company:facebook

  • De Visa à Uber ou Free, Facebook obtient des alliés de poids pour sa cryptomonnaie
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/06/14/de-visa-a-uber-ou-free-facebook-obtient-des-allies-de-poids-pour-sa-cryptomo

    L’entreprise de Mark Zuckerberg doit annoncer mardi les détails de « libra », une « monnaie » qui sera lancée avec une vingtaine de partenaires mi-2020. Facebook a réussi à convaincre des entreprises importantes de tenter l’aventure de sa cryptomonnaie, « libra ». Parmi celles-ci figurent deux poids lourds du paiement – le système de carte bancaire Visa-Mastercard et le service en ligne PayPal –, mais aussi les transporteurs Uber et Lyft ou encore des fournisseurs de service comme le site de réservation (...)

    #Free #Visa #Facebook #WhatsApp #Messenger #domination #cryptomonnaie

  • Facebook Plans Outside Foundation to Govern Cryptocurrency
    https://www.theinformation.com/articles/facebook-plans-outside-foundation-to-govern-cryptocurrency

    Facebook plans to cede control of its forthcoming cryptocurrency to outside backers, a move meant to encourage trust in the digital payment system and reassure financial regulators, The Information has learned. In recent months, the social network has courted dozens of financial institutions and other tech companies to join an independent foundation that will contribute capital and help govern the digital currency, according to people briefed on the plan. The digital token, which Facebook (...)

    #cryptomonnaie #Facebook #domination

  • Anne Tercinet : « Entreprises et consommateurs victimes d’abus de position dominante demanderont réparation des préjudices subis »
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2019/06/14/anne-tercinet-entreprises-et-consommateurs-victimes-d-abus-de-position-domin

    Si les autorités de la concurrence restent limitées à infliger des amendes, ce sont les actions en justice des consommateurs lésés par les abus de position dominante qui pourraient inquiéter les GAFAM, explique, dans une tribune au « Monde », la professeure de droit. La puissance de Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft (GAFAM) est mondiale. Tout du moins, les situations de monopole dont ces entreprises jouissent dans l’économie numérique affectent l’ensemble du monde occidental - la Chine (...)

    #Alibaba #Apple #Google #Microsoft #Tencent #Xiaomi #Amazon #Alibaba.com #Facebook #Baidu #procès #domination #BATX (...)

    ##GAFAM

  • Le vent tourne pour les Gafa
    https://www.alternatives-economiques.fr/vent-tourne-gafa/00089624

    Distorsion de concurrence, évitement fiscal, manipulation de l’opinion... Les autorités américaines semblent ne plus vouloir laisser le champ libre aux géants du numérique. La Silicon Valley fourbit ses armes. Après avoir longtemps laissé leur domination prospérer sans entrave, les pouvoirs publics américains semblent décidés à s’attaquer aux géants du numérique, Google, Apple, Facebook et Amazon, souvent désignés sous l’acronyme Gafa (Gafam si l’on y ajoute Microsoft). Le 31 mai dernier, la presse (...)

    #Apple #Google #Microsoft #US_Department_of_Justice_(DoJ) #Amazon #Facebook #manipulation #taxation #domination #GAFAM (...)

    ##US_Department_of_Justice__DoJ_ ##FTC

  • Pour féminiser leur séminaire, des entrepreneurs de la Silicon Valley « photoshopent » deux femmes | www.cnews.fr
    https://www.cnews.fr/monde/2019-06-13/pour-feminiser-leur-seminaire-des-entrepreneurs-de-la-silicon-valley-photoshop

    Néanmoins, ce cliché monté de toutes pièces étaye les accusations que l’on porte régulièrement à la Silicon Valley, surnommée « la Vallée des hommes ». Il montre le manque de parité dans les instances de direction des groupes technologiques. En quelques chiffres, seuls 27% des cadres supérieurs sont des femmes chez Facebook, ou encore, seulement 6% de femmes sont à la tête des 150 plus importantes entreprises de la Silicon Valley, selon l’étude « Gender Diversity » de Fenbwick and West, publiée en 2017.

  • Planning de la Manifestation des Gilets jaunes à Paris le samedi 15 juin 2019
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/16137-planning-de-la-manifestation-des-gilets-jaunes-a-paris-le-samedi-15

    Manifestation à Paris des Gilets jaunes

    Acte 31 - samedi 15 juin

    https://paris.demosphere.net/rv/71251

    Attention : cette page évolue en permanence.

    Les événements Facebook changent souvent (lieux, horaires) et sont parfois supprimés. Certains n’indiqueront le lieu qu’au dernier moment. Nous mettons ces informations à jour régulièrement, ici, sur Démosphère.

    Les principaux rendez-vous Gilets jaunes :

    Bastille : rendez-vous à 9h, départ vers 11h30 « Acte 31 : contre la baisse du pouvoir d’achat et contre la misère grandissante » « Les femmes en tête » Manifestation déclarée par Inda Inda, JC Valentin et N. Ben Farhat Trajet résumé : Bastille > Daumesnil > Place des Fêtes > Stalingrad > Pl. Clichy > Pl. Wagram > Pl. du Marechal Juin (voir carte à droite) Voir trajet détaillé (...)

    #En_vedette #Actualités_françaises

  • Un appel organisationnel #gilet_jaune au fond d’un commentaire sur là-bas.org

    https://la-bas.org/la-bas-magazine/entretiens/le-boxeur-des-gilets-jaunes#forum80806

    Le 12 juin à 14:54, par Miru Giru
    Il est temps de savoir quelles sont les priorités que souhaitent voir aboutir les Gilets Jaunes. Leur donner la parole pour qu’ils puissent s’exprimer librement et que se dégage un plan de réflexion sur les sujets souhaités. Les 10, 20, 50 ou plus propositions de réflexions se dégageant comme prioritaires devront ensuite être étudiés par un groupe de travail. Composé de membres qui seront élus ou tirés au sort, accompagnés de personnalités maîtrisant le sujet et qui n’appartiennent pas au système (partis politique, syndicats, etc.) , eux-mêmes validés par tous les membres du mouvement qui le souhaitent.
    L’organisation d’un tel système est relativement simple, des sites Web protégés pour l’élaboration des sujets, leurs avancements et les votes. Facebook pour les informations et les demandes d’actions. Des lieux de rencontre pour les groupes constitués sur un sujet afin de débattre, se faire conseiller par des spécialistes, voter et rendre compte au plus grand nombre pour accord. Les votes dans les groupes d’études ne se faisant jamais à main levée, mais à bulletin secret pour éviter que des votants soient intimidés ou influencés par d’autres votants. Ce schéma d’organisation dit lui-même être réfléchi, modifié et approuvé.

    #gilets_jaunes

  • La surveillance, stade suprême du capitalisme ?
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2019/06/14/la-surveillance-stade-supreme-du-capitalisme_5476001_3232.html

    Bientôt un autre regard critique sur le concept de capitalisme de surveillance : parution à l’automne du livre de Christophe Masutti qui fait l’archéologie du concept et replonge dans l’évolution sur cinquante ans du traçage informatisé. Chez C&F éditions, évidemment ;-)

    Depuis vingt ans, un capitalisme mutant mené par les géants du Web s’immisce dans nos relations sociales et tente de modifier nos comportements, analyse l’universitaire américaine Shoshana Zuboff dans son dernier ouvrage. Mais son concept de « capitalisme de surveillance » ne fait pas l’unanimité.

    Shoshana Zuboff a été l’une des premières à analyser la manière dont l’informatique transformait le monde du travail. Cette pionnière dans l’étude détaillée des bouleversements du management s’est félicitée, au départ, de l’arrivée de « travailleurs du savoir ». Elle a perçu très tôt que l’extension d’Internet et la généralisation des ordinateurs personnels permettraient de fonder une « économie nouvelle » capable de répondre aux besoins des individus et de renforcer le pouvoir des consommateurs.

    Puis elle a été terriblement déçue. En janvier, Shoshana Zuboff a résumé ses craintes dans The Age of Capitalism Surveillance (Public Affairs, non traduit).

    La presse anglo-saxonne, du libéral Wall Street Journal au très à gauche The Nation, du Guardian à la New York Review of Books, mais aussi l’anticapitaliste Naomi Klein et le professeur de communication Joseph Turow, ont salué ce livre comme un essai majeur.
    « Chef-d’œuvre d’horreur »

    Le titre, « L’Age du capitalisme de surveillance », en annonce le concept : en vingt ans, « sans notre consentement significatif », un capitalisme mutant mené par les géants du Web – Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft (Gafam) – s’est immiscé dans nos relations sociales et introduit dans nos maisons – « de la bouteille de vodka intelligente au thermomètre rectal », résume Shoshana Zuboff.

    Un de ses concepts centraux est, assure l’universitaire dans son essai, la notion de « surplus de comportement » : les Gafam, mais aussi les opérateurs de téléphonie comme AT&T ou les sociétés de l’Internet des objets et de la « smart city », ne se contentent pas de collecter les données d’usage et de service : ils intègrent dans les pages en réseaux et dans les machines intelligentes des dispositifs d’espionnage invisible. Ils repèrent ainsi, grâce aux algorithmes, nos habitudes les plus intimes. Ils reconnaissent nos voix et nos visages, décryptent nos émotions et étudient leur diffusion grâce à l’« affective computing » afin de capter « la totalité de l’expérience humaine en tant que matière première gratuite ».

    Ces masses de données comportementales sont revendues comme des « produits de prévision » extrêmement lucratifs. « Vous n’êtes pas le produit, résume Shoshana Zuboff, vous êtes la carcasse abandonnée de l’éléphant traqué par des braconniers ! »
    « Un contrat faustien »

    La logique de cette traque mène à ce qu’elle appelle l’« instrumentarianism » (« l’instrumentalisation ») : la capacité de modeler les comportements en vue d’obtenir « des résultats rentables », voire d’« automatiser » les conduites.

    « Il est devenu difficile d’échapper à ce projet de marché dont les tentacules s’étendent des innocents joueurs de Pokémon Go dirigés vers les bars et les magasins qui paient pour les attirer à l’impitoyable exploitation des profils Facebook à des fins d’orientation de comportement individuel » – et ce « en cliquant oui à l’achat de nouvelles chaussures de sport proposé après votre jogging du dimanche matin », ou en ciblant « votre vote de fin de semaine », comme on l’a vu pendant l’affaire Cambridge Analytica, la société de conseil dont le slogan proclame « Data drives all we do » (« Les données déterminent tout ce que nous faisons »). « Ils veulent notre âme, conclut Shoshana Zuboff. Nous avons signé avec eux un contrat faustien. »

    Depuis sa sortie, « L’Age du capitalisme de surveillance » reçoit une volée de critiques. Dans The Nation, Katie Fitzpatrick, professeure de pédagogie à l’Université d’Auckland, estime que le « sombre constat » de Shoshana Zuboff est justifié mais qu’elle « échoue dans son analyse politique » car elle est aveuglée par la confiance qu’elle accorde aux capacités démocratiques du libéralisme. « Nous n’avons pas besoin d’une nouvelle théorie politique alarmiste pour comprendre ce qui se passe », conclut-elle.

