company:instagram

  • Un algorithme pour détecter la dépression chez les Instagrammeurs
    http://www.sympatico.ca/actualites/decouvertes/science-techno/algorithme-depression-instagrammeurs-1.1860579

    Et si, malgré nos efforts pour bien paraître, nos publications sur Instagram trahissaient notre état mental ? Des chercheurs américains ont conçu un algorithme capable d’y déceler des signes de dépression. Les images des individus déprimés y seraient plus bleues, grises, sombres et contrastées. L’algorithme développé par des chercheurs associés de l’Université du Vermont et celle de Harvard utilise en guise d’indices l’analyse de couleur, des éléments de métadonnées et la reconnaissance faciale, et (...)

    #Instagram #algorithme #comportement

  • #Onyva : quand la SNCF transforme un hashtag en aspirateur à droits… | Calimaq
    https://scinfolex.com/2016/08/26/onyva-quand-la-sncf-transforme-un-hashtag-en-aspirateur-a-droits

    Ce matin, on m’a signalé sur Twitter un cas particulièrement corsé de Copyright Madness qui est bien parti pour figurer dans le Worst of 2016. La SNCF a en effet lancé une opération intitulée « On y va » par laquelle elle invite ses utilisateurs à poster sur Instagram des photographies prises au cours (...)

  • Machine Learning algorithm fed by Instagram reveals predictive markers of depression

    http://www.digitaltrends.com/social-media/ai-program-uses-instagram-to-diagnose-depression

    A new artificial intelligence program can pick up on the early signs of depression before humans (and even humans who are general practitioners) can — and just by using Instagram. A team of researchers from Harvard and the University of Vermont recently developed a machine learning program that correctly identified which Instagram users were clinically depressed with 70 percent accuracy.

    The study by Andrew G. Reece and Christopher M. Danforth:

    http://arxiv.org/pdf/1608.03282v2.pdf

    Abstract:​ Using Instagram data from 166 individuals, we applied machine learning tools to successfully identify markers of depression. Statistical features were computationally extracted from 43,950 participant Instagram photos, using color analysis, metadata components, and algorithmic face detection.
    Resulting models outperformed general practitioners’ average diagnostic success rate for depression. These results held even when the analysis was restricted to posts made before depressed individuals were first diagnosed. Photos posted by depressed individuals were more likely to be bluer, prayer, and darker. Human ratings of photo attributes (happy, sad, etc.) were weaker predictors of depression, and were uncorrelated with computationally­ generated features. These findings suggest new avenues for early screening and detection of mental illness.

    #machine_learning #artificial_intelligence #AI #face_detection
    #depression

  • 98 personal data points that Facebook uses to target ads to you
    https://www.washingtonpost.com/news/the-intersect/wp/2016/08/19/98-personal-data-points-that-facebook-uses-to-target-ads-to-you

    Say you’re scrolling through your Facebook Newsfeed and you encounter an ad so eerily well-suited, it seems someone has possibly read your brain. Maybe your mother’s birthday is coming up, and Facebook’s showing ads for her local florist. Or maybe you just made a joke aloud about wanting a Jeep, and Instagram’s promoting Chrysler dealerships. Whatever the subject, you’ve seen ads like this. You’ve wondered — maybe worried — how they found their way to (...)

    #publicité #géolocalisation #Facebook #profiling #EFF

    ##publicité

  • Le retour de la mère parfaite
    http://www.lemonde.fr/m-perso/article/2016/05/27/le-retour-de-la-mere-parfaite_4927830_4497916.html

    En réaction au bonheur maternel étalé sur les réseaux sociaux, de nombreuses campagnes imaginées par des mères de famille ont incité les instagrammeuses à poster des photos de leurs « vraies vies ». Avec #Loveyourlines (« aimez vos vergetures ») ou #takebackpostpartum (« reprise après accouchement »), les femmes célèbrent les traces qu’ont laissées les grossesses sur leur corps. Sous le mot-clé #WomenIRL (« Femmes dans la vraie vie »), elles racontent les nuits éprouvantes, la fatigue, l’inquiétude, le couple fragilisé.

    Ce mot-clé inventé en 2015 par le mensuel américain Real Simple a été plébiscité par les mères : le compte #WomenIRL enregistre plus de 150 000 abonnés, et plus de 50 000 photos ont été postées sur Instagram. Des enfants qui piquent des crises au supermarché, des lits d’adultes envahis par des petits poneys, des croquettes de poisson surgelées ou des steaks trop cuits servis pour le dîner, etc.

    • Les réseaux sociaux ne sont qu’un amplificateur d’une tendance longue qui est celle de la course la super normalité, un moyen comme un autre de se sentir moins merdique et de pouvoir se défouler sur ceux qui sont présentés comme moins normaux.
      J’ai passé la semaine chez une amie d’enfance. Toutes les deux, nous avions des enfances anormales, mais la différence, c’est qu’en grandissant, j’ai eu l’occasion de fréquenter de l’intérieur les familles normales.

      Donc elle est restée dans l’idée qu’elle était moins bien que les autres dont elle ne voyait, finalement, que la vitrine que l’on donne à voir au monde.
      Quand les familles reçoivent, elles s’efforcent de maintenir l’illusion le temps du passage de l’invité, mais comme, finalement, mon anormalité m’a toujours rendue sensible aux dissonances et que mon comportement facilite une forme de mise en confiance et relâchement de la super-norme, à l’arrivée, j’ai pu constater in vivo que la normalité, c’est quand même un concept vachement fumeux et que la plupart des familles cachent des cadavres de mammouth dans le placard.

