company:libération

  • Suicide d’Arnaud Dubus, correspondant à Bangkok, symptôme d’une profession à l’agonie
    https://blogs.mediapart.fr/laure-siegel/blog/240519/suicide-darnaud-dubus-correspondant-bangkok-symptome-dune-profession

    Je relaie cette tribune de la branche thaïlandaise de l’Union de la presse francophone (UPF), qui vient de perdre un de ses piliers, miné par la précarité du métier. L’ensemble de ses collègues et amis s’associe à la peine de sa famille et espère que sa contribution inestimable au journalisme en Asie du sud-est ne sera pas oubliée. Source : Notes de terrain

    • Rien ne saurait expliquer la douleur d’Arnaud et son geste, mais il serait lâche de feindre d’ignorer combien la #précarité de la dernière décennie de sa carrière a contribué à son mal-être. Ce reporter passionné qui pigea longtemps pour des #médias établis comme Libération, Le Temps, Radio France et RFI, avait dû mettre fin à son activité l’année dernière, faute de pouvoir en vivre.

      Pourtant, des Khmers Rouges aux Chemises Jaunes thaïlandaises, des scandales de corruption en Malaisie au rôle des moines bouddhistes en politique, il avait écrit avec une impeccable justesse d’analyse sur tous les grands dossiers de la région. Pour le dire simplement, Arnaud Dubus était considéré comme l’une des meilleures plumes francophones sur l’Asie du Sud Est. Ses propositions d’articles restaient néanmoins souvent sans suite et il nous avait confié qu’à Paris, dans certaines rédactions, on snobait un peu cet exilé aux allures de jeune homme timide - et qui ne la ramenait pas : l’Extrême Orient, quand il ne s’agit ni du Japon, ni de la Chine, n’intéresse pas grand monde.

      Survivant tant bien que mal à la fameuse crise de la presse écrite, il voyait depuis des années ses revenus diminuer, sans oser se plaindre : trop modeste, trop isolé des rédactions pour trouver une oreille attentive, trop humilié de ce déclassement de milieu de vie. Le journal Libération lui avait, il y a quelques temps supprimé son abonnement internet : « tu comprends, tu ne piges pas assez pour nous ». La radio publique RFI venait de décider de ne plus payer les cotisations sociales de ses pigistes à l’étranger. A sa mort, ces deux organes de presse lui ont rendu des hommages soutenus, et sans nul doute, sincères.

      Arnaud souffrait de dépression, qui fait tout autant de ravages sous les tropiques que dans la grisaille des capitales européennes : il suivait un traitement depuis une dizaine d’années. Récemment, faute d’une couverture sociale à l’étranger, il avait dû arrêter son traitement.

      Tout se passait comme si Arnaud Dubus devait s’avérer heureux de pouvoir encore récolter sa maigre pitance de pigiste, - de 600 à 1500 euros dans les bons mois - lui, ce spécialiste d’un monde exotique et périphérique pour lequel il ne valait pas la peine qu’on lui paie ses frais de reportage. Rappelons au passage quelques chiffres : une pige dans un grand quotidien français est rémunérée en moyenne 60 euros le feuillet, tarif qui n’a pas augmenté depuis une quinzaine d’années. Aujourd’hui, l’immense majorité de ceux qu’on appelle des « correspondants » à l’antenne ou sur le papier, sont en fait des pigistes basés à l’étranger, sans salaire fixe, sans protection sociale.

  • Carlos Ghosn est en exil fiscal depuis sept ans...
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/15474-carlos-ghosn-est-en-exil-fiscal-depuis-sept-ans

    Chacun appréciera, en tout cas entre l’Europe et le Japon il n’y a pas photo....

    Le journal "Libération" a révélé, jeudi 10 janvier, que Carlos Ghosn n’est plus résident fiscal en France depuis 2012. Cette information fait polémique.

    L’image de Carlos Ghosn a changé. De son regard sévère et de cette image de patron intouchable, il est passé à des croquis judiciaires d’un homme incarcéré depuis bientôt deux mois au Japon. De nouvelles informations sur ses revenus ont été dévoilées jeudi 10 janvier. Le journal "Libération" a en effet révélé que le patron de Renault n’est plus résident fiscal en France depuis 2012. Cela explique que dès l’arrestation du PDG de l’alliance Renault-Nissan, le ministre français de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire, pouvait affirmer : "qu’il (...)

    #En_vedette #Actualités_françaises

  • Neocarto | Des morts par milliers aux portes de l’Europe
    https://asile.ch/2015/02/11/neocarto-des-morts-par-milliers-aux-portes-de-leurope

    Depuis 2004 et la première carte réalisée par Olivier Clochard et @reka pour le Monde diplomatique et réactualisée en 2006, [CLOCHARD & REKACEWICZ, 2006], la mise image des données concernant les migrants morts aux frontières de l’Europe a été mise à jour de nombreuses fois [MIGREUROP, 2009 et 2012]. Dans la dynamique du précédent billet [voir], je profite ici du travail colossal réalisé dans le cadre du projet “The Migrants’ Files” [voir] pour réactualiser une nouvelle fois cette carte. J’en publie ici deux versions. Une première, classique, dans la lignée des cartes précédemment réalisée. Et une seconde, plus engagée, qui s’appuie sur le point de vue de nombreuses associations et organisations d’aide aux migrants et de défense des droits de l’homme. Le titre de cette seconde carte y fait d’ailleurs explicitement référence en prenant comme titre celui d’un article collectif publié en octobre 2013 dans le journal Libération [voir] après un énième naufrage au large des côtes de Lampedusa dans lequel ont péri au moins 300 personnes.

  • Sénatoriales : le cynisme macroniste pour mettre en pièces les collectivités « François Cocq
    https://francoiscocq.fr/2017/08/07/senatoriales-le-cynisme-macroniste-pour-mettre-en-pieces-les-collectivi

    J’avoue être d’abord resté coi devant le nouveau coup fourré d’Emmanuel Macron contre les territoires : 300 millions d’euros de dotations aux collectivités pour la fin de l’année 2017 annulés en douce d’un trait de plume présidentiel le 20 juillet dernier. Et il est heureux que le journal Libération s’en soit aperçu le 1er août faute de quoi la pratique financière élyséenne aurait eu des airs de fraude budgétaire sur le dos des collectivités !

    Alors bien sûr j’ai pensé prendre le clavier pour mettre en évidence la méthode détestable qui est celle employée par Emmanuel Macron : trois jours avant cette coupe claire, lors de la conférence des territoires qu’il avait convoquée au Sénat, Emmanuel Macron s’était en effet engagé devant les associations d’élus à ne pas baisser brutalement les dotations aux collectivités pour 2018. Cynique, il s’est donc empressé de raboter dans leur dos les dotations pour… 2017.

    #en_marche @sinehebdo (pas encore lu)

  • A ma connaissance, la dernière fois qu’un élu de droite a rapidement démissionné après avoir été pris la main dans le pot de confiture, c’était en 2005.
    Le jeune chiraquien Gaymard, rival annoncé de Sarkozy, démissionne et rembourse les 60 000 € de loyer abusivement perçu pour un logement de fonction payé par le contribuable.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Gaymard

    Une affaire similaire atteint quelques semaines après Jean-François Copé — alors ministre délégué au Budget et porte-parole du gouvernement — : le journal Libération considère que la seule réelle différence est la non-démission dans la seconde affaire2

    JF Copé était lui dans le clan Sarkozy.

  • Ma3 - Claudere ora vesta. Et aperuit mea ( Fermez vos gueules. J’ouvre la mienne. Fréhel)

    Femmes artistes mes sœurs,
    La forme de nos organes ne fonde pas notre pensée, malgré ce que vocifère le phallo Bustamante

    Femmes artistes mes sœurs
    Nous partîmes cinq mille mais sans un prompt renfort, nous nous vîmes cinquante en arrivant au port.
    Nous nous retrouvâmes, muses engrossées, Suzannes outragées, égéries domestiquées et tricoteuses méprisées.

    Femmes artistes mes sœurs,
    Nos génies sont toujours minorés. L’art en est excisé.
    Quand l’une de nous n’est pas effacée, d’un phallus grotesque, on cherche à l’affubler.

    Femmes artistes mes sœurs,
    Ne soyons pas bonne fille, ne laissons plus l’art aux cochons.
    Aux Bustamantes : fermez vos gueules. Nous ouvrons les nôtres !

