company:dcns

  • L’Etat nationalise enfin Areva TA
    http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/l-etat-nationalise-enfin-areva-ta-624735.html

    Selon nos informations, Areva doit signer ce jeudi les documents de cession de sa filiale Areva TA que le groupe nucléaire détenait à 83,5%. Dans le cadre de cet accord, l’Agence des participations de l’Etat (APE) rachète à Areva plus de 50% de sa filiale spécialisée dans la conception et la maintenance des réacteurs nucléaires de bâtiments militaires français (sous-marins et porte-avions). Pour sa part, le groupe naval DCNS monte dans le capital de l’ex-Technicatome, passant de 6,5% à 20% tandis que le Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) prend une participation de 20%. Enfin, EDF détiendra au moins 9% d’Areva TA.

    Question dans les tout premiers commentaires :

    Est la levée du dernier frein à la vente d’AREVA dont les erreurs en chaîne coûtent si cher au contribuable et à EDF ?

    L’État est l’actionnaire majoritaire (83%) d’Areva via le CEA (54%) et l’APE (29%)…

  • Une industrie bien armée face à la crise
    http://www.cntaittoulouse.lautre.net/spip.php?article847

    Si le climat économique est globalement morose, il y a au moins un secteur dont la santé est éblouissante : celui des industries de l’#armement. Le marché mondial de la défense a battu un record de ventes en 2015, en progression de 11 % par rapport à 2014 . Et cette croissance va continuer : la situation géopolitique mondiale est incertaine et tous les États rêvent d’avoir une armée plus puissante que celles de leurs voisins. La France est la grande gagnante de cette compétition : elle « a relancé son industrie de défense et bénéficié de ventes régulières plusieurs années consécutives » constate un expert. En 2012, les exportations françaises d’armement s’élevaient à 4,8 milliards d’euros, en 2015 elles ont atteint 16 milliards d’euros et elles vont plus que doubler encore en 2016. Cette vertigineuse croissance fait que la France est devenue le troisième vendeur d’armes dans le monde, devant l’Allemagne, et elle devrait dépasser la Russie pour « devenir le deuxième plus grand exportateur mondial d’équipements de défense » dès 2018 selon la revue spécialisée Jane’s.

    Les États-Unis, leader incontestés, restent encore hors d’atteinte. Les firmes d’armement françaises, Dassault, D.C.N. , Thalès, Airbus etc. sont à la fête, leurs bénéfices gonflent en proportion et leurs actions crèvent les plafonds. Nos responsables politiques ne manquent pas de mettre en avant ces succès, générateurs d’emplois et de rentrées de devises. Ainsi, suivant Jean-yves Le Drian, ils constituent « une reconnaissance de la puissance de la France , de sa dimension mondiale » . De gauche ou de droite, tous les nationalistes, amoureux du bleu-blanc-rouge bombent le torse et poussent des cocoricos. Nos actuels dirigeants politiques n’hésitent pas à attribuer ces succès à leur action, à leur engagement, à leur talent et ils en tirent gloire.

    On ne peut pourtant s’empêcher de faire un parallèle entre la courbe des ventes d’armes et celle des engagements militaires français à l’étranger : jamais, depuis les débuts de la cinquième république, les armées françaises n’avaient été engagées sur autant de terrains d’opération : Mali, Syrie, Lybie etc. « Moi-président » laissera dans l’histoire le souvenir d’un grand chef de guerre. Et chacun de ces théâtres d’opération constitue pour nos armées un remarquable terrain de démonstration. C’est que les acheteurs d’armement sont comme n’importe quel client : ils sont difficiles, exigeants ; ils veulent voir, vérifier. C’est que dans le domaine des ventes d’engins de mort, la concurrence est rude et rien ne vaut, pour prouver la réelle efficacité du matériel et finaliser un contrat, l’épreuve de vérité, c’est-à-dire leur utilisation en temps de guerre contre de vrais ennemis, sur de vrais théâtres d’opération.

