company:fing

  • PacketFence version 7 est disponible
    https://linuxfr.org/news/packetfence-version-7-est-disponible

    Inverse annonce la sortie de la version 7 de PacketFence. PacketFence est une solution de conformité réseau (NAC) entièrement libre (GPL v2) et reconnue. Procurant une liste impressionnante de fonctionnalités telles un portail captif pour l’enregistrement ou la remédiation, une gestion centralisée des réseaux filaire et sans fil, le support pour le 802.1X, l’isolation niveau-2 des composantes problématiques, l’intégration aux détecteurs d’intrusions tels Snort et Suricata, la reconnaissance d’appareils avec Fingerbank et plus encore. PacketFence peut être utilisé pour sécuriser efficacement aussi bien des réseaux de petite taille que de très grands réseaux hétérogènes.

    La version 7 de PacketFence apporte de nombreuses améliorations telles la réplication_multi-maîtres avec MariaDB Galera Cluster, le (...)

  • A combien peut-on coopérer ?
    http://www.internetactu.net/2016/05/12/a-combien-peut-on-cooperer

    Le consultant Jean-Michel Cornu (@jmichelcornu) – qui a longtemps été le directeur scientifique de la Fing, l’éditeur d’Internetactu.net – a réagit à notre édito sur les questions de taille. Un rebond pour mieux comprendre les effets de la taille dans les processus d’intelligence collective. Lorsque, trop rarement, nous nous intéressons à la taille limite des groupes, nous nous focalisons surtout…

    #analyse_des_réseaux #communauté #coopération #empowerment #intelligence_collective #travail

  • Comprendre la croissance à l’heure de l’informatisation de la société | Invité extérieur
    http://www.internetactu.net/2012/04/27/comprendre-la-croissance-a-lheure-de-linformatisation-de-la-societe

    “Il est temps d’ouvrir un débat sur les nouveaux paradigmes de la croissance”, lance Philippe Lemoine président du Forum Action Modernités – et de la Fing, éditeur d’InternetActu.net – , en introduction du livre Une croissance intelligente qui vient de paraître aux éditions Descartes & Cie et qui livre les résultats d’un groupe de travail qui s’est plongé longuement sur…

    • excellent papier pour #néocapitalisme et nouvelle théorie de la #valeur ? Cf. http://seenthis.net/messages/66203
      http://www.internetactu.net/2012/02/01/ou-va-leconomie-numerique-13-vers-une-innovation-sans-emplois

      Cette évolution du système productif conduit la société vers une conception de la valeur qui outrepasse l’étape post-moderne et que je qualifie donc d’ultra-moderne : comme le coût marginal de production est pratiquement nul, la valeur se détache de la quantité produite pour adhérer à la qualité du produit. La fonction d’utilité qui évalue le bien-être du consommateur n’a plus pour argument la quantité qu’il consomme mais la qualité des produits qui lui sont accessibles – et donc leur diversité, où chacun peut trouver la variété qui lui convient le mieux. La satisfaction du consommateur dépend alors de façon cruciale du patrimoine de compétences dont l’ont doté son éducation et sa formation. Il n’est plus le porteur passif d’une fonction d’utilité que pourrait satisfaire une consommation en volume, mais le porteur actif d’une sensation de bien-être qu’il peut manipuler lui-même. Toutes choses égales d’ailleurs en effet, celui qui a par exemple appris à aimer la lecture jouit d’un bien-être supérieur à celui qui ne l’a pas appris, car on peut consacrer tout son temps à la lecture pour un budget modeste.

      Pour penser l’informatisation, il faudra retrouver l’énergie créatrice qui, en son temps, a permis à Smith de modéliser l’industrialisation, puis appliquer cette énergie à l’alliage du cerveau d’œuvre et de l’automate que fait émerger l’informatisation. Ce travail n’est pas impossible, mais il sera difficile, car il suppose de rebâtir l’imposant édifice théorique, mathématique, statistique, comptable et institutionnel construit pour faire mûrir les germes que contient l’œuvre de Smith.

    • Si tu es ultra-libéral tu dois pouvoir te délecter en effet, mais les passages contre les décroissants et écologistes relèvent plus de l’injure que de l’analyse.

      on observe une épidémie de haine envers les entreprises et, plus généralement, envers les institutions. Des slogans comme « sortir du nucléaire ! » ou « non au gaz de schiste ! », ainsi que la campagne de Robin des toits contre les ondes électromagnétiques sont fondés non sur une évaluation des avantages et des inconvénients de ces techniques (évaluation qui conduirait peut-être en effet à y renoncer), mais sur un rejet instinctif et irraisonné de l’activité productive organisée, sans laquelle nous mourrions pourtant tous de faim.

      “Le nucléaire ou la famine !” ??

    • il tente de compenser son déficit critique par une attaque nulle, anéfé, pareil sur #tiqqun ; n’empêche la description est intéressante non ? :

      Dans les années 1980, la dissémination des micro-ordinateurs et des réseaux locaux – puis, dans les années 1990, d’Internet – a fait franchir un pas supplémentaire. Avec la documentation électronique et la messagerie, il devenait en effet possible d’informatiser le parcours d’un processus de production en transférant, d’un poste de travail au suivant, les documents où s’inscrit l’élaboration d’un produit. [...]

      Dès lors, l’informatique n’était plus ce système d’information qui se superpose aux systèmes de gestion et de production : s’entrelaçant avec le travail des opérateurs humains, elle s’insinuait dans l’intimité de la gestion et de la production dont elle devenait inséparable.

      Chacune des activités qu’un processus fait se succéder comporte en effet des opérations mentales (perception, jugement, décision) qui préparent des tâches physiques (donner un billet d’avion à un client, réaliser une opération de maintenance). Le point de départ de l’informatisation est alors sémantique : il faut nommer et identifier les êtres représentés dans le système d’information et qui seuls, dans l’entreprise, apparaîtront devant l’attention des agents et se proposeront à leur action.