company:de hong

  • A Hong Kong, « c’est le combat de la dernière chance »
    https://www.mediapart.fr/journal/international/180619/hong-kong-c-est-le-combat-de-la-derniere-chance

    La cheffe du gouvernement de Hong Kong, Carrie Lam, a de nouveau présenté mardi ses excuses, mais n’a toujours pas annoncé l’abandon officiel du projet d’extradition vers la Chine. Cette réforme a servi de catalyseur aux colères d’une population qui est massivement descendue dans les rues.

    #Reportage #extradition,_Carrie_Lam,_Chine,_Hong_Kong

  • Le leader de Hong Kong retarde le projet de loi sur l’extradition, les manifestants en veulent plus (Aljazeera)
    https://www.crashdebug.fr/international/16140-le-leader-de-hong-kong-retarde-le-projet-de-loi-sur-l-extradition-l

    Carrie Lam suspend le projet de loi controversé, mais les militants s’engagent à protester davantage en affirmant que le projet de loi doit être mis en veilleuse de façon permanente.

    La directrice générale de Hong Kong, Carrie Lam, a déclaré qu’il y avait des "insuffisances " dans le projet de loi[K.C/AP].

    Le dirigeant de Hong Kong, en proie à des batailles, a indéfiniment retardé un projet de loi controversé qui autoriserait l’extradition vers la Chine, dans une crise majeure après que la colère suscitée par le projet de loi a déclenché les plus grandes protestations de la ville depuis des décennies.

    Mais les dirigeants protestataires ont rapidement rejeté la concession faite samedi par la directrice générale, Carrie Lam, lui demandant de démissionner, de mettre définitivement le (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

  • A Hong Kong, l’opposition au gouvernement pro-Pékin remporte une première victoire
    https://www.mediapart.fr/journal/international/150619/hong-kong-l-opposition-au-gouvernement-pro-pekin-remporte-une-premiere-vic

    Alors que les manifestations massives ne cessaient de croître, et que les violences policières laissaient craindre une radicalisation du mouvement, la cheffe de l’exécutif de Hong Kong, Carrie Lam, a finalement choisi samedi de retirer le texte de loi autorisant les extraditions vers la Chine. Mais la renaissance du mouvement civique hongkongais pourrait se prolonger.

    #Reportage #Hong_Kong,_Chine,_Pékin,_Carrie_Lam

  • Le métro de Hong Kong, architecte du consumérisme dans Le Devoir de Montréal

    Plus de la moitié des 91 stations du réseau de métro de Hong Kong sont désormais connectées à des espaces commerciaux et résidentiels. « On est souvent forcé de passer dans un centre commercial pour aller du point A au point B », explique Stefan Al.

    Depuis le début de la construction du métro, en 1975, les habitudes des Hongkongais ont d’ailleurs radicalement changé. « Il y a 30 ans, [ils] n’étaient pas habitués aux centres commerciaux. Mais on a commencé à construire des communautés autour de ces centres [et des stations de métro] pour les inciter à y aller. Et c’est un succès », raconte M. Al.....

    « Les centres commerciaux sont des espaces où on conditionne, renchérit Stefan Al. L’air est conditionné, mais on conditionne aussi à dépenser. »

    Si tout l’effort et le temps consacré à l’architecture de la consommation était utiliser pour encourager les transports doux..

    https://www.ledevoir.com/societe/transports-urbanisme/555343/le-metro-de-hong-kong-architecte-du-consumerisme
    #consommation #aménagement #urbanisme #hongkong #capitalisme

  • World War One grenade among potatoes at Hong Kong crisp factory - BBC News
    https://www.bbc.com/news/world-asia-china-47107609


    La #mondialisation : on vient de retrouver une grenade allemande centenaire (toujours dangereuse, elle n’avait pas explosé) dans une usine de chips de Hong Kong.
    Elle est arrivée avec un chargement de patates venu de France.

    A World War One-era German hand grenade has been found among a delivery of potatoes shipped from France to a crisp factory in Hong Kong, police say.

