company:goldman sachs

  • ExxonMobil, Goldman Sachs et compagnie : les intérêts privés investissent l’administration américaine
    https://www.crashdebug.fr/international/12834-exxonmobil-goldman-sachs-et-compagnie-les-interets-prives-investiss

    Désolé je bosse sur le SEO du site donc je n’ai pas trop le temps de creuser l’actualité aussi je pioche dans la Revue de presse de ce matin.

    Bonne soirée.

    f.

    Donald Trump

    Donald Trump vient de choisir son secrétaire d’État, l’équivalent du ministre des Affaires étrangères : ce sera Rex Tillerson, patron de la firme pétrolière ExxonMobil. Sa nomination intervient après celle du numéro deux de la banque Goldman Sachs, Gary Cohn, au poste de conseiller économique de la Maison blanche. Rex Tillerson est le troisième ancien cadre de la banque à rejoindre l’administration Trump, après Steven Mnuchin, directeur de fonds spéculatifs, nommé au Trésor, et Steve Bannon, animateur du site d’extrême-droite Breitbart, lui aussi passé par Goldman Sachs.

    Parmi les ministres que s’est choisi le nouveau président (...)

    http://www.rollingstone.com/politics/features/trumps-epa-pick-is-the-fossil-fuel-industrys-con-man-w454716
    http://www.motherjones.com/politics/2016/11/education-secretary-betsy-devos-vouchers-michigan-trump
    https://www.thenation.com/article/trumps-transition-team-is-dirty-and-its-dark

  • ExxonMobil, Goldman Sachs et compagnie : les intérêts privés investissent l’administration américaine
    http://www.bastamag.net/ExxonMobil-Goldman-Sachs-et-compagnie-les-interets-prives-investissent-l

    Donald Trump vient de choisir son secrétaire d’État, l’équivalent du ministre des Affaires étrangères : ce sera Rex Tillerson, patron de la firme pétrolière ExxonMobil. Sa nomination intervient après celle du numéro deux de la banque Goldman Sachs, Gary Cohn, au poste de conseiller économique de la Maison blanche. Rex Tillerson est le troisième ancien cadre de la banque à rejoindre l’administration Trump, après Steven Mnuchin, directeur de fonds spéculatifs, nommé au Trésor, et Steve Bannon, animateur du (...)

    En bref

    / #Climat, #Multinationales, #Finance, #Conservateurs, #Droites_extrêmes, #Amériques

  • ExxonMobil, Goldman Sachs et compagnie : que signifie la nouvelle administration Trump ?
    http://multinationales.org/ExxonMobil-Goldman-Sachs-et-compagnie-que-signifie-la-nouvelle-admi

    Donald Trump vient d’officialiser son choix pour le poste de Secrétaire d’État, l’équivalent du ministre des Affaires étrangères : ce sera Rex Tillerson, patron de la firme pétrolière ExxonMobil. Une nomination qui intervient après celle de dirigeants de Goldman Sachs, de climato-sceptiques et autres figures peu recommandables. La démarche est sans ambiguïté : il s’agit de mettre l’appareil d’État et les autorités de régulation entre les mains de ceux mêmes qui n’ont cessé de combattre leurs tentatives de (...)

    Actualités

    / #États-Unis, #Lobbying, #influence, #privatisation, #normes_et_régulations, #oligarchie

    « http://www.rollingstone.com/politics/features/trumps-epa-pick-is-the-fossil-fuel-industrys-con-man-w454716 »
    « http://www.motherjones.com/politics/2016/11/education-secretary-betsy-devos-vouchers-michigan-trump »
    « https://www.thenation.com/article/trumps-transition-team-is-dirty-and-its-dark »

  • Trump propose à un troisième banquier de Goldman Sachs un poste à la Maison Blanche
    https://www.crashdebug.fr/international/12802-trump-propose-a-un-troisieme-banquier-de-goldman-sachs-un-poste-a-l

    Le président élu américain Donald Trump a demandé à Gary Cohn, directeur général adjoint de la banque Goldman Sachs, de diriger le Conseil national économique de la Maison blanche. Deux anciens banquiers de Goldman Sachs ont déjà été choisis pour faire partie de la future administration

    Le président élu américain Donald Trump a demandé à Gary Cohn, directeur général adjoint de la banque Goldman Sachs, de diriger le Conseil national économique de la Maison blanche, chargé de coordonner la politique économique gouvernementale, rapporte vendredi la chaîne NBC News. Cohn est souvent considéré comme le successeur désigné de Lloyd Blankfein, le directeur général de Goldman Sachs.

    > A lire : Trump nomme une ancienne dirigeante de catch pour gérer les PME > A lire : Trump nomme des "durs" à (...)

    #En_vedette #Ça_s'est_dit_par_là... #International

  • « Trump remet les clés de la Maison Blanche à Goldman Sachs »
    https://www.crashdebug.fr/international/12789-trump-remet-les-cles-de-la-maison-blanche-a-goldman-sachs

    Avec ces nominations, c’est le moment opportun de voir (ou de revoir) le documentaire d’Arte : Goldman Sachs - La banque qui dirige le monde (Informations complémentaires)

    Audrey Duperron

    La banque américaine Goldman Sachs sera très présente dans le gouvernement du futur président américain Donald Trump. En effet, 3 banquiers issus de ce groupe financier feront partie de la nouvelle équipe gouvernementale.

    Récemment, on avait appris que Steve Bannon avait été nommé responsable stratégique de la politique de Trump, tandis que Steven Mnuchin s’est vu offrir le portefeuille de ministre des finances.

    Bannon comme Mnuchin ont été actifs dans l’équipe de campagne de Trump, et tous 2 ont travaillé par le passé pour Goldman Sachs.

    De plus, Trump souhaite également attirer Gary Cohn, la seconde (...)

    #En_vedette #Ça_s'est_dit_par_là... #International

  • Après deux gouvernements non-élus, les Italiens votent pour la démocratie Solidaire - Marc Botenga - 5 Décembre 2016
    http://solidaire.org/articles/apres-deux-gouvernements-non-elus-les-italiens-votent-pour-la-democratie

      No ! » Les Italiens ont été clairs. Lors du référendum qui a eu lieu ce dimanche 4 décembre, ils ont majoritairement rejeté la réforme de la Constitution. Un message clair au social-démocrate Renzi, à toute la classe politique italienne, mais aussi à l’Union européenne : les gens veulent plus de participation populaire. Après deux gouvernements non-élus, les Italiens disent « Basta ! ».

    Le résultat du référendum est sans appel, avec un taux de participation de 65 % et 60 % des votants qui ont dit « non » au projet du premier ministre Matteo Renzi. Il s’agit d’un message clair des Italiens au social-démocrate Renzi, à toute la classe politique italienne, mais aussi à l’Union européenne. Un message de démocratie à cette classe politique qui a voulu exclure le peuple. Parce que c’est bien de cela qu’il s’agissait : une constitution moins démocratique, avec moins de participation populaire. Après deux gouvernements non-élus, les Italiens ont maintenant dit : Basta !


    Des gouvernements sans et contre le peuple
    La campagne pour le « Non » a en premier lieu été une campagne démocratique. Son succès est celui des militants de base et du travail de terrain d’une grande variété d’acteurs.

    Après la chute de Berlusconi, en 2011, l’Union européenne avait imposé – sans élections - Mario Monti comme premier ministre et ministre de l’économie. Ancien conseiller de la banque d’affaires Goldman Sachs et de Coca-Cola, Monti avait passé dix ans à la Commission européenne. Il en profitait pour faire passer des mesures d’austérité et des coupes dans les pensions. Monti avait aussi initié la réforme du marché du travail que Renzi terminera.

