company:mario draghi

  • En quatre articles, comment simplifier ta compréhension du monde (tldr : à la fin ça s’explique « en un tweet »).

    18 juin : les prix du baril de pétrole s’envolent, et c’est à cause de la BCE :
    Pétrole : la BCE fait décoller les prix du baril !
    https://www.capital.fr/entreprises-marches/le-petrole-beneficie-du-retour-de-lappetit-pour-le-risque-1342303

    Le pétrole relève la tête. Les cours du baril rebondissent nettement ce mardi, le prix du baril de WTI progressant de 4,28% à 54,10 dollars tandis que son homologue européen, le Brent de la mer du Nord, s’adjuge 2,77% à 62,62 dollars. L’or noir, comme la plupart des actifs jugés à risque (tels les actions), bénéficie de la perspective d’une possible baisse des taux de la BCE. Ce matin, le président de la banque centrale, Mario Draghi, a indiqué qu’il n’excluait aucune option pour soutenir une économie européenne vacillante. Cette annonce fait d’autant plus d’effet qu’elle intervient à la veille des conclusions de la réunion de la Fed.

    20 juin : ah non, en fait c’est à cause de l’accord de l’OPEP, de la baisse de stocks américains et de la détente commerciale entre la Chine et les États-Unis :
    Pétrole brent : L’Opep et ses partenaires ont fixé leur prochaine réunion, le prix du pétrole décolle
    https://www.tradingsat.com/petrole-brent-MP0000000BRN/actualites/petrole-brent-l-opep-et-ses-partenaires-ont-fixe-leur-prochaine-reunion-

    Le net rebond du jour est porté par plusieurs actualités concomitantes. Premièrement, les investisseurs ont appris mercredi après-midi que les pays membres de l’Opep et leurs partenaires parmi lesquels la Russie se sont accordés sur la date de leur prochaine réunion. Initialement prévue les 25 et 26 juin à Vienne, celle-ci a été décalée aux 1er et 2 juillet après plusieurs semaines de tractations, notamment entre la Russie, l’Arabie saoudite et l’Iran.

    L’indécision de Téhéran avait auparavant provoqué quelques remous sur les marchés pétroliers, les opérateurs craignant que l’Opep+ ne parvienne à se mettre d’accord sur une prolongation de leur accord de limitation de la production. Depuis fin 2016, en effet, l’Opep+ s’accorde tous les six mois pour renouveler cet accord afin de compenser la hausse continue de la production américaine et de peser à la hausse sur les cours. De nombreux observateurs considèrent cet accord comme le principal facteur de stabilisation du marché de l’or noir.

    Autre facteur haussier, la publication hebdomadaire des stocks US a de nouveau réservé une surprise, mercredi, avec une baisse plus forte que prévu des réserves commerciales de brut. Au cours de la semaine achevée vendredi 14 juin, celle-ci ont en effet diminué de 3,1 millions de barils pour s’établir à 482,4 millions, là où les analystes interrogés par Bloomberg tablaient sur une baisse plus modeste, de l’ordre de 1,2 million de barils.

    Dernier élément mais pas des moindres, les cours de l’or noir profitent également des derniers propos du président américain, qui a annoncé mardi avoir eu « une très bonne conversation téléphonique » avec son homologue chinois Xi Jinping. Donald Trump a par ailleurs confirmé qu’il s’entretiendrait longuement avec le dirigeant chinois, en marge du G20 qui se tiendra à Osaka les 28 et 29 juin prochain. De fait, la guerre commerciale fait peser des craintes sur l’économie mondiale et conduit les économistes à réviser à la baisse leurs perspectives de croissance mondiale, donc de demande de pétrole. Une détente commerciale et des espoirs de règlement du différend commercial est donc porteur d’espoirs, à la fois sur la bonne tenue de l’économie mondiale, et sur la demande en hydrocarbures, ce qui pèse à la hausse sur les prix.

    Le 20 juin toujours : en fait c’est à cause de la possible baisse des taux d’intérêt par la FED :
    L’or au plus haut depuis 2014, le pétrole s’envole !
    https://www.capital.fr/entreprises-marches/le-petrole-en-forte-hausse-1342480

    Or, pétrole... Ces deux matières premières phares sont à la fête. Les cours du baril ont bondi ce matin, soutenus par l’appétit pour le risque. Hier soir, la Fed (Réserve fédérale, banque centrale des Etats-Unis) a laissé grande ouverte la porte à une baisse des taux dès le mois prochain, ce qui est positif pour la croissance économique et les actifs risqués. L’or noir est également soutenu par le regain de tensions au Moyen-Orient et l’évolution des stocks. […]

    Par ailleurs, le prix de l’or flambe de près de 3%, à 1.380 dollars, soit un plus haut de 5 ans. Une dynamique attribuable, ici aussi, aux espoirs d’une baisse des taux de la Fed. En effet, l’or est un placement qui ne génère pas de revenu et bénéficie ainsi d’arbitrages favorables quand les taux d’intérêt réels - c’est-à-dire nets d’inflation - chutent...

