company:doux

  • Sauvé par le saoudien Munajem, le groupe français Doux annonce des embauches - Le Télégramme

    http://www.letelegramme.fr/economie/doux-on-annoncera-bientot-des-embauches-15-01-2015-10492124.php

    Le groupe Doux, qui profite de la baisse de l’euro par rapport au dollar, devrait recruter cette année. C’est ce qu’a annoncé Arnaud Marion, le président du directoire, hier soir, sur France Info. De retour d’un voyage à Ryad, en Arabie saoudite, il a annoncé que le « groupe allait revoir à la hausse les perspectives 2015 de production », avant d’ajouter : « On annoncera bientôt des embauches ». Interrogé sur le nombre de postes qui seront proposés, Arnaud Marion a précisé que ça « dépassera la centaine ». Le groupe châteaulinois, « bénéficiaire au quatrième trimestre 2014 et premier trimestre 2015, envisage 25 millions d’euros de résultat d’exploitation pour cette année », a-t-il ajouté. Doux emploie actuellement 2.200 personnes.

    Les volailles Doux sont vendues dans le monde arabe, jusqu’à La Mecque. Des reportages ont établi des « fraudes au halal » - Al Kanz

    http://www.al-kanz.org/2014/04/13/almunajem-doux-fraude

  • Le groupe Doux sort du redressement judiciaire
    http://www.scoop.it/t/impayes-et-risque-client/p/4011914206/2013/11/30/le-groupe-doux-sort-du-redressement-judiciaire

    Le tribunal de commerce de Quimper (Finistère) a validé vendredi 29 octobre 2013 le plan de continuation du volailler Doux présenté par ses actionnaires Didier Calmels, le groupe saoudien Al Munajem et la famille Doux.OuestGEST’s insight:Pour être plus exact, il sort de la période d’observation. Doux ne sortira du redressement judiciaire qu’à l’issue du plan de redressement... mais ce qui importe, c’est la validation du plan par le Tribunal de Commerce et le maintien de l’activité et de l’emploi.See it on Scoop.it, via Impayés et risque-client

  • Un groupe saoudien va-t-il vraiment investir dans Doux ? - France Info
    http://www.franceinfo.fr/economie/l-arabie-saoudite-va-t-elle-investir-dans-doux-1198783-2013-11-02
    http://www.franceinfo.fr/sites/default/files/imagecache/462_ressource/2013/11/02/1198785/images/ressource/doux.jpg

    Un groupe saoudien envisage une entrée possible au capital de l’entreprise de volaille Doux, alors que le producteur breton est en redressement judiciaire depuis juin 2012 et a déjà supprimé un millier d’emplois.

    Le groupe saoudien Almunajem s’est dit prêt à « prendre une participation significative au capital » de l’entreprise bretonne Doux, en redressement judiciaire. Si le montant de l’investissement envisagé reste « confidentiel », le représentant du groupe en France, Amr Al Kouatli, a précisé que sa participation serait d’environ « 25% ».

     L’homme d’affaires saoudien a annoncé qu’Almunajem « travaillait de manière très étroite » avec le gouvernement français pour faire avancer ce dossier.

     L’entrée possible du Saoudien au capital du groupe Doux avait été évoquée dès septembre. Le tribunal de commerce de Quimper doit rendre fin novembre sa décision sur le plan de continuation que la société lui présentera.

     M. Al Kouatli s’est dit « optimiste » sur les chances de conclure « un pacte d’actionnaires », avec la famille Doux, qui contrôle 80% du capital du volailler, et BNP Paribas (20%).

    Une filière agroalimentaire en difficulté

    Cette annonce du côté de Doux semble être une bonne nouvelle dans un secteur avicole en difficulté en Bretagne.

    Tilly-Sabco, un autre grand volailler breton, a annoncé jeudi qu’il suspendait à partir de janvier sa production de poulets pour l’export, en raison de la fin d’aides européennes. Mille emplois sont menacés. Tilly-Sabco a tenté un rapprochement avec Doux pour sauver la filière avicole bretonne, mais ce dernier a choisi jusqu’ici de faire cavalier seul.

    La mise en redressement judiciaire de Doux a signé une prise de conscience à l’échelle nationale des problèmes de la filière agroalimentaire en Bretagne, qui n’ont fait qu’empirer depuis, notamment avec la fermeture de l’abattoir Gad de Lampaul-Guimiliau (Finistère).

    Le gouvernement a tenté de calmer les esprits en promettant des aides aux volaillers bretons, pour compenser les subsides européens pour faire face à la concurrence de produits brésiliens. Reste à savoir si ces gestes seront suivis d’effet.

