company:gazprom

  • Où l’on reparle de la Caspienne...
    http://www.chroniquesdugrandjeu.com/2019/04/ou-l-on-reparle-de-la-caspienne.html

    Le Warsaw Institute est un think tank polonais pro-US comme tant d’autres dans la « Nouvelle Europe » si chère à l’attelage Bush-Cheney. Pourtant, contrairement à ses confrères, il fait preuve d’une certaine objectivité et d’une pertinence bienvenue. Ses...

  • Les Etats-Unis veulent coûte que coûte arrêter le gazoduc entre la Russie et l’Allemagne
    https://www.bfmtv.com/economie/les-etats-unis-veulent-coute-que-coute-arreter-le-gazoduc-entre-la-russie-et-

    Le secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo a déclaré mardi à Varsovie que les Etats-Unis allaient faire tout en leur pouvoir pour stopper le gazoduc Nord Stream 2 reliant la Russie à l’Allemagne. Mike Pompeo a ainsi souligné l’absence de volonté de compromis de la part de Washington sur ce sujet, alors que l’Allemagne a opéré mardi un rapprochement avec les Etats-Unis, promettant d’importer dès les prochaines années du gaz naturel liquéfié américain et de construire l’infrastructure correspondante.

  • Reuters: Pdvsa mueve a Rusia la cuenta para ventas de empresas mixtas
    http://www.el-nacional.com/noticias/economia/reuters-pdvsa-mueve-rusia-cuenta-para-ventas-empresas-mixtas_270204

    Petróleos de Venezuela (Pdvsa) informó a los presidentes de las empresas mixtas que los futuros pagos por las exportaciones de crudo serán depositados en la institución bancaria rusa Gazprombank.

    El objetivo de esta medida es esquivar las sanciones económicas impuestas por Estados Unidos, de acuerdo al documento y a lo informado por fuentes a Reuters.

    Las empresas afectadas por esta medida deberán notificar a sus clientes que serán abonados, en dólares o euros, en la nueva cuenta bancaria en Moscú, así lo indica una carta firmada por vicepresidente de Finanzas de Pdvsa, Fernando de Quintal.

    Fuentes cercanas al sector petrolero aseguraron que después de las sanciones financieras impuestas por la administración de Donald Trump, presidente de EE UU, los socios extranjeros deben confirmarle a Pdvsa que continuarán en los proyectos.

    Decenas de barcos cargados de petróleo se mantienen anclados fuera de los puertos del país, debido a dichas medidas económicas. Por esta misma razón, Pdvsa podría detener su producción y mejoramiento de crudo con Equinor y Total, pues los diluyentes necesarios eran importados desde EE UU.

  • Volte-face de la France sur le gazoduc #Nord_Stream qui s’aligne ainsi sur la politique états-unienne et risque de provoquer la fureur de l’Allemagne

    France and Germany Face Off Over Russian Pipeline – Foreign Policy
    https://foreignpolicy.com/2019/02/07/france-and-germany-face-off-over-russian-pipeline-nord-stream-putin-m

    Though Berlin badly wants it built, Paris is set to side with the EU on new rules intended to contain Moscow.

    The United States has spent years trying to derail a controversial Russian gas pipeline in Europe. France may have just found a way to kill it—and possibly strangle Paris’s newfound rapprochement with Berlin at the same time.

    This Friday in Brussels, the Council of the European Union will vote on a seemingly arcane directive meant to apply European Union market rules to energy projects that start in a third country—like the #Nord_Stream_2 #pipeline from Russia. In a surprising about-face, first reported in the German press, France has now decided to back the directive. That risks angering Germany—which really wanted to build the pipeline with Russia—and potentially dooming the $11 billion energy project, a priority for Russian President Vladimir Putin.

    • La France se démarque de l’Allemagne sur le projet gazier Nord Stream 2
      https://www.lemonde.fr/international/article/2019/02/08/la-france-se-demarque-de-l-allemagne-sur-le-projet-gazier-nord-stream-2_5420


      Gazoduc Nord Stream 2
      Infographie Le Monde

      Paris soutient une initiative européenne susceptible de gêner l’achèvement du gazoduc entre la Russie et l’Allemagne

      Pas de changement de cap, mais certainement un changement de ton. Jusqu’à présent très discret dans le dossier sensible du gazoduc Nord Stream 2, entre la Russie et l’Allemagne, Paris a pour la première fois adopté, jeudi 7 février, une position officielle laissant apparaître son scepticisme vis-à-vis de ce projet qui divise profondément l’Europe.
      Confirmant des informations du quotidien allemand Süddeutsche Zeitung, le Quai d’Orsay a indiqué que la France s’apprêtait à soutenir, à Bruxelles, l’adoption d’une directive qui fragiliserait la structure du projet, alors même que près de 600 km de tuyaux ont déjà été posés au fond de la Baltique, soit la moitié de la distance totale.

    • version Sputnik

      Macron attaque l’Allemagne sur le gazoduc Nord Stream 2 - Sputnik France
      https://fr.sputniknews.com/international/201902071039945277-Macron-Allemagne-gazoduc-NordStream2

      C’est confirmé. La France va faire faux-bond à l’Allemagne sur le Nord Stream 2. La rumeur courait que Paris soutiendrait une directive européenne mettant en péril le gazoduc que Berlin soutient. Interview de Philippe Sébille-Lopez, analyste indépendant sur les questions énergétiques et de politiques étrangères au cabinet Géopolia.

      « Nous ne voulons pas renforcer notre dépendance vis-à-vis de la Russie, nous ne voulons pas nuire aux intérêts des pays de l’UE comme la Pologne et la Slovaquie. »

      Telles seraient les explications données par une source du Süddeutsche Zeitung, au sein des « cercles gouvernementaux » français, pour justifier un retournement de position de la France vis-à-vis du Nord Stream 2.

    • À l’instant, il y a 10 minutes, dépêche Reuters, accord de dernière minute (pas d’autre précision).

      L’UE approuve de nouvelles règles sur Nord Stream 2 | Reuters
      https://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKCN1PX1IY-OFRTP

      Un projet franco-allemand de révision de la directive européenne sur le gaz, qui vise notamment à réglementer le gazoduc Nord Stream 2, a remporté le soutien des pays de l’Union européenne, a-t-on appris de sources diplomatiques.

      Cette décision devrait compliquer, sans pour autant remettre en cause, la construction de ce gazoduc conçu pour relier la Russie à l’Allemagne à travers la mer Baltique.

      Une proposition franco-allemande de dernière minute pour amender la formulation de la nouvelle réglementation a été approuvée par la plupart des autres membres de l’EU.

      La France et l’Allemagne ont toutes deux des entreprises engagées dans le projet.

      La chancelière allemande Angela Merkel a confirmé qu’un accord avait été conclu et en France, une source à l’Elysée à affirmé qu’il s’agissait d’un bon accord qui assurait la souveraineté de l’Europe en matière d’approvisionnement en énergie.

    • Faire monter la pression pour une éventuelle contre-partie ?

      Opposition éphémère de Paris au Nord Stream 2 : une simple fronde contre Berlin ? - Sputnik France
      https://fr.sputniknews.com/international/201902081039958142-allemagne-france-nord-stream

      La France est en réalité intéressée par le Nord Stream 2, c’est juste un esprit de fronde qui a poussé Paris à préconiser la modification des règles énergétiques en Europe restreignant le gazoduc, estime un expert russe.
      La France et l’Allemagne sont parvenues vendredi à un accord sur la régulation du projet du gazoduc Nord Stream 2, Paris s’alignant finalement sur la position de Berlin. L’expert russe en matière énergétique Stanislav Mitrakhovitch a donné sa vision de ce conflit à la chaîne de télévision RT.

      « Il faut comprendre que la France n’a pas planifié de s’opposer de façon fondamentale au Nord Stream 2, il s’agissait de faire preuve d’un certain esprit de fronde de Paris vis-à-vis de Berlin, lié à des processus internes dans l’UE. En principe, si l’on prend ce projet séparément, la France y est intéressée car des entreprises françaises y prennent part et l’essentiel est que la société Engie y travaille. Je pense que toute cette histoire, soulevée hier par la presse, est très probablement liée aux divergences franco-allemandes sur le thème de l’UE », a-t-il indiqué.
      Les questions de ce genre doivent, selon lui, être débattues au sein du Conseil de l’UE et être adoptées à l’unanimité ou à la majorité des voix.

      « Si l’Allemagne était contre et que certains pays, comme l’Autriche, la Hongrie ou d’autres, le soutenaient, les protestations françaises se seraient noyées… », a ajouté l’expert.

      La France et l’Allemagne sont parvenues à un compromis sur le gazoduc Nord Stream 2 qui permettra à Berlin de rester le principal négociateur avec Moscou sur ce projet, selon un projet de document cité vendredi par l’AFP. Plus tard, la chancelière allemande Angela Merkel a confirmé qu’un accord avait été conclu sur Nord Stream 2.

    • TVB, pas même un papier de cigarette entre la France et l’Allemagne dit Mme Merkel,…
      Néanmoins, ça reste dans un grand flou.

      Nord Stream 2. Accord européen sur le compromis franco-allemand pour le transport du gaz
      https://www.ouest-france.fr/europe/ue/nord-stream-2-accord-europeen-sur-le-compromis-franco-allemand-pour-le-

      Selon plusieurs sources diplomatiques, le mandat donné à la présidence roumaine reflète un texte de compromis déposé par la France et l’Allemagne.

      « Il y a effectivement eu un accord qui n’a été possible que grâce à l’étroite coopération entre la France et l’Allemagne, sous la présidence roumaine de l’UE. Je vois très souvent le président français, il y a une étroite coopération, sur tous les sujets européens », a réagi la chancelière allemande Angela Merkel lors d’une conférence de presse à Berlin.

    • Nord Stream 2 : Paris se félicite que l’Allemagne ait « beaucoup évolué » | Connaissance des Énergies
      https://www.connaissancedesenergies.org/afp/nord-stream-2-paris-se-felicite-que-lallemagne-ait-beaucoup

      (AFP)
      La France s’est félicitée vendredi que l’Allemagne ait « beaucoup évolué » sur le projet de gazoduc Nord Stream 2 (NS2), en acceptant de voter une directive qui va le « soumettre à un contrôle européen », a indiqué l’Elysée.

      Un compromis a été trouvé entre la France et l’Allemagne sur la directive gaz, qui donne à l’Union euroépenne (UE) le pouvoir de contrôle des grands projets d’infrastructures gazières.

      L’Allemagne a accepté le texte, la France acceptant en échange que ce soit le régulateur allemand qui soit chargé de son application à NS2, « mais sans (en) atténuer le contrôle », souligne Paris. La France espère maintenant une adoption rapide de la directive.

      « L’Allemagne comptait bloquer cette directive, mais elle a beaucoup évolué car elle a compris qu’elle n’avait pas une minorité de blocage et que la directive aurait été adoptée sans elle », a commenté la présidence française.

      « La directive pourrait amener non pas à supprimer ce projet mais à le contrôler strictement et à le reconfigurer », selon Paris, qui craint l’accroissement de la dépendance de l’UE au gaz russe.

      « Si elle est adoptée, la Commission imposera sans doute un certain nombre de garanties pour que le projet se fasse, dont des garanties de transit d’une partie du gaz par l’Ukraine et la Slovaquie. Cela va sans doute le décaler un peu », estime la présidence française.

      La directive impose en effet que Nord Stream 2 respecte le critère qui oblige à dissocier fournisseur et producteur, ce que le projet actuel avec Gazprom ne respecte pas.

      « Il y a deux solutions : soit il faut reconfigurer le projet de manière très importante, avec un très fort impact sur le délai, soit le régulateur allemand présente une demande de dérogation en démontrant que le projet renforce les règles de concurrence et la sécurité énergétique. La solution serait que du gaz continue de transiter en partie par l’Ukraine », dont les revenus liés au transit du gaz représentent jusqu’à 2% du PIB.

