company:hyperloop

  • Macron à Francazal : Célébration du complexe militaro-industriel et de la start-up nation à Toulouse. - IAATA
    https://iaata.info/Macron-a-Francazal-Celebration-du-complexe-militaro-industriel-et-de-la-star
    https://iaata.info/home/chroot_ml/ml-toulouse/ml-toulouse/public_html/IMG/arton3045.jpg?1547856380

    Macron à Francazal : Célébration du complexe militaro-industriel et de la start-up nation à Toulouse.
    Publié le 19 janvier 2019

    Ce jeudi 17 janvier 2019, Macron a choisi de souhaiter les vœux aux armées sur le site de la base aérienne de Francazal à Toulouse. Macron est venu défendre sa Startup Nation Army : Technologies de pointes, surveillance, arme de dernier cris, caméras, drones, robots, etc...
    (Tract distribué le jour de la venue de Macron, pendant l’action des Gilets Jaunes, boqués par des milliers de flics...)

    Ce jeudi 17 janvier 2019, Macron a choisi de souhaiter les vœux aux armées une seule fois et depuis un seul lieu (au lieu d’une traditionnelle tournée) : le site de la base aérienne de Francazal au sud de Toulouse. Si Macron visite Francazal ce n’est peut-être pas au hasard. La base et le régiment qu’il visite sont l’exemple même de l’armée de « demain » c’est-à-dire des armes de haute technologie entre les mains des corps d’élite (ici les parachutistes). Armes conçues et produites par le complexe militaro-industriel aéronautique toulousain (entre autres, Airbus Defence and Space, Thales, Safran, CNES, DGA techniques aéronautiques, etc.). Le site de Francazal est pressenti comme le futur centre européen du développement des technologies militaires et civiles de la robotique et des drones (Voir : « Un village pour drones et robots en projet dans le Sud Toulousain », la Tribune, 06/02/18). Francazal a aussi vocation à devenir le nouveau pôle européen pour les transports du futur avec l’implantation de la branche européenne de l’entreprise californienne HYPERLOOP (projet imaginé par Elon Musk chef de file du transhumanisme mondial propriétaire et fondateur de Tesla, PayPal, Space X, Neuralink, etc.). Son projet délirant : la création d’un train ultrarapide à sustentation magnétique frôlant la vitesse du son et qui se déplacera dans un tube sous vide (Voir : « A Toulouse-Francazal on croit aux transports du futur », La Dépêche, 13/10/2018).

    Macron adresse donc ses voeux à la Startup Nation Army qu’il veut construire et vient soutenir le projet de reconversion du site de Francazal en sa vitrine européenne. C’est tout un monde qui se cache derrière cette visite. Un monde protégé par une police et une armée suréquipées, augmentées technologiquement et assistées par des drones et des robots. Un monde qui creuse toujours plus les fractures entre les classes, un monde construit par et pour ceux qui pourront se payer l’hyperloop pour des aller-retours entre métropoles hyper connectées pour des réunions d’actionnaires ou des week-ends shopping de luxe, alors que la plupart ne peuvent même plus se payer l’essence nécessaire pour parcourir les kilomètres que leur travail leur oblige à faire — et ce pour une bouchée de pain en guise de salaire.

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    Publié le 19 janvier 2019

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    (Tract distribué le jour de la venue de Macron, pendant l’action des Gilets Jaunes, boqués par des milliers de flics...)

