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  • France Inter : l’impossible mea culpa sur la Pitié-Salpêtrière | Pauline Perrenot
    https://www.acrimed.org/France-Inter-l-impossible-mea-culpa-sur-la-Pitie

    Au lendemain du 1er mai, les médias dominants ont allègrement contribué à la « désinformation générale » au sujet de la présence de manifestants dans la cour de la Pitié-Salpêtrière. France Inter n’a pas fait exception, relayant les fausses informations concernant une « attaque » de l’hôpital. Cet épisode aurait dû conduire la radio de service public, si prompte à s’emballer, à reconnaître ses erreurs de manière tout aussi rapide… C’est pourtant loin d’avoir été le cas. Source : Acrimed

  • La France sous Macron : une start up sans conseil d’administration
    AU FEU ! AUX FOUS !

    Cette nuit du 14 au 15 septembre, à 4 heures du matin, avec une loi agriculture qui sent bon le parfum des lobbies, la chimio-agriculture productiviste s’est donné un petit verre pour la route. Monsanto et Bayer ont gagné le droit de continuer leurs arrosages de Glyphosate. Les députés « La République en marche » sont venus empêcher nos amendements et tous ceux qui voulaient interdire le glyphosate. Cet horaire pour en débattre, la hargne vulgaire des chiens de garde du groupe parlementaire Macroniste, tout cela dessine un tableau crépusculaire du régime.
    Nous sommes à mi-septembre seulement et tous les éléments de crise politique laissé derrière nous fin juillet, loin d’être estompés par les vacances, sont revenus crument sur le devant de la scène. Et tous se présentent sous une forme durcie. Et cela du seul fait des errements de l’exécutif. C’est donc dans la sphère politique que la déstabilisation est la plus avancée alors même que s’avance une séquence de déstabilisation plus globale. En effet l’état économique et social du pays va « prendre cher » avec la présentation du budget de l’Etat et celui de la sécurité sociale. Et cela sur fond de coup de frein frappant l’activité étouffée par une politique à contre sens des besoins.
    Et là-dessus revoila l’affaire Benalla. Elle a déjà fonctionné comme un seuil : il y a un avant et un après Benalla pour la présidence Macron. A présent cette même affaire revient sur le devant de la scène avec un bras de fer institutionnel sans précédent. Du jamais vu. Macron Castaner, Benalla en personne d’un côté et de l’autre le Sénat en tant qu’institution. Les uns menacent et font pression, les autres observent, sidérés. Il y a donc désormais un cycle Benalla dans le quinquennat. Le nouvel épisode prend la forme d’une crise politique d’un type absolument nouveau. Bien sûr il est possible que dans l’ambiance délétère qui prévaut désormais, personne ne fasse plus attention ni à l’esprit des institutions, ni à leurs règles de fonctionnement ni au poids des mots utilisés. Que le président de la République rappelle à l’ordre le président d’une des deux assemblées est un débordement de l’exécutif sur le législatif qui ne serait accepté dans aucun état démocratique ailleurs. Au demeurant comment Macron peut-il croire que le président du Sénat a une autorité sur les choix et l’activité des membres d’une commission d’enquête ? C’est presque aussi choquant que le coup de pression lui-même. Son garde du corps invective les parlementaires qui vont l’interroger. Mais il n’est pas publiquement rappelé à l’ordre. C’est une façon pour la présidence d’assumer une offense antiparlementaire d’une violence inconnue jusque-là. Là-dessus monsieur Castaner, ministre chargé des relations avec le parlement reprend la boxe. Il accuse le Sénat d’être un danger pour la République parce qu’il viserait la destitution du Président. L’énormité de l’accusation « danger pour la République » échappe-t-elle à ses auteurs ? Se rendent-ils encore compte de ce qu’ils disent ? Et le reste n’est pas moins sidérant. Le Sénat aurait donc vraiment l’intention de destituer le Président de la République ? On pourrait penser que c’est une bonne nouvelle. Mais qui peut sérieusement la croire ? A moins que le travail de cette Commission ne soit promis à faire des découvertes y conduisant. On se demande lesquelles. Si bien qu’un sénateur socialiste a pu se demander publiquement si Macron n’était pas devenu le garde du corps de Benalla avec ce genre de méthodes d’intimidation.
    Bien sur depuis le début de tout cela je n’ai pas quitté le sourire en coin. Comment oublier que nous avons été accusés d’être des violents ce premier Mai même au cours duquel les barbouzes du président tabassaient les passants. Comment oublier le nombre de fois où l’on m’a accusé d’être excessif et agressif en voyant ces personnages agresser l’institution parlementaire et un sicaire du pouvoir injurier les sénateurs. Comment oublier que ces gens m’ont reproché de ne pas avoir « accepté le résultat de la présidentielle » comme s’ils en doutaient eux-mêmes au point d’être devenus si chatouilleux sur la stabilité de cette présidence face à une simple commission d’enquête.
