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  • Une avocate a réécrit les conditions d’utilisation d’Instagram comme si elles étaient expliquées à un enfant de 8 ans - Business Insider France
    http://www.businessinsider.fr/une-avocate-a-reecrit-les-conditions-dutilisations-dinstagram-comme-

    Pour montrer l’opacité des conditions d’utilisation des réseaux sociaux, le rapport a demandé à une avocate du cabinet privé Shillings de « traduire » ces règles dans un langage « simplifié ».

    Selon une étude Ofcom, 43% des enfants britanniques entre huit et onze ans ont un compte sur Instagram (56% pour les 12-15 ans).

    #réseaux_sociaux #CGU #données_personnelles

  • Une avocate a réécrit les conditions d’utilisation d’Instagram comme si elles étaient expliquées à un enfant de 8 ans

    http://www.businessinsider.fr/une-avocate-a-reecrit-les-conditions-dutilisations-dinstagram-comme-

    Une avocate a réécrit les conditions d’utilisation d’Instagram comme si elles étaient expliquées à un enfant de 8 ans

    Aucun mineur qui utilise Instagram n’a lu en entier les conditions d’utilisation du réseau social.

    C’est ce qu’affirme un rapport des services du délégué britannique aux droits des enfants, intitulé « grandir à l’ère du numérique », publié le 5 janvier 2017 et repéré par le site d’information Quartz.

    Pour montrer l’opacité des conditions d’utilisation des réseaux sociaux, le rapport a demandé à une avocate du cabinet privé Shillings de « traduire » ces règles dans un langage « simplifié ».

    Selon une étude Ofcom, 43% des enfants britanniques entre huit et onze ans ont un compte sur Instagram (56% pour les 12-15 ans).

    Voilà les règles d’Instagram expliquées à des enfants de huit ans.

    1. Tu as le droit de te sentir en sécurité quand tu utilises Instagram.

    2. Officiellement, tu es propriétaires des photos et vidéos que tu postes, mais nous avons le droit de les utiliser, et de laisser d’autres personnes les utiliser, partout dans le monde. Les gens nous paient pour les utiliser, et nous ne te paierons pas.

    11. Même si tes données ne t’appartiennent pas, les nôtres nous appartiennent. Tu ne peux pas copier-coller les logos d’Instagram ou les autres contenus qu’on crée, ni les modifier, ni les supprimer.

    12. Tu peux supprimer ton compte en remplissant ce formulaire. Si tu le fais, tes photos disparaîtront de ton profil mais si quelqu’un d’autre les a partagées, elles apparaîtront encore peut-être sur Instagram.

    13. Nous pouvons modifier ces règles quand on veut en postant une mise à jour sur Instagram, que tu l’aies remarqué ou non.

  • « Tant en matière d’espionnage que de complot, seul compte ce qui est cru et non ce qui est »
    http://www.lemonde.fr/idees/article/2017/01/16/espion-leve-toi_5063152_3232.html

    Ah ! les Russes… Ils nous manquaient tellement qu’on en était à nous surveiller nous-mêmes, en notre maladie de l’espionnite. Comme l’a révélé Edward Snowden, les Etats-Unis fliquaient leurs honnêtes citoyens citoyens ou piégeaient des gouvernements amis, dans leur désœuvrement, par dépit d’avoir été lâchés par leurs meilleurs ennemis.

    Mais, heureusement, tout rentre dans l’ordre. Voilà les espions revenus du froid. Tels qu’on les avait quittés, antihéros cyniques des plus haletants romans de la guerre froide. Bon pied bon œil, les experts du FSB semblent les dignes héritiers du KGB. A lire la chronique américaine, ils auraient ourdi des coups tordus et favorisé l’élection de Donald Trump. Ils tiendraient même le futur président par la barbichette, pour ne pas dire par autre chose.
    […]
    Finalement, c’est bien aux points sensibles, aux maillons faibles de nos démocraties que s’attaquent ces manipulateurs. Les cyberespions trameraient de sales coups en Europe, lors des prochaines élections françaises et allemandes. Marine Le Pen, François Fillon, Jean-Luc Mélenchon marcheraient pour eux, en rang, au pas, en cinquième colonne. On hésite à le croire. Prudence est mère de sûreté nationale. Mais on sent déjà comment les rumeurs, les suspicions savamment orchestrées vont bercer la campagne.

    Tant en matière d’espionnage que de complot, seul compte ce qui est cru et non ce qui est. Il suffit pour s’en rendre compte d’arpenter le Musée des armées aux Invalides. Jusqu’à la fin du mois s’y tient l’exposition « Guerres secrètes », consacrée à l’intimité des agents secrets. On en est sorti retourné. Entre deux joujoux de barbouze, entre deux jamesbonderies, c’est bien une ambiance qui est décrite à travers les différentes salles, un art de jouer avec la crédulité d’autrui. Ce sont toujours les mêmes armes qui sont utilisées : le billard à trois bandes et le fusil à tirer dans les coins.

    • Ils sont de retour, mais chut ! Pas un mot ! Les murs ont des oreilles. De grandes, de paraboliques oreilles, même, façon standard de la NSA : « Allô, j’écoute ! On peut vous renseigner ? » Ils sont là, partout et nulle part. Il faudrait être aveugle comme une taupe pour ne pas les voir. Ils occupent le terrain et les esprits, y mènent double jeu, double vie. Ils sont les officiers traitants de nos fantasmes, les honorables correspondants de nos paranos. Ils sont maîtres en faux-semblants comme en faux passeports. Invisibles et omniprésents, nageant en eaux troubles avec la palme du mérite, instillant le soupçon comme poison dans un parapluie bulgare. C’est un bien beau métier que celui d’agent secret.

      Bas les masques ! Les revoilà donc, en chair et en ombre, les espions. Enfin, on veut dire les seuls, les vrais : les Russes. Garantis sur facture de la Loubianka. On les croyait sortis des radars et de l’Histoire, congelés dans le XXe siècle et le grand hiver soviétique. Ils n’étaient qu’agents dormants, prêts à s’extraire de leur sommeil, à se tirer de sous leur couverture. Ils ont repris du service sur ordre de l’un d’entre eux, Vladimir Poutine, passé de l’anonymat à la lumière, du commun au Kremlin. Puisque la célébrité sera toujours la paradoxale réussite de la profession.

      Ah ! les Russes… Ils nous manquaient tellement qu’on en était à nous surveiller nous-mêmes, en notre maladie de l’espionnite. Comme l’a révélé Edward Snowden, les Etats-Unis fliquaient leurs honnêtes citoyens ou piégeaient des gouvernements amis, dans leur désœuvrement, par dépit d’avoir été lâchés par leurs meilleurs ennemis.