    Ce jeudi 17 janvier 2019, Macron a choisi de souhaiter les vœux aux armées une seule fois et depuis un seul lieu (au lieu d’une traditionnelle tournée) : le site de la base aérienne de Francazal au sud de Toulouse. Si Macron visite Francazal ce n’est peut-être pas au hasard. La base et le régiment qu’il visite sont l’exemple même de l’armée de « demain » c’est-à-dire des armes de haute technologie entre les mains des corps d’élite (ici les parachutistes). Armes conçues et produites par le complexe militaro-industriel aéronautique toulousain (entre autres, Airbus Defence and Space, Thales, Safran, CNES, DGA techniques aéronautiques, etc.). Le site de Francazal est pressenti comme le futur centre européen du développement des technologies militaires et civiles de la robotique et des drones (Voir : « Un village pour drones et robots en projet dans le Sud Toulousain », la Tribune, 06/02/18). Francazal a aussi vocation à devenir le nouveau pôle européen pour les transports du futur avec l’implantation de la branche européenne de l’entreprise californienne HYPERLOOP (projet imaginé par Elon Musk chef de file du transhumanisme mondial propriétaire et fondateur de Tesla, PayPal, Space X, Neuralink, etc.). Son projet délirant : la création d’un train ultrarapide à sustentation magnétique frôlant la vitesse du son et qui se déplacera dans un tube sous vide (Voir : « A Toulouse-Francazal on croit aux transports du futur », La Dépêche, 13/10/2018).

    Macron adresse donc ses voeux à la Startup Nation Army qu’il veut construire et vient soutenir le projet de reconversion du site de Francazal en sa vitrine européenne. C’est tout un monde qui se cache derrière cette visite. Un monde protégé par une police et une armée suréquipées, augmentées technologiquement et assistées par des drones et des robots. Un monde qui creuse toujours plus les fractures entre les classes, un monde construit par et pour ceux qui pourront se payer l’hyperloop pour des aller-retours entre métropoles hyper connectées pour des réunions d’actionnaires ou des week-ends shopping de luxe, alors que la plupart ne peuvent même plus se payer l’essence nécessaire pour parcourir les kilomètres que leur travail leur oblige à faire — et ce pour une bouchée de pain en guise de salaire.

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    Publié le 19 janvier 2019

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    Ce jeudi 17 janvier 2019, Macron a choisi de souhaiter les vœux aux armées une seule fois et depuis un seul lieu (au lieu d’une traditionnelle tournée) : le site de la base aérienne de Francazal au sud de Toulouse. Si Macron visite Francazal ce n’est peut-être pas au hasard. La base et le régiment qu’il visite sont l’exemple même de l’armée de « demain » c’est-à-dire des armes de haute technologie entre les mains des corps d’élite (ici les parachutistes). Armes conçues et produites par le complexe militaro-industriel aéronautique toulousain (entre autres, Airbus Defence and Space, Thales, Safran, CNES, DGA techniques aéronautiques, etc.). Le site de Francazal est pressenti comme le futur centre européen du développement des technologies militaires et civiles de la robotique et des drones (Voir : « Un village pour drones et robots en projet dans le Sud Toulousain », la Tribune, 06/02/18). Francazal a aussi vocation à devenir le nouveau pôle européen pour les transports du futur avec l’implantation de la branche européenne de l’entreprise californienne HYPERLOOP (projet imaginé par Elon Musk chef de file du transhumanisme mondial propriétaire et fondateur de Tesla, PayPal, Space X, Neuralink, etc.). Son projet délirant : la création d’un train ultrarapide à sustentation magnétique frôlant la vitesse du son et qui se déplacera dans un tube sous vide (Voir : « A Toulouse-Francazal on croit aux transports du futur », La Dépêche, 13/10/2018).

    Macron adresse donc ses voeux à la Startup Nation Army qu’il veut construire et vient soutenir le projet de reconversion du site de Francazal en sa vitrine européenne. C’est tout un monde qui se cache derrière cette visite. Un monde protégé par une police et une armée suréquipées, augmentées technologiquement et assistées par des drones et des robots. Un monde qui creuse toujours plus les fractures entre les classes, un monde construit par et pour ceux qui pourront se payer l’hyperloop pour des aller-retours entre métropoles hyper connectées pour des réunions d’actionnaires ou des week-ends shopping de luxe, alors que la plupart ne peuvent même plus se payer l’essence nécessaire pour parcourir les kilomètres que leur travail leur oblige à faire — et ce pour une bouchée de pain en guise de salaire.

