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  • Gros effort contre l’écriture inclusive, aujourd’hui…

    – Harcèlement : les "briseurs de silence" désignés "personnalité de l’année" par "Time magazine"
    https://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20171206.OBS8812/harcelement-les-briseurs-de-silence-designes-personnalite-de-l-

    – Harcèlement : Merkel salue les "Briseurs de silence" récompensés par le magazine Time
    http://www.bfmtv.com/international/harcelement-merkel-salue-les-briseurs-de-silence-recompenses-par-le-magazine-

    – Celles qui ont « brisé le silence » désignées « personnalité de l’année » par le « Time »
    http://www.lepoint.fr/monde/time-designe-les-briseurs-de-silence-comme-personnalite-de-l-annee-06-12-201

    « Pour avoir donné une voix à des secrets de Polichinelle, pour être passés du réseau des chuchotements aux réseaux sociaux, pour nous avoir tous poussés à arrêter d’accepter l’inacceptable, les briseurs de silence sont personnalité de l’année », a-t-il ajouté, cité dans un communiqué du magazine.

    – Les "briseurs de silence", "personnalité de l’année" 2017 selon "Time Magazine"
    http://www.ozap.com/actu/les-briseurs-de-silence-personnalite-de-l-annee-2017-selon-time-magazine/544532

    Et comme ça sur des dizaines de (gros) supports…

    C’est d’autant plus crétin que le Time a ostensiblement rebaptisé le titre « Man of Year »/« Woman of the Year » en « Person of the Year » depuis… 1999.

  • Révélations Libye : mais pourquoi personne n’interroge Nicolas Sarkozy ? - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/revelations-libye-mais-pourquoi-personne-n-interroge-nicolas-sarko

    Depuis novembre, Mediapart et Le Monde ont publié de nombreuses révélations sur un possible versement de fonds par Kadhafi lors de la campagne de Sarkozy en 2007. Une seule question a été posée à l’ancien président pourtant interviewé plus de huit fois ce mois-ci.

    « Entretien vidéo exclusif – Takieddine : “J’ai remis trois valises d’argent libyen à Guéant et Sarkozy.” » Mediapart, en partenariat avec l’agence Premières lignes, a lâché un nouveau témoignage mardi qu’on aurait pu penser accablant. Et pourtant, cet énième élément de l’affaire du financement libyen présumé de la campagne de Sarkozy en 2007 a été traité plutôt discrètement. Il ne fait ni la une des journaux, ni celle des JT, et n’est pas, loin s’en faut, le sujet principal abordé dans les interviews politiques. Et si certains médias jugent que les déclarations de Takieddine doivent être prises avec des pincettes, il faut rappeler que ce témoignage n’est pas isolé. Le 3 novembre dernier, Le Monde publiait d’autres révélations tout aussi explosives —renforçant celles déjà publiées par le site Mediapart depuis 2011— à propos de la campagne de 2007.

     
    S’il n’y a toujours aucune preuve tangible concernant un financement de la campagne de Sarkozy par le réseau de l’ex-dictateur Mouammar Kadhafi, les indices accablent le clan Sarkozy. Selon les deux sites d’information, qui ont eu accès à l’enquête, les magistrats instructeurs jugent même désormais « probable l’hypothèse d’un financement libyen ». Notamment après ces éléments de l’enquête (non exhaustifs) :