    La portée de cet enchainement et son contexte à la suite de l’année Macron secoue en profondeur tout l’édifice républicain. Quel genre d’Etat de droit sommes-nous devenus ? Voyons ce tableau. Un accord international s’applique sans être discuté devant notre parlement. La règle sociale est négociée entreprise par entreprise, le président agresse le parlement sans aucune réaction des oies médiatiques du Capitole et ainsi de suite. Telle est devenue la France sous Macron : une start up sans conseil d’administration. Mais ce pays est tellement plus que cela ! La camisole macronienne éclatera.
    Dans ce contexte institutionnel rendu si explosif par Macron lui-même, les épisodes de la démission et du remplacement de Nicolas Hulot puis de la nomination et du remplacement de De Rugy ont aggravé les problèmes qui se posaient au pouvoir dans ce cas. Le diagnostic et le bilan de Hulot fonctionne comme un réquisitoire et une motion de censure de la politique écologique en cours. Puis il y a eu une séquence de mise aux enchères du ministère de l’écologie, où, pour finir, aucun écolo connu n’en a voulu. Dans cette ambiance, les gesticulations de Cohn Bendit ont continué de donner l’impression d’un grand n’importe quoi : le président discute d’égal à égal avec un histrion perdu de réputation. La nomination de De Rugy s’est donc présentée comme un pis-aller misérable. Il révélait qu’au fond le seul souci du pouvoir était de s’approprier un bon gisement de complaisances. Comme si ça ne suffisait pas est arrivé le sketch masculiniste de l’élection de Richard Ferrand au perchoir de l’Assemblée Nationale. Bilan final de l’ensemble : une ambiance glauque précipitant l’image du régime Macron dans les basses cases des mauvais souvenirs de décadence du passé.
    Ce tableau d’impuissance à maitriser l’histoire dont il est l’acteur, fait de Macron, en quelque sorte, une nouvelle victime de l’univers déstabilisé qu’a provoqué son élection. Rien ne tient désormais, pas même lui. C’est sans doute cette crainte qu’exprime Castaner quand il pense voir venir une destitution du président.
    Pour ma part j’ai toujours mené mes combats en tachant de tirer partie de l’énergie que déploie l’adversaire. Ici la macronie nous fournit une énergie très auto destructrice qui fournit les moyens de nombreuses prises. Je vois de plus un autre point d’appui dans la stratégie de Macron. Il veut installer le paysage d’un face à face avec Le Pen dans l’élection européenne. Et de la même façon il y aurait un face à face Orban/ Macron. Dans l’un et l’autre cas personne n’a l’air de se soucier vraiment du paroxysme de crise politique que cela signifierait au deux échelons national et européen. Opportunément, un sondage sur 565 personnes vient confirmer au niveau national ce paysage espéré par le pouvoir. Au fond, assez cyniquement, Macron compte comme d’habitude sur un vote forcé du type de celui qui lui a permis d’être élu Président. J’ai la certitude que cela ne peut fonctionner. Les gens savent que le pouvoir de l’Etat n’est pas en cause avec une élection européenne. Dès lors la mobilisation forcée n’aura pas lieu aussi facilement « pour faire barrage » que la macronie peut le croire. Les castors en ont marre. Au demeurant les électeurs euro béats sur lesquels compte Macron vont s’éparpiller entre la liste de EELV, celle du PS et peut-être même une liste centriste. Par contre le vote anti macron sera bien stimulé par le contexte. Comptez sur nous pour faire savoir qu’en cas d’un vote sanction net, Macron sera plus proche de la sortie de secours de l’Elysée que du Trône ! Mais l’agitation de la menace Le Pen et son instrumentalisation une fois de plus joue aussi pour déstabiliser le régime. Car cela approfondit à la fois le sentiment d’une insupportable manipulation supplémentaire mais aussi celui d’une crise politique qui ne se règle jamais. Cette conjonction va beaucoup nous aider à nous valoriser comme alternative rompant avec ce face à face du pouvoir (quel qu’il soit) et des Le Pen qui dure depuis vingt ans. Mais surtout il va aggraver le sentiment d’un pouvoir Macroniste qui n’a rien changé, sinon en pire depuis sa mise en place. Le sentiment d’une crise politique à laquelle répond précisément notre proposition de Constituante et notre objectif de la sixième République. Bref plus le pouvoir Macroniste joue avec le feu plus se raccourcit le chemin vers le pouvoir
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    https://www.facebook.com/JLMelenchon/posts/10156761518623750 ?

    • dans la partie 4 - Elisabeth Morin-Chartier 46:30 elle raconte une condamnation du parlement européen pour non mise en place démarche interne des plaintes pour harcelement. Cette condamnation fait suite à l’affaire « Audimata » une député socialiste grec qui a harcelé ses deux assistants.
      Je relève car ce sont deux victimes de sexe masculin et une agresseuse femme, et ca me semble interessant que dans ce cas là il y ai eu une réaction au point de condamné le parlement lui même.