    Pour le spécialiste du numérique Evgeny Morozov, auteur du Mirage numérique (Les Prairies ordinaires, 2015), l’analyse de Shoshana Zuboff, qui est d’autant plus dérangeante qu’elle a travaillé pour « deux bastions du techno-optimisme », Fast Company et BusinessWeek, insiste trop sur la surveillance et pas assez sur le capitalisme : « En considérant le capitalisme de surveillance comme notre nouveau Léviathan invisible, elle rate la manière dont le pouvoir fonctionne depuis plusieurs siècles : le Léviathan invisible est avec nous depuis longtemps. »

    #Capitalisme_surveillance #Shoshana_Zuboff

  • Je n’arrive pas à comprendre d’où sort cette « analyse » des motivations des gros mécènes. Ça repose sur quoi ? (Alors pour les amateurs de fake news : c’est France Info, mais il n’y a pas d’auteur qui signe l’article, ce n’est pas une citation pour faire reposer l’analyse sur un quelconque expert, il n’y a même pas de conditionnel de précaution, et rien dans la tournure ne laisse supposer que c’est un point de vue un tantinet subjectif quant aux motivations prêtées aux mécènes. Je ne suis pas un fan de ces « plus gros mécènes », mais là c’est niveau Facebook, ce genre de paragraphe.)

    https://www.francetvinfo.fr/culture/patrimoine/incendie-de-notre-dame-de-paris/seulement-9-des-promesses-de-dons-pour-notre-dame-de-paris-ont-ete-vers

    Pour les plus gros mécènes, la famille Arnault et son groupe LVMH, avec 200 millions d’euros, la famille Pinault avec 100 millions, les fonds seront envoyés petit à petit, en fonction du devis de la reconstruction.

    De cette manière, ils donneront quand ils veulent, pour telle ou telle partie du chantier. Cela leur permet aussi d’éviter que l’État fasse fructifier leurs centaines de millions d’euros en les plaçant avant que les travaux ne soient lancés.

  • J’ai (enfin) découvert pourquoi des marques inconnues me ciblaient sur Facebook
    https://www.numerama.com/tech/508381-jai-enfin-decouvert-pourquoi-des-marques-inconnues-me-ciblaient-sur

    Dans une première enquête publiée en avril, nous avions tenté de comprendre d’où venaient les données servant au ciblage publicitaire sur Facebook. 4 mois après le début de cette vaste quête, nous avons enfin quelques réponses. Depuis le mois de février, je cherche à savoir quelle entreprise a récupéré mes données personnelles afin de faire du ciblage publicitaire sur Facebook. Dans un premier article publié le 25 avril — et que je vous invite à aller lire avant de poursuivre –, je vous racontais ce qui (...)

    #Facebook #publicité #BigData #marketing #[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données_(RGPD)[en]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR)[nl]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR)

    ##publicité ##[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données__RGPD_[en]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_[nl]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_
    //c0.lestechnophiles.com/www.numerama.com/content/uploads/2019/06/facebook-donnees.jpg

  • Facebook paie les internautes pour avoir accès à leur smartphone
    https://www.numerama.com/tech/525773-facebook-paie-les-internautes-pour-avoir-acces-a-leur-smartphone.ht

    Facebook Study est une application qui propose de rémunérer les internautes qui lui autorisent de regarder ce qu’ils font sur leur smartphone. Un deal en apparence anodin, mais qui soulève quelques questions. Facebook n’est jamais à court d’idée quand il s’agit d’amasser des données. La dernière en date s’appelle Study. C’est une application qui autorise le réseau social à voir ce que vous faites sur votre smartphone : quelles sont les applications installées, quels usages en ont les internautes (temps (...)

    #Facebook #BigData #données #profiling #FacebookStudy

    //c1.lestechnophiles.com/www.numerama.com/content/uploads/2019/06/study-facebook.png

  • Surveillance Company Cellebrite Finds a New Exploit : Spying on Asylum Seekers
    https://privacyinternational.org/long-read/2776/surveillance-company-cellebrite-finds-new-exploit-spying-asylu

    Cellebrite, a surveillance firm marketing itself as the “global leader in digital intelligence”, is marketing its digital extraction devices at a new target : authorities interrogating people seeking asylum. Israel-based Cellebrite, a subsidiary of Japan’s Sun Corporation, markets forensic tools which empower authorities to bypass passwords on digital devices, allowing them to download, analyse, and visualise data. Its products are in wide use across the world : a 2019 marketing brochure (...)

    #Cellebrite #smartphone #migration #hacking #sécuritaire #surveillance #PrivacyInternational

  • Netblocks suit les interruptions de services sur internet au Venezuela, concomitantes aux interventions de Juan Guaidó. Ici, les coupures au moment du coup d’état raté du 30 avril.

    Internet services restricted in Venezuela amid uprising - NetBlocks
    https://netblocks.org/reports/internet-services-restricted-in-venezuela-amid-military-uprising-xAG4RGBz

    Network data shows that Venezuela’s state-run internet provider ABA CANTV (AS8048) has restricted access to Twitter, Periscope, YouTube, Facebook and several other services after Juan Guaidó used Twitter to announce the final phase of Operation Freedom from the perimeter of a military base in La Carlota. The project, which has reportedly gained the support of defectors from the military, has the stated goal of reinstating democratic establishments in Venezuela.

    Access to each of the services remains intermittently available as the restrictions do not appear to be 100% effective, matching the patterns of network outage observed in previous nationwide censorship incidents.

    With WhatsApp servers already unstable, Telegram messenger’s web interface and website have become fully unreachable for users of Venezuela’s state-run internet provider as of 21:00 UTC (17:00 VET). The two applications have been used extensively by Venezuelans to keep track of the situation in the country. Telegram includes blocking countermeasures which can allow the mobile version of the app to continue working:

    Internet access was finally restored towards the end of Tuesday, 20 minutes prior to a live-streamed speech by Nicolás Maduro:
    https://twitter.com/netblocks/status/1123402465007874049/photo/1

  • Right-Wing Sting Group Project Veritas Is Breaking Facebook’s “Authentic Behavior” Rule. Now What ?
    https://theintercept.com/2019/06/11/facebook-rules-project-veritas

    A member of Project Veritas gave testimony in a federal court case indicating that the right-wing group, known for its undercover videos, violates Facebook policies designed to counter systematic deception by Russian troll farms and other groups. The deposition raises questions over whether Facebook will deter American operatives who use the platform to strategically deceive and damage political opponents as vigorously as it has Iranian and Russian propagandists. But is the company capable (...)

    #Facebook #YouTube #manipulation

  • Débat #11 - Un autre web est-il (encore) possible ?
    https://www.youtube.com/watch?time_continue=60&v=nubj3jP44Yk

    Il y a 30 ans, naissait le web, un système hypertexte public reposant sur internet, avec lequel on le confond souvent. Le web est en réalité une des nombreuses applications d’internet comme peut l’être le mail. En quelques années, les trois « w » changent le monde, les rapports entre les gens, les Etats, les entreprises et le commerce lui-même. Emergent alors les géants qu’on ne présente plus : Yahoo !, Amazon, Internet Explorer, Wikipedia, Facebook, Google et les autres, pour ne parler que de (...)

    #Google #Altaba/Yahoo ! #Amazon #Facebook #Wikipedia #Explorer #solutionnisme #domination (...)

    ##Altaba/Yahoo_ ! ##Explorer_ ##Chaos_Computer_Club

  • La politique, entre cahots et chaos
    https://plus.lesoir.be/229346/article/2019-06-08/la-politique-entre-cahots-et-chaos

    Dans « Les ingénieurs du chaos » (éd. Lattès), Giulano Da Empoli décortique la manière dont des ingénieurs ont pris le contrôle d’Internet et des réseaux sociaux pour en faire des outils ultra-performants au service de partis populistes et d’opportunistes politiques prêts à tout pour vendre leur soupe… Da Empoli commence par le rappel de la folie du carnaval romain, durant lequel le monde se retrouve littéralement sens dessus dessous, cul par-dessus tête, carnaval et processus de renversement qui se (...)

    #Google #Facebook #algorithme #manipulation #élections #BigData #publicité #GAFAM #marketing

    ##publicité

  • Uber and Lyft Are Doomed - Shelly Palmer
    https://www.shellypalmer.com/2019/06/uber-lyft-doomed

    Was bleibt als Aussicht für Taxifahrer?

    Die Voraussagen des Unternehmensberaters Shelly Palmer über die Zukunft von Lyft und Uber decken sich mit den Schlußfolgerungen, zu denen man bei Betrachtung des internationalen und deutschen Taxi- und Mietwagenmarktes kommt:

    Entweder kaufen Uber und Lyft die Autokonzerne oder die Autokonzerne kaufen die Vermittlungsplattformen.

    Wir beobachten einerseits Milliarderinvestitionen von Toyota in Uber und nicht ganz so große Milliardeninvestitionen der deutschen Autobauer in Mytaxi und andere Mobilitäts-Startups. Auf der anderen Seite kauft Uber durch Mittelsmänner Mietwagenunternehmen, um den deutschen Taxi-Markt zu übernehmen.

    Palmers Überlegungen beruhen auf einer einfachen und sehr plausiblen Analyse der zukünftigen Profitmöglichkeiten. Er hat Recht mit der Schlußfolgerung, dass die Mobilitätsvermittler auf Dauer nur mit ähnlichen, vergleichsweise niedrigen Gewinnen rechnen können, wie sie Taxi- und Mietwagenunternehmen heute erwirtschaften. Aus diesem Grund werden die Vermittler in absehbarer Zeit von den Automobilkonzernen geschluckt oder umgekehrt, was volkswirtschaftlich gesehen auf das Gleiche hinausläuft.

    Eine andere These lautet, dass die Absicht mit Uber Profit zu machen nur vorgeschoben ist, um die wahren Absichten der Konzern-Geldgeber zu verschleiern. Sie würde zu vollkommen anderen Vorhersagen führen.