    En 2014, Renzi devient le deuxième Premier ministre (Président du Conseil, selon la terminologie italienne) non-élu en trois ans, remplaçant son collègue de parti Enrico Letta. Renzi se fait un ardent défenseur des « réformes structurelles » de l’Union européenne. Sa loi Peeters à lui, qu’il appelle « Jobs Act », facilitera les licenciements collectifs, et supprime l’article 18 de la loi du travail. Cet article 18, dont la portée avait déjà été fortement affaiblie, garantissait une protection en cas de licenciement illégal. Berlusconi avait essayé d’abolir cet article, mais les travailleurs italiens s’étaient mobilisés en masse. Sans aucun mandat populaire, Renzi a ensuite forcé la main, là où les gouvernements de droite avaient échoué.

    Marre
    C’est ce même Renzi, non-élu et anti-social, qui voulait maintenant réformer la Constitution à son image. Le Sénat ne serait plus élu directement, et proposer une loi au Parlement deviendrait plus difficile pour les citoyens. Pas question, rétorquent donc les Italiens en masse.

    Des années faites de cadeaux aux banques et aux multinationales, des années d’austérité et de concurrence européenne ont quasiment mis à genoux l’économie italienne. C’est aussi cette politique qu’a refusé la population. Pour Eleonora Forenza, parlementaire européenne italienne du groupe de la Gauche unie européenne (GUE/NGL), Renzi appliquait à la lettre ce que demandent le capital financier, l’Europe des banques et notamment la banque d’affaires américaine JP Morgan. En 2013, cette société financière américaine affirmait que les systèmes politiques des pays du Sud paraissaient inadaptées à favoriser une plus grande intégration de la zone européenne.

    Face à l’ampleur du désaveu de ce dimanche 4 décembre, Renzi a démissionné. Durant la campagne pour le référendum, il avait en effet annoncé qu’il démissionnerait en cas de victoire du « non ». Cela avait encore davantage transformé le référendum en plébiscite pour sa politique. Avec un résultat éloquent.

    Il n’est cependant pas sûr que la classe politique, ni l’Union européenne, comprenne réellement le message. Au sein de l’establishment, des voix s’élèvent pour que le président italien Sergio Matarella nomme un « gouvernement technocratique ». Le nom de Pier Carlo Padoan circule notamment. Padoan a été directeur du Fonds Monétaire international (FMI) et vice-secrétaire général de l’OCDE. Imposer un autre gouvernement technocrate pour appliquer la politique des banques et de l’Union européenne. Voilà la première réaction de ceux d’en haut.

    Un message solidaire à porter
    C’est se voiler la face que de penser pouvoir ignorer le message du référendum. La droite traditionnelle et le richissime Silvio Berlusconi l’ont bien compris. Ainsi, dans une première réaction, même d’anciens ministres de Berlusconi se présentent désormais comme anti-élite. L’extrême droite, elle, veut donner une interprétation étroitement nationaliste ou même raciste à ce référendum.

    Ce serait une grossière manipulation. La campagne pour le « Non » a été portée très largement. Elle a en premier lieu été une campagne démocratique. Son succès est celui des militants de base et du travail de terrain d’une grande variété d’acteurs. Le Mouvement des 5 Étoiles (Movimento 5 Stelle) de Beppe Grillo y a joué un rôle important, mais il y avait aussi le grand syndicat CGIL, tous les comités locaux et les syndicats de base. Des militants des syndicats de base USB étaient d’ailleurs les premiers à descendre dans la rue devant le siège du Premier ministre pour exiger sa démission.

    Un sentiment de colère justifiée se répand contre cette élite qui essaie d’exclure la population de la politique, ainsi qu’un dégoût justifié des politiques qui ne favorisent que les grandes fortunes. Les Italiens ont voté en masse contre un gouvernement asocial au service des banques, contre l’Europe de la concurrence, pour davantage de démocratie. Le défi pour la gauche, pour tous ces militants qui se sont battus corps et âme, sera de donner une expression politique à la hauteur des aspirations de la population. Ce vote prouve une nouvelle fois que l’Europe doit changer de cap. Soit nous construisons une Europe de la solidarité et de la coopération, soit des tendances nationalistes qui devraient rester au 20e siècle domineront les années à venir.

    #Italie #Renzi #référendum #Constitution #anti-social #banques #silvio_berlusconi #fmi #ocde #Basta

  • America first, Goldman Sachs second !
    http://www.latribune.fr/opinions/editos/america-first-goldman-sachs-second-621571.html

    Durant la campagne, Donald Trump a accusé Hillary Clinton d’être "contrôlée" par Goldman Sachs. Aujourd’hui, le milliardaire embauche des hauts cadres de la banque d’investissement à des postes clés de son administration.

    Durant sa campagne, Donald Trump n’a eu de cesse d’accuser son adversaire Hillary Clinton d’être la marionnette de Wall Street, en particulier celle de la banque d’investissement Goldman Sachs. Il avait également utilisé cet argument pour éliminer un de ses concurrents républicains Ted Cruz. Hillary Clinton, il est vrai, avait empoché la coquette somme de 675.000 dollars pour trois discours prononcés devant un parterre d’employés de Goldman Sachs. Prestation qu’en tant que candidate, elle a traîné comme un boulet.

    Rappelons-nous que le milliardaire Donald Trump se présentait devant ses auditoires populaires comme celui qui se voulait « anti-establishment ». Même s’il n’allait pas jusqu’à dire que « la finance était son ennemie », comme l’avait fait François Hollande, il a réussi à faire croire qu’il ne faisait pas partie de l’élite.

    Aussi, aujourd’hui, l’électeur « trumpien » doit être surpris par les nominations dans la future administration. Steven Mnuchin, occupera le poste de secrétaire au Trésor, Wilbur Ross, celui de secrétaire au Commerce et Gary Cohn pourrait prendre celui de secrétaire au Budget. Ils ont une point commun avec Trump, ils sont milliardaires - un signe de réussite aux Etats-Unis -, et une différence commune, ils sont ou ont été tous les trois membres de la direction de Goldman Sachs.

    Et même Steve Bannon, le sulfureux conseiller de Donald Trump, qui se situe plutôt à l’extrême droite de l’échiquier politique américain, a commencé sa carrière comme employé chez Goldman Sachs.

  • En Asie, l’exploration pétrolière et la construction navale premières bénéficiaires de l’accord de l’OPEP.
    Dans la vidéo en tête d’article, la commentatrice de Bloomberg présente l’accord comme une grande victoire de l’Arabie Séoudite.
    À comparer avec https://seenthis.net/messages/547448

    New Era for Oil Reverberates Through Asia’s Shipyards to Runways - Bloomberg
    https://www.bloomberg.com/news/articles/2016-12-01/new-era-for-oil-reverberates-through-asia-s-shipyards-to-runways

    While the first OPEC production cuts since 2008 were inked as Asia slept, the winners and losers from the surprise deal are already becoming clear in the world’s biggest oil-consuming region.

    U.S. crude is hugging $50 a barrel following Wednesday’s 9.3 percent surge, the biggest since February, and Goldman Sachs Group Inc. is projecting further gains of more than 10 percent by the end of the first half as the current oil surplus withers into a deficit. A revival in prices could prove challenging to countries like India and China, which import most of the crude they consume. Yet the region is also home to some of the largest players when it comes to shipping and oil-market infrastructure.

    It’s extremely hopeful and optimistic for those traditional manufacturing companies in Asia,” Hong Sung Ki, a commodities analyst at Samsung Futures Inc., said by phone from Seoul. “Oil explorers as well as steel companies that supply pipeline makers will start boosting investment and production as oil prices are on the rise in the long term.