      L’oreiller, cet informateur

      Mais, heureusement, tout rentre dans l’ordre. Voilà les espions revenus du froid. Tels qu’on les avait quittés, antihéros cyniques des plus haletants romans de la guerre froide. Bon pied bon œil, les experts du FSB semblent les dignes héritiers du KGB. A lire la chronique américaine, ils auraient ourdi des coups tordus et favorisé l’élection de Donald Trump. Ils tiendraient même le futur président par la barbichette, pour ne pas dire par autre chose. Le voilà à son tour éclaboussé dans de glauques aventures sexuelles qui feraient rougir Mata Hari. Dans cette sordide histoire de touche-zizi, de touche-pipi, on touche surtout le fond, si ce n’est le double fond.

      Cette affaire nous remémore les plus torrides heures de la guerre froide, quand « Espion, lève-toi » se lisait aussi « Espionne, couche-toi ! ». Elle confirme que l’oreiller reste un indépassable informateur, que la géopolitique peut se résumer au champ clos d’une chambre à coucher et qu’un rapport peut en nourrir un autre. On est allé voir ce qu’en pensait la sémillante et très espionnante Anna Chapman, qui usa de ses charmes pour extorquer des confidences top secrètes, avant d’être expulsée des Etats-Unis en 2010. Sur Instagram, la jeune et rousse Walkyrie prodigue un soutien inconditionnel à Poutine, mêlant de précieuses considérations internationales à de non moins valables photos d’elle. Elle défend Trump. On ne peut que désirer la suivre. Si tout cela n’était qu’un jeu…

      Ce n’est pas le cas. En Crimée, au temps où flottait encore le drapeau ukrainien, on avait visité le palais de Livadia, élégante maison blanche où furent signés les accords de Yalta, en février 1945, qui condamnèrent une moitié d’Europe à vivre en dictature, derrière le rideau de fer. Un responsable de la sécurité, un Tatar volubile, nous avait fait parcourir en privilégié la face cachée du bâtiment, entrelacs de couloirs étroits, de minuscules locaux dissimulés derrière des portes dérobées. En 1945, les sbires de Staline espionnaient de ces coursives les délégations étrangères pour pouvoir influer sur les négociations.

      Internet, nouveau lieu stratégique

      Leurs modernes émules poursuivent la même technique sur Internet. Ils se tapissent dans les conduits de la Toile. Les faux plombiers de notre époque ont troqué le bleu de travail pour le déguisement de geek. Mais, comme au bon vieux temps, ils truffent de technologies la tuyauterie d’Internet, nouveau lieu stratégique où se décide l’avenir du monde. Et nul sanctuaire n’est sûr. A hackeur vaillant, rien d’impossible.

      Finalement, c’est bien aux points sensibles, aux maillons faibles de nos démocraties que s’attaquent ces manipulateurs. Les cyberespions trameraient de sales coups en Europe, lors des prochaines élections françaises et allemandes. Marine Le Pen, François Fillon, Jean-Luc Mélenchon marcheraient pour eux, en rang, au pas, en cinquième colonne. On hésite à le croire. Prudence est mère de sûreté nationale. Mais on sent déjà comment les rumeurs, les suspicions savamment orchestrées vont bercer la campagne.

      Tant en matière d’espionnage que de complot, seul compte ce qui est cru et non ce qui est. Il suffit pour s’en rendre compte d’arpenter le Musée des armées aux Invalides. Jusqu’à la fin du mois s’y tient l’exposition « Guerres secrètes », consacrée à l’intimité des agents secrets. On en est sorti retourné. Entre deux joujoux de barbouze, entre deux jamesbonderies, c’est bien une ambiance qui est décrite à travers les différentes salles, un art de jouer avec la crédulité d’autrui. Ce sont toujours les mêmes armes qui sont utilisées : le billard à trois bandes et le fusil à tirer dans les coins.

      Dans Les espionnes racontent (Robert Laffont, 296 pages, 20 euros), notre consœur Chloé Aeberhardt est allée à la rencontre d’agents féminins dans plusieurs pays. Ce fut une poursuite, autant qu’une enquête. Il ressort de cette captivante lecture la sensation de se perdre dans un labyrinthe où le vrai et le faux, la réalité et la mythomanie, n’ont plus vraiment de signification. A Stella Rimington, ancienne directrice du MI5 britannique, la journaliste a demandé à quoi on reconnaissait naguère un vrai espion : « Il était sombre et déprimé », a répondu la spécialiste. A sonder nos sentiments devant la secrète comédie qui se joue actuellement en « une » de l’actualité, on se dit qu’on est mûr pour être recruté.

  • Silicon Valley exploits time and space to extend frontiers of capitalism | Evgeny Morozov | Opinion | The Guardian
    https://www.theguardian.com/commentisfree/2015/nov/29/silicon-valley-exploits-space-evgeny-morozov


    La frontière électronique a repoussé les limites du capitalisme en lui permettant d’occuper une partie grandissante de notre cerveau, corps et temps. Avec ce vecteur d’omniprésence touchant aux limites de son expansion c’est à l’espace interstellaire de reprendre le relais pour les fantaisies de croissance illimitée. Bienvenu dans le far-ouest de l’espace.

    The US Congress quietly passed an important piece of legislation this month. The Space Resource Exploration and Utilisation Act – yet to be signed by Barack Obama – grants American companies unconstrained rights to the mining of any resources – from water to gold. The era of space exploration is over; the era of space exploitation has begun!

    While the 1967 Outer Space Treaty explicitly prohibits governments from claiming planets and other celestial resources, as their property, Congress reasoned that such restrictions do not apply to the materials found and mined there.

    The bill’s timing might, at first, seem surprising – after all, Nasa, the US space agency, is almost constantly fighting against budget cuts – but is easily explained by the entrance of new space explorers on to the scene, namely the Silicon Valley billionaires who are pouring millions into “disrupting” space, Nasa, and the space programme of yore. From Google’s Eric Schmidt and Larry Page to Amazon’s Jeff Bezos and Tesla’s Elon Musk, Silicon Valley’s elites have committed considerable resources to the cause.

    And while the long-term plan – to mine asteroids for precious metals or water, which can then be used to fuel spaceships – might still be a decade or more away, Silicon Valley has a very different business proposition in mind. Space, for these companies, offers the most cost-effective way to wire the unconnected parts of the globe by beaming internet connectivity from balloons, drones and satellites.

    Morph’s Outpost on the Digital Frontier
    http://morphsoutpostonthedigitalfrontier.blogspot.de
    On arrive de loin. A l’époque de la space shuttle les limites du cyber-espace étaient encore inconnues et illimitées.

    Wired wrote briefly about Morph’s Outpost in the September/October 1993 issue, online at
    http://www.wired.com/wired/archive/1.04/streetcred.html?pg=8

    Morph’s Outpost - By Will Kreth

    Don’t knock programmers. Contrary to popular belief, many of them do have lives and look nothing like the bespectacled, pasty-faced, Jolt-cola- slurping traitorous overweight hacker depicted in Jurassic Park (personally, I was thrilled when he got eaten in the Jeep). Some of them ride mountain bikes, kayak, play alto sax and read books by Peter Matheissen. Some of them were never interested in programming until HyperCard, while others have been working on PC’s since the birth of the Altair in the ’70s. Until recently, they’ve been stuck wading through various patently dull programming magazines for the information they needed to stay on the edge.

