company:la dépêche

  • cvuh : Quand le conseil départemental du Tarn se fait l’hagiographe de F. Mitterrand
    https://cvuh.blogspot.ch/2016/12/quand-le-conseil-departemental-du-tarn.html

    Le saviez-vous ? François Mitterrand est venu dans le Tarn au moins à quatre reprises : à l’occasion des élections cantonales de 1979, en 1980, au début de sa campagne présidentielle, en 1982 et de nouveau en 1992. Il n’en fallait pas plus pour justifier l’édition d’une brochure de 36 pages sur papier glacé intitulée « Mitterrand dans les pas de Jaurès ». Ces 36 pages sont éditées par le journal La Dépêche du Midi, et reprennent le contenu d’une exposition réalisée par les archives départementales et l’institut François Mitterrand.
    Jean Jaurès vous le connaissez, c’est l’homme assassiné pour ses idées en 1914, ce qui est tout de même « relativement stupide et bête », pour reprendre les propos de Thierry Carcenac, président socialiste du Conseil départemental du Tarn à propos de la mort de Rémi Fraisse en octobre 2014. Quant à François Mitterrand, c’est celui qui est mort dans son lit après avoir trahi les siennes et les siens.

    #histoire #historiographie

  • La Dépêche, les Baylet, la #démocratie : qui veut de la soupe ? - IAATA
    https://iaata.info/La-Depeche-les-Baylet-la-democratie-qui-veut-de-la-soupe-1641.html

    La Dépêche et le Conseil Général du Tarn-et-Garonne sont ainsi dirigés par un demi-siècle d’#oligarchie. Et la transmission se poursuit. Après être passé chez les croque-morts de Natixis et le pharmaceutique Fabre actionnaire du groupe, Jean-Nicolas Baylet a été nommé par papa directeur général adjoint de La Dépêche, soit numéro trois à 29 ans. Son frère, Jean-Benoît a été désigné par papa directeur délégué du groupe. Leur sœur Victoria a été placée par papa au poste de secrétaire générale de la fondation La Dépêche, dirigée par sa maman. Si les petits derniers accèdent au Conseil Général, à la tête du parti radical de gauche (PRG) ou de la mairie de Valence d’Agen, peut-être pourra-t-on commencer à s’interroger sur la pertinence d’organiser des élections dans le département.

    Tout cela n’est que la face immergée d’un système familial basé sur le #clientélisme, qui a toujours usé du pouvoir lié à un journal hégémonique dans le Tarn-et-Garonne, à Toulouse et désormais dans toute la région. La dépêche est un instrument #politique au service des Baylet et des Radicaux pour faire mousser leur action, combattre leurs adversaires et comme moyen de pression sur les pouvoirs locaux ou... nationaux. En effet, le PRG est désormais le seul allié du gouvernement Hollande, qui doit apprécier le #monopole médiatique construit par Baylet dans le Sud-Ouest, et acquis à sa cause.

    L’empire médiatique

    Toute la presse du Languedoc-Roussillon et de Midi-Pyrénées leur appartient. Ou quasiment. Déjà propriétaires d’un groupe tentaculaire, les Baylet viennent de se payer le groupe Midi libre, ennemi de toujours. Certains départements comme l’Aveyron et l’Aude n’ont plus le choix qu’entre des titres de #presse sous leur contrôle. Le #pluralisme versant Radical est une serpillière sur laquelle on s’essuie les pieds avec allégresse. Jean-Michel le clame haut et fort : « C’est une très grande fierté pour moi, c’est même le combat de ma vie. Ça fait longtemps que je sais que l’avenir de La Dépêche et de Midi Libre sont liés ». Fier d’avoir éliminé toute la #concurrence, d’avoir supprimé toute illusion de pluralisme. Terminé les lignes éditoriales différentes, si légères soient-elles. Toute la presse régionale est désormais à leur service.

