company:google & co

  • Electronic library. Download books free. Finding boooks
    http://en.bookfi.net
    L’accès aux informations libres est de plus en plus difficile. D’un côté on est confronté à une quantité illimitée et toujours grandissante du n’importe quoi, de l’autre côté l’introduction de la censure chez Google & Co. nous coupe de l’accès à de nombreuses sources d’information. Voici un projet qui aide à contourner ces obstacles.

    Bookfi is one of the most popular Multi-lingual online libraries in the world. It has more than 2230000 books. We aim to increase the number of books and quality of service.

    Bookfi is a non-profit project and exists due your support. Thereby this project is completely free with uninterrupted access to literature.

    #archives #littérature #censure #livres #édition

  • Dégooglisons saison 3 : 30 services alternatifs aux produits de Google & co – Framablog
    https://framablog.org/2016/10/03/degooglisons-saison-3-30-services-alternatifs-aux-produits-de-google-co

    6 nouveaux services et une annonce majeure pour attaquer la 3e – et dernière – année de notre (modeste) plan de libération du monde… De moins en moins modeste : déjà trente services à ce jour !

    Après Framinetest (qui montre que les libristes ont déjà répondu à l’édition « éducation » de Minecraft/Microsoft), Framemo (le petit outil pratique pour collaborer sur des idées), les mises à jour de Framacarte, Framacalc, Framapad, Framapic, Framasphère, Framemo, et d’autres… on aurait pu croire que notre été était déjà bien rempli.

    Mais non. Il nous fallait fêter ces deux ans avec de nouveaux services. OK. Chiche !

    • #CHATONS est le Collectif des Hébergeurs Alternatifs, Transparents, Ouverts, Neutres et Solidaires. Il vise à rassembler des structures souhaitant éviter la collecte et la centralisation des données personnelles au sein de silos numériques du type de ceux des #GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft).

      CHATONS est un collectif initié par l’association #Framasoft suite au succès de sa campagne « #Dégooglisons_Internet » .

      Le projet vise à rassembler des acteurs proposant des services en ligne libres, éthiques, décentralisés et solidaires afin de permettre aux utilisateurs de trouver - rapidement - des alternatives aux produits de #Google (entre autres) mais respectueux de leurs données et de leur vie privée.

      Bien que l’annonce officielle ne soit prévue que pour octobre 2016, ce site permet de présenter le projet , son organisation, son manifeste, sa charte, ses ambitions et ses premiers membres en avant-première.

      https://chatons.org

    • Quelqu’un-e a essayé ?

      Ce projet est né d’une simple idée : Pourquoi devrions nous confier nos données personnelles, aussi précieuses soient elles à des entreprises ? Pour qu’elles soient revendues, utilisées, redistribuées, corrompues ? Notre projet a pour vocation de fournir à chacun un hébergement de mails sans prétentions gratuit de qualité, sans pub et illimité à chacun se sentant concerné par la protection de ses données en ligne et n’ayant pas forcément le temps, l’envie ou même les compétences de se lancer dans la configuration d’un serveur de mails. De plus, OpenMailbox.org n’utilise qu’exclusivement des logiciels libres.

      Les données semblent chiffrées par l’association qui propose ce service (pas trouvé son nom) : https://www.openmailbox.org/forum/viewtopic.php?id=131

    • Personnellement j’ai un compte chez https://www.mailoo.org
      « un service d’e-mail gratuit qui se veut simple et fiable. Notre service est hébergé sur des serveurs GNU/Linux et repose sur une architecture 100% logiciels libres. Mailoo est hébergé chez l’hébergeur alternatif Lost Oasis ainsi que chez des éleveurs de Poneys. Le service bénéficie donc pour son fonctionnement d’une architecture à haute disponibilité d’un point de vue matériel, électrique, et réseau. L’inscription est rapide et sans demande d’informations personnelles. De plus, à l’aide du webmail, vous pourrez envoyer et recevoir vos mails depuis n’importe quel accès internet dans le monde. »
      Il n’est pas fait mention de cryptage des données.

      Petite réflexion, ce n’est pas parce que des services utilisent des outils libres, que ce sont des services éthiques, recommandables.
      Dans tous les cas, le service est opéré par une personne tiers. On n’a donc pas le contrôle total de toute la chaîne entre le moment où un courriel entre dans le serveur de courrier jusqu’au moment où un courriel quitte le serveur de courrier. À un certain moment, il faut savoir faire confiance à son opérateur de service. Je pense que c’est véritablement la question.

    • L’idée d’Openmailbox, comme Mailoo et d’autres, c’est surtout de montrer aux autres qu’il existe des alternatives efficaces, autant (ou moins) contraignantes, respectant des idées comme celles de l’open source par exemple, et aussi « friendly-access ».