    The rise of interactive multimedia has given birth to a new crop of programmers, and they’re starving for deep technical information about their current (albeit over-hyped) obsession. Now they have a new magazine dedicated to their cause. Morph’s Outpost on the Digital Frontier is the brainchild of Craig LaGrow, a founder of the popular Computer Language, and Editor-in-Chief Doug Millison. Augmenting the magazine’s seriously technical treatment of authoring environments and the like is a whimsical cartoon character named (what else?) Morph, who runs his Outpost on the boundary between cyberspace and the digital jungle. He’s the silicon- surfing Sherpa who’ll outfit you with the “intel” you need to make the right decisions on hardware, software, scripting tricks, and marketing your creations. Morph, who looks as if he just came out of a graffiti-artist’s spray-paint can, has assembled several notable names within the industry to contribute to the Outpost on a regular basis - like Rockley Miller (publisher and editor of Multimedia and Videodisc Monitor), Richard Doherty (editor of Envisioneering), Tony Bove (publisher and editor of the Macromedia User Journal and the Bove & Rhodes Inside Report), and Michael Moon (of the market research firm Gistics, Inc.). Do you know your XCMDs from CLUTs? Script-X from a 3:2 pull-down ratio for mastering a videodisc? Then Morph’s Outpost on the Digital Frontier is a must-read for all you seasoned media fanatics surfing the Digital Pipeline.

    Digital Work CyberTrends
    http://people.duke.edu/~mccann/q-work.htm
    Un an après la catastrophe de la Challenger l’espace sans fin du monde digital se traduisait en job opportunities sans limites.

    Work in Cyberspace
    Rise of the Personal Virtual Workspace
    Rise of the American Perestroika
    The Demise of the Job
    Rise of Entreployees
    Rise of the Movable Job
    Demise of the Department
    Rise of the Project
    Demise of the Hierarchy
    Rise of Multimedia in Corporations
    Big Business in Your Little PC
    Rise of the Digital Wealthy
    Devolution of Large Entities
    Rise of the Individual
    Rise of the Video Communications
    Rise of Internet Collaboration
    Rise of the Virtual Office
    Rise of Soft Factories
    Dematerialization of Manufacturing
    Put Your Knowledge to Work
    Rise of New Organizational Structures
    Demise of the Branch
    Rise of Document-centric Computing
    Rise of Intranet
    Rise of Knowledge Worker Hell
    Rise of a New Life in the Web
    Rise of Business Ecosystems
    Death of Competition
    Rise of New Industry Definitions
    Rise of Intellectual Mobility
    Rise of the Internet Job Engine
    Rise of Coordination-Intensive Business
    Rise of the Internetworked Business Structures
    Rise of Global Networks
    Rise of Globalization
    Rise of the Underdeveloped
    Rise of Free Agent, USA

    InfluenceHR | The Shift From Wellness to Well-being : Empowering a Workforce with a Whole-employee Approach
    http://influencehr.com/sessions/the-shift-from-wellness-to-well-being-empowering-a-workforce-with-a-who
    Depuis on chasse du cerveau dans la silicon valley , alors il faut faire des efforts pour en attirer les meilleurs.

    Speaker:
    Dr. Michael M. Moon, CEO and Principal Analyst, ExcelHRate Research and Advisory Services
    Workplace wellness is undergoing a transformation from a limited view of employee physical wellness to a more holistic view that also includes employees’ emotional, mental, and financial well-being — inside and outside the workplace. To really engage employees, employers need to provide the right balance of resources, programs, tools, and technology to enable employees to own and manage their well-being along with building a culture that supports these initiatives. The HR vendor community has a tremendous opportunity in helping employers to empower their employees to own their well-being through innovative technologies that deliver personalized learning, feedback, and targeted interventions.

    Michael Jay Moon - Wikipedia
    https://en.wikipedia.org/wiki/Michael_Jay_Moon#Awards_and_associations
    C’est l’occasion pour les vieux hippies et les habitants de première heure de la vallée de silicone de vendre quelques conférences.

    Moon was a contributing editor for Morph’s Outpost from 1993-1995, launching the magazine and writing a monthly column. A technical publication on emerging multimedia design technology, it was based on the design of ’60s underground newspapers. He was a blogger for Customer Engagement Agencies, DAM for Marketing and Engagement Marketspace. In 2000, he co-authored Firebrands: Building Brand Loyalty in the Internet Age with Doug Millison. The book is now available in 13 languages.

    Closing the Digital Frontier - The Atlantic
    http://www.theatlantic.com/magazine/archive/2010/07/closing-the-digital-frontier/308131
    Une chosequi ne change jamais dans le monde capitaliste est l’incertitude. Où trouver the next big thing (#TNBT), commen investir, comment survivre. Alors les spécialistes annoncent des vérités assez simples pour plaire aux décervelés de la finance.

    The era of the Web browser’s dominance is coming to a close. And the Internet’s founding ideology—that information wants to be free, and that attempts to constrain it are not only hopeless but immoral— suddenly seems naive and stale in the new age of apps, smart phones, and pricing plans. What will this mean for the future of the media—and of the Web itself?

    Michael Hirschorn July/August 2010 Issue

    Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft : Which Will Fall First ?
    http://www.forbes.com/sites/quora/2017/01/06/google-apple-facebook-amazon-microsoft-which-will-fall-first

    Which company will fall first, Google, Apple, Facebook, Amazon, or Microsoft? originally appeared on Quora: the knowledge sharing network where compelling questions are answered by people with unique insights.

    Answer by Terrence Yang, Angel investor, on Quora:

    I own stock in Google, Apple, Facebook, Amazon and Microsoft, but if I had to pick which tech giant I think will fall first, I would pick Facebook.