    Diese Phantomas-These, bei der es um Weltherrschaft um jeden Preis geht, trifft vielleicht sogar bei manchen Uber-Machern zu, verrückt genug dafür sind einige unter ihnen. Die revolutionäre Umgestaltung und vollkommene Beherrschung der Welt nach dem Uber-Modell wird sich jedoch kaum langfristig verwirklichen lassen, weil sie im Widerspruch zu den Gesetzen des kapitalistischen Wirtschaftsprozeß steht. Palmers Analyse ist eine Anwendng dieser Erkenntnis. Auf Nebenkriegsschauplätzen können die Dollarmilliarden, die für solche megalomanischen Pläne eingesetzt werden, jedoch großen Schaden anrichten.

    Was bedeuten diese absehbaren Entwicklungen für Taxifahrer und -unternehmer in Deutschland?

    Im besten Fall gelingt es Politik und Gesellschaft, sich gegen das Uber-Gesellschaftsmodell zusammenzuschließen, eine gerechtere Verteilung von Macht und Wohlstand zu verhandeln, wobei ausländische wie inländische Markt-Extremisten ihres Besitz verlustig gehen. Dann hätten Klein- und mittelständische Taxiunternehmer wieder eine Chance, gutes Geld zu vedienen und ihre Fahrer könnten höhere Löhne einfordern, da der Mindestlohnsektor staatlich abgeschafft würde. Im Prinzip ist das kein Problem, da er auch staatlich beschlossen und eingeführt wurde. Das wäre nach dem Geschmack der sozialliberalen Strömungen in Linkspartei, SPD, Grünen und einiger FDP-Methusalems und wird nicht passieren.

    Nicht einmal die lautstarkt protestierenden Taxiunternehmer schreiben sich gesellschaftliche Änderungen auf ihre Fahnen, sondern fordern einfach „fairen Wettbewerb“ für alle Marktteilnehmer. Den werden sie kriegen, und wir wissen auch wie es ausgeht, wenn Großkonzerne ihre Marktanteile in „fairem Wettbewerb“ auf Kosten kleiner und mittelständischer Unternehmen vergrößern. Die Tante-Emma-Läden sind tot, sogar das zunächst kleingewerbliche Bio-Segment wird heute von Handelskettfen beherrscht. Bäckermeister, die vom Verkauf ihres Brots im eigenen Laden leben, haben ebenfalls seit den 1970ger Jahren Exotenstatus.

    Alle die im Taxi, um das Taxi und um das Taxi herum Geld verdienen wollen, müssen sich auf den selben Verdrängungsprozess einstellen, egal ob heute Minister Scheuers Eckpunkte Gesetz werden oder nicht. Es geht um große technologische, politische und finanzielle Entwicklungen. Das deutsche Taxigewerbe ist heute besonders in den Großstädten ein absehbar schrumpfendes, das gleichzeitig immer mehr Autos mit immer schlechter bezahlten Fahrern auf die Straße bringt.

    Angestellte Fahrer haben Anspruch auf den gesetzlichen Mindestlohn, der ihnen von ihren Chefs verweigert wird.

    Selbstfahrende Unternehmer erwirtschaften weniger als dem gesetzlichen Mindestlohn entsprechen würde, wenn alle Arbeitszeiten für Wartung und Verwaltung in Anschlag gebracht und die Kosten der Kranken- Renten und Pflegeversicherung berücksichtigt werden.

    Mehrwagenunternehmer verdienen gutes Geld nur noch, wenn sie computeroptimierte Methoden für Arbeitszeitbetrug nutzen und zusätzlich Steuern und Sozialabgaben hinterziehen. Außerdem benötigen sie ein zweites wirtschaftliches Standbein mit hohen Profitmargen, für das der Betrieb von Taxis of genug die Grundlage ist.

    Das Taxigewerbe wie wir es kennen wird verschwinden und mit ihm die mittelständischen Vermittlungen. Nur eine kleine Gruppe von hochmotivirten und qualifizierten Unternehmen und Fahrern wird einen Nischenmarkt abdecken und in Konkurrenz zu Mietwagen und Tourismusunternehmen überleben.

    Für die Taxifahrerinnen und -fahrer, allein in Berlin dürften es um die 16.000 sein, sieht die Zukunft schlecht aus. Sie werden nach und nach auf andere Tätigkeiten umsatteln und, wenn ihnen das aufgrund von Alter oder mangelnder Qualifikation nicht gelingt, auf Dauer von Sozialhilfe und familiärer Unterstützung leben müssen.

    Bei den kommenden Verwerfungen ist der einzige Freund und Unterstützer der Taxifahrer ihre Gewerkschaft. Wohl denen, die klug genug sind, Mitglied bei Ver.di zu sein. Sie können mitreden und Einfluß nehmen, im Betrieb und bei der Gestaltung der gesellschaftlichen Änderungsprozesse.

    Es ist an Staat und Gesellschaft, Beratungs- und Umschulungsmöglichkeiten zu schaffen, für Ausstiegsszenarien und Mindestrenten zu sorgen, die ihnen ein würdiges Leben ermöglichen. Vielleicht gelingt es ja, die Gewinner zur Finanzierung des Lebens ihrer Opfer zu bewegen. Im Vergleich zu den absehbaren Profiten würde es sie nur die berühmten Peanuts kosten.

    Autonomous vehicles (AVs) are about to dramatically change the world of on-demand car services. Viewed through that lens, Uber and Lyft’s current business models are doomed to fail. Think about this…
    Big IPOs

    Uber and Lyft, the two biggest US-based on-demand car service companies, went public this year. Uber posted a $1 billion loss on revenue of $3.1 billion. That loss was in line with the company’s forecast, as Uber has called 2019 an “investment year.” Uber reported that costs were up 35% in the quarter (due in large part to the ramp-up to the IPO), but noted that gross bookings (total value of rides before expenses) were up 34%, YoY. Lyft posted quarterly losses of more than $1 billion, as it found itself, similar to Uber, in “its most money-losing year yet.” Lyft reported a loss of $1.14 billion (compared with a loss of $234.3 million in the same quarter last year), primarily due to the $894 million charge for stock-based compensation. Revenue was up 95% (to $776 million). In both cases, the market seems to have priced the expected losses into the share prices.
    The Theoretical Economics of AVs

    In theory, it costs approximately $2 per mile to put a human driver behind the wheel of a car service car. This number varies depending on a known number of variables such as the driver’s commission structure, price of insurance, time the driver is willing to spend driving, density of population in the covered area, average length of a ride, prevailing competitive landscape, and other factors.

    In theory, it will cost approximately 30 cents per mile to have an AV do the same job.

    These financial assumptions are generally espoused at conferences and summits by pundits and experts in the automotive industry. I’ve taken an average, and I’m sure the actual numbers are wrong, but let’s agree that the ratio of human cost-per-mile to AV cost-per-mile will be very large (the actual number won’t matter for this argument).

    At first glance, an extra $1.70 per mile seems irresistible. An 85 percent uptick in gross profit would get anyone’s attention. But there is more to the story.
    The On-Demand Cliché

    How many times have you heard someone say something like, “The world’s largest taxi firm, Uber, owns no cars. The world’s most popular media company, Facebook, creates no content. The world’s most valuable retailer, Alibaba, carries no stock. And the world’s largest accommodation provider, Airbnb, owns no property”?

    Meta-services like those mentioned above take advantage of inefficiencies in existing marketplaces. Uber’s first mission was to utilize the time black car drivers wasted waiting for a fare. Uber priced the service between yellow cabs and black cars, and it worked so well, Uber needed more drivers – so it invented a supply chain.

    Today, if you have a car and a commercial driver’s license and you can prove you are not an axe murderer, you can become an Uber driver. Both Lyft and Uber pivoted, and their business models have significantly changed.
    Meta-Service vs. Fleet Ownership

    The future of on-demand car services is said to include fleets of AVs. You can choose your own timeline. My guess (which will be as bad as yours) is more than three years and less than 10.

    Let’s assume that Uber and Lyft have become the de facto ways to get from place to place in certain areas and the companies need to purchase (or lease) 200,000 AVs to augment their human-driven fleets. (Again, choose any large number of AVs; it won’t matter for this argument).

    Owning a car is quite different from paying for a percentage of someone’s time because that person has a car and chooses to drive it for you. When you own the car, you are responsible for fuel, insurance, maintenance, loan or lease payments, storage when not in use (parking, charging, etc.) – the list goes on and on.

    All of a sudden, an on-demand car service transforms from a meta-service profiting from inefficiencies in the marketplace to a good, old-fashioned rental car fleet with some software that makes short-term, point-to-point rentals (on-demand rides) possible.

    If you want to understand the economics of owning a fleet of vehicles, you don’t have to work very hard. It’s a mature business, and no publicly traded fleet owner is enjoying valuations that are anything like an 8x-plus multiple on revenue.
    Strategies for the Future

    There’s a lot to love about on-demand car service! I love Uber and Lyft. I use them multiple time each day. The services are outstanding. You rate the drivers; the drivers rate you. The cars are clean. Most drivers use Waze, so directions are not an issue.

    That said, I’m not sure how long it can last. Prices are artificially low because in certain markets there are subsidized price wars. There is zero loyalty because the services are completely undifferentiated. If Uber says 14 min and Lyft says 5 min, you cancel Uber and go with Lyft. If Lyft turns out to then really say 12 min, you open Uber and check again. And on and on. Any car you get is likely to have both a Lyft and an Uber sticker in the window, which is the definition of undifferentiated.

    So, future strategies will have to include all kinds of other on-demand services or some as yet undefined strategic direction. Or perhaps something different will happen.
    My Best Guess

    I think Uber and Lyft will get acquired – or simply replaced – by Big Auto (BMW, Daimler, Ford, or GM, for example). Here’s why.

    Big Auto already has a nationwide dealer network to store and maintain a massive fleet of AVs. There are car dealerships in every town in America. Big Auto manufactures the vehicles, so ride-sharing or on-demand service (short-term rentals) is actually a great way to maximize the profit on any particular vehicle. Why sell it once at the lowest possible price through a two-step distribution model when you can rent it over and over again at a profit?

    For Uber and Lyft to accomplish the same thing, they would have to pay the full markup on the purchase (Big Auto knows how to sell fleet vehicles). Uber and Lyft would get a discount for volume, but nothing like the margins Big Auto could accomplish for itself. Then, the on-demand car services are going to have to acquire the infrastructure to store and maintain the vehicles. Where will that money come from? I just don’t see Uber and Lyft transforming from meta-services to fleet owners in a profitable way. But the path for Big Auto seems clear.

    When will this happen? I don’t know, but the current business models for Uber and Lyft are probably not sustainable. Funding their AV evolution looks even less likely. On the other hand, perhaps Uber or Lyft will purchase one of the Big Auto manufacturers. That would take the word “disruption” to another level entirely.