    Et des théâtres d’opération pour vérifier l’efficacité des matériels, corriger leurs défauts, optimiser leurs performances, nos fabricants nationaux en ont plus que de besoin, ce que nos « représentants » ne manquent pas de mettre en avant. Ils ont en face d’eux de redoutables négociateurs, des gens extrêmement riches comme l’Arabie Saoudite ou le Qatar, (pétrole oblige) qui ne s’embarrassent pas de sentimentalisme : l’Arabie Saoudite par exemple applique strictement la charia (amputations, décapitations (153 condamnés décapités en 2015) et lapidations en place publique ; par exemple, le jeune Ali Mohamed al-Nimr dont le tort était d’être le neveu d’un dignitaire chiite, farouche opposant au régime, a été décapité et son corps, crucifié exposé pour l’exemple sur une place publique. Par ailleurs, l’armée saoudienne engagée dans une guerre au Yémen est accusée par les organisations humanitaires de dizaines de meurtres de civils (bombardement d’hôpitaux, d’écoles etc.).

    Quand on est face à de tels acheteurs, il faut faire preuve de réelles qualités de négociateur, surtout quand l’on sait que la France a ratifié le Traité international sur le Commerce des Armes. Ce traité a pour but de réguler le commerce « légal et légitime » des armes et sa rédaction devrait nous interdire de commercer avec l’Arabie Saoudite. En effet, les États signataires s’engagent à

    « ne pas autoriser de transferts d’armes classiques, ni de leurs munitions pièces ou composants….. s’ils ont connaissance, lors de l’autorisation, que ces armes ….. pourraient servir à commettre des crimes internationaux, notamment des crimes de guerre » .

    La France, patrie des droits de l’homme, a par ailleurs signé la charte de l’Organisation Internationale du Travail et en particulier les articles relatifs à la liberté syndicale, à la reconnaissance effective pour les travailleurs du monde entier du droit de négociation collective et à l’élimination du travail forcé ou obligatoire. En mai 2014, le constructeur DCNS (dont l’État français est actionnaire) vendait à l’Égypte (ce pays connaît depuis l’arrivée au pouvoir en 2013 du maréchal Sissi un cycle répressif - massacres de manifestants, emprisonnement des opposants, procès iniques, élections totalement truquées) 4 corvettes dont trois devaient être construites en Égypte.

    Le chantier naval chargé de ce contrat racheté par l’armée Égyptienne, connaît depuis ce rachat des conflits sociaux. Les nouveaux propriétaires n’ont pas hésité à laminer très fortement les salaires et les primes des ouvriers civils : de 400 € mensuels les salaires plus primes ont été ramené au salaire de base soit 50 € augmenté suivant les mois de 10 à 30 € de primes. C’est lors de la distribution de la prime du ramadan (mai 2016) que la colère des ouvriers a explosé : la direction de l’entreprise accordant royalement une prime de 7 €, alors que traditionnellement les ouvriers recevaient l’équivalent de deux mois de salaire. Suite à une entrevue avec les ouvriers, le directeur a appelé l’armée pour investir l’entreprise.

    Le 25 mai, 14 ouvriers sont arrêtés et emprisonnés puis inculpés avec 12 autres.

    « Ces 26 employés ont été choisis à peu près au hasard, dans tous les secteurs de l’usine. La direction veut faire un exemple pour mettre au pas toute l’entreprise. Ils ont beau être innocents, le juge militaire ne fera qu’appliquer les ordres qu’on lui transmet » déclare leur avocat.

    De fait, les tribunaux militaires ont en Égypte une compétence très large, leurs juges sont sous les ordres du chef d’état-major et ils n’offrent aucune garantie de procès équitable. Le procès a été plusieurs fois reporté et des ouvriers sont toujours emprisonnés. Des intérimaires ont été embauchés à leur place pour construire les navires vendus par la France.