      C’est d’ailleurs à cause de cette expérience d’alien insider que j’ai fini par penser que la famille n’était peut-être pas une grande idée et sûrement pas le lieu de la joie, du bonheur et de la sécurité (même si j’ai déjà croisé des familles où ça a l’air de vraiment bien se passer et où je n’ai pas perçu de membres toxiques ou, en tout cas, de capables de pourrir l’ensemble !).

      Au final, j’ai l’impression d’avoir ôté un gros poids à mon amie d’enfance en lui confirmant que sa famille s’en sortait plutôt mieux que la plupart de celles que j’ai déjà pu croiser, non pas en étant plus normale ou à l’abri des merdes, mais en les affrontant sans faux-semblants et en en parlant toutes ensembles (elle n’a eu que des filles !).

  • Uppy

    http://uppy.io/index.html

    Uppy is (going to be) a #JavaScript file uploader that fetches files from Dropbox, Instagram, local disk, remote URLs, and other exciting locations. It has a plugin-based architecture, first-class support for resumable #uploads according to the open standard: tus, and custom encoding backends, making it extensible and robust. Uppy is in the early stages of development and should not be used for anything serious yet.

    ping @kent1 pour plus tard ;)

  • Chers musiciens, par pitié, arrêtez les selfies sur scène ! - Rue89 - L’Obs
    http://rue89.nouvelobs.com/2016/07/01/chers-musiciens-pitie-arretez-les-selfies-264524

    Le groupe Deluxe aime bien se mettre en scène. Les musiciens de cette formation d’électro pop portent des costumes de Spirou à paillettes. La chanteuse a une jupe en forme de moustache (leur tournée s’appellent le « Stache tour »). Ils sautent, ils dansent. Ils aiment aussi que le public participe.

    Au festival Solidays, auquel j’ai assisté samedi dernier, les six compères nous ont demandé à plusieurs reprises de sauter, de lever les mains. Ils ont fait un concours de chant entre l’avant et l’arrière du public et fait monter le « son » dans un modulateur en forme de moustache. 

    A un moment donné, ils ont fait asseoir puis se relever d’un seul homme les 60 000 personnes qui étaient devant eux. Bref, ils ont mis le feu.

    Les gens étaient contents. Le groupe aussi. Moi non.

    Terrifiante perche à selfie

    J’étais peut-être mal lunée ce jour-là, ou simplement Deluxe n’est pas mon groupe préféré, mais il y avait quelque chose de désagréable qui planait au-dessus de ce beau tableau pailleté et bondissant.

    Une ombre en forme de perche à selfie. Oui, ces mêmes perches à selfie que les festivals, Coachella et même Solidays, interdisent au public. Normal : c’est dangereux. De mon point vue, ça donne surtout l’air bête.

    Le selfie signe notre dégénérescence narcissique très XXIe siècle, elle est bien décrite dans le livre du philosophe Yves Michaud, « Narcisse et ses avatars » (sorti en 2014). 

    Cet artiste en costume qui ambiançait le public en nous disant de crier plus fort nous filmait avec une mini caméra. Cette captation est visible sur la page Facebook du groupe (et elle donne le tournis).

    Il a aussi pris une « photo de famille » à la fin, postée dès le lendemain sur Instagram.

    Le live s’instagramise

    Deluxe n’est malheureusement pas seul à appartenir à cette catégorie d’artiste qui fait des shows « instagramés », où les selfies ont remplacé le salut au public. Je pense notamment à DJ Antoine, Lilly Allen ou encore Major Lazer.

    La selfisation des concerts existait avant les réseaux sociaux. Adrien Durand, attaché de presse musical et fondateur de The Drone, un blog de musique, raconte qu’à un concert des Yeah Yeah Yeahs, « avant Facebook et Instagram », ils s’étaient pris en photo avec le public à la fin et en avaient fait une expo.

    Mais le Web l’a généralisé. Adrien Durand, qui à 33 ans a déjà vu un paquet de concerts dans sa vie, le constate :

    « Aujourd’hui, c’est vraiment devenu monnaie courante. Les artistes qui repostent leur concert le lendemain. Et ce n’est pas une question de genre musical. Même les métalleux le font. »

    Oui, même les métalleux.

    Selfie de No one is innocent au Stade de France, en 2015
    Signe des temps : le festival américain Pitchfork s’est allié à GoPro pour sortir une série de vidéos de captations live. Ils ont notamment sévi au Primavera Sound de Barcelone.

    L’ère du « personal branding »

    Cette performance sur-filmée et sur-partagée est irritante à plusieurs points de vue :

    L’impression d’être utilisé comme un outil de marketing, de « personal branding », par l’artiste.
    La sensation de ne pas être en dialogue avec la personne sur scène mais avec une personne tierce, une application, et que le public n’est que l’arrière-plan d’une photo destinée au reste du monde.
    Et du coup, le sentiment d’être finalement privé d’une performance complète. Où chacun serait présent. 
    Dans la même veine, on a la captation de Forever Young au concert de Beyoncé, où le public a été convié à balancer ses portables allumés en rythme pour faire une jolie image. 

    Contrairement aux manifs ou aux meetings politiques qui utilisent l’image de la foule pour faire passer un message, quand on fait la fête, on ne milite pas. On ne s’attend pas à se faire voler son image.

    Un spectateur a passé le concert d’Iggy Pop dos à la scène, à se prendre en selfie - frostygt2/imgur
    Vous allez me dire : le public l’a bien cherché. Et vous aurez raison. Nous sommes les premiers à brandir notre téléphone pendant les concerts.

