company:kaláshnikov

  • Malgré la situation du Venezuela, les travaux de l’usine de fabrication de Kalachnikov avancent bien. Quelques vols, quelques retards, mais livraison prévue dans les temps.

    Rusia destaca avance en las obras de la fábrica de Kaláshnikov en Venezuela
    http://www.el-nacional.com/noticias/mundo/rusia-destaca-avance-las-obras-fabrica-kalashnikov-venezuela_286521


    Rostec

    "Continuamos cumpliendo el contrato. Tenemos una tendencia de trabajo, cumplimos los planes acordados con la parte venezolana", dijo el director general Rosoboronexport, Alexandr Mijéev

    Venezuela cumple todos los compromisos asumidos con la construcción de la fábrica de rifles Kaláshnikov en este país, lo que permitirá entregarla en el tiempo previsto, declaró hoy el director general de la entidad exportadora de armas rusa, Rosoboronexport, Alexandr Mijéev.

  • L’histoire vraie de Varg #Vikernes, le « #neo-nazi » arrêté l’autre jour, et vieille figure tutélaire du Black Metal scandinave, par François Vesin :

    http://www.slate.fr/story/75476/burzum-varg-vikernes

    L’article revient sur son inspiration païenne et antichrétienne plus que sataniste :

    Du pain bénit pour les journalistes qui écriront plus tard à son sujet. Seulement voilà, Kristian a une grille de lecture plutôt originale de la géopolitique de la Terre du Milieu. Pour lui, hobbits, elfes et nains incarnent le rouleau compresseur de la chrétienté à l’origine de la destruction des pratiques ancestrales païennes, alors que les armées de Sauron sont en fait les good guys, de valeureux Vikings qui ne cherchent qu’à défendre et étendre leur territoire.

    En toute logique, Kristian renomme son premier groupe, Kalashnikov, en Uruk-Hai (une race d’orques guerriers dans le Seigneur des Anneaux), avec des paroles aussi inteligentes que « Uruk-Hai / You will die ! ». Rebaptisé Varg (« loup » en norvégien) pour l’occasion, il rejoint Old Funeral, formé par les futurs membre de Immortal.

    Mais voilà, le death metal bas du front et plein de clichés, Varg Vikernes, 18 ans à peine, l’exècre. Les clubs technos de Bergen l’intéressent bien plus que les vestes à patchs. Sobre, il se met à rôder silencieusement dans ces lieux pour s’imprégner des vibrations et de la puissance froide et répétitive de la musique électronique.

    Et raconte sa #musique, le meutre d’Euronymous et sa postérité gênante pour la scène #Black-Metal.