company:electrabel

  • Electrabel renvoie 1,6 milliard d’euros vers sa maison-mère Engie en France Belga - 17 Mai 2018 - RTBF
    https://www.rtbf.be/info/economie/detail_electrabel-renvoie-1-6-milliard-d-euros-vers-sa-maison-mere-engie-en-fra

    Le géant français de l’énergie Engie a reçu 1,641 milliard d’euros de sa filiale belge Electrabel l’an dernier, écrivent jeudi L’Echo et De Tijd. Un dividende énorme qui a pour effet de diminuer les fonds propres d’Electrabel.

    Cela fait plus de dix ans que la société belge n’avait pas versé de dividende, écrit L’Echo, qui se base sur un document de référence en vue de l’assemblée générale d’Engie, vendredi.

    Electrabel était largement dans le rouge ces dernières années, avec une perte de plus d’un milliard d’euros en 2015 et en 2016. Les résultats de 2017 ne sont pas encore connus mais ne devraient pas être meilleurs.

    Le versement effectué à Engie est possible grâce aux « réserves dont dispose Electrabel », explique la porte-parole de la filiale belge Anne-Sophie Huge. « Il a pour objectif de faire remonter des actifs français au niveau du groupe pour en assurer une gestion cohérente. »

    En conséquence, les fonds propres d’Electrabel vont diminuer, ce qui est vu avec méfiance en Belgique, selon L’Echo.

    Quid en effet des provisions nucléaires qui seront nécessaires pour assurer le démantèlement des centrales et l’enfouissement des déchets ? La crainte étant de voir Electrabel progressivement vidé de sa substance afin de pouvoir être mis en faillite en cas de scénario catastrophe.

    #engie #France #Belgique #électrabel #drôle de #carambouille #gros-sous #pillage

    • Engie nie organiser l’insolvabilité d’Electrabel Belga - 17 Mai 2018 - RTBF
      https://www.rtbf.be/info/economie/detail_engie-nie-organiser-l-insolvabilite-d-electrabel?id=9920401

      La distribution d’un dividende en nature ne vise nullement à organiser l’insolvabilité d’Electrabel, dont les capitaux propres sont valorisés à plus de 32 milliards d’euros dans les comptes de sa maison-mère Engie, a fait savoir Electrabel en réaction à des propos du député fédéral Jean-Marc Nollet.

      En réaction à un article de L’Echo, évoquant le versement par Electrabel à Engie d’un dividende, en nature, d’1,641 milliard d’euros, https://www.rtbf.be/info/economie/detail_electrabel-renvoie-1-6-milliard-d-euros-vers-sa-maison-mere-engie-en-fra le chef de groupe Ecolo/Groen à la Chambre a reproché jeudi au groupe Engie d’être « très clairement en train d’organiser l’insolvabilité d’Electrabel par rapport à sa responsabilité dans la gestion des coûts du démantèlement des centrales et de la gestion des déchets nucléaire ». Selon Jean-Marc Nollet, le timing de l’opération n’est pas anodin et intervient « à la veille d’une réévaluation des coûts de la gestion des #déchets-nucléaires ».

      De son côté, Electrabel s’étonne de cette interprétation et confirme avoir transféré à Engie sa participation dans Electrabel France qui détient des parts dans la Société Hydro-électrique du Midi (SHEM) et la Compagnie Nationale du Rhône (CNR). « L’objectif de cette remontée d’actifs français au sein du groupe est de gérer ces activités de production d’électricité renouvelable ( #hydroélectrique, #éolien et #solaire) de façon plus cohérente. L’opération se fait à un moment important pour le groupe Engie puisque les concessions de la #SHEM et #CNR doivent être renouvelées », explique Electrabel.

      « S’agissant de la distribution de #dividende en nature (100% des titres Electrabel France, NDLR), il ne s’agit nullement ’d’organiser l’insolvabilité’ d’Electrabel dont les capitaux propres sont valorisés à plus de 32 milliards d’euros dans les livres d’Engie SA à fin 2017 », poursuit la société.