      Et oui, Google & Co peuvent regarder tout nos mails par le biais de nos contacts/échanges, mais c’est n’est pas une raison pour y rester/ne rien faire ! Petit à petit, on peut tenter de faire évoluer les mentalités ;-)

    • @lou Il est aussi possible d’interdire l’inscription à une liste mail des gens qui ont des comptes chez Google & co (et de les aider à se créer un compte chez des fournisseurs alternatifs :)

      Sinon, je teste Openmailbox, et j’ai demandé un compte chez Protonmail.ch, auriez-vous vu passer d’autres alternatives ?

    • et ça marche dans les pays sous développés ?
      Par expérience personnelle, je peux témoigner qu’ orange, sfr, free, etc... ça marche pas.
      Enfin si, ça marche si on est près à accepter :
      – d’attendre 3 plombes que le moindre courriel s’affiche
      – que ses messages soient transmis de manière aléatoire
      – que ses propres messages nous parviennent de manière aléatoire
      et j’en parle pas s’il y a des pièces jointes !

    • @Ari https://e-nautia.com

      https://mykolab.com/fr - payant

      http://www.autistici.org/en/index.html
      A/I est né il y a plus de 10 ans, quand des individus et des collectifs travaillant autour de la technologie, de l’anonymat, des cyber-droits et de l’activisme politique se sont rencontrés. Notre but principal est de fournir à une large base des outils de communication libres et gratuits, et ainsi de proposer une alternative aux modes de communication commerciaux. Policy http://www.autistici.org/fr/who/policy.html

    • @unagi merci ! c’est clair qu’autistici c’est pas mal… Difficile de se faire une idée sur les autres. Tu as déjà testé ?

  • How I Lost My $50,000 Twitter Username - Nabellaleen - Links
    http://nabella.digital-engine.info/shaarli/index.php?g7r8kQ

    > Quelle est la bonne solution, finalement ? > Tout héberger soit-même ? C’est un peu anti-internet. > Tout héberger chez des gros fournisseurs ? On a déjà vu les risques Google & co qui coupent les services du jour au lendemain). > Mutualiser les services dans un cercle de confiance ? Mais qu’est-ce donc la confiance ?

    Ou alors acquérir un nom de domaine qui ne périme pas avec le temps, comme ceux de .eu.org. Je suis en train de faire migrer tous mes services les plus importants dessus (j’ai pris chaix.fr.eu.org).

    En gros, c’est des gens qui ont acheté le domaine #eu.org, puis qui ont créé un certain nombre de sous-domaines, correspondant souvent à des pays, comme fr.eu.org, et qui cèdent gratuitement et sans limite de temps les sous-domaines .*.eu.org. Pour en savoir plus sur (...)

    #DNS

  • Adblock Plus ou l’extension qui valait trois milliards… de perdus pour Google & Co ! - Framablog
    http://www.framablog.org/index.php/post/2012/02/10/adblock-plus-arme-destruction-massive-internet

    Oliver Jameson, propriétaire du site de rencontres Cougared.com (où les hommes doivent avoir moins de 35 ans et les femmes, plus de 40) est très inquiet : « Si une masse critique d’internautes installe des logiciels de navigation qui empêchent l’affichage des publicités, inévitablement, les publicitaires verront une réduction du nombre de clics (car les clics aussi mesurent le trafic) et de la notoriété des marques. Comme à peu près tout ce qui est en ligne est quantifiable, les effets seront rapides et dévastateurs. Les publicitaires vont mettre en doute l’intérêt de placer leurs publicités sur les sites Web, ce qui signifie que de nombreux sites dont la survie dépend des rentrées publicitaires seront dégradés, abandonnés, et finiront simplement par cesser d’exister. En fait, beaucoup cesseront d’exister sous leur forme actuelle, en tant que services gratuits, et certains tenteront sans garantie de se recycler sous la forme d’une offre payante. »

    D’autres sont plus optimistes. Richard Beaumont, du Cookie Collective, un organisme de recherche qui aide les entreprises à affronter le défi d’obtenir le consentement des internautes tout en respectant la nouvelle directive, dit : « La nouvelle loi peut réduire le besoin de recourir à des outils comme Adblock Plus. Les sites vont devoir obtenir le consentement des internautes, et vont donc concevoir leurs publicités de manière plus réfléchie. » Il dit que ça pourrait se révéler être une opportunité à saisir. « Les entreprises qui jouent la transparence et suscitent la confiance s’en sortiront bien. »

    S’il a raison, il n’y a pas lieu de s’inquiéter.

    Si c’est Jameson qui a raison, et que le blocage des pubs s’apprête à se répandre comme un virus, alors l’Internet va se retrouver en état de choc.

    #publicité #web