    Les enquêteurs ont obtenu pas moins de sept témoignages qui accréditent ­l’hypothèse du versement de fonds par Mouammar Kadhafi à l’équipe de Nicolas Sarkozy.
    La justice dispose aussi d’écoutes téléphoniques accablantes. « Oui, ils cherchent le lien avec Kadhafi mais ils ne cherchent pas au bon endroit », dit par exemple l’avocat franco-djiboutien Mohamed Aref dans une conversation interceptée par la police.
    Mediapart a révélé l’existence d’un carnet d’un ancien ministre du pétrole libyen, Choukri Ghanem, qui mentionne ­plusieurs versements pour un montant de 6,5 millions d’euros. Ce dernier sera retrouvé mort le 29 avril 2012 dans le Danube, en Autriche.
    Une conversation interceptée prouve que Nicolas Sarkozy aurait demandé en 2014 une lettre à Alexandre Djouhri et qui l’innocenterait.
    Selon un autre témoin cité par Mediapart, des mallettes de plusieurs millions d’euros ont été données directement à Boris Boillon (ex-conseiller diplomatique de Nicolas Sarkozy à l’Élysée) et à Claude Guéant et ont été ramenées dans un voyage en avion privé de Syrte au Bourget.
    Boillon, enfin, percevait selon ce témoin « des petits cadeaux », sous forme d’enveloppes avec des milliers d’euros. Et justement, le 31 juillet 2013, Boris Boillon est interpellé à la gare du Nord, avec un sac contenant 350.000 euros d’argent liquide.
    Même s’il n’y a pas de preuve irréfutable, même si l’enquête est toujours en cours, il paraît tout de même logique que des journalistes interrogent le candidat à la primaire de droite sur ces nouveaux éléments.

    8 interviews de Nicolas Sarkozy, 1 question sur la Libye

    Depuis les révélations du Monde le 3 novembre, Nicolas Sarkozy a été interrogé par TF1, France 2, France 3, Le Parisien, Valeurs actuelles, RTL et, Public Sénat avec Sud Radio (sans parler des médias spécialisés comme Terre-net.fr ou Business immo). Aucune question ne lui a été posée sur ce sujet. Il aura fallu attendre ce jeudi pour que la seule et l’unique lui soit posée par Le Figaro— près de deux semaines après les premières révélations.

    Le 15 novembre, le candidat à la primaire de la droite est l’invité de la matinale de RTL pendant une quinzaine de minutes. La journaliste cherche à savoir s’il a « la pêche » avant de l’interroger sur la primaire, ses concurrents, François Bayrou, Donald Trump, l’Europe, la double ration de frites pour les enfants musulmans ou juifs, Notre-Dame-des-Landes. Rien sur la Libye.

    Le 13 novembre, Nicolas Sarkozy est l’invité exclusif du 20h de TF1. Il est interrogé sur les commémorations des attentats, le groupe État islamique, les manifestations de policiers, la victoire de Donald Trump, la primaire de la droite, sa carrière politique en cas de défaite, mais pas un mot sur les accusations liées à sa campagne de 2007.

     

    Le 12 novembre, Le Parisien publie une interview fleuve de l’ex-chef d’État. Deux questions sont bien posées sur « les affaires », mais n’abordent pas le financement supposé libyen.

    Le 10 novembre, Nicolas Sarkozy est interrogé dans la matinale de France 2. Il est invité à répondre sur l’élection de Donald Trump, l’Europe et la primaire. Le nom de Kadhafi ne sera jamais évoqué.

    Le 8 novembre, l’ancien chef de l’État est interrogé pendant une heure par cinq journalistes sur Public Sénat avec Sud Radio. Rien ne sera évoqué.

    Le 6 novembre, il est l’invité de l’émission Dimanche en politique de France 3. Sur les 28 minutes du programme, pas une seconde ne sera accordée pour évoquer l’enquête en cours sur le financement de la campagne de 2007.

    Par ailleurs, le 3 novembre dernier, lors du second débat entre les différents candidats à la primaire de la droite aucune question n’a été posée sur toutes ces révélations. Même chose dans l’interview publiée par Valeurs actuelles.

    Il aura fallu attendre le 17 novembre— plus de 15 jours après les premières révélations— pour que le candidat à la primaire soit interrogé pour la première fois sur le sujet dans le Le Figaro. « Je n’ai que mépris pour cette officine qui depuis des années essaye sans succès de me salir », a-t-il notamment répondu. Il n’a toutefois pas été relancé par les journalistes.

    Silence radio dans les JT de France Télévisions

    Au rayon des JT, c’est aussi le froid polaire. La plupart des journaux télévisés n’ont pas estimé nécessaire de rapporter le témoignage exclusif publié mardi.
    Au menu du JT du 13h de TF1 ce mardi : super Lune, dernier jour pour la taxe d’habitation, grève des agents des impôts, police des douanes, primaire de la droite, désertification médicale… Mais rien sur les révélations de Mediapart datées du matin même.