    • La partie 5 comporte des intervenant·es du monde judiciaire en particulier Marie Dosé qui monopolise pas mal la parole.

      A voire ce que dit Marie Dosé et ce que disent les autres intervenant·es de ce domaine on comprend que la situation n’est pas prête de changé pour les victimes de violence sexuelle.
      Marie Dosé est complémentent dans l’abstraction patriarcale et semble parlé de religion. Elle passe son temps à tenir un double discours de culpabilisation des victimes.

      1- Elle dit que les victimes sont stupides de pensé à une idée de justice. La justice c’est pas pour les victimes. La justice c’est pour la justice elle même. Elle ne sert pas à éloigné les individus dangereux de la société, c’est pas pour obtenir une reconnaissance des faits et encore moins de l’argent pour se soigné de ses traumatisme. La justice c’est juste une sorte de religion dont la seule utilité est de sauvé des hommes solvables de la calomnie de méchantes filles et femmes.

      2- Sur la correctionnalisation elle nous apprend que c’est les victimes qui choisissent elles même de se correctionnalisées leurs viols toutes seule comme des grandes en pleine connaissance de cause.

      3- les victimes devraient s’estimer bien contente car des fois il y a des bons flics qui sont tellement dévoués qu’ils acceptent de prendre des plaintes de victimes de violences sexuelles. Et même la nuit il y en a qui t’écoutent jusqu’à 3h du mat !!!! Incroyable que des flics écoutent des victimes de viol, alors qu’ils ont tellement de travail avec les hommes calomniés.

      4- Dés fois Marie Dosé dit refuser la correctionnalisation mais seulement quant ca peu servir un homme accusé selon elle à tord, pour avoir une reconnaissance éclatante de l’innocence de ces hommes et servir alors LA JUSTICE. Par contre refusé une correctionnalisation pour une victime de viol, elle dit pas le faire, elle voie pas trop pourquoi le faire alors que selon elle les victimes souffrent tellement des lenteurs de la justice, que ne pas leur faire justice, c’est leur faire justice...

      5- Marie Dosé ajoute aussi qu’il y a pas de problèmes du coté des magistrats qui sont extrêmement et parfaitement bien formé sur les violences sexuelles (en fait Sandrine Rousseau précise qu’il s’agit pour les juges d’à peine une demi journée sur l’intégralité de leurs études).

      Si il y a tellement d’engorgement des tribunaux, pourquoi ne pas faire grève des outrages à agents ou des vols ou des poursuites contre les millitant·es qui viennent en aide aux migrant·es ?

      Dans cette vidéo il y a aussi une chose qui m’a interpellée. Le colloque s’inscrit dans le contexte actuel du Macronisme qui instrumentalise le discours féministe et cette histoire de contravention pour harcèlement de rue. Schiappa ne s’est pas donné la peine de venir à ce colloque et elle à envoyé une jeune femme racisée, Laetitia Avia.
      C’est évident que Laetitia Avia est envoyé au casse pipe à la place de Schiappa. C’est claire que cette idée de contravention est absurde et que c’est une mauvaise réponse à ce problème. Je suis d’accord sur ce que dit Marie Dosé à propos de cette loi et j’aurais même plus de chose à dire qu’elle contre cette mesure. Mais en tout cas cette idée de contraventions pour harcélement de rue est bien pratique pour évité de parlé du fond (pas de renforcement des lois déjà présentes, pas de budjet pour les formations, pas de retour de l’ABC égalité à l’école, pas de plan global contre les violences sexuelles faites aux femmes et aux enfants...). Du coup ca permet à Macron & co de faire croire qu’illes agissent et ca permet à Marie Dosé & co de faire les sourd·es au sujet des violences sexuelles.

      Il m’a semblé qu’il y avait un truc doublement raciste par rapport au choix de Schiappa d’envoyé Laetitia Avia. Laetitia Avia est venu servir des éléments de langage, elle n’a pas l’aisance oratoire de Marie Dosé, elle enchaîne pas mal de phrases incompréhensibles qui visent clairement à noyé le poisson. Faut dire qu’elle est venu vendre une mesure qui sera de toute façon imposé à coup d’ordonnance si Jupiter en décide ainsi. En tout cas Laetitia Avia ne donne pas une impression de compétence (peut être parce qu’elle est jeune, racisée, probablement d’origine sociale pauvre, peut être aussi parce qu’elle n’est pas compétente et à été choisi pour des questions d’image) et ceci donne l’impression qu’elle à été choisi sur d’autres critères (sexe, race et classe). Peut être que c’est qu’une impression (déformation de mon regard de femme blanche bourgeoise), peut être qu’elle est vraiment incompétente, car Macrons & co ne choisissent pas les personnes sur leur compétence, mais plutot sur leur image et soumission aux ordonnances jupiteriennes.