    Soyons justes, la France ne vend pas des armes qu’à des pays qui violent les droits de l’homme comme l’Égypte ou l’Arabie Saoudite, ou qu’à des pays qui financent ou ont financé des terroristes comme le Qatar ou l’Arabie Saoudite. Parmi nos clients, nous comptons aussi des pays comme l’Australie (sous-marins) ou l’Inde (avions). « La plus grande démocratie du monde » (plus de un milliard d’habitants) vient ainsi de nous acheter 36 Rafale pour un montant de 8 milliards d’euros. Cette somme représente un an et demi du budget que l’État indien consacre à la santé ! Or la situation des institutions sanitaires indiennes est lamentable : la majorité des hôpitaux et des dispensaires sont délabrés et des dizaines de millions de patients n’ont pas accès aux soins.

    Pour comprendre le choix du gouvernement indien, il faut prendre en compte le fait que l’Inde, majoritairement peuplée d’hindouistes, est depuis sa création en conflit au sujet du Cachemire avec le Pakistan peuplé quasi exclusivement de musulmans.

    Depuis 1947, les deux pays sont en état de guerre larvée et les fréquents affrontements militaires ont causé des milliers de morts, ceci pour le plus grand profit des vendeurs d’armes. Jouant sur la fibre patriotique, les militaires indiens, jaloux des matériels détenus par l’armée pakistanaise n’ont donc eu aucun mal à présenter comme une urgence absolue l’achat de ces avions. Les personnels hospitaliers et les patients indiens devront attendre, mais que les âmes sensibles se rassurent ; gageons que les gouvernants français auront pensé à expliquer à leurs homologues indiens les avantages d’un « téléthon » pour financer la modernisation de leurs hôpitaux.

    Dans ce domaine aussi, l’expertise de la France est incontestable. Grâce au talent de nos gouvernants, à leur capacité à « oublier » les traités qu’ils ont signés ou à détourner le regard pour ne pas voir certaines réalités obscènes, la France va devenir le deuxième marchand d’armes dans le monde. Pour parvenir à ce résultat, nous voici fournisseurs d’armes et complices objectifs de certains des pires états criminels de la planète.

    Le plus effrayant est que ce sont les mêmes qui d’une main ratifient des traités internationaux pour défendre les droits de l’homme et de l’autre signent avec des états voyous des contrats d’armement, vantent le rôle historique de la France, patrie des droits de l’homme, infatigable défenseur de la liberté et en même temps se bouchent les oreilles pour ne pas entendre les cris des torturés et des massacrés. Que pèsent en effet, ces cris, ces souffrances, ces détresses face aux milliards de dollars des ventes d’armement, aux profits des entreprises et des actionnaires, aux emplois créés en France : rien, absolument rien, affirme notre premier ministre en réponse à la question d’un journaliste.

    La grandeur de la France, sa santé économique sont une raison suffisante. C’est la dure loi du système capitaliste, un système aussi immoral qu’inhumain car il ne connaît que la loi de l’argent et autorise toutes les bassesses pour accroître le profit, raisons pour lesquelles nous voulons son abolition.

    Article d’@Anarchosyndicalisme ! n°152 déc 2016 - Janv 2017
    http://www.cntaittoulouse.lautre.net/spip.php?article844

  • Pourquoi la France lance la frégate Belh@rra
    http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/pourquoi-la-france-lance-le-fregate-belh-arra-608783.html


    La première frégate Belh@arra doit être livrée en 2023.
    Crédits : Thales

    Cette nouvelle frégate est une nouvelle arme à l’exportation. La France n’était jusqu’ici pas présente sur ce segment de 4.000 tonnes, à mi-chemin entre les corvettes Gowind (2.500 tonnes) et les frégates multimissions FREMM (6.000 tonnes)
    Et voguent les frégates Belh@rra. La France va lancer son programme de frégates de taille intermédiaire (FTI) en 2017, dans l’espoir de capter des marchés à l’export sur ce créneau très disputé, a annoncé mardi le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian. Il a précisé qu’il notifierait la commande de l’État français au groupe naval DCNS au « premier trimestre » 2017. La Marine nationale doit acquérir cinq frégates Belh@rra au total - la première sera livrée en 2023. Le programme est estimé à 3,8 milliards d’euros, coûts de développement compris, a détaillé le ministre.