      A trois mois des élections européennes, « C’est aussi un message sur l’indépendance énergétique de l’UE » et sur la capacité de l’Europe à se protéger, relève l’Elysée.

      « On ne peut pas dire qu’on est pour la protection européenne des influences extérieures et en même temps ne pas prendre en compte la préoccupation de pays comme la Pologne et la Slovaquie. Sinon ils auraient été fondés à nous dire, vous les Français et les Allemands, la souveraineté européenne, c’est quand ça vous arrange. On ne veut pas entretenir de tels discours », a commenté Paris.

      #troisième_paquet_énergie

  • Gazoduc Nord Stream 2 : les Etats-Unis s’en prennent directement aux entreprises européennes
    https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/gazoduc-nord-stream-2-les-etats-unis-s-en-prennent-directement-aux-entrepr

    Washington maintient la pression contre le projet de #gazoduc germano-russe, #Nord_Stream_2, en menaçant de sanctions les entreprises allemandes impliquées.

    Le porte-parole de l’ambassade américaine à Berlin a indiqué dimanche à l’AFP que « La lettre rappelle à toutes les entreprises impliquées dans le secteur des gazoducs d’exportation de l’énergie russe qu’elles s’exposent à des sanctions américaines », une information révélée par le quotidien allemand Bild paru dimanche.

    Ce risque de sanctions est prévu par la Loi sur les « sanctions pour lutter contre les adversaires de l’Amérique » (CAATSA), adoptée en 2017 et qui vise l’Iran, la Corée du Nord et la Russie.

    Le porte-parole a précisé que cette missive n’avait pas « pour but d’être comprise comme une menace mais comme un message clair de la politique américaine ». Il a également souligné que le seul « chantage » possible dans ce dossier serait de voir à l’avenir le Kremlin contrôler les livraisons gazières à l’Europe.

    Le gazoduc qui attire ainsi les foudres de Washington est le projet Nord Stream 2 qui doit permettre de livrer directement du gaz russe à l’Allemagne et au reste de l’Europe en passant par la mer Baltique. Cela en contournant l’Ukraine, aujourd’hui principal point de passage.

    Afin de multiplier par deux la capacité de gaz transportée, Nord Stream 2 a pour objectif de doubler Nord Stream 1, dont le parcours traverse les eaux territoriales de cinq pays, Russie, Finlande, Suède, Danemark et Allemagne.

    Le projet regroupe le géant russe Gazprom et plusieurs groupes énergétiques européens dont les allemands Wintershall et Uniper, le néerlando-britannique Shell, le français Engie et l’autrichien OMV.

    Ce n’est pas la première fois que les Etats-Unis critiquent ce projet mais en menaçant directement de sanctions les entreprises concernées, ils franchissent in pas de plus dans leur opposition.

    #NordStream (1 et 2)

  • Le guide gastronomique Gault & Millau change de main
    https://www.lesechos.fr/tech-medias/medias/0600482763286-le-guide-gastronomique-gault-et-millau-passe-sous-pavillon-ru

    Le Français Jacques Bally et le Russe Vladislav Skvortsov sont les nouveaux propriétaires du prestigieux guide français. Ils comptent notamment accélérer la digitalisation.

    Changement de toque chez Gault & Millau. Près de cinquante ans après sa création, le prestigieux guide gastronomique français a été cédé à un investisseur russe et au Français Jacques Bally, qui prend les rênes de l’entreprise.

    « Je travaille à cette reprise depuis 2013, mais à l’époque nous n’avions pas trouvé de terrain d’entente avec le propriétaire Côme de Chérisey », rembobine Jacques Bally, qui a également dirigé le groupe Sibuet. C’est désormais chose faîte.

    Propriétaire de la licence russe du guide gastronomique depuis 2016, Jacques Bailly s’est associé avec Vladislav Skvortsov, 32 ans, financier russe passé par la banque VTB. L’attelage détient désormais 100 % des parts de NTI, la holding dont dépend Gault & Millau. Le montant de la transaction est confidentiel.
    […]
    Pour l’heure, les deux associés se concentrent sur l’embauche d’un directeur technique, d’un directeur international et d’un « lead developer » afin de procéder à la refonte du site internet.

    • Un grand groupe russe avale le Gault et Millau - Culture / Next
      https://next.liberation.fr/food/2019/01/09/un-grand-groupe-russe-avale-le-gault-et-millau_1701907


      Côme de Chérisey et l’édition 2018 du Gault et Millau, en octobre 2017.
      Photo Jean-Pierre Clatot. AFP

      Le Gault et Millau, le deuxième guide gastronomique mondial (après le Michelin), a annoncé ce mercredi son rachat par une entreprise russe, Holding NTI, coprésidée par l’homme d’affaires russe Vladislav Skvortsov, dont la famille est liée à la banque VTB, et par le Français Jacques Bally, consultant pour le géant de l’énergie Gazprom et patron de la licence Gault et Millau en Russie et Bélarussie.
      […]
      Ce repreneur russe va-t-il sincèrement protéger l’indépendance de Gault et Millau ? C’est ce que déclare Cherisey : « Je suis confiant dans la volonté des nouveaux propriétaires de poursuivre et améliorer notre travail, et je crois que les fonds qu’ils ont prévus d’investir renforceront cette position ». Les nouveaux patrons ont indiqué à l’agence Reuters qu’ils souhaitaient « valoriser l’existant », développer « la transmission des savoirs culinaires » et renforcer les projets numériques. Mais le risque n’est pas exclu que ces nouveaux investisseurs cèdent à des compromis pour se fondre dans un marché mondial de plus en plus juteux, contestable par ses méthodes de désignation des chefs et des établissements, quand il n’est pas carrément poreux aux intérêts de l’agrobusiness.

    • Банк ВТБ — Википедия
      https://ru.wikipedia.org/wiki/%D0%91%D0%B0%D0%BD%D0%BA_%D0%92%D0%A2%D0%91

      2013 год
      ВТБ провел допэмиссию акций. Государство не участвовало в SPO и его доля акций в банке после закрытия подписки снизилась до 60,9 %. Банк привлек в капитал 102,5 млрд рублей. Крупнейшими инвесторами банка, которые выкупили более половины его акций, стали три суверенных фонда — норвежский Norges Bank Investment Management, Qatar Holding LLC и Государственный нефтяной фонд Азербайджана, а также коммерческий банк China Construction Bank.

      Après l’augmentation de capital de 2013, donc l’état russe reste donc propriétaire de 60,8% du capital ; à cette occasion, sont rentrés au capital 3 fonds souverains :
      • Norges Bank Investment Management
      • Qatar Holding LLC
      • le fonds d’état de l’Azerbaïdjan
      ainsi que :
      • la China Construction Bank

      Le 13/12/2018, VTB a annoncé vouloir développer le système de paiement #Alipay du groupe chinois #Alibaba, afin de développer l’utilisation de ce moyen de paiement par les visiteurs chinois en Russie.

      https://seenthis.net/messages/750880

  • Russia-Ukraine tensions rise after #Kerch Strait ship capture - BBC News
    https://www.bbc.com/news/world-europe-46340283

    Ukraine’s parliament is to decide whether to bring in martial law, after Sunday’s capture of three of its naval vessels and 23 crew members by Russia.

    The three ships were sailing off the coast of Crimea, which was annexed by Russia in 2014, when they were seized.

    Russia opened fire, before its special forces stormed the vessels. Between three and six Ukrainians were injured.
    Ukraine said it was a Russian “act of aggression”. Moscow said the ships had illegally entered its waters.

    On Monday, Ukrainian President Petro Poroshenko said he was proposing that parliament back a 30-day martial law - half the length of that recommended by Ukraine’s security and defence council a day earlier.

    In a televised address, Mr Poroshenko said he did not want martial law to affect presidential elections set for 31 March 2019. If backed by MPs, martial law would enter into force at 09:00 local time (07:00 GMT) on 28 November.

    Sunday’s clash between Russian and Ukrainian vessels marks a major escalation of tension between the two countries.
    This is the first time the two militaries have come into open conflict in recent years, although Ukrainian forces have been fighting Russian-backed separatists and Russia volunteers in the east of the country.

    #Crimée

    https://www.youtube.com/watch?v=PpxNuTlwwEA

    • La Russie bloque le passage en mer d’Azov en immobilisant un pétrolier sous le pont de Crimée.

      Russian jet fighters fly over a bridge connecting the Russian mainland with the Crimean Peninsula with a cargo ship beneath it after three Ukrainian navy vessels were stopped by Russia from entering the Sea of Azov via the Kerch Strait in the Black Sea - H24info
      https://www.h24info.ma/monde/la-russie-capture-trois-navires-ukrainiens-escalade-de-tensions-entre-kiev-et-moscou/attachment/russian-jet-fighters-fly-over-a-bridge-connecting-the-russian-mainland-with-

      Russian jet fighters fly over a bridge connecting the Russian mainland with the Crimean Peninsula with a cargo ship beneath it after three Ukrainian navy vessels were stopped by Russia from entering the Sea of Azov via the Kerch Strait in the Black Sea

    • Détroit/Kertch : la Russie a agi « en stricte conformité avec le droit international »
      http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2018/11/26/97001-20181126FILWWW00122-detroitkertch-la-russie-a-agi-en-stricte-conformi

      Les gardes-frontières russes qui ont arraisonné dimanche trois navires ukrainiens dans le détroit de Kertch ont agi «  en stricte conformité avec le droit international  », a assuré aujourd’hui le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov au lendemain de cet incident sans précédent. «  La partie russe a agi en stricte conformité avec la législation, à la fois le droit international et le droit intérieur_ », a-t-il déclaré aux journalistes, précisant qu’il s’agissait d’une «  intrusion de navires de guerre étrangers dans les eaux territoriales de la Fédération de Russie  ».

    • Occasion de clarifier (à chaud !) le statut de la mer d’Azov et du détroit : s’il s’agit d’eaux internationales, la Russie n’a pas le droit de bloquer l’accès,…

      Tensions en mer d’Azov | Grip
      https://www.grip.org/fr/node/2634

      Statut juridique de la mer d’Azov

      Le statut juridique de la mer d’Azov est complexe pour deux raisons : la chute de l’URSS et l’annexion russe de la Crimée. Cet espace maritime était considéré du temps de l’URSS comme une mer intérieure et la question se pose de savoir si ce statut aurait pu être transmis à la fois à l’Ukraine et à la Russie après 1991. Selon cette hypothèse, la mer d’Azov serait donc une mer intérieure partagée entre l’Ukraine et la Russie. Dans un autre scénario, la mer d’Azov aurait perdu ce statut de mer intérieure lors de l’indépendance de l’Ukraine et le régime classique du droit de la mer s’appliquerait donc avec des zones économiques exclusives pour la Russie et l’Ukraine et un régime d’eaux internationales au centre de la mer d’Azov. L’annexion de la Crimée complexifie l’équation puisque les deux États revendiquent des zones économiques exclusives autour de la Crimée. Pour compliquer davantage le casse-tête juridique, plusieurs accords bilatéraux ont été signés entre l’Ukraine et la Russie garantissant la liberté de navigation sur cette mer. En 2003, un Accord de coopération sur l’usage de la mer d’Azov et du détroit de Kertch a été signé entre l’Ukraine et la Russie réitérant le statut de « mer interne partagée ». L’Ukraine pourrait cependant dénoncer cet accord au vu des incidents récents et revenir au régime classique de partage des eaux territoriales selon les définitions de la Convention des Nations unies sur le droit de la mer. Cette question du statut de la mer d’Azov est importante car elle conditionne la possibilité pour l’Ukraine d’intenter une action devant la justice internationale.

