offre-limpunite-pour-les-ex-rebelles-495801

    Selon le texte publié ce jeudi, le CNT au pouvoir dénie toute « sanction pour les actes militaires, sécuritaires ou civils commis par les thowars (révolutionnaires) dans le but de réussir la révolution ou la protéger », selon l’article 4 d’une loi sur « les procédures particulières à la période de transition ». Le texte cultive si bien le flou juridique qu’il ne précise pas clairement si la loi concerne aussi les actes commis après l’annonce de la « libération » du pays du régime de Mouammar Kadhafi, le 23 octobre.

    #justice #crimes_de_guerres #impunité

  • Communiqué de l’AIT-SP sur la situation portugaise - Groupe anarchosyndicaliste de l’Yonne/ CNT AIT
    http://gasycntait89.over-blog.com/article-communique-de-l-ait-sp-sur-la-situation-portugaise-9

    Depuis la dernière grève générale, la situation des travailleurs-euses au Portugal s’est aggravée. A la suite du renflouage du Fond Monétaire International/de l’Union Européenne au mois de mai, une série de mesures d’austérité, présentée comme le seul moyen de réduire le déficit de l’État et de « rendre l’économie portugaise plus compétitive », a été adoptée. Les travailleurs-euses ont déjà été touché-e-s par l’augmentation des taxes à l’achat, par des augmentations des tarifs jusqu’à 25% dans les transports publics et par des coupes dans les services sociaux et de santé. Les travailleurs-euses du secteur public verront leur salaire réduit des suites d’une taxe exceptionnelle en 2011 et 2012. De nouvelles mesures sévères qui constituent une attaque historique sur les droits des travailleurs-euses sont présentées par le gouvernement, comme par exemple des réductions dans les compensations à l’embauche, l’augmentation de la journée de travail de 30 minutes sans prime, disparition de certaines vacances, ou encore l’extension de la période d’essai pour les CDD. Le taux de chômage a augmenté ces dernières années et touche aujourd’hui 13% des travailleurs-euses selon les chiffres officiels ,qui ne reflètent que rarement le vrai taux de chômage. Les prévisions économiques pour le Portugal prédisent la plus forte récession de la zone euro pour 2013 et une augmentation du chômage à cause des mesures d’austérité.

  • Liberation des 3 compagnons anarchistes emprisonnés lors du G20 à Nice - Groupe anarchosyndicaliste de l’Yonne/ CNT AIT
    http://gasycntait89.over-blog.com/article-liberation-des-3-compagnons-anarchistes-emprisonnes-

    Le mardi 2 novembre dernier, trois compagnons espagnols A, X et M, se sont rendus à Nice pour participer à la manifestation contre le sommet du G20, dont la devise était “Le peuple d’abord, pas la finance”.

    Leur entourage, ami(e)s et famille, s’inquiétant de ne les voir arriver, a tenté de les joindre sur leur portable puis ont décidé de téléphoner aux hôpitaux et à la police, craignant un accident de la route. Finalement, ils ont fini par apprendre qu’ils s’étaient faits arrêter.

    Plusieurs médias espagnols et français ont annoncé leur arrestation. Selon ces médias, elle s’est effectuée avant d’arriver sur le lieu de la manifestation et pour détention d’armes. Ces prétendues armes ayant justifié leur détention puis leur incarcération sont en réalité du matériel d’escalade, plus précisément un piolet, appartenant à l’un des détenus qui fait de l’alpinisme de façon régulière comme le prouve son appartenance en tant que membre à la Société de Montagne SHERPA, N.I.F. G-26022061. Certains médias sont même parvenus à affirmer que nos compagnons portaient des pistolets (ABC, 20 Minutos, Intereconomía), ce qui est absolument faux.

    Nous dénonçons le manque de déontologie et de rigueur professionnelles de ces medias qui en plus ont publié les prénoms et noms de nos compagnons leur causant des préjudices irréparables.

    À ce jour, nous avons connaissance de leur emprisonnement à la Maison d’Arrêt de Nice. Ils n’ont pas encore pu communiquer par téléphone avec l’extérieur.

    Nous sommes profondément inquiets par ce manque d’information et indignés face à ce que nous considérons comme une violation des droits les plus fondamentaux ainsi qu’un jugement politique visant à limiter et criminaliser les actions politiques contraires au système en vigueur.

    Pour tout cela, nous EXIGEONS :

    – La liberation immédiate de nos compagnons.

    – l’établissement des reponsabilités ayant abouti à la privation de droits fondamentaux subie par nos compagnons, aux dégâts psychologiques et au grave préjudice à leur image et à eux-mêmes.

    Nous restons impliqués et vigilants quant aux suites qui seront données à cette affaire.

    • Parce qu’ils voulaient manifester contre le G20 à Nice, trois jeunes espagnols ont été arrêtés le 2 novembre 2011 et condamnés en comparution immédiate. Nous exigeons leur libération immédiate !

      Rendez-vous le lundi 14 novembre a 14 Heures devant le consulat d’Espagne
      CNT-AIT de Toulouse