      Le groupe Engie rappelle par ailleurs être actif sous différentes formes depuis plus de 100 ans en Belgique, être « un de plus grands employeurs privés du pays », être « un gros contributeur aux finances publiques » et avoir « toujours assumé ses responsabilités. » "Electrabel remplira naturellement toutes ses obligations de couverture des coûts de démantèlement et de gestion de l’aval de cycle nucléaire", conclut le groupe, non sans rappeler « que ces obligations sont régies par la loi d’avril 2003 sur les provisions constituées pour le démantèlement des centrales nucléaires et pour la gestion des matières fissiles irradiées dans ses centrales, dont le montant est contrôlé par la Commission des provisions nucléaires. »

  • Belgique : Le réacteur Doel 1 mis à l’arrêt en raison d’une fuite dans la partie nucléaire
    https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_le-reacteur-doel-1-mis-a-l-arret-en-raison-d-une-fuite-dans-la-partie-nu

    Le réacteur de la centrale nucléaire de Doel 1 à Beveren a été mis à l’arrêt au début de cette semaine. La raison invoquée à ce moment-là était une « maintenance au niveau du circuit de refroidissement ». Engie Electrabel a confirmé à la télévision locale TV Oost qu’une fuite a été détectée dans la section nucléaire lors de cette révision.


    « C’est la première fois que cela se produit avec ce type de conduite. On a constaté une petite perte d’eau dans la conduite de réserve de notre système de refroidissement. Ce n’est pas une grande fuite, nous sommes encore bien en dessous de la limite qui aurait provoqué un arrêt automatique du réacteur. En soi, il n’y a donc aucun impact sur la sécurité, mais nous voulons évidemment que nos installations restent dans d’excellentes conditions à tout moment. C’est la raison pour laquelle nous allons prendre le temps nécessaire pour mettre en oeuvre les réparations nécessaires », a expliqué Nele Scheerlinck, porte-parole de Engie Electrabel, à la télévision locale.

    Les réparations sont très difficiles à réaliser parce que le niveau de radioactivité dans cette partie de la centrale nucléaire est très élevé. « Si vous restez une heure à cet endroit, vous êtes confronté à la dose maximale qu’Electrabel autorise, c’est-à-dire la moitié de la quantité légale préconisée. Mais nous allons évidemment prendre toutes les mesures nécessaires pour maintenir l’exposition aux radiations le plus bas possible », a ajouté la porte-parole.

    Le réacteur de plus ancienne centrale nucléaire du pays sera à l’arrêt au moins jusqu’au premier octobre.
    #nucléaire #Doel #Belgique #Electrabel c’est #gdf-suez #poubelle #énergie #bonneteau

  • #Energie - Il faut une commission d’enquête parlementaire Electragate | Toute la lumière - Plateforme citoyenne
    http://www.toutelalumiere.be

    Rien qu’en 2016, chez ORES, 200 millions payés en trop à Electrabel avec la « complicité » de 200 élus. (bien plus que PUBLIFIN). Le dossier expliqué dans une vidéo de 3 minutes https://www.youtube.com/watch?v=yB3B--F60dk

    des rémunérations qui posent problème au niveau des intercommunales. (dont 9,5 millions de stock options pour les 8 cadres) le prix de l’énergie est trop élevé (dont le prix du transport et distribution // Hollande, France...). des questions restent sans réponse en #wallonie (ORES), à Bruxelles et en Flandre (EANDIS) sur des opérations financières. les politiques ne voudraient pas d’une commission d’enquête Electragate / ORES, pourquoi ?

    Nous, citoyens, demandons l’ouverture d’une Commission d’enquête parlementaire sur le dossier Electragate/ORES et les 7 intercommunales pures de (...)

    #énergie

  • Belgique, Nucléaire : 90 communes frontalières vont en Justice pour la fermeture de Tihange 2 RTBF avec Belga 3 Novembre 2016
    http://www.rtbf.be/info/belgique/detail_nonante-communes-frontalieres-vont-en-justice-pour-la-fermeture-de-tihan

    Près de 90 communes des régions frontalières allemande, néerlandaise et luxembourgeoise s’apprêtent à engager une action en justice pour forcer Electrabel et le régulateur AFCN à fermer le réacteur nucléaire Tihange 2, écrivent Het Nieuwsblad et Het Belang van Limburg jeudi.

    Une étude autrichienne met le feu aux poudres, pointant les risques qu’encourent ces régions en cas d’accident nucléaire.

    Ce rapport a été présenté à Vienne voici une semaine. L’institut autrichien a étudié les effets d’un nuage radioactif venu de Tihange. Les effets seraient désastreux. Une grande partie du Limbourg néerlandais serait inhabitable ainsi que 10% de la région d’Aix-
    la-Chapelle en Allemagne.

