company:mcdo

  • Chez McDo à Marseille, les syndicalistes dans le viseur
    https://www.mediapart.fr/journal/economie/280519/chez-mcdo-marseille-les-syndicalistes-dans-le-viseur

    Le conflit qui oppose depuis des mois la célèbre enseigne à plusieurs dizaines de salariés a pris un tour nouveau avec la diffusion de conversations téléphoniques de l’ancien vice-président du groupe. Il y affirmait qu’il voulait « se débarrasser » de Kamel Guemari, emblématique délégué FO du restaurant des quartiers nord. Des deux côtés, les plaintes se multiplient.

    #SOCIAL #franchise,_Marseille,_social,_McDonald’s,_syndicats,_A_la_Une

  • Spies with that ? Police can snoop on McDonald’s and Westfield wifi customers
    https://www.theguardian.com/business/2019/may/28/spies-with-that-police-can-snoop-on-mcdonalds-and-westfield-wifi-custom

    Documents reveal rushed encryption legislation allows police to compel wifi providers to turn over information about users People accessing the internet at McDonald’s and Westfield in Australia could be targeted for surveillance by police under new encryption legislation, according to the home affairs department. A briefing by the department, obtained under freedom of information, reveals that police can use new powers to compel a broad range of companies including social media giants, (...)

    #McDonald's #Facebook #GoogleSearch #cryptage #WiFi #surveillance #web #Westfield

    https://i.guim.co.uk/img/media/aec376894417749d113f606bff707feb1e6325ae/0_12_2000_1200/master/2000.jpg

  • BBC - Future - The tricks of airport design

    How they keep travelers calm, quiet and... ready to shop !

    http://www.bbc.com/future/story/20190430-psychological-tricks-of-airport-design

    From a terminal’s colours to the security queue, here’s how airports are designed to keep travellers calm, quiet – and ready to shop.

    By Addison Nugent

    1 May 2019

    In 1995, French anthropologist Marc Auge categorised the airport as a “non-place”. Found the world over, non-places are devoid of identity – uniform structures (think Starbucks or McDonalds) that remain the same no matter where they are. By his definition airports are architectural machines, designed with the express purpose of moving people efficiently from one place to another.

    #dfs #aéroport #manipulation #consommation

  • [COMPTE-RENDU ACTE XIX - NANTES - Samedi 23 Mars 2019]
    https://nantes.indymedia.org/articles/44997

    /.../ Suite aux confiscations importantes de matériel medic, nous avons besoin de votre soutien ! En effet, l’achat de matériel a un coût important, et ce sont plusieurs centaines d’euros de matériel qui dorment maintenant au chaud dans les locaux du comico. /.../
    lien direct : https://www.colleo.fr/cagnotte/14279/street-medics-nantes

    Le rendez-vous était donné à 13h à Nantes, route de Vannes, sur le rond-point en face du McDonald’s. Depuis le début de la matinée déjà, étaient postés des Gendarmes Mobiles en nombre. Des gens commencent à arriver timidement dès midi, n’osant se rendre sur le lieu de rendez-vous car les fouilles y sont systématiques dès lors que l’on possède un sac à dos, et une vingtaine d’arrestations auront lieu à ce moment-là lorsque du matériel de protection (lunettes, masques...) sera trouvé sur les manifestant-es.
    La DAR intimide les manifestant-es dispersé-es autour du rond-point. Contrôles d’identité, confiscation de matériel, petites piques bien senties, bref, rien de différent du niveau de la BAC. Trois medics de SMN se verront confisquer l’intégralité de leur matériel et conseiller « d’aller faire de l’humanitaire en Afrique » par un agent.

    /.../

    Vous pouvez contribuer à la cagnotte ici :
    https://www.colleo.fr/cagnotte/14279/street-medics-nantes
    Mais aussi déposer vos dons en liquide dans les bars suivants :
    Pour les dons en liquide ou en matériel, les bars suivants nous permettent gracieusement d’y récupérer le matériel que vous pourriez y déposer :

    – Shaka Pop Un monde à bar, 9 rue de l’Hôtel de Ville, 44000 Nantes (lundi - samedi de 16h30 à 2h, fermé le dimanche)
    – Le Chat Noir, 13 Allée Duguay Trouin, 44000 Nantes
    – Le 13et3, Place Bouffay, 44000 Nantes
    – Le Live Bar, 7 rue des Etats, 44000 Nantes (à côté du château)

    Le Hophophop ne fait plus partie de la liste des bars où vous pouvez déposer vos dons.

    Amour, Maalox et Serum Phy ! ♥

    Lire aussi le compte-rendu de @Mimas87 sur twitter : https://twitter.com/Mimas87/status/1109458541981696002

    Bonjour, Nous sommes le 23 mars 2018 [2019 !], et la manifestation des #GiletsJaunes à #Nantes n’a pas pu avoir lieu. Avant même le début du rassemblement route de Vannes, une vingtaine d’interpellations et presque tous les #StreetMedic dépouillés de leur matériel.