    • Russia Ignores Western Calls to Free Captured Ukrainian Ships

      Ukraine introduces martial law citing threat of Russian invasion | Reuters
      https://uk.reuters.com/article/uk-ukraine-crisis-russia-idUKKCN1NV0MW


      Seized Ukrainian ships, small armoured artillery ships and a tug boat, are seen anchored in a port of Kerch, Crimea November 26, 2018.
      REUTERS/Pavel Rebrov

      The crisis erupted when border patrol boats belonging to Russia’s FSB security service seized two small Ukrainian armoured artillery vessels and a tug boat after opening fire on them and wounding three sailors on Sunday.

      The Ukrainian vessels had been trying to enter the Sea of Azov from the Black Sea via the narrow Kerch Strait that separates Crimea from the Russian mainland.

      Interfax news agency quoted Russia’s human rights commissioner, Tatyana Moskalkova, as saying on Monday that 24 Ukrainian sailors were being detained. Three of the sailors were wounded but were not in a serious condition and were recovering in hospital.

      The FSB said the Ukrainian ships had ignored warning shots, forcing Russian vessels to open fire for real, after they illegally entered Russian territorial waters.

      A Reuters witness in Kerch, a port in Crimea, said the three Ukrainian vessels were being held there on Monday.

    • Trump Says He Does Not Like Russia-Ukraine Situation
      http://themoscowtimes.com/news/trump-says-he-does-not-like-russia-ukraine-situation-63606

      U.S. President Donald Trump on Monday said he does not like what is happening between Russia and Ukraine, a day after Russian crews seized Ukrainian vessels near Crimea.

      We do not like what’s happening either way. And hopefully it will get straightened out,” Trump told reporters as he left the White House.

      Trump said European leaders were working on the situation. “They’re not thrilled. We’re all working on it together,” he said.

    • Et donc, il s’agit des canonnières Nikopol (P176, le nom est très clairement lisible sur le côté de la passerelle) lancée en novembre 2015 et Berdiansk (P175) lancée en juin 2017, de la classe Gurza-M.
      https://en.wikipedia.org/wiki/Gyurza-M-class_artillery_boat


      P175 Berdiansk
      Ministry of Défense of Ukraine, via WP

      et du remorqueur Yani Kipu, A947 (bizarre, c’est un nom turc !?)

      EDIT : non, le nom donné par liveuamap
      https://liveuamap.com/en/2018/26-november-photo-tugboat-yani-kipu-a947-and-2-armored-boats
      n’est pas le bon…

      il s’agit du Krasnoperekopsk, A947 de la classe Prometey
      http://www.shipspotting.com/gallery/photo.php?lid=1091579


      Photographer : Igor Terokhin
      shipspotting.com

      EDIT (bis) ben si, Yani Kapu et Krasnoperekopsk sont deux noms pour désigner les mêmes choses :

      • une ville du nord de la Crimée (juste à l’ouest de l’isthme de Perekop) nommée donc, Perekop la rouge
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Krasnoperekopsk

      • qui a donné son nom à un remorqueur « d’attaque » ("de raid" disent les versions en anglais) soviétique en 1974
      https://uk.wikipedia.org/wiki/Яни_Капу_(буксир)

      La ville a été rebaptisée par l’Ukraine Yani Kapu (Yañı Qapı, la nouvelle porte en tatar) le 12 mai 2016, deux ans après l’annexion de la Crimée par la Russie… Et le remorqueur a suivi.

    • Vladimir Poutine qualifie les incidents en mer Noire de « provocation »
      https://www.lemonde.fr/international/article/2018/11/28/vladimir-poutine-qualifie-les-incidents-en-mer-noire-de-mousse-politique_538

      Jusqu’ici plutôt en retrait, Vladimir Poutine a, pour la première fois, commenté en public, mercredi 28 novembre, les incidents survenus quatre jours plus tôt en mer Noire entre la marine ukrainienne et les forces de sécurité russes. Interrogé sur le sujet en marge d’un forum d’investissement organisé par la banque VTB à Moscou, le chef du Kremlin a répondu : « C’est une provocation, bien sûr ! »

      Sans jamais prononcer le nom de Petro Porochenko, le chef du Kremlin a ouvertement accusé son homologue ukrainien de calculs politiques. « C’est une provocation organisée par les autorités actuelles, je pense même par son président actuel, à l’approche de l’élection présidentielle en Ukraine au mois de mars de l’année prochaine », a souligné M. Poutine. Qui ajoute : « Les sondages, si je ne me trompe pas, placent le président au cinquième rang, il y a même des chances qu’il ne passe pas au second tour, donc, il fallait faire quelque chose pour exacerber la situation et créer des obstacles infranchissables pour ses concurrents. (…) Je suis sûr de cela. »

      A aucun moment, le président russe n’a évoqué les trois navires ukrainiens saisis par les forces de sécurité russes – sauf pour déclarer qu’elles avaient accompli « leur mission » et respecté « les ordres » – ni même le sort des 24 marins capturés à leur bord. Ces derniers comparaissent depuis mardi devant un tribunal russe pour être placés, les uns après les autres, en détention provisoire pour deux mois.

      « C’est un incident frontalier, pas plus », a-t-il minimisé, en évoquant des éléments récents « d’une autre envergure » tels que « le rattachement de la Crimée à la Russie » en 2014, ou « la guerre civile » dans le Donbass, dans l’est de l’Ukraine qui opposent les séparatistes prorusses soutenus par Moscou et les forces armées de Kiev. « Une guerre de facto, a poursuivi M. Poutine, et pourtant, aucune loi martiale n’avait été instaurée. Et là, un petit incident et on instaure la loi martiale ! C’est évident que c’est organisé à l’approche de l’élection présidentielle. »

    • Un avion espion US mène une reconnaissance près du détroit de Kertch - Sputnik France
      https://fr.sputniknews.com/russie/201811281039082977-vol-reconnaissance-boeing-detroit-kertch

      Au surlendemain de l’incident en mer Noire, où trois navires militaires ukrainiens ont violé les eaux territoriales russes, un avion de lutte anti-sous-marine Boeing P-8A Poseidon de l’US Navy a effectué un vol de reconnaissance dans la région du détroit de Kertch et de la Crimée, selon le portail de suivi des vols PlaneRadar.

      Le mardi 27 novembre un Boeing P-8A Poseidon américain a mené une mission de reconnaissance dans la région du détroit de Kertch et de la Crimée, a annoncé le site PlaneRadar via Twitter.


      Un avion de patrouille maritime, Boeing P-8A Poseidon de l’US Navy, immatriculé 168848, effectue un vol de reconnaissance le long des côtes russe de la mer Noire, a annoncé le site.

      L’appareil, appartenant à la 26e escadrille de patrouille de la marine américaine est passé à une distance de 31 km des côtes de la Crimée.

      Plus tôt le même jour, cette même région a été espionnée par un drone stratégique RQ-4A Global Hawk de l’US Air Force, qui avait également été repéré à proximité de la ligne de séparation dans le Donbass.

    • Un excellent article de synthèse antérieur à la crise (12 septembre 2018) par Igor Delanoë.

      Jeux dangeureux en mer d’Azov - Le portail des forces navales de la Fédération de Russie
      http://www.rusnavyintelligence.com/2018/09/jeux-dangeureux-en-mer-d-azov.html

      Voilà plusieurs mois que la tension monte en mer d’Azov entre Russes et Ukrainiens au sujet de la liberté de navigation. Pour l’instant, les escarmouches n’ont pas dégénéré en accrochages, mais l’Ukraine a commencé à transférer par chemin de fer des vedettes armées depuis la mer Noire vers la mer d’Azov.

      Depuis le printemps derniers, des chalutiers ukrainiens et autres navires étrangers souhaitant se rendre dans les ports d’Ukraine situés en mer d’Azov sont régulièrement arraisonnés par les gardes-côtes russes. La Russie fait en outre attendre parfois pendant plusieurs jours les navires qui souhaitent transiter par le détroit de Kertch depuis la mer Noire à destination des côtes ukrainiennes de la mer d’Azov. Depuis l’annexion de la Crimée par Moscou, cette mer est de facto sous contrôle de la Russie qui en commande l’accès par le détroit de Kertch, situé entre la péninsule criméenne et la presqu’île russe de Taman. Russes et Ukrainiens ont signé en 2003 un accord selon lequel les eaux de la mer d’Azov et celles du détroit de Kertch sont considérées comme des eaux intérieures. Toutefois, depuis l’annexion de 2014, Kiev souhaite déchirer ce papier et internationaliser le régime de la mer d’Azov, en espérant ainsi que l’arrivée de nouveaux acteurs maritimes étrangers fera contrepoids à l’hyper-influence russe dans cette sous-région du bassin pontique.

      L’inauguration du pont de Kertch qui relie la Crimée à la Russie continentale en mai dernier a aiguisé les tensions. La Russie, qui n’écarte pas la possibilité que l’Ukraine tente une opération de sabotage contre l’édifice, a transféré depuis la flottille de la mer Caspienne, via le canal Volga-Don, 2 canonnières fluviales ainsi que des petits navires lance-missiles, qui ont rejoint plus tard le détachement opérationnel russe en Méditerranée. Kiev, de son côté, a transféré 2 vedettes du Projet 58155 faiblement armées depuis la mer Noire vers le port de Berdiansk par chemin de fer. La première unité est arrivée le 8 septembre et la seconde, le 11 septembre. Une troisième vedette doit prochainement être basculée en mer d’Azov. L’idée pour les Ukrainiens est de pouvoir assurer la protection des deux principaux ports de commerce que sont Marioupol et Berdiansk. A terme, Kiev souhaite établir une division de vedettes en mer d’Azov. Compte-tenu du peu de profondeur de cette mer - 6 mètres en moyenne - seules des unités de faible tonnage peuvent y être engagées. Toutefois, pour Moscou, le bassin de la mer d’Azov demeure fermé à toute activité des flottes de l’OTAN - qui ont en revanche accès à la mer Noire selon les conditions énoncées dans la Convention de Montreux (1936). Aussi, en cas de conflit dans le Donbass, ce « lac russe » constituerait une plateforme de tir potentiel pour des missiles Kalibr ainsi qu’un point de départ pour des opérations amphibies.

      Quels sont les objectifs recherchés par les uns et par les autres à travers ces escarmouches ? Pour Kiev, il s’agit de maintenir à l’ordre du jour le sujet « Crimée » qui est une affaire classée - outre la question des sanctions criméennes - par nombre de chancellerie occidentale. Par ailleurs, l’année 2019 sera une année charnière en Ukraine : l’élection présidentielle à lieu en mars, et le contrat de transit gazier qui lie Kiev à Gazprom depuis la fin des années 2000 arrive à son terme. Aussi, ces escarmouches visent potentiellement à renforcer la position de négociation de Moscou tout autant que la rhétorique patriotique à Kiev. L’Ukraine ne se satisfait pas du statu quo en mer d’Azov et souhaite mettre sur la table la question de la délimitation des frontières maritimes, sans être pour autant prête à sérieusement négocier. Rappelons par ailleurs que l’Ukraine a coupé les canaux d’alimentation d’eau fraîche vers la Crimée. Il pourrait y avoir là une monnaie d’échange potentielle.

      Contrairement à ce que pourrait laisser croire le nom de son blog, Le portail des forces navales de la Fédération de Russie, il ne s’agit pas d’un site officiel.

      A propos - Le portail des forces navales de la Fédération de Russie
      http://www.rusnavyintelligence.com/pages/A_propos-4830107.html

      A propos
      Igor Delanoë est docteur en histoire moderne et contemporaine de l’Université de Nice-Sophia Antipolis, et chercheur associé au Harvard Ukrainian Research Institute (Harvard University) ainsi qu’au Center for International and European Studies (université Kadir Has, Istanbul). Il est le directeur adjoint de l’Observatoire franco-russe, le centre d’analyse de la Chambre de commerce et d’industrie franco-russe depuis septembre 2015.

