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  • Japon : Carlos Ghosn derrière les barreaux jusqu’au 1er janvier au moins
    https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/automobile/japon-carlos-ghosn-derriere-les-barreaux-jusqu-au-1er-janvier-au-moins-802

    Le PDG de Renault et ex-patron de l’Alliance Renault-Nissan, Carlos Ghosn, passera Noël et le réveillon derrière les barreaux, la justice japonaise ayant décidé dimanche de prolonger sa garde à vue jusqu’au 1er janvier.

    Le PDG de Renault et ex-patron de l’Alliance Renault-Nissan, Carlos Ghosn, passera Noël et le réveillon derrière les barreaux, la justice japonaise ayant décidé dimanche de prolonger sa garde à vue jusqu’au 1er janvier.

    Cette décision judiciaire est le dernier développement en date dans la saga qui passionne le Japon et le monde des affaires depuis que ce titan du monde de l’autombile a été arrêté soudainement le 19 novembre à Tokyo à l’arrivée de son jet privé.

    « Aujourd’hui, la décision a été prise de maintenir (M. Ghosn) en détention. La garde à vue viendra à expiration le 1er janvier », a dit le tribunal du district de Tokyo dans un communiqué.

    Ce jugement ne signifie pas que l’ancien patron de Nissan sera libéré au Nouvel An, le parquet pouvant requérir à cette date que sa garde à vue soit prolongée de 10 jours supplémentaires pour les besoins de l’enquête.

    soit 43 jours, de GàV, plus 10 si affinités,…
    la France battue à plates coutures, la durée étant de 24h reconductibles par tranche de 24h avec un maximum de 144h, soit 6 jours, pour les affaires de terrorisme.

    Ce qui est plus que sûr, en revanche, c’est que C. Ghosn n’aura qu’une envie à sa sortie, lesté d’une probable interdiction de quitter le territoire, c’est de mettre les bouts…

  • Japon  : inquiétudes sur les cuves des réacteurs

    http://www.lemonde.fr/energies/article/2016/09/06/japon-inquietudes-sur-les-cuves-des-reacteurs_4993351_1653054.html

    Le 5 septembre, la compagnie d’électricité du Kyushu (Kyuden) a refusé d’arrêter les deux réacteurs de la centrale de Sendai, dans le département de Kagoshima (sud-ouest). L’arrêt de ces premières tranches, relancées en 2015 après la catastrophe de Fukushima de 2011, avait été demandé le 26 août par le gouverneur de Kagoshima, Satoshi Mitazono. Elu en juillet, ce dernier avait promis d’obtenir de nouvelles vérifications des éléments les plus importants des deux réacteurs.

    Reflétant les craintes de ses administrés, le gouverneur appuyait sa demande sur les puissants séismes d’avril dans le département voisin de Kumamoto. La centrale de Sendai a obtenu l’autorisation de redémarrer notamment parce qu’elle n’a pas été construite à la verticale d’une faille active. Mais elle se trouve proche de plusieurs zones de failles, Ichiki au sud, Koshiki à l’ouest et surtout Izumi au nord, la plus à même de provoquer de puissants tremblements de terre. M. Mitazono s’est dit prêt à reformuler sa demande. « Je souhaite que vous cessiez de croire en l’infaillibilité de la sûreté des centrales nucléaires », a-t-il déclaré au président de Kyuden, Michiaki Uriu.

    Demande de transparence

    S’il effectuait une nouvelle requête, M. Mitazono pourrait soulever le problème de la conception des fonds de cuve et des couvercles des réacteurs. Selon les rapports remis le 2 septembre par les compagnies d’électricité à l’Autorité de régulation du nucléaire (ARN), des éléments des cuves de 13 réacteurs – dont ceux de Sendai – ont été produits par une société impliquée dans les difficultés de l’EPR de Flamanville en France : Japan Casting & Forging Corporation. Celle-ci a fourni, avec l’industriel français Creusot Forge, des pièces d’acier à l’EPR de Flamanville. Or, en avril 2015, le gérant du chantier Areva avait signalé à l’Autorité de sûreté du nucléaire des « anomalies de la composition de l’acier dans certaines zones du couvercle et du fond de la cuve » de ce réacteur.

    Après la découverte des anomalies de la cuve de Flamanville, l’ARN avait demandé aux compagnies japonaises de dévoiler les noms des entreprises ayant produit les éléments importants de leurs réacteurs. Parmi les treize tranches équipées par JCFC figurent également deux de Fukushima Daini, une installation située à 12 km au sud de la centrale au cœur de la catastrophe de 2011. Les compagnies ont jusqu’au 31 octobre pour effectuer les contrôles de sécurité de ces éléments.

    « Passivité »

    La question nucléaire divise également le département de Niigata (nord). Le 3 septembre, un rassemblement était organisé pour appeler le gouverneur Hirohiko Izumida à revenir sur sa décision de ne pas se présenter pour un quatrième mandat lors du scrutin du 16 octobre.
    M. Izumida est populaire au sein du mouvement hostile au nucléaire car il bloque la relance des sept réacteurs de la centrale de Kashiwazaki-Kariwa, propriété de la Compagnie d’électricité de Tokyo (Tepco), par ailleurs responsable de Fukushima. M. Izumida, ancien haut fonctionnaire du ministère de l’économie, du commerce et de l’industrie, justifiait en 2015 son opposition en reprochant à la compagnie de « faire preuve de passivité dans l’enquête sur les causes de la catastrophe de Fukushima ».

    Ces développements interviennent alors que, selon un calcul de l’agence de presse Jiji dévoilé le 31 août, le gouvernement avait déjà dépensé, fin mars 2015, 4 200 milliards de yens (36 milliards d’euros) pour les opérations liées à la catastrophe de Fukushima. Tepco lui a demandé fin juillet une nouvelle aide de 1 000 milliards de yens (8,6 milliards d’euros) pour le démantèlement du site.

    Malgré cela, le Japon souhaite toujours porter la part du nucléaire dans le bouquet énergétique à 22 %, contre 28 % avant Fukushima. Seuls trois de ses quarante-deux réacteurs produisent aujourd’hui de l’électricité.

  • 2 ans de prison pour des #armes à feu imprimées en #3D

    Au #Japon, un homme de 28 ans a été condamné à deux ans de #prison par le tribunal de Yokohama pour avoir conçu des armes à feu avec une #imprimante 3D. Selon l’agence de presse nipponne Jiji, l’accusé a usiné suffisamment de pièces pour obtenir deux #pistolets. D’autres ont été produits, mais seuls ces deux-là sont capables de faire feu, d’après la chaîne de télévision publique japonaise NHK.

    http://www.numerama.com/magazine/31006-2-ans-de-prison-pour-des-armes-a-feu-imprimees-en-3d.html

  • Le ministre japonais du commerce démissionne après une semaine de fonction - LeMonde.fr – #fukushima #nucléaire #japon
    http://www.lemonde.fr/japon/article/2011/09/10/le-ministre-japonais-du-commerce-demissionne-apres-une-semaine-de-fonction_1

    Yoshio Hachiro, le nouveau ministre japonais du commerce officiellement nommé à son poste le 2 septembre par le premier ministre Yoshihiko Noda, a présenté samedi 10 septembre sa démission, après le tollé suscité par une plaisanterie à propos de la radioactivité autour de la centrale de Fukushima.

    L’agence de presse japonaise Jiji rapporte qu’après avoir visité le site, le ministre Hachiro a fait mine de frotter son costume à celui d’un journaliste tout en lui disant : « je vais vous contaminer ».