    Fissures trop importantes
    Inacceptable, estime le patron de la sécurité nucléaire allemande. Pour lui ce réacteur n’aurait jamais dû redémarrer. Les fissures sont trop importantes. Et il ne comprend pas que l’AFCN ait autorisé ce redémarrage. C’est pourquoi ces 90 communes souhaitent citer en justice l’AFCN mais aussi Electrabel, l’exploitant.
    L’AFCN n’a pas souhaité réagir.

    #nucléaire #Belgique

  • Mirador : http://www.mirador-multinationales.be

    Le Groupe de recherche pour une stratégie économique alternative (Gresea), basé en Belgique, vient de lancer une heureuse initiative qui intéressera les citoyens, journalistes, syndicalistes, enseignants, chercheurs. (...). Ce Groupe, en effet, a ouvert un site Internet intitulé Mirador.

    Son but est de donner à voir, sur la longue durée, chiffres à l’appui, comment la politique des firmes multinationales se traduit dans les faits.
    Le pouvoir des multinationales, jusqu’aux moindres aspects de la vie quotidienne, n’a cessé de croître depuis trois décennies. Très rares sont les économistes qui osent se spécialiser sur le sujet, craignant peut-être de fâcher de futurs employeurs. On les appelle les économistes à gages.

    Suez alias Engie, alias Electrabel, quelle politique de distribution de dividendes ? ArcelorMittal, quid de l’actionnariat et du taux de profit ? Réponses sur Mirador, via des données brutes et des graphiques qui en présentent l’évolution sur plus de 15 ans. C’est une des spécificités du projet : la longue durée, et ensuite traiter le problème au niveau qui est le sien, celui du groupe, à envergure mondiale. Telle fermeture-délocalisation d’une petite boîte locale (où les gens travaillent et qui fera un titre de presse) ne devient analysable qu’au départ du quartier général où quelqu’un a appuyé sur le bouton. Mirador a commencé avec 34 multinationales, mais le projet est en extension permanente.

    Le site contient une visite guidée. Il est structuré en deux niveaux pour obtenir des informations : sur les secteurs d’activité ; sur les entreprises qui composent ces secteurs.

    Soure : Parti de l’émancipation du peuple (ex-M’PEP).
    Pour débattre sur le forum lié à ce site, cliquez ci-dessous :
    http://www.m-pep.org/Projet-MIRADOR-Un-site-sur-le-pouvoir-economique-des-multinationales

    Mirador : http://www.mirador-multinationales.be

    #transnationale #multinationale #dividendes #économie

  • Les centrales nucléaires belges, à bout de souffle, menacent les pays voisins
    http://reporterre.net/Les-centrales-nucleaires-belges-a-bout-de-souffle-menacent-les-pays-vois

    Ces incidents posent la question du prolongement de la durée de fonctionnement des centrales nucléaires belges. En février 2003, le secrétaire d’État Ecolo Olivier Deleuze avait obtenu l’adoption d’une loi organisant la sortie du nucléaire, entre 2015 et 2025. Le texte initial prévoyait l’arrêt en 2015 des réacteurs les plus anciens, Doel 1, Doel 2 et Tihange 1, mis en service en 1975. Les autres réacteurs devaient être fermés en 2022 et 2023.

    Mais en 2013, le gouvernement, alors composé de libéraux, de démocrates et de socialistes, a modifié la loi et prolongé la durée de vie de Tihange 1 jusqu’en 2025. En juin 2015, le nouveau gouvernement, où les nationalistes ont remplacé les socialistes, a décidé de prolonger la durée de fonctionnement de Doel 1 et Doel 2 jusqu’en 2025. Pour Jean-Marc Nollet, chef de groupe Ecolo-Groen à la Chambre, contacté par Reporterre, ces décisions sont d’une grande hypocrisie : « Cela signifie qu’il faudra fermer les sept réacteurs en deux ans, au lieu de dix. C’est évidemment impossible. Nous craignons de nouvelles prolongations en 2022 ou 2025. »

    Or, les réacteurs Doel 1 et 2 sont dans un état de vétusté inquiétant, estiment les écologistes. « Suite à la catastrophe de Fukushima en 2011, l’ensemble des réacteurs européens ont dû subir des stress tests. Leur niveau de sécurité a dû être relevé. Sauf les deux réacteurs de Doel, qui devaient être fermés, rappelle M. Nollet. Résultat, on a pris beaucoup de retard. Electrabel, obnubilé par sa rentabilité, n’a pas pris le temps de mettre à jour les circuits électriques. L’alternateur qui a lâché est un signe de fatigue, inhérent à des centrales à bout de souffle. »

    #nucléaire #belgique

  • Belgique - Les « centrales-épaves » d’Electrabel : Le réacteur nucléaire Doel 1 s’est mis automatiquement à l’arrêt aprés un petit 48h de fonctionnement.