    Un sort pour lutter contre l’invisibilité des femmes dans la culture. En lien avec les déclarations misogynes de Bustamante. Je vais y mettre je pense des Guerrilla girls dans une danse de sorcières.

    https://2ryjc8dfymp48s1b85nhttws-wpengine.netdna-ssl.com/wp-content/uploads/2015/09/Guerilla-Girls-Guardian.jpeg

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    allégorie de la peinture


    Le bâillon m’a fait pensé à l’allégorie de la justice et à la bride de mégère. https://seenthis.net/messages/394240

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    les costumes grotesques 1695

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    J’utiliserais probablement cette lettrine


    et une typo assortie.
    http://www.dafont.com/fr/oldstyle-hplhs.font?text=Claudere+ora+vestra.+Et+aperuit+mea.
    http://www.dafont.com/fr/casloncp.font?text=Claudere+ora+vestra.+Et+aperuit+mea.

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    Ici un frontispice dont j’ai extrait le drap de majesté et les angelots

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    pour la documentation voire #effacement_des_femmes et cette video https://vimeo.com/27162912

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    #mégèrisme #workinprogress #mad_meg #gorilla_girls #invisibilisation

    • Il se trouve que Bustamante, en récompense de sa misogynie à été nommé directeur des beaux-arts en 2015.
      Je cite ce qu’il disait à l’époque pour mettre le problème sous le tapis :

      Mes propos étaient “limites”, je le regrette, admet-il aujourd’hui. Je sais que cette chose-là va me coller toute ma vie. Il n’y a pourtant qu’à regarder Le Printemps de Toulouse, j’ai invité des artistes femmes remarquables. Demandez aux étudiantes de mon atelier si je suis misogyne ! Heureusement que j’ai été nommé par une femme ministre !

      http://www.lemonde.fr/arts/article/2015/09/03/jean-marc-bustamante-nomme-a-la-tete-de-l-ecole-des-beaux-arts_4744187_16550

      Bel art de la litote avec ses « limites ». Et on sent que le problème c’est son nombril incommensurable, pas qu’il ai insulté les femmes artistes et favorisé leur discrimination.
      Classique aussi de se servir de femmes comme cache sexisme. Qu’il y ai une femme ministre pour nommer ce pignouf à des postes important est la preuve de rien du tout. Les femmes peuvent être sexistes et les ministres de la culture aussi. On a bien une ministre de la culture qui prend la défense d’un violeur d’enfant pour qu’il ai sa 9 eme médaille des Césars. Quand a ses étudiantes : a) elles ne peuvent pas dire a quel point ce mec est à chier sans se faire cramer dans l’école et le milieu. b) c’est lui qui les choisis ses étudiantes.
      Quand à exposé « des » artistes femmes dans son printemps de Toulouse, depuis son expo dyonisiaque 100% mâle et je ne voie pas ou se situe la prouesse d’avoir « des » artistes femmes dans une collective. Avec un mec comme lui, "des"artistes femmes, ca veux dire grosso-modo deux nanas qui se courent après. Si il y en avais eu la moitié des femmes artistes, ou approchant, il n’aurais pas manqué de le mentionné haut et fort.

    • On reparle de Bustamante ce gros misogyne
      https://seenthis.net/messages/680644

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      Le cercle des gentlemen de qualité
      https://blogs.mediapart.fr/la-part-des-femmes/blog/170918/le-cercle-des-gentlemen-de-qualite-4

      Début septembre 2108, l’artiste Candice Breitz et la commissaire d’exposition Verena Kaspar-Eisert interpellaient publiquement Alain Bieber et Florian Waldvogel, commissaires et directeurs artistiques. L’exposition qu’ils inaugurent cette semaine au NRW-Forum Düsseldorf est constituée de 12 hommes et une femme. Leurs messages ont été bloqués de la page FB de l’institution qui n’a pas non plus répondu à leur demande d’explication par lettre. Silence.

      Elles publient ensuite un échange de mails entre un des artistes sélectionnés, Oliver Laric, et Alain Bieber. L’artiste écrivait ne plus vouloir participer à cette exposition en raison du manque de représentation des femmes. La réponse du directeur artistique franco-allemand est édifiante : « C’est dommage que tu ne veuilles pas participer à l’exposition. Ton argument [au sujet de l’absence des femmes dans la liste de l’exposition] est bon, et c’est très, très bon que tu en parles. Je ne suis pas sûr de pouvoir être d’accord avec toi, car des facteurs comme l’âge, le sexe, la sexualité, la nationalité, etc. ne jouent aucun rôle pour moi en tant que conservateur. Je ne m’intéresse qu’à la qualité et à la pertinence des œuvres. En tant que tel, je n’envisagerais jamais de travailler sur un projet avec un quota, quel qu’il soit. Si tu peux me donner des conseils sur les femmes artistes qui font de meilleures œuvres que leurs pairs masculins sur ce sujet d’exposition, envoie moi leurs noms ! Ensuite, je ferai une exposition exclusivement consacrée aux femmes…… »

      Ce discours stéréotypé que servent nombre de directeurs artistique, éditeurs, directeurs de festivals à celles et ceux qui s’émeuvent de cette situation ne serait pas complet sans l’argument plus récent de « communautarisme » et celui qui circule beaucoup avec son enivrant parfum de transgression : « combien de trans ou lesbiennes nigérianes ou antillaises photographes devrait-on choisir pour être politiquement correct ? »

      Fermez les yeux, respirez profondément et imaginez que vous êtes une artiste. Vous sentez l’insulte qui vient de vous être faite vous brûler le ventre ? Vous sentez la colère qui monte, dans le meilleur des cas, ou le sentiment d’impuissance qui s’abat sur vous ? Comprenez bien que même si par le plus grand des hasards votre travail correspondait, il faudrait qu’il soit bien meilleur que celui de vos confrères. Respirez.

      Qui sont les membres de ce « boys club » qui s’exprime avec un tel mépris ? Des hommes principalement, occidentaux, entre 40 et 50 ans, dont les revenus sont assurés par de l’argent public. Ils sont tous d’accord : l’absence de femmes dans l’art est un vrai sujet, « a complex issue » dit un porte-parole des Rencontres d’Arles au magazine Artnet. Mais c’est un préambule à la justification de l’exclusion à laquelle ils collaborent très activement. Sûrs d’eux, ils s’expriment publiquement et à les lire, iIs font preuve d’une parfaite objectivité et n’ont qu’un but en tête : la qualité et la pertinence des œuvres. Foin de la critique d’art, des échecs, des artistes très moyens portés aux nues par un réseau efficace. Non, eux savent, sans aucun doute. Ils ne regardent d’ailleurs que l’œuvre, jamais l’artiste, et n’expriment aucun doute quand, à la fin de la sélection, ils ne voient que des artistes qui leurs ressemblent. C’est un miroir dans lequel ils se mirent et s’admirent.

      A suivre leurs commentaires dès qu’on ose leur retirer le miroir des mains, on se rend compte qu’ils sont dans le déni complet de l’impact de leurs pratiques sur les artistes. Ils ne comprennent pas que le chemin que doit parcourir le dossier artistique d’une femme jusqu’à leur table de travail, pour qu’il aient le choix, est bien plus complexe que celui d’un homme avec qui ils viennent de prendre un pot. Aucune exagération dans cette affirmation mais de l’expérience, de nombreux témoignages et des analyses sociologiques. Certains hommes, comme Oliver Laric, commencent d’ailleurs à mettre en cause ce sytème de discrimination car oui, c’est un vrai système de discrimination dont bénéficient principalement des hommes. N’oublions pas ceux qui ont l’audace d’invoquer le politiquement correct en oubliant un peu rapidement les messages salaces qu’ils envoient à des artistes femmes dont ils doivent juger le travail.

      Fermez à nouveau les yeux, respirez profondément et imaginez que vous êtes une artiste. Êtes-vous en confiance lorsque vous arrivez avec votre dossier sous le bras devant quelqu’un qui vous a demandé de le soulager sexuellement par sms ? On sait surtout que c’est fichu parce qu’on a refusé ses avances. Mais ça ne rentre pas en compte bien sûr dans le processus de sélection des grands hommes dont nous parlons. Et pourtant, tous connaissent ces pratiques puisque ce sont les leurs ou celles de leurs confrères. Et pourtant tous continuent de nous chanter la ritournelle de la qualité.