    That being said:

    Zuckerberg’s latest moves include:
    Keeping control of Facebook even after he donated almost all his Facebook stock to charity. Facebook shareholder suit alleges secret texts from Marc Andreessen to Mark Zuckerberg.
    Being the only public company CEO to skip Trump’s tech summit. I bet most shareholders wanted him to attend.
    Making his 2017 resolution “to have visited and met people in every state in the US by the end of the year. After a tumultuous last year, my hope for this challenge is to get out and talk to more people about how they’re living, working, and thinking about the future.” Mark Zuckerberg - Every year I take on a personal... Maybe he is sincere in trying to better understand America, given that Facebook, together with Google, account for almost all the online ad revenue. Google and Facebook are booming. Is the rest of the digital ad business sinking?
    Zuckerberg said he is no longer an atheist and that religion is very important (hat tip Hunter Johnson). (Mark Zuckerberg says he’s no longer an atheist, believes ‘religion is very important’.)
    All of these moves are more consistent with someone laying the groundwork for a possible run for political office someday than with someone singularly focused on growing the Facebook empire. What would Steve Jobs do?
    People have speculated before about Zuckerberg’s aspirations to run for President. (Does Mark Zuckerberg Want To Run For President?)
    I believe his actions are an investment risk factor. At the margin, his latest moves drove some investors to sell Facebook stock (raising its cost of capital) and possibly providing cheaper capital to the Facebook’s competitors (if investors sell Facebook and buy Snap, for example).
    Facebook’s metrics are wrong, though others (Google?) may have the same issue. It’s not just Facebook: Digital advertisers say internet metrics are often wrong Facebook Says It Found More Miscalculated Metrics.
    Robert Scoble says spatial computing will dominate, meaning you will be able to physically walk around in the real world and see virtual items placed on them. Scobleizer - Entrepreneur in Residence.
    Scoble said he would ask Zuckerberg this: “How are you going to compete with a “mixed reality” release of the iPhone that’s coming in 11 months? I expect that iPhone will sell 60 million in first weekend…"
    Scoble goes on to say: “That’s more VR sold than all others combined. In one weekend … If I were at Facebook I’d get the entire Oculus team to pivot. Toward mixed reality glasses. Why? Microsoft’s execs already told me they are betting 100% on mixed reality (with its Microsoft HoloLens product). The strategy at Microsoft is “Cloud + Hololens.” That’s it. The entirety of a $455 billion company is betting on mixed reality.” Apple Strategy 2017. Very important change to iPhone coming (hat tip to Leo Harsha).
    Oculus headset sales are low. VR is taking longer to take off than some guessed. VR headset sales by device 2016 | Statista.
    Instagram is doing a great job copying Snap’s popular features and avoiding the unpopular ones (fast follower). But they don’t have anything like Spectacles yet. Instagram’s Best Move in 2016? Copying Snapchat — The Motley Fool Snapchat vs. Instagram: Who’s Copying Whom Most?
    Even Zuckerberg’s write-up and videos about Jarvis home AI reveals Facebook’s weaknesses. While Amazon, Google and Apple can combine hardware and software to give you a better, more seamless experience via Echo/Alexa or the Google and Apple equivalents. To date Facebook only has software.
    Some others cite Microsoft or Apple as the most likely to fail. I disagree.

    SILICON VALLEY (THE BIG FIVE) RULEZ

    Tech Companies Are Dominating the Stock Market as Never Before (July 29 2016)
    http://www.slate.com/blogs/moneybox/2016/07/29/the_world_s_5_most_valuable_companies_apple_google_microsoft_amazon_facebook.

    Tech’s ‘Frightful 5’ Will Dominate Digital Life for Foreseeable Future ( JAN. 20, 2016)
    https://www.nytimes.com/2016/01/21/technology/techs-frightful-5-will-dominate-digital-life-for-foreseeable-future.html?_r

    The Big 5 are Apple, Google, Microsoft, Amazon, Facebook
    (August 2, 2016)
    http://www.greenm3.com/gdcblog/2016/8/2/the-big-5-are-apple-google-microsoft-amazon-facebook

    The Big 5 Year in Review : Apple, Google, Microsoft, Amazon, and Facebook (December 29, 2015)
    https://stratechery.com/2015/the-big-5-year-in-review-apple-google-microsoft-amazon-and-facebook

    #silicon_valley #capitalisme #technologie #disruption

  • Alisa Chevtchenko, pirate russe ou victime d’une erreur judiciaire ?

    http://www.lemonde.fr/international/article/2017/01/07/alisa-chevtchenko-pirate-russe-ou-victime-d-une-erreur-judiciaire_5059206_32

    Placée sur la liste noire du Trésor américain et visée par des sanctions, la jeune informaticienne russe clame son innocence.

    Le 30 décembre 2016 à 8 h 09, heure d’Europe centrale, Alisa Chevtchenko, une informaticienne russe de 31 ans, lance sur Twitter un message effaré : « A mon réveil, je trouve des tonnes de questions de médias à propos d’une liste dont je n’ai rien à foutre, et dont je n’ai jamais entendu parler. J’ai l’impression que je ne vais pas coder aujourd’hui… » Deux heures et demie plus tard, elle semble avoir compris ce qui lui arrive : « Pardonnez mon silence, j’essaie de comprendre comment ma petite société toute simple (qui, en plus, est fermée depuis longtemps), a pu apparaître sur la même liste que le FSB [les services de sécurité russes] et des terroristes internationaux. »

    Alisa Chevtchenko est la fondatrice de Zor Security, une start-up de sécurité informatique basée à Moscou, qui, selon elle, a cessé ses activités il y a plusieurs années. Jusqu’au 29 décembre, Alisa Chevtchenko était reconnue dans son milieu professionnel pour la qualité de son travail en sécurité informatique, et remarquée sur Internet pour sa personnalité originale – à la fois rebelle et branchée, businesswoman élégante et « geekette » à l’humour corrosif.
    Désormais, elle est célèbre dans le monde entier, car elle est accusée par les Etats-Unis d’avoir participé au piratage des serveurs du Parti démocrate américain, dont le contenu a été publié sur Internet dans le but d’interférer avec le processus électoral, et peut-être de déstabiliser la candidate démocrate à l’élection présidentielle, Hillary Clinton. Plus précisément, Zor Security est accusée d’avoir fourni aux agences d’Etat russes une « assistance technique en matière de recherche-développement ».

    « Père Noël vicieux »

    Sur la liste officielle des coupables, publiée le 29 décembre par la Maison Blanche, Zor Security se retrouve ainsi aux côtés du GRU (la direction générale du renseignement de l’armée russe) et de quatre de ses dirigeants, du FSB, de deux organismes de recherche informatique de Moscou et Saint-Pétersbourg – plus deux hackeurs de droit commun, accusés d’avoir escroqué des banques, des agences publiques et des sites marchands « pour leur profit personnel ».

    La « geekette » à l’humour corrosif est accusée d’avoir participé au piratage des serveurs du Parti démocrate

    Le même jour, le président Obama a amendé un décret datant d’avril 2015 autorisant à punir les auteurs étrangers de cyberattaques, afin d’y ajouter un article sur mesure, permettant de sanctionner toute personne ayant directement ou indirectement « falsifié, altéré ou détourné des informations dans le but d’interférer avec les processus ou les institutions électoraux ou de les affaiblir ». Zor Security est à nouveau citée, et ajoutée à la longue liste des ennemis des Etats-Unis, susceptibles d’être sanctionnés à tout moment de diverses façons : interdiction de venir aux Etats-Unis, gel ou saisie de leurs avoirs à portée des autorités américaines, interruption de toute relation avec des citoyens, organismes ou entreprises américains… De son côté, le département du Trésor confirme l’inscription de Zor Security sur sa liste noire, en précisant que la société est également connue sous les noms « Esage Labs » et « Tsor Security ».