    Asian energy stocks are surging the most in almost 10 months, with exploration companies such as Australia’s Santos Ltd. and Tokyo-based Inpex Corp., Japan’s biggest oil and gas explorer, leading gains.

  • Trump considère un candidat au Trésor qui veut abolir la FED et retourner à l’étalon-or
    https://www.crashdebug.fr/international/12751-trump-considere-un-candidat-au-tresor-qui-veut-abolir-la-fed-et-ret

    Le dernier qui a essayé c’était J.F. Kennedy, vous connaissez la suite...

    John Allison en compagnie du vice-président Mike Pence à la sortie d’un rendez-vous avec Donald Trump à

    New York, lundi 28 novembre. Il serait candidat pour le poste de secrétaire au Trésor

    Les pronostics se poursuivent sur la composition de la future administration Trump. Le président-élu a reçu lundi 28 novembre John Allison, un libertarien critique notoire de la Réserve fédérale, comme possible candidat au Trésor, selon Bloomberg.

    La course au secrétariat au Trésor américain est en train de prendre une tournure inattendue. Si le ministère clé semblait promis il y a quelques jours encore à Steve Munchins, ancien de Goldman Sachs et proche du sulfureux Georges Soros, Bloomberg rapporte qu’un nouveau candidat a émergé (...)

    #En_vedette #Ça_s'est_dit_par_là... #International

  • José Manuel Barroso n’enseignera plus à l’Université de Genève _ RTS - lan - 25 Novembre 2011 -
    http://www.rts.ch/info/regions/geneve/8193692-jose-manuel-barroso-n-enseignera-plus-a-l-universite-de-geneve.html

    L’Université de Genève et l’Institut des hautes études internationales (IHEID) n’ont pas renouvelé le mandat de professeur invité de José Manuel Barroso, a appris le Temps vendredi.

    En cause : le poste que l’ancien président de la Commission européenne a accepté chez la banque d’investissement américaine Goldman Sachs, qui a suscité un tollé à Bruxelles.

    Le Portugais avait été étudiant à l’UNIGE. Le directeur du Global Studies Institute René Schwok a expliqué au quotidien que José Manuel Barroso avait prévenu l’Université qu’il allait « travailler pour une grosse boîte ».

    Mais son mandat de professeur invité arrivait justement à échéance à fin 2016, a de son côté expliqué Jacques de Werra, vice-recteur de l’Université de Genève au Temps. « Aucune disposition dans le contrat ne prévoyait de renouvellement », a-t-il poursuivi.

    http://www.rts.ch/2016/10/12/13/14/8084878.image?w=900&h=506
    #Suisse #Université #UNIGE #josé_manuel_barroso #union_européenne #UEF #UE

  • FRANCE : fusionner CDI & CDD (puis baisser les salaires de 30% selon Goldman Sachs)...
    http://www.brujitafr.fr/2016/11/france-fusionner-cdi-cdd-puis-baisser-les-salaires-de-30-selon-goldman-sac

    Le patronat de l’intérim propose de fusionner le CDI et le CDD Le patronat de l’intérim publie vendredi, en vue de la présidentielle, un « manifeste pour l’emploi » où il propose de fusionner le CDI et le CDD pour donner plus de flexibilité aux entreprises...

  • Le patronat de l’intérim propose de fusionner le CDI et le CDD
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/12728-le-patronat-de-l-interim-propose-de-fusionner-le-cdi-et-le-cdd

    Fusionner CDI & CDD (puis baisser les salaires de 30% selon Goldman Sachs)...

    Contributeur anonyme

    Une agence du groupe Manpower, spécialisé dans l’emploi en intérim, à Paris en mars 2010 (AFP/L.Venance)

    Le patronat de l’intérim publie vendredi, en vue de la présidentielle, un "manifeste pour l’emploi" où il propose de fusionner le CDI et le CDD pour donner plus de flexibilité aux entreprises tout en "sécurisant" les parcours des salariés, notamment via un renforcement du compte personnel d ’activité (CPA).

    L’initiative vise à "faire bouger les lignes" pour "en finir avec les rigidités et les défaillances du marché du travail", explique le manifeste de Prism’emploi, l’organisme patronal du travail temporaire qui représente 90% (...)

    #En_vedette #Liberté,_Égalité,_Fraternité... #Actualités_France

  • A Bruxelles, le malaise Günther Oettinger, nouveau maillon faible de la Commission européenne
    http://www.lemonde.fr/economie/article/2016/11/19/gunther-oettinger-nouveau-maillon-faible-de-la-commission-europeenne_5033960
    Les propos et le comportement de l’Allemand irritent une partie des élus européens. Mais le président de la Commission, Jean-Claude Juncker, esquive le problème.

    Il y a eu l’affaire Barroso, président de la Commission européenne pendant dix ans recruté cet été par la banque d’affaires américaine Goldman Sachs ; puis le scandale lié à la société offshore de l’ex-commissaire Neelie Kroes, révélé par les « Bahamas Leaks ».

    Bruxelles doit désormais composer avec les écarts de langage et de comportement de Günther Oettinger, le commissaire allemand à l’économie numérique. Et le malaise est d’autant plus grand autour de la place Schuman, le centre névralgique des institutions européennes, qu’une fois de plus, le président de la Commission, Jean-Claude Juncker, tarde à réagir.

    M. Oettinger, homme politique anciennement élu du Bade Wurtemberg et membre de l’Union chrétienne-démocrate (CDU), a déjà défrayé la chronique fin octobre en tenant des propos déplacés à propos des Chinois. Lors d’un discours devant des chefs d’entreprise allemands, secrètement enregistré, il les a qualifiés de « bridés » et a raconté avoir reçu des ministres de la République populaire tous « peignés de gauche à droite avec du cirage noir ».

    Mardi 15 novembre, à la suite des révélations du site EUobserver, M. Oettinger a aussi reconnu avoir emprunté, en mai, le jet privé d’un homme d’affaires allemand, Klaus Mangold, considéré comme un proche de Moscou, pour se rendre à un dîner avec le premier ministre hongrois Viktor...
    #paywall #seenthis_request

    • Il y a eu l’affaire Barroso, président de la Commission européenne pendant dix ans recruté cet été par la banque d’affaires américaine Goldman Sachs ; puis le scandale lié à la société offshore de l’ex-commissaire Neelie Kroes, révélé par les « Bahamas Leaks ».

      Bruxelles doit désormais composer avec les écarts de langage et de comportement de Günther Oettinger, le commissaire allemand à l’économie numérique. Et le malaise est d’autant plus grand autour de la place Schuman, le centre névralgique des institutions européennes, qu’une fois de plus, le président de la Commission, Jean-Claude Juncker, tarde à réagir.

      M. Oettinger, homme politique anciennement élu du Bade Wurtemberg et membre de l’Union chrétienne-démocrate (CDU), a déjà défrayé la chronique fin octobre en tenant des propos déplacés à propos des Chinois. Lors d’un discours devant des chefs d’entreprise allemands, secrètement enregistré, il les a qualifiés de « bridés » et a raconté avoir reçu des ministres de la République populaire tous « peignés de gauche à droite avec du cirage noir ».

      Mardi 15 novembre, à la suite des révélations du site EUobserver, M. Oettinger a aussi reconnu avoir emprunté, en mai, le jet privé d’un homme d’affaires allemand, Klaus Mangold, considéré comme un proche de Moscou, pour se rendre à un dîner avec le premier ministre hongrois Viktor Orban. Le commissaire s’est justifié en expliquant que le vol lui avait été suggéré par le gouvernement hongrois, car il ne pouvait pas prendre l’avion initialement prévu pour arriver à l’heure.