      Alors soudain les voici qui se drapent dans leur liberté : « Les quotas ? Moi vivant, jamais ! »

      S’ils appliquaient la parité, ils auraient à choisir de 10 à 25 femmes grand maximum pour leurs programmes. 10 à 25 ! Ils n’auraient donc pas 20 artistes « de qualité » dans leur radar ? On en est là !

      Devant ces décennies de surdité, de silence imposé, d’insultes, de dénigrement, de harcèlement sexuel, de manque de moyens, de visibilité, les artistes femmes en ont assez, excusez du peu. Alors elles pensent contraintes, pied dans la porte. Oui elles veulent leur place, celle qui est prise par des artistes moyens. Elles opposent aux quotas, qu’ils imposent mentalement de façon permanente, une répartition égale des ressources, une parité temporaire pour les forcer à regarder leurs dossiers. Personne n’a proposé une loi en la matière, mais des décisions politiques justes et efficaces.

      S’ils ne peuvent penser l’art plus loin que leur miroir, perpétuant des siècles d’entre-soi masculin, il faut questionner leur légitimité aux postes qu’ils occupent.

      « Je suis contre l’égalité » clament certains. « Alors là c’est un vrai débat à la con aseptisé de tout bon sens artistique » renchérit Ulrich Leboeuf directeur artistique du festival MAP à Toulouse sur sa page FB. Lui non plus ne choisit pas en fonction du sexe, de la religion ou du niveau social et il revendique sa « totale liberté sans aucune loi caricaturale ». Demandez-lui gentiment de lire les études et d’écouter les personnes concernées et il vous trouve violente, vous sommant de vous taire. Cette attitude est elle aussi récurrente et stéréotypée.

      Sam Stourdzé, directeur des Rencontres d’Arles, a été interpellé le 2 septembre dans le journal Libération sur les quotas du festival par notre collectif. L’imposante liste des signataires devrait le faire agir. Au bout de deux semaines, force est de constater que le silence est sa seule réponse.

      Le silence est leur arme.

      La parole est la nôtre.

      Marie Docher
      Membre du collectif La Part Des Femmes.

  • Library of Congress | The Palestine Poster Project Archives

    http://palestineposterproject.org/special-collection/library-of-congress

    Déja sur les collines... J’avais raté ce site, sur lequel il y a des pépites.

    The Palestine Poster Project Archives
    The Liberation Graphics Collection of Palestine Posters - Nominated to UNESCO’s Memory of the World Program 2016-2017
    About the Palestine Poster Project Archives

    This website has been created to mark headway on my masters’ thesis project at Georgetown University. It is a work-in-progress.

    I first began collecting Palestine posters when I was a Peace Corps volunteer in Morocco in the mid-1970s. By 1980 I had acquired about 300 Palestine posters. A small grant awarded with the support of the late Dr. Edward Said allowed me to organize them into an educational slideshow to further the “third goal” of the Peace Corps: to promote a better understanding of other peoples on the part of Americans. Over the ensuing years, while running my design company, Liberation Graphics, the number of internationally published Palestine posters I acquired steadily grew. Today the Archives numbers some 5,000 Palestine posters from myriad sources making it what many library science specialists say is the largest such archives in the world.

    The Palestine poster genre dates back to around 1900 and, incredibly, more Palestine posters are designed, printed and distributed today than ever before. Unlike most of the political art genres of the twentieth century such as those of revolutionary Cuba and the former Soviet Union, which have either died off, been abandoned, or become mere artifacts, the Palestine poster genre continues to evolve. Moreover, the emergence of the Internet has exponentially expanded the genre’s network of creative contributors and amplified the public conversation about contemporary Palestine.

    My research has two major components: (1) the development of a curriculum using the Palestine poster as a key resource for teaching the formative history of the Palestinian-Zionist conflict in American high schools. This aspect of my work is viewable in my New Curriculum and; (2) the creation of a web-based archives that displays the broadest possible range of Palestine posters in a searchable format with each poster translated and interpreted.

    This library and teaching resource allows educators, students, scholars, and other parties interested in using the New Curriculum to incorporate Palestine posters into classroom learning activities. Titles included are from the Liberation Graphics collection, the Library of Congress, the Central Zionist Archives in Jerusalem, the International Institute of Social History in Amsterdam, Yale University, the University of Chicago and a host of other sources. To facilitate my research I have broken the genre of the Palestine poster into four sources, or wellsprings.

    These wellsprings are:

    1) Arab and Muslim artists and agencies

    2) International artists and agencies

    3) Palestinian nationalist artists and agencies

    4) Zionist and Israeli artists and agencies

    For the purpose of this research project, I have arbitrarily defined a “Palestine” poster as:

    1) Any poster with the word “Palestine” in it, in any language, from any source or time period;

    2) Any poster created or published by any artist or agency claiming Palestinian nationality or Palestinian participation;

    3) Any poster published in the geographical territory of historic Palestine, at any point in history, including contemporary Israel;

    4) Any poster published by any source which relates directly to the social, cultural, political, military or economic history of Palestine; and/or

    5) Any poster related to Zionism or anti-Zionism in any language, from any source, published after August 31, 1897.

    The majority of posters in this archives are printed on paper. However, an increasing number of new Palestine posters are “born digitally” and then printed and distributed locally, oftentimes in very small quantities. This localization represents a sea change in the way political poster art is produced and disseminated. Traditionally, political posters were printed in a single location and then distributed worldwide. The global reach of the internet combined with the rising costs of mass production is shifting production away from large centralized printing operations to a system controlled more by small end-users in myriad locations.

    Electronic, digitally created images included in this archives meet these requirements: they are capable of being downloaded and printed out at a size at least as large as 18” X 24” and they deal substantially with the subject of Palestine. Computer generated images will be identified as such. I am uploading posters in what may appear to be a haphazard order; actually the order is a reflection of the way(s) in which many of the posters were originally collected, stored, and digitized on CDs over the past fifteen years.

    As time and funds permit, I will be uploading the entire archives.

    I want to specifically thank the following people without whose assistance I would not have been able to even begin this research: Dr. Lena Jayyusi, for both her thorough critique of the New Curriculum as well as her steadfast moral support over many years; Dr. Rochelle Davis, my academic advisor at Georgetown who gave me the freedom to explore the questions of most interest to me and who encouraged me to look at the genre from visual anthropology and ethnographic perspectives; Catherine Baker, who has provided creative, editorial and moral support of incalculable value to me and to whom I am forever indebted; Dr. Eric Zakim, the director of the Joseph and Alma Gildenhorn Institute for Israel Studies at the University of Maryland at College Park whose translations of the Hebrew text in the Zionist/Israel poster wellspring and whose breadth of knowledge of Zionist history and iconography proved indispensable; Dr. Elana Shohamy of Tel Aviv University for opening up to me the worlds of Jewish language history, Israeli language policy and perhaps most importantly, the principles of language rights, and; Richard Reinhard whose early and complete review of the New Curriculum helped keep me on schedule and in focus.

    Special thanks are also due Jenna Beveridge, the Academic Program Coordinator at Georgetown’s Center for Contemporary Arab Studies, without whose guidance through the halls of academia I would have been hopelessly lost. There are, in addition, legions of people who over the years have encouraged me to persevere in this work. I will make it a point to thank them at regular intervals in the progress of this project.

    Dan Walsh Silver Spring, MD April 2009

  • Unlike Us | About
    http://networkcultures.org/unlikeus/about

    Invitation to join the network (a series of events, reader, workshops, online debates, campaigns etc.)

    Concept: Geert Lovink (Institute of Network Cultures/HvA, Amsterdam) and Korinna Patelis (Cyprus University of Technology, Limassol)

    Thanks to Marc Stumpel, Sabine Niederer, Vito Campanelli, Ned Rossiter, Michael Dieter, Oliver Leistert, Taina Bucher, Gabriella Coleman, Ulises Mejias, Anne Helmond, Lonneke van der Velden, Morgan Currie and Eric Kluitenberg for their input.

    Summary
    The aim of Unlike Us is to establish a research network of artists, designers, scholars, activists and programmers who work on ‘alternatives in social media’. Through workshops, conferences, online dialogues and publications, Unlike Us intends to both analyze the economic and cultural aspects of dominant social media platforms and to propagate the further development and proliferation of alternative, decentralized social media software.

    Whether or not we are in the midst of internet bubble 2.0, we can all agree that social media dominate internet and mobile use. The emergence of web-based user to user services, driven by an explosion of informal dialogues, continuous uploads and user generated content have greatly empowered the rise of participatory culture. At the same time, monopoly power, commercialization and commodification are also on the rise with just a handful of social media platforms dominating the social web. These two contradictory processes – both the facilitation of free exchanges and the commercial exploitation of social relationships – seem to lie at the heart of contemporary capitalism.