    Alisa Chevtchenko affirme qu’elle tombe des nues, qu’elle n’est au courant de rien et qu’elle est victime d’une erreur judiciaire dans une affaire qui la dépasse complètement. Jour et nuit, elle s’exprime en anglais sur Twitter, en passant par tous les stades – déni, frayeur, colère, dérision : « Un garçon de bureau du Trésor américain a tapé “cyber” sur Google pendant que les analystes du renseignement étaient en vacances de Noël » ; « Au plus profond de la nuit de Noël, un Père Noël vicieux a piraté l’ordinateur d’Obama et a jeté des noms russes au hasard dans ses documents ».

    Elle s’insurge aussi contre les médias américains qui la déclarent coupable sans avoir fait de contre-enquête. Puis elle lance des appels au secours : « J’apprécierais les conseils de quelqu’un qui connaîtrait le fonctionnement interne de ce système, ou qui s’est trouvé dans une situation similaire… » Elle modifie son profil pour ajouter la mention : « Je ne suis pas une espionne russe ».

    Victime innocente ou comédienne de talent ? Une chose semble sûre : Alisa Chevtchenko maîtrise parfaitement les « techniques offensives » inventées par les hackeurs, car son travail consiste à tester les défenses des systèmes informatiques de ses clients, afin d’en détecter les failles et d’y remédier. Sur ses pages personnelles, elle se décrit comme une « ch1x0r » (« fille » en Leet speak, un langage ludique pratiqué par les geeks extrêmes), « amoureuse de l’ingénierie à rebours, de l’analyse des virus, du contournement d’antivirus, des tests de pénétration, des cyberautopsies… » Ailleurs, elle se présente comme « un être humain un peu marginal », une autodidacte qui fut une femme d’affaires, et qui le redeviendra peut-être.

    Dans le passé, elle a participé à des conférences en Russie, en Angleterre, au Canada, et publié des articles techniques dans des revues professionnelles internationales. Elle s’enorgueillit d’avoir créé à Moscou un « hackerspace » baptisé Neuron. En 2014, l’édition russe du magazine américain Forbes publie un portrait flatteur de cette jeune entrepreneuse ambitieuse. En 2015, le département américain de la sécurité intérieure (Department of Homeland Security, DHS) note avec satisfaction qu’en partenariat avec la société informatique Positive Technologies, basée à Boston, « l’experte indépendante Alisa Chevtchenko » a découvert des vulnérabilités dans des logiciels de la société française Schneider Electric, ce qui a permis de trouver rapidement des parades.

    Approximations

    En dehors de la sphère professionnelle, Alisa Chevtchenko est active sur les réseaux sociaux comme Instagram, où elle se montre dans des tenues élégantes. Le compte Facebook ouvert à son nom est plus énigmatique. Elle y est présentée comme « inspectrice qualité pour Facebook », et indique qu’elle aurait étudié à New York dans une institution baptisée Illuminati, travaillé pour une agence de mannequins au Chili, puis vécu à Londres.

    Pour organiser sa défense, Alisa Chevtchenko rassemble des textes rédigés par des confrères américains, qui doutent de la véracité des accusations de leur gouvernement contre la Russie, ou qui s’interrogent sur le manque de preuves. Les critiques se concentrent sur un nouveau document publié conjointement par le FBI et le DHS, intitulé « Cyberactivité russe malveillante » et affublé du nom de code « Grizzly Steppe » pour lui donner un parfum slave. Grizzly Steppe se présente comme un rapport technique visant à décrire « les outils et infrastructures utilisés par les services de renseignement civils et militaires russes pour compromettre et exploiter les réseaux et serveurs associés à l’élection américaine et à une série d’organismes américains publics, politiques et privés ».

    En fait, selon les experts américains repris par Alisa Chevtchenko, ce document ne prouve rien, il est mal conçu, bourré d’erreurs et d’approximations, et semble avoir été rédigé dans la précipitation par des amateurs. Les adresses IP présentées comme étant celles des pirates russes mèneraient souvent vers des serveurs anonymes utilisables par n’importe qui ; les « groupes de menace » présentés comme des bandes de hackeurs ne seraient en fait que des catégories de logiciels constituées a posteriori par les concepteurs d’antivirus ; les noms des opérations de piratage auraient été inventés par des sociétés de sécurité américaines à des fins de marketing…

    Le cas particulier d’Alisa Chevtchenko renforce les convictions des opposants américains à la thèse de la culpabilité russe, une coalition très hétéroclite et sans doute éphémère : des partisans de Donald Trump qui refusent de voir sa victoire souillée, des militants gauchistes ou libertaires prompts à mettre en doute la parole du FBI et de la CIA, des pacifistes craignant un retour de la guerre froide, d’anciens responsables des services de renseignement devenus lanceurs d’alerte, des proches de WikiLeaks (Julian Assange affirme que les documents dévoilés pendant la campagne ne lui ont pas été donnés par les Russes) et aussi des soutiens de Bernie Sanders, candidat malheureux à la primaire démocrate, qui n’ont toujours pas digéré la façon dont l’appareil du parti avait biaisé la compétition en faveur d’Hillary Clinton.

    Désormais, Alisa Chevtchenko affirme qu’elle reçoit des Etats-Unis de nombreux messages de soutien et même… des offres d’emploi.

    • Beaucoup d’autres infos dans l’article du Guardian et quelques réactions

      Young Russian denies she aided election hackers : ‘I never work with douchebags’ | World news | The Guardian
      https://www.theguardian.com/world/2017/jan/06/russian-hacker-putin-election-alisa-shevchenko

      The former NSA contractor-turned-whistleblower Edward Snowden, who currently lives in Russia, wrote on Twitter: “Few techs doubt that Russians could have a hand in hacks, but public policy requires public evidence.

      Brian Bartholomew, of Kaspersky Lab’s US office in Massachusetts, said the biggest clue was an in-house piece of software called XAgent, which he had never seen elsewhere.

      Assange said it could have been a 14-year-old hacker – if you look at the collective operations of this group, there’s no way a 14-year-old has this much money, time and effort to conduct all of these operations together,” he said.

      Of the entities on the sanctions list, including Shevchenko’s company, Bartholomew said: “There’s probably a good reason that those names were put in the document.

      Aitel said he had no doubt Russian intelligence was behind the hack and said authorities would certainly use third-party contractors for operations, but he added that it was problematic to sanction individuals without releasing evidence. “No matter what she did technically, she’s not a policy maker. It doesn’t make much sense to sanction individuals on the basis that ‘we know something secret so we’re going to sanction you’.

      Only Shevchenko’s company – rather than Shevchenko personally – is on the US treasury’s list of specially designated nationals (SDNs), which are subject to an asset freeze in any dealings with US persons or the US financial system.