    Dans un des articles de son blog, Adrien Durand, qui a conscience de « passer pour un vieux con », critique vertement le public des jeunes « défoncés à la culture Internet qui ne peuvent pas envisager regarder un concert sans passer par le prisme d’un smartphone qu’ils utilisent pour dénoncer deux minutes de queue aux WC ou un hot dog sans gluten trop tiède ».

    Profitez !

    Adrien Durand me raconte qu’à un concert, les Kings of Convenience avaient même arrêté de jouer pour demander aux gens de ne plus les filmer.

    « Certains jouent à fond le jeu de filmer et se faire filmer, et de montrer à ceux qui n’y étaient pas comme c’était cool ce concert, dans une sorte de boucle sans fin. Mais une frange des artistes refuse d’y prendre part. »

    Deux miroirs face à face au concert de Korn, à Miami : une photo du public qui photographie
    Ce n’est pas pour rien que dans plusieurs clubs, berlinois ou londoniens notamment, des affiches anti-selfies fleurissent. Ce n’est pas forcément une position technophobe. Mais ça veut dire quelque chose comme : profitez du concert, du lieu, du moment. Sinon ce n’est plus une fête.

  • Meghan Murphy : 9 choses qui font de vous une meilleure féministe | Le blog de Christine Delphy
    https://delphysyllepse.wordpress.com/2016/07/03/meghan-murphy-9-choses-qui-font-de-vous-une-meilleure-femi

    Vous vous demandez sans doute à quoi bon lire la revue Bustle ? Eh bien, simplement, pour les énumérations loufoques comme celle qu’ils ont publiée le 10 septembre, sous le titre « 9 choses qui ne font pas de vous une meilleure féministe ». Je vais vous épargner quelques minutes, que vous gaspillerez plus utilement à vous examiner les pores ou à épingler des photos de votre chat sur Instagram, en vous résumant l’essentiel de ce papier : Tout ce que vous faites est féministe et tout le monde est féministe et aussi, le féminisme est tout ce que vous dites qu’il est #amen

    Vous vous sentez mieux ? Eh bien, tant mieux. Je me meurs d’envie de découvrir leur prochaine liste-bidon : « 11 choses qui ne font pas de Marx un communiste mieux que vous. » Par exemple : Vous possédez les moyens de production ? Et alors ?! Ne laissez personne censurer votre communisme #lecommunismeestpourtoutlemonde. Vous êtes né-e bourgeois-e, mais vous vous êtes toujours senti-e de classe ouvrière à l’intérieur ? Aucun problème. Assumer une identité prolétarienne est une façon branchée de subvertir l’opposition binaire de classe.

    Mais je digresse. Le bon côté de l’énumération-bidon de Bustle est qu’elle m’a inspirée à en créer moi-même une. Voici les neuf critères réels qui font vraiment de vous LA meilleure :

    #féminisme #luttes

  • Ces 5 ados que j’ai découvert sur Instagram et ce qu’ils m’ont appris - OAI13
    http://www.oai13.com/featured/ces-5-ados-que-jai-decouvert-sur-instagram-et-ce-quils-mont-appris

    En tant que chargée de la communauté francophone sur Instagram, une grande partie de mon travail consiste à découvrir des histoires sur la plateforme, et il y a un monde qui me fascine plus que les autres : celui des ados. De 13 ans au début de la vingtaine, tout le monde veut les comprendre, les atteindre, leur parler, mais ils ont surtout une façon unique de partager leur quotidien et leur créativité. Le matin, le midi, le soir, les ados entretiennent une relation personnelle avec Instagram. Pour eux, il s’agit d’un lieu d’évasion et de découverte, une sorte de fenêtre vers leurs centres d’intérêts.

  • Des nouvelles de l’#algorithme du #news_feed de #facebook : comme d’habitude, on sait que ça change mais on ne sait pas vraiment ce qui change.

    #Facebook is making its News Feed a little bit more about your friends and a little less about publishers »
    http://www.niemanlab.org/2016/06/facebook-is-making-its-news-feed-a-little-bit-more-about-your-friends-and

    The impact will apparently be “noticeable” and “significant” but “small” and not “humongous.”

    (y) #CM via @booz

    • Let’s Overthink Facebook’s News Feed Philosophy - The Atlantic
      http://www.theatlantic.com/technology/archive/2016/07/deciphering-facebooks-news-values/489812

      Underlying this question is the conviction that the News Feed shouldn’t just entertain users, but that it should entertain them against replacement. That is, it should provide significantly more meaning and entertainment than an average piece of entertainment. (In the U.S., that means it should be more fun than, say, watching an episode of NCIS.) I’ve heard this notion in conversations with other Facebook corporate leaders; it’s sabermetrics as editorial vision, deployed at scale worldwide, and it shapes how they think about one of their most important products. It’s also, I think, a convenient out for them, a way of handling the editorial burden of having the most popular app in the world.

      #attention

    • Facebook fait la chasse aux titres « attrape-clics »
      http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2016/08/05/vous-n-allez-pas-croire-ce-que-facebook-a-encore-fait-a-son-algorithme_49789

      Le premier réseau social du monde change de nouveau d’algorithme pour rendre moins visibles les articles jugés trop accrocheurs

      Quand elle a regardé sous les coussins de son canapé et qu’elle a vu ça... J’étais CHOQUÉE ! » « Il a mis de l’ail dans ses chaussures avant d’aller se coucher et ce qui s’est passé ensuite est dur à croire. » « Le chien a aboyé sur le livreur et sa réaction est vraiment impayable. »

      Ces trois titres - fictifs - sont des exemples de ce que Facebook ne souhaite plus voir sur sa plate-forme : le réseau social les a cités, jeudi 4 août, pour expliquer son nouveau changement d’algorithme, destiné à réduire la présence de contenus « attrape-clics » (clickbait en anglais) dans les fils d’actualité des utilisateurs.