    On the one hand new media create and expand the social spaces through which we interact, play and even politicize ourselves; on the other hand they are literally owned by three or four companies that have phenomenal power to shape such interaction. Whereas the hegemonic Internet ideology promises open, decentralized systems, why do we, time and again, find ourselves locked into closed corporate environments? Why are individual users so easily charmed by these ‘walled gardens’? Do we understand the long-term costs that society will pay for the ease of use and simple interfaces of their beloved ‘free’ services?

    The accelerated growth and scope of Facebook’s social space, for example, is unheard of. Facebook claims to have 700 million users, ranks in the top two or three first destination sites on the Web worldwide and is valued at 50 billion US dollars. Its users willingly deposit a myriad of snippets of their social life and relationships on a site that invests in an accelerated play of sharing and exchanging information. We all befriend, rank, recommend, create circles, upload photos, videos and update our status. A myriad of (mobile) applications orchestrate this offer of private moments in a virtual public, seamlessly embedding the online world in users’ everyday life.

    Yet despite its massive user base, the phenomena of online social networking remains fragile. Just think of the fate of the majority of social networking sites. Who has ever heard of Friendster? The death of Myspace has been looming on the horizon for quite some time. The disappearance of Twitter and Facebook – and Google, for that matter – is only a masterpiece of software away. This means that the protocological future is not stationary but allows space for us to carve out a variety of techno-political interventions. Unlike Us is developed in the spirit of RSS-inventor and uberblogger Dave Winer whose recent Blork project is presented as an alternative for ‘corporate blogging silos’. But instead of repeating the entrepreneurial-start-up-transforming-into-corporate-behemoth formula, isn’t it time to reinvent the internet as a truly independent public infrastructure that can effectively defend itself against corporate domination and state control?

    Agenda
    Going beyond the culture of complaint about our ignorance and loss of privacy, the proposed network of artists, scholars, activists and media folks will ask fundamental and overarching questions about how to tackle these fast-emerging monopoly powers. Situated within the existing oligopoly of ownership and use, this inquiry will include the support of software alternatives and related artistic practices and the development of a common alternative vision of how the techno-social world might be mediated.

    Without falling into the romantic trap of some harmonious offline life, Unlike Us asks what sort of network architectures could be designed that contribute to ‘the common’, understood as a shared resource and system of collective production that supports new forms of social organizations (such as organized networks) without mining for data to sell. What aesthetic tactics could effectively end the expropriation of subjective and private dimensions that we experience daily in social networks? Why do we ignore networks that refuse the (hyper)growth model and instead seek to strengthen forms of free cooperation? Turning the tables, let’s code and develop other ‘network cultures’ whose protocols are no longer related to the logic of ‘weak ties’. What type of social relations do we want to foster and discover in the 21st century? Imagine dense, diverse networked exchanges between billions of people, outside corporate and state control. Imagine discourses returning subjectivities to their ‘natural’ status as open nodes based on dialogue and an ethics of free exchange.

    To a large degree social media research is still dominated by quantitative and social scientific endeavors. So far the focus has been on moral panics, privacy and security, identity theft, self-representation from Goffman to Foucault and graph-based network theory that focuses on influencers and (news) hubs. What is curiously missing from the discourse is a rigorous discussion of the political economy of these social media monopolies. There is also a substantial research gap in understanding the power relations between the social and the technical in what are essentially software systems and platforms. With this initiative, we want to shift focus away from the obsession with youth and usage to the economic, political, artistic and technical aspects of these online platforms. What we first need to acknowledge is social media’s double nature.

    Dismissing social media as neutral platforms with no power is as implausible as considering social media the bad boys of capitalism. The beauty and depth of social media is that they call for a new understanding of classic dichotomies such as commercial/political, private/public, users/producers, artistic/standardised, original/copy, democratising/ disempowering. Instead of taking these dichotomies as a point of departure, we want to scrutinise the social networking logic. Even if Twitter and Facebook implode overnight, the social networking logic of befriending, liking and ranking will further spread across all aspects of life.

    The proposed research agenda is at once a philosophical, epistemological and theoretical investigation of knowledge artifacts, cultural production and social relations and an empirical investigation of the specific phenomenon of monopoly social media. Methodologically we will use the lessons learned from theoretical research activities to inform practice-oriented research, and vice-versa. Unlike Us is a common initiative of the Institute of Network Cultures (Amsterdam University of Applied Science HvA) and the Cyprus University of Technology in Limassol.

    An online network and a reader connected to a series of events initially in Amsterdam and Cyprus (early 2012) are already in planning. We would explicitly like to invite other partners to come on board who identify with the spirit of this proposal, to organize related conferences, festivals, workshops, temporary media labs and barcamps (where coders come together) with us. The reader (tentatively planned as number 8 in the Reader series published by the INC) will be produced mid-late 2012. The call for contributions to the network, the reader and the event series goes out in July 2011, followed by the publicity for the first events and other initiatives by possible new partners.

    Topics of Investigation
    The events, online platform, reader and other outlets may include the following topics inviting theoretical, empirical, practical and art-based contributions, though not every event or publication might deal with all issues. We anticipate the need for specialized workshops and barcamps.

    1. Political Economy: Social Media Monopolies
    Social media culture is belied in American corporate capitalism, dominated by the logic of start-ups and venture capital, management buyouts, IPOs etc. Three to four companies literally own the Western social media landscape and capitalize on the content produced by millions of people around the world. One thing is evident about the market structure of social media: one-to-many is not giving way to many-to-many without first going through many-to-one. What power do these companies actually have? Is there any evidence that such ownership influences user-generated content? How does this ownership express itself structurally and in technical terms?

    What conflicts arise when a platform like Facebook is appropriated for public or political purposes, while access to the medium can easily be denied by the company? Facebook is worth billions, does that really mean something for the average user? How does data-mining work and what is its economy? What is the role of discourse (PR) in creating and sustaining an image of credibility and trustworthiness, and in which forms does it manifest to oppose that image? The bigger social media platforms form central nodes, such as image upload services and short ulr services. This ecology was once fairly open, with a variety of new Twitter-related services coming into being, but now Twitter takes up these services itself, favoring their own product through default settings; on top of that it is increasingly shutting down access to developers, which shrinks the ecology and makes it less diverse.

    2. The Private in the Public
    The advent of social media has eroded privacy as we know it, giving rise to a culture of self-surveillance made up of myriad voluntary, everyday disclosures. New understandings of private and public are needed to address this phenomenon. What does owning all this user data actually mean? Why are people willing to give up their personal data, and that of others? How should software platforms be regulated?

    Is software like a movie to be given parental guidance? What does it mean that there are different levels of access to data, from partner info brokers and third-party developers to the users? Why is education in social media not in the curriculum of secondary schools? Can social media companies truly adopt a Social Network Users’ Bill of Rights?

    3. Visiting the Belly of the Beast
    The exuberance and joy that defined the dotcom era is cliché by now. IT use is occurring across the board, and new labour conditions can be found everywhere. But this should not keep our eyes away from the power relations inside internet companies. What are the geopolitical lines of distribution that define the organization and outsourcing taking place in global IT companies these days? How is the industry structured and how does its economy work?

    Is there a broader connection to be made with the politics of land expropriation and peasant labour in countries like India, for instance, and how does this analytically converge with the experiences of social media users? How do monopolies deal with their employees’ use of the platforms? What can we learn from other market sectors and perspectives that (critically) reflect on, for example, techniques of sustainability or fair trade?

    4. Artistic Responses to Social Media
    Artists are playing a crucial role in visualizing power relationships and disrupting subliminal daily routines of social media usage. Artistic practice provides an important analytical site in the context of the proposed research agenda, as artists are often first to deconstruct the familiar and to facilitate an alternative lens to understand and critique these media. Is there such a thing as a social ‘web aesthetics’? It is one thing to criticize Twitter and Facebook for their primitive and bland interface designs. How can we imagine the social in different ways? And how can we design and implement new interfaces to provide more creative freedom to cater to our multiple identities? Also, what is the scope of interventions with social media, such as, for example, the ‘dislike button’ add-on for Facebook? And what practices are really needed? Isn’t it time, for example, for a Facebook ‘identity correction’?

