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  • The Rise of Zero-Trust #architecture
    https://hackernoon.com/the-rise-of-zero-trust-architecture-17464e6cbf30?source=rss----3a8144eab

    What is Zero-Trust Architecture and why is it Relevant Today?Breaking Down Zero Trust Architecture:Zero Trust architecture is an option to be considered by organizations who want a more reliable way of preventing leaks of confidential data and lowering the risk of modern #cyber-attacks against their network. Zero Trust was initially developed by the analytics firm, Forrester Research and it is marketed as an alternative to traditional #security architectures.The majority of businesses use traditional security architecture, which functions using the now incorrect theory that anything which is contained within their own network can be considered trustworthy. In the modern day, security threats can arise internally and with even more intelligence than ever before.New security methods need to (...)

    #cloud-computing #cybersecurity

  • L’#intelligence_artificielle et ses applications sont le nouveau Graal poursuivi par Google, Apple et consorts (Sarah Belouezzane et Sandrine Cassini, Le Monde, 23/05/2016) http://www.lemonde.fr/pixels/article/2016/05/21/les-nouveaux-terrains-de-jeu-des-geants-du-net_4923766_4408996.html

    Dans la #Silicon_Valley, on appelle ça « The Next Big Thing ». L’expression désigne la prochaine révolution à ne pas rater pour les géants du high-tech. Cette semaine, Google a annoncé à l’occasion de I/O, sa conférence annuelle consacrée aux développeurs, une série d’innovations dépassant largement ses terrains de jeu habituels que sont le PC et le smartphone. Nouveau terminal pour la maison, masque de réalité virtuelle, nouvelle messagerie, le moteur de recherche fait feu de tout bois. En toile de fond de ces innovations, l’intelligence artificielle qui promet une amélioration substantielle du fonctionnement des logiciels. Google n’est pas le seul à chercher le Saint-Graal. Facebook, Amazon, Microsoft sont aussi sur ses traces.

    La maison Google va rapidement commercialiser Home. Cet appareil, sorte de mini-enceinte, sera capable de répondre aux questions des utilisateurs, voire d’accomplir certaines tâches comme envoyer un e-mail, prendre un rendez-vous ou lancer un morceau de musique. « Google assure que la combinaison de son expérience en matière de traitement du langage, associée à de l’intelligence artificielle et à sa connaissance de l’utilisateur, lui permettra de devancer le marché. En tout cas, cela montre que Google veut trouver sa place entre l’utilisateur et ses marques préférées », pointe Julie Ask, analyste chez Forrester Research.

    En revanche, on ne connaît pas encore la date de sortie, ni le prix de l’appareil. Mais Google tente ainsi de rattraper Amazon, qui a une longueur d’avance avec Echo. Le petit appareil du géant de l’e-commerce répond également à la voix, et permet de commander ses courses ou de réserver une voiture, type Uber ou Lyft.

    Les succès de WhatsApp et de Snapchat ont ravivé les appétits pour les outils de communication. Cette semaine, Google a présenté Allo, messagerie intelligente capable de faire des réponses toutes prêtes. Si l’on reçoit la photo d’un chien, par exemple, l’outil pourra proposer de demander de quelle race il s’agit. L’outil, conçu pour s’améliorer au fur et à mesure qu’il est utilisé (sur la base du « #machine_learning »), pourra aussi être connecté à d’autres applications, comme OpenTable par exemple, site de réservation de restaurant. Google tente ainsi de rattraper Facebook, qui a lancé dans Messenger ses « chatbots », des outils de conversation intelligents. Les chatbots de Messenger ont attiré une kyrielle de marques qui proposent leurs services (bancaires, réservations de train, d’avion, etc.). Ces messageries d’un nouveau genre permettent aux deux géants du Web de renouveler leur relation avec les entreprises, et de faire évoluer leur modèle économique. Ces outils restent encore expérimentaux. « Même si les démos sont impressionnantes, nous n’avons pas encore vu d’expériences suffisamment convaincantes qui pousseraient les internautes à abandonner les applications classiques au profit de ces services », dit Julie Ask de Forrester.