      « Ces titres omettent intentionnellement des informations cruciales, ils trompent les gens, les forçant à cliquer pour avoir la réponse », expliquent les équipes de Facebook dans un billet. Les usagers du réseau social auraient ­réclamé « des contenus avec des ­titres qui les aident à décider ­comment utiliser leur temps en ligne, sans en perdre en cliquant sur des contenus inutiles ».

      Cette décision en réjouira certains, car tout utilisateur de Facebook a eu l’occasion de s’énerver de ces contenus « viraux » aux titres accrocheurs, qui ne donnent pas l’information principale et sont souvent décevants. « Vous allez applaudir en découvrant ce que ces pompiers essayent de sauver sans relâche », promet par exemple une accroche Facebook de ­ViralNova. Il s’agit en fait d’un cheval, comprend-on quand on clique sur l’article de ce site américain spécialiste du genre, comme l’autre américain Upworthy, ou d’autres encore.

      L’impact réel de l’annonce de ­Facebook reste à déterminer. Les titres de clickbait ne recourent pas seulement à la technique du ­curiosity gap, qui consiste à faire un teasing abusif. Certains sites qui veulent « attraper les clics », comme les français Minutebuzz ou Gentside, utilisent plutôt des mots accrocheurs, des listes (« 5 choses qui... »). De plus, en réaction à la décision de Facebook, les sites de clickbait visés vont probablement changer leur façon de titrer pour contourner l’algorithme. Ce qui pourrait amoindrir l’effet recherché par le réseau social.

      Plus largement, le nouveau changement d’algorithme de Facebook est une démonstration supplémentaire de son influence sur les contenus produits par les sites. Le premier des réseaux sociaux a déjà plusieurs fois modifié son classement des posts visibles par son 1,7 milliard d’utilisateurs. En 2014, il s’était déjà attaqué aux contenus« attrape-clics » en déclassant les articles sur lesquels les internautes restaient très peu de temps après avoir cliqué.
      En juin, il a dit vouloir privi­légier les publications des par­ticuliers, amis et connaissances, par rapport aux contenus de ­personnalités ou de professionnels comme ceux des sites d’information.

      Le changement annoncé jeudi va un cran plus loin : il ne se fonde pas uniquement sur la nature de l’émetteur du contenu ou sur la façon dont ce dernier est lu, mais il s’intéresse à la syntaxe elle-même. Facebook raconte qu’une de ses équipes a examiné des « dizaines de milliers de titres »et mis de côté ceux qui semblaient omettre une information importante ou tromper le lecteur. Puis le réseau a déterminé quels sites publiaient ces contenus pour les pénaliser dans son algorithme, les rendant moins visibles.

      On pourrait imaginer des cas où une telle action de Facebook pourrait poser un problème aux médias ou à la société : par exemple si la plate-forme disqualifiait les titres avec des questions, les titres de reportage ou d’articles de magazines jugés trop elliptiques, les contenus trop anxiogènes.

      « Il nous apparaît désormais ­clairement que ce que nous faisons génère beaucoup d’anxiété. Je passe beaucoup de temps à tenter de calmer cette inquiétude », a ­reconnu Adam Mosseri, vice-président de Facebook chargé du fil d’actualité (news feed), en référence aux contacts de plus en plus nourris entre les dirigeants de la plate-forme et ceux des médias.
      Pour les sites d’information, le débat sur les bienfaits et les ­inconvénients de Facebook ­devient de plus en plus important. Les médias ont eu, en 2015, à peser s’ils souhaitaient publier des contenus directement sur la plate-forme au format Instant Articles, afin de rendre leur consultation beaucoup plus rapide sur mobile.

      D’un côté, le réseau social apporte aux journaux et télévisions de nouveaux lecteurs, souvent plus jeunes. De l’autre, il augmente leur dépendance à un canal de distribution, qui s’impose comme un moyen privilégié d’accéder à l’information et capte déjà une grande part des revenus publicitaires numériques. De plus, Facebook peut à tout moment modifier son algorithme, comme si, pour les journaux papier, les kiosques changeaient leurs règles de présentation plusieurs fois par an.

      Plutôt que de détourner les ­médias des réseaux sociaux, la nouvelle décision de Facebook va peut-être les inciter à en coloniser de nouveaux. Le site de divertissement Buzzfeed a ainsi théorisé le fait qu’en étant présent sur Instagram, Snapchat, Pinterest et Twitter, il réduisait sa dépendance à la plate-forme de Mark Zuckerberg. Une alternative pour les éditeurs en ligne consiste aussi à davantage recourir au modèle payant pour stabiliser leur lectorat.

      Les spots de publicité testés dans les vidéos « live »
      On peut désormais avoir une interruption publicitaire de quinze secondes pendant qu’on regarde une vidéo en direct sur ­Facebook. L’utilisation de l’outil « Facebook live » - qui permet de diffuser un flux d’images - donne la possibilité d’y d’insérer un spot publicitaire. Il s’agit de « mid-roll » : la publicité se ­déclenche au minimum cinq minutes après le lancement de la ­vidéo, précise le site spécialisé Ad Age dans un article du 1er août. Jusqu’ici, la vidéo en direct sur Facebook a été utilisée par des personnalités ou des médias payés par le réseau social car il n’existait pas de modèle économique stable pour les rémunérer. Les « mid-rolls » sont un test pour ce medium en forte expansion.