    Le réacteur nucléaire Doel 1 s’est arrêté automatiquement samedi vers 18h00. Les causes exactes de cet arrêt ne sont pas encore connues, indique Els De Clercq, responsable communication de la centrale de Doel.
    Les autorités compétentes ont été informées.
    Doel 1 a redémarré le 30 décembre dernier et a été couplé au réseau. * Le réacteur était à l’arrêt depuis février 2015. _


    http://www.rtbf.be/info/belgique/detail_le-reacteur-nucleaire-doel-1-s-est-mis-automatiquement-a-l-arret?id=9176
    #Electrabel c’est #gdf-suez

  • Belgique - Les « centrales-épaves » d’Electrabel mettent en danger la sécurité

    Le redémarrage de la centrale défectueuse Doel 3 a été de nouveau reporté en raison d’une nouvelle panne. Dans un entretien à la matinale de Radio 1, Tom De Meester, spécialiste énergie du PTB, s’est indigné contre Electrabel.

    « C’est incident après incident, fustige Tom De Meester. La semaine dernière, Doel 3 s’est arrêtée en raison d’une fuite d’eau. Aujourd’hui, il semble y avoir un problème avec l’installation électrique. La liste s’allonge. La semaine dernière, un incendie a eu lieu à Tihange, et fin octobre, un transformateur a explosé également à Doel. »

    « Au propre comme au figuré, nous jouons avec le feu, continue De Meester dans un entretien donné à notre rédaction. #Electrabel est tout simplement incapable de garantir notre sécurité. Dans les médias allemands, ces derniers jours, on se moque avec ironie des “ #centrales_épaves ” belges, et le gouvernement allemand a demandé des explications écrites au Premier ministre #Charles_Michel. #Tihange se trouve près de la frontière allemande, et les maladresses d’#Electrabel n’amusent absolument pas la ministre Barbara Hendricks, responsable de la sécurité nucléaire en Allemagne. »

    Lors de l’émission De Ochtend, vous avez déclaré que les centrales nucléaires de Doel sont complétement inutiles pour notre approvisionnement en énergie. N’est-ce pas un peu exagéré ?

    Tom De Meester . Je ne suis pas le seul à le dire, Elia, le gestionnaire du réseau des lignes à haute tension, l’affirme également. Si nous fermons Doel 1 et Doel 2, les lumières ne vont pas s’éteindre. Durant cet hiver ainsi que pendant l’hiver prochain, il n’y a pas eu et il n’y aura pas de problème. D’ailleurs, comment les centrales nucléaires peuvent-elles garantir notre approvisionnement énergétique ? Elles tombent sans arrêt en panne. L’année dernière, elles sont restées inactives pendant 40 % du temps. Pannes, actes de #sabotage, fissures dans deux cuves de réacteurs, le feu à deux reprises et une explosion. Tout est dit, non ? Nous ferions mieux d’investir dans la production durable et fiable d’énergie, sous le contrôle de la collectivité.

    Cependant, selon Electrabel, ses centrales nucléaires figurent parmi les meilleures d’Europe ?

    Tom De Meester . Cela me fait beaucoup penser à cet empereur qui courait nu dans les rues, mais à qui tout le monde faisait croire qu’il portait un magnifique costume de brocart doré. Doel 1 et 2 ont été conçus pour durer trente ans, mais elles tournent depuis quarante ans. Continuer encore pendant dix ans, c’est irresponsable. La seule raison pour laquelle elles restent ouvertes, c’est parce qu’elles rapportent beaucoup d’argent. Les profits du nucléaire pour 2014 sont estimés par la CREG de 421 à 506 millions d’euros. On compte pour l’année prochaine sur 630 à 760 millions d’euros. Et ce encore pendant dix ans. Les #centrales_nucléaires sont surtout des machines à billets.

    Pouvons-nous faire machine arrière ?