      Lorsque Laetitia Avia s’exprime, (15:10 sur la vidéo) Marie Dosé qui est assise à coté fait tout un beau spectacle du mépris. Elle lève les yeux au ciel, soupir, grimace, se recoiffe, se tripote...
      Je suis pas certaine que Marie Dosé aurais affiché aussi clairement son mépris si l’émissaire du gouvernement avait été un homme blanc. Je pense que son numéro aurais été plus retenu. Mais bon c’est seulement une impression et j’avoue que ce que dit Laetitia Avia me fait facepalemé aussi.

      En fait il m’a semblé que Laetita Avia était dans un double piège. Instrumentalisé par Macron pour servir la soupe avec une image de « diversité ». Méprisé en retour pour être l’instrument de Macron, avec un affichage du mépris démultiplié par le racisme, sexisme, classisme.

      J’essaye d’imaginé ce que ca aurais donné si Laetitia Avia avais été compétente. Mais je ne voie pas comment peut on être compétente pour promouvoir cette contravention pour harcèlement de rue pondu par le service de comm de jupiter...
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      Du coup ce qui reste de ce colloque c’est l’impression qu’on est pas sortie des ronces et qu’on s’y enfonce plus profondément.

      Les féministes dans les colloques du matin parlent entre elles dans le vide. Elles sont épuisées. L’AVFT est fermé pour burn-out. Il faut plus de moyens et les moyens on sais qu’on les aura pas.

      Les juges sont très satisfaits d’elleux mêmes, illes se félicitent d’être bien formés et d’avoir des super flics avec eux qui reçoivent des plaintes jusqu’à 3h du mat certains jours. Leur boulot c’est de servir « la justice », c’est à dire traquer les calomniatrices d’hommes, et innocenté ces hommes quitte à encombrer les assises pour ca. Pour les victimes faut pas trop qu’elles s’intéressent à la justice, tout ce qu’elles peuvent espéré c’est un traumatisme supplémentaire et le mieux que la justice peut leur offrir c’est d’expédier ca le plus vite possible en correctionnel.
      Bien que très satisfait·es d’elleux, les juges demandent quant même des moyens, en particulier pour innocenté des hommes calomniés. C’est peut être d’ailleurs l’idée de Marie Dosé, tout son discours sur les hommes accusés à tord est peut être un message subliminal.

      " O Jupiter,
      Elève notre budget.
      En retour
      Hulot et Darmanin
      seront purifiés à l’hysope.
      Amen (le flouze) "

  • Liberté Egalité Pièces détachées
    http://lerepondeurdesinsoumis.tumblr.com/post/165824309192/liberté-egalité-pièces-détachées

    Ainsi donc en 2014, monsieur Kron, avec la caution de Macron and co, je dis monsieur mais je pourrais aussi bien dire le traitre, l’ordure, la saloperie Kron, a bradé le fleuron industriel Alstom et l’indépendance énergétique française, donc notre indépendance politique où ce qu’il en reste, à Général Electric c’est à dire aux américains.<p>Pour sa forfaiture, le Judas Kron a reçu en guise de 30 deniers, 4,1 millions d’euros sans compter les 10,5 millions de sa retraite chapeau l’artiste.<p>Dans …

    http://ift.tt/2xyZi5x

  • Macron prepares enabling act to slash contracts, labor rights in France - World Socialist Web Site
    http://www.wsws.org/en/articles/2017/05/23/macr-m23.html

    The Macron administration has no mandate whatsoever to carry out the program it is proposing. The labor law was deeply unpopular even without its most controversial provisions; former PS President François Hollande’s economic policy, which Macron helped formulate, had a 4 percent approval rating. Now Macron is advancing such a program after an election that he won largely by default, because he was facing deeply unpopular neo-fascist candidate Marine Le Pen.

    Macron, a former investment banker at the Rothschild bank, aims to impose the arrogant diktat of the banks. Under Hollande’s presidency, as workers’ living standards fell, the wealth of top French multi-billionaires like Liliane Bettencourt and Philippe Arnault nearly doubled. With the world economy still mired in crisis, however, and France’s economic position and its weight in world trade continuing to fall, the ruling class is determined to squeeze even more money out of workers and place it in the hands of the super-rich.

    The working class is faced with a political struggle against an absolutely ruthless government that is willing to resort to forms of repression unseen in France since the 1940s in order to ram through the diktat of the banks. The new administration is aware that it faces massive popular opposition and is making detailed plans to crush strikes and protests.

    Last week, the media revealed that the PS had made plans for a coup d’état after the presidential elections, to be implemented had Marine Le Pen won. Its purpose would not have been to topple Le Pen, however, but to crush anti-fascist protests and suspend normal parliamentary procedure by imposing a PS government on Le Pen.

    • La classe ouvrière est confrontée à une lutte politique contre un gouvernement absolument impitoyable qui est disposé à recourir à des formes de répression inaperçues en France depuis les années 1940 afin de traverser le diktat des banques. La nouvelle administration est consciente qu’elle fait face à une opposition populaire massive et fait des plans détaillés pour écraser les grèves et les manifestations.