    ##Uber #disruption

  • Missing Link : Vom Tiananmen-Massaker zur Netzzensur und digitalen Massenüberwachung in China | heise online
    https://www.heise.de/newsticker/meldung/Missing-Link-Vom-Tiananmen-Massaker-zur-Netzzensur-und-digitalen-Massenueberwa

    Enfin un nouveau hashtag bien chinois : #4689 est un synonyme pour l’intervention militaire sur la place Tian’an Men le 4 juin 1989.

    Von Stefan Krempl

    Der Großteil der Welt gedachte am Dienstag öffentlich dem 30. Jahrestag des blutigen Endes des überwiegend friedvollen Kampfs tausender chinesischer Studenten für mehr Demokratie und Freiheit auf dem Tiananmen-Platz in Peking. Mehrere tausend überwiegend junge Bürger hatten den zentralen Versammlungsort 1989 im Frühjahr zu Glasnost-Zeiten in der befreundeten Sowjetunion einige Wochen lang besetzt und unter anderem gegen die politischen und personellen Folgen der von Mao Zedong losgetretenen Kulturrevolution demonstriert. Die Regierung unter Deng Xiaoping hatte lange darüber gebrütet, wie sie auf die massiven Proteste reagieren sollte. Letztlich setzten sich die Hardliner der Kommunistischen Partei (KP) durch.

    Die angespannte Stimmung kippte Anfang Juni, als das Regime schier aus allen Landesteilen Truppen zusammenzog und mit Panzern ins Zentrum der Hauptstadt lotste. Aus Depeschen der US-Botschaft, die Wikileaks veröffentlicht hat, geht hervor, dass die Menge versuchte, das Militär noch vor dem „Platz des Himmlischen Friedens“ zu stoppen und Fahrzeuge der Streitkräfte sowie der Polizei anzugreifen. Studenten hätten erbeutete Waffen und militärische Ausrüstung zur Schau gestellt, heißt es in den Drahtberichten für Washington. Im Rahmen der Rangeleien sei es in der hitzigen Stimmung am Nachmittag des 3. Juni auch zu einem ersten „begrenzten Angriff mit Tränengas“ gekommen.

    In den frühen Morgenstunden des 4. Juni erreichte der Großteil der herbeigeorderten Soldaten schließlich die Gegend rund um den Platz und machte Anstalten, diesen gewaltsam zu räumen. Den Autoren der Depeschen zufolge, die sich auf Augenzeugen vor Ort berufen, hatten die Studenten Müll und Zeltreste zumindest auf ein gepanzertes Fahrzeug geworfen und in Flammen gesetzt. Mindestens ein Bus habe ebenfalls gebrannt. Truppen und Einsatzkräfte der Polizei sollen vor allem am Tiananmen-Südende positioniert gewesen und zudem von westlicher Seite aus angerückt sein.
    Luftschüsse und Flammenwerfer

    Aus chinesischen Geheimdokumenten geht anderen Berichten nach hervor, Deng Xiaoping selbst habe Order gegeben, dass es auf dem Friedensplatz selbst kein Blutvergießen geben dürfe. Das vorgerückte Truppenkommando soll den verbliebenen rund 3000 Studenten einen Korridor für den Abzug zum Südrand hin eröffnet haben. Ein UPI-Korrespondent wird mit der Angabe zitiert: „Die Soldaten feuerten über unsere Köpfe, um uns Angst zu machen.“ Dies deckt sich mit den US-Botschaftsmeldungen, die von Luftschüssen und Flammenwerfern sprechen.

    Auf den Straßen und Kreuzungen rund um den Tiananmen zeigte die Staatsmacht dann weniger Zurückhaltung und die gewalttätigen Auseinandersetzungen sowie das Blutbad nahm dort seinen Lauf. Die chinesische Regierung erklärte Ende Juni 1989, beim Niederschlagen der „konterrevolutionären Aufstände“ seien 200 Zivilisten und mehrere Dutzend Sicherheitskräfte getötet worden. Menschenrechtsorganisationen schließen nicht aus, dass es insgesamt mehrere tausend Tote gegeben hat. Tausende Demonstranten landeten zudem in Gefängnissen oder Arbeitslagern.

    Der chinesische Verteidigungsminister Wei Fenghe erklärte kurz vor dem Jahrestag auf einer Sicherheitskonferenz in Singapur, es habe sich um politische Unruhen gehandelt, die der Staat habe bezwingen müssen. Wegen dieser Linie „ist China stabil“. Es sei ihm nicht begreiflich, wieso Peking noch immer mit dem Vorwurf konfrontiert werde, „den Vorfall nicht korrekt gehandhabt zu haben“.
    Der „Panzermann“

    Im kollektiven Gedächtnis des Westens sind vor allem Fotos und Videoaufnahmen eines namenlosen Mannes haften geblieben, der sich mit Taschen und Tüten in den Händen am 5. Juni auf einer sonst weitgehend menschenleeren, recht breiten Straße am Rande des Platzes einem Panzerkonvoi entgegenstellte. Als das erste schwere Militärfahrzeug um ihn herumfahren will, springt er diesem immer wieder vor die Haubitze. Schließlich steigt er auf das schwere Gefährt und spricht über eine Luke mit den Insassen. Kaum ist er abgestiegen, geht das Katz-und-Maus-Spiel von vorne los, bis ihn von der Seite kommende Zivilisten unterhaken und in beschützender Manier wegdrängen.

    Das weitere Schicksal des „Panzermanns“ ist ungeklärt. US-Berichten zufolge handelte es sich um einen Studenten, der kurz nach dem Vorfall hingerichtet worden sein soll. Laut anderen Einschätzungen könnte es sich auch um einen empörten Bürger gehandelt haben, der seinen spontanen Auftritt gegenüber der „Volksbefreiungsarmee“ überlebt habe und in der Anonymität der Masse untergetaucht sei. Ein Bild einer „Panzerformation“ aus Gummi-Enten schaffte es voriges Jahr sogar als Erinnerung an das zu vielen Projektionen für den Freiheitskampf einladende Geschehen in die chinesischen sozialen Medien. Es dauerte aber nicht lange, bis es gelöscht war.

    Direkt am 30. Jahrestag des Massakers herrschten laut Agenturberichten am Platz des Himmlischen Friedens „verschärfte Sicherheitsvorkehrungen“. Polizisten kontrollierten demnach Autos auf Zufahrtsstraßen, auf Fußwegen mussten sich Passanten ausweisen: „Ein großes Aufgebot an Sicherheitskräften in Uniform und zivil sollte jedes öffentliche Gedenken sofort im Keim ersticken.“ Bis heute unterbindet es Peking, dass die Ereignisse offen aufgearbeitet und Hinterbliebene der Getöteten entschädigt werden. Nur in der früheren britischen Kronkolonie Hongkong darf der Opfer noch gedacht werden – unter erschwerten Umständen: auch dort kann es vorkommen, dass ein dafür extra eingerichtetes Museum Feuer fängt.
    Die „große Firewall“ und der „Wartungstag“

    Parallel zog die chinesische Regierung schon im Vorfeld des totgeschwiegenen Tages die Daumenschrauben bei der umfassenden Internetzensur noch einmal an. Bereits seit Ende April war die Online-Enzyklopädie Wikipedia in allen Sprachversionen über die „große Firewall“ des Landes gesperrt, nachdem der Bann zuvor „nur“ zahlreiche Artikel auf Chinesisch getroffen hatte. Ohnehin nicht zugänglich sind im Reich der Mitte Dienste wie Facebook, Google nebst YouTube, Twitter, Skype oder WhatsApp, die für viele westliche Nutzer den Alltag im Netz prägen. Nachrichtenportale wie die Seiten der „New York Times“, des „Wall Street Journals“ oder chinakritische Blogs und Informationsquellen bleiben ebenfalls regelmäßig im Filter hängen.

    Neugierige, politisch Interessierte, Aktivisten oder Mitarbeiter westlicher Firmen in China versuchen in der Regel über Anonymisierungsdienste wie Tor oder Virtual Private Networks (VPN) die Sperren zu umgehen und eine Tunnelverbindung ins offene Internet zu knüpfen. Gerade vor wichtigen politischen Ereignissen oder „heiklen“ Gedenktagen gehen die Behörden aber verstärkt gegen solche verschlüsselten Leitungen nach außen vor und stören einschlägige Dienste massiv.

    Rund um den 4. Juni brach bei vielen chinesischen Online-Angeboten zudem wieder der große, oft länger dauernde „Wartungstag“ aus. Dieses wiederkehrende Phänomen besagt, dass nicht nur etwa Livestreaming-Seiten, sondern auch zahlreiche kleinere Webdienste mit nutzergenerierten Inhalten aus „technischen“ Gründen mehr oder weniger freiwillig offline gehen. Die Betreiber wollen damit von vornherein vermeiden, dass Dritte dort Inhalte posten, die den Zorn der Behörden auf sich ziehen könnten. Andere Dienste schränken über Tage hinweg die Möglichkeit ein, etwa Profilbilder oder Statusnachrichten zu ändern.
    Künstliche Intelligenz ist das Skalpell und der Mensch ist die Machete

    Die Zensur der Tiananmen-Proteste erfolgt im Reich des Drachen generell mittlerweile weitgehend automatisiert mit Text- und Bilderkennungstechniken sowie maschinellem Lernen. Suchen nach „Tiananmen“ etwa auf dem chinesischen Twitter-Klon Weibo verweisen so zwar zunächst auf Millionen Beiträge. Klickt man aber darauf, wird „Keine Ergebnisse“ oder auch mal das offizielle Logo des 70. Jahrestags der Gründung des kommunistischen Chinas angezeigt. Ähnlich sieht es aus, wenn sich User vor Ort über Tibet oder Taiwan informieren wollen.

    Selbst Posts, die nur auf Daten, Bilder oder Namen im Zusammenhang mit den Unruhen vor 30 Jahren hinweisen, werden inzwischen größtenteils erkannt und zurückgewiesen. Das Zusammenspiel zwischen Zensoren aus Fleisch und Blut und der Maschine funktioniert dabei angeblich immer besser. „Wir sagen manchmal, Künstliche Intelligenz ist das Skalpell und der Mensch ist die Machete“, zitiert „Reuters“ einen lieber anonym bleibenden Mitarbeiter der Pekinger Firma Bytedance, die auf die Kontrolle von Online-Inhalten spezialisiert ist.