    Tom De Meester . Bien sûr. Il le faudra même. Nous ne pouvons pas imposer encore dix ans de déchets nucléaires aux générations futures. Sans parler du problème de sécurité qui perdure. Si quelque chose tournait mal à #Doel, il faudrait faire évacuer 900 000 personnes, et les dommages économiques d’une explosion pourraient atteindre 1 400 milliards d’euros. Nous devons inverser la tendance. La façon dont le gouvernement a décidé la prolongation de l’ouverture de Doel 1 et 2 défie toute imagination. Aucun rapport sur l’impact environnemental n’a été publié, aucun débat parlementaire n’a eu lieu. Il n’a même pas été fait état de l’avis des organisations publiques ou environnementales. Tout a été réglé dans les salons du pouvoir, derrière des portes closes. On ne peut se résigner à cela.

    28 Décembre 2015, dans le journal #Solidaire http://solidaire.org/articles/les-centrales-epaves-d-electrabel-mettent-en-danger-la-securite

    #Electrabel c’est #gdf-suez

  • Le père Noël bloque la centrale nucléaire de Doel 3

    Le réacteur nucléaire de Doel 3 a été mis à l’arrêt ce vendredi 25 Décembre vers 01H00 en raison d’une perte d’eau survenue dans un générateur de la partie non nucléaire de la centrale, a fait savoir Electrabel. La centrale venait de reprendre son activité après un arrêt qui avait duré du 26 mars 2014 au 21 décembre dernier en raison de micro-fissures détectées dans la cuve en acier. » Nous avons pris la décision de couper la centrale du réseau. Une perte limitée est survenue dans une conduite d’eau à haute température d’un générateur de courant de la partie non nucléaire. Il était dès lors nécessaire de déconnecter le réacteur pour mener à bien les réparations » , a indiqué Els De Clercq, porte-parole d’Electrabel. L’énergéticien ne peut pas encore renseigner de moment précis pour le redémarrage de la centrale. Le réacteur avait redémarré il y a quatre jours après une mise à l’arrêt de 21 mois.

    http://www.rtbf.be/info/belgique/detail_doel-3-a-l-arret-apres-un-fuite-d-eau-dans-un-generateur-de-courant?id=9

    #nucléaire #Doel #Belgique #Electrabel c’est #gdf-suez #Père_noël #noël

  • J-M Nollet : « Marghem s’est clairement mise à genoux devant Electrabel. » - RTBF Belgique
    http://www.rtbf.be/info/belgique/detail_j-m-nollet-marghem-s-est-clairement-mise-a-genoux-devant-electrabel?id=8

    Et les écolos n’ont pas dit leur dernier mot : « D’abord l’agence fédérale doit remettre son accord. Deuxièmement, Electrabel commence déjà son chantage et pose ses conditions : 600 millions pas 700 millions. Imaginez ça sur la facture des citoyens ! On va revoir à la baisse la rente nucléaire et il n’y aura pas de cadre stable, on le sait très bien. »

    Faut-il renégocier la taxe nucléaire ?

    C’est la position d’électrabel, mais pour J-M Nollet, « La conséquence de ça c’est une explosion de la facture énergétique. On sait bien que c’est une décision du gouvernement mais que pour pouvoir prolonger Doel 1 et 2, il faut passer par la loi. Il faut un changement de loi, car il y a un cadre juridique convenu. C’est » la loi de sorti du nucléaire « , et nous sommes en train de nous replonger dans tout l’arsenal juridique à notre disposition, dont l’arsenal internationale qui oblige aujourd’hui l’étude d’incidence et une consultation de la population concernée. »

  • Nucléaire : la Belgique arrête un troisième réacteur et perd la moitié de sa production
    http://www.brujitafr.fr/article-nucleaire-la-belgique-arrete-un-troisieme-reacteur-et-perd-la-moit

    Un troisième réacteur a été arrêté en Belgique en raison d’une fuite d’huile, a annoncé jeudi 13 août le groupe belge Electrabel (GDF Suez), qui gère les sept réacteurs du royaume. Il ne sera pas disponible avant la fin de l’année. Le réacteur n° 4 de la centrale nucléaire de Doel, près d’Anvers, a été arrêté le 5 août. Le groupe a apporté des précisions dans un communiqué : « Les premiers résultats disponibles indiquent des dégâts importants au niveau de la turbine de haute pression. Sur la base de cette analyse partielle, il apparaît que l’unité Doel 4 ne sera certainement pas disponible avant le 31 décembre 2014. » Deux autres réacteurs, le numéro 3 de la centrale de Doel et le numéro 2 de la centrale de Tihange, près de Liège, sont arrêtés depuis le 25 mars. Ils avaient (...)

  • Le collectif Dites 33 ! vous invite au Tour de l’austérité !