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    Ce jeudi 17 janvier 2019, Macron a choisi de souhaiter les vœux aux armées une seule fois et depuis un seul lieu (au lieu d’une traditionnelle tournée) : le site de la base aérienne de Francazal au sud de Toulouse. Si Macron visite Francazal ce n’est peut-être pas au hasard. La base et le régiment qu’il visite sont l’exemple même de l’armée de « demain » c’est-à-dire des armes de haute technologie entre les mains des corps d’élite (ici les parachutistes). Armes conçues et produites par le complexe militaro-industriel aéronautique toulousain (entre autres, Airbus Defence and Space, Thales, Safran, CNES, DGA techniques aéronautiques, etc.). Le site de Francazal est pressenti comme le futur centre européen du développement des technologies militaires et civiles de la robotique et des drones (Voir : « Un village pour drones et robots en projet dans le Sud Toulousain », la Tribune, 06/02/18). Francazal a aussi vocation à devenir le nouveau pôle européen pour les transports du futur avec l’implantation de la branche européenne de l’entreprise californienne HYPERLOOP (projet imaginé par Elon Musk chef de file du transhumanisme mondial propriétaire et fondateur de Tesla, PayPal, Space X, Neuralink, etc.). Son projet délirant : la création d’un train ultrarapide à sustentation magnétique frôlant la vitesse du son et qui se déplacera dans un tube sous vide (Voir : « A Toulouse-Francazal on croit aux transports du futur », La Dépêche, 13/10/2018).

    Macron adresse donc ses voeux à la Startup Nation Army qu’il veut construire et vient soutenir le projet de reconversion du site de Francazal en sa vitrine européenne. C’est tout un monde qui se cache derrière cette visite. Un monde protégé par une police et une armée suréquipées, augmentées technologiquement et assistées par des drones et des robots. Un monde qui creuse toujours plus les fractures entre les classes, un monde construit par et pour ceux qui pourront se payer l’hyperloop pour des aller-retours entre métropoles hyper connectées pour des réunions d’actionnaires ou des week-ends shopping de luxe, alors que la plupart ne peuvent même plus se payer l’essence nécessaire pour parcourir les kilomètres que leur travail leur oblige à faire — et ce pour une bouchée de pain en guise de salaire.

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    Ce jeudi 17 janvier 2019, Macron a choisi de souhaiter les vœux aux armées sur le site de la base aérienne de Francazal à Toulouse. Macron est venu défendre sa Startup Nation Army : Technologies de pointes, surveillance, arme de dernier cris, caméras, drones, robots, etc...
    (Tract distribué le jour de la venue de Macron, pendant l’action des Gilets Jaunes, boqués par des milliers de flics...)

    Ce jeudi 17 janvier 2019, Macron a choisi de souhaiter les vœux aux armées une seule fois et depuis un seul lieu (au lieu d’une traditionnelle tournée) : le site de la base aérienne de Francazal au sud de Toulouse. Si Macron visite Francazal ce n’est peut-être pas au hasard. La base et le régiment qu’il visite sont l’exemple même de l’armée de « demain » c’est-à-dire des armes de haute technologie entre les mains des corps d’élite (ici les parachutistes). Armes conçues et produites par le complexe militaro-industriel aéronautique toulousain (entre autres, Airbus Defence and Space, Thales, Safran, CNES, DGA techniques aéronautiques, etc.). Le site de Francazal est pressenti comme le futur centre européen du développement des technologies militaires et civiles de la robotique et des drones (Voir : « Un village pour drones et robots en projet dans le Sud Toulousain », la Tribune, 06/02/18). Francazal a aussi vocation à devenir le nouveau pôle européen pour les transports du futur avec l’implantation de la branche européenne de l’entreprise californienne HYPERLOOP (projet imaginé par Elon Musk chef de file du transhumanisme mondial propriétaire et fondateur de Tesla, PayPal, Space X, Neuralink, etc.). Son projet délirant : la création d’un train ultrarapide à sustentation magnétique frôlant la vitesse du son et qui se déplacera dans un tube sous vide (Voir : « A Toulouse-Francazal on croit aux transports du futur », La Dépêche, 13/10/2018).