    Schafft es ein Autor, dem Zensursystem ein Schnippchen zu schlagen und einem dem Regime zu nahe tretenden Beitrag doch zunächst online zu veröffentlichen, kann dies drastische Folgen haben. Vor drei Jahren wanderten vier Männer aus Chengdu drei Jahre lang ohne Gerichtsverhandlung ins Gefängnis, weil sie mit einem Foto von einer Weinflasche mit einer an den „4. Juni 1989“ erinnernden Aufschrift posteten. Die Menschenrechtsseite „China Change“ berichtete ferner von einem weiteren Unerschrockenen, der mit einer ähnlichen Aufnahme eine Mahnung mit der Ziffernfolge 8964 online stellte und daraufhin um vier Uhr früh Besuch von der Polizei erhielt mit anschließender Hausdurchsuchung und Verhaftung.
    Wachstum organisierter Netzwerke zu unterbinden ist entscheidend für soziale Stabilität

    Schon 2013 dokumentierte das Forschungsinstitut Citizen Lab der Universität Toronto, dass die schwarze Liste für soziale Medien in China zum 4. Juni sogar Wörter wie „heute“ oder „morgen“ umfasst. Gelöscht wird vor allem auch alles, was als Aufruf zu öffentlichen Versammlungen verstanden werden könnte. Die Regierung und die KP zensierten das Internet nicht nur, um das Informationsmonopol zu behalten, schreibt der CNN-Korrespondent James Griffiths in seinem neuen Buch über „The Great Firewall of China: How to Build and Control an Alternative Version of the Internet“. Vielmehr treibe sie auch die Angst um vor Plattformen mit dem Potenzial, Menschen für gemeinsame Aktionen zusammenzubringen.

    Die Herrschenden täten alles dafür, um das Wachstum großer organisierter Netzwerke zu unterbinden, schreibt der Autor. Dies hielten sie für entscheidend, um die soziale Stabilität und die politische Kontrolle zu behalten: „Daher werden selbst Aufrufe für Umzüge manchmal zensiert, mit denen die Regierungslinie unterstützt werden soll.“ Schmähbeiträge, in denen die Verwaltung wegen schlechter Luftqualität oder Korruption kritisiert wird, blieben dagegen teils länger online.

    Um das Ausmaß der Zensur auf Weibo und der in China ebenfalls überaus populären Universal-App WeChat des Tech-Riesen Tencent weitgehend in Echtzeit zu dokumentieren, betreiben Forscher der Universität Honkong die Transparenzprojekte WeiboScope und WechatScope. Vor wenigen Monaten hat der daran beteiligte Wissenschaftler Fu King-wa ein Archiv mit über 1200 auf Weibo zensierten Bildbeiträgen publiziert, die sich auf die Tiananmen-Unruhen beziehen. Net Alert hat eine ähnliche Datenbank zur breiteren Online-Zensurgeschichte im Reich der Mitte zusammengestellt.
    Twitter sperrt Konten chinakritischer Nutzer in den USA und Deutschland – ein Versehen

    Twitter leistete sich derweil im Vorfeld des Jahrestags eine peinliche Panne. Auch wenn das soziale Netzwerk in China selbst im großen nationalen Intranet nicht verfügbar ist, nutzen Dissidenten die Plattform trotzdem, um darauf per VPN oder direkt aus dem Ausland ihrem Unmut über die Regierungspolitik freien Lauf zu lassen. Doch auch hier schlafen die Zensoren nicht. Wer aus China heraus missliebige Inhalte auf Twitter verbreitet, muss damit rechnen, dass die Aufsichtsbehörden vor der Tür stehen und darauf drängen, Tweets zu löschen oder anderen Kontoinhabern nicht mehr zu folgen.

    Am vorigen Wochenende war Beobachtern wie der China-Change-Gründerin Yaxue Cao nun aufgefallen, dass Hunderte, vor allem regierungskritische Twitter-Nutzer auch aus den USA oder Deutschland mit vielen Followern gesperrt waren. Griffiths verwies darauf, dass die Konten zwar nicht alle gelöscht, aber zumindest „suspendiert“ worden seien. Dies könne darauf hinweisen, dass nicht unbedingt offener Druck aus China hinter der Blockadewelle stecke, sondern eher massenhafte gezielte Beschwerden über die betroffenen Konten.

    Twitter selbst sprach von einem Versehen, das nicht auf umfangreiche Meldungen chinesischer Behörden zurückgehe. Der Betreiber will routinemäßig und aus eigenem Antrieb – freilich zur Unzeit – einige Konten außer Betrieb genommen haben, die aufgrund von Spam-Postings, unauthentischem Verhalten und umgangenen Sperren auffällig geworden seien. Leider seien darunter neben Fake Accounts auch Profile namhafter China-Experten gewesen. Die Fehler würden aber aufgearbeitet. Die Journalistin Sasha Gong gehörte zu den Glücklichen, deren Konto der kalifornische Konzern rasch wieder freischaltete. Sie nutzte die Gelegenheit für einen dringlichen Appell: „Wir müssen den Social-Media-Riesen sagen: Wenn ihr in diesem epischen Kampf um die Freiheit nicht für uns seid, dann seid ihr gegen uns.“
    Apple und Google passen sich an

    Auch Apple zog rund um den 4. Juni erneut Kritik auf sich, da sich auf der Musikplattform des US-Unternehmens mehrere Lieder und Alben von Künstlern aus Hongkong nicht mehr auffinden und streamen ließen. Dazu gehörte laut chinesischen Nutzern der Titelsong des Spielfilms „A Chinese Ghost Story II“, der auf das Tiananmen-Massaker anspielt. Tencent soll entsprechende Inhalte ebenfalls aus seinem Streaming-Dienst entfernt haben.

    Apple hat sich im Interesse seines Milliardenumsatzes vor Ort bereits wiederholt Auflagen der Behörden gebeugt und etwa Hunderte VPN-Apps aus seinem Store verbannt. Zudem verlagerten die Kalifornier iCloud-Inhalte chinesischer Nutzer aus den USA auf Server chinesischer Firmen. Dies räume örtlichen Beamten uneingeschränkten Zugriff auf die sensiblen Daten ein, beklagte Amnesty International diesen Schritt und schalt das so sehr auf Privatsphäre als Verkaufsargument setzende Unternehmen als „Datenschutzverräter“.

    Google liefert sich mit Dragonfly ("Libelle") einen ähnlich heiklen Tanz mit dem Drachen. Ende 2018 hieß es, dass der Internetkonzern seine viel kritisierten Arbeiten für eine Rückkehr auf den chinesischen Markt mit einer zensierten Suchmaschine weitgehend ausgesetzt habe. Bei den Vorbereitungen seien interne Datenschutzprüfer nicht hinreichend eingebunden gewesen, die nun einen integralen Bestandteil eingestampft hätten.

    Im März legte das Online-Magazin „The Intercept“ aber nach, mit einem Verweis auf Beobachtungen von mehreren anonymen Mitarbeitern des Suchmaschinenbetreibers. Diese wollen demnach in internen Werkzeugen nachverfolgt haben, dass an dem Code für das Projekt weiterhin Änderungen vorgenommen würden und dieses somit nach wie vor aktiv sei. Google entwickele nun auf dieser Basis zwei Such-Apps für Android und iOS mit den Namen Maotai und Longfei. Offiziell gibt es dafür bislang keine Bestätigung.
    Pichai und Cook erklären sich

    Konzernmanager aus dem Silicon Valley begründen ihre Kooperationsbemühungen mit dem chinesischen Regime immer damit, den Nutzern vor Ort doch zumindest mit ihren Produkten etwas mehr Spielraum und einen Hauch von mehr Freiheit zu verschaffen. Bei Tests an Dragonfly habe sich herausgestellt, dass über 99 Prozent der Nutzeranfragen beantwortet werden könnten, freute sich etwa Google-Chef Sundar Pichai im Oktober. Damit werde es möglich, die Verfügbarkeit von Informationen für chinesische User in „vielen, vielen Bereichen“ wie etwa zu Krebstherapien zu verbessern.

    Die Initiative liege voll auf der Linie des kalifornischen Unternehmens, den ganzen Globus mit der Basis für mehr Wissen versorgen zu wollen, führte Pichai aus. China mache immerhin 20 Prozent der Weltbevölkerung aus. Beim Markteintritt in jedem Land gehe es aber natürlich darum, verschiedene Wertvorstellungen etwa rund um den Zugang zu Informationen, die Meinungsfreiheit oder den Datenschutz auszubalancieren.

    Ähnlich äußerte sich wiederholt Apple-Chef Tim Cook. Es sei im Interesse chinesischer Nutzer, dass der iPhone-Bauer im chinesischen Markt präsent bleibe, betont er gerne. Die Kalifornier tauschten sich regelmäßig aus mit Regierungen, „auch wenn wir anderer Meinung sind“. Die lokalen Gesetze müsse man letztlich aber überall auf der Welt befolgen. Auch Facebook hat eine Partnerschaft mit einer Firma in der chinesischen Metropole Shenzhen geschlossen, um zumindest für Werbung auf der Plattform ein Standbein vor Ort zu haben.
    Firewall-Experte: China exportiert Zensur

    Die zahlreichen Kompromisse rund um Grundwerte, die westliche Internetfirmen machen müssen für den Markteintritt im Reich der Mitte, sind für den „Firewall-Experten“ Griffiths ein Grund dafür, besser die Finger von solchen Projekten zu lassen. Wer sich einmal darauf einlasse, sei vermutlich auch bereit, immer mehr Zugeständnisse in Richtung Zensur zu machen und lasse sich in einen Teufelskreis drängen, befürchtet der Buchautor. Dass Firmenmitarbeiter, die davon Kenntnis hätten, etwa im Fall Dragonfly lautstark protestierten, sei in diesem Sinne verständlich.

    Mittlerweile ist China offenbar auch dabei, Zensur zu exportieren. Der IT-Sicherheitsexperte Nicholas Weaver und Forscher des kanadischen Citizen Lab stießen bei der Analyse zweier verteilter Angriffe auf eine mächtige Cyberwaffe gestoßen, die sie in Anklang an die „Great Firewall“ "Great Cannon" tauften. Diese soll unter anderem im März 2015 für eine massive DDoS-Attacke auf die Plattform Github verantwortlich gewesen sein und es vor allem auf zwei dort gehostete Antizensurprojekte der Organisation GreatFire.org abgesehen gehabt haben.

    Laut dem Untersuchungsbericht kann über die „große Kanone“ zunächst wie bei einem überdimensionierter Man-in-the-Middle-Angriff selektiv bösartiger JavaScript-Code etwa in Suchanfragen und Anzeigen der chinesischen Google-Alternative Baidu eingefügt werden. So ließen sich enorme Mengen an Datenverkehr zu den Zielen der Kanone umleiten und diese so quasi abschießen. Durch gezielte Anfragen an betroffene Server gelang es den Forscher, das Verhalten des Instruments zu analysieren und Einblicke in dessen Innenleben zu erhalten.