  • Une part de framboisier offerte par Claes Oldenburg, mon fils Nathan, un petit film d’il y a déjà quelques étés, en janvier toujours un regard en arrière vers l’année tout juste écoulée, Andreï Roublev de Tarkovski comme fond d’écran, Asako I&II de Ryusuke Hamaguchi (que j’ai adoré), Wildlife de Paul Dans (que j’ai détesté), Maya de Mia Hansen-Love qui m’aura laissé très en colère, Extreme Night Fever, du cirque très rock’n’roll, aidez-nous à retrouver Jean-Claude, Grass de Hong Song-Soo (dont je suis fan jusqu’à la bêtise), des corrections de Le Rapport sexuel existe, en veux-tu en voilà, une partie d’échecs immortelle sur l’échiquier de poche de Marcel Duchamp (des fois on vous gâte dans le Désordre), Sophie Agnel et Nina Garcia aux Instants, une demi-heure de bonheur (des fois on vous gâte vraiment dans le Désordre), In My Room d’Ulrich Köhler, film presque parfait, mes disques de Albert Ayler à Zappa (début d’un autoportrait un peu privé), de la bande dessinée expérimentale sur les murs de Fontenay, une nouvelle balise dans la boîte à outils du Désordre, Matinée de Joe Dante, Les Confins du monde de Guillaume Nicloux, "Il paraît que cette chanson est à propos des migrants, je pensais l’avoir écrite pour mes voisins », Sourdure à La Dynamo, Cameleo Vulgaris à La Dynamo, des basses encore des basses toujours des basses, très peu de médiums, pas d’aigus, pour amateurs seulement, Christine Delphy m’aura ravi toute la semaine sur France Culture, Pascal Battus et Fred Marty aux Instants, Les Lieux d’une ruse de Georges Perec, dans Penser/classer pour un ami, Louis Sclavis invite Magic Malik et ça claque la chatte, Habka qui joue au bas de chez moi (ça y est je suis mort et je suis au paradis des Phil, c’est ça ?), Lindy Lou, jurée #2 _de Florent Vassault, l’envers (réaliste) du décor de _Twelve Angry Men de Sidney Lumet, The Rider de Chloé Zhaou, western chinois (dans le sens où c’est assez complexe), des traces accidentelles de Joan Mitchell, L’Ordre des médecins épouvantable mélo, bien coupable, Gegenlight de Dominique Pifarély, Jonas Mekas est mort hier, une très belle oeuvre de Peter Tscherkassky que je retrouve par sérendipidité, le premier jet pour l’affiche de L’Etreinte à Louvain la Neuve, ce qu’il me reste d’un cours de perspective de première année des Arts Déco, la très belle exposition de Patrick New à l’abbaye de Maubuisson, une tarte à la citrouille de B., un peu de récursivité ne peut pas faire de mal, l’urne qu’Isa a céramiquée pour moi, pour plus tard, en 2065, un de ces nombreux extraits du Dossier M. de Grégoire Bouillier qui fait se hérisser les poils de mes bras, il paraît qu’on n’a pas le droit de jouer avec l’image du gamin président, il paraît, il n’est pas beau (et coloré) le mois de janvier ?

    http://desordre.net/bloc/vie/reprise/2019/201901.htm

  • A Davos, des jets et des hélicoptères privés par centaines Belga - 22 Janvier 2019 - RTBF
    https://www.rtbf.be/info/economie/detail_a-davos-jets-et-helicopteres-prives-par-centaines?id=10125174

    Le changement climatique a beau s’être imposé dans le débat au Forum économique mondial de Davos depuis plusieurs années, c’est pourtant bien souvent en jet privé que viennent en discuter grands patrons ou responsables politiques du monde entier.

    500 vols en jets privés sont attendus cette semaine dans les aéroports avoisinant la station des Alpes suisses, d’ordinaire paisible, selon un communiqué de la société d’affrètement Air Charter Service (ACS). Ce n’est pas un record : en 2015, 1700 vols en jet privés avaient été recensés dans le ciel suisse.

    1500, c’est tout de même 200 de plus que l’an dernier, un paradoxe alors que le changement climatique a été placé au premier rang des risques pour l’économie mondiale par les participants au Forum, selon un sondage dévoilé la semaine dernière par les organisateurs.

    Une fois arrivés dans des aéroports tels que Zurich, à deux heures de train de Davos, les passagers de ces vols privés poursuivent souvent leur voyage en hélicoptère, pour gagner du temps.

    Plus que pour le Super Bowl ou la Champions’ League
    Au final, la demande pour les jets privés pendant la semaine de Davos dépasse de loin celle enregistrée lors d’autres événements, tels que le Super Bowl aux Etats-Unis ou la finale de la ligue des Champions de foot, relève Andy Christie, responsable d’ACS.

    « Nous avons même reçu des réservations en provenance de Hong Kong, d’Inde ou des Etats-Unis. Aucun autre événement n’a une telle portée internationale » , a-t-il ajouté, selon le communiqué.