  • Jean-Michel Baylet : ministre, patron de presse et « créateur d’événements »

    Jean-Michel Baylet, nouveau ministre de l’aménagement du territoire, de la ruralité et des collectivités territoriales, est patron des Radicaux de gauche... mais pas seulement :

    « Il est également actionnaire majoritaire, avec sa famille, des Journaux du Midi depuis juin 2015, et du groupe La Dépêche du Midi depuis 1977 via la holding Occitane de Communication. Il possède également La Nouvelle-République, Le Petit Bleu, L’Indépendant (sic) et Centre-Presse. Soit tout de même le 4e groupe de presse quotidienne régionale en France. patron de la Dépêche du Midi et du Midi Libre, »

    (Luc Vinogradoff)
    http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2016/02/12/jean-michel-baylet-encense-par-ses-propres-journaux

    >>> Ministre, Jean-Michel Baylet peut-il rester patron de presse ? par Fabrice Valéry
    http://france3-regions.blog.francetvinfo.fr/medias-midi-pyrenees/2016/02/12/ministre-jean-michel-baylet-peut-il-rester-patron-

    "Les journaux de Jean-Michel Baylet sont aussi en lien avec les collectivités locales, dont le ministre Jean-Michel Baylet a désormais la charge. Contrats publicitaires, annonces légales ou événements. Mais le groupe La Dépêche du Midi ce n’est pas que des journaux.

    Comme beaucoup de groupe de presse ces dernières années, il s’est diversifié pour élargir ses sources de revenus. La Dépêche Events, notamment, est un « créateur d’événements » ou un gestionnaire de lieux publics. La société était notamment candidate à la gestion du futur Parc des expos géant de Toulouse. Mais l’ancien maire PS Pierre Cohen l’avait attribué à un concurrent, GL Events, ce qui avait suscité à l’époque la colère de Jean-Michel Baylet."

    Flagorneries médiatiques

    Comme le rappelait ce matin Nicolas Martin dans sa revue de presse « A n’y rien comprendre », Jean-Michel Baylet a senti les doux vents de l’encensoir lâchés par Jean-Claude Souléry de la Dépêche et Jean-Michel Servant du Midi Libre. Mais quel mal y a-t-il à se faire faire du bien ?

    « La nouvelle équipe répond clairement à deux exigences : apporter une meilleure cohérence à l’action gouvernementale (…) et façonner une équipe de combat alliant la jeunesse à l’expérience » écrit Jean-Claude SOULERY dans la Dépêche

    « Un casting sur mesure qui semble mettre le chef de l’Etat à l’abri des chicaneries médiatiques et d’une démission intempestive » pour Jean-Michel SERVANT du Midi Libre

    >>> A n’y plus rien comprendre , La Revue de presse de Nicolas Martin
    http://www.franceculture.fr/emissions/la-revue-de-presse-de-nicolas-martin/ny-plus-rien-comprendre

    >>> Dernière séquence . L’édito du jour de Jean-Claude Souléry - 12/02/2016
    http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/12/2275764-derniere-sequence.html

    #Jean-Michel_Baylet #Radicaux_de_gauche #Jean-Claude_Souléry #Jean-Michel_servant #Midi_libre #Dépêche_du_Midi #Nicolas_Martin #Luc_Vinogradoff Fabrice_Valéry #médias #gouvernement_hollande

  • Du lait pour les enfants Syriens réfugiés à #Toulouse
    http://www.cntaittoulouse.lautre.net/spip.php?article772&artpage=3-3#outil_sommaire_2

    Août 2015 - Nous apprenons, bien tardivement, que des réfugiés Syriens se logeraient dans le quartier des Izards à Toulouse et qu’ils y survivraient péniblement. « Nous », à ce moment là, nous sommes dans notre camping militant, et c’est une copine qui apporte l’info. Elle l’a vue dans le journal local, La Dépêche.

    Après discussion, nous décidons d’aller à leur recherche dès que possible. Le 17 août nous parvenons à rencontrer R, un Syrien connaissant le français ainsi que quelques autres. Ils sont 42 familles à vivre dans une HLM, vouée à la démolition. Ils sont originaires, pour la plupart, de Homs, une ville complètement détruite par les bombardements.