    5. Designing culture: representation and software
    Social media offer us the virtual worlds we use every day. From Facebook’s ‘like’ button to blogs’ user interface, these tools empower and delimit our interactions. How do we theorize the plethora of social media features? Are they to be understood as mere technical functions, cultural texts, signifiers, affordances, or all these at once? In what ways do design and functionalities influence the content and expressions produced? And how can we map and critique this influence? What are the cultural assumptions embedded in the design of social media sites and what type of users or communities do they produce?

    To answer the question of structure and design, one route is to trace the genealogy of functionalities, to historicize them and look for discursive silences. How can we make sense of the constant changes occurring both on and beyond the interface? How can we theorize the production and configuration of an ever-increasing algorithmic and protocological culture more generally?

    6. Software Matters: Sociotechnical and Algorithmic Cultures
    One of the important components of social media is software. For all the discourse on sociopolitical power relations governed by corporations such as Facebook and related platforms, one must not forget that social media platforms are thoroughly defined and powered by software. We need critical engagement with Facebook as software. That is, what is the role of software in reconfiguring contemporary social spaces? In what ways does code make a difference in how identities are formed and social relationships performed? How does the software function to interpellate users to its logic? What are the discourses surrounding software?

    One of the core features of Facebook for instance is its news feed, which is algorithmically driven and sorted in its default mode. The EdgeRank algorithm of the news feed governs the logic by which content becomes visible, acting as a modern gatekeeper and editorial voice. Given its 700 million users, it has become imperative to understand the power of EdgeRank and its cultural implications. Another important analytical site for investigation are the ‘application programming interfaces’ (APIs) that to a large extent made the phenomenal growth of social media platforms possible in the first place. How have APIs contributed to the business logic of social media? How can we theorize social media use from the perspective of the programmer?

    7. Genealogies of Social Networking Sites
    Feedback in a closed system is a core characteristic of Facebook; even the most basic and important features, such as ‘friending’, traces back to early cybernetics’ ideas of control. While the word itself became lost in various transitions, the ideas of cybernetics have remained stable in fields such as artificial intelligence, robotics and the biopolitical arena. Both communication and information theories shaped this discourse. How does Facebook relate to such an algorithmic shape of social life? What can Facebook teach us about the powers of systems theory? Would Norbert Wiener and Niklas Luhmann be friends on Facebook?

    8. Is Research Doomed?
    The design of Facebook excludes the third person perspective, as the only way in is through ones own profile. What does this inbuilt ‘me-centricity’ imply for social media research? Does it require us to rethink the so-called objectivity of researchers and the detached view of current social research? Why is it that there are more than 200 papers about the way people use Facebook, but the site is ‘closed’ to true quantitative inquiry? Is the state of art in social media research exemplary of the ‘quantitative turn’ in new media research? Or is there a need to expand and rethink methods of inquiry in social media research? Going beyond the usual methodological approaches of the quantitative and qualitative, we seek to broaden the scope of investigating these media. How can we make sense of the political economy and the socio-technical elements, and with what means? Indeed, what are our toolkits for collective, transdisciplinary modes of knowledge and the politics of refusal?

    9. Researching Unstable Ontologies
    Software destabilizes Facebook as a solid ontology. Software is always in becoming and so by nature ontogenetic. It grows and grows, living off of constant input. Logging on one never encounters the same content, as it changes on an algorithmic level and in terms of the platform itself. What does Facebook’s fluid nature imply for how we make sense of and study it? Facebook for instance willingly complicates research: 1. It is always personalized (see Eli Pariser). Even when creating ‘empty’ research accounts it never gives the same results compared to other people’s empty research accounts. 2. One must often be ‘inside’ social media to study it. Access from the outside is limited, which reinforces the first problem. 3. Outside access is ideally (for Facebook and Twitter) arranged through carefully regulated protocols of APIs and can easily be restricted. Next to social media as a problem for research, there is also the question of social research methods as intervention.

    10. Making Sense of Data: Visualization and Critique
    Data representation is one of the most important battlefields nowadays. Indeed, global corporations build their visions of the world increasingly based on and structured around complex data flows. What is the role of data today and what are the appropriate ways in which to make sense of the burgeoning datasets? As data visualization is becoming a powerful buzzword and social research increasingly uses digital tools to make ‘beautiful’ graphs and visualizations, there is a need to take a step back and question the usefulness of current data visualization tools and to develop novel analytical frameworks through which to critically grasp these often simplified and nontransparent ways of representing data.

    Not only is it important to develop new interpretative and visual methods to engage with data flows, data itself needs to be questioned. We need to ask about data’s ontological and epistemological nature. What is it, who is the producer, for whom, where is it stored? In what ways do social media companies’ terms of service regulate data? Whether alternative social media or monopolistic platforms, how are our data-bodies exactly affected by changes in the software?

    11. Pitfalls of Building Social Media Alternatives
    It is not only important to critique and question existing design and socio-political realities but also to engage with possible futures. The central aim of this project is therefore to contribute and support ‘alternatives in social media’. What would the collective design of alternative protocols and interfaces look like? We should find some comfort in the small explosion of alternative options currently available, but also ask how usable these options are and how real is the danger of fragmentation. How have developers from different initiatives so far collaborated and what might we learn from their successes and failures? Understanding any early failures and successes of these attempts seems crucial.

    A related issue concerns funding difficulties faced by projects. Finally, in what ways does regionalism (United States, Europe, Asia) feed into the way people search for alternatives and use social media.

    12. Showcasing Alternatives in Social Media
    The best way to criticize platform monopolies is to support alternative free and open source software that can be locally installed. There are currently a multitude of decentralized social networks in the making that aspire to facilitate users with greater power to define for themselves with whom share their data. Let us look into the wildly different initiatives from Crabgrass, Appleseed, Diaspora, NoseRub, BuddyCloud, Protonet, StatusNet, GNU Social, Lorea and OneSocialWeb to the distributed Twitter alternative Thimbl.

    In which settings are these initiative developed and what choices are made for their design? Let’s hear from the Spanish activists who have recently made experiences with the n-1.cc platform developed by Lorea. What community does this platform enable? While traditional software focuses on the individual profile and its relation to the network and a public (share with friends, share with friends of friends, share with public), the Lorea software for instance asks you with whom to share an update, picture or video. It finegrains the idea of privacy and sharing settings at the content level, not the user’s profile. At the same time, it requires constant decision making, or else a high level of trust in the community you share your data with. And how do we experience the transition from, or interoperability with, other platforms? Is it useful to make a distinction between corporate competitors and grassroots initiatives? How can these beta alternatives best be supported, both economically and socially? Aren’t we overstating the importance of software and isn’t the availability of capital much bigger in determining the adoption of a platform?

    13. Social Media Activism and the Critique of Liberation Technology
    While the tendency to label any emergent social movement as the latest ‘Twitter revolution’ has passed, a liberal discourse of ‘liberation technology’ (information and communication technologies that empower grassroots movements) continues to influence our ideas about networked participation. This discourse tends to obscure power relations and obstruct critical questioning about the capitalist institutions and superstructures in which these technologies operate. What are the assumptions behind this neo-liberal discourse? What role do ‘developed’ nations play when they promote and subsidize the development of technologies of circumvention and hacktivism for use in ‘underdeveloped’ states, while at the same time allowing social media companies at home to operate in increasingly deregulated environments and collaborating with them in the surveillance of citizens at home and abroad? What role do companies play in determining how their products are used by dissidents or governments abroad? How have their policies and Terms of Use changed as a result?

    14. Social Media in the Middle East and Beyond
    The justified response to downplay the role of Facebook in early 2011 events in Tunisia and Egypt by putting social media in a larger perspective has not taken off the table the question of how to organize social mobilizations. Which specific software do the ‘movements of squares’ need? What happens to social movements when the internet and ICT networks are shut down? How does the interruption of internet services shift the nature of activism? How have repressive and democratic governments responded to the use of ‘liberation technologies’? How do these technologies change the relationship between the state and its citizens? How are governments using the same social media tools for surveillance and propaganda or highjacking Facebook identities, such as happened in Syria? What is Facebook’s own policy when deleting or censoring accounts of its users?

    How can technical infrastructures be supported which are not shutdown upon request? How much does our agency depend on communication technology nowadays? And whom do we exclude with every click? How can we envision ‘organized networks’ that are based on ’strong ties’ yet open enough to grow quickly if the time is right? Which software platforms are best suited for the ‘tactical camping’ movements that occupy squares all over the world?