      Portefeuille stratégique du budget

      A chaque fois, la direction de la Commission a volé au secours de M. Oettinger, même si ce dernier a dû platement présenter ses excuses à la Chine après des réactions officielles de Pékin.
      Jeudi 17 novembre, Margaritis Schinas, chef des porte-parole de la Commission, soulignait que M. Oettinger n’a pas violé le code de conduite des commissaires. Ces derniers sont censés refuser tout cadeau supérieur à 150 euros. « Le vol n’est pas un cadeau mais un moyen de déplacement offert par le gouvernement hongrois. » Et « oui », M. Oettinger conserve toujours la confiance de M. Juncker, a précisé M. Schinas.

      Le cas Oettinger n’a pas été évoqué lors du collège hebdomadaire des commissaires, mercredi 16 novembre, et M. Juncker n’en a pas non plus profité pour soumettre à ses collègues la réforme du code de conduite qu’il avait pourtant dit vouloir leur proposer dans une interview au quotidien belge Le Soir, début novembre.

      Cette réforme, visant à faire passer de dix-huit à trente-six mois la période durant laquelle les ex-commissaires doivent obtenir l’aval d’un comité d’éthique pour accepter un nouveau poste, était pourtant prévue à l’agenda. « L’ordre du jour était trop chargé », faisait savoir la Commission, jeudi.
      Les écarts du commissaire allemand sont d’autant plus problématiques que ce dernier a été choisi pour récupérer, outre le numérique, le portefeuille stratégique du budget européen (près de 150 milliards d’euros annuels), la commissaire chargée de ce dossier, la Bulgare Kristalina Georgieva, ayant récemment annoncé sa démission.

      Climat de plus en plus crépusculaire

      L’inaction de M. Juncker face à l’accumulation des affaires alimente les fantasmes : parmi eux, le fait que M. Oettinger soit le commissaire allemand, donc intouchable. Elle contribue au climat de plus en plus crépusculaire qui règne au sein des institutions européennes, ébranlées par le Brexit, démoralisées par l’élection de Donald Trump à la Maison Blanche et par la vague populiste et europhobe qui menace l’Europe.

      « Dans ce contexte, nous nous devons d’être irréprochables, quand on est la Commission de la dernière chance, comme disait Juncker au début de son mandat, on fait super-gaffe », déplorait, mercredi, un des initiateurs de la pétition « anti-Barroso » de l’été, fonctionnaire européen préférant rester anonyme. Lui et des collègues ont décidé de ne pas lâcher l’affaire : ils réclament un durcissement du code de conduite des commissaires.

      Au Parlement européen, la « campagne » anti-Oettinger bat déjà son plein, une partie des élus étant résolus à ne pas lui faire de cadeau. « Il y a urgence à renvoyer M. Oettinger à pied, à cheval ou à dos d’âne, soulignent les élus socialistes français dans un communiqué jeudi. Sa candidature à une promotion au sein de la Commission Juncker est incompréhensible. Elle fera l’objet d’une audition par le Parlement qui débouchera sur un vote. Nous prendrons nos responsabilités… »

    • https://seenthis.net/messages/538861

      Les Chinois, des bridés, les wallons, des coco, le commissaire européen Oettinger dans sa splendeur !
      http://www.rtbf.be/info/monde/europe/detail_la-chine-denonce-les-propos-du-commissaire-europeen-oettinger-sur-les-br

      La Chine a dénoncé ce mercredi le « sentiment de supériorité » du commissaire européen à l’Economie numérique Günther Oettinger, qui a utilisé dans un discours le terme péjoratif de « bridés » pour décrire les Chinois.

      Le responsable politique allemand avait été secrètement enregistré lors d’une réunion de chefs d’entreprises à Hambourg (nord de l’Allemagne) la semaine dernière. Il racontait avoir reçu des ministres chinois, tous « peignés de gauche à droite avec du cirage noir ».
      L’auteur de l’enregistrement, diffusé vendredi sur YouTube et repris samedi par le site du magazine allemand Der Spiegel, déclare avoir commencé à filmer après que Günther Oettinger eut utilisé des termes comme « les yeux bridés » ou les « escrocs » à propos des Chinois.

      « Un effarant sentiment de supériorité »
      « Les remarques en question démontrent un effarant sentiment de supériorité enraciné chez certains dirigeants politiques occidentaux » , a déclaré mercredi Hua Chunying, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, lors d’un point presse régulier. « Nous espérons qu’ils puissent apprendre à avoir une vision objective d’eux-mêmes et des autres et à respecter et traiter les autres sur un pied d’égalité. »

      Interrogé par le journal allemand Die Welt, Günther Oettinger avait assuré samedi qu’il « s’agissait d’une expression familière qui ne se voulait en aucun cas un manque de respect vis-à-vis de la Chine ».
      Oettinger n’en est pas à son premier dérapage. En 2014, il avait traité la France de « pays déficitaire récidiviste », ce à quoi le PS français avait appelé à sa démission du poste de commissaire européen.

      Plus récemment, dans le contexte des négociations sur le CETA, l’Allemand a affirmé que « la Wallonie est une micro-région gérée par des communistes qui bloque toute l’Europe », ajoutant « ce n’est pas acceptable ». Des propos que le ministre-président wallon Paul Magnette (PS) avait qualifié de « mépris total ».

      #commission_européenne #ue #UEF #union_européenne #chine #chinois #raciste #Günther_Oettinger #Allemagne

  • Les loups de Wall Street rodent autour de Donald Trump

    http://www.lemonde.fr/economie/article/2016/11/21/apres-avoir-fustige-wall-street-et-les-lobbys-donald-trump-y-puise-ses-conse

    Des anciens de Goldman Sachs ou de fonds spéculatifs sont pressentis pour occuper des postes clés dans l’administration.

    Pendant des mois, Donald Trump s’est présenté comme le représentant de l’Amérique des travailleurs, loin des compromissions de « l’establishment » de Washington avec la finance et les lobbies. « Les gars des fonds spéculatifs s’en sont bien tirés », n’a cessé de marteler le magnat de l’immobilier devant ses supporteurs en parlant de la crise financière de 2008.

    Mais, depuis son élection, il semble que « ces gars-là » aient à nouveau le vent en poupe. En témoigne l’aréopage de conseillers qui constituent l’équipe de transition du président-élu, et dont certains vont former l’ossature du futur gouvernement. Selon des médias américains, certains noms pour des postes-clés de l’administration Trump doivent être annoncés en tout début de semaine.

    Steven Mnuchin est sans doute l’un des plus visibles actuellement. Celui que l’on présente comme le probable secrétaire au Trésor – c’est lui qui a supervisé les finances de la campagne du candidat républicain –, a fait l’essentiel de sa carrière à Wall Street. Après dix-sept ans chez Goldman Sachs, où son père était associé, ce diplômé de Yale a ensuite rejoint le secteur des fonds spéculatifs, avant de monter sa propre boutique, Dune Capital.
    L’un de ses principaux faits d’armes a consisté à aider une poignée d’investisseurs comme George Soros ou John Paulson à racheter, en 2009, IndyMac, une caisse d’épargne spécialisée dans les prêts hypothécaires à risques qui venait de faire faillite après la crise des subprimes.