  • Avec cette invention, fini les smartphones pendant les concerts
    http://www.konbini.com/fr/tendances-2/yondr-smartphones-concerts-fini

    Yondr a été créé pour que les smartphones ne soient plus un problème pendant les concerts.

    Dans un monde sans smartphone, sans appareil photo ou toute sorte de gadgets capables d’immortaliser un événement, il n’y aurait plus toute cette marée de petits écrans lumineux souvent déroutante lors d’un concert. Seuls les yeux et les oreilles pourraient profiter pleinement du bon son et de la performance de l’artiste. C’est un peu l’idée lancée par Graham Dugoni, créateur de Yondr.

    Cette nouvelle invention se matérialise alors sous la forme d’une housse assez large pour y insérer son smartphone. Distribué à l’entrée d’une salle de concert à tous les spectateurs, l’étui se verrouille à peine la porte passée. Impossible donc de jeter un oeil au dernier texto reçu, d’envoyer dix snapchats à la suite ou de publier sur Instagram ou Facebook pour montrer à tous vos contacts que vous êtes bien au concert de votre artiste préféré…

    Si jamais vous avez réellement besoin d’utiliser votre téléphone il suffit de sortir de la zone concernée et l’étui se débloque instantanément. Vous sentez quand même vibrer votre portable, donc en cas d’appel insistant qui pourrait s’avérer être une urgence, il vous suffit de sortir en courant de la salle.

    “C’est impossible de vivre pleinement une expérience et de l’enregistrer en même temps”
    Pour Graham Dugoni, cette nouveauté s’inscrit dans ce besoin de revenir aux sources et de profiter comme il se doit d’un concert. Le créateur de l’invention explique alors à Mic :

    J’ai toujours pensé que c’était impossible de vivre pleinement une expérience et de le documenter/enregistrer en même temps.

    Les live shows sont envahis par une envie de partager. Mais quand les personnes essaient d’immortaliser ce moment, ils ne sont plus vraiment dedans pendant un instant (même bref) et cela altère fondamentalement l’expérience de chacun.
    C’est quand même dommage de se dire qu’on est obligé d’inventer de multiples gadgets pour que l’addiction aux smartphones ne soit pas une tare. Mais puisque des mesures drastiques semblent nécessaires, Yondr est plutôt une bonne nouvelle !

  • Obstruction parlementaire
    http://otir.net/dotclear/index.php/post/2016/06/16/Obstruction-parlementaire

    image Instagram - article de Wired

     

    Non, ça ne rentre pas dans la série des petits bonheurs, mais plutôt des choses qui semblent hallucinantes, quand on n’appartient pas à cette culture.

    Vous vous rappelez sûrement du grand classique de Mister Smith va à Washington, film culte dans lequel James Stewart incarne un jeune homme naïf, idéaliste et enthousiaste, qui croit vraiment au pouvoir de la démocratie et au rôle noble du Sénat qu’il pare de tous les honneurs alors qu’il va vite se rendre compte de la gangrène de la corruption du pouvoir. Les temps ont sûrement tellement changé depuis les années d’avant-guerre, et pourtant. La démocratie américaine est faite d’inertie absolument monumentale, les individus délégant à leurs élus - quand ils sont seulement aller voter, ce qui n’est pas très souvent le (...)

    #West_Side_Stories #Pulse_-_Orlando #Sandy_Hook_Elementary #tragédie

  • #Meghan_Murphy : 9 choses qui font de vous une meilleure féministe.

    http://tradfem.wordpress.com/2016/05/31/meghan-murphy-9-choses-qui-font-de-vous-une-meilleure-feministe


    Vous vous demandez sans doute à quoi bon lire la revue Bustle ? Eh bien, simplement, pour les énumérations loufoques comme celle qu’ils ont publiée le 10 septembre, sous le titre « 9 choses qui ne font pas de vous une meilleure féministe ». Je vais vous épargner quelques minutes, que vous gaspillerez plus utilement à vous examiner les pores ou à épingler des photos de votre chat sur Instagram, en vous résumant l’essentiel de ce papier : Tout ce que vous faites est féministe et tout le monde est féministe et aussi, le féminisme est tout ce que vous dites qu’il est #amen

    Vous vous sentez mieux ? Eh bien, tant mieux. Je me meurs d’envie de découvrir leur prochaine liste-bidon : « 11 choses qui ne font pas de Marx un communiste mieux que vous. » Par exemple : Vous possédez les moyens de production ? Et alors ?! Ne laissez personne censurer votre communisme #lecommunismeestpourtoutlemonde. Vous êtes né-e bourgeois-e, mais vous vous êtes toujours senti-e de classe ouvrière à l’intérieur ? Aucun problème. Assumer une identité prolétarienne est une façon branchée de subvertir l’opposition binaire de classe.

    Mais je digresse. Le bon côté de l’énumération-bidon de Bustle est qu’elle m’a inspirée à en créer moi-même une. Voici les neuf critères réels qui font vraiment de vous LA meilleure :

    1) Être une femme

    Vous pouvez être un super-allié des féministes même si vous êtes un homme, mais vous n’allez jamais pleinement saisir le vécu féminin.