    Les #FTI deviennent donc #Belh@rra

    • https://www.youtube.com/watch?v=8t9boa0ZwM8

      Pourquoi DCNS a-t-il nommé ses nouvelles frégates Belh@rra ? C’est en référence à l’unique vague géante de toute l’Europe : la Belharra. Belharra-Perdun est un haut-fond situé sur la côte basque au large d’Urrugne (Pyrénées-Atlantiques). Ce haut-fond engendre une vague de 8 à 15 mètres très violente. Elle se forme au nord-ouest de la baie de Saint-Jean-de-Luz entre Socoa et Hendaye, à environ 2,5 kilomètres de la côte. En outre, l’arobase @ renvoie à l’aspect fortement numérisé de la frégate proposée par DCNS.

  • L’Inde ordonne une enquête après une fuite de 22400 pages de
    données chez DCNS, le constructeur de sous-marins français

    (la fuite semble dater de 2011)

    Les textes comportent des informations stratégiques comme les manuels techniques ou les modèles des antennes du sous-marin. Ils décrivent les sondes des vaisseaux, leurs systèmes de communication, de navigation. De plus, 500 pages sont consacrées exclusivement au système de lance-torpilles.

    http://www.lemonde.fr/economie/article/2016/08/25/l-inde-voit-rouge-apres-le-vol-de-donnees-chez-dcns_4987739_3234.html

    New Delhi s’est engagé à acquérir six Scorpène pour un montant de 3 milliards de dollars (2,7 milliards d’euros), dont le premier, en phase d’essai, doit être mis en service d’ici le début de 2017. L’accord signé avec le français DCNS prévoit leur construction dans un chantier naval de Bombay. Le pays, qui dispose d’une flotte d’insubmersibles vieillissante et sous-dimensionnée, a besoin de ces sous-marins pour rivaliser avec le Pakistan et faire face à la montée en puissance de la marine chinoise dans l’océan Indien.

    [...]

    « La publication de ces 22 400 pages a sans doute fait gagner quelques années de travail aux services d’espionnage pakistanais et chinois, mais les documents publiés ne révèlent pas la “signature sonore” des sous-marins, ce qui aurait pu être désastreux », explique au Monde A. K. Singh, vice-amiral de la marine indienne à la retraite.

    http://www.huffingtonpost.fr/2016/08/24/les-donnees-dun-sous-marin-francais-de-la-dcns-fuitent-linde-et-laust

    #data-breach
    #sous-marin

  • Mistral : le remboursement de la France à la Russie plus cher que prévu ?

    http://www.lemonde.fr/economie-francaise/article/2015/08/12/mistral-le-remboursement-de-la-france-a-la-russie-plus-cher-que-prevu_472221

    Moins de 1,2 milliard d’euros : c’est la somme que devait officiellement rembourser la France à la Russie, à la suite de l’annulation de la vente de deux navires de guerre Mistral. Selon le ministre de la défense français, Jean-Yves Le Drian, l’accord, annoncé le 5 août après huit mois d’intenses négociations, prévoyait en effet le strict remboursement du prix d’achat initial des bâtiments. Mais selon les calculs du Canard enchaîné, la facture serait bien plus élevée : près du double, à savoir autour de 2 milliards d’euros.