    Placée dans un premier temps sous le contrôle du Federal Deposit Insurance Corporation, l’agence fédérale qui garantit les dépôts bancaires aux Etats-Unis, la société a été reprise par M. Mnuchin et ses associés pour 1,5 milliard de dollars et rebaptisée OneWest Bank.
    Wilbur Ross, le « roi de la faillite »
    Devenue « leader des saisies sur le segment des personnes âgées », elle a été revendue cinq ans plus tard pour 3,4 milliards de dollars, après qu’elle eut expulsé des dizaines de milliers d’Américains de leur maison. La banque est également accusée de discrimination raciale, selon Bloomberg.

    Autre vétéran de la crise des subprimes en plein reclassement, John Paulson. Ce patron de fonds spéculatif, qui a gagné des milliards de dollars quand le château de cartes du marché immobilier s’est effondré, a été propulsé conseiller économique de M. Trump.
    L’homme qui est pressenti pour devenir secrétaire au commerce, Wilbur Ross, est également une figure de Wall Street. A 78 ans, il est le fondateur d’un fonds d’investissement dans les entreprises non cotées (private equity), WL Ross and Co, dont la spécialité consiste à reprendre des entreprises en faillite pour les redresser.

    M. Ross a gagné son surnom de « roi de la faillite » en rachetant pour une bouchée de pain des fabricants d’acier, des entreprises textiles et des mines de charbon. Il les a ensuite revendues à bon prix après les avoir sévèrement restructurés en procédant, entre autres, à des milliers de licenciements.

    Des méthodes qui allèrent jusqu’à faire fi de la sécurité, comme dans la mine de Sago (Virginie-Occidentale), où les salariés n’avaient pas le droit de se syndiquer. En 2005, ce site a fait l’objet de 205 infractions à la réglementation en termes de sécurité, et, en janvier 2006, une explosion a tué une douzaine de mineurs. C’est lui qui pourrait être chargé de mettre en œuvre les barrières douanières censées faire revenir les emplois industriels aux Etats-Unis.

    Paul Atkins, le « Monsieur finance »

    Autre candidat potentiel à ce poste : Lewis Eisenberg, ex-associé chez Goldman Sachs, qui, après vingt ans, a été poussé à la démission à la suite d’une affaire de harcèlement sexuel. De son côté, Robert Mercer, patron du fonds spéculatif Renaissance Technologies, gros donateur pour la cause des conservateurs et actuellement en délicatesse avec le fisc à propos d’un redressement portant sur plusieurs milliards, a eu le plaisir de voir sa fille Rebekah intégrer l’équipe de transition.
    Elle y retrouve Paul Atkins, 58 ans, le « Monsieur finance » de cette équipe. Ce républicain, ex-membre de la Securities and Exchange Commission (SEC) de 2002 à 2008, a toujours été un farouche adversaire de la régulation financière. Il était à l’époque très critique à propos des amendes infligées aux entreprises, estimant que ces sanctions n’aboutissaient qu’à punir les actionnaires. C’est lui qui est chargé de conseiller M. Trump sur les nominations à la Réserve fédérale (Fed, banque centrale) ou à la SEC. Il sera également à la manœuvre pour démanteler la loi Dodd-Frank sur la régulation financière, comme s’y est engagé le président-élu quelques jours après son élection.
    M. Atkins est actuellement à la tête d’un cabinet, Patomak Global Partners, qui conseille les institutions financières sur la façon de s’adapter aux nouvelles normes imposées par les régulateurs du secteur.

    En octobre, il a été nommé par un juge fédéral pour contrôler la Deutsche Bank sur la gestion de ses produits dérivés dans le cadre d’une sanction infligée par la CFTC, l’agence fédérale chargée de la régulation des Bourses. La banque allemande est par ailleurs le principal prêteur de la Trump Organization, l’entreprise du milliardaire.
    Les questions économiques sont chapeautées par David Malpass. Cet ancien conseiller de Ronald Reagan a été pendant quinze ans économiste en chef de la banque d’affaires Bear Stearns, qui a fait faillite en mars 2008.

    Donald Trump ne voit pas où est le problème

    En août 2007, dans une tribune parue dans le Wall Street Journal et intitulée « Ne paniquez pas à propos du marché du crédit », il écrivait : « Les marchés immobilier et de la dette ne sont pas une si grosse part de l’économie américaine et de la création d’emplois. L’économie est robuste et va croître solidement dans les prochains mois et peut-être les prochaines années. » On connaît la suite.
    Les lobbyistes ont aussi la part belle dans l’équipe de M. Trump. Comme Jeff Eisenach, qui a travaillé comme consultant chez le plus gros opérateur américain de télécommunications, Verizon, et qui est censé réfléchir à l’orientation de la Federal Communications Commission, l’autorité de régulation du secteur.

    Michael Catanzaro, qui a fait du lobbying pour les entreprises parapétrolières Halliburton ou Koch Industries et gros bailleur de fonds du Parti républicain, est le principal conseiller pour les questions énergétiques. Martin Whitmer, lui, a travaillé pour la National Asphalt Pavement Association, qui regroupe les fabricants d’asphalte. Il est désormais chargé des transports et des infrastructures auprès de M. Trump.

    Quant à Michael Torrey, il a longtemps conseillé l’American Beverage Association, le lobby des fabricants de boissons, et la Crop Insurance Bureau, un assureur agricole. Sa mission sera désormais de superviser les questions… agricoles.

    Au total, une vingtaine de lobbyistes sont à la manœuvre au sein de l’équipe de transition. Une situation que la sénatrice démocrate du Massachusetts, Elizabeth Warren, a dénoncée dans une lettre datée du 15 novembre et adressée à M. Trump. « Vous aviez promis que vous ne seriez pas aux mains “des donateurs, des intérêts particuliers et des lobbyistes qui ont corrompu nos politiques depuis déjà trop longtemps” et que vous alliez “assécher le marais” à Washington », rappelle-t-elle, constatant qu’il était « déjà en train d’échouer » en nommant « une kyrielle de banquiers de Wall Street, d’initiés de l’industrie et des lobbyistes au sein de [son] équipe de transition ».
    Mme Warren, qui souligne que « 72 % des Américains, démocrates comme républicains, pensent que “l’économie américaine est truquée au bénéfice des riches et des puissants” », appelle le président-élu à exclure ces personnes de son équipe.

    Donald Trump, lui, ne voit pas où est le problème. Lors d’une interview accordée le 13 novembre à la chaîne de télévision CBS, le milliardaire a expliqué qu’il était difficile de trouver des gens pour travailler avec le gouvernement sans qu’ils aient des liens avec les lobbys, estimant que Washington était, « dans sa totalité », un « énorme lobby ». Reste à savoir si ses électeurs seront convaincus par cette réponse.

  • Administration Trump : un ancien de Goldman Sachs au Trésor et un lobbyiste climato-sceptique à l’Environnement ?
    http://www.brujitafr.fr/2016/11/administration-trump-un-ancien-de-goldman-sachs-au-tresor-et-un-lobbyiste-

    Ceux qui voyaient en Donald Trump un pourfendeur des « élites » affairistes risquent de déchanter. Le profil des candidats pressentis pour intégrer la nouvelle administration Trump laisse rêveur : un ancien de la puissante banque d’affaires Goldman Sachs...

  • Stephen Bannon, un idéologue controversé à la Maison Blanche

    http://www.lemonde.fr/elections-americaines/article/2016/11/16/stephen-bannon-un-ideologue-controverse-a-la-maison-blanche_5031796_829254.h

    La nomination de Stephen Bannon comme conseiller stratégique du futur président américain suscite de vives critiques. L’ex-patron du site « Breitbart News » est accusé d’antisémitisme et de racisme.