    • Esage | SOLDIERX.COM
      https://www.soldierx.com/hdb/Esage

      Esage
      IRL Name: Alisa Shevchenko

      Biography:
      Alisa “Esage” Shevchenko is a security ch1x0r who loves reverse engineering, malware analysis, antivirus bypassing, penetration testing, cyber forensics, black-box software and hardware security auditing. Alisa spoke at security conferences like RusCrypto 2009, RECon 2011, InfoSecurity 2012, and ZeroNights 2012; published her works in such magazines as InfoSecurity Russia, (IN)Secure, Hakin9, VirusBulletin, and No Bunkum. She has been running her own company Esage Lab since 2009; co-founded Neuron, a hackspace in Moscow.

      Facts
      She discovered a few remote code execution bugs in Microsoft products: CVE-2014-4060, CVE-2014-4118, ZDI-15-052, etc.

    • Forbes du 30/12/16

      Meet The Russian Hacker Claiming She’s A Scapegoat In The U.S. Election Spy Storm
      http://www.forbes.com/sites/thomasbrewster/2016/12/30/alisa-esage-shevchenko-us-election-hack-russia-sanctions/#4b70f4e31bb0

      Meanwhile, experts have noted other weaknesses in the U.S. response, in particular in the brief technical report released yesterday by the Department of Homeland Security (DHS) and the FBI. The agencies outlined the hacker techniques of “Russian civilian and military intelligence Services (RIS) to compromise and exploit networks and endpoints associated with the U.S. election.

      But Rob Lee, a former U.S. cyber intelligence officer, noted “the finer details are confusing.” “Some relate to the APT28 and APT29 campaigns mentioned for the DNC hack but there are lots of other indicators of random Russian based intrusions and campaigns… The data set is not even majorly focused on the election,” he said.

      More troubling is that the report from the FBI-DHS looks rushed and as if too many non-technical people were involved in the review. As an example, in the campaign names for RIS activity they not only list campaign names like APT28 but also malware names like BlackEnergy v3 and HAVEX and classification of capabilities such as Powershell Backdoor. What they’ve in essence done is say that these are the names we know RIS by and then reported out things that aren’t names of groups at all. It’s an odd mixing and ultimately would be a #rookie_move in the private sector.

  • Post-truth #architecture | Thinkpiece | Architectural Review
    https://www.architectural-review.com/rethink/post-truth-architecture/10015758.article

    Buildings may be constructed on the building site, but architecture is constructed in the discourse

    It’s official: ‘post-truth’ is the word of 2016. Oxford Dictionaries, which decides the annual accolade, defines it as ‘denoting circumstances in which objective facts are less influential in shaping public opinion than appeals to emotion and personal belief’. It adds that the term was first used in 1992 of the Iran-Contra scandal, however it is only in the context of this year’s Brexit and Trump campaigns that it has become common parlance.

    It could be argued that the media themselves are responsible for the rise of post-truth with their portrayal of fabricated, unachievable images and worlds. In 1991, Jean Baudrillard famously claimed that the Gulf War did not take place – that its media representation supplanted the horrors of the reality on the ground. And since then, increasing computer power has allowed three things to happen: first, images can be created that look not only convincingly real, but in the words of Bono, ‘even better than the real thing’ (take, for example, the incredible images of Filip Dujardin); second, near-instant manipulation and communication of those images is possible, as with the faked fireworks broadcast live during the 2008 Beijing Olympics – Instagram has replaced Archigram; third, our constant connection to screens means that we tend to actually prefer inhabiting representations of the world. What place does criticism have in an era populated by post-humans with Social Media Behaviour Disorders? Perhaps we need a new type of criticism to fit our current situation. Reliable, trustworthy, honest critique is more vital than ever, and islands – maybe even archipelagos – of authority can still be found upon which to establish a reasoned debate that is accountable and challengeable.

  • US government collecting social media information from foreign travelers | World news | The Guardian
    https://www.theguardian.com/world/2016/dec/26/us-customs-social-media-foreign-travelers

    The US government has begun asking select foreign travelers to disclose their social media activities as part of an expanded effort to spot potential terrorist threats.

    The request functions as a prompt on the online Electronic System for Travel Authorization, or Esta, a visa waiver application that many visitors are required to submit before travelling to the US. The choices include platforms such as Facebook, Twitter, Google+, Instagram, LinkedIn and YouTube, and additional space for applicants to input their account names on those sites.

    #yeah !

  • Les États-Unis demandent désormais aux touristes étrangers de décliner leur identité numérique

    http://mashable.france24.com/monde/20161223-etats-unis-touristes-utilisateurs-facebook-twitter-insta

    Depuis mardi, une partie des touristes étrangers en voyage aux États-Unis sont invités à fournir leurs identifiants Facebook, Twitter ou encore Instagram avant leur arrivée. Une initiative qui vise à repérer les profils radicalisés.

    Le Service des douanes et de la protection des frontières des États-Unis rappelle, lui, que l’initiative demeure optionnelle et qu’aucun des voyageurs qui refuserait de renseigner son identité numérique ne se verra interdire l’entrée du territoire.

    Pourtant, certains craignent de voir des touristes étrangers se contraindre eux-même à renseigner leur présence en lign pour montrer patte blanche. « Le processus d’entrée aux États-Unis est compliqué, et il est probable que la plupart des visiteurs répondent de force à l’intégralité des requêtes pour ne pas risquer de se retrouver devant les questions intimidantes des officiers en uniformes, les mêmes qui décident lesquelles de vos blagues sont drôles et lesquelles font de vous un danger pour la sécurité du pays », affirme à Politico Nathan White, membre de l’ONG Access Now.

  • Une étudiante crée une puissante série de photos avec des #citations de Trump sur les femmes

    #Aria_Watson, une étudiante de 18 ans de l’Oregon, aux États-Unis, n’a jamais aimé la politique, mais cette année, c’est différent. « Quand Trump l’a emporté sur Clinton, mon cœur s’est fracassé », a-t-elle affirmé. Elle ne pouvait plus demeurer silencieuse, alors elle a décidé d’aider les gens à comprendre qui est réellement Donald Trump.

    Sa série de photos intitulée #SignedByTrump présente des citations de Trump au sujet des femmes. « Je sais que la plupart des gens ont déjà une opinion sur Trump, mais je souhaite tout de même que #SignedByTrump ouvre les yeux à quelques personnes », affirme Aria.

    Le projet a été créé comme travail final pour son cours de photographie. Lorsqu’elle a publié les images sur Facebook et Instagram, elles ont été retirées. Plus tard, elle a décidé de les publier sur Tumblr, et elles sont rapidement devenues virales.

    http://www.ipnoze.com/2016/12/12/photos-citations-donald-trump-femmes

    #résistance #photographie #Trump #femmes #sexisme #corps

  • Quarante-deux
    http://otir.net/dotclear/index.php/post/2016/12/07/Quarante-deux

     

    En ce moment, je réfléchis autant que je peux à mes projets pour l’année à venir.