    Et la tendance est aux jets les plus gros et les plus coûteux possibles.

    Les organisateurs du Forum de Davos assurent compenser ces émissions par des initiatives en faveur de l’environnement et ont partiellement remboursé cette année les trajets en train. Avec un succès mitigé, semble-t-il.

    #davos #changement_climatique #jet_privé #hélicoptère #pollution #environnement #Inégalités #multinationales #globalisation_4.0 #World_Economic_Forum #WEF

  • En Chine, des systèmes de notation récompensent ou sanctionnent les citoyens
    https://www.courrierinternational.com/article/societe-en-chine-des-systemes-de-notation-recompensent-ou-san

    De plus en plus connectée, la Chine développe des systèmes de notation dits “crédit social” permettant de sanctionner ou de récompenser les comportements des individus. Une généralisation de cette méthode est prévue pour 2020. Cet été, à deux heures d’avion de Hong Kong, un père de famille a dû prendre la décision de sa vie. Son fils venait de réussir le concours d’entrée à un prestigieux établissement d’enseignement supérieur de Pékin, et la famille était en liesse. Mais un seul coup de fil de l’université a (...)

    #algorithme #CCTV #banque #surveillance #vidéo-surveillance #BigData #profiling #SocialCreditSystem

  • Philanthropiques, mais pas toujours éthiques Pauline Gravel - 7 Décembre 2018 - Le Devoir
    https://www.ledevoir.com/societe/science/543021/fiancement-de-la-science-les-fondations-philanthropiques-profitent-aussi-d

    Plusieurs des grandes fondations philanthropiques privées du monde qui subventionnent la recherche scientifique font fructifier leurs avoirs dans des paradis fiscaux, révèle une enquête menée par la revue Science (en anglais).

    Aussi contradictoire que cela puisse paraître, ces #fondations investissent parfois même dans des compagnies qui contribuent aux problèmes qu’elles désirent résoudre en octroyant des subventions de recherche.


    Photo : Alastair Grant Associated Press Une employée de la fondation Wellcome Trust se tient devant l’image d’une vue en coupe d’un cerveau à l’exposition « Brains — The Mind as Matter », tenue à Londres en mars 2012.

    Le journaliste Charles Piller, du département des nouvelles de la revue Science, a fait cette découverte en consultant les déclarations de revenus et les états financiers rendus publics par les fondations, ainsi que 13,4 millions de documents confidentiels ayant fait l’objet de fuites (dans les Paradise Papers) et qui ont été partagés par le Consortium international des journalistes d’investigation (CIJI).

    M. Piller donne en exemple Wellcome Trust, une des fondations philanthropiques privées les plus riches du monde, qui a notamment financé une longue étude menée par chercheurs des universités de Hong Kong et de Birmingham ayant démontré que les résidents âgés de Hong Kong qui étaient exposés à des niveaux élevés de smog, particulièrement aux minuscules particules de suie générées par la combustion de carburants fossiles, étaient plus susceptibles de mourir d’un cancer que les personnes respirant un air pur.

    Or, peu avant la publication de cette étude dans la revue Cancer Epidemiology, Biomarkers Prevention, en 2016, Wellcome est devenu actionnaire de #Varo_Energy, une compagnie basée en Suisse qui vend principalement du #diesel à moteurs de navires, un résidu sulfureux et bon marché du raffinage du pétrole qui génère une importante pollution en particules de suie.

    « Les chercheurs ont estimé que les particules présentes dans la fumée sortant des cheminées de bateau contribuent au décès prématuré de 250 000 personnes annuellement », souligne le journaliste Piller, avant de préciser que Wellcome n’a pas investi directement dans Varo Energy, mais plutôt dans un fonds de placement étranger, #Carlyle_International_Energy_Partners, basé aux #îles_Caïmans, lequel fonds détient une participation dans Varo Energy.

    En parfaite contradiction
    À l’instar de maintes autres riches entreprises, les fondations philanthropiques se tournent donc couramment vers des paradis fiscaux dans le but de maximiser les rendements de leurs investissements, puisque notamment elles y paieront beaucoup moins d’impôts que dans leur pays d’origine, voire pas du tout, et parce que les réglementations y sont plus souples et leur permettent d’économiser d’importants frais d’administration.

    « Bien que les investissements dans les paradis fiscaux puissent être légaux, ils sont controversés, en partie parce que les activités de ces fonds sont toujours tenues secrètes », fait remarquer Piller avant d’ajouter que « ce type d’investissements diminue, voire nie les nobles missions sociales, éducatives et de soutien à la recherche affichées par ces fondations qui subventionnent la science ».