    15. Data storage: social media and legal cultures
    Data that is voluntarily shared by social media users is not only used for commercial purposes, but is also of interest to governments. This data is stored on servers of companies that are bound to the specific legal culture and country. This material-legal complex is often overlooked. Fore instance, the servers of Facebook and Twitter are located in the US and therefore fall under the US jurisdiction. One famous example is the request for the Twitter accounts of several activists (Gonggrijp, Jónsdóttir, Applebaum) affiliated with Wikileaks projects by the US government. How do activists respond and how do alternative social media platforms deal with this issue?

  • World Press Photo : « La photo joue un rôle si important dans la diffusion de messages »
    http://www.cafebabel.fr/article/world-press-photo-la-photo-joue-un-role-si-important-dans-la-diffusion-de-

    Une enquête commandée par le journal français Libération montre que 54 des 58 derniers vainqueurs du concours World Press Photo sont des hommes. Pourquoi y a-t-il aussi peu de femmes ? Est-il possible d’inverser la tendance ?

  • Oh, Jules Vignes, qu’ont-ils fait du journal « Libération » ? - Rebellyon.info
    https://rebellyon.info/Oh-Jules-Vignes-qu-ont-ils-fait-du

    En effet, à St Genis-Laval le 1er juillet 1927, c’est Jules Vignes qui a édité le premier journal « Libération ». C’était une gazette libertaire, dont le titre a été repris plusieurs fois. Journal clandestin pendant la résistance, puis quotidien du 21 août 1944 à 1962, le projet d’un « Libération » qui donne la parole au peuple a vite tourné court en 1973 avec Serge July, pour devenir aujourd’hui le journal de Rothschild et du capitalisme acoquiné au PS. Quelle dégringolade !

    https://rebellyon.info/home/chroot_ml/ml-lyon/ml-lyon/public_html/local/cache-vignettes/L350xH234/Libe-n1-18_04_73-05c14.jpg?1457339317

    #presse #média #Libé

  • Cauchemars et facéties - ce qu’il s’est réellement passé le 1er mai à Paris.
    https://lundi.am/Cauchemars-et-faceties-le-1er-mai-a-Paris

    Les rédacteurs de cette rubrique n’aiment pas les mensonges, encore moins les menteurs et ceux qui leur donnent la parole sans sourciller. Le 1er mai, à Paris, "le traditionnel défilé syndical, qui réunissait SUD, FO et la CGT pour contester la loi travail, a vu des Black Bloc s’emparer de la tête du cortège pour affronter les forces de l’ordre" nous apprend le journal Libération qui titre « 1er Mai : un défilé, deux colères ». Tiens donc. Une tête de cortège confisquée par "200 personnes", pour (...)

    « http://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/carriere/vie-professionnelle/droit-du-travail/loi-travail-un-policier-denonce-la-violence-contre-les-forces-des-l-ord »
    « http://www.lesinrocks.com/2016/05/04/actualite/tant-quon-parle-casseurs-on-ne-parle-mouvements-sociaux-revendications-1 »
    « http://www.liberation.fr/france/2016/05/01/1er-mai-un-defile-deux-coleres_1449908 »
    « http://www.lexpress.fr/actualite/societe/violences-du-1er-mai-bombe-agricole-d-un-cote-coups-de-matraque-de-l-autre_ »
    « http://videos.leparisien.fr/video/evacuation-musclee-de-nuit-debout-place-de-la-republique-a-paris-2 »
    « https://paris-luttes.info/ce-qu-il-s-est-passe-sur-le-5551 »

  • Cauchemars et facéties - ce qu’il s’est réellement passé le 1er mai à Paris.
    https://lundi.am/Cauchemars-et-faceties-ce-qu-il-s-est-reellement-passe-le-1er-mai-a-Paris

    Les rédacteurs de cette rubrique n’aiment pas les mensonges, encore moins les menteurs et ceux qui leur donnent la parole sans sourciller. Le 1er mai, à Paris, "le traditionnel défilé syndical, qui réunissait SUD, FO et la CGT pour contester la loi travail, a vu des Black Bloc s’emparer de la tête du cortège pour affronter les forces de l’ordre" nous apprend le journal Libération qui titre « 1er Mai : un défilé, deux colères ». Tiens donc. Une tête de cortège confisquée par "200 personnes", pour (...)

    « http://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/carriere/vie-professionnelle/droit-du-travail/loi-travail-un-policier-denonce-la-violence-contre-les-forces-des-l-ord »
    « http://www.lesinrocks.com/2016/05/04/actualite/tant-quon-parle-casseurs-on-ne-parle-mouvements-sociaux-revendications-1 »
    « http://www.liberation.fr/france/2016/05/01/1er-mai-un-defile-deux-coleres_1449908 »
    « http://www.lexpress.fr/actualite/societe/violences-du-1er-mai-bombe-agricole-d-un-cote-coups-de-matraque-de-l-autre_ »
    « http://videos.leparisien.fr/video/evacuation-musclee-de-nuit-debout-place-de-la-republique-a-paris-2 »
    « https://paris-luttes.info/ce-qu-il-s-est-passe-sur-le-5551 »

  • Carton rouge à Jean-Luc Mélenchon pour son « plan B »
    http://www.taurillon.org/carton-rouge-a-jean-luc-melenchon-pour-son-plan-b

    A l’occasion du sommet pour un Plan B en Europe, Jean-Luc Mélenchon dévoile une « #Union_européenne hostile à la démocratie et à la justice sociale », s’en tenant à la souveraineté nationale et à la sortie de l’euro. En réponse, Emmanuelle Cosse affirme une « Europe démocratique, écologique et solidaire » dans le journal Libération. Vision belliqueuse, la manœuvre de Jean-Luc Mélenchon est dangereuse et remet en question la démocratie européenne.

    #Opinions

    / #France, #Nationalismes, #Idéologies, Union européenne

    http://www.liberation.fr/planete/2016/02/02/europe-le-contresens-du-plan-b-de-melenchon_1430572
    http://melenchon.fr/2016/02/03/europe-les-illusions-demmanuelle-cosse
    http://abonnes.lemonde.fr/politique/article/2016/01/24/melenchon-cherche-son-plan-b_4852729_823448.html
    http://www.rtl.fr/actu/politique/jean-luc-melenchon-avec-l-allemagne-le-plan-b-c-est-ou-vous-cedez-ou-on-vous-tue

  • Les boîtes de sécurité privée recrutent en urgence et réclament des flingues
    http://larotative.info/les-boites-de-securite-privee-1248.html

    Le patron de l’une des entreprises dont les offres d’emploi sont reproduites ci-dessus, basée à Tours, fait partie des signataires d’une pétition adressée à Manuel Valls et intitulée : « Autoriser en France le port d’armes à feu pour les agents privés de sécurité ». Sous une photo montrant un type en costard portant un flingue à la ceinture devant un fond bleu-blanc-rouge, on apprend qu’il s’agit d’autoriser le port d’armes « aux agents de protection physique des personnes, ainsi qu’au personnel de surveillance et de gardiennage, dans le but de renforcer la sécurité et la protection des citoyens, en soutien aux forces de l’ordre ». Évidemment, cette mesure est réclamée au nom du « pragmatisme » et de « l’efficacité » [2].

    L’idée est d’ailleurs reprise par Alain Juillet, ancien patron de la direction du renseignement au sein de la DGSE [3], qui déclarait il y a quelques jours dans le journal Libération : « Il faut doter certains agents de sécurité d’armes à feu ». Dans cette interview, l’ancien barbouze reprenait aussi des propos répétés en boucle ces dernières semaines, jusqu’au plus haut niveau de l’État, pour assurer qu’une telle mesure ne devrait pas choquer la population :

    « Cette situation va durer et je pense qu’elle va accroître l’exigence de sécurité des Français qui seront prêts, en contrepartie, à abandonner une partie de leur liberté. »

    #état_d'urgence #surveillance

  • http://imagesociale.fr/2194

    En fait je crois que je viens enfin de mettre le doigt dessus, ce n’est pas grand chose a priori , juste quelque chose que je sens depuis longtemps et que je ne suis jamais parvenu à formaliser. Il y a une dizaine, une quizaine d’années, j’étais frappé d’entendre les premières théorisations à propos de ce que l’on pouvait trouver, notamment en matière de création, sur internet, théorisations que l’on trouvait elles-mêmes sur internet, façon l’article de blog sur le sujet des blogs . En soi je ne trouve pas l’idée mauvaise, il y a quelque chose de récursif, voire d’autotélique, donc de pas inintéressant, ça permet de bien comprendre les enjeux, de l’intérieur en somme.