    Macron adresse donc ses voeux à la Startup Nation Army qu’il veut construire et vient soutenir le projet de reconversion du site de Francazal en sa vitrine européenne. C’est tout un monde qui se cache derrière cette visite. Un monde protégé par une police et une armée suréquipées, augmentées technologiquement et assistées par des drones et des robots. Un monde qui creuse toujours plus les fractures entre les classes, un monde construit par et pour ceux qui pourront se payer l’hyperloop pour des aller-retours entre métropoles hyper connectées pour des réunions d’actionnaires ou des week-ends shopping de luxe, alors que la plupart ne peuvent même plus se payer l’essence nécessaire pour parcourir les kilomètres que leur travail leur oblige à faire — et ce pour une bouchée de pain en guise de salaire.

    La propagande des élites économiques politiques scientifiques et journalistiques nous rebat sans cesse les oreilles avec les termes « innovation », « technologie de rupture », « start up », etc. Nous sommes censés nous prosterner devant ces nouvelles paroles d’évangile 2.0, mais que ce cache-t-il vraiment derrière ces nouveaux clairons du progrès ?

    La face cachée de l’innovation

    La sacro-sainte « innovation » vise surtout à garder les choses en l’état, c’est-à-dire favoriser l’accumulation du capital, maintenir l’ordre économique dominant et favoriser le contrôle des populations (surveillance électronique, camera, fichage, relevé ADN, puçage, etc.). L’innovation en tant que moteur essentiel du capitalisme industriel perpétue et prolonge les spécificités à l’origine de ce système créé à la fin du 18e siècle : augmentation de l’exploitation des travailleurs par l’augmentation infernale de la productivité des machines, mise en concurrence directe avec les machines, destruction des cycles naturels par surexploitation des ressources naturelles et pollutions diverses, division du travail poussée à l’extrême, cadence infernale, chômage de masse, exploitation du reste du monde par les pays capitalistes possédant les technologies, privatisation des savoirs et des différents aspects de la vie, etc. Tout cela fièrement défendu au nom du progrès, de la croissance et du développement. En réalité, ce n’est pas un progrès qui se cache derrière ces « innovations » mais une réelle dépossession, une énorme machine à broyer tout ce qui résiste à être intégré à la grande marche technologique vers le transhumanisme mondial et l’hyper contrôle de l’ensemble de nos existences. Pour changer le monde, il est donc temps de mettre un frein à l’innovation (technologique).

    Toulouse et sa région sont le lieu où cela se construit. C’est donc par là qu’il nous faut commencer. La région toulousaine permet une grande proximité entre donneurs d’ordre (comme le site de Francazal qui répond au doux nom de « Pôle national des opérations aéroportées ») et des poids-lourds de l’industrie de la défense. Le complexe militaro-industriel local est particulièrement actif et rentable, il dynamise la recherche et l’industrie, génère des grands travaux et des opérations financières spéculatives d’envergure. L’économie locale est clairement techno-guerrière. Le site de Francazal est en voie d’en devenir la pointe, avec tous les vœux de Macron. Mais pas les nôtres !

    Le mouvement des Gilets Jaunes est en train de faire vaciller le pouvoir politique ! Les nouvelles machines qui sont conçues et produites dans la métropole toulousaine participent largement du pouvoir de ces élites. Il faut que notre colère se dirige aussi contre ces innovations technologiques mortifères (militaires, aéronautiques, agricoles, etc.) et les entreprises et les laboratoires qui les produisent, si nous voulons vraiment ébranler le pouvoir réel. Les pantins qui gouvernent doivent dégager, mais si nous voulons réellement abattre le pouvoir, il ne faut pas seulement attaquer les figures interchangeables qui l’incarnent (que ce soit Macron ou un autre), il nous faut détruire ses bases matérielles, ce qui veut dire arrêter la folle course à « l’innovation » qui poursuit toujours plus loin la dépossession de nos existences. Si nous voulons rompre avec les contraintes économiques insupportables qui nous sont imposées, nous devons rejeter l’ersatz de vie artificielle que l’on nous somme d’accepter.