    Et aussi des bribes de @Nantes_Revoltee :

    La doctrine Castaner à Nantes :
    – Arrestations préventives massives en camions cellulaires
    – Quasi impossibilité de rejoindre le rdv
    – Nasse
    – Attaques ultra-violentes d’un cortège totalement paisible
    – Coups, tirs, humiliations
    – La contestation interdite de fait. Par la force.
    https://twitter.com/Nantes_Revoltee/status/1109496904558301184

    Nantes, la journée s’achève par un hommage à Georges Courtois à l’endroit même où il avait réalisé son coup d’éclat de 1985. Devant l’ancien tribunal, où il avait organisé une prise d’otage des magistrats et fait le procès de la Justice.
    #ActeXIX #SoyonsCourtois #RIPGeorges
    https://twitter.com/Nantes_Revoltee/status/1109524680686403586

    /.../ #gilets_jaunes #manifestation #répression #DAR

  • Abrisskante | h|b Foto & Reise Blog
    https://haraldboettger.blog/2018/11/30/abrisskante

    Bei einem Spaziergang vom Alex nach Hause kam ich am Bahnhof Jannowitzbrücke vorbei, wo die Abbrucharbeiten der Tankstelle, Lidl und McDonalds und der danach folgenden Autowaschanlage in vollem Gange sind. Wie oft hatte ich aus dem S-Bahn Fenster beobachtet, wie akribisch dort die Autos mit Hand von außen und innen gereinigt wurden. Edle Karossen, Taxen, Mietwagen, alles wurde picobello den Kunden übergeben. Vorbei mit der Sauberkeit.

    Die Berliner Woche schreibt dazu etwas interessantes und historisches: “

    „Mit dem Stopp der Waschbürsten endet auch ein Stück DDR-Geschichte. Die 1968 eröffnete Autowaschanlage an der Jannowitzbrücke war die erste Autowaschstraße der DDR. In den ersten vier Jahren wurden dort ausschließlich Karossen aus dem Regierungsfuhrpark gewienert, bis die Anlage 1972 dem VEB Autotrans übertragen wurde und den legendären Namen Waschbär bekam. In fünf mit Ampeln geregelten Spuren standen die Trabis und Wartburgs über eine Stunde lang an. Damals wurde nur ein Programm – die Oberwagenwäsche in drei Preiskategorien je nach Auto – angeboten.“

    Das doch sehr rumpelige Ambiente an dieser Stelle weicht ab 2019 einem siebzig Meter hohem Büropalast mit dem Namen „Jaho“. Erste Bilder vom Erdgeschoss zeigen viel Glas und Gastronomie. Wohnbebauung ist wegen der Nähe der S-Bahn Trasse nicht möglich schreiben die Entwickler. Die genauen Entwürfe für das Bürogebäude sind noch geheim. (Stand: Nov 2018)

    #Berlin #Mitte #Holzmarktstraße #Stadtentwicklung #Immobilien

  • Comment McDonald’s « veut donner le goût de la lecture à des millions d’enfants » (Le Figaro)
    http://www.lefigaro.fr/langue-francaise/actu-des-mots/2019/03/04/37002-20190304ARTFIG00013-comment-mcdonald-s-a-donne-le-gout-de-la-lecture-

    Environ vingt millions de contes d’Alexandre Jardin ont été distribués par la grande chaîne de fast-food. Des récits fantastiques qui vont maintenant sortir en librairies. L’auteur revient sur ce projet qui participe de son ambition de construire une « nation de lecteurs ».

    #éducation #lecture #entreprise #fatigue #pensée_magique

  • Uber ist auf dem Weg zum Absturz | taxi-innung.de – Zukunft der Personenbeförderung
    https://taxi-innung.de/2018/12/07/uber-ist-auf-dem-weg-zum-absturz/#more-646

    Fromme Wünsch sind auch nur Wünsche möchte man sagen, wenn man diese Übersetzung liest, die verzweifelte Hoffnung und naiven Optimismus nur so verspritzt.

    Es herrscht Krieg meine Herren. Uber, Amazon, Google und die aktuelle US-Regierung sind nicht angetreten, um Geld zu verdienen, sondern um zu rauben, und zwar nicht nur Geld sonder Alles mit einem riesig großen A. Die USA haben schon lange aufgehört, eine konkurrenzfähige Volkswirtschaft zu sein sondern leben auf Pump von Zwangskrediten, die sie in aller Welt mit vorgehaltener Atomwaffe erpressen. Von den als Startup lancierten Großkonzernen hat nie auch nur einer ernsthaft Geld durch faire Innovation verdienen wollen.