    Et dans ces temps reculés, à la fin du millénaire dernier, pensez si c’est loin, force était de constater que les exemples qui pouvaient soutendre les théories naissantes à propos d’un monde en devenir n’étaient pas légion. J’imagine qu’à ce sujet j’ai du bénéficier avec mon petit Désordre d’une attention sans doute très outrée par rapport à la véritable valeur du truc, je recevais souvent des articles ou même des publications à propos d’internet et je trouvais assez rigolo, mais pas très sérieux, que dans le champ des possibles mon petit Désordre soit si souvent cité. Et il est même possible que j’ai participé à la chose, des fois on m’a invité à la BNF, rendez-vous compte !, pour deviser à propos de l’internet littéraire ou de je ne sais quels autres sujets en relation avec internet, d’ailleurs, c’est drôle jamais la photographie, qui est pourtant, sans doute le seul champ dans lequel je dispose d’autorité, un peu (avec le rugby sans doute), au contraire par exemple de la littérature, surtout quand on sait le nombre de lettres de refus d’éditeurs, pas toutes polies, qui ornent les murs de mes toilettes. D’ailleurs c’est vous dire à quel point c’était prophétique, aujourd’hui plus personne ne semble s’intéresser au Désordre , ce que j’ai d’abord accueilli de façon chagrine, il faut bien avouer, ce que je vis désormais comme une libération, je peux continuer de faire exactement ce que mes caprices m’ordonnent de faire et si ce sont de médiocres séquences d’animation avec de la pâte à modeler, be it .

    Autour de moi, j’étais parfois surpris de voir les uns et les autres, contraints, pensais-je d’abord, à se prendre pour exemple dans leurs efforts de théorisation, je pensais contraints, par le manque d’exemples. En fait j’allais même jusqu’à leur trouver l’excuse de l’habitude quand les exemples commençèrent à venir. Quand cela relevait de l’activisme, je pardonnais aussi.

    Et puis de plus en plus je me suis rendu compte qu’il y avait surtout, et particulièrement à partir de 2006-2007, et les fameux réseaux associaux des enjeux de pouvoir. Le fameux web 2.0 devenait une pratique qui consistait à écrire un article sur soi-même, puis de le syndiquer au meilleur de ses réseaux associaux, au milieu duquel la règle d’or c’était scratch my back I’ll scratch yours , ce qui a nécessairement abouti au résultat finalement prévisible et consanguin, la théorie est venue souligner la pratique et inversement. Dans les années soixante et septante Alain Robbe-Grillet ironisait souvent sur le fait qu’il fût invité dans de nombreuses universités américaines notamment pour deviser à propos du Nouveau roman et que du coup il avait le sentiment de faire cours à propos de lui-même. Robbe-Grillet aimait d’ailleurs beaucoup l’exercice. On peut même se demander de savoir quelle serait la pérénité de son oeuvre sans cette caisse de résonnance des universités américaines. C’est désormais une certaine Christine Angot qui a repris le flambeau de faire cours d’elle-même, très appliquée d’ailleurs, c’est qu’elle est sérieuse la petite Christine, regardez comme son front est froncé, il semble cependant que les universités américaines aient appris leur leçon et ne soient plus si empressées à tendre leurs microphones et leurs amplificateurs à des rois nus.

    Et, comparablement dans le domaine de l’auto étude finalement, je me demande si les chercheurs n’en auraient pas oublié jusqu’aux principes mêmes de ce qui fonde leur discipline, notamment la nécessité de garantir les observations de considérations personelles et je ne dirais pas que, fidèles à Bourdieu s’interrogeant sur son propre microcosme de la sociologie, ils ont tenté un retournement de la lame de leur sens critique en vers eux-mêmes, non, au contraire, bien au contraire, ils sont restés du côté du manche, puisque se prenant désormais de façon entièrement décomplexée, comme leur objet d’étude, ils n’ont pas pu s’empêcher de faire des portraits laudateurs d’eux-mêmes, je crois même que l’époque appelle cela des selfies .

    Alors imaginez un peu le chercheur en matière de selfies (et de toute la pratique des réseaux associaux) !

    Quand le chercheur montre du doigt les couchers de soleil collectionnés par Penelope Umbrico, les followers taguent et retwittent .

  • QUAND LIBÉRATION CONSACRE UNE DOUBLE PAGE GLAMOUR À CAROLINE FOUREST .

    Samedi 8 août, le journal Libération a consacré deux pages, dans la rubrique « Idées », à un entretien croisé de Caroline Fourest et sa compagne Fiammetta Venner.
    Le prétexte : une série relative aux couples célèbres ayant « la production intellectuelle pour principale activité ».
    Le ton du papier : bienveillant envers le duo et uniquement critique à propos de « la violence de certains de leurs contradicteurs ».
    L’omission majeure : l’accumulation de mensonges et contre-vérités formulées par Caroline Fourest au cours de sa carrière.

    Détail-clé : cette réputation -étayée par les faits- de « sérial-menteuse » n’empêche pourtant pas Fourest de prolonger ses contrats avec le service public audiovisuel. Fin juin, la chaîne Arte a ainsi diffusé un documentaire politico-écologiste tourné en Afrique par le tandem Fourest/Venner et co-produit par Arte France {https://youtu.be/goc0UvTEek8

    }.

    Triple rappel :

    En avril, Fourest -qui se targue régulièrement d’être une « humaniste universaliste »- avait été célébrée à Washington par un ex-agent du Mossad favorable à la torture {http://panamza.com/11366}.

    En mai, Fourest avait été publiquement bannie par Laurent Ruquier pour avoir menti sur le plateau de son émission {http://dai.ly/x2pmzxw}.

    * Libération est possédé par Patrick Drahi, militant « sioniste » autoproclamé et citoyen le plus riche d’Israël. De plus, le journal est dirigé par Laurent Joffrin, l’homme qui avait soutenu l’idée d’une « supériorité morale » d’Israël lors de l’invasion de Gaza en 2008 {panamza.com/telavivision ; http://panamza.com/avb}

    Pour en savoir plus sur le tandem Fourest/Venner et leur collaboration avec la nébuleuse sioniste internationale, consultez l’enquête de Panamza : http://panamza.com/9700

    https://www.facebook.com/panhamza/photos/a.259863080821062.1073741827.258337060973664/565257433614957/?type=1&theater

  • Revue de presse RFI "Israël face aux « jihadistes juifs »" (Libération)

    Le journal Libération revient notamment sur la mort du bébé palestinien après une attaque menée par des extrémistes juifs. Son correspondant à Jérusalem est allé enquêter du côté des écoles talmudiques. Le terrorisme juif, que les chroniqueurs israéliens qualifient de « jihadisme juif » n’est pas une nouveauté en Israël, « il bénéficie d’une certaine impunité » selon Libération. Dans les yeshivot, les écoles talmudiques de Cisjordanie où de nombreux jeunes gens résident en internat, on étudie durant les cours des livres tels que : « Comment brûler une mosquée » ou « La Torah des rois », un traité de théologie expliquant qu’il est permis de tuer des non-juifs. Y compris des bébés. Ces yeshivot sont financées par l’Etat et leurs rabbins sont des fonctionnaires publics censés s’abstenir de toute prise de position politique.

    Selon les estimations du Service de sécurité intérieur israélien (le Shabak), les « jihadistes juifs » susceptibles de perpétrer des attentats seraient environ 500. Une poignée donc, sauf que nombre d’entre eux résident dans des outposts, des colonies créées sans l’accord de l’Etat hébreu mais protégées par lui, ainsi que dans des implantations « officielles » telles que Hébron. « Nous sommes en guerre contre les Arabes, contre les laïcs, contre les gays, les gauchistes et les drogués. Bref, contre tous ceux qui portent atteinte à la nature juive et sacrée d’Israël », confie l’un d’entre eux à Libération. Netanyahu a durci le ton hier en annonçant des mesures punitives après l’attaque au couteau qui a fait un mort et 5 blessés lors de la Gay Pride. Les extrémistes juifs agressent « au nom du prix à payer ». Les palestiniens ont recensé 11 000 attaques en dix ans selon l’ONG israélienne Yesh Din. 85% des plaintes de palestiniens contre des colons sont classées sans suite.

    L’Union européenne principale soutien aux colons ?