    • Pour mémoire, l’accord russo-ukrainien de décembre 2003 sur la circulation en mer d’Azov (il est parfois – pas systématiquement – cité) est officiellement toujours en vigueur malgré l’annexion de la Crimée en 2014.

      Et personne ne semble réellement se soucier de savoir si l’Ukraine avait demandé l’autorisation préalable de franchissement du détroit, étant entendu que, des deux côtés, on renforce les (faibles) moyens militaires…

      Il est difficilement concevable que la Russie ait pu arraisonner les navires ukrainiens si l’autorisation avait été demandée et, a fortiori, accordée…

      Accord russo-ukrainien sur la mer d’Azov - Libération
      (article du 27 décembre 2003)
      https://www.liberation.fr/planete/2003/12/27/accord-russo-ukrainien-sur-la-mer-d-azov_456591

      La conclusion, mercredi [24 décembre], d’un accord russo-ukrainien sur la mer d’Azov était interprétée, à Kiev, comme une nouvelle concession du président Léonid Koutchma à Vladimir Poutine. Selon le texte signé par les deux chefs d’Etat, la mer d’Azov et le détroit de Kertch (en Crimée, sud de l’Ukraine), qui la sépare de la mer Noire, seront désormais « gérés conjointement ». Les bateaux ukrainiens et russes jouiront de la liberté de navigation. En revanche, les bâtiments militaires des pays tiers ne pourront y entrer que sur autorisation des deux pays, ce qui permettra à Moscou d’empêcher l’entrée de navires de l’Otan. « Cette mesure est peu compatible avec l’intention de l’Ukraine d’adhérer à l’Alliance atlantique », relève l’hebdomadaire Zerkalo Nedeli. Un différend a récemment éclaté après que la Russie a mis en doute l’appartenance à l’Ukraine de l’île de Touzla, dans le détroit de Kertch.

    • J’aime bien le double discours – dès les éléments soulignés après le titre… _ la part du trafic qui passe par Kertch est marginale (moins de 5% et déplorable vers d’autres ports) mais le blocus (temporaire) souligne le risque sur les approvisionnement en blé ukrainien (qui sera très abondant cette saison)

      Chokepoint Blockade Exposes Supply Risk for Black Sea Grain - Bloomberg
      https://www.bloomberg.com/news/articles/2018-11-26/russian-flareup-with-ukraine-brings-focus-on-shipping-chokepoint

      • Access cut to Kerch Strait between Black Sea and Sea of Azov
      The ports handles a relatively small share of Ukrainian grain
      • Access cut to Kerch Strait between Black Sea and Sea of Azov
      The ports handles a relatively small share of Ukrainian grain

      Russia’s brief blockade of a key shipping channel for Black Sea grain highlights the risk of disruption to an important source of global supply.

      Russia cut off access to the Kerch Strait between the Sea of Azov and the Black Sea after tensions with Ukraine flared up over the weekend, and has since reopened the passage. Still, the conflict means some traders will likely reroute cargoes to avoid passing through the strait, according to the Ukrainian Grain Association.

      We are expecting a record harvest this season, and we plan record exports,” said Mykola Horbachov, head of the Ukrainian Grain Association. “So any window that is being closed for us means heavier pressure on our infrastructure, both seaport and railway. We are stretched to the limit.

      Ukraine ranks among the world’s biggest corn and wheat producers, supplying food to major markets in Europe, the Middle East and Asia. Analysts said they didn’t expect much market impact because the proportion of Ukrainian grain that moves from ports on the Sea of Azov is relatively small, and the incident seems limited so far.

      Grain markets largely shrugged off the news. Benchmark prices in Chicago rose 1 percent and milling wheat futures in Paris added 0.2 percent.

      Shipments from the Ukraine ports of Mariupol and Berdyansk make up about 5 percents of the country’s grain exports, and cargoes that had previously planned to leave those areas may instead move by rail or other ports, Horbachov said. The two ports are on the Azov Sea and rely on the Kerch Strait.

      In terms of grain exports, it won’t have a big impact because I don’t think that Russia will stop their boats in the Kerch Strait, and in terms of Ukraine exports, there is not a lot of exports from the Azov Sea,” said Gautier Maupu, a Black Sea grains analyst with Agritel in Kiev. “Russian exports will not slow down, so there will not be a strong impact on markets.

      Still, the blockade highlights the threat of disruption to Black Sea supplies just as global grains markets are buffeted by the trade war between the U.S. and China. Wheat has jumped about 20 percent this year in Chicago as heat and dryness worldwide curbed output, including in the Black Sea.

    • Poutine défend sa version des affrontements avec l’Ukraine en mer Noire
      https://www.lemonde.fr/international/article/2018/12/03/poutine-avance-sa-version-des-affrontements-avec-l-ukraine-en-mer-noire_5391


      Vladimir Poutine, à Buenos Aires, le 1er décembre.
      MARCOS BRINDICCI / REUTERS

      Privé de rencontre bilatérale avec Donald Trump, en représailles après les incidents survenus le 25 novembre au large de la Crimée qui ont abouti à la capture de trois bateaux et de vingt-quatre marins ukrainiens par la Russie, M. Poutine a livré sa version des faits au président américain « debout », comme il a lui-même décrit l’échange, en marge d’un dîner.

      Face à son homologue français, Emmanuel Macron, ou avec la chancelière allemande, Angela Merkel, avec lesquels il a pu s’entretenir en aparté, il a même sorti un stylo pour dessiner sur le papier sa chronologie des événements. Aux journalistes ensuite, M. Poutine a assuré que « la guerre va continuer » dans l’est de l’Ukraine, tant que les autorités actuelles de Kiev « resteront au pouvoir ».

      Version de VVP dont la seule chose que l’on ait le droit de savoir est qu’il qualifie l’événement de provocation. Absolument rien sur le déroulement des faits, ni en gros, ni en détail.

    • Ukraine resumes grain shipments from Azov Sea | Reuters
      https://af.reuters.com/article/worldNews/idAFKBN1O30M5


      FILE PHOTO: Cranes are seen in the Azov Sea port of Mariupol, Ukraine December 2, 2018.
      REUTERS/Gleb Garanich/File Photo

      Ukraine said on Tuesday it had resumed grain shipments from the Azov Sea, blocked for around 10 days after a military standoff with Russia in the Kerch Strait off Crimea.
      […]
      Earlier, Ukraine’s infrastructure minister Volodymyr Omelyan had said the two ports - vital for eastern Ukraine’s economy - had been “partially unlocked” with the restoration of some free movement through the Kerch Strait.

  • Russia’s Gazprom says offshore part of TurkStream is complete | Reuters
    https://uk.reuters.com/article/turkey-russia-gas-pipeline-idUKL8N1XU3N5

    Construction of the offshore part of the TurkStream pipeline that will carry Russian gas across the Black Sea to Turkey has been completed, Russian gas producer Gazprom said on Monday.

    TurkStream is part of Moscow’s efforts to bypass Ukraine as a gas transit route to Europe, which imports around a third of its gas needs from Gazprom.

    Projects of this kind and this project in particular are not directed against the interests of anyone. Projects of this kind are purely creative,” Russian President Vladimir Putin said as he and Turkish President Tayyip Erdogan attended an official ceremony in Istanbul.

    Work will now focus onshore and is on track to be completed by the end of 2019, he said.

    Gazprom is building the TurkStream in two lines, each with a capacity of 15.75 billion cubic metres of gas per year. The first will supply Turkey and the second southern Europe.

    Turkey is almost completely reliant on imports to meet its energy needs. A crippling currency crisis which has seen the lira plummet has increased costs, prompting energy companies to hike consumer prices.

    Turkey’s state pipeline operator Botas will build the 69-km section of TurkStream which will carry natural gas from the coast to its distribution centre in Luleburgaz in northwestern Turkey, Energy Minister Fatih Donmez told private broadcaster NTV, adding he expected this to be completed in 2019.

    A 145-km section of pipeline from the distribution centre to the border will be constructed by Botas and Gazprom, he said.

  • 100 entreprises responsables de plus de 70 % des émissions mondiales de carbone - Sciences et Avenir
    https://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/100-entreprises-responsables-de-plus-de-70-des-emissions-mondiales-

    « Sur les 635 milliards de tonnes d’équivalent CO2 issues des 100 plus gros producteurs, 32% peuvent être rattachés à des investissements publics, 9% à des investissements privés, et même 59% à des investissements nationaux », alerte le rapport. Parmi les sociétés privées les plus émettrices, on compte sans surprise ExxonMobil, Shell, BP, Chevron, Peabody, Total, ou BHP Billiton. Du côté des entreprises nationalisés, on compte évidemment l’Arabie Saoudite, la Russie, la Chine, ou encore l’Inde, avec Saudi Aramco, Gazprom, National Iranian Oil, Coal India, Pemex, et CNPC (PetroChina). Enfin, la production de charbon en Chine a été agrégée en incluant divers acteurs comme Shenhua Group, Datong Coal Mine Group, ou encore China National Coal Group. Au total, le charbon chinois est responsable de plus de 14% des émissions globales de gaz à effet de serre !

    • https://www.youtube.com/watch?v=XUCNFwJku2w

      L’Allemagne va-t-elle devenir la plaque tournante du gaz russe en Europe ? Une enquête captivante sur les enjeux politiques de Nord Stream 2, le projet controversé de construction d’un deuxième gazoduc sous la Baltique.

      Un tiers des besoins européens en gaz naturel est aujourd’hui couvert par la Russie. Baptisé “Nord Stream 2”, le projet de deuxième gazoduc sous-marin, piloté par le géant russe Gazprom, risque d’accroître la dépendance de l’Europe vis-à-vis de son voisin. Reliant Saint-Pétersbourg à la ville allemande de Lubmin, ce pipeline de 1 250 kilomètres devrait permettre d’importer jusqu’à 110 milliards de mètres cube de gaz naturel par an. Les États-Unis s’agacent de cette menace hégémonique germano-russe. . . . .

    • Notons que les seuls qui trouvent à redire, ce sont les US et la Commission Européenne, largement suiveuse des US sur la question. Et que le problème, ce n’est pas le tuyau en lui même, mais c’est bien plutôt que ce qui sort du tuyau coûte au final moins cher que les solutions alternatives, telles que celles que Junker, notre Capo à nous, a ramené de son accord avec Trump la semaine dernière, à savoir l’assurance que l’Europe va acheter du gaz cher et sale (car de schistes) aux américains.

  • Top Climate Scientist: Humans Will Go Extinct if We Don’t Fix Climate Change by 2023
    https://gritpost.com/humans-extinct-climate-change

    In a recent speech at the University of Chicago, James Anderson — a professor of atmospheric chemistry at Harvard University — warned that climate change is drastically pushing Earth back to the Eocene Epoch from 33 million BCE, when there was no ice on either pole. Anderson says current #pollution levels have already catastrophically depleted atmospheric #ozone levels, which absorb 98 percent of #ultraviolet rays, to levels not seen in 12 million years.

    Anderson’s assessment of humanity’s timeline for action is likely accurate, given that his diagnosis and discovery of Antarctica’s ozone holes led to the Montreal Protocol of 1987. Anderson’s research was recognized by the United Nations in September of 1997. He subsequently received the United Nations Vienna Convention Award for Protection of the Ozone Layer in 2005, and has been recognized by numerous universities and academic bodies for his research.

    #climat #extinction

    • The good news is there are a relatively small amount of culprits responsible for the vast majority of carbon emissions, meaning governments know who to focus on. As Grit Post reported in July of 2017, more than half of all carbon emissions between 1988 and 2016 can be traced back to just 25 fossil fuel giants around the world. 10 of those 25 top emitters are American companies, meaning the onus is largely on the United States to rein in major polluters like ConocoPhillips, ExxonMobil, Chevron, and Marathon Oil. Other offenders include Chinese companies extracting and burning coal, and Russian oil conglomerates like Rosneft, Gazprom, and Lukoil.