    Le 20 au soir, c’est plus simple : c’est « en un tweet » :
    Iran : en un tweet, Donald Trump fait bondir le cours du pétrole
    http://www.lefigaro.fr/flash-eco/iran-en-un-tweet-donald-trump-fait-bondir-le-cours-du-petrole-20190620

    Alors que les tensions entre Washington et Téhéran ne cessent de s’accroître et inquiètent les marchés, un message menaçant du président américain a suffi pour que le cours du baril prenne plus de 6%.

  • La BCE engage un tournant historique en arrêtant ses achats de dette
    https://www.crashdebug.fr/international/15370-la-bce-engage-un-tournant-historique-en-arretant-ses-achats-de-dett

    En attendant ils nous on quand même mis plus de 4.000 milliards d’€uro sur le dos, pour le plus grand bénéfices des banques et du CAC40 (Informations complémenaires)

    Mario Draghi, dirigeant de la Banque centrale européenne, quittera ses fonctions en octobre 2019. - AFP

    La Banque centrale européenne (BCE) doit entériner l’arrêt de ses massifs rachats d’actifs en fin d’année. Un virage monétaire… et un exercice acrobatique alors que les risques s’accumulent pour l’économie européenne.

    Un exercice compliqué attend la Banque centrale européenne (BCE) ce jeudi, jour de la traditionnelle réunion de politique monétaire de ses gouverneurs. Mario Draghi, le dirigeant italien de l’institution francfortoise, devrait confirmer l’arrêt de ses rachats de dettes au 31 décembre. Une (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

  • Les liens de Mario Draghi avec les banques au cœur d’une enquête...
    https://www.crashdebug.fr/international/13083-les-liens-de-mario-draghi-avec-les-banques-au-coeur-d-une-enquete

    La vérité ? Ils s’engraissent tous entre potes, à coup de dizaines de milliards d’€uro tous les mois sur notre dos, ça vous paraît exagéré ? Regardez la vidéo ci-dessous... Et consultez les informations complémentaires en bas d’article, comme ça au moins vous saurez où part votre argent, la BCE c’est NOUS, tous les peuples d’Europe.

    Mario Draghi, le président de la Banque centrale européenne (BCE), est-il trop proche des banques ? Voilà la délicate question à laquelle Emily O’Reilly, la médiatrice européenne (ombudsman), devra répondre. Dans une lettre révélée vendredi 20 janvier, celle-ci annonce l’ouverture d’une enquête sur l’appartenance de l’Italien au Groupe des Trente (G30), un forum international qui regroupe des dirigeants du secteur financier public et privé. Mais aussi sur « (...)

  • Vers une « démarkisation » de l’euro ?
    http://www.taurillon.org/vers-une-demarkisation-de-l-euro

    Le 22 janvier 2015, Mario Draghi, président de la #Banque_centrale_européenne, annonçait le rachat de titres (privés et publics) à hauteur de 60 milliards d’euros par mois jusque septembre 2016. Cette pratique est dénommée en économie « QE » ou « Quantitative Easing ». C’est la pratique qui consiste tout simplement à injecter des liquidités dans le circuit économique. La Banque Centrale Européenne avait depuis l’été 2014 semblé aller en cette direction, mais dans des proportions moindres. Cette méthode est pourtant en rupture avec les conceptions classiques de la BCE, dans la mesure où elle avait pour habitude de pratiquer une certaine rigueur monétaire, avec notamment pour but un euro fort et une stabilité des prix. L’euro, fruit d’un compromis.

    Économie & Société

    / Banque centrale européenne, (...)

    #Économie_&_Société #Economie

  • Le pouvoir fédérateur de la BCE : #Mario_Draghi tel Alexander Hamilton
    http://www.taurillon.org/le-pouvoir-federateur-de-la-bce-mario-draghi-tel-alexander-hamilton

    Avec les décisions de la BCE du 22 janvier 2015 sur l’acquisition de titres des Etats de la zone euro, Mario Draghi honore l’engagement qu’il avait pris le 26 juillet 2012, de défendre l’euro whatever it takes. Nous sommes en présence d’un moment historique à travers lequel le fait que la BCE ait « le titre » pour racheter la dette des Etats membres, a été définitivement acquis.