    L’humanité accuse en Une l’Union européenne de complicité dans les crimes de guerres israéliens. Selon le quotidien communiste, sous couvert de programmes de recherche, l’UE pourrait bien être « le principal soutien financier des crimes de guerres israéliens et de la colonisation ». Mais aussi des partenariats qui seraient quelques peu gênant. L’Humanité en cite quelques uns. Les projets d’Elbit Systems, basé à Bruxelles, avec Israël Aerospace seraient pour la grande majorité destinés au développement des drones. Certains d’entre eux auraient même été testés affirme Libération lors de l’opération israélienne Bordure protectrice, l’an passé à Gaza qui avait fait plus 2 100 morts côté Palestiniens. Pour Jamal Juma, un activiste palestinien qui est à l’origine de ces révélations, la société Elbit serait non seulement impliquée dans la construction du mur et des infrastructures des colonies mais serait aussi un acteur clef dans le développement du système de satellites multi-missions pour l’armée israélienne. Enfin, toujours selon l’Humanité, plusieurs entreprises européennes participeraient au développement des colonies juives. Selon un membre de l’OLP, la compagnie Orange serait même accusée d’être le principal partenaire de l’occupation. L’opérateur téléphonique français tirerait un profit économique des infrastructures de communication qu’elle installe dans les colonies et contribuerait au maintien des implantations illégales de Cisjordanie.

    http://www.rfi.fr/emission/20150803-une-israel-face-jihadistes-juifs

  • La raison délirante de l’Europe, un nouveau fascisme mou ?
    Laurent De Sutter, Liberation, le 10 fevrier 2015
    http://www.liberation.fr/monde/2015/02/10/la-raison-delirante-de-l-europe-un-nouveau-fascisme-mou_1199605

    Votre argent au service du climat ? Le greenwashing de Votre Banque !
    Amis de la Terre France, youtube, le 12 fevrier 2015
    https://www.youtube.com/watch?v=4XItPakULDo

    Pourquoi il faut craindre le traité transatlantique
    John Kay, Financial Times, le 14 fevrier 2015
    http://www.courrierinternational.com/article/2015/02/14/pourquoi-il-faut-craindre-le-traite-transatlantique

    #Europe #Finance #Banque #greenwashing #écologie #TAFTA #délire ou #fascisme ?

  • Le milliardaire Patrick Drahi, achète Libération et l’Express
    http://www.brujitafr.fr/2015/01/le-milliardaire-patrick-drahi-achete-liberation-et-l-express.html

    Le patron de Numéricable et SFR Patrick Drahi, homme d’affaires franco-israélien et classée 4ème au classement des personnalités les plus fortunés de France selon le magazine Forbes, a négocié avec son allié Marc Laufer

    le rachat de l’hebdomadaire l’Express, le mensuel économique l’Expansion et des titres Mieux vivre avec votre argent, Lire, Classica, Studio Ciné Live et L’Entreprise.

    Le journal Libération (qui abrite actuellement Charlie Hebdo), la chaîne d’information israélienne i24news et le magazine L’Express seront réunis au sein d’un nouveau groupe média “Mag&NewsCo”, dirigé par Patrick Drahi, coactionnaire de Libération ainsi que son associé Marc Laufer, ont-ils annoncé mercredi, selon l’Agence France Presse.

    Actuellement, Patric Drahi et Marc Laufer détiennent Libération à 50%, tandis que (...)

  • Libération, L’Express et i24news réunis dans un nouveau groupe de presse détenu par Patrick Drahi et Marc Laufer - La Tribune

    Le journal Libération, la chaîne d’information israélienne i24news et le magazine L’Express vont être prochainement réunis au sein d’un nouveau groupe plurimédia Mag&NewsCo, détenu par Patrick Drahi et Marc Laufer.

    Alors que Patrick Drahi et Marc Laufer sont en passe de racheter au groupe belge Roularta L’Express et L’Expansion, le président de Numericable-SFR et son associé ont annoncé la création d’un nouveau groupe de presse Mag&NewsCo, dans un communiqué de presse ce mercredi. Le journal Libération, la chaîne d’information internationale i24news, le magazine L’Express et NewsCo Group, groupe d’information professionnelle (auto, banque, IT) fondé en 2011 par Marc Laufer, seront regroupés dans Mag&NewsCo.

    Mag&NewsCo, nouveau groupe média diversifié
    Le but ? « Que l’ensemble des titres puissent accélérer leur développement et construire leur avenir, en particulier numérique, en demeurant fidèles aux valeurs fondatrices, notamment celles des créateurs de L’Express, Françoise Giroud et Jean-Jacques Servan-Schreiber », annonce dans un communiqué le milliardaire du câble et son associé, ex-dirigeant de NextRadioTV, de La Tribune et de NRJ.

    « Mag&NewsCO, intégrera la télévision, la radio, la presse écrite, le numérique et le mobile », selon les deux hommes d’affaires qui seront les deux seuls actionnaires du groupe. Pour l’instant, Libération est détenu à 50% par Patrick Dahi et Marc Laufer, et 50% par l’homme d’affaires Bruno Ledoux et ses associés.

  • Un nouveau groupe de presse réunira Libération, L’Express et i24news
    http://www.latribune.fr/technos-medias/medias/20150114trib3f53ad1cd/un-nouveau-groupe-de-presse-reunira-liberation-l-express-et-i24news.html

    Alors que Patrick Drahi et Marc Laufer sont en passe de racheter au groupe belge Roularta L’Express et L’Expansion, le président de Numericable-SFR et son associé ont annoncé la création d’un nouveau groupe de presse Mag&NewsCo, dans un communiqué de presse ce mercredi. Le journal Libération, la chaîne d’information internationale i24news, le magazine L’Express et NewsCo Group, groupe d’information professionnelle (auto, banque, IT) fondé en 2011 par Marc Laufer, seront regroupés dans Mag&NewsCo.

    Rien que le nom est horrible.

    (via @rezo)

  • PETITION pour la LIBERATION de MARWAN BARGHOUTHI et TOUS les PRISONNIERS PALESTINIENS

    https://www.change.org/p/campagne-pour-lib%C3%A9rer-marwan-barghouthi-et-tous-les-prisonniers-palesti

    Une campagne internationale pour la libération de tous les prisonniers palestiniens est lancée, depuis l’Afrique du Sud, dans plusieurs pays (http://fmaapp.ps). C’est « L’appel de Robben Island » lancé en octobre 2013 par Ahmed Kathradra, compagnon de détention de Nelson Mandela, et parrainé par un Haut Comité comprenant des Prix Nobel (Jimmy Carter, Adolfo Perez Esquivel,Jose Jamos Horta, Mairead Mac Guire, Rigoberta Menchu, Desmond Tutu, Jody Williams) ainsi que Stéphane Hessel.

    La campagne française, rendue publique dès le 10 avril 2014, lance aujourd’hui une pétition nationale :

    La liberté et la dignité sont l’essence de la civilisation.

    Des générations d’hommes et de femmes ont fait d’énormes sacrifices pour forger des valeurs universelles, défendre les libertés fondamentales et faire progresser le droit international et les droits de l’Homme. Y renoncer serait une menace très grave pour notre civilisation. Ces valeurs s’appliquent en Palestine et impliquent la libération de Marwan Barghouthi et de tous les prisonniers palestiniens –parmi lesquels de nombreux élus- dont la détention vise à détruire le tissu social et national du peuple palestinien et à briser son aspiration à la liberté.

    Central pour l’unité et la liberté, un nom a émergé : Marwan Barghouthi, qui a passé plus de 20 ans dans les prisons israéliennes, est reconnu comme le symbole de la lutte du peuple palestinien pour la une paix fondée sur le droit international. A l’instar de la mobilisation internationale qui a conduit à la libération de Nelson Mandela et de tous les prisonniers de l’apartheid , nous pensons qu’il est de la responsabilité morale, politique et juridique de la communauté internationale d’œuvrer pour la libération de Marwan Barghouthi et de tous les prisonniers palestiniens afin de contribuer à la réalisation des droits du peuple palestinien.

    Nous appelons à leur libération qui marquera la volonté réelle de l’Etat d’ Israël de mettre fin à l’occupation et ouvrira la voie à la paix.

    Déclaration de Robben Island (http://fmaapp.org/the-robben-island-declaration), synthèse

    De nombreux signataires connus : Rony Brauman, Christiane et Stéphane Hessel, Etienne Balibar, Guy Bedos, Esther Benbassa, Monique Chemillier-Gendreau, Eva Joly, Jean-Claude Lefort, Patrick Le Hyaric, Jacques Milliez, Edgar Morin, etc ...