    Ca inclue mon blog bien entendu. Bien que l’on soit à un peu plus de trois semaines de la fin de l’année civile, je me dis que j’ai réussi le défi du billet quotidien des « petits bonheurs » ou bonheur du jour avec brio, et ça me remplit de fierté.

    Je ne suis pas la seule, on aura été plusieurs à vaillamment nous éclater d’un billet par jour - voire plus pour les plus fanatiques de mes amis blogueurs - et pourtant la blogosphère n’est vraiment plus ce qu’elle était, la faute à ces plate-formes algorithmées qui nous ont phagocytés les uns et les autres, j’ai nommé Instagram, Facebook et Twitter : je me surprends à ne plus du tout goûter m’y promener quand j’ai envie de prendre les nouvelles des potes, parce que c’est un (...)

    #Lucarnes #bloguer #petits_bonheurs

  • Uber begins background collection of rider location data
    https://techcrunch.com/2016/11/28/uber-background-location-data-collection

    Imagine you’re on your way to a therapy appointment in a downtown high-rise. You hail an Uber and enter a nearby coffee shop as your destination so you can grab a snack before the appointment. In the car, you scroll through Instagram and check your email. You get out, buy your coffee, and walk around the corner to your therapist’s office. If you installed the latest app update, Uber has been tracking your location the entire time. The app update (it’s 3.222.4, for those keeping track) (...)

    #Uber #géolocalisation

  • Crisis and the meaning of money
    http://africasacountry.com/2016/11/crisis-and-the-meaning-of-money

    Robert Mugabe Junior has the word “melanin” in his Instagram biography. I discovered this when I went to his profile, a little indulgence I allow myself every few weeks to see just how well the eldest son of our 92-year-old leader is living in Dubai. This time, his profile was locked. Maybe someone had told […]

    #ESSAYS #economy #protest #Zimbabwe

  • Tous les jours
    http://otir.net/dotclear/index.php/post/2016/11/06/Tous-les-jours

    © gl0be_trotter | Instagram

    #bloguer tous les jours, cette année, m’a apporté de nouveaux défis, et aussi de nouveaux enseignements, dont je voudrais faire part, mais pour beaucoup de mes lecteurs assidus, ce billet semblera sans doute superflu.

    C’est surtout pour les lecteurs intermittents qui atterrissent sur mon blog par le biais des recherches, sur les mots-clés.

    Parce que « Un jour @ la fois » est toujours dans le même état de bazar sympathique, mais les blogs ont changé depuis leurs débuts.

    Chaque blog se consacre essentiellement à une thématique. Le mien, bof. Je parle en vrac de tout ce qui me passe par la tête. Je suis épatée que ça vous intéresse autant en fait. Pour ceux qui me suivent depuis longtemps, je comprends, pour ceux qui me découvrent aujourd’hui, ce n’est pas par le hasard d’une (...)

    #Lucarnes #autisme #classement #ecriture #entreprise #organisation #petits_bonheurs #résolutions

  • Facebook : les secrets de Mark Zuckerberg pour rentabiliser Whatsapp, Messenger et Instagram
    http://www.latribune.fr/technos-medias/internet/facebook-les-secrets-de-mark-zuckerberg-pour-rentabiliser-whatsapp-messeng

    Lors d’une séance de questions/réponses avec des analystes, Mark Zuckerberg, le Pdg de Facebook, a expliqué comment transformer un réseau social en machine à cash. Une recette déjà gagnante avec Facebook, et qu’il applique scrupuleusement avec ses applications Whatsapp, Messenger et Instagram, toutes très populaires, mais toujours déficitaires.

    Monétiser une application ou un service sur Internet n’est pas chose aisée. Twitter le sait bien : malgré sa grande popularité (317 millions d’utilisateurs par mois), le réseau social est venu à bout de la patience de ses investisseurs et n’arrive même pas à se vendre.

    • Désormais, les comptes Whatsapp et Facebook sont liés, ce qui veut dire que les données personnelles des utilisateurs de Whatsapp sont recoupées avec celles de Facebook, pour enrichir l’outil de ciblage publicitaire sur Facebook.

      Problème : il s’agit d’une grosse entorse aux valeurs de Whatsapp, qui a attiré de nombreux utilisateurs avec la promesse de ne pas utiliser leurs données personnelles.

  • De « National Geographic » aux geôles du Pakistan, l’émouvante histoire de Sharbat Gula, « l’Afghane aux yeux verts »
    http://www.francetvinfo.fr/monde/asie/massacre-au-pakistan/de-national-geographic-aux-geoles-du-pakistan-l-emouvante-histoire-de-s

    Sharbat Gula a été le symbole des réfugiés pendant des décennies. Elle est aujourd’hui celui des immigrés rejetés." Sur son compte Instagram, jeudi 27 octobre, Steve McCurry a poussé un cri d’alarme. Son sujet le plus célèbre, l’Afghane aux verts qui avait fait la couverture du magazine National Geographic en 1985, a été interpellée au Pakistan en possession de faux papiers. Son arrestation a été annoncée mercredi par les autorités pakistanaises, qui avaient lancé une enquête à son encontre il y a deux ans.

  • Facebook et Instagram ont nourri la surveillance de manifestants, Twitter plus protecteur
    http://www.numerama.com/politique/201154-facebook-instagram-et-twitter-avaient-nourri-un-outil-de-surveillan

    Facebook et sa filiale Instagram ont dû résilier le contrat qu’ils avaient signé avec Geofeedia, une société spécialisée dans la surveillance géolocalisée des réseaux sociaux, qui louait ses services à des services de police. Twitter est le seul qui dispose d’une politique interdisant l’utilisation de ses API à des fins de surveillance, et à l’avoir fait respecter. La branche californienne de l’American Civil Liberties Union (ACLU) a dévoilé mardi que Facebook, sa filiale Instagram et dans une moindre (...)

    #Facebook #Instagram #smartphone #profiling #Twitter #activisme #surveillance #web (...)

    ##FBI

  • ACLU finds social media sites gave data to company tracking black protesters
    https://www.theguardian.com/technology/2016/oct/11/aclu-geofeedia-facebook-twitter-instagram-black-lives-matter

    Facebook, Twitter and Instagram have previously provided users’ data to a software company that aids police surveillance programs and targets protesters of color, according to government records obtained by the American Civil Liberties Union. The ACLU revealed on Tuesday that the technology corporations gave “special access” to Geofeedia, a controversial social media monitoring company that partners with law enforcement and has marketed its services as a tool to track Black Lives Matter (...)