    #Opinions

    / #Banque_centrale_européenne, Mario Draghi, #Quantitative_easing

  • La BCE se lance dans les « subprimes » à l’européenne - L’Express avec L’Expansion
    http://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/la-bce-se-lance-dans-les-subprimes-a-l-europeenne_1607374.html?x

    Lors de sa conférence de presse mensuelle, le président de la Banque centrale européenne Mario Draghi a annoncé qu’il se lançait à partir de mi-octobre dans le rachat d’ABS ou « asset-backed securities ». Ce pendant au moins deux ans. La BCE va donc racheter des titres adossés à des prêts bancaires, les fameux ABS, ainsi que des obligations sécurisées. Cette action complète la série de prêts exceptionnels et avantageux (TLTROs) aux banques, qui n’a pas donné les résultats escomptés, faute de demande des professionnels du crédit.

    Mais l’achat prochain de titres ABS, qui permettent d’aller chercher de l’argent directement sur les marchés financiers, est particulièrement controversé. Ces produits complexes ont été rendus en partie responsables de la crise financière de 2008. Leur mécanisme est similaire à celui des « subprimes » (titres adossés à des prêts immobiliers) américains.

  • Le démantèlement de l’État social «
    http://globalpresse.wordpress.com/2013/01/04/le-demantelement-de-letat-social

    Les politiques européennes ne sont compréhensibles que sur la base d’une logique précise : l’objectif est d’essayer d’affaiblir et de démanteler l’Etat protecteur social. Et cela a presque été dit. Mario Draghi, le président de la Banque centrale européenne a donné une interview au Wall Street Journal. Il disait que le contrat social en Europe est mort. Il ne le défendait pas, il faisait une description, mais c’est le résultat de choix politiques. Peut-être pas « mort », c’est une exagération, mais il est menacé.

  • Retour de confiance par Gilles Lucas
    http://cqfd-journal.org/Retour-de-confiance

    Mario Draghi, président de la Banque centrale européenne (BCE), aura fait le buzz le 30 août en déclarant que, sauf le respect dû aux dirigeants allemands : « Nous ne renoncerons pas à la mutualisation des dettes publiques . » Le 6 septembre, il réitérait en affirmant que « l’euro est irréversible » et que la BCE rachètera sans limites les dettes publiques des pays en mauvais état, histoire d’égaliser les taux d’intérêts. Aussitôt les marchés montaient à New York, grimpaient à Madrid et bondissaient à Francfort ! Un enthousiasme étonnant quand on sait comment toute volonté de « mutualisation » des dettes était jusqu’alors regardée comme un caprice d’extrémistes partageux ! L’explication tient peut-être à la carrure de Draghi et à sa cote dans les milieux dirigeants. Ex-vice-président, entre 2002 et 2005, de la banque Goldman Sachs dont les comptes truqués ont largement contribué à ruiner la Grèce, il est aujourd’hui le patron de cette BCE qui fabrique physiquement l’euro et le revend aux pays européens. Les perspectives de sortie de crise commençant à se faire rares, se tourner vers des solutions jusqu’alors regardées avec mépris semble faire partie des ultimes hypothèses pour espérer pérenniser le système. Pour quelques temps encore ?

  • LE TRAITE BUDGETAIRE, BOITE DE PANDORE « Francis Wurtz
    http://franciswurtz.net/2012/08/23/le-traite-budgetaire-boite-de-pandore

    Mario Draghi,le président de la Banque centrale européenne,avait annoncé la couleur dès février dernier :”Le traité budgétaire,c’est le début” avait-il déclaré au Wall Street Journal.Ironisant sur l’époque où certains considéraient que “les Européens pouvaient se permettre de payer tout le monde pour ne pas travailler”,il avait martelé :”Ce temps-là est révolu”. “Le modèle social européen est mort” avait-il souligné.C’est au nom de cette “vision” de l’Europe que le même Draghi juge “inévitable” une “union financière,budgétaire et politique (qui) conduira à la création de nouvelles entités supranationales”(Le Monde 22/7/2012).Ce processus de centralisation des leviers du pouvoir à l’abri des citoyens est naturellement promu au nom de la lutte contre la crise.Comme le dit non sans cynisme le président du Conseil européen,M.Van Rompuy :”La crise de la dette souveraine constitue une formidable opportunité pour un véritable bond en avant de l’intégration économique”.

    #démocratie #europe #citoyenneté