    Ils nous racontent qu’au mois de juin, ils ont résisté à une tentative d’expulsion par des services rattachés ou proches de la mairie de Toulouse qui leur ont, au passage, coupé l’électricité. Maintenant, la nourriture vient à manquer. Quelque paquets de pâtes, voila leur maigres ressources, stockées dans leur local collectif. Et ils se trouvent seuls, bien seuls… les quelques aides qu’ils ont reçues ont été ponctuelles, leurs autres démarches n’ont pas abouti.

    Le samedi suivant, R. vient au local préciser la situation et surtout les besoins, nous réfléchissons ensemble. N’étant pas « spécialistes » de l’humanitaire, nous nous tournons « naturellement » vers des grandes associations connues de tous. Des compagnons de la #CNT-AIT appellent la Croix rouge, le Secours catholique… sans grand succès. Le Secours populaire nous demande de leur faire une liste des familles. On n’a pas encore tenté les restos du cœur. Le 24 août, nous y accompagnons 3 Syriens. Après avoir inspecté leurs papiers en long, en large et en travers, on leur répond tout bonnement qu’on ne peut rien pour eux, qu’ils ne sont pas inscrits, qu’ils ne dépendent pas de leur secteur,... Finalement, ils proposent un maigre colis d’urgence à chacun des 3 présents seulement, donc rien pour leurs enfants et conjoints restés à la maison et ce malgré notre insistance.

    Nous comprenons que ni les institutions associatives ni les services sociaux de l’Etat ne vont se bouger. Et nous, moralement, nous ne pouvons pas rester sans rien faire. Nos moyens humains et matériels ne nous permettent pas de faire tout ce qu’il faudrait. Nous décidons de centrer notre aide sur les enfants. Le 29 août, nous leur apportons une centaine de litres de lait et nous lançons une campagne avec le communiqué suivant  :

    «  Une quarantaine de familles de réfugiés Syriens sont arrivées à Toulouse. Elles se sont logées dans le quartier des Izards dans des HLM désaffectés, voués à la démolition. Il y a actuellement une soixantaine d’enfants et 6 bébés qui vivent là dans la plus grande précarité. Cette situation est la conséquence d’une crise humanitaire mondiale dont ces familles sont les premières victimes. A notre très modeste niveau, face à l’incurie des pouvoirs publics et à la mollesse des structures sociales (qui ont distribué quelques paquets de pâtes à ce jour), nous anarchosyndicalistes, avons commencé à organiser une solidarité concrète. La première urgence est alimentaire. Les enfants sont les premières victimes de la situation. C’est pourquoi nous avons commencé l’opération : «  Du lait pour les enfants Syriens réfugiés à Toulouse  ». Tous ceux qui veulent s’associer à cette démarche sont les bienvenus.  » http://seenthis.net/messages/403343

    Le 31 août, nous allons au Secours populaire avec la fameuse liste demandée (les familles étant d’accord), on nous affirme déjà les connaître, pour leur avoir fourni des bouteilles d’eau et des couvertures au mois de juin.

    De notre côté, les collectes commencent, la solidarité directe est là et ce sont des amis, bien sûr, mais aussi et surtout des gens ordinaires, des « vrais gens » (comme disent les « politiques ») qui répondent à cet appel en apportant leurs dons.

    Les 4, 5 et 6 septembre, nous livrons ce que nous avons collecté. Beaucoup de personnes leur apportent également directement des denrées alimentaires, des vêtements, des jouets et autres.

    D’autres collectes suivront les 8 et 9 septembre, dont une à la Fac du Mirail. Le soir même, nous ramenons une camionnette pleine de denrées alimentaires. Nous apprenons à notre arrivée, que le Secours populaire a finalement livré, pour la première fois, pas moins de 2,5 tonnes de nourriture aux familles. Bravo et tant mieux.