    Silence radio également dans le JT de France 2 de 13h de mardi et de mercredi et plus étonnant encore de 20h. Le journal de David Pujadas a seulement accordé une page spéciale à la pré-annonce de la candidature de Macron. Sur France 3, le 19/20—l’un des programmes les plus regardés en access prime-time— ne dira pas un mot non plus.

    Chez TF1, Gilles Bouleau en parle quelques secondes, le temps d’une brève. Même chose ce mercredi dans Le Journal de 8h de la matinale de France Inter, l’un des plus écoutés de France.

    Ses proches interrogés mais rapidement

    À défaut d’avoir l’intéressé lui-même, quelques soutiens de Nicolas Sarkozy (Rachida Dati au Figaro, Laurent Wauquiez sur Europe 1 et Christian Estrosi sur BFMTV) ont été interrogés sur cette question. Ils ont toutefois eu la chance d’avoir une seule question sur le sujet et en fin d’interview.

    Les liens entre mis en cause et journalistes

    Alors comment expliquer que la presse (surtout audiovisuelle) relaie peu ces informations ou que Nicolas Sarkozy lui-même ne soit jamais interrogé dessus ? Contacté par BuzzFeed News, Simon Piel, l’un des auteurs des révélations duMonde, avance quelques hypothèses. « Nous avons eu cette réflexion en interne et c’est certain que cette affaire est assez complexe. Ce n’est pas de l’info très comestible, même si nous tâchons de la rendre pédagogique », analyse-t-il. Et d’ajouter :

    « MAIS IL Y A CLAIREMENT DES MÉDIAS QUI ONT DÉCIDÉ DE SOUS-TRAITER CETTE AFFAIRE. SOIT PARCE QU’ILS ESTIMENT QUE CELA POLLUERAIT LES DÉBATS DE LA PRIMAIRE, SOIT PARCE QU’ILS ONT DES LIENS PLUS QUE CONNIVENTS AVEC DES GENS MIS EN CAUSE. »

    En effet, Mediapart a aussi révélé les liens entre des mis en cause et le conseiller d’Arnaud Lagardère, mais aussi l’actuel patron du Journal du dimanche, Hervé Gattegno. Le Monde a lui livré une conversation interceptée qui montre l’influence du clan Sarkozy sur Le Figaro.

    À l’étranger, « la presse aurait été plus agressive »

    L’un des journalistes de Mediapart, Fabrice Arfi, partage également ce constat et juge qu’il peut y avoir « une forme de lâcheté journalistique partagée ».

    « LORS DE NOS RÉVÉLATIONS SUR L’AFFAIRE BETTENCOURT OU CAHUZAC, IL Y A TOUJOURS EU UNE FORME DE MÉFIANCE AU DÉBUT, MAIS LÀ, JE NE COMPRENDS PAS CE TRAITEMENT MÉDIATIQUE. J’AI L’IMPRESSION QU’IL Y A DEUX MONDES : CELUI DU CIRQUE MÉDIATIQUE ET CELUI DES FAITS. MAIS CES DEUX UNIVERS NE SE RENCONTRENT PAS. »

    Les deux journalistes d’investigation ont en tout cas une certitude : la presse étrangère n’aurait pas été aussi timide. « Quand on voit ce qu’il s’est passé avec les mails de Clinton aux États-Unis, le traitement médiatique français est hallucinant », lâche Fabrice Arfi. « Si ces faits concernaient un pays anglo-saxon, la presse se serait montrée sans aucun doute plus agressive. Mais ce n’est pas dans la culture française », ajoute Simon Piel.

    Alors une question sur toutes ces révélations va-t-elle être posée lors du prochain débat de la primaire ce jeudi ? Contactés, certains journalistes chargés de l’animer n’ont pas encore donné suite.