    Le site ultraconservateur Breitbart News a donné l’impression, mardi 15 novembre, d’avoir pour unique mission de défendre Stephen Bannon. La nomination de son ancien dirigeant comme conseiller stratégique du président élu Donald Trump, une fonction aux contours encore incertains, a suscité en effet une vague de critiques compte tenu de l’idéologie identitaire qui lui est prêtée. L’Anti-Defamation League et le Southern Poverty Law Center notamment, spécialisés dans la surveillance des groupuscules d’extrême droite, s’en sont indignés, assurant que, sous sa responsabilité, le site a banalisé les thèses de suprémacistes blancs et une forme d’antisémitisme.

    Breitbart News a dénoncé une cabale ourdie par « des élites battues et humiliées » à la suite de l’élection de M. Trump le 8 novembre. Mais la défiance s’étend au Parti républicain. « Ce site, c’est la poubellisation des esprits », déplore sous couvert d’anonymat un consultant conservateur rencontré mardi.

    Entré définitivement au service du milliardaire en août, après l’avoir activement soutenu par l’intermédiaire du site créé en 2007 par Andrew Breitbart, mort subitement en 2012, M. Bannon a tout pour détoner à la Maison Blanche. Il n’a aucune expérience du pouvoir et est entré tardivement en politique après une carrière passée dans l’armée, au sein de la marine, chez la banque Goldman Sachs, puis à Hollywood où il a produit des films avant de réaliser des documentaires consacrés successivement à Ronald Reagan, à Sarah Palin, la candidate républicaine à la vice-présidence en 2008, et enfin au mouvement Occupy Wall Street – deux hagiographies, et un brûlot contre la gauche américaine.

    Ethno-nationalisme anti-immigration

    A cet égard, il est un outsider au même titre que le futur 45e président des Etats-Unis, pourfendeur des « élites » malgré un passage par la Harvard Business School (comme M. Trump à la Wharton School of Business de l’University of Pennsylvania), et contempteur de la mondialisation. Son ethno-nationalisme anti-immigration doublé d’une défiance absolue vis-à-vis de l’islam l’a rapproché de figures telles que la polémiste Ann Coulter ou la militante islamophobe Pamela Geller.
    M. Bannon s’est retrouvé spontanément dans la candidature de M. Trump, qui avait lancé en 2011 une croisade « nativiste » contre le président Barack Obama, accusé d’avoir menti sur son lieu de naissance et d’être en fait inéligible.

    Cette proximité a été entretenue par une série d’entretiens sur une radio rattachée à Breitbart News. Des extraits donnés par le Washington Post, mardi, mettent en évidence l’influence du polémiste sur le candidat, notamment au sujet de l’islam.
    Les deux hommes y partagent la dénonciation du politiquement correct, Breitbart étant devenu le refuge des républicains radicaux jugeant la chaîne conservatrice Fox News trop policée. Un puissant moteur de mobilisation, puisqu’une étude du Policy Religion Research Institute a montré, en octobre, que 69 % des électeurs blancs, la base électorale de M. Trump, jugent qu’il faut « parler franchement des sujets sensibles et des problèmes auxquels le pays est confronté même si cela peut offenser certaines personnes ».

    Le blanchiment opéré par M. Bannon, via son site, des thèses radicales de l’« alternative right » ou Alt-Right, tenue longtemps à la lisière du camp conservateur, explique que sa nomination ait été perçue comme une victoire stratégique et saluée par le nationaliste blanc Richard Spencer, du National Policy Institute comme du site Vdare, classés racistes par le Southern Poverty Law Center. David Duke, ancien responsable du Ku Klux Klan, battu aux élections pour le poste de gouverneur de la Louisiane en 1991, a été également un des premiers à louer la nomination de M. Bannon.

    Un ancien du site qui avait rompu avec lui en mars, Ben Shapiro, qui anime désormais sa propre plate-forme, The Daily Wire, a estimé après l’annonce de sa nomination que le procès pour racisme et antisémitisme instruit contre M. Bannon éclipse ce qui figure au cœur de la stratégie d’un guerrier idéologique fasciné par le pouvoir. A savoir la volonté de transformation du Parti républicain – qu’il abhorre autant que la gauche américaine – alignée sur les mots d’ordre des extrêmes droites européennes.

    C’est ce conflit que M. Trump a importé à la Maison Blanche. Il a nommé en effet le même jour le patron du Grand Old Party (GOP), Reince Priebus, au poste également stratégique de chief of staff, proche à la fois d’une fonction de chef de cabinet et de premier ministre. Cette association peut s’avérer explosive. Pour Breitbart, un proche de M. Priebus, le speaker (président) de la Chambre des représentants du Congrès, le républicain Paul Ryan, jugé trop modéré, est en effet une cible à abattre.

    M. Bannon a montré par le passé que la fin justifiait les moyens. Breitbart News a diffusé, mardi, un article sur la menace islamiste agrémenté d’une photo menaçante d’hommes masqués. Elle avait été publiée en mars 2015 par le site britannique The Independent avec une légende précisant qu’il s’agissait de soldats irakiens à l’exercice avant une offensive contre l’organisation Etat islamique.

    La veille, un titre laissait entendre que M. Trump avait remporté le vote populaire sans préciser que, pour parvenir à ce résultat, l’auteur avait exclu les villes où les démocrates sont nettement majoritaires.

  • Grèce : le réseau électrique sera détenu par la Chine à hauteur de 24 %
    http://www.brujitafr.fr/2016/11/grece-le-reseau-electrique-sera-detenu-par-la-chine-a-hauteur-de-24.html

    La Grèce n’est pas encore morte, mais les CHAROGNARDS INTERNATIONAUX SE LA PARTAGENT déjà !!! La crise qui sévit en Grèce depuis de nombreux mois maintenant n’aura pas eu que des inconvénients. Loin s’en faut. A l’instar des banques US et de Goldman Sachs...

  • Administration Trump : un ancien de Goldman Sachs au Trésor et un lobbyiste climato-sceptique à l’Environnement ?
    http://www.bastamag.net/Dans-la-future-administration-Trump-un-ancien-de-Goldman-Sachs-au-Tresor-u

    Ceux qui voyaient en Donald Trump un pourfendeur des « élites » affairistes risquent de déchanter. Le profil des candidats pressentis pour intégrer la nouvelle administration Trump laisse rêveur : un ancien de la puissante banque d’affaires Goldman Sachs au Trésor, un patron de firme pétrolière à l’Energie, un lobbyiste climato-sceptique à l’Environnement ou des représentants de l’agrobusiness à l’Agriculture. Plusieurs secteurs économiques, séduits par les promesses de dérégulation, se réjouissent déjà. (...)

    #Décrypter

    / A la une, #Conservateurs, #Droites_extrêmes, #Multinationales, #Climat, #Finance

  • Dans la future administration Trump, un ancien de Goldman Sachs au Trésor, un pétrolier à l’Énergie et un lobbyiste climato-sceptique à l’Environnement ?
    http://multinationales.org/Dans-la-future-administration-Trump-un-ancien-de-Goldman-Sachs-au-T

    Donald Trump a construit une grande partie de sa victoire surprise à l’élection présidentielle américaine sur un discours de rejet des élites de Washington et de Wall Street. Une stratégie gagnante qui lui a permis d’attirer une grande partie des classes populaires blanches, au détriment des Démocrates. Mais ceux qui ont pris au sérieux sa rhétorique anti-libérale, et sa dénonciation du libre-échange, des délocalisations et des excès de la finance, risquent fort de déchanter. Donald Trump se prépare en (...)

    Actualités

    / #États-Unis, #Lobbying, #Énergies_fossiles, #influence, #changement_climatique, accords de commerce et (...)