      La semaine dernière, les médias ont révélé que le PS avait pris des plans pour un coup d’état après les élections présidentielles, à mettre en place si Marine Le Pen a gagné. Son but n’aurait pas été de renverser Le Pen, cependant, mais d’écraser les manifestations antifascistes et de suspendre la procédure parlementaire normale en imposant un gouvernement PS sur Le Pen.

  • The Fidget Spinner Is the Perfect Toy for the Trump Presidency - The New Yorker
    http://www.newyorker.com/culture/cultural-comment/the-fidget-spinner-is-the-perfect-toy-for-the-trump-presidency

    But the current explosion of popularity in fidget toys extends well beyond children with a diagnosis, as those teachers nationwide—nay, internationally—who have been banning them from their classrooms could surely attest; they have become a universally desirable accessory for tween-aged students. They function, in their seductive tactility, like cigarettes for kids who are still young enough to find smoking completely disgusting. The measure of the craze can be taken with a quick scan of Amazon rankings: a recent search revealed that forty-nine of the fifty best-selling toys were either fidget spinners or fidget cubes. (The only non-fidget-based toy in Amazon’s top fifty sellers was an obscene party card game for adults, with the uplifting name Cards Against Humanity.) No longer a fringe occupation, fidgeting is for all, not just for the few.

    This marks a significant evolution—or devolution, if you prefer—in the cultural status of fidgeting. Until very recently, fidgeting was invariably an activity with a pejorative connotation. It was something kids were supposed to stop doing.

    This reëvaluation of fidgeting certainly legitimizes the surge in popularity of the fidget spinner, but it does not entirely explain it. Why spinning? And why now? The invention of the spinner has been credited to Catherine Hettinger, described by the Guardian as “a Florida-based creator,” who registered a patent for a finger-spinning toy back in 1997 but was unable at the time to interest toy companies in its marketability. Unfortunately for Hettinger, she allowed the patent to lapse and, therefore, is not profiting from the current craze. (In truth, the spinners currently dominating the market—which are shaped like ergonomic ninja stars—bear only a conceptual resemblance to Hettinger’s prototype, which looks as if it might be a contraceptive diaphragm designed for a whale.)

    At the time that Hettinger was floating her invention, a very different craze was making its first inroads into the handheld-toy marketplace. The Tamagotchi, which was launched first in Japan and then globally, was a so-called digital pet, which required certain attentions from its owner to thrive.

    Compared with the fidget spinner, the Tamagotchi is a marvel of complexity, stimulating imagination and engendering empathy. Go back even further, to the nineteen-eighties, and you find the Rubik’s Cube, a toy that offers all the haptic satisfaction offered by a fidget spinner, and also combines it with a brainteaser of such sophistication that many of us are little closer to solving it than we were thirty-five years ago.

    More recent fads compare favorably, in the cognitive-demand department, to the fidget spinner, too. The Rainbow Loom required considerable dexterity to produce those little bracelets worn by everyone who was between the ages of six and eleven in 2013.

    The fidget spinner, it could be argued, is the perfect toy for the age of Trump. Unlike the Tamagotchi, it does not encourage its owner to take anyone else’s feelings or needs into account. Rather, it enables and even encourages the setting of one’s own interests above everyone else’s. It induces solipsism, selfishness, and outright rudeness. It does not, as the Rubik’s Cube does, reward higher-level intellection. Rather, it encourages the abdication of thought, and promotes a proliferation of mindlessness, and it does so at a historical moment when the President has proved himself to be pathologically prone to distraction and incapable of formulating a coherent idea.

    #gadget #pratiques_sociales #adolescents #enfants #métaphore

  • MacronLeaks : comment les réseaux de la finance mondiale ont lancé la campagne de Macron
    http://www.revolutionpermanente.fr/MacronLeaks-comment-les-reseaux-de-la-finance-mondiale-ont-lanc

    A voir la couverture qu’en font les grands médias, il n’y aura rien à se mettre sous la dent dans les documents internes révélés dans le cadre du MacronLeaks. Pourtant, s’il est vrai qu’il n’y a rien d’illégal et que les informations les plus scandaleuses se sont vus démenties rapidement, les documents passés à la moulinette par Libération laissent entrevoir un financement par les milieux financiers internationaux sans précédent.

    « Circulez, y’a rien à voir » : c’est le message délivré par l’ensemble des grands médias qui semblent s’être donnés rendez-vous pour préserver Macron, à quelques jours de son investiture. Il est vrai que cette fuite d’emails sensibles est loin de révéler des scandales du niveau de ce que disaient les milieux d’extrême droite qui l’ont relayée, Marine Le Pen en tête. Mais de là à dire qu’il n’y a rien…. Les documents passés à la moulinette par Libération laissent présager une gigantesque entreprise de financement par les milieux financiers internationaux qui flirte avec le conflit d’intérêt.