    Nicht alle Beobachter schließen sich der Schlussfolgerung der Forscher an, dass China hinter der Online-Kanone steckt. Einige verweisen auch darauf, dass die NSA sowie ihr britisches Geheimdienstpendant GCHQ Meister in der Entwicklung solcher Angriffswerkzeuge seien und auch die CIA diese einsetze und nicht immer unter voller Kontrolle habe. Eine dieser Organisationen hätte die DDoS-Attacken so auch ausführen, falsche Spuren gelegt und die Schuld auf Peking geschoben haben können. Für Weaver ist das aber wenig stichhaltig, da die Angreifer die Kanone im Github-Fall auch noch lange hätten pulvern lassen, nachdem Gegenmaßnahmen gegriffen hatten. Es habe sich so anscheinend um eine öffentliche Machtdemonstration des chinesischen Staats im Cyberraum gehandelt.
    Informationen und soziale Kontrolle

    Zur Internetzensur ist spätestens nach den Tiananmen-Protesten ein übergreifendes System zur Überwachung der Bevölkerung im Reich des Drachen gekommen. Die Kommunistische Partei sei zwar schon seit Langem bemüht gewesen, die Massen auszuspähen, schreibt die Menschenrechtsorganisation Human Rights Watch (HRW). Nach dem Zweiten Weltkrieg haben der Staat und die Partei sich demnach auf Werkzeuge zum Informationssammeln und für die soziale Kontrolle verlassen wie die Danwei-Arbeitseinheiten, das Hukou-Melderegister oder die als „Dang’an“ bezeichneten geheimen Polizeidateien. Die Informationstechnik war aber erst um die Jahrtausendwende soweit fortgeschritten, dass sie eine systematisch Überwachung erlaubte.

    Generell erheben Ämter in China eine große Bandbreite an persönlichen Informationen über die Bevölkerung. Diese reichen von politischen Ansichten über das alltägliche Verhalten bis hin zu Informationen über die Geburtenkontrolle bei Frauen. Die Daten werden mit der Ausweisnummer der Betroffenen verknüpft, die als eine eindeutige Personenkennziffer fungiert. Auskunftsrechte für die Bürger über die erhobenen Bestände gibt es keine.

    Im Zuge der seit 1979 erfolgenden vorsichtigen Marktöffnung und parallelen Migrationsbewegungen erwiesen sich die angestammten Praktiken als zunehmend wirkungslos. Die Demokratiebewegung von 1989 im Jahr des hiesigen Mauerfalls ließ bei der KP dann endgültig das Bewusstsein reifen, dass sie die Überwachung einer zunehmend mobilen und aufbegehrenden Bevölkerung erhöhen und ausweiten müsse. Andere Trends wie die Verbreitung des Internets, die Globalisierung, ein an Einkünften aus der boomenden Wirtschaft teilhabender Staat sowie die wachsenden digitalen Fußabdrücke der Nutzer digitaler Techniken ließen das Interesse der Behörden weiter wachsen, umfassende Technologien für die soziale Kontrolle zu entwickeln.
    Projekt „Goldener Schild“

    Das Ministerium für öffentliche Sicherheit gestaltete so Anfang der 2000er-Jahre seine geheimdienstliche Infrastruktur zum Datensammeln um mit dem Ziel, die „Informationsdominanz“ über gesellschaftliche Umtriebe zu erreichen und Kriminalität gezielter zu bekämpfen. Das Ressort startete das Projekt „Goldener Schild“ im Bestreben, ein nationales Netzwerk an „Informationsarterien“ aller Polizeikräfte, integrierten Datenplattformen mit Geheimdiensten sowie Kommandozentren für die künftige Big-Data-Analyse voranzutreiben.

    2003 übernahm das Ministerium das Modell einer von geheimdienstlicher Aufklärung geprägten Polizeiarbeit, das Großbritannien in ähnlicher Form schon in den 1990ern eingeführt hatte. Es basiert auf dem „nahtlosen Informationsaustausch“ zwischen strategischen Entscheidern, operativen Kräften und Einsatzbeamten im Feld und gilt als eine Vorstufe für die noch stärker datengetriebene „vorausschauende Polizeiarbeit“ ("Predictive Policing") mit einer Schwerpunktverlagerung hin schon zur Prävention möglicher Verbrechen.

    2008 gaben die Olympischen Spiele in Peking dem Staat eine weitere Möglichkeit, seine Agenda zur technisch gesteuerten Massenüberwachung auszubauen. Die KP erachtet zunehmend die „Aufrechterhaltung der Stabilität“ als eines ihrer Hauptbestreben und wendet enorme finanzielle und personelle Ressourcen für die Sicherheitsbehörden auf, damit diese insbesondere Dissidenten ausspähen, möglichen Protesten frühzeitig auf die Spur kommen, die Telekommunikation und die Bewegungen der Bürger überwachen und das Internet zensieren können.
    „Pseudo-KI“ und „Gespensterarbeiter“

    Zu eher traditionellen Beschattungsformen gehört dabei ein weitreichendes, schier über das ganze Land gespanntes Netz an elektromischen Augen des großen Bruders. Kameras zur Videoüberwachung sind in China allgegenwärtig, auch wenn unklar ist, wie viele davon funktionieren und wie groß der Anteil des berühmt-berüchtigten „Sicherheitstheaters“ ist.

    Verstärkt setzen der Staat und seine privaten Helfer auch auf Methoden der automatisierten biometrischen Gesichts-, Sprach- oder Gangerkennung. Mehr oder weniger entwickelte Technologien aus dem Bereich Künstliche Intelligenz (KI) sollen helfen, Personen maschinell anhand der Kameraaufnahmen oder ihrer Mobilkommunikation zu identifizieren und anhand von Bewegungsprofilen zu verfolgen. Die richtige Erkennungsquote von Gesichtern soll aber bei unter 20 Prozent liegen, was zu vielen Fehlalarmen führen dürfte. Hunderte menschliche Kontrolleure vor Bildschirmen sollen helfen, diese zu verhindern, sodass auch von „Pseudo-KI“ und „Gespensterarbeitern“ im Hintergrund die Rede ist.

    Vor allem die autonome Region Xinjiang dient Peking als Testfeld auch für den Einsatz von KI zur Massenüberwachung. Dort werde ein „Panoptikum des 21. Jahrhunderts“ geschaffen, um Millionen der dort ansässigen muslimischen Minderheit der Uiguren rund um die Uhr zu beschatten, schreibt etwa der „Economist“. Die Städte in dem Gebiet seien alle 100 bis 200 Meter mit Kameras gespickt, die türkischstämmige Bevölkerungsgruppe müsse staatliche „Spyware“ auf ihren Smartphones installieren, ihre Ausweise würden mit Zusatzangaben wie Fingerabdrücken, Iris-Scans, Blutgruppe, DNA-Informationen oder einem „Zuverlässigkeitsstatus“ verknüpft.

    Bei den muslimischen Uiguren im Nordwesten Chinas habe der Staat ein „beispielloses Überwachungsregime“ aufgebaut, berichtet auch der „Deutschlandfunk“. Dazu gehörten neben unzähligen Kameras bis hin zu Moscheen auch „staatliche Übernachtungsgäste in Familien“ sowie Umerziehungslager. Ex-Bundeskanzler Gerhard Schröder hat Berichte über letztere dagegen 2018 ins Reich der „Gerüchte“ verwiesen.
    „Racial Profiling“ mit künstlicher Intelligenz

    Aus Xinjiang dringen relativ wenig verlässliche Nachrichten nach außen, da Peking Journalisten oft Visa verwehrt und eine unabhängige Berichterstattung zu verhindern sucht. Human Rights Watch gelang es aber in Kooperation mit anderen Menschenrechtsorganisationen, eine zugespielte, aus 2017 stammende Version einer Behörden-App per Reverse Engineering zu analysieren, die als zentrale Schnittstelle für den dortigen Überwachungsapparat dient. Es handelt sich dabei um ein Werkzeug, mit dem Polizisten und andere Staatsbedienstete mit einer „Integrated Joint Operations Platform“ (IJOP) kommunizieren können. Neben Dateneingaben und -abfragen ist dabei auch der Bezug von Warnungen möglich, wenn sich gehäuft Verdachtsmomente ergeben.

    Mit der App sammeln die Behörden umfangreiche Daten über die Bürger. Diese reichen von Basisinformationen wie Namen oder Ausweisnummer bis hin zu detaillierten Spezialangaben wie Autokennzeichen, Ausbildung, Telefonnummer, Blutgruppe, Religion oder Glaubensausübung. Von besonderem Interesse sind laut HRW etwa längere Auslandsaufenthalte, der Verzicht auf Smartphones, zu viele Nachkommen, „abnormaler Energieverbrauch“ oder Spenden für Moscheen. Die App arbeite im Hintergrund über die IJOP mit diversen Datenbanken zusammen. So würden Beamte etwa alarmiert, wenn Bürger zu viel Strom verbrauchten, verschlüsselte Chatdienste wie WhatsApp nutzten oder Videokameras an Haupteingängen zu umgehen suchten.

    Bei ihrem harten Vorgehen gegen die Uiguren setzen die Behörden offenbar auch auf biometrische Erkennungsverfahren, um Angehörige der Minderheit außerhalb von Xinjiang zu kontrollieren. Die „New York Times“ sieht darin das erste bekanntgewordene Beispiel für eine Regierung, die gezielt KI-Methoden für „Racial Profiling“ zur Identifizierung ethnischer Minderheiten verwendet. So werde die Videoüberwachung nebst der dahinter geschalteten Identifizierungssoftware etwa genutzt, um in den Metropolen Hangzhou und Wenzhou nach Uiguren zu fahnden.
    Citizen Score – „Schufa auf Anabolika“

    Einen wichtigen Mosaikstein im chinesischen Überwachungsnetz dürfte bald auch das geplante Sozialbewertungssystem darstellen, das auch in westlichen Medien für Aufsehen sorgt. Die Regierung in Peking will bis 2020 einen ambitionierten „Social Credit“-Mechanismus auf Basis von Scoring-Verfahren der Finanzwirtschaft zur Bonitätsprüfung einführen. Staatliche Pilotprojekte laufen in gut 40 Regionen und Städten. Mit Punktabzügen und Strafen wie Sperren für Schnellzüge, Flüge, Luxushotels oder schnelles Internet muss dort etwa rechnen, wer zu viel Zeit mit Computerspielen verbringt, bei Rot über die Ampel geht, vor Fußgängerüberwegen nicht hält oder ein bestelltes Taxi nicht nimmt.