    En discutant avec les Syriens, nous apprenons que certaines familles ont reçu des avis d’expulsion, mais que ne sachant pas lire le français, elles avaient pensé que l’huissier, avec son caractère «  officiel », était venu pour les aider…

    Cynisme des politiciens, les premiers avis d’expulsion tombent le 3 septembre, le jour même où la photo du petit Aylan faisait le tour du monde et touchait le cœur de millions de gens. Manifestement, à Toulouse, les responsables politiques n’ont pas la même sensibilité que le reste de la planète…

    Début, alors, d’une bataille juridique, premier appel à la mobilisation pour défendre le droit de ces familles à vivre dignement dans l’immeuble qu’elles habitent jusqu’à ce que les institutions leur trouvent mieux. Premier procès le 11. Leur avocate, réussit à obtenir un report au 09 octobre. D’autre procès sont prévus le 18 et le 25 septembre pour d’autres familles. D’autres avis d’expulsion sont annoncés pour les autres… Après avoir fui la guerre, traversé les frontières au péril de leur vie et trouvé enfin un peu de répit dans cet immeuble désaffecté, voila que les pouvoirs publics s’acharnent à les menacer d’expulsion, à vouloir les jeter à la rue. Cette menace ne peut plus durer. Nous interpellons, par courriel, F. BIASSOTO adjoint au maire et président d’#Habitat_Toulouse (propriétaire de l’immeuble) le 10 sept. en ce sens. Nous demandons une annulation de ces procédures d’expulsion honteuses et inhumaines (comme pour toutes les expulsions locatives d’ailleurs). Nous ne lâcherons pas. Nous savons que beaucoup, vraiment beaucoup de personnes, à Toulouse, s’indignent de cette menace.

    Avec la nourriture et le logement, la «  chaleur humaine  » est capitale. Ce samedi 12 sept., nous avons organisé un goûter solidaire pour et avec les enfants Syriens. Une occasion de rencontrer les réfugiés, d’échanger avec eux pour tous ceux, nombreux, qui ont répondu présents, en participant à l’organisation, en apportant des gâteaux maison, des denrées alimentaires, des vêtements, des livres sur lesquels se sont jetés les enfants, ou tout simplement en passant un moment « ensemble ». Toutes et tous nous avons eu un bel après-midi, certains ont fait part de leur envie de s’investir dans le soutien en passant régulièrement sur le lieu, en donnant des cours d’alphabétisation et de français, d’autres réfléchissent à comment accueillir de futurs réfugiés. Nous avons abordé collectivement le problème des expulsions et l’importance de rester mobilisés, solidaires et vigilants à ce sujet.

    Il reste beaucoup à faire, toujours sur le plan alimentaire, toujours sur le plan du logement, mais aussi pour la scolarisation des enfants (les inscriptions en primaire devraient être finalisées ce lundi mais nous n’avons pas à ce jour connaissance d’avancées concernant les collèges) sans parler des « papiers » pour lesquels des démarches sont en cours dans la jungle administrative !

    La campagne de solidarité continue donc et continuera tant quelle sera nécessaire…

    Pour prendre contact et participer à la campagne courriel  : dulaitpourlesenfantssyriens@hotmail.com
    Pour être informé au jour le jour : https://www.facebook.com/Cnt-ait-toulouse-officiel-186830011469841/timeline (points de collecte, concerts de soutien...) ... et sur Seenthis : #dulaitpourlesenfantssyriens
    Pour soutien financier : chèques à l’ordre de CNT (7 rue St Rémésy Toulouse) en mentionnant «  Du lait pour les enfants Syriens »

    @anarchosyndicalisme ! n°146

  • Ladépêche.fr, un succès en trompe l’œil, Par Franck Bousquet | Mondes sociaux http://sms.hypotheses.org/2151

    Le Groupe La Dépêche comprend :