    #économie
    #groupe-saoudien-Almunajem
    #investissement
    #Doux
    #agroalimentaire
    #poulets
    #emplois ( dindons de la farce )

  • Le choix de François Hollande | RussEurope
    http://russeurope.hypotheses.org/1652

    Le gouvernement français vient donc d’être contraint à deux reculs, l’un sur la taxation rétroactive des revenus de l’épargne et l’autre sur l’écotaxe. Ces deux mesures ont cristallisé un mécontentement latent et le recul sur l’écotaxe est particulièrement symbolique. Il s’est fait dans des conditions politiques très dégradées. Mais ce recul ne change rien aux problèmes de la Bretagne. On voit bien comment l’Euro, mais aussi les différentes réglementations européennes ruinent l’économie de cette région et de la France en général. On le voit une nouvelle fois avec les problèmes des abattoirs, de sociétés comme Doux et Gad. Un nouvel exemple est donné par l’usine Tilly-Sabco de Guerlesquin (Finistère). La production de poulets entiers devrait s’y arrêter en janvier 2014. Ce volailler est en réalité numéro 2 européen ; c’est donc une entreprise importante. Les exportations y représentent 90 % de la production. Mais avec un Euro fort, la concurrence des pays émergents et la suppression des aides européennes, cette entreprise accumule les pertes, ce qui a contraint le directeur à annoncer la suspension de l’activité.

    Les raisons d’une reculade.

    Les raisons de cette reculade sont multiples. La première est politique. Jamais la popularité de François Hollande n’aura été aussi basse. C’est à un effondrement auquel on assiste, un effondrement sans précédent dans la Vème République. Le mouvement social qui couvait en Bretagne menaçait de faire tache d’huile, et aurait pu conduire à un embrasement généralisé.


    C’est à une situation sans précédent à laquelle on est aujourd’hui confronté. L’impopularité du Président, comme celle du gouvernement, restreint drastiquement ses marges de manœuvres. Dès qu’il est, ou qu’il sera, confronté à des mouvements d’opposition un tant soit peu virulents il n’aura plus d’autres solutions que de reculer. Il en donne l’exemple sur la Bretagne et sur les mesures fiscales qu’il souhaitait prendre, mais ce faisant il envoie aussi un signal à tous les groupes de pression. Ce n’est pas la « fermeté » dont il a fait preuve le 31 octobre devant les dirigeants des clubs de football français qui pourra y changer quoi que ce soit.

    À cette raison évidemment d’ordre politique vient s’ajouter une raison économique. On l’a dit auparavant, la cause fondamentale du marasme de la Bretagne, et plus avant de la France entière, porte un nom : l’Euro. Mais, alors que nous fêtons le vingtième anniversaire du traité de Maastricht (1993), il ne saurait être question pour un politicien habitué aux compromis comme François Hollande de mettre en cause ce qu’il pense être un traité fondateur. On a prétendu que l’Union Economique et Monétaire, soit la zone Euro, allait engendrer par sa seule existence de 1% à 1,5% de croissance supplémentaire. On a fait litière, dans une précédente note de ces affirmations qui confinent à la « funkpropaganda ». En réalité c’est tout le contraire auquel nous avons assisté. L’Euro a été le début d’un effacement économique de l’Europe, à l’exception de l’Allemagne. L’Euro impose aux pays qui y participent des contraintes insupportables du fait de la présence de l’Allemagne dans le mécanisme. C’est bien l’esprit du traité de Masstricht qui est en cause, et non simplement ses conditions d’application. Même si l’on avait mieux appliqué le traité, si on avait progressé vers l’Europe sociale et l’Europe fiscale aussi vite que l’on a avancé vers l’Union Économique et Monétaire, les différences de compétitivité se seraient manifestées en raisons des différences de structures des pays concernés. L’Euro impose une monnaie unique à des pays dont les économies sont structurellement différentes, et c’est là la cause de tout le mal.......

    #Jacques-Sapir
    #François-Hollande
    #écotaxe
    #Bretagne
    #Euro
    #politique
    #opinions

  • Le groupe Doux soupçonné d’arnaque aux subventions - Agroalimentaire - Basta !
    http://www.bastamag.net/article1795.html

    L’Union européenne soutient l’exportation de productions européennes (avec des aides appelées « restitutions ») pour faire face à la concurrence de pays aux coûts de production moindres. Mais elle exige en contrepartie des normes précises de qualité.

    ouais, et c’est ce qui ruine l’économie locale des pays en voie de développement
    #agrobusiness