    Blaupausen für den „Citizen Score“ und die damit verknüpfte „Schufa auf Anabolika“ haben unter anderem der E-Commerce-Riese Alibaba über seine Tochter Ant Financial mit „Sesame Credit“ sowie Tencent mit dem App-System WeChat geliefert. Auch zur Propaganda-Indoktrination an Schulen setzt die KP seit Kurzem auf eine spielerische Mobilanwendung, bei der Nutzer besonders viel Punkte einheimsen können, wenn sie wechselnde Quizfragen zu Reden und Arbeiten insbesondere von Präsident Xi Jinping richtig beantworten.

    Im Westen wird das skizzierte Bewertungssystem für Bürger und Unternehmen als Big-Brother-Instrument mit tiefen Einschnitten in die Grundrechte angesehen. Eine repräsentative Umfrage des Institut für Chinastudien der FU Berlin von 2018 hat derweil ergeben, dass 80 Prozent der chinesischen Online-Nutzer das Vorhaben befürworten. Die hohe Akzeptanz hätten Bürger vor Ort in zusätzlichen Interviews bestätigt, betont Studienleiterin Genia Kostka. Die abweichende Wahrnehmung erkläre sich nicht nur damit, dass die Medien in China eingeschränkt seien und der Schutz der Privatsphäre im öffentlichen Diskurs keine große Rolle spiele. Viele Menschen dort empfänden derlei Systeme auch als wichtig, um „institutionelle und regulatorische Lücken zu schließen“.
    „Bedenken und Ängste vor Technik werden auf China projiziert“

    Wie viel heiße Luft in der staatlichen Initiative steckt, ist umstritten. Dabei gehe es bislang kaum um revolutionäre Technik wie KI oder allwissende Algorithmen, meint Jeremy Daum, Forscher am Paul Tsai China Center an der Yale Law School. Im Kern handle es sich um altbekannte finanzwirtschaftliche Scoring-Verfahren. Dazu kämen schwarze Listen, die im nächsten Jahr wohl stärker durchgesetzt werden sollten. Im Kern gehe es Peking vor allem um Propaganda, glaubt der Wissenschaftler. Den Bürgern solle beigebracht werden, ehrlich zu sein. Die Rede vom „Citizen Score“ habe vor allem erzieherischen Charakter.

    Was sich wie eine Episode aus der Science-Fiction-Serie „Black Mirror“ anhört, wird für Daum im Westen durch einen Spiegel verzerrt: „Wir projizieren unsere eigenen Bedenken und Ängste vor der Technik auf China.“ Pläne für ein landesweites gesellschaftliches Bonitätssystem „schreiten voran“, konstatieren dagegen Kristin Shi-Kupfer und Mareike Ohlberg vom Mercator Institute for China Studies (Merics) in einer aktuellen Studie über „Chinas digitalen Aufstieg“. Die laufenden Pilotprojekte könnten „rasch zu einem wirkungsmächtigen und umfassenden Instrument ausgebaut werden“.

    Dies könnte zusammen mit anderen Facetten der ehrgeizigen chinesischen Digitalagenda auch „negative Folgen für Europas Politik und Grundwerte haben“, warnen die beiden Forscherinnen. Viele Aspekte des gesellschaftlichen Bewertungssystems stünden „im Widerspruch zu europäischen Werten – zum Beispiel der Schutz der Privatsphäre und der Meinungsfreiheit – und zu Bemühungen der EU, ethische Standards für die Digitalisierung zu etablieren“.
    Digitale Seidenstraße

    „China nähert sich seinem Ziel, bei 5G, Künstlicher Intelligenz (KI), Quantenforschung und anderen digitalen und disruptiven Technologien weltweit führend zu sein“, arbeiten die Autorinnen heraus. Konzerne wie Huawei, Alibaba oder Tencent seien bereits in ganz Europa am Geschäft mit Telekommunikationsnetzen, Rechenzentren und Online-Bezahlsystemen beteiligt. Die 5G-Einführung dürfte dazu führen, dass Huaweis Geräte und Software eine noch wichtigere Rolle bei der europäischen digitalen Infrastruktur spielten.

    Die „nationale Informatisierungsstrategie“ fordere chinesische Internet-Unternehmen auf, „in die Welt hinauszugehen“ und am Bau der „digitalen Seidenstraße“ mitzuwirken, heißt es in der Analyse. Ein kaum durchschaubares Geflecht aus staatlichen Kontrollmechanismen, Einflussnahme durch die Partei und internationalen Verbindungen im Sektor der Informations- und Kommunikationstechnologien stütze die chinesische Digitalpolitik.
    Orwell live erleben – Datenschutz vs. Komfort

    Auch der Paderborner Medienwissenschaftler Jörg Müller-Lietzkow sieht China auf dem Weg zur Weltmacht vor allem im KI-Bereich. Die Technik solle Wohlstand und Reichtum mehren, zugleich aber „die Effektivität der Kontrolle der Bürger deutlich erhöhen“. Alle Daten gingen an die nationalen Hersteller und stünden damit offen für den Zugriff auch durch den Staat und dessen ausgefeiltes System der gesellschaftlichen Steuerung. Vor Ort könne man Orwell so live erleben, zeichnet der Experte ein Gruselbild. Dass sich dagegen wenig Widerstand rühre, hänge auch mit der Historie einer Nation zusammen, die schon einmal eine große Mauer um sich herum errichtet habe. „Datenschutz gegen Komfort“ laute oft das Motto.

    Nach dem Blutbad rund um den Tiananmen-Platz habe die KP eine Art Sozialvertrag mit der Bevölkerung geschlossen, erläutert Merics-Analystin Shi-Kupfer. Diese verzichtete auf politische Teilhabe im Gegenzug für das Versprechen, am wachsenden Wohlstand des Landes beteiligt zu werden. „Die Chinesen betäuben sich durch den Kommerz, um den Schmerz zu vergessen“, hat die Forscherin ausgemacht. Möglichkeiten der präventiven Unterdrückung seien dank der technologischen Sprünge so ausgefeilt, dass eine größere Gegenbewegung derzeit „nicht vorstellbar ist“. Außer einer massiven Wirtschaftskrise gebe es aktuell auch kaum ein Thema, „das eine übergreifende Solidarisierung schaffen könnte“. Menschenrechtler und Bürgerrechtsorganisationen mahnen daher eine kollektive Antwort demokratischer Staaten auf das Phänomen an, dass China seinen „digitalen Totalitarismus“ etwa nach Afrika und Südamerika, aber auch nach Europa oder in die USA exportieren wolle.

    #Chine #histoire #société #surveillance #vie_privée

  • Berliner setzen starkes Signal gegen Wild-West der Behörden
    https://www.taxi-times.com/berliner-setzen-starkes-signal-gegen-wild-west-der-behoerden

    Immerhin gesprochen hat man mit den Unternehmervertretern. Mal sehen, was dabei herauskommt.

    6. Juni 2019 von Jürgen Hartmann 5 Kommentare

    Mit einer beeindruckenden Kundgebung haben heute rund 2.000 Berliner Taxiunternehmer und Fahrer die Berliner Verkehrssenatorin Regine Günther aufgefordert, endlich ihren Job zu machen und das rechtswidrige Treiben von Uber in Berlin zu stoppen. 

    Die Kundgebung fand unmittelbar vor dem Dienstgebäude der Senatorin in Berlin Mitte statt und obwohl es diesmal ohne Taxikorso ablief waren geschätzt rund 2.000 Taxiunternehmer und Fahrer vor Ort. Sie hielten Plakate in die Höhe, auf denen Uber als Lohnbetrüger, SozialräUBER und als verantwortlich für den Ruin des Taxigewerbes bezeichnet wurden. Während der Kundgebung hatte die Berliner Taxizentrale TZB die Auftragsvermittlung eingeschränkt.

    „Schluss mit dem Wild-West von Uber & Co“ lautete die speziell an Frau Günther gerichtete Forderung. Die Taxibranche wirft der parteilosen, von den Grünen ins Amt geschickte Senatorin vor, nichts gegen das illegale Bereithalten der Mietwagen von Uber & Co. zu unternehmen. Hermann Waldner, Geschäftsführer von Taxi Berlin, übernahm die Moderation der Kundgebung und formulierte neben der Forderung nach mehr Kontrollen auch ein Umdenken bei der Befreiung vom Mitführen eines Wegstreckenzählers. Vor allem Mietwagen, die taxiähnlichen Verkehr betreiben, müssten auch verpflichtet werden, einen Wegstreckenzähler einzubauen. Dann müsste das Finanzamt nicht immer nur Taxiunternehmen kontrollieren, sondern könnten endlich auch Mietwagen unter die Lupe nehmen.

    Unterstützung bekam er dabei von Harald Wolf von den Linken, dem einzigen Politiker, der während der Kundgabe auftrat. „Die Ausnahmeregelung für Wegstreckenzähler muss fallen“, rief Wolf den anwesenden Taxiunternehmern zu. Uber bezeichnet er als Unternehmen, das gegen die Taxibranche einen Krieg führen würde – nicht nur in Berlin, sondern weltweit. Wer taxiähnliche Dienste anbiete, mache zwangsläufig unsauberen Wettbewerb.

    Yvonne Schleicher, Taxiunternehmerin in Berlin, fand für das Vollzugsdefizit der Behörde deutliche Worte: „Wir erleben hier die Entstehung eines rechtsfreien Raums“ sagte sie, was bei ihr den Eindruck erwecke, dass die Profitgelüste eines US-Unternehmens mehr wert seien als geltendes Recht.

    Carsten Reichert, Unternehmer seit über 30 Jahren, berichtete, dass er vom Taxifahren bisher immer seine Familie ernähren konnte, dies aber die letzten 18 Monate nicht mehr funktioniere. Er persönlich habe dann beschlossen, in einem der Berliner Verbände aktiv zu werden und sei seitdem bei vielen politischen Gesprächen auch auf einiges Verständnis gestoßen. Geändert habe sich aber nichts. „Machen Sie endlich Ihren Job, damit auch wir unseren machen können, rief Reichert in Richtung Regine Günther.