    #accords_de_commerce_et_d'investissement
    « http://www.politico.com/story/2016/11/who-is-in-president-trump-cabinet-231071 »
    « http://next.liberation.fr/food/2016/11/07/presidentielle-americaine-mcdo-soutient-donald-et-fayote-aupres-d-hi »
    « http://www.motherjones.com/environment/2016/09/which-candidate-does-big-ag-support-president »
    « https://theintercept.com/2016/11/08/trump-transition-lobbyists »

  • En avril 2010 : Chris Hedges : Noam Chomsky Has ‘Never Seen Anything Like This’
    http://www.truthdig.com/report/item/noam_chomsky_has_never_seen_anything_like_this_20100419/P700

    “It is very similar to late Weimar Germany,” Chomsky told me when I called him at his office in Cambridge, Mass. “The parallels are striking. There was also tremendous disillusionment with the parliamentary system. The most striking fact about Weimar was not that the Nazis managed to destroy the Social Democrats and the Communists but that the traditional parties, the Conservative and Liberal parties, were hated and disappeared. It left a vacuum which the Nazis very cleverly and intelligently managed to take over.”

    “The United States is extremely lucky that no honest, charismatic figure has arisen,” Chomsky went on. “Every charismatic figure is such an obvious crook that he destroys himself, like McCarthy or Nixon or the evangelist preachers. If somebody comes along who is charismatic and honest this country is in real trouble because of the frustration, disillusionment, the justified anger and the absence of any coherent response. What are people supposed to think if someone says ‘I have got an answer, we have an enemy’? There it was the Jews. Here it will be the illegal immigrants and the blacks. We will be told that white males are a persecuted minority. We will be told we have to defend ourselves and the honor of the nation. Military force will be exalted. People will be beaten up. This could become an overwhelming force. And if it happens it will be more dangerous than Germany. The United States is the world power. Germany was powerful but had more powerful antagonists. I don’t think all this is very far away. If the polls are accurate it is not the Republicans but the right-wing Republicans, the crazed Republicans, who will sweep the next election.”

    “I have never seen anything like this in my lifetime,” Chomsky added. “I am old enough to remember the 1930s. My whole family was unemployed. There were far more desperate conditions than today. But it was hopeful. People had hope. The CIO was organizing. No one wants to say it anymore but the Communist Party was the spearhead for labor and civil rights organizing. Even things like giving my unemployed seamstress aunt a week in the country. It was a life. There is nothing like that now. The mood of the country is frightening. The level of anger, frustration and hatred of institutions is not organized in a constructive way. It is going off into self-destructive fantasies.”

    “I listen to talk radio,” Chomsky said. “I don’t want to hear Rush Limbaugh. I want to hear the people calling in. They are like [suicide pilot] Joe Stack. What is happening to me? I have done all the right things. I am a God-fearing Christian. I work hard for my family. I have a gun. I believe in the values of the country and my life is collapsing.”

    • Juillet 2016, Michael Moore : Cinq raisons pour lesquelles Trump va gagner
      http://www.huffingtonpost.fr/michael-moore/cinq-raisons-pour-lesquelles-trump-va-gagner

      1. Le poids électoral du Midwest, ou le Brexit de la Ceinture de rouille

      Je crois que Trump va porter une attention particulière aux États « bleus » de la région des Grands Lacs, c’est-à-dire le Michigan, l’Ohio, la Pennsylvanie et le Wisconsin. Ces quatre États traditionnellement démocrates ont chacun élu un gouverneur républicain depuis 2010, et seule la Pennsylvanie a opté pour un démocrate depuis ce temps. Lors de l’élection primaire du mois de mars, plus de résidents du Michigan se sont déplacés pour choisir un candidat républicain (1,32 million) qu’un candidat démocrate (1,19 million).

      Dans les plus récents sondages, Trump devance Clinton en Pennsylvanie. Et comment se fait-il qu’il soit à égalité avec Clinton en Ohio, après tant d’extravagances et de déclarations à l’emporte-pièce ? C’est sans doute parce qu’il a affirmé (avec raison) qu’Hillary a contribué à détruire la base industrielle de la région en appuyant l’ALÉNA. Trump ne manquera pas d’exploiter ce filon, puisque Clinton appuie également le PTP et de nombreuses autres mesures qui ont provoqué la ruine de ces quatre États.

      Durant la primaire du Michigan, Trump a posé devant une usine de Ford et menacé d’imposer un tarif douanier de 35 % sur toutes les voitures fabriquées au Mexique dans le cas où Ford y déménagerait ses activités. Ce discours a plu aux électeurs de la classe ouvrière. Et lorsque Trump a menacé de contraindre Apple à fabriquer ses iPhone aux États-Unis plutôt qu’en Chine, leur cœur a basculé et Trump a remporté une victoire qui aurait dû échoir au gouverneur de l’Ohio John Kasich.

      L’arc qui va de Green Bay à Pittsburgh est l’équivalent du centre de l’Angleterre. Ce paysage déprimant d’usines en décrépitude et de villes en sursis est peuplé de travailleurs et de chômeurs qui faisaient autrefois partie de la classe moyenne. Aigris et en colère, ces gens se sont fait duper par la théorie des effets de retombées de l’ère Reagan. Ils ont ensuite été abandonnés par les politiciens démocrates qui, malgré leurs beaux discours, fricotent avec des lobbyistes de Goldman Sachs prêts à leur écrire un beau gros chèque.

      Voilà donc comment le scénario du Brexit est en train de se reproduire. Le charlatan Elmer Gantry se pose en Boris Johnson, faisant tout pour convaincre les masses que l’heure de la revanche a sonné. L’outsider va faire un grand ménage ! Vous n’avez pas besoin de l’aimer ni d’être d’accord avec lui, car il sera le cocktail molotov que vous tirerez au beau milieu de tous ces bâtards qui vous ont escroqué ! Vous devez envoyer un message clair, et Trump sera votre messager !

      Passons maintenant aux calculs mathématiques. En 2012, Mitt Romney a perdu l’élection présidentielle par une marge de 64 voix du Collège électoral. Or, la personne qui remportera le scrutin populaire au Michigan, en Ohio, en Pennsylvanie et au Wisconsin récoltera exactement 64 voix. Outre les États traditionnellement républicains, qui s’étendent de l’Idaho à la Géorgie, tout ce dont Trump aura besoin pour se hisser au sommet ce sont les quatre États du Rust Belt. Oubliez la Floride, le Colorado ou la Virginie. Il n’en a même pas besoin.

      En version originale : http://michaelmoore.com/trumpwillwin

  • FBI director received millions from Clinton Foundation, his brother’s law firm does Clinton’s taxes - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/fbi-director-received-millions-from-clinton-foundation-his-brother

    A review of FBI Director James Comey’s professional history and relationships shows that the Obama cabinet leader — now under fire for his handling of the investigation of Hillary Clinton — is deeply entrenched in the big-money cronyism culture of Washington, D.C. His personal and professional relationships — all undisclosed as he announced the Bureau would not prosecute Clinton — reinforce bipartisan concerns that he may have politicized the criminal probe.

    These concerns focus on millions of dollars that Comey accepted from a Clinton Foundation defense contractor, Comey’s former membership on a Clinton Foundation corporate partner’s board, and his surprising financial relationship with his brother Peter Comey, who works at the law firm that does the Clinton Foundation’s taxes.

    Lockheed Martin

    When President Obama nominated Comey to become FBI director in 2013, Comey promised the United States Senate that he would recuse himself on all cases involving former employers.

    But Comey earned $6 million in one year alone from Lockheed Martin. Lockheed Martin became a Clinton Foundation donor that very year.

    Comey served as deputy attorney general under John Ashcroft for two years of the Bush administration. When he left the Bush administration, he went directly to Lockheed Martin and became vice president, acting as a general counsel.