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : http://www.feministcurrent.com/2015/09/11/9-things-that-really-do-make-you-a-better-feminist-than-everybody-e

    #Meghan_Murphy est écrivaine et journaliste indépendante, secrétaire de rédaction du soir pour le site rabble.ca, et fondatrice et directrice du site Feminist Current. Elle travaille actuellement à un livre qui invite à un retour vers un féminisme plus radical, rappelant la deuxième vague et ancré dans la sororité. Vous pouvez la suivre sur Twitter : http://twitter.com/MeghanEMurphy

    #Feminist_Current #Meghan_Murphy #Féminisme

  • MAREA: Microsoft and Facebook to build submarine cable across Atlantic : 160Tbps over 6600km

    https://blogs.technet.microsoft.com/server-cloud/2016/05/26/microsoft-and-facebook-to-build-subsea-cable-across-atlanti

    The new MAREA [Spanish for “tide”] cable will help meet the growing customer demand for high speed, reliable connections for cloud and online services for Microsoft, Facebook and their customers. The parties have cleared conditions to go “Contract-In-Force” with their plans, and construction of the cable will commence in August 2016 with completion expected in October 2017.

    [...]

    MAREA will be the highest-capacity subsea cable to ever cross the Atlantic – featuring eight finer pairs and an initial estimated design capacity of 160Tbps. The new 6,600 km submarine cable system, to be operated and managed by Telxius [part of Telefónica], will also be the first to connect the United States to southern Europe: from Virginia Beach, Virginia to Bilbao, Spain and then beyond to network hubs in Europe, Africa, the Middle East and Asia. This route is south of existing transatlantic cable systems that primarily land in the New York/New Jersey region. Being physically separate from these other cables helps ensure more resilient and reliable connections for our customers in the United States, Europe, and beyond.

    http://www.wired.com/2016/05/facebook-microsoft-laying-giant-cable-across-atlantic

    Microsoft offers Bing, Office365, and its Azure cloud services. Facebook has its social network along with Facebook Messenger, WhatsApp, and Instagram. The data moved by just a few online giants now dwarfs that of most others, so much so that, according to telecommunications research firm Telegeography, more than two thirds of the digital data moving across the Atlantic is traveling on private networks—namely networks operated by the likes of Google, Microsoft, and Facebook.

    #submarine_cable #câble_sous-marin #câbles_sous-marins
    #câble #câbles #personnellement_je_préfère_le_singulier_parce_que_plus_facile_pour_les_recherches

  • Mobilités et (R)évolutions numériques - Sciencesconf.org

    http://msfs2016.sciencesconf.org/resource/page/id/1

    Au-delà de la portabilité ou mobilité croissante des technologies de l’information et de la communication (TIC), objets connectés et dispositifs numériques de toutes sortes se diffusent dans le quotidien des individus : la multiplication dans les média spécialisés ou non de références à l’e-mobilité, au robomobile, à la ville 2.0, à l’überisation, à la géolocalisation, etc. en témoigne. Intrinsèquement, la récurrence de ces mots clés révèle une association croissante entre les technologies de(s) transports et technologies numériques. Les liens et interdépendances entre mobilités et TIC sont potentiellement multiples et laissent place à de nombreuses interrogations. Ces dernières ne sont pas nouvelles en soi et dépassent largement le cadre des déplacements (Kellerman, 2012 ; Schwanen et Kwan, 2008 ; Mokhtarian, 2002). Néanmoins, elles ne se limitent plus à des débats entre substitution ou complémentarité et sont éminemment plus complexes (Rallet et al., 2010).

    Un appel en 3 axes

    Aussi, pour cerner les liens entre technologies numériques et mobilités spatiales, 3 axes de travail sont proposés :

    1- Nos déplacements sont de plus en plus équipés, augmentés par un ensemble d’outils et de dispositifs utilisables en situation de mobilité(s), qui y participent en géolocalisant les individus, en leur permettant d’interagir directement avec leur environnement (notifications spécifiques, QR codes, datamatrix, etc). Si les technologies sont de plus en plus mobiles, elles reposent en grande partie sur un enchevêtrement de réseaux sociotechniques qui sont fixes, immobiles et parfois incompatibles. Jusqu’où les pratiques peuvent-elles être augmentées ? En quoi l’usage de technologies (dans toute la diversité du terme) contribue à changer l’expérience d’un déplacement, l’appropriation des temps qui y sont consacrés, voire leurs trajectoires géographiques et plus globalement l’orchestration du quotidien pour un individu, un ménage, une entreprise, etc. ? A l’inverse, comment la mobilité en tant que valeur omniprésente (Boltanski et Chiapello, 1999) façonne les technologies qui l’équipent ? Si ces technologies sont conçues pour être utilisées en situation de mobilité(s), le sont-elles autant que leurs concepteurs le perçoivent ? Plusieurs travaux sur les usages des TIC par les adolescents ou préadolescents ont montré à quel point la dimension personnelle et individuelle de l’outil est primordiale, plus que sa mobilité supposée. Selon les profils, cette prise en compte de la mobilité n’est pas identique et se traduit par des usages potentiellement différenciés.

    In fine, l’objectif de cet axe est de comprendre comment mobilités et TIC s’intègrent, s’équipent respectivement et intimement tant dans les pratiques des individus que dans celles des acteurs des TIC (opérateurs de téléphonie et Internet, acteurs du web du plus gros au plus petit, etc.) et de la mobilité (opérateurs de transports en commun, constructeurs de moyens de déplacement, autorités organisatrices de transports et pouvoirs publics, aménageurs et urbanistes, architectes, etc.).