    Noch deutlicher wurden die drei Administratoren der Facebook-Taxigruppe Berlin Mem Deisel, Volkan Karadeniz und Timucin Campinar,,“Mit Uber haben wir nicht einfach einen Wettbewerber bekommen, sondern einen Großinvestor mit einem Koffer voller Geld und besten Beziehungen zu Politik und zu den Medien“, sagte Deisel. Campinar sprach Frau Günther direkt an: „Ihre Untätigkeit entzieht uns die Existenzgrundlage. Vielen Dank für den Wildwest auf unseren Straßen.“

    Karadeniz kündigte an, dass die Demonstration vor dem Dienstsitz der Senatorin erst der Anfang war. “Wir werden solange vor Ihrer Türe stehen, bis sie anfangen zu arbeiten“ forderte der Unternehmer endlich effektive Kontrollen an und bot dann auch gleich noch Plan B an: „Oder sie stellen Ihr Amt jemanden zur Verfügung, der dieser Aufgabe gewachsen ist.“ Die Unternehmer, die bis dahin regelmäßig „Uber muss weg“ gerufen hatten, skandierten daraufhin lauthals „Günther muss weg“.

    Deisel, Karadeniz und Campinar betonten auch, wie viele Beweise für die täglichen Rechtsbrüche der Uber-Fahrer sie und die vielen aktiven Berliner Taxifahrer schon gesammelt hätten (“damit haben wir Ihre Arbeit erledigt, Frau Günther“), doch hätte dies bisher nichts gebracht. „Aus den vorgelegten Beweisen ist Klopapier geworden“.

    Die Einzelunternehmerin Petra Gansauge blickte bei ihrer Rede in das Jahr 2025, ein Jahr, in dem es kaum noch Taxis geben würde und die Taxifahrer alle arbeitslos geworden seien. Stattdessen würden Mietwagen Staus verursachen, die für Uber, Didi und Free Now unterwegs wären und deren Fahrer so wenig verdienen würden, dass sie aufstocken müssten. Oma Erna müsste an so einem Tag im Jahr 2015 ihren Arzttermin absagen, weil unter der ihr bekannten Taxinummer keiner mehr abheben würde, Business-Man Reinhardt müsste für eine Mietwagenfahrt vom Flughafen zur Messe 270 Euro bezahlen, Manfred würde – obwohl vermittelt – von keinem Mietwagenfahrer abgeholt werden, weil er nur eine Kurzstrecke fährt und Laura hätte sich längst damit abgefunden, dass die Buslinie nicht mehr nach Fahrplan fährt, weil mangels Fahrgästen kaum noch Busse eingesetzt werden.

    Ein Sprecher der IGTB kündigte an, dass sein Verein die Behörde Anzeigen wolle, weil man Beihilfe zur millionenfachen Umgehung sanktionsfähiger Rechtsbrüche leiste.

    Während dieser Rede wurde von sechs Taxifahrern ein Sarg durch die Menge bis auf das Podium getragen, auf dem ein Taxischild montiert war. „Das werden wir verhindern“ kommentierte Mem Deisel diese symbolische Darstellung.

    Richard Leipold, ebenfalls Taxiunternehmer, erinnerte Günther an einen ihrer Amtsvorgänger, der 2014 schon den Mut gehabt hätte, Uber zu verbieten. (Anmerkung der Redaktion: Damals wurde UberBlack untersagt, woraufhin Uber seinen Dienst in UberX umtaufte).

    Das Schlusswort bekam schließlich Michael Oppermann vom Bundesverband Taxi und Mietwagen e.V., der die volle Solidarität seines Verbands mit den Berliner Gewerbevertretungen bekundete und sich bei den anwesenden Taxiunternehmern und Fahrern für das tolle Zeichen bedankte, das man an diesem Tag gegenüber der Senatsverwaltung gesetzt habe. Oppermann hält es für sehr wichtig, dass Berlin endlich seiner Kontrollverantwortung nachkommt. „Was hier schiefgeht, geht auch Schritt für Schritt in anderen Regionen schief“, befürchtet er einen Dominoeffekt. Darüber hinaus wirft Herr Oppermann der Senatorin vor, dem Bundesverband einen Bärendienst zu erweisen und Verkehrsminister Scheuer mit ihrer Untätigkeit in die Karten zu spielen. Scheuer will bekanntermaßen die Rückkehrpflicht abschaffen und argumentiert dabei gerne mit Berlin, wo es ja doch nicht kontrollierbar sei. Jh

    Wie sehr die aktuelle Berliner Situation die Taxifahrer umtreibt, zeigte sich am Ende der Kundgebung, als noch zwei Kollegen unabgesprochen auf die Bühne traten, die zwar größtenteils das bereits Gesagte nochmal wiederholten, aber mit ihrer Vehemenz den Handlungszwang eindringlich untermauerten, dem sich Frau Günther wird stellen müssen: „Uber ist nicht unkontrollierbar“, rief der Taxifahrer Francis Tusene laut ins Mikro. Da waren aber die meisten Kollegen schon abgezogen. Hauptsache, Frau Günther und ihre Staatssekretäre haben es gehört. Einer von Ihnen (Staatssekretär Streese) hatte übrigens unmittelbar vor der Kundgebung die Berliner Gewerbevertreter zu einem kurzen Gespräch gebeten. „Man habe regelmäßige Workshop-Treffen vereinbart“, berichtete Waldner zu Beginn der Kundgebung. jh

    Hinweis in eigener Sache: Die komplette Kundgebung hatte Taxi Times heute Mittag live auf Facebook übertragen. Zum Abschluss bekam unser Redakteur Simi sogar noch Hans-Peter Kratz von der Taxivereinigung Frankfurt zum Spontan-Interview vor die Linse. Nachzuhören ganz am Ende ab 1h 43 Min auf dem Zeitstrahl.

    #Berlin #Taxi #Protest #Mietwagen #Uber

  • Charlotte Girard, figure de La France insoumise, quitte le mouvement
    https://www.lemonde.fr/politique/article/2019/06/08/charlotte-girard-figure-de-la-france-insoumise-quitte-le-mouvement_5473698_8

    Dans un long texte, l’universitaire pointe les dysfonctionnements internes au mouvement populiste de gauche.

    C’est une réplique de plus du séisme qui secoue La France insoumise (LFI) depuis plusieurs jours. Charlotte Girard, ancienne responsable du programme, a décidé de quitter le mouvement mélenchoniste. Elle s’en est expliquée dans un long texte publié sur Facebook, samedi 8 juin. Une décision qui intervient trois jours après l’envoi d’une note interne incendiaire, critiquant le fonctionnement interne de LFI, dont Charlotte Girard était l’une des quarante et un signataires et que Le Monde a révélée.

    • La capacité de la gauche à perpétuellement se scinder au lieu de prendre un chemin fédérateur sur base d’un projet à 10 ou 20 ans... Pendant qu’on continue à se disperser entre réformistes, révolutionnaires, éco-socialistes, etc. le monde du pognon se renforce, renforce l’individualisme et le capitalisme financier, s’appuye sur la haine et la’violence, déforce l’enseignement, la recherche, les politiques sociales et culturelles... #on_avance mais pas vers des politiques de solidarité, de coopération, d’écologie et de bien-être...

  • Washington entre en guerre contre les géants du Net
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/06/08/washington-entre-en-guerre-contre-les-geants-du-net_5473495_3234.html

    Le département américain de la justice, la Commission fédérale du commerce et certains élus ont engagé des procédures visant les GAFA. Une bataille homérique s’annonce à Washington, mais pas entre démocrates et républicains. En effet, elle va opposer un front inédit d’élus des deux bords, avec le soutien de l’administration de Donald Trump, aux géants du numérique. Ces derniers sont soupçonnés de positions dominantes, voire monopolistiques, qui les placeraient en contravention avec le Clayton Act, la loi (...)

    #Apple #Google #Amazon #Facebook #domination #GAFAM #FTC #US_Department_of_Justice_(DoJ)

    ##US_Department_of_Justice__DoJ_

  • Concurrence et antitrust : que reproche-t-on à Facebook, Google, Amazon et Apple ?
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/06/08/concurrence-et-antitrust-que-reproche-t-on-a-facebook-google-amazon-et-apple

    Deux points concentrent les critiques : le rachat d’entreprise, qui renforcerait leur domination, et les plates-formes qui peuvent être utilisées pour discriminer des concurrents. Le respect de la concurrence, un des angles d’attaque pour la régulation des géants du numérique, vient de revenir sur le devant de la scène aux Etats-Unis : selon la presse américaine, l’autorité de la concurrence – la FTC – a décidé de se pencher sur les pratiques de Facebook et Amazon, le département de la justice sur celle (...)

    #Apple #Google #GoogleSearch #Amazon #Instagram #Facebook #WhatsApp #Shopping #algorithme #procès #domination #publicité (...)

    ##publicité ##FTC

  • Planning de la Manifestation des Gilets jaunes à Paris le Samedi 8 juin 2019 (heure non définie)
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/16102-planning-de-la-manifestation-des-gilets-jaunes-a-paris-le-samedi-8-

    Il y a eu ces pseudos élections européennes, ou tout a été fait pour créer les conditions de la présidentielle 2022 avec un duel LREM/Le Pen et maintenant la Commission européennes nous annonce les Gopés 2019 :

    Fin de la plaisanterie médiatique du barrage à Macron lors des élections européennes : la politique économique et sociale de la France pour 2019-2020 est sortie ! (UPR)

    Où est la démocratie là-dedans ? Rien, nada..., l’Europe est une dictature qui ne dit pas son nom....

    Manifestation à Paris des Gilets jaunes

    Acte 30 - samedi 8 juin

    https://paris.demosphere.net/rv/71077

    Attention : cette page évolue en permanence.

    Les événements Facebook changent souvent (lieux, horaires) et sont parfois supprimés. Certains n’indiqueront le lieu qu’au dernier moment. Nous mettons ces informations à jour (...)

    #En_vedette #Actualités_françaises

  • Les gènes humains peuvent-ils être brevetés ? Le débat reprend aux États-Unis
    https://www.numerama.com/sciences/523188-les-genes-humains-peuvent-ils-etre-brevetes-le-debat-reprend-aux-et

    Les États-Unis se penchent une nouvelle fois sur une question éthique : un gène humain peut-il être breveté ? Une proposition relance les débats en affirmant qu’on ne peut pas refuser une demande de brevet sur la base d’« idées abstraites ». Un gène peut-il faire l’objet d’un brevet ? Le débat est en train d’occuper un sous-comité du Sénat américain spécialisé dans la propriété intellectuelle. Sa juridiction inclut les lois encadrant les brevets. Comme l’a repéré Wired le 5 juin 2019, le comité est chargé (...)

    #Google #Amazon #Facebook #génétique #législation #brevet #ACLU

    //c2.lestechnophiles.com/www.numerama.com/content/uploads/2019/06/gene-adn-sante-science-ethique.jpg