      However, the bad news for humanity is that as long as Donald Trump is President of the United States, swift action to combat climate change seems unlikely prior to 2020, given that Trump pulled out of the Paris Climate Accords and refuses to even acknowledge the threat of climate change despite warnings from U.S. government agencies like the Department of Homeland Security and the Department of Defense.

  • Germany starts to build Nord Stream 2

    https://euobserver.com/foreign/141756

    Germany has started to pour concrete on a Russian gas pipeline that risks dividing the EU and harming its energy security.

    The construction began in Lubmin, on Germany’s Baltic Sea coast, on Thursday (3 May), by laying the foundations for a gas terminal that will receive 55bn cubic metres (bcm) of Russian gas via the Nord Stream 2 pipeline when it goes online in 2020.

    “We are moving within the framework of the planning approval decision,” a spokesman for Gazprom, the Russian firm behind the project, told German press agency DPA.

    “We are confident that we will receive all relevant permits,” the spokesman added.

    #nordstream #gazprom #guerre_du_gaz #russie #allemagne #mer_baltique #énergie

    • La Revue de Presse
      https://www.les-crises.fr/revue-de-presse-du-01-04-2018
      Pour rappel, #Olivier_Berruyer a porté plainte contre le #décodex du journal Le_Monde .

      ENVIRONNEMENT
      Rechauffement : L’étude qui jette un froid
      "En vertu de l’Accord de Paris, les Etats ont pris des engagements nationaux sur leurs trajectoires d’émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2030. Ce sont les fameux NDCs (Nationally Determined Contributions). On les sait trop faibles pour contenir le réchauffement sous les 2° C. Pour tenir cet objectif, les émissions mondiales devraient avoir déjà été ramenées à cette date entre 31 et 44 Gt éq. CO2 (contre environ 50 Gt en 2015). Or selon l’ « Emissions gap report » publié par le Pnue (l’agence des Nations unies pour l’environnement), les émissions mondiales, compte tenu des NDCs, sont estimées entre 49,5 et 56,2 Gt éq. CO2. L’importance des marges d’incertitude provient notamment du fait que les engagements pris par les Etats sont multiformes : les uns sont conditionnels, les autres proposent des fourchettes hautes et basses, d’autres encore expriment des objectifs d’émissions non en valeur absolue mais en proportion de l’évolution de leur PIB…"
      Source : Alternatives Economiques

      Agriculture : la séquestration de #carbone en question
      Annoncée en 2015 par le ministre français de l’agriculture, M. Le Foll, lancée officiellement lors de la #COP22 de Marrakech, l’initiative « 4 pour 1.000 » vise à augmenter la teneur en carbone dans les sols agricoles de 0,4% par an. L’objectif est triple. En absorbant les rejets anthropiques de gaz à effet de serre ce serait un moyen de lutter contre le réchauffement, d’assurer la sécurité alimentaire mondiale (meilleurs rendements grâce à des sols plus fertiles) et d’adapter l’agriculture mondiale aux changements climatiques. L’agriculture mondiale, actuellement émettrice de ~25% des GES anthropiques, pourrait en devenir un puits très efficace, tout en nourrissant le monde. Mais, l’idée ne fait pas l’unanimité de la communauté scientifique. Une étude publiée en février dans Nature Climate Change par des chercheurs du Centre commun de recherche (CRC) de la Commission européenne révèle qu’une fois atteint la saturation en carbone, cette mesure pourrait être contreproductive à cause d’émission de protoxyde d’azote (N2O), puissant gaz à effet de serre.
      Source : Journal de l’environnement

      « L’agriculture ne doit pas être un bouc émissaire »
      Les médias ont relayé l’information selon laquelle les pratiques agricoles seraient responsables des disparitions d’oiseaux. A. Carré, ingénieur agronome, estime que ce parti pris usurpe les valeurs de la science et désinforme l’opinion. Même si, l’agriculture a sa part de responsabilités, occulter le reste empêchera de résoudre le problème du déclin de certaines populations de volatiles. Deux études (Stoc (suivi temporel des #oiseaux communs) et la Zone atelier "Plaine & val de Sèvre", montre que la diversité et la biomasse des espèces d’oiseaux "spécialistes des milieux agricoles" diminue. Or, la population des "oiseaux des villes" diminue elle aussi, sans qu’il puisse être incriminé l’agriculture. Les causes sont potentiellement nombreuses. Le réchauffement climatique, la prédation d’autres oiseaux (la population de certains rapaces, échassiers, corvidés augmente), la compétition pour la nourriture et les abris avec les "oiseaux généralistes", qui voient eux leur population augmenter, la prédation des chats, l’urbanisation et l’artificialisation des terres, la pollution des voitures et des industries, les maladies (grippe aviaire), ..., ne doivent pas être écartées.
      Source : Terre-Net

      Brésil : le secteur de la #viande face aux scandales #sanitaires
      "Secoué par une nouvelle enquête (opération "Trapaça" ("triche")) ciblant des laboratoires accusés de masquer des salmonelles dans les produits du géant agroalimentaire #BRF (premier exportateur mondial de volailles), le #Brésil tente de redorer le blason de sa filière #viande, un an après le scandale des viandes avariées. L’opération "Trapaça" arrive d’autant plus mal qu’elle s’ajoute aux craintes des éleveurs français et européens au sujet de l’accord de libre-échange en cours de négociation entre l’ #UE et le #Mercosur ( #Brésil, #Argentine, #Paraguay, #Uruguay ), qui faciliterait l’exportation de viande sud-américaine vers l’ #Europe ."
      Source : Plein Champ

      FRANCE
      SNCF : quand le rapport #Spinetta contredit la #propagande mensongère du gouvernement
      "Attention : le rapport Spinetta est terriblement #néolibéral et favorable à la mise en concurrence générale (....). Mais ce qui est intéressant, c’est qu’il contient AUSSI des constats qui contredisent les mensonges gouvernementaux actuels." "Le gouvernement a réussi un double tour de force. D’abord, nous convaincre que la situation de la SNCF est catastrophique, alors que ce n’est pas le cas. Ensuite, nous expliquer que tout est de la faute des #cheminots, quand les problèmes viennent surtout du « tout #TGV »."
      Source : DEBOUT ! BLOG JEAN GADREY

      SNCF et services publics de réseau (4) : les arguments contre la « #dérégulation »
      "Les idées libérales du précédent billet s’opposent à d’autres thèses qui défendent les services publics de réseau sous l’angle de l’intérêt général. Mais cela doit être précisé, car on peut toujours soupçonner certains de se cacher derrière l’ #intérêt_général pour défendre des intérêts corporatistes. C’est ce que les libéraux reprochent aux #syndicats, en oubliant qu’on peut avoir des soupçons bien plus justifiés à l’égard de ceux qui défendent la mise en concurrence au nom de l’intérêt général des consommateurs, alors que l’objectif est le profit des capitaux privés..." [Les 3 premiers articles figurent dans la revue du 11 mars.]
      Source : DEBOUT !

      GÉOPOLITIQUE
      Dmitri PESKOV : "Les Européens ne sont plus des partenaires fiables"
      "Dmitri Sergueïevitch Peskov est l’un des plus proches collaborateurs de Vladimir Poutine. Il travaille à ses côtés depuis l’accession de celui-ci au pouvoir, en 2000. Aujourd’hui secrétaire de presse ‒ porte-parole ‒ du Kremlin, il a accepté, au lendemain de la réélection du président russe, de recevoir Le Courrier de Russie pour faire un point sur la situation politique internationale."
      Source : LE COURRIER DE RUSSIE

      L’argent fuit l’Arabie saoudite à toute vitesse
      "Un torrent d’argent a fui l’ #Arabie_Saoudite à cause des difficultés rencontrées par son économie. Il s’agit là d’une mauvaise nouvelle pour un pays qui essaie désespérément de se défaire de sa dépendance vis-à-vis du secteur de l’énergie et de refaçonner son économie en prévision d’un monde #post-pétrolier. De nouvelles recherches montrent que le royaume a vu sortir des dizaines de milliards de dollars de capitaux chaque année entre 2012 et l’année dernière. L’année qui suit sera du même acabit, indique le rapport rédigé par l’Institut de la finance internationale (IIF), un think tank basé à Washington."
      Source : MIDDLE EAST EYE

      INEGALITES
      Une réforme pour mieux combattre les #chômeurs
      "D’ici la fin du premier trimestre 2019, trois fois plus de personnes seront chargées de chasser les #fraudeurs, on multipliera par deux les peines encourues en cas de recherche insuffisante d’emploi... les sanctions pleuvent contre les plus #faibles ."
      Source : LIBERATION

      Au cœur des #intouchables d’État
      "Journaliste à L’Obs, Vincent Jauvert a passé les deux dernières années à percer les arcanes de l’élite administrative française, qu’il révèle dans son livre Les Intouchables d’État. En terrasse du café Le Nemours, la buvette du Conseil d’État, l’enquêteur raconte au Lanceur les secrets de ces intouchables de la haute fonction publique."
      Source : LE LANCEUR

      MARCHÉS FINANCIERS
      Quand la #finance fait du #social
      "Pierre Bitoun et Lou Hubert, tous deux sociologues, livrent ici une présentation critique d’une nouvelle offensive de la finance en direction du “social”. Ils décortiquent et critiquent les “Social impact bond”, des titres de dette (obligations) censés financer les politiques sociales et dont le rendement dépend de l’efficacité de celles-ci. Il est important de les comprendre et de les dénoncer pour ce qu’ils sont : des titres financiers faussement sociaux qui dévoilent la volonté de la finance de remplacer l’ #État ."
      Source : LE COMPTOIR

      MATIÈRES PREMIÈRES
      Gaz paccio
      "Dans notre Grand jeu énergético-eurasien, les mauvaises nouvelles affluent pour l’empire...A l’ouest, nous étions restés sur l’inénarrable psychodrame de Salisbury, dont l’un des buts avait vraisemblablement à voir avec l’or bleu :Mais il s’agit peut-être et surtout de gaz. Alors que #Gazprom vient de battre dix jours de suite son record d’exportation quotidienne vers l’Europe, l’affaire tombe à point nommé afin de barrer la route au #Nord_Stream II. Est-ce bien un hasard si mère Theresa de Londres a, immédiatement et pour le plus grand bonheur de Washington DC, embrayé sur le "danger du gaz russe" (lol) et la "nécessité de trouver des sources d’approvisionnement alternatives" ?"
      Source : CHRONIQUES DU GRAND JEU

      RÉFLEXION
      La puissance de l’ombre
      "On savait, depuis les attentats de janvier 2015, la France rongée par un mal souterrain. Les théories du #complot, ces « ferments de haine et de désintégration de notre société », commencent à « miner notre jeunesse », disait-on alors (1). Un second ingrédient est venu s’ajouter à la menace : les #fake_news, ces « fausses informations » principalement diffusées sur Internet qui saperaient notre démocratie et nécessiteraient une mobilisation générale."
      Source : Le Monde Diplomatique

      Ken Loach : “Oui, il y a une réelle #résistance à ce qui se passe, même si les #médias n’en parlent pas”
      "Pas facile d’obtenir un moment pour poser une ou deux questions à #Ken_Loach qui est venu à Fribourg pour le Festival International de films de Fribourg en mars 2018. Du haut de ses 50 ans de carrière, le réalisateur britannique n’a rien perdu de sa vivacité. Pourtant, c’est la personne la plus aimable qui soit. Thierry Jobin, le directeur du Festival International de Films de Fribourg, lui avait donné carte blanche cette année pour proposer cinq films, choisis par Loach pour leur simplicité et leur universalité, tels “Le voleur de bicyclettes” de Vittorio de Sica ou “La bataille d’Algérie”."
      Source : INVESTIG’ACTION

      VUES D’AILLEURS
      15 ans après, les anciens de la #guerre en #Irak encore meurtris
      "Justin Carlisle était au milieu du convoi quand la bombe a explosé, le 2 avril 2006. Quinze ans après, il lutte encore contre le stress #post-traumatique, comme des millions d’autres anciens combattants de la guerre en Irak."
      Source : Sciences et Avenir

  • Why is #Nord_Stream 2 Dangerous for Ukraine and Europe? — Interview – Ukraine World International
    http://ukraineworld.org/2018/03/why-is-nord-stream-2-dangerous-for-ukraine-and-europe-interview

    n 27 March 2018, Germany has approved the construction and operation of the Russia-built Nord Stream 2 gas pipeline. Russian state-owned company energy Gazprom presented this project to expand Nord Stream, a gas pipeline from Russia to Germany which is the main channel for supplying Russian gas to the EU, back in 2015. The planned new pipeline – Nord Stream 2 – is intended to strengthen Russia’s position on the gas transit market. Mykhaylo Honchar, President of the Strategy XXI Centre for Global Studies, explained to UkraineWorld why the new gas pipeline is a threat both to Ukraine and the European Union.