    2- Dans la continuité directe du point précédent, les TIC et techniques numériques sont considérées comme de nouveaux moyens potentiels de mesures des pratiques et comportements de déplacements. Soit elles numérisent des dispositifs préexistants (Denissen et al., 2010), soit elles se basent sur d’autres sources de données à travers l’ensemble des données personnelles qu’elles récupèrent (Cardon, 2015). Big Data, géolocalisation (volontaire ou non), traces etc. sont autant de moyens potentiels pour mesurer les déplacements et leurs évolutions. Que donnent à voir ces nouveaux outils de mesure ? Quels sont leurs apports spécifiques et leurs limites ? Dans quelles mesures les méthodes digitales (Rogers, 2013) peuvent-elles être utilisées ou restent à concevoir pour cerner les pratiques de mobilité ? Comment d’autres dispositifs méthodologiques (hors entretiens ou grandes enquêtes déplacements) peuvent-ils être mobilisées ? On pense notamment aux réseaux et applications sociales (Facebook, Twitter, Instagram, Foursquare, Tindr, Grindr, etc.) qui donnent d’autres outils ou moyens pour penser, visualiser la mobilité, les façons dont elle est mise (ou non) en scène ou dont les individus se la représentent.

    La question de la mesure renvoie aussi à des problématiques plus spécifiques liées à la quantification de soi dont les usages principalement à vocation sportive sont très liés au mouvement (Pharabod et al., 2013). De même, comment rendre compte des pratiques de déplacements qui ont justement lieu sur Internet ou via des outils numériques ? A l’image de l’achat où tout en partie du processus peut être effectué en ligne (selon la matérialité du produit acheté) ou des pratiques de déambulation dans une partie de jeu vidéo, comment témoigner de formes numériques de déplacements ? A l’image de cartographies du web ou de l’analyse des flux de données, une transposabilité des outils d’analyse des mobilités spatiales vers des mondes plus numériques serait-elle à l’œuvre ?

    L’objectif sera de mettre en exergue la question des méthodes et de la prise en compte réciproque de la mobilité (ou des mobilités) et du numérique dans les études liées à l’une et/ou à l’autre. Pour aller encore plus loin, ces interrogations méthodologiques renvoient à l’inscription disciplinaire des objets étudiés. Pris en considération par des champs disciplinaires différents et qui ont donc eu des constructions potentiellement distinctes (Proulx, 2015 ; Gallez et Kaufmann, 2009 entre autres exemples), leurs frontières disciplinaires sont-elles toujours d’actualité ? Comment se déplacent-elles ? En quoi ouvrent-elles l’éventail des méthodes pour mesurer et analyser mobilité(s) et/ou usages des TIC ?

    3- Enfin, toutes les questions qui précèdent portent en filigrane le titre du présent colloque. Ce point a pour ambition de saisir l’ampleur sociale et sociétale des bouleversements.

    En quoi les mutations numériques à l’œuvre révolutionnent-elles les mobilités et leurs analyses ? Sommes-nous face à une révolution du fait d’innovations radicales ou plutôt à des évolutions incrémentales (d’où la mise entre parenthèses du r de révolution) ? En continuant, combiner mobilité et numérique contribue-t-il à l’émergence de nouvelles formes de mobilité plus numériques et renforce-t-il l’émergence d’un nouveau paradigme de la mobilité tel que John Urry le décrit (Urry, 2008, 2007 ; Sheller et Urry, 2006) ? Les technologies changent-elles l’imaginaire des mobilités (Barrère et Martuccelli, 2005), remettent-elles en cause ses propriétés, caractéristiques ou artefacts fondamentaux comme la voiture (Kaufmann et al., 2010) ? A l’inverse, en quoi les évolutions (ou révolutions) numériques sont-elles générées par les mobilités ? En termes d’imaginaire numérique ou de « mondes numériques », le tournant réaliste et la massification des usages, pour suivre D.Cardon, auraient particulièrement éloigné Internet de son imaginaire de « cyberespace » pour réinscrire les usages et les espaces dans la géographie des mobilités individuelles, et moins dans des espaces tiers, affranchis de considérations physiques et de contraintes de distance. Pour creuser plus avant cette hypothèse, comment l’imaginaire du numérique se trouve modifié, impacté par les mobilités ?

    Usages numériques et mobilités s’hybrideraient de plus en plus, les premiers devenant sans cesse plus mobiles, les seconds se numérisant (partiellement ou totalement). Cette hybridation renvoie également à la diffusion d’un idéal ubiquitaire. Mais elle interroge surtout le renouvellement et la portée sociale, voire sociétale (Licoppe, 2009) des mobilités et des technologies numériques. Comment cette hybridation s’inscrit ou contribue à la définition du rapport au temps, à l’espace, à l’autre et à soi dans nos sociétés ? Comment questionne-t-elle l’inégale distribution des capacités à être mobile ou à s’emparer des technologies de l’information et de la communication (la fracture numérique). Dans quelles mesures technologies numériques et mobilités renforcent, accélèrent, amenuisent, mettent en exergue des inégalités autant sociales (Granjon, 2011 ; Kaufmann, 2008 ; Boltanski et Chiapello, 1999) que spatiales (Beauchamps, 2012 ; Vidal, 2011) ?

    Ces trois axes ne sauraient prétendre cerner l’ensemble des discussions potentielles sur le sujet. Toute proposition s’inscrivant en dehors de ces 3 axes sera prise en compte et bienvenue.

    Comme la tradition le veut au sein du groupe MSFS et comme la thématique du colloque le supposent, ce colloque s’adresse aux chercheurs en sciences humaines et sociales des domaines de la mobilité, des transports, des technologies de l’information et de la communication. Il s’adresse notamment aux doctorants et jeunes chercheurs, dont les travaux visent à éclairer ou font échos aux thématiques du présent appel à communication. Nous appelons de nos vœux une diversité d’approches et de méthodes, d’éclairages empiriques et de réflexions théoriques, d’horizons ou/et de perspectives géographiques.