    Source : Buzzfeed

    http://srv497.fr.nf/r

  • Kathleen Evin célèbre la radio en compagnie de ses reporteurs / France Inter, L’humeur vagabonde, 25 juin 2015
    http://www.franceinter.fr/emission-lhumeur-vagabonde-kathleen-evin-celebre-la-radio-en-compagnie-d
    http://rf.proxycast.org/1043302019730776064/10054-25.06.2015-ITEMA_20770690-0.mp3

    Evidemment c’était en 1949, évidemment le nom du cher Gaston Bachelard ne dit plus grand-chose, et même quasiment rien sûrement, aux jeunes oreilles qui nous écoutent ce soir, évidemment tout cela peut apparaître à ceux qui ne jurent plus que par Twitter, Facebook et le Web, comme une histoire de Néandertal….

    Et pourtant la #radio, cette bonne vieille TSF, reste le medium le plus inventif, le plus souple, le plus proche des gens, et, je vous l’affirme, le plus indispensable à la construction d’une pensée autonome, critique, responsable. Là où la télé nous anesthésie les neurones, la radio nous les dope !

    Et quand les réseaux sociaux nous abreuvent de rumeurs et d’invectives, de cris de haine, de théories complotistes débiles et de commentaires imbéciles, la radio, quand elle ne s’abaisse pas à copier ces nouveaux modes de vie, nous apporte du grain à moudre, des motifs de réflexion, des questions à méditer bien plus intéressantes que des réponses toutes faites, de la vie, de la pensée, des souvenirs, de la mémoire.

    L’Humeur Vagabonde s’apprête à ranger ses cahiers et ses crayons pour des vacances bien méritées. Comme à chaque fois, depuis quinze saisons que nous officions, cette dernière émission sera hors programmation normale.

    Ce soir nous n’aurons que trois mots à vous dire : Vive la radio ! Mais de #service_public bien entendu….

    La radio, vous le savez déjà, c’est la conjonction, l’addition, de nombreux savoir-faire, de multiples talents, regards, imaginaires et compétences.

    Et aujourd’hui est le jour de l’année où je rends hommage à tous ceux et toutes celles qui me font, jour après jour, aimer être ici.

    Valérie Ayestaray, d’abord, parce qu’elle est devenue l’élément indispensable qui unit et embellit nos différences. C’est elle le pivot de l’équipe et j’admire son infinie patience, sa capacité de travail, son formidable talent pour habiller les lectures et son écoute jamais en défaut. Grâce à elle et à nos deux magiciens du mixage, Rémi Quincé et Basile Beaucaire, les éléments que nous diffusons durant l’émission sont de purs plaisirs de radio.

    Tout comme les fabuleuses archives que Claire Teisseire va dénicher à l’INA, avec l’aide précieuse de Sophie Gillery, Arnaud Plançon et Clary Monarque. Cette mémoire-là, celle de la radio publique, nous aide à mieux regarder le présent.

    Anne-Sophie Dazard est la vigilante tête chercheuse de l’émission grâce à qui nos invités ne sont pas ceux qui tournent en boucle partout ailleurs, et son sourire notre anti brouillard des jours « sans ».

    Mais, pour contenir la morosité dans les limites du raisonnable, nous pouvons aussi compter sur notre super programmation musicale, taillée sur mesures pour nos oreilles délicates par notre si cher Mr Djub, programmateur de luxe !

    Et puis , bien sûr, vous connaissez les noms de notre belle équipe de jeunes reporters qui, chaque soir, ouvrent pour nous les portes capitonnées du studio 611 sur la vraie vie, l’ailleurs, ses bruits, ses odeurs, ses paroles chuchotées ou assénées.

    Toujours intelligents, toujours touchants, ces reportages sont la preuve que nous sommes vivants : que soient remerciés pour leur apport indispensable Rémi Douat, Vinciane Laumonier, Elsa Daynac, Martine Abat, Gladys Marivat, Mariannick Bellot, Cerise Maréchaud et Léa Minod, qui reprendront tous du service l’année prochaine, bien sûr.

    Ce soir à la console, en régie, c’est l’ami Philippe Duclos qui a le droit de vie et de mort sur nos paroles, et en fait, je me sens assez en sécurité. Comme d’ailleurs avec tous nos amis techniciens qui nous permettent de travailler en confiance, avec bonheur et, parfois même, de nous sauver du naufrage.