    What Nord Stream 2 is all about

    Nord Stream 2 is one of the so-called bypass projects being implemented by Russia in accordance with its energy strategy approved in 2003. One of the strategic goals is the creation of trans-border gas systems bypassing transit countries. This applies not only to Ukraine, but to other countries as well. The gas from Siberia to Europe has always flowed through the territory of Ukraine and former Czechoslovakia. In this way, it remains the same, so we are talking about the fact that one of the traditional routes for the supply of gas to Europe is the Ukrainian-Slovak one. Russia aims to minimise transit through Ukraine. They say Ukraine has a transit monopoly, but this is not true. This was in line with the realities of the 1990s. However, as Russia built new gas pipelines, this reality has changed, and there is nothing left of Ukraine’s transit monopoly.

    #gaz #guerre_du_gaz #russie #allemagne #pologne #europe #guerre_des_tubes

  • Mercenaires russes : « C’est une catégorie de gens qui ne peuvent pas vivre sans la guerre » - Libération
    http://www.liberation.fr/planete/2018/03/12/mercenaires-russes-c-est-une-categorie-de-gens-qui-ne-peuvent-pas-vivre-s

    Un chef de guerre qui collabore avec la principale société de mercenaires russes témoigne sur leur présence en Syrie et justifie que les corps ne soient pas rendus aux familles. Un problème qui pourrait être réglé après la réélection de Poutine, dimanche prochain.

    Attirés par des salaires dix fois supérieurs à ceux des régions reculées de #Russie dans lesquelles ils vivent, des combattants désœuvrés, souvent vétérans des guerres du Donbass, de Tchétchénie ou d’Afghanistan s’enrôlent comme mercenaires pour combattre là où l’armée régulière russe ne peut pas apparaître. L’un des chefs recruteurs collaborant avec le groupe Wagner, principale société militaire privée, raconte à la correspondante de France 24 en Russie le fonctionnement de ces missions couvertes par le secret d’Etat. Car il faut cacher l’existence de ces entreprises illégales en Russie, les contrats signés avec elles par les compagnies pétrolières liées au Kremlin et la mort des combattants #mercenaires à leurs familles. Autant de petits cailloux dans la chaussure de Vladimir Poutine à quelques jours de sa réélection.

    Quel est le but principal de la présence de Wagner en Syrie ?
    C’est une lutte pour le régime d’Al-Assad. Une lutte pour le pétrole, pour gagner de l’argent. La raison d’être d’une société militaire privée, c’est de faire du profit. Ensuite, défendre les intérêts d’un Etat là où il ne peut pas faire usage de son armée régulière. Ce qui se passe en Syrie, d’un côté, c’est un combat contre le terrorisme mondial représenté par l’Etat islamique, et de l’autre, un engrangement de bénéfices au profit de notre pays, pour que la Russie puisse s’emparer d’un énorme marché de ressources pétrolières. Il faut lui en offrir le contrôle. J’estime que c’est juste. Cette guerre, ce n’est pas nous qui l’avons commencée, mais c’est à nous de finir le travail.

    Pourquoi est-ce secret ? La Russie mène pourtant ouvertement une opération aérienne et maritime en Syrie, alors pourquoi cacher l’opération au sol ?
    Parce qu’il s’agit avant tout d’intérêts commerciaux. Vous avez vu le battage médiatique que ces pertes de troupes au sol ont provoqué ? Et s’il s’était agi de troupes régulières ? Si les Etats-Unis avaient frappé l’armée russe au sol ? Qu’est-ce qu’on aurait ? Une troisième guerre mondiale.

    Wagner est-elle la seule société militaire privée en activité en ce moment ?
    Les premiers temps, on a vu apparaître d’autres entreprises de ce type en Russie. Mais elles ont vite été délogées du marché par Wagner. Il faut bien comprendre que pour survivre, n’importe quelle compagnie, n’importe quel business, a besoin d’un marché. Il y a eu quelques autres tentatives, mais la seule à avoir tenu et s’être développée, c’est Wagner, parce qu’elle a obtenu les contrats et qu’on l’a laissée entrer en Syrie.

    Comment est financée la société Wagner ?
    Elle signe des contrats avec les compagnies qui exploitent et raffinent le pétrole en Syrie pour la défense de leurs intérêts commerciaux. Pour ça, elle reçoit de l’argent. Sur le territoire syrien, les sociétés russes Lukoil et Gazprom Neft ont des usines. Mais Wagner travaille aussi avec des firmes étrangères. Engager Blackwater [SMP américaine qui s’est funestement illustrée en Irak, ndlr] - qui aujourd’hui, s’appelle autrement - ça coûte très cher. Notre entreprise militaire à nous coûte moins cher.

    Comment se passe la coopération avec le ministère russe de la Défense ?
    Le ministère de la Défense définit des objectifs de combat. Les mercenaires de Wagner agissent alors en tandem avec l’aviation russe, avec l’appui de l’artillerie, lors des missions communes. Mais, dans tous les cas, il y a une coopération. Ne serait-ce que pour l’aide matérielle. Le ministère de la Défense fournit aux mercenaires des armes, des munitions et des équipements. Mais cette coopération est hors la loi. Alors, officiellement, elle n’existe pas.

    Quand ils signent, est-ce qu’ils savent comment seront traités les corps… ou le fait que leurs familles seront laissées dans l’ignorance ?
    Si tu t’es enrôlé dans une société militaire privée, alors tu t’es vendu pour de l’argent à cette société. Elle peut t’utiliser comme bon lui semble. Tu n’as contractuellement pas le droit de désobéir. Ce qui va t’arriver après ta mort ? Tu seras réduit à l’état de viande hachée. Et les corps ? On les mettra dans un sac. On les scellera dans le zinc. On les enverra à la maison… dans le meilleur des cas. Dans le pire, on les enterrera sur place. Si tu n’as pas signé la clause comme quoi on ne doit rien dire à ta famille, on enverra de l’argent à tes proches avec un papier disant que tu es mort et enterré là ou là. Ou pas enterré du tout. Juste, « il est mort ». Tenez votre pognon.

    La société Wagner est-elle active dans d’autres pays à part la Syrie ?
    A l’étape suivante, on entrera probablement en Libye. Egalement pour combattre les terroristes et les extrémistes, ainsi que pour défendre les intérêts de notre pays. Il y aura peut-être aussi d’autres gens envoyés ailleurs en Afrique.

    Ce sont des informations vérifiées ou juste des rumeurs ?
    Vous comprenez, je ne peux pas vous dire que « Wagner » - le camarade Outkine - m’a appelé directement et m’a dit : « Frère, dans un an, on entre en #Libye ! » Ce n’est pas comme ça que ça se passe. Mais lorsqu’on recrute des gens et qu’on les vaccine contre des maladies africaines, faut pas être con, on comprend tout de suite où ils vont être envoyés !

    Vous, quel est votre sentiment par rapport à Wagner et la guerre en Syrie ?
    Ma position est claire. Notre guerre, c’est le Donbass [région de l’est de l’Ukraine revendiquée par des séparatistes prorusses, ndlr].Mais à ceux qui doutaient de la guerre en Syrie, du genre « idéologiquement, ce n’est pas la nôtre, c’est une guerre pour le fric », je peux leur dire qu’après ce qui est arrivé, après que les Amerloques ont dégommé nos gars, on est prêts à y aller pour les obliger à rendre des comptes.

    Est-ce souvent que des volontaires pour partir en Syrie viennent vous voir ?
    Très souvent. Cinq à six personnes par semaine. Des jeunes, des vieux, qui ont de l’expérience au combat, d’autres qui n’en ont pas. Des cosaques et des civils. Ils cherchent à rejoindre la SMP. Ils me demandent ce qui les attend là-bas. Je leur explique brièvement, que personne ne va leur courir après pour leur torcher le cul : « Vous vendez vos acquis, vos atouts, votre vie. »

    Est-ce qu’en ce moment, les combattants qui reviennent de la guerre dans le Donbass et ne parviennent pas à s’adapter à la vie ordinaire représentent un gros problème ?
    Quelqu’un qui revient de la guerre a toujours du mal à s’adapter à la vie ordinaire. Parce que le type a fait la guerre pendant un an et demi, et quand il revient ici, où ira-t-il travailler ? Il sera agent de sécurité dans une supérette ? Où un jeunot de 18 ans à moitié bourré va lui expliquer la vie et le rabaisser ? Lui qui a pris l’habitude de régler tous ses problèmes en appuyant sur la gâchette, il a les mains qui le démangent. C’est une catégorie de gens, qu’on appelle les « hommes-guerre ». Ils ne peuvent pas vivre sans la guerre. La société militaire privée les attend.

    Quels sont les salaires mensuels des mercenaires ?
    Les premiers gars qui ont été recrutés, c’était en 2015 si ma mémoire est bonne, les salaires allaient jusqu’à 450 000 roubles par mois (6 500 euros). En ce moment, les gens reçoivent 150 000 roubles et plus (2 100 euros), en fonction des missions effectuées. Certaines divisions sont des divisions de combat. Elles ont pris part aux assauts sur Deir El-Zor et Palmyre.

    Est-ce que quelque chose va changer après ce combat ?
    Un recrutement a été lancé pour compenser les pertes. D’abord, on a besoin de gens pour les rotations. Après trois mois de conflit, une partie du contingent doit rentrer à la maison. Il faut les remplacer. Ensuite, il faut remplacer les morts. Et enfin, il faut grossir les troupes, parce qu’on gagne du territoire. En avril, 500 à 600 personnes seront recrutées à coup sûr.

    Quand doit-on rendre les corps aux familles ?
    Sans doute après l’élection présidentielle du 18 mars. Et encore, par étapes. Pas tout d’un coup. Il y aura des petites cargaisons. Si dans une région, il y a 5, 6, 8 morts, on les rendra par un ou par deux aux familles. Si on les rend, bien sûr. Cacher les pertes ? Aucun problème. Là-bas, tous les moyens de communication sont coupés. De plus, les gens signent des contrats comme quoi ils ne doivent rien divulguer à personne. S’il y a des fuites, ils ne toucheront pas leur salaire. Leurs familles ne toucheront pas de compensation non plus. C’est pourquoi tous garderont le silence.
    Elena Volochine

    #guerre

  • Pendant ce temps, dans les tubes...
    http://www.chroniquesdugrandjeu.com/2018/02/pendant-ce-temps-dans-les-tubes.html

    Pour son 25ème anniversaire, Gazprom a tout lieu de se réjouir. Non content de caracoler en tête des prix Pulitzer de l’énergie et d’avoir les fondamentaux pour lui, le géant russe voit peu à peu se concrétiser ses projets pharaoniques que nous présentions...