    Un financement exceptionnel de la part des milieux financiers internationaux

    15 millions d’euros, c’est la coquette somme qu’aura réussi à réunir Macron en moins d’un an pour financer sa campagne. C’est un record pour celui qui ne disposait d’aucun parti et d’aucune subvention publique. Pour cela, celui-ci a mené un travail de démarchage intense qu’il a commencé dès l’époque où il était encore ministre de l’Economie. Pour ce faire, il va largement utiliser le réseau d’HEC. Avec l’aide de Christian Dargnat, ex-patron de la filiale de gestion d’actifs de la banque BNP Paribas, mais aussi de Christian Deseglise, l’un des directeurs internationaux de la banque HSBC, celui-ci va rapidement se constituer un petit pactole...

    #MacronLeaks #Président_de_la_Finance

    • Comment En marche a résolu sa question de fonds
      http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/05/11/comment-en-marche-a-resolu-sa-question-de-fonds_1568975

      Lancée ex nihilo en avril 2016, la structure qui a porté au pouvoir le nouveau président s’est financée grâce aux dons des réseaux bancaires ou des patrons de start-up. Coulisses secrètes d’une collecte express et incroyablement efficace, aux racines de la blitzkrieg électorale macronienne.

      Treize mois. C’est le temps infiniment court dont a disposé la Ferrari En marche pour propulser son candidat, Emmanuel Macron, au sommet de l’Etat. Mais surtout pour trouver le carburant indispensable à cette folle aventure : l’argent. Jamais, en effet, une association politique n’était parvenue à se constituer un tel trésor de guerre - près de 15 millions d’euros - aussi rapidement. Faute de parti installé et de subventions publiques, le candidat d’En marche n’a eu d’autre choix que de se lancer dans une course de fonds sans précédent. Option premium.

      Libération, qui a pu consulter des milliers de documents issus des « MacronLeaks », a étudié au plus près cette stratégie de levée de fonds réalisée par le candidat et son équipe. Un travail qui s’est accompagné de multiples recoupements, afin d’identifier et d’interroger les acteurs majeurs de la « start-up Macron »...

      Fantastique courage de « Liberation » qui « raconte tout » après la bataille. Il est vrai qu’avant, il lui fallait parer au plus pressé en s’occupant du Venezuela et de moi. Pourquoi n’ai-je pas levé 15 dollars là-bas pour me comparer aux 15 millions de Macron ! On aurait encore fait la une.

      JLM

    • #LREM : le marketing 2.0 au service de la startup EM à l’Elysée
      https://reflets.info/lrem-le-marketing-2-0-au-service-de-la-startup-em-a-lelysee

      La République en Marche, parti politique issu de la transformation du mouvement En Marche ! d’Emmanuel Macron est un produit politique qui s’est assez bien vendu. Comme tout produit il est le fruit d’une réflexion marketing effectuée par des spécialistes du domaine, qui travaillent à augmenter sa valorisation, et le niveau d’acceptation-client. Cet aspect startup d’En Marche ! est très important à prendre en compte pour qui veut comprendre — au delà de l’emballage médiatique du produit — ce qu’est réellement la proposition politique du mouvement, devenu parti politique, d’Emmanuel Macron.

      Une startup, très souvent, est la réunion d’une équipe d’opportunistes spécialisés dans des domaines considérés comme innovants, qui lancent une idée avec l’objectif de la faire financer très rapidement. Le but d’une startup standard, une fois financée, est de créer dans des délais très courts une valorisation maximale du « nouveau produit », tirée de l’idée en question et répondant à des besoins plus ou moins existants, sans réponse commerciale connue, ou par des besoins purement fabriqués. En Californie, le règne des startups est tel, que l’on cherche tous les jours la nouvelle « idée » qui va « révolutionner » les vies, faire du monde « a better place », offrir un « nouveau service que personne n’avait imaginé » et dont — c’est là le but — personne ne pourra plus se passer dans un futur, annoncé comme toujours, plus « désirable » qu’auparavant. LREM est une startup politique, et comme c’est la règle dans ce monde là, elle tente d’enfumer les électeurs comme la plupart des jeunes pousses innovantes, leurs clients

      Un article de Libé — basé sur les Macron Leaks — explique avec moult détails le financement du projet En Marche ! C’est avant tout une base d’entrepreneurs qui jouent et parient sur le candidat, futur président, que l’article décrit. Un aréopage de banquiers, financiers, investisseurs et autres « capital risqueurs » va donc lâcher des millions à la petite startup de Macron, qui va finir par se lancer dans la vente finale du produit en décembre 2016 : Emmanuel for president !

  • Il n’y a pas que les Bahamas : le FN a mené toute sa campagne sur des intox
    https://www.buzzfeed.com/julesdarmanin/il-ny-a-pas-que-les-bahamas-le-fn-a-mene-toute-sa-campagne

    La quasi totalité de ces fausses informations ne sont pas produites par le Front national. Même si le timing de la diffusion des documents douteux sur la prétendue société offshore de Macron est parfait pour Marine Le Pen, rien ne prouve que la publication des documents a été initiée par le parti, comme semble l’insinuer En Marche !.