    #mobilité #déplacement #circulation

  • 5月18日のツイート
    http://twilog.org/ChikuwaQ/date-160518

    Top story: Iran Arrests 8 Instagram Models, Says Kim Kardashian is a Secret Age… petapixel.com/2016/05/17/ira…, see more tweetedtimes.com/ChikuwaQ?s=tnp posted at 10:24:50

    Papier is out! paper.li/ChikuwaQ/13277… Stories via @AnnieHaize @mkpdavies @thomasmurphy__ posted at 09:13:40

    家ゃでー blog.goo.ne.jp/kuru0214/e/5c3… posted at 08:38:59

    twitter.com/karayaslihan/s… posted at 01:18:58

    RT @nao_act: 怒りのブログを更新しました。blogoodbye.jugem.jp/?eid=53 posted at 01:06:23

    RT @EmilieTWD: Makiko Futaki, technicienne d’animation au Studio Ghibli, est décédée www.actualitte.com/article/bd-man… pic.twitter.com/LoMvkNG6Pp posted at 01:00:54

    ????? pic.twitter.com/yuz7ZDqv89

    posted at 01:00:18

    Exactly. twitter.com/9000x/status/7… posted at (...)

  • Pentagon Turns to #Silicon_Valley for Edge in Artificial Intelligence
    http://www.nytimes.com/2016/05/12/technology/artificial-intelligence-as-the-pentagons-latest-weapon.html

    On Wednesday, Secretary of Defense Ashton B. Carter made his fourth trip to the tech industry’s heartland since being named to his post last year. Before that, it had been 20 years since a defense secretary had visited the area, he noted in a speech at a Defense Department research facility near Google’s headquarters.

    #Pentagone #IA

  • The CIA Is Investing in Firms That Mine Your Tweets and Instagram Photos
    https://theintercept.com/2016/04/14/in-undisclosed-cia-investments-social-media-mining-looms-large

    SOFT ROBOTS THAT can grasp delicate objects, computer algorithms designed to spot an “insider threat,” and artificial intelligence that will sift through large data sets — these are just a few of the technologies being pursued by companies with investment from In-Q-Tel, the CIA’s venture capital firm, according to a document obtained by The Intercept. Yet among the 38 previously undisclosed companies receiving In-Q-Tel funding, the research focus that stands out is social media mining and (...)

    #CIA #algorithme #écoutes #surveillance #Dataminr #In-Q-Tel #Geofeedia #PATHAR #TransVoyant #Instagram #Twitter (...)

    ##Facebook

  • Is Mainstream Feminism Bad for Women’s Rights? - Broadly
    https://broadly.vice.com/en_us/article/is-mainstream-feminism-bad-for-womens-rights

    Over the past few years, feminism has gone from a dirty word to... a slightly less dirty one, at least. The majority of people still don’t identify as feminists, but a number of high-profile celebrities do, and gender equality is a popular enough cause to become the subject of advertisements like Verizon’s 2014 “Inspire her Mind” commercial.

    There’s a dark side to feminism’s growing mainstream visibility, though: To gain acceptance, the movement has had to make itself palatable within a capitalist, patriarchal culture.

    It’s this double-edged sword of “marketplace feminism” that Bitch Media co-founder Andi Zeisler examines in her new book WE WERE FEMINISTS ONCE: From Riot Grrrl to CoverGirl©, the Buying and Selling of a Political Movement, out from PublicAffairs on May 5. As celebrities and brands profit off championing women’s liberation, Zeisler argues, they water it down, sometimes to the point that the movement is barely recognizable as feminism. While Instagram stars take nude selfies in the name of empowerment and celebrities show off their “squads” as symbols of female solidarity, reproductive rights are under attack, economic inequality persists, and women throughout the world live in danger of sexual violence.

    #féminisme

  • Un hackeur de 10 ans pirate Instagram, se dénonce et s’achète un vélo avec la récompense

    http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2016/05/04/un-hackeur-de-10-ans-pirate-instagram-se-denonce-et-sachete-

    L’histoire a été racontée par le journal finlandais Iltalehti, puis largement relayée par la presse mondiale, après que Forbes (qui possède visiblement dans sa rédaction un journaliste qui parle finnois) l’eut repérée. Un garçon de 10 ans du nom de Jani est devenu le plus jeune récipiendaire du « Bounty Program » de Facebook, un système qui « récompense » financièrement toute personne signalant discrètement une vulnérabilité informatique sérieuse et vérifiée.

    Le jeune Finlandais a découvert une faille qui lui permettait d’effacer n’importe quel commentaire sur Instagram. Dans le jargon, on appelle ça une « vulnérabilité zero day » : une faille logicielle qui n’a pas encore été découverte par le fabriquant.

    Un porte-parole de Facebook a confirmé la version du jeune hackeur, et le montant de la « récompense » donnée en mars.

    Facebook dit avoir « récompensé » près de huit cents personnes lui ayant signalé des bugs informatiques avant de les exploiter, pour un montant cumulé de 4,3 millions de dollars. Le montant de « récompense » dépasse rarement les 20 000 dollars, et est déterminé en fonction de la dangerosité de la faille, et non de sa complexité. Jani en a visiblement trouvé une assez importante. Avec ses 10 000 euros d’argent de poche empochés, il prévoit de s’acheter un vélo et un ballon de football.