    Dimanche 28 octobre 2012, 13h00

    http://www.dites33.be/Agenda/article/Le-Tour-de-l-austerite-La-course
    Le dimanche 28 octobre, cinq équipes cyclistes s’élanceront pour le « Tour de l’austérité ». L’occasion pour les « barons » de l’austérité - Delhaize, Electrabel, InBev, Arcelor-Mittal, Belfius – d’engranger de nouveaux profits, dans une course pensée et organisée par les instances politiques belges et européennes.

    Étape après étape, les équipes en compétition arpenteront les lieux du pouvoir politique et économique bruxellois : de la Commission européenne aux grands partis politiques belges, des bureaux des lobbies jusqu’aux sièges des multinationales.

    Tout le folklore digne d’une course de standing international sera au rendez-vous : maillot jaune, contre-la-montre, sprints, podiums, mais également caravane publicitaire, commentaires sportifs et les incontournables contrôles antidopage.

    Comme disait Pierre de Coubertin, l’important c’est de participer : tout le monde est convié au Tour de l’Austérité. De 7 à 77 ans, tous pourront rejoindre la dernière équipe du Tour : les « 99 % ».

    Mais, disons-le d’emblée, les règles du jeu sont faussées, nulle victoire a priori n’est possible dans un tel cadre. Les prix et le profit pour les uns, l’austérité pour les autres ?

    Enfourchez votre vélo et venez-vous mesurer aux barons de l’Austérité !

  • Energie : qui du gouvernement ou de Suez tient les rênes ? | Greenpeace Belgique
    http://www.greenpeace.org/belgium/fr/actualites-blogs/actualites/Energie--qui-du-gouvernement-ou-de-Suez-tient-les-renes-

    En 2012, GDF Suez-Electrabel devra payer 550 millions d’euros, et non plus 250 millions, sur les superbénéfices qu’elle réalise sur le dos du consommateur, grâce à des centrales amorties. C’est le montant dont les négociateurs ont convenu lundi. Avec ce montant, ils sont d’ailleurs loin de demander le maximum. D’après les récents calculs du régulateur de l’électricité, la CREG, le montant de la rente varie entre 1,7 et 2,3 milliards d’euros (selon qu’elle est calculée sur la base du prix avantageux appliqué aux grands utilisateurs industriels ou sur la facture totale de l’électricité que tous les consommateurs supportent conjointement). GDF Suez-Electrabel peut encore en retirer une marge bénéficiaire « raisonnable » de 450 millions d’euros. On arrive ainsi à une rente de minimum 1,25 milliards. Avec la taxe de 550 millions, le groupe énergétiques s’achète à un "prix d’ami", le droit de continuer à tirer profit de centrales nucléaires amorties pendant une année encore.

    Ce n’est pourtant pas l’avis de GDF Suez-Electrabel qui menace de porter l’affaire devant les tribunaux.

  • Eric De Keuleneer : Suite à ma note sur la rente nucléaire du 27 mai dernier, j’ai revisité quelques chiffres anciens pour reconstituer d’une autre façon les mystérieux et plantureux bénéfices d’#Electrabel en #Belgique.
    http://www.dekeuleneer.com/2011/10/suite-ma-note-sur-la-rente-nucleaire-du.html

    Les #bénéfices en production en 2000 devaient ètre de l’ordre de 500 millions (on dispose de chiffres pour l’activité Production et Transport combinée). Si on ajoute 2 millards entre temps, on arrive aujourd’hui à environ 2,5 milliards, à quoi il faut ajouter plusieurs centaines de millions qu’Electrabel obtient d’Elia pour assurer le back-up du réseau, avec la station de pompage de Coo, entièrement payée par les consommateurs belges. Bref, ici aussi, on est entre 2,5 et 3 millards d’euros de profit annuels. Electrabel déclare 850 millions de bénéfices, et refuse de s’en expliquer.

    Face à une éventuelle #taxation de ces bénéfices au titre de l’abus de la #rente_nucléaire payée par le consommateur, la maison-mère d’Electrabel, #GDF-Suez s’offusque et menace de quitter la Belgique( comme si on quittait sa vache à lait). Il faut savoir que GDF-Suez doit absorber des pertes considérables (probablement plus d’1, voire 2 millards par an) en France du fait du blocage des prix du gaz. Ces ponctions considérables du fait de décisions du gouvernement français semblent beaucoup moins émouvoir la direction du GDF-Suez.