    Vous n’avez évidemment pas oublié que la radio publique était en grève il y a quelques semaines, toute la radio publique. Vous n’avez pas eu droit à beaucoup d’explications claires sur les raisons de ce mouvement qui fut le plus long de l’histoire de la maison ronde.

    Il faut savoir que nous n’avons pas la possibilité de nous servir de l’antenne pour exposer les raisons d’une grève. Mais, contrairement à ce qu’un quotidien du soir a osé écrire à ce propos, dans un éditorial courageusement non signé, ce n’était pas par refus du changement ni pour défendre des privilèges. Sinon, oui, le seul qui nous importe vraiment : pouvoir continuer à faire de la belle radio, celle qui nous fait honneur et qui, je le sais, est celle que vous voulez.

    Une radio publique n’est pas, comme on nous le fait entendre, un luxe, résidu d’un autre temps où l’on en avait les moyens. C’est un des piliers essentiels de notre communauté nationale, une ouverture sur la culture pour tous, et une voix fraternelle qui vous parle au creux de l’oreille.

    Alors Que Vive la Radio Publique, même si les temps changent !

  • "Lettre ouverte aux auditeurs de Radio France : « Cette grève est pour vous »"
    http://ecrans.liberation.fr/ecrans/2015/03/25/lettre-ouverte-aux-auditeurs-de-radio-france-cette-greve-est-pour-

    Depuis huit jours, les antennes de #Radio_France sont paralysées par une #grève illimitée d’une partie du personnel, lancée à l’appel de cinq syndicats qui dénoncent les mesures d’économies annoncées par le PDG, Mathieu Gallet. Mardi, ce dernier a dit envisager un plan de départs volontaires qui pourrait concerner 200 à 300 salariés. Dans la journée, des producteurs de France Inter, France Culture et France Musique se sont retrouvés pour rédiger, en soutien au mouvement de grève, une « lettre ouverte aux auditeurs », afin de les « informer des risques qui pèsent sur la radio publique française ».« C’est la première fois depuis au moins quinze ans qu’il y a une initiative commune entre des producteurs de différentes antennes autour de la même question », explique Aude Lavigne, productrice à France Culture. Les signataires espèrent désormais que les producteurs des autres antennes se joindront à leur démarche. Voilà leur texte.

    Avec une petite réponse d’auditeur ;)
    https://www.facebook.com/syntonefr/posts/10153681062506124

    #radio

    • Le début de ton commentaire :

      Depuis hier, des productrices et des producteurs de Radio France, que nous connaissons bien, et qui jusqu’alors demeuraient plutôt en retrait ne serait-ce même que dans le relais d’information sur le mouvement social, font circuler ce texte intitulé « Cette grève est pour vous », une lettre ouverte aux auditeurs de Radio France.

      L’intention est louable, mais est-elle nécessaire, quand on observe à quel point les auditeurs qui s’expriment sur les réseaux sociaux le font en très-très grande majorité pour soutenir le mouvement ?

      Je ne sais pas si on peut juger la réalité de la réception de ce mouvement à l’aune du seul commentariat visible ou même des mails de soutien reçus. Le ressentiment à des voies plus insidieuses et des voix à peine audibles. C’est pourquoi tu as parfaitement raison dans ta conclusion… et il faudra y penser dès demain au moment de la création de la SPARF (si tant est que ce nom soit retenu…)

      Vous êtes aussi, chères productrices et producteurs, des auditrices et des auditeurs du service public de la radio ! Et c’est pourquoi cette grève, vous la faites pour vous, pour nous, pour toutes les citoyennes et les citoyens de ce pays et même au-delà. Et ici, on vous dit : bon courage !

  • Les intermittents du spectacle veulent une réforme #égalitaire - Politis
    http://www.politis.fr/Les-intermittents-du-spectacle,25303.html

    A l’avant-veille de l’ouverture des négociations avec l’#Unedic, le comité de suivi des #intermittents du spectacle remonte au front. Il défend un régime mutualiste contre le régime assuranciel mis en place en 2003.

    Et aussi : journal de 7H30 de France Inter, jeudi 16 janvier matin, entre 3’17’’ et 5’07’’
    http://www.franceinter.fr/player/reecouter?play=818094

    #chômage #intermittence #emploi_discontinu #travail