    Cette façon de faire fructifier leur capital est même parfois en parfaite contradiction avec leur mission philanthropique, comme l’illustre l’exemple de Wellcome, qui subventionne nombre d’études en sciences de l’environnement dans le cadre de son engagement à rendre « les villes plus saines et environnementalement durables », comme elle le souligne sur son site officiel, et ce, alors qu’une partie des 1,2 milliard de dollars que la fondation a donnés annuellement à des chercheurs ces dernières années provenait d’investissements dans des compagnies qui participent aux problèmes mêmes que sa mission philanthropique vise à résoudre.

    Plusieurs voix s’élèvent pour critiquer cette pratique. L’une d’elles souligne le fait qu’en investissant dans les paradis fiscaux, ces fondations qui bénéficient d’une réputation exceptionnelle de par leur mission sociale contribuent à légitimer des tactiques financières qui sont utilisées pour contourner ou enfreindre la loi par des investisseurs soucieux d’éviter de payer des impôts, ou par des criminels cherchant à cacher des profits gagnés illégalement.

    Une autre voix fait valoir que de telles pratiques privent les gouvernements de revenus qui pourraient être consacrés à « des services publics et qu’elles transfèrent le fardeau fiscal des compagnies et des plus riches vers la classe moyenne ».

    Pour le bien commun ?
    Par le passé, de nombreuses organisations philanthropiques voyaient ces moyens d’échapper à l’impôt comme honteux. Plus maintenant. Aux États-Unis, la plupart des « fondations considèrent que minimiser les impôts qu’elles doivent payer est une nécessité » pour respecter « leur obligation d’enrichir leur fonds de dotation ».

    « Ces fondations ne doivent-elles pas être plus que des compagnies d’investissements privées qui utilisent leurs surplus pour le bien commun ? » s’insurge Dana Bezerra, une avocate new-yorkaise spécialisée dans l’#investissement_éthique, dans la revue Science.

    « La logique des gestionnaires de ces fondations est purement économique et ne vise qu’à maximiser les profits. Ils vont là — notamment dans les paradis fiscaux — où les intérêts générés sont plus élevés, et que les impôts et les frais administratifs, plus bas qu’ailleurs. […] Ils ont une mentalité d’optimisation qui ne tient pas compte de ce que veut dire la philanthropie éthique. Dans cet article, on découvre qu’être philanthrope n’est pas synonyme d’éthique et que les fondations qui se disent philanthropes contredisent ainsi leur finalité », fait remarquer Yves Gingras.

    Ce sociologue des sciences à l’UQAM rappelle que les fondations philanthropiques ont déjà des avantages fiscaux au Québec et ailleurs, et qu’elles « subventionnent des recherches scientifiques avec de l’argent qu’elles ont gagné en ne payant pas de taxes et en allant faire fructifier leurs avoirs dans des paradis fiscaux, ce qui veut donc dire que les contribuables ont payé une partie de leur soi-disant philanthropie ».

    Il souligne également que compte tenu du déclin des investissements gouvernementaux en recherche, les chercheurs dépendent de plus en plus de ces fondations.

    « Les #chercheurs doivent courir pour trouver de l’argent, et pour en avoir, ils ferment les yeux sur beaucoup de choses. Leur éthique devient de plus en plus élastique à mesure qu’ils ont plus de difficulté à obtenir des subventions », dit-il.

    Les sept fondations privées visées par l’enquête de « Science »
    #Bill_&_Melinda_Gates Foundation : 51,8 milliards $US de dotation, aucun investissement dans des paradis fiscaux ;
    #Wellcome_Trust : 29,3 milliards $US de dotation, 926 millions $US investis dans les paradis fiscaux ;
    #Howard_Hughes_Medical_Institute : 20,4 milliards $US de dotation, 891 millions $US investis dans les paradis fiscaux ;
    #Robert_Wood_Johnson Foundation : 10,8 milliards $US de dotation, plus de 3 milliards $US investis dans les paradis fiscaux ;
    #William_and_Flora_Hewlett Foundation : 9,9 milliards $US de dotation, 168 millions $US investis dans les paradis fiscaux ;
    #David_and_Lucile_Packard Foundation : 7,9 milliards $US de dotation, 140 millions $US investis dans les paradis fiscaux ;
    #Gordon_and_Betty_Moore #Foundation : 6,9 milliards $US de dotation, 40 millions $US investis dans les paradis fiscaux.