    #Facebook #Twitter #Instagram #profiling #web #activisme #surveillance #ACLU #Geofeedia

  • Across the States, Jessica Earnshaw Documents Aging Prisoners’ Lives, Records Their Stories | Prison Photography
    https://prisonphotography.org/2016/04/14/across-the-states-jessica-earnshaw-documents-aging-prisoners-live
    https://secure.gravatar.com/blavatar/66907549c4307b50cadd6b9bf4e344ef?s=200&ts=1476029780

    A quick heads up for a new photography project about prisons. Jessica Earnshaw has embarked on an investigation of aging in prison. So far, Earnshaw has visited Wabash Valley Correctional Facility in Indiana, Maine State Prison and Maine Correctional Center. to make stills and videos that reflect the circumstances of elderly prisoners.

    Of course, the greying of America’s prisons is a massive issue. Compassionate release for men and women who are clearly infirm and clearly no threat to society as they may have been 10, 20, 30 or 40 years ago seems to me to be a no-brainer.

    The project is in its very early stages and Earnshaw is sharing snippets on

    Aging in Prison ( aginginprison) • Photos et vidéos Instagram
    https://www.instagram.com/aginginprison

  • « Enchanter la vulgaire réalité »
    http://www.monde-diplomatique.fr/2016/09/PATAUD_CELERIER/56198 #st

    Transformées en images électroniques, ces œuvres éphémères ont la puissance des réseaux sociaux planétaires : Facebook, Snapchat, Instagram (JR affiche neuf cent mille abonnés). Mais, si la visibilité et la notoriété qu’elle permet s’élaborent là, la légitimité de l’artiste se fait à partir de la rue, dans sa confrontation au réel. « Une relation qui s’achève souvent par la gentrification des quartiers », déplore Kashink, l’une des rares artistes de rue féminines — qui arbore une fine moustache postiche. « La création attire. Mais transformer un mur en fresque avec la participation de ses habitants, c’est donner une nouvelle image du quartier, propice aux rénovations urbaines et à la spéculation. » Car pochoirs et fresques se substituent souvent aux graffitis et aux tags, synonymes pour beaucoup d’un sentiment d’insécurité. « Une imagerie servile composée par des poseurs d’affiches qui font le mur sans le faire », dénoncent de nombreux graffeurs. Aux antipodes de l’acte libertaire et libérateur qui est au fondement même du graffiti, et « dont l’esprit frondeur »,_ pensent-ils, ne peut que se renforcer face à une urbanisation croissante qui se densifie et déshumanise. La ville est saturée de signes pensés pour faire « dé-penser » (publicités), pour sécuriser (panneaux de signalisation, caméras), pour rentabiliser le rapport de l’habitant avec son espace. Beaucoup ressentent cette pression comme un enfermement. De ceux qui poussent un condamné à graffiter les murs de sa cellule.

    Quant au pénis peint sur le mur de la commune Saint-Gilles de Bruxelles, la mairie s’apprête à l’effacer.

    Une fois le pénis effacé, comme le mur est idéal pour les graffitis, le collège de Saint-Gilles va faire appel à un artiste local pour taguer la façade. Concernant le dessin rue des Poissonniers, représentant un acte de pénétration, la ville de Bruxelles a décidé de le laisser intact ! Ces œuvres, qui font tant polémique en Belgique, n’ont toujours pas été revendiquées.

    http://www.lefigaro.fr/culture/2016/09/26/03004-20160926ARTFIG00266-effacez-ce-penis-geant-que-bruxelles-ne-saurait-p

    http://zinc.mondediplo.net/messages/38472 via Le Monde diplomatique

  • Where Are the Children? For extortionists, undocumented migrants have become big #business.

    The kidnapper sounded polite, even deferential, when she called on a Tuesday afternoon last May. Melida Lemus and Alfredo Godoy had left their clapboard house in Trenton, New Jersey, to pick up their two daughters from school. Godoy, who works in construction, was late to meet a client for whom he was building a home extension, and his family accompanied him to the project site. Melida and the girls—Kathryn, twelve, and Jennifer, seventeen—waited in the client’s living room, snacking on cookies and checking Instagram, while Alfredo walked through the house, taking specs: how much Sheetrock he’d need, how much spackle, how many two-by-fours. In the middle of the tour, his cell phone rang. The call came from a Texas area code.

    https://o.twimg.com/2/proxy.jpg?t=HBhFaHR0cDovL3d3dy5uZXd5b3JrZXIuY29tL3dwLWNvbnRlbnQvdXBsb2Fkcy8
    http://www.newyorker.com/magazine/2015/04/27/where-are-the-children
    #enfants #enfance #migrations #frontières #extorsions #USA #Etats-Unis #mineurs

  • Médiation culturelle et réseaux sociaux : un MOOC pour apprendre et partager | ECHOSCIENCES - Grenoble
    http://www.echosciences-grenoble.fr/articles/mediation-culturelle-et-reseaux-sociaux-un-mooc-pour-apprendre

    Un événement Facebook pour votre exposition ? Un live-tweet de votre conférence ? Un compte Instagram pour votre musée ? Ca fait déjà quelques temps que vous y pensez… Vous souhaitez vous lancer sur les réseaux sociaux - ou optimiser votre pratique - mais ne savez pas trop comment vous y prendre. Et vous vous sentez un peu isolé.e dans votre structure ! Pas de panique, nous sommes aussi passé.es par là. Nous, ce sont les membres des six centres de sciences qui ont porté le programme Inmédiats. Depuis 2012, nous avons testé, innové, réfléchi, fait des erreurs aussi et souhaitons partager avec vous le fruit de notre travail, sous la forme d’un MOOC (2).

    Du 21 septembre au 18 octobre 2016, nous vous invitons à suivre gratuitement le MOOC « Sciences Tag » sur les médiations culturelles et scientifiques à (...)

  • Rumeur sur la mort du président d’#Ouzbékistan : sa fille [l’autre…] évoque sa « guérison » - Le Parisien
    http://www.leparisien.fr/international/rumeur-sur-la-mort-du-president-d-ouzbekistan-sa-fille-evoque-sa-guerison

    « Je suis sûre que cette énorme bonté qui vous vient du fond du coeur l’aidera dans sa guérison ! » D’une phrase, Lola Karimova-Tilliaïeva, la fille cadette du président ouzbek, Islam Karimov a mis un terme, sur Instagram, à la rumeur de la mort de son père. Depuis lundi, c’est sur ce réseau social que l’ambassadrice de l’Ouzbékistan à l’Unesco à Paris a choisi de communiquer sur l’état de santé du dirigeant âgé de 78 ans.

  • Microsoft tease son Surface Book 2
    http://www.comptoir-hardware.com/actus/ordinateurs/32307-microsoft-tease-son-surface-book-2.html

    Chez Microsoft, le teasing et l’utilisation du retour client (qui s’appelle aussi être à l’écoute de ses utilisateurs et est une bonne chose, sauf pour les ingénieurs qui perdent leur boulot, car ils sont apparemment incapables de satisfaire les masses) sont devenus une habitude. C’est pourquoi on n’est absolument pas surpris de voir la firme « teaser » son futur Surface Book 2 sur son compte Instagram... [Tout lire]

    #Systèmes_complets