    La réalité virtuelle éveille de nombreux appétits. Google a annoncé mercredi 18 mai le lancement à l’automne de Daydream, une nouvelle plate-forme mobile consacrée à la réalité virtuelle dont pourront s’emparer les fabricants de casques. Le moteur de recherche promet une meilleure qualité d’image et la possibilité d’accéder à ses applications phares telles que YouTube. Il pourra ainsi concurrencer Facebook. Le moteur de recherche souhaite ainsi décliner le succès d’Android, son système d’exploitation qui équipe 80 % des smartphones dans le monde.

    Facebook, très avancé sur le sujet, a fait sensation lors du Mobile World Congress en février, lorsque Mark Zuckerberg a traversé une salle remplie d’une centaine de personnes équipées au préalable de son casque Oculus. Tellement absorbé par cette expérience, le public n’a pas remarqué l’arrivée de l’emblématique président du réseau social. De son côté, le champion coréen de l’électronique grand public Samsung dispose aussi d’un casque dénommé Gear. Une manière selon Ian Fogg, analyste chez IHS, de faire la promotion de ses smartphones haut de gamme : « La réalité virtuelle nécessite de fortes capacités graphiques et des processeurs puissants, c’est donc un moyen utile pour les fabricants de smartphones de pousser les consommateurs à passer aux nouvelles générations de smartphones », souligne l’analyste.

    Microsoft s’est lui, aussi, jeté dans la bataille mais sur un créneau plus particulier : celui de la réalité augmentée. En 2016, la firme de Redmond a ainsi lancé Hololens, un casque qui permet d’ajouter du contenu (hologrammes, textes, vidéos) sur le champ de vision de l’utilisateur.

    Google ne l’a jamais caché : pour lui, l’intelligence artificielle est l’avenir de l’informatique. Et risque d’être le coeur de développement des technologies à venir. C’est donc tout naturellement que le sujet s’est retrouvé au coeur de toutes les annonces du groupe. De la domotique à la messagerie, en passant par l’assistant personnel. Deep Mind, le programme d’intelligence artificielle de Google, repose sur une technique appelée le « deep learning », capacité donnée à la machine d’apprendre grâce à un « réseau de neurones artificiel ».

    Cette méthode, le moteur de recherche n’est pas le seul à s’en servir. Tous les géants du Web s’en sont emparés, conscients qu’il s’agit là du terrain sur lequel les batailles technologiques se livreront dans un avenir pas si éloigné que cela. Facebook, par exemple, consacre à la question une équipe de 45 personnes travaillant pour le Facebook Artificial Intelligence Research. Plus discret, Apple a, lui, fait l’acquisition de trois entreprises spécialisées dans le domaine fin 2015. Enfin IBM n’est pas en reste : l’ancienne star des PC reconvertie dans les services a conçu Watson, l’un des ordinateurs les plus puissants du monde.

  • L’internet des objets devient mainstream plus rapidement qu’on le croit - Quartz
    http://alireailleurs.tumblr.com/post/87781392615

    Un internaute américain sur cinq possède déjà un objet domestique qui relie son environnement physique à l’internet, estime un récent rapport de Forrester Research. Selon un sondage (.pdf) mené par iControl Networks, une entreprise qui fournit des services domotiques aux fournisseurs d’accès, 40% des sondés estiment qu’ils enverront des textos à leurs appareils ménagers d’ici deux ans… Smartthings, une solution simple pour connecter sa maison, estime que ses utilisateurs dans le temps utilisent plus souvent ses applications et y connectent de plus en plus d’objets. Microsoft a passé un partenariat avec Insteon, un concurrent de Smartthing. Google a racheté Nest, Amazon a lancé une boutique dédiée aux appareils domotiques et le Financial Times a annoncé qu’Apple allait faire des annonces pour permettre (...)

    #domotique #iot #Internet_des_objets