  • Géopolitique du gaz russe – Les Éditions l’Inventaire
    https://editions-linventaire.com/livres/geopolitique-du-gaz-russe

    Géopolitique du gaz russe
    Vecteur de pouvoir et enjeu économique

    par Aurélie et Thierry Bros • novembre 2017
    16 x 11 à la française, 128 p.
    Nommé pour le Prix du Meilleur Livre de Géopolitique du Festival de Géopolitique de Grenoble (mars 2018).

    « Sur-dramatisation », « sur-idéalisation », « sur-géopolitisation », tels sont, pour Aurélie et Thierry Bros, les maîtres-mots susceptibles de caractériser ces domaines majeurs de l’économie russe que sont la production et la commercialisation du gaz.

    Sur-dramatisation de la crise russo-ukrainienne dont les répercussions ont ravivé le débat sur la menace potentielle d’une dépendance européenne vis-à-vis du gaz russe. Sur-idéalisation de la Chine, côté russe, comme moyen de compenser la dégradation des relations avec l’Europe. Sur-géopolitisation dans tous les cas de figure, qui fait oublier, bien souvent, non seulement les enjeux économiques et financiers, mais aussi les rapports de forces qui tendent à s’exacerber entre les producteurs nationaux pour l’accès aux marchés tant en Russie qu’à l’étranger.

    Petit livre, en format et en nombre de pages, mais riche en analyse. Celle-ci n’est pas systématiquement anti-russe – il est vrai que l’Observatoire dont il s’agit dans le titre de la collection Les Carnets de l’Observatoire est celui de la Chambre de commerce et d’industrie France Russie….

    Les auteurs décrivent un marché mondial en pleine mutation, le développement du GNL transformant profondément la structure de ce marché évoluant d’un système rigide où clients et producteurs sont captifs d’un réseau de transport lourd avec des contrats à long terme et des prix indexés sur le pétrole à une fongibilité accrue, le transport se faisant par bateau et une mondialisation des échanges, l’acheteur ne se déterminant plus que par le prix, et donc à très court terme. Ils estiment que Gazprom a plutôt loupé ce virage et pense que la bascule, en cours, de l’Europe vers l’Asie reconfigure les équilibres et remplace une dépendance (croisée) de la Russie et de l’Europe par une autre entre la Russie et la Chine, dépendance russe s’étendant à l’accès aux ressources financières du fait des sanctions états-uno-européennes liées à la Crimée (Yamal serait financé principalement sur fonds chinois).

    Pour une actualité toute récente allant dans ce sens, cf. https://seenthis.net/messages/668472

  • L’euronouillerie dans toute sa splendeur
    http://www.chroniquesdugrandjeu.com/2017/11/l-euronouillerie-dans-toute-sa-splendeur.html

    Si la vassalité eurocratique n’existait pas, il faudrait l’inventer... Une info délicieusement navrante quoique hilarante a paru, évidemment soigneusement cachée par la presstituée. Les Paradise Papers nous révèlent qu’une société américaine a acheté...

    • Les Paradise Papers nous révèlent qu’une société américaine a acheté du gaz russe, l’a liquéfié puis l’a revendu bien plus cher à l’Union européenne, en le faisant peut-être passer pour du gaz de schiste américain ! Ô tempora ô mores.

      Moscou vend de toute façon son or bleu et doit bien se marrer. L’empire US se moque éperdument de ses vassaux, les obligeant à torpiller leur relation énergétique avec la Russie tandis que ses compagnies font leurs petits profits avec ce même gaz russe.

    • Paradise Papers Reveal U.S. Selling Russian LNG In Europe | OilPrice.com
      https://oilprice.com/Energy/Natural-Gas/Paradise-Papers-Reveal-US-Selling-Russian-LNG-In-Europe.html

      According to a report in Belgian daily Le Soir, taken up by other media outlets, such as The Guardian and Eurasia Review, Wilbur Ross holds a 35-percent interest in Navigator Holdings, a shipping company registered in the Marshall Islands.

      According to the leaked documents, four cargo carriers owned by Navigator Holdings were used to load Russian natural gas at the port of Ust Luga before heading to the Anwerp LNG terminal in Belgium.

      The documents suggest that a company with U.S. ownership is buying Russian gas from petrochemical giant Sibur, and then selling it—at a profit, of course— to the European Union, which is in a rush to build as many LNG terminals as it can in a bid to reduce its dependence on Russian gas.

      If the reports are true, the situation is an ironic one for Europe: while trying to reduce its dependence on Russian gas it is inadvertently increasing it and is even paying more for it than it would if it bought the extra loads directly from Gazprom.

      One might wonder how a U.S. company is able to do business with a Russian one. It’s simple: Wilbur Ross himself said earlier this week that Sibur is not a subject to sanctions, so for Navigator Holdings and the petrochemical giant, everything is business as usual.

  • Commentary: A win for Trump’s #gas_diplomacy
    https://www.reuters.com/article/us-grigas-lng/commentary-a-win-for-trumps-gas-diplomacy-idUSKCN1BB01K

    Last week, American liquefied natural gas (LNG) made its way to the somewhat unlikely market of #Lithuania. The former Soviet republic traditionally bought its gas from Russian state company Gazprom; this was its first shipment from the United States. For President Donald Trump, that must have been a gratifying sign of the success of his administration’s nascent energy diplomacy.

    The U.S. became the world’s largest producer of natural gas around 2011, overtaking its long-time competitor Russia and starting to rival Saudi Arabia in oil production. This was made possible by the shale revolution – the breakthrough of hydraulic fracturing, better known as “fracking,” that could split rock formations below ground and boost the extraction of oil and gas resources from shale rock formations. Environmentalists oppose LNG exports on the grounds that methane leakage from fracking can make natural gas as harmful to the climate as coal and that the LNG trade involves the energy-intensive measures of freezing gas, shipping it across oceans, and then regassifying – a process that further increases the carbon footprint.
    […]
    Nonetheless, Cheniere launched its inaugural delivery of LNG to Poland in June. During his visit to Poland the following month, Trump reiterated the implications of this delivery: “We are committed to securing your access to alternate sources of energy, so Poland and its neighbors are never held hostage to a single supplier of energy,” he said.

    While reducing Gazprom’s dominance is part of Washington’s long-standing agenda, the Trump administration is the first to explicitly link the trinity of diplomacy, LNG trade, and national economic interests in Europe, Asia, and beyond. However, U.S. officials should be wary of implying that Washington’s LNG diplomacy is centered on making America’s friends buy gas to prove their loyalty. It’s already in Washington’s economic interests to support its allies’ energy security. There is no need for the White House to belabor the point.

  • Quand la presse française se laisse piéger par un hoax sur les baignades républicaines en Algérie
    https://francais.rt.com/france/41790-quand-presse-francaise-se-laissee-pieger-hoax-baignades-republica

    Les médias français se passionnent depuis un mois pour les baignades républicaines organisées en Algérie. A tel point qu’ils ont survendu la première d’entre elles, organisée en juillet, avant d’en inventer une seconde... Source : RT en français

    • 1) Déjà le fond est moyen. Chaque action qui fait un buzz sans avoir de base sociale suffisante à votre goût n’est pas un Hoax(1). Je pense que l’article Marianne ci-dessous démonte totalement celui de RT.

      2) RT s’y connais en Hoax(2). Pourquoi relayer ces infos via RT (directement liée au kremlin) et peu crédible ?

      La Contre-propagande c’est une propagande comme les autres. Le mensonge additionner aux mensonges ne fait que renforcer. Seul la vérité est révolutionnaire, comme disait un certain Victor Serge(3).

      Sur ce salut.

      (1)
      https://www.marianne.net/monde/revolution-du-bikini-en-algerie-et-baignade-du-7-aout-non-marianne-n-pas-r

      (2) Voir :
      http://www.stopfake.org/fr/comment-la-chaine-de-television-russia-today-diffuse-t-elle-des-mensonges-

      http://offensivesonore.blogspot.fr/2017/02/les-resaux-du-kremlin-en-france.html

      (3) Je deviens convaincu que si il était vivant aujourd’hui vous auriez sûrement quelques articles staliniens sous le coude à diffuser pour dénoncer ces Hoax(s) sur l’URSS.

    • Il y a surtout les journaux étrangers qui remettent bien les pendules à l’heure : à savoir que ce sont les médias français qui sont massivement tombés dans le panneau, parce que cela convenait à leur « storytelling » et que du coup, ils n’ont pas jugé utile de vérifier l’info.
      Perso, Le Monde n’est plus une source fiable…

      Des "baignades républicaines" en Algérie ? "Un fantasme des médias étrangers, français en particulier"
      http://www.lalibre.be/actu/international/des-baignades-republicaines-en-algerie-un-fantasme-des-medias-etrangers-fran

      Mais ces opérations bikini, « c’est un fantasme des médias étrangers, français en particulier, pour meubler l’été après le feuilleton du burkini » en 2016, a-t-elle expliqué à l’AFP.

    • @mona La question n’est pas d’avoir des aprioris sur tel ou tel presse dite bourgeoise. Il y a une nuance à faire entre « Mariane », « Le Monde » et « Russian Today ». RT et Spuntik sont de véritable organe d’état qui ont pour but d’être viral. Elle utilise d’avantage les réseaux d’extrême droite d’ailleurs.
      L’objet est de savoir :
      1) si l’info est vrai
      2) si cet ce n’est pas un médias indépendant progressiste si l’organe de presse est suffisamment neutre pour le mettre en avant. 1) Je trouve que c’est au mieux du « Piège à clics » 2) Niet

    • Sans entrer dans le débat sur le fond (certainement légitime), je souhaite que tu retires tes propos insultants merci d’avance.

    • http://www.jeuneafrique.com/458754/societe/algerie-veux-me-baigner-bikini-me-baigne-bikini

      Porter un #bikini sur une plage algérienne n’est pas chose facile. Un groupe #Facebook - tenu secret - qui a vu le jour au lendemain de la fin de l’Aïd et rassemble aujourd’hui 3 600 femmes de la ville d’Annaba s’est donné pour mission d’organiser de grandes baignades collectives. Face aux regards appuyés et au harcèlement sexuel et moral, ces Algériennes opposent la force du groupe.

      Chez le voisin, il faut raquer pour poser son cul dans le sable
      http://www.jeuneafrique.com/mag/457227/economie/tunisie-tres-cheres-vacances

      La Tunisie attend environ 6,5 millions de touristes pour l’année 2017, dont 3 millions d’Algériens

      « Avant, on pouvait trouver une place sur une plage publique. Elles étaient même très nombreuses. Aujourd’hui, on ne peut y accéder qu’en louant un parasol et des chaises. Pour quatre personnes, il faut compter 20 dinars [7 euros] par jour. Ajoutez-y le repas et l’essence, qui vient d’augmenter, et la journée de détente revient cher »

    • https://seenthis.net/messages/620974
      Pas moins de onze articles de la presse française et une infos au JT (de France 3), se sont fait l’écho d’une information dont le point de départ a été une obscure « opération » sur Facebook de « lutte contre le bikini » dans les plages de Annaba (Est du pays), suivie d’une « contre-attaque » d’un « groupe secret » sur le même réseau social appelant ses 3200 membres à organiser la « riposte républicaine » en se baignant en bikini.❞
      https://seenthis.net/messages/620955

    • @fil « je souhaite que tu retires tes propos insultants merci d’avance »
      Je suppose que tu parles de moi. Peut-tu être plus clair, car je ne souhaite pas être dans l’invective ou dans l’insulte. Si c’est pour Victor Serge j’aimerais bien retirer ça. Sauf que c’est une intime conviction. Que les railleries qui suivent confirme.