    Voulons-nous vivre dans une start up nation ? Souhaitons-nous encore de cette vie abandonnée à l’économie, aux gains de productivité, au management par ordinateur et réseaux sociaux ? Souhaitons-nous un monde peuplé de robots, qui nous pousserait à fusionner avec les machines ou à devenir obsolètes ? Voulons-nous encore céder sur nos existences ?

    POUR NOUS, C’EST NON !

    https://iaata.info/Macron-a-Francazal-Celebration-du-complexe-militaro-industriel-et-de-la-star

  • Richard Branson’s Virgin #Hyperloop partners with backer #DP_World to launch logistics startup | TechCrunch
    https://techcrunch.com/2018/04/29/richard-bransons-virgin-hyperloop-partners-with-backer-dp-world-to-launc

    Virgin Hyperloop One and DP World are launching a new joint venture, #DP_World_Cargospeed, two years after the high-speed transportation technology developer tapped the UAE-based shipping company in a $50 million financing.

    The company’s stated goal is to deliver palletized cargo more efficiently by combining super high-speed promise of hyperloop transportation with new logistics technologies to accelerate deliveries along Virgin Hyperloop One’s planned routes between Mumbai and Pune in India; in Saudi Arabia, and in the United Arab Emirates.

    Announced with much fanfare and in the presence of Sultan Ahmed Bin Sulayem and Virgin Hyperloop chairman Richard Branson, the new company is basically built on buzzwords like “on-demand” and the promise of future performance.

    Right now there’re only 10 kilometers of Virgin Hyperloop track being built (and they’re all in India).

    Although there’s not much more than a bunch of pontificating palaver around hyperloop technologies now, the startup companies and their corporate backers do present an compelling vision of the future of transportation.

    Introducing DP World Cargospeed
    https://www.youtube.com/watch?v=dQIihCOrvZY

  • Touring Hyperloop One’s ever-evolving test site
    https://www.engadget.com/2018/01/12/virgin-hyperloop-one-test-site-tour

    For the first time since May 2016, the site was opened up to a handful of journalists this week during CES. Hyperloop One was a vastly different company. Back then, it was led by original co-founders Brogan BamBrogan and Shervin Pishevar — the former quit a few months after an alleged falling out with Pishevar’s brother. The latter would depart at the tail end of 2017, forced out after becoming embroiled in a sexual harassment scandal. In their place, Richard Branson has stepped in as chairperson, rebranding the company as Virgin Hyperloop One.

    #disruption #transport

  • World Map Shows What a Hyperloop Future May Look Like | Inverse

    https://www.inverse.com/article/26459-hyperloop-one-map-global-underground-system

    The vacuum-sealed hyperloop train system came one step closer to reality last week, when a company working on bringing the transit system to life announced the next step in a global competition. Los Angeles-based Hyperloop One has selected 35 teams as finalists in its global challenge, who will now present regional proposals at three different showcases starting next month.

    “It’s more than just a train, or a pod in a tube,” Josh Giegel, Hyperloop One’s president of engineering, told Inverse. “We’re taking it to a level of connectivity and really being the high-speed backbone of the future transportation network.”

    #cartographie #futur #imaginire #hyper-loop

    • J’aime assez le fait que le concepteur de cette carte a déjà prévu deux embranchements pour joindre Edimbourg et Glasgow, séparées de 75 km par l’autoroute, tandis que les grandes villes africaines sont reliées par la mention « Under construction ». Déjà ça promet.

      Mais je suppose que l’aspect gag de cette carte apparaît dans le fait que les lignes respectent scrupuleusement les limites de la représentation cartographique centrée sur l’Europe : aucune ligne reliant l’Amérique à l’Asie par exemple ; ni lignes passant par les zones polaires. Genre « ça dépasserait du papier ».