    Mais les cadres du parti ont parfaitement assimilé la production de fausses informations venant de leurs militants ou de leurs soutiens, français et étrangers, sur les réseaux sociaux. Sur Twitter, Marine Le Pen suit de nombreux comptes complotistes, racistes et suprémacistes blancs. Louis Aliot partage régulièrement des publications du site Dreuz, qui relaie de nombreuses fausses informations. Bref, ils donnent de la légitimité à écosystème médiatique peu regardant sur la réalité de ce qu’ils avancent. On trouve la même photo non sourcée sur le compte Facebook de Gilbert Collard et sur la page « Vladimir Poutine - Fan Club », une des pages recommandées le plus rapidement lorsque l’on « aime » les cadres du Front national sur Facebook. D’autres pages plus petites, comme le Front national des Côtes-d’Armor, relaient fréquemment des fausses informations venant de sources peu fiables, comme, aujourd’hui, l’affirmation fantaisiste selon laquelle Emmanuel Macron aurait disposé d’une oreillette ultra-discrète pendant le débat (info reprise par Gilbert Collard).

    #Linfiltré #PhoneStories #FN #Fachosphere

  • Dans un jeu vidéo, en 2013 déjà, 15.000$ de pertes réelles étaient décomptées un soir.
    Puis en 2014, c’était 330.000$ en l’espace de quelques heures.
    Eve Online , le jeu vidéo dont l’économie a inspiré le monde réel, consume régulièrement des milliers de dollars en une soirée.

    https://en.wikipedia.org/wiki/Bloodbath_of_B-R5RB
    http://www.bbc.com/news/technology-23489293

    #jeuvidéo #économie #islande

    • « Eve Online , le jeu vidéo dont l’économie a inspiré le monde réel... »
      J’y ai joué au début, en 2003. A l’époque le principe c’etait de former des groupes pour épuiser les ressources d’une zone, construire des vaisseaux, faire la guerre, déstabilisé l’économie du voisin, s’enrichir de la rareté d’une ressource ou crée artificiellement l’épuisement d’une ressource... Il y avais plusieurs type de marché et des cours de bourse internes au jeu. Le systhème des gates permettait aussi de limiter les déplacement de groupes concurrents, bloquer des frontières...

      Dans les organisations de groupes il y avait quelques expériences de type « communistes » qui étaient réputés ne pas fonctionné. Les organisations qui fonctionnaient le mieu étaient le model capitaliste pas forcement démocratique et la piraterie, plus individualiste mais tout aussi libéral. A mon avis le jeu est calibré pour que le model capitaliste triomphe, EVE n’est pas un univers neutre. Si le monde réel s’inspire de EVE-online on est quant même bien dans la merde parce que je ne voie pas trop ce qu’on a de bon à tiré de ce jeu comme model d’un point de vue politique.

      Peut être que Eve-online sert de model aux Macrons &co, mais si c’est le cas il n’y a vraiment pas de quoi se réjouir.

      #eve-online

    • Hey @mad_meg,
      Je ne me réjouis pas. Mon ton, bien que léger devait montrer mon exaspération. Je n’ai pas connu les premières économies d’Eve Online, je n’y suis arrivé qu’en 2005. J’ai vu d’autres tendances sociales, le commerce, l’organisation d’autodéfenses… du libéralisme pépère. Plus quelques combats en 0.0 mais alors les tenants et les aboutissants me dépassaient.

      En disant que le monde réel s’inspire d’EVE, je pensais à tous ces articles économiques qui ont parsemé ces 10 dernières années.
      À ce bac à sable que constituent les mondes virtuels pour comprendre le monde réel.
      http://www.gamasutra.com/view/feature/134576/virtual_economic_theory_how_mmos_.php
      http://lexpansion.lexpress.fr/high-tech/eve-online-ce-monde-virtuel-pilote-par-un-economiste-bien-reel_1
      https://blogs.wsj.com/economics/2010/06/21/real-economist-takes-lessons-from-virtual-world

      Il y en a même qui affirment que le monde virtuel n’existe pas… comprendre : tout est lié à l’économie réelle.
      http://gamestudies.org/1001/articles/lehdonvirta

      Rappelons l’étude d’immunologie réelle qui s’est déroulée dans WOW en 2005.
      https://en.wikipedia.org/wiki/Corrupted_Blood_incident

    • J’avais pas saisi l’ironie de ton intonnation @sandburg et j’avoue ne pas avoir suivie ces articles d’économie qui s’inspirent de EVE. Ca m’étonne pas qu’ils existent et que des liberaux, Macronistes et DSKiens se tripottent au sujet de EVE car effectivement les tentatives d’autres systhèmes que la compétition capitaliste et le liberalisme y sont étouffés dans l’oeuf. A mon avis c’est liée au fait que le jeu est axé sur le marché et aussi le système des gates/portes qui favorise les conflits territoriaux et impose aux joueureuses de passer obligatoirement par ces postes-frontières. Le jeu n’est pas pensé pour permettre d’autres moyens de se déplacé ou de s’organiser. Les quelques tentatives pour brisé ce systhème, je pense en particulier à l’attaque de BOB par un groupe de méta-gameureuses qui avait été assez amusante mais n’avais pas modifié la structure de cette univers, seulement modifié l’importance de certaines guildes.
      ps- en fait eve online c’est comme dans le monde actuel Sur EVE Online, 10 % des joueurs accaparent 90 % des richesses et les règles du jeu sont écrites par des banquiers. cf l’article de l’express que tu as linké.