      @biggrizzly

      Le Monde et Marianne sont aux mains d’oligarques. Ils ont sans doute le mérite de ne pas être russes... Quelle différence avec des médias publics en ce qui concerne la production ou non de propagande ?

      Nuance 1 :
      « le mérite de ne pas être russes »
      La Russie est un état autoritaire pas du tout comparable à la France. Si la France était la Russie, Emmanuel Macron et Élise Lucet aurait été assassiné dans l’indifférence général. Alors oui, c’est différent.

      Nuance 2 :

      Le Monde et Marianne sont aux mains d’oligarques

      Selon la définition stricto-sensu « Un oligarque est un membre d’une oligarchie, classe dominante liée au gouvernement d’un pays ».

      Tu ne peux pas comparer un directeur de GazProm nommé par Poutine à Lagardère. (même si je ne nie pas les lien de classe et de connivence. On est bien dans un système différent qui laisse plus de liberté à la presse.)

      Nuance 3 :
      RT est un organe d’influence qui à pour but de déstabilisé la politique française et redorer l’image l’image du Kremlin. Il pourrait être comparé au du soft powers US ou Français (via CNN international et les RFI). Mais la stratégie différente plus agressive plus viral plus « subversive ». C’est pour cela que Meyssant, Soral y passe de temps en temps et le FN très souvent.

      Au risque de passé pour un soc-dem (tiède). L’absence de nuance est un aveuglement dangereux.

    • L’information brute existe-t-elle ? Si oui, qu’elle soit relayée par une raclure capitaliste (ce que sont les russes, entre nous... le temps de Staline est loin...) ou par un lapin aux yeux rouges n’en change pas la nature.

      Qu’un évènement survienne, et qu’il ne nous soit transmis que par RT, et de fait, celui-ci ne mérite pas d’être discuté ?

      Je suis enquiquiné au quotidien de devoir relayer des journaux comme Le Monde ou Le Figaro. Mais comment discuter de ce qu’il se passe, si on ne se base pas sur ces traces écrites ?

      Actuellement, les évènements au Vénézuela ne sont relayés que par les journaux officiels de la vermine capitaliste. On fait comment pour discuter sérieusement de ce qu’il se passe là bas ? C’est un vrai exemple de ce que nous journaux sont incapables de traiter ce sujet avec le moindre recul.

    • Nassima et sa sœur, Karima, ont mis l’une un paréo, l’autre une robe sur leur maillot de bain en sortant de l’eau. « Regardez autour de nous, la plupart sont des hommes. Si on s’allonge en maillot, on va se faire harceler, affirme Karima. Il paraît qu’à Annaba, elles font la révolution ! » Les deux sœurs, plutôt francophones, regardent les chaînes de télévision françaises grâce à un décodeur piraté. Certaines, dans la foulée de l’hebdomadaire Marianne, ont évoqué l’initiative d’un groupe de jeunes femmes sur Facebook et parlé de « révolte du bikini » avec près de 3 000 baigneuses (un chiffre démenti depuis). Nassima et sa sœur ont trouvé cela courageux. Lorsqu’on explique qu’il s’agit en fait d’une trentaine de femmes qui se donnent rendez-vous via le réseau social, Nassima rit : « Ah mais c’est comme quand on va à la plage entre copines le week-end ! On se sert de Facebook, c’est plus simple. »

      http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/08/10/en-algerie-de-toute-facon-on-n-a-que-la-plage_5170972_3212.html

      Actuellement, les évènements au Vénézuela ne sont relayés que par les journaux officiels de la vermine capitaliste. On fait comment pour discuter sérieusement de ce qu’il se passe là bas ? C’est un vrai exemple de ce que nous journaux sont incapables de traiter ce sujet avec le moindre recul.

      @biggrizzly ces jours-ci, ceci sur seenthis.
      https://seenthis.net/messages/621303
      https://seenthis.net/messages/620577
      https://seenthis.net/messages/620336
      Et l’Huma en parle régulièrement, seul quotidien national dont le capital n’est pas contrôlée par de grands groupes privés. Par de la « vermine communiste » peut-être !
      perso je préfère.
      https://www.humanite.fr/mot-cle/venezuela

    • @biggrizzly

      Le temps de Staline est loin...

      Certes, mais le pays y retourne petit à petit.

      Exemple la méthode de RT est vielle.
      C’est de semé le doute sur la crédibilité de la presse européenne ; en sous-titre c’est :
      1/ On ment mais comme vous
      2/ Vous mentez, surtout quand vous dites que l’on ment

      Résultat sur les personnes influencés : « dans le doute je m’abstiens. » ou « c’est vraiment trop compliqué ». Bingo !

      Cet méthode est très efficace dans nos milieux.
      Aucun article de fond sur le sujet n’est passé sur rezo.net sur l’Ukraine.
      Par contre pas mal d’article sourcé de RT.

      Taper ’Ukraine’ vous tomberez sur un seul article :
      – « Elle » a interviewé une militante néo-nazie

      D’un cotée on délégitime/relativise les valeurs de nos médias et de l’autre on renforce leurs crédibilités. Ce choix est loin d’être sans importance.

      Il semble que valeur les paroles de RT sont plus fiable d’autre sites comme :
      http://collectifkoltchenko.blogspot.fr
      https://avtonom.org/en

      Ou encore :
      http://www.stopfake.org/fr/accueil

      L’équipe de Démosphere Paris défend mordicus ’les ennemis des mes ennemis sont inatacable’.
      Pour eux aucune manifestation sur le sujet de la Russie (ou critique de l’Islam, l’Iran, Syrie, Tibet, Chine) ne doit être annoncé.

      https://paris.demosphere.eu/charte

      Sujets particuliers - sensibles

      Démosphère est un agenda alternatif. Nous évitons de publier des rendez-vous critiques à l’égard « d’ennemis officiels » désignés par les pouvoirs et les médias... même si, dans certains cas, certains éléments de ces critiques peuvent sembler légitimes.

      En particulier, sur la thématique « international », nous privilégions les rendez-vous centrés sur une critique des intérêts des classes dirigeantes françaises et de leurs alliés.

      Voici quelques sujets sensibles qui nous semblent rentrer dans ce cadre :

      Iran : l’Iran est un ennemi désigné de la politique étrangère occidentale et fait face à des menaces militaires graves. Une guerre aurait des conséquences désastreuse pour toute la population. Les pays occidentaux, en particulier les États-Unis, ont investi des sommes considérables dans sa déstabilisation politique. Nous n’avons aucune sympathie pour le régime en place et condamnons ses politiques répressives. Mais nous ne publions pas de rendez-vous sur l’Iran s’ils ne se sont pas centrés sur une critique de cette politique étrangère occidentale et des menaces d’agression militaire.

      Syrie : notre politique éditoriale est similaire à celle tenue pour l’Iran (voir ci-dessus).
      Nous publions les rendez-vous concernant la situation en Syrie lorsqu’ils :
      1) dénoncent clairement et explicitement l’état policier Syrien et ses politiques répressives
      2) sont centrés sur une critique de la politique menée par l’État français et ses alliés
      3) dénoncent clairement et explicitement toute ingérence et menace d’intervention militaire étrangère

      Islam / Voile : Nous vivons dans un grave climat de xénophobie et de racisme, entretenu par le pouvoir et les médias. Nous ne publierons pas de rendez-vous critiques de l’Islam, s’ils ne se sont pas centrés sur une remise en cause de ce climat xénophobe.

      Tibet : Voir l’article de Michael Parenti "Friendly feudalism - the Tibet myth"

      Les rendez-vous concernant la Chine et la Russie rentrent aussi dans ce cadre.

      Psychiatrie : nous avons d’importants désaccords avec la psychanalyse, qui est le paradigme dominant en France. Sauf exceptions, nous ne publions pas de rendez-vous de cette thématique.

  • Just 100 companies responsible for 71% of global emissions [since 1988], study says
    https://www.theguardian.com/sustainable-business/2017/jul/10/100-fossil-fuel-companies-investors-responsible-71-global-emissions-cdp

    The report found that more than half of global industrial emissions since 1988 – the year the Intergovernmental Panel on Climate Change was established – can be traced to just 25 corporate and state-owned entities. The scale of historical emissions associated with these fossil fuel producers is large enough to have contributed significantly to climate change, according to the report.

    [...] A fifth of global industrial greenhouse gas emissions are backed by public investment, according to the report. “That puts a significant responsibility on those investors to engage with carbon majors and urge them to disclose climate risk,” says Faria.

    #climat #carbone

    Top 100 producers and their cumulative 1988-2015 greenhouse gas emissions:
    1. China (Coal) 14.3%
    2. Saudi Arabian Oil Company (Aramco) 4.5%
    3. Gazprom OAO 3.9%
    4. National Iranian Oil Co 2.3%
    5. ExxonMobil Corp 2.0%
    6. Coal India 1.9%
    7. Petroleos Mexicanos (Pemex) 1.9%
    8. Russia (Coal) 1.9%
    9. Royal Dutch Shell PLC 1.7%
    10. China National Petroleum Corp (CNPC) 1.6%
    11. BP PLC 1.5%
    12. Chevron Corp 1.3%

    voir aussi https://seenthis.net/messages/198774

  • Germany Is Addicted to Russian Gas - Bloomberg
    https://www.bloomberg.com/news/articles/2017-07-03/german-addiction-to-russia-gas-raises-alarm-in-merkel-s-backyard

    Hidden by pine forests near the deserted site of what was once East Germany’s biggest nuclear reactor, two shiny pipelines emerge from the Baltic Sea to mark the spot where Chancellor Angela Merkel is trying to secure the country’s energy future.

    Not far from the Hanseatic town of Greifswald — an area Merkel represents in parliament — the chancellor wants a $10 billion pipeline expansion built to increase the amount of Russian natural gas imported from Siberia, more than 3,000 kilometers (1,864 miles) away.

    The project, led by Russia’s state-run Gazprom PJSC, is intended to bolster German confidence that it has enough gas to underpin an unprecedented transition from the coal and nuclear plants, which are being closed, to a future dominated by renewable energy.

    But the plan has opponents, both close to home and further afield.

    People living in the sparsely populated area have filed almost 160 objections. Local approval is still pending and the site also requires removal of two shipwrecks sunk by the Swedish navy in the 18th century. European allies have also objected — worried that the project will deepen Europe’s reliance on supplies from an increasingly antagonistic Russia — and U.S. lawmakers have proposed stiffer sanctions on energy companies that do business with Russia.
    […]
    Undeterred, Gazprom is forging ahead. About 37,000 12-meter-long pipes are stored at an industrial site bigger than 20 soccer pitches on the island of Ruegen, waiting to be coated with concrete long before being laid on the seabed at an average depth of 50 meters.

    #Nord_Stream_2

  • Russie : Fort de son accord de financement, le #gazoduc Nord Stream 2 cherche sa route - REGARD SUR L’EST
    http://www.regard-est.com/home/breves.php?idp=1931

    Le 4 avril 2017, après bien des péripéties, #Nord_Stream 2 a signé un accord de financement du projet de doublement du gazoduc Nord Stream qui, depuis 2012, relie la #Russie à l’Allemagne via la mer Baltique, avec les entreprises Wintershall, Uniper (Allemagne), Royal Dutch Shell (Royaume-Uni/Pays-Bas), OMV (Autriche) et Engie (France). Les cinq compagnies européennes vont devoir apporter ensemble 50% du financement du projet, actuellement évalué à 9,5 milliards d’euros. Chaque entreprise fournira donc 950 millions d’euros, sachant que, suite à l’intervention de l’Autorité polonaise de la concurrence et l’éclatement du consortium qui a suivi durant ‘été 2016, l’unique actionnaire de Nord Stream 2 est désormais la compagnie russe #Gazprom.

    #gaz #énergie