    Le Canard énumère ainsi : le remboursement des frais d’aménagement du port de Vladivostok pour l’accueil des navires ; l’adaptation de trente-deux hélicoptères K52 emportés par le navire ; et la formation de quatre cents marins russes pendant un an et demi.
    Paris devra également payer, comme promis, la marge escomptée par la DCNS, le groupe industriel public constructeur des Mistral. Et restituer la totalité des équipements électroniques à Moscou. Mettre, également, les navires aux normes de l’OTAN, et payer encore d’onéreux frais de gardiennage et d’entretien des navires à quai pendant les mois nécessaires à ces opérations. Bref, au total, « la facture de la vente annulée devrait dépasser 2 milliards d’euros », estime le journal.

  • Éolien en mer. Le site de Groix retenu par le ministère
    http://www.ouest-france.fr/eolien-en-mer-le-site-de-groix-retenu-par-le-ministere-3569807

    Les quatre zones dédiées à des fermes éoliennes, en France, sont connues. Le site proche de Groix en fait partie.
    Le ministère de l’énergie et de l’écologie vient de dévoiler les quatre zones retenues pour l’implantation de fermes d’éoliennes flottantes en France. Groix en fait partie avec les étangs de Leucate, Gruissan en Languedoc-Roussillon, le phare de Faraman en Provence-Alpes-Côte d’Azur. 

    DCNS sur les rangs
    Cette annonce officialise la piste déjà tracée depuis plusieurs mois. Un appel d’offres va maintenant être lancé pour choisir l’opérateur. Pour Groix, le groupe DCNS est déjà sur les rangs. Son projet prévoit l’installation de huit machines.


    La zone retenue pour l’implantation d’éoliennes flottantes entre Groix et Belle-Ile
    © Ouest-France

    (une carte d’où la presqu’île de Quiberon a été effacée…)

  • Les petites centrales nucléaires immergées verront-elles le jour ? - Nucléaire - Energies - écologie et environnement
    http://www.novethic.fr/novethic/ecologie,energies,nucleaire,les_petites_centrales_nucleaires_immergees_verr
    En voilà une très mauvaise idée !

    Des petites centrales nucléaires transportables. C’est une des solutions énergétiques proposées par l’Agence internationale de l’énergie atomique (AEIA) pour les pays nouvellement industrialisés. Ce marché intéresse l’industrie #nucléaire, tournée vers une croissance de la demande d’électricité prévue à 90% hors de l’OCDE. En France, l’entreprise DCNS est sur les rangs avec son projet de centrale immergée Flexblue. L’armateur, connu pour ses sous-marins nucléaires, se diversifie depuis quelques années dans l’énergie. L’argument de la centrale transportable est simple : livrer clé en main de l’énergie nucléaire à des pays qui n’en ont pas les moyens techniques et financiers. Selon DCNS, Flexblue permettrait de se passer d’infrastructures et de personnel formé sur place. Les centrales seraient fabriquées dans les chantiers navals de l’industriel, puis livrées par bateau. Le service après vente est également assuré : les unités mobiles seraient rechargées en combustibles, entretenues et finalement démantelées par l’entreprise.

    La perspective de voir des petits réacteurs nucléaires dispersés à la surface du globe ne fait évidemment pas l’unanimité. Roland Desbordes, physicien et président de la Criirad, rappelle que « ces réacteurs posent les mêmes problèmes environnementaux que la filière nucléaire actuelle. » Flexblue fonctionnerait en effet à l’uranium enrichi, donc les dangers liés à la gestion des déchets et à l’approvisionnement dans les mines d’uranium restent entiers. Quant à la sûreté, Roland Desbordes estime que l’immersion rend les réacteurs plus vulnérables aux attaques terroristes : « C’est facile d’envoyer un homme grenouille ; rappelez-vous du Rainbow Warrior ». Autres problèmes écologiques : le réchauffement de l’eau autour des centrales et la difficulté d’intervenir sous l’eau en cas de fuites radioactives.

    Là j’ai carrément peur

    Sans donner de chiffres, l’industriel insiste sur ce nucléaire low cost, grâce à des centrales standardisées, produites en série sur ses chantiers.