    • Le « système de jeu » y fait forcement beaucoup. La topologie du monde, les règles, les libertés laissées au joueurs, même dans un monde persistant ou ouvert ne laissent que peu de liberté, malgré les apparences.
      Ces jeux à points de passage ne laissent aucune échappatoire. Les Gates et autres douanes ne laissent pas la possibilité de prendre la tangente. On ne peut découvrir que ce qui est implémenté…

      Eve Online, dystopie libertarienne. C’est ce qui se disait au tout début. Le niveau d’acceptation par les joueurs relègue au second rang les visions critiques apportées par ce type de jeu.

      Il y a une bonne vidéo sur la politique dans/hors des jeux vidéo :
      https://www.youtube.com/watch?v=7_tdztHiyiE


      Errant Signal est le gars qu’on voit parfois dans les vidéos de @feministfrequency

      Je mets @davduf et @fil en copie de ces remarques sur la politique dans le jeu vidéo, ils viennent de sortir un jeu vidéo.

  • Macron and neo-fascist Le Pen advance to run-off in French presidential #elections - World Socialist Web Site
    http://www.wsws.org/en/articles/2017/04/24/macr-a24.html

    Whether it is Macron or Le Pen who wins the second round, the election will resolve nothing and only set the stage for explosive social conflict. The electorate faces the choice between a neo-fascist and Macron, a former Rothschild banker who formulated Hollande’s bitterly unpopular economic policy and has called for a return to the draft in order to prepare an “era” of major wars. Macron offers no alternative to Le Pen for working people, having endorsed the PS’s state of emergency, which suspends basic democratic rights, as well as deep austerity and war planning.

  • Macron : levée de fonds dans la banlieue bruxelloise des exilés fiscaux - Arrêt sur images
    http://www.arretsurimages.net/breves/2017-03-05/Macron-levee-de-fonds-dans-la-banlieue-bruxelloise-des-exiles-fiscau

    D’où vient le financement de la campagne d’Emmanuel Macron ? De gentils donateurs anonymes installés à Paris, Londres, New York… mais aussi à Uccle en Belgique, arrondissement chic de Bruxelles bien connue pour abriter des exilés fiscaux français. En effet, selon le site Mediapart qui passe au crible le porte-monnaie du candidat et de son mouvement En marche !, Macron est allé récolter en octobre dernier, dans ces faubourgs bruxellois huppés, des fonds pour sa campagne auprès de contributeurs invités par le fondateur de la marque Celio, Marc Grosman.

    • «  il a donc pas mal dépensé  »

      De fait, ces soirées levées de fond qui ne disent pas leur nom sont souvent lucratives. A en croire Mediapart, Macron a déjà récolté 8 millions d’euros, soit « la moitié du plafond de dépenses autorisé par la loi pour le premier tour d’une présidentielle. Du jamais vu pour un parti tout neuf ». De même, on apprend qu’en trois collectes organisées à Londres, « plaque tournante pour le financement de l’entreprise politique Macron », l’équipe de campagne « escompte plus de 200 000 euros de recettes. Un jackpot, à une heure de Paris par l’Eurostar… »

      Macron et l’argent : ce sujet intéresse de nombreux médias depuis le début de l’année... En effet, d’aucuns se demandent comment cet ancien banquier d’affaires qui a engrangé plus de 2,8 millions chez Rothschild entre 2009 et 2012 peut publier en octobre 2016 auprès de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) une déclaration de patrimoine bien moindre. Réponse (pour l’heure) de son porte-parole Sylvain Fort au JDD : « pendant les années Rothschild, Emmanuel Macron a adapté son train de vie à ses revenus et il a donc pas mal dépensé ». Pas dit que les médias se satisfassent de cette réponse d’ici le premier tour.

  • Dans les rouages de la « Macron Company »
    https://www.mediapart.fr/journal/france/030217/dans-les-rouages-de-la-macron-company

    Tracts au « QG » d’En Marche. #Emmanuel_Macron est le patron et le produit. © Reuters Emmanuel Macron réunit des milliers de supporteurs à Lyon ce samedi 4 février. En quelques mois, l’ancien banquier d’affaires et ministre de l’économie a bâti un parti-entreprise dont il est à la fois le patron et la « tête de gondole ». La « #Macron_Company » utilise le web, le marketing et les théories du management pour constituer un monopole dans un marché politique en crise.

    #France #chef_d'état-major_particulier #entreprise