    – Des quotidiens : La Dépêche du Midi (17 éditions locales, dont 4 toulousaines), La Nouvelle République des Pyrénées, Le Petit Bleu du Lot-et-Garonne
    – Des hebdomadaires : Midi Olympique, Le Villefranchois, La Gazette du Comminges, La Gazette de Montpellier (33% du capital), La Gazette de Nîmes (33%), MPS (lettre d’informations économiques, désormais seulement en ligne)
    – Un mensuel : Toulouse Mag
    – Des journaux ou des sites d’annonces (certains sont en sommeil) : Publi Toulouse, Publi Bigourdan, Publi Lannemezan, Publi Immo Haute-Garonne, Publi Immo Catalogne et Aveyron Immo
    – UGH : hebdo urbain gratuit
    – Une télévision locale : TLT -TéléToulouse- (22, 6% du capital)
    – Un éditeur de sites web : La Dépêche Interactive
    – Une agence de presse (Ladépêche News ) travaillant pour les journaux télévisés de TF1 et de LCI
    – Des agences de communication : L’Occitane de Publicité (également régie publicitaire), Dépêche Events, Ovalie Communication (spécialisée dans les évènements et la communication liés au rugby et régie publicitaire du Midi-Olympique)
    – Une imprimerie (L’Occitane d’Imprimerie), une agence de voyage (Compagnie Méridionale Voyages Tourisme.

    #médias #presse #sites_de_presse via @opironet

  • Aaaaaaarrrhhhh !!!!!!
    Un enfant battu par des agents de sécurité pour avoir volé un Kinder | Big Browser
    http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2012/09/13/gourmandise-un-enfant-battu-par-des-agents-de-securite-pour-

    Un garçon de 12 ans s’est vu infliger une sévère correction par deux agents de sécurité d’un supermarché toulousain. Son crime ? Avoir tenté de dérober un paquet de Kinder Bueno. Pensant se faire simplement réprimander, l’enfant est conduit par les deux hommes dans la salle de repos du magasin où il est littéralement passé à tabac. « Il essuie des coups de poing, il est violemment projeté contre un mur mais aussi étranglé sur une table. La scène est très longue. Quatre minutes d’acharnement pour une barre chocolatée », rapporte le journal La Dépêche.

    En état de choc et meurtri, l’enfant rentre chez lui et l’affaire est passée sous silence pendant plusieurs mois. Jusqu’à ce que la famille de la jeune victime décide, récemment, de porter plainte auprès du commissariat du quartier du Mirail.

    La preuve de l’incident a été apportée par l’enregistrement de la vidéosurveillance qu’un employé du supermarché, outré, a remis aux enquêteurs. Accablés par les images, les deux hommes de 43 et 45 ans, ont immédiatement reconnu les faits. Interrogés sur la raison de leurs gestes démesurés, ils ont expliqué avoir perdu leur sang-froid à cause des trop nombreux vols à l’étalage auxquels ils sont confrontés chaque jour.

    #je_sais_pas_quoi_dire

    • Ah tiens tiens, Toulouse ! Petit réglement de compte en vue :) L’année dernière, le Casino des Arènes (dans lequel je laissais régulièrement mes sous) m’appelle pour me dire qu’un des 4 enfants (entre 9 et 14 ans) que j’ai envoyé faire des courses a volé dans le magasin, qu’ils retiennent les gamins et qu’ils vont appeler la police si je ne viens pas immédiatement avec mon passeport.
      J’y suis 2mn après, la plus petite est en larmes, j’essaie de relativiser pour la consoler, mais je n’ai pas la présence d’esprit de demander ce qui s’est réellement passé, ils me pourrissent de leur morale sur les enfants qui deviennent délinquants photocopient mes papiers et je dois signer des trucs sans aucun reçu en échange.
      On passe en caisse les enfants et moi pour payer les courses qu’ils ont faites, à la sortie du magasin, j’apprends ce qui nous vaut tout ce cirque mortifère : la môme a gouté un bout de saucisson qu’elle a reposé après !!
      Je lui ai conseillé de braquer une banque la prochaine fois, ça lui fera moins mal et ça rapportera plus.