company:egis

  • L’entreprise française Egis accusée de corruption au Yémen
    https://www.mediapart.fr/journal/international/180619/l-entreprise-francaise-egis-accusee-de-corruption-au-yemen

    La corruption généralisée au Yémen est un des facteurs d’explication du déclenchement de la guerre qui ravage le pays. L’entreprise française est accusée du versement de commissions à des intermédiaires, selon des témoignages et des documents recueillis par Mediapart. Egis dément. La plainte déposée en France a été classée sans suite.

    #MOYEN-ORIENT #Egis,_Corruption,_Yémen,_guerre,_A_la_Une

  • Palestine. Business France prise la main dans le sac colonial
    L’Humanité | Mercredi, 20 Mars, 2019 | Pierre Barbancey
    https://www.humanite.fr/palestine-business-france-prise-la-main-dans-le-sac-colonial-669582

    (...) Schneider Electric, Thales, Egis Rail, Systra, Artelia, Sixense…

    Les organisations qui avaient publié le rapport du mois de juin ont soulevé un nouveau lièvre. Du 11 au 14 mars, s’est déroulé, à Tel-Aviv et Jérusalem, un événement organisé par Business France intitulé « Israël : Rencontres acheteurs dans le secteur du ferroviaire ». Business France est une agence publique (structure née de la fusion d’Ubifrance et de l’Agence française pour les investissements internationaux) sous tutelle des ministères des Affaires étrangères et de l’Économie et des Finances chargée, comme l’indique son site, « du développement international des entreprises françaises, des investissements internationaux en France et de la promotion économique de la France ». Dans l’invitation lancée le 30 janvier de cette année, Business France indiquait que, « pour rattraper un retard manifeste dans les infrastructures, de nombreux projets dans les infrastructures de transport, en particulier ferroviaire, ont été budgétisés ces dernières années par le gouvernement israélien ». Et de souligner : « Plusieurs entreprises françaises sont déjà présentes : Alstom, Schneider Electric, Thales, Egis Rail, Systra, Artelia, Sixense Soldata (…) Ils (sic) interviennent auprès des contractants Israel Railways, JTMT (Jerusalem Mass Transportation Plan), de NTA (Tel Aviv Metropolitan Mass Transit System) ou en partenariat avec des constructeurs et membres de consortiums. » Au programme, des « rendez-vous avec la JTMT (maître d’œuvre du projet de tramway de Jérusalem – NDLR), et Egis (assistant à maître d’œuvre) » ainsi qu’une « visite du consortium CityPass avec Alstom », ligne de tramway de Jérusalem, dans cette même ville. (...)

  • France : Systra, Egis Rail et Alstom collaborent avec la construction du tramway de l’Apartheid
    Adri Nieuwhof - 22 juin 2018 – The Electronic Intifada – Traduction : Chronique de Palestine
    http://www.chroniquepalestine.com/entreprises-france-collabore-construction-tramway-apartheid

    Trois entreprises françaises sont impliquées dans l’extension du tramway de Jérusalem par Israël, alors que de nouvelles lignes sont prévues pour connecter, à Jérusalem-Ouest, davantage de colonies israéliennes en Cisjordanie occupée.

    Systra, Egis Rail et Alstom

    Un nouveau rapport documente une partie des violations des droits de l’homme et du droit international associées au tramway de Jérusalem, en présentant une plainte contre les trois sociétés, Systra, Egis Rail et Alstom.

    L’entreprise française Veolia a joué un rôle déterminant dans la réalisation de la première ligne du métro léger qui relie le mont Herzl à l’ouest de Jérusalem, à la colonie de Pisgat Zeev en Cisjordanie.

    En conséquence, Veolia a été constamment la cible du mouvement Boycott, Désinvestissement et Sanctions (BDS) pendant près d’une décennie. La société a finalement cédé toutes ses activités en Israël en 2015.

    L’expérience de Veolia n’a cependant pas empêché Systra et Egis Rail de signer des contrats pour la conception et la construction de trois nouvelles lignes qui relieront davantage de colonies israéliennes à Jérusalem-Ouest dans la deuxième phase du projet.

    Tout comme Veolia, l’entreprise française Alstom a joué un rôle majeur dans la première ligne du métro léger. L’entreprise a livré les élévateurs et fournit des services de maintenance.

    Alstom soumissionne également pour de nouveaux projets d’extension du métro léger.

    Le rapport documentant cette complicité a été réalisé grâce à la collaboration de groupes internationaux, palestiniens et français, dont la Fédération Internationale des Droits de l’Homme – FIDH, Al-Haq et deux grandes fédérations syndicales françaises, la CGT et la CFDT.

    • Tramway de Jérusalem : premier désengagement d’une entreprise française
      https://plateforme-palestine.org/Tramway-de-Jerusalem-premier-desengagement-d-une-entreprise-fr

      (...) Une première réponse à notre demande de désengagement des trois entreprises françaises vient d’être apportée mercredi 20 juin par la direction de la SNCF à la réunion du Comité d’entreprise européen, par la voix de Monsieur Pepy qui a déclaré que « Systra se retire de la ligne rouge et pourpre du tramway de Jérusalem ».

      Si cette déclaration demande à être précisée dans son contenu (Systra est engagé aujourd’hui sur la ligne bleue), nous en retenons bien le sens comme l’ont fait les représentants des organisations syndicales présentes au CE : celui du désengagement de Systra du tramway de Jérusalem.

      Une annonce que nous saluons donc comme une première victoire sur la voie du droit.

      Une voie dont nous attendons maintenant que les deux autres entreprises impliquées, Egis –filiale à 75% de la Caisse des Dépôts et Consignations – et Alstom, la suivent au plus vite.