    How much money did James Comey make from Lockheed Martin in his last year with the company, which he left in 2010? More than $6 million in compensation.

    Lockheed Martin is a Clinton Foundation donor. The company admitted to becoming a Clinton Global Initiative member in 2010.

    According to records, Lockheed Martin is also a member of the American Chamber of Commerce in Egypt, which paid Bill Clinton $250,000 to deliver a speech in 2010.

    In 2010, Lockheed Martin won 17 approvals for private contracts from the Hillary Clinton State Department.

    HSBC Holdings

    In 2013, Comey became a board member, a director, and a Financial System Vulnerabilities Committee member of the London bank HSBC Holdings.

    “Mr. Comey’s appointment will be for an initial three-year term which, subject to re-election by shareholders, will expire at the conclusion of the 2016 Annual General Meeting,” according to HSBC company records.

    HSBC Holdings and its various philanthropic branches routinely partner with the Clinton Foundation. For instance, HSBC Holdings has partnered with Deutsche Bank through the Clinton Foundation to “retrofit 1,500 to 2,500 housing units, primarily in the low- to moderate-income sector” in “New York City.”

    “Retrofitting” refers to a Green initiative to conserve energy in commercial housing units. Clinton Foundation records show that the Foundation projected “$1 billion in financing” for this Green initiative to conserve people’s energy in low-income housing units.

    Who Is Peter Comey?

    When our source called the Chinatown offices of D.C. law firm DLA Piper and asked for “Peter Comey,” a receptionist immediately put him through to Comey’s direct line. But Peter Comey is not featured on the DLA Piper website.

    Peter Comey serves as “Senior Director of Real Estate Operations for the Americas” for DLA Piper. James Comey was not questioned about his relationship with Peter Comey in his confirmation hearing.

    DLA Piper is the firm that performed the independent audit of the Clinton Foundation in November during Clinton-World’s first big push to put the email scandal behind them. DLA Piper’s employees taken as a whole represent a major Hillary Clinton 2016 campaign donation bloc and Clinton Foundation donation base.

    DLA Piper ranks #5 on Hillary Clinton’s all-time career Top Contributors list, just ahead of Goldman Sachs.

    And here is another thing: Peter Comey has a mortgage on his house that is owned by his brother James Comey, the FBI director.

    Peter Comey’s financial records, obtained by Breitbart News, show that he bought a $950,000 house in Vienna, Virginia, in June 2008. He needed a $712,500 mortgage from First Savings Mortgage Corporation.

    But on January 31, 2011, James Comey and his wife stepped in to become Private Party lenders. They granted a mortgage on the house for $711,000. Financial records suggest that Peter Comey took out two such mortgages from his brother that day.

    This financial relationship between the Comey brothers began prior to James Comey’s nomination to become director of the FBI.

    DLA Piper did not answer any question as to whether James Comey and Peter Comey spoke at any point about this mortgage or anything else during the Clinton email investigation.

    http://endingthefed.com

  • Hollywood et le golem Trump face à notre destin
    http://www.dedefensa.org/article/hollywood-et-le-golem-trump-face-a-notre-destin

    Hollywood et le golem Trump face à notre destin

    Dans l’Associé du diable, film-phare des années Clinton (le babélien tour de table des associés du diable Pacino évoque les méphitiques agents de Goldman Sachs qui ont anéanti l’Europe – Sutherland, Draghi, Barroso, Rasmussen), le jeune ambitieux joué par Keanu Reeves doit défendre un promoteur immobilier véreux (Eddie Barzoon, incarné par un acteur géant) accusé de plusieurs meurtres ; et il gagne. Le promoteur a un appartement situé sur central Park, et cet appartement de Trump Tower est celui de The Donald lui-même ! Dans son commentaire, le réalisateur Taylor Hackford souligne comme ça au passage chez Donald Trump une attitude baronniale très appréciable. Trump a été traité de Moghol (mogul, un compliment là-bas) par Larry King, de Showman par (...)

  • Who Is Funding the Dakota Access Pipeline? Bank of America, HSBC, UBS, Goldman Sachs, Wells Fargo | Democracy Now!
    http://www.democracynow.org/2016/9/9/who_is_funding_the_dakota_access

    http://www.foodandwaterwatch.org/news/who%27s-banking-dakota-access-pipeline

    We continue our conversation Food & Water Watch’s Hugh MacMillan about his new investigation that reveals the dozens of financial institutions that are bankrolling the Dakota Access pipeline, including Bank of America, HSBC, UBS, Goldman Sachs, Wells Fargo and JPMorgan Chase. “They are banking on this company and banking on being able to drill and frack for the oil to send through the pipeline over the coming decades,” MacMillan says. “So they’re providing the capital for the construction of this pipeline.”

    Who’s Banking on the Dakota Access Pipeline? - LittleSis
    https://littlesis.org/maps/1634-who-s-banking-on-the-dakota-access-pipeline

    Resistance to Dakota Access Grows

    Energy Transfer Partners began construction of the Dakota Access Pipeline in May 2016, but the company’s plans have hit a snag.

    In late July, the Army Corps of Engineers granted permits for the pipeline to cross beneath the Missouri and Cannon Ball Rivers without approval from the Standing Rock Sioux.

    By late August 2016, more than 1500 people, mostly Native Americans, had responded to the tribe’s call to action and converged at the Standing Rock Sioux Reservation to protect against construction of “the black snake.” In an historic show of solidarity, 188 First Nations and American Indian tribes have united in opposition.

    Also in August, Youth from Standing Rock completed a 2000-mile relay run to Washington, D.C., to bring the message of their #RezpectOurWater campaign to the White House, in their own show of opposition.

    The Dakota Access pipeline would run through the Dakotas and Iowa to Illinois, where oil would be sent to East Coast markets by train or to the Gulf Coast via another Energy Transfer Partners pipeline being converted to carry oil.

    Overall, the “Bakken Crude Pipeline” — to extend over 1,800 miles from near the Canadian border to the Gulf Coast of Texas — is costing about $4.8 billion, and is being sold as a key element of Energy Transfer Partners plans to “capitalize on U.S. energy exports,” thanks to fracking.

    This graph, made by Food & Water Watch for the Standing Rock Sioux and for the Bakken Pipeline Resistance Coalition, first revealed the banks banking against the Standing Rock Sioux and against all those responding to the tribe’s call to action. (Food & Water Watch has since produced a second data visualization.)

    #nations_premières #dakota #pipeline #états_unis #resistance #résister

  • BlackRock, l’institution financière la plus puissante au monde, patron du Cac 40...
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/12547-blackrock-l-institution-financiere-la-plus-puissante-au-monde-patro

    Petite devinette : quel est l’homme qui contrôle plus de 4 900 milliards de dollars, soit bien plus que le PIB de la France ?

    Warren Buffett l’homme le plus riche du monde en 2008 ?

    Lloyd Blankfein, le patron de Goldman Sachs ?

    Pas du tout !

    Il s’appelle Laurence Douglas Fink dit Larry Fink, né en 1952 et dirige BlackRock, la plus grosse firme de gestion d’actifs du monde.

    Vous n’en aviez jamais entendu parler ?

    Normal, BlackRock est à peu près inconnu en dehors de Wall Street.

    Autre devinette : Qui est le premier actionnaire de Total, d’Air Liquide, Valeo, Vinci, Unibail, etc. ?

    Oui, c’est encore BlackRock !

    Il ne s’agit pas d’un groupe de death metal mais du plus gros gestionnaire d’actifs mondial, une firme new-yorkaise qui investit à tout va et à long terme (...)