    Disruption heißt das Zauberwort. Auf Deutsch: Macht kaputt, was ihr kaputtmachen könnt. Danach beackern Andere für Euch die verbrannte Erde !

    Man braucht nicht Schumpeter gelesen zu haben, um zu verstehen, wie der Hase läuft. Die Startup-Economy folgt der Zockerdevise alles oder nichts . Nix ehrlicher Kaufmann. Columbia verkündet: There wil be blood . Innovative Unternehmen überleben so lange, wie Investoren darauf wetten, dass sie in Zukunft Geld verdienen werden.

    Uber profitiert heute von der Sackgasse, in der die großen Finanzinvestoren zusammen mit der Autoindustrie feststecken. Der VW-Dieselskandal ist ein laues Lüftchen im Vergleich zum Sturm der wirklichen Herausforderungen, der auf die internationale Autoindustrie zukommt. Japans Autohersteller Toyota steckt 69 Milliarden Dollar in Uber, weil das Management nichts versteht, außer daß es demnächst mit seinem Betrieb und Man und Maus untergehen wird, wenn es sich nicht einer mächtigeren Armee anschließt. VW und Deutschland haben die EU. Japan und seine Firmen nicht so gut geschützt.

    Das alles erklärt, weshalb Uber auf Entscheidungen der deutschen Justiz pfeift. Entweder es gelingt dem Konzern, sich auf Augenhöhe mit Nationalstaaten zu positionieren und den Wirtschaftskrieg gegen sie zu gewinnen, oder das Konstrukt Uber wird untergehen.

    Uber ist bereits jetzt „too big to fail“, systemrelevant für die startup economy als Ganzes. Ein Investor wie Softbank steckt nicht noch vor Toyotas Engagement 48 Milliarden Dollar in ein Projekt, das zum Scheitern verurteilt ist. Wo das alles enden soll? Die Antwort ist ganz einfach. Wie bei Hitlers Mein Kampf genügt es, rechtzeitig aufmerksam zu lesen, um das Projekt zu verstehen:

    Die Superreichen, „innovativen“ Tycoons ziehen sich auf Inseln der Glückseligen zurück, während wir normalen Menschen in einer verpesteten, weltumspannenden Arbeitshölle Robotern zur Hand gehen. Zu irre um wahr zu werden? Hinterher ist man immer schlauer.

    Lesen Sie Propeller Island und Atlas shrugged , hören Sie den Thiel, Bezos, Kalanick, Zuckerberg und Trump genau zu, lauschen Sie dem Club of Rome. Der Plan, die Pläne sind kein Geheimnis sondern Programm.

    Zum Glück ist der Kampf gegen Uber und ähnlich „innovative“ Verbrecher noch nicht verloren. Wer die Idee von der wehrhaften Demokratie ernst nimmt, der hat noch Chancen. Ein Umdenken ist dennoch erforderlich, weil der Feind nicht unsere netten Neonazis sind. Der Feind trägt feinsten Zwirn und Turnschuhe und macht uns vor, dass Deutschlands und Europas Heil in KI und Innovation liegt. Was für eine Illusion.

    Gebraucht werden gröbere Werkzeuge, ökonomische und juristische, und die müssen richtig ausgerichtet werden. Es geht nicht um russische Hacker und Islamisten. Es geht um Bürgerkriegsarmeen und Bankster. Die kommen nicht aus Fernost und Russland. Die kommen aus Übersee, aus Deutschland und dem Nahen Osten. Schon mal von der Afghanistan Connection gehört? Nein? Sie sollten öfter Tagesspiegel lesen.

    Übersetzung des Artikels “Uber Is Headed for a Crash” (new york magazine, 4.12.2018) By Yves Smith

    Durch das Plattmachen lokaler Taxiunternehmen in Städten auf der ganzen Welt und die Kultivierung von Cheerleadern in der Wirtschaftspresse und unter den Liberalisten des Silicon Valley hat es Uber geschafft, ein Bild der Unausweichlichkeit und Unbesiegbarkeit zu schaffen. Aber das Unternehmen verzeichnete gerade ein weiteres Quartal mit atemberaubenden Verlusten – diesmal über 1 Milliarde Dollar, nach 4,5 Milliarden Dollar Verlust im Jahr 2017. Wie viel ist Hype und wie viel ist real?
    Der Gedanke, dass Uber, das am höchsten bewertetete Privatunternehmen der Welt, ein Lehrbuch-“Verschwender” ist – John Kenneth Galbraiths Wortschöpfung für einen Anlageschwindel, bei dem die Verluste erst noch erkannt werden müssen – wird Ubers zahlreiche zufriedene Kunden wahrscheinlich überraschen. Aber wie wir erklären werden, aufbauend auf der umfangreichen Arbeit des Verkehrsexperten Hubert Horan, haben die Investoren von Uber deren Zufriedenheit in Form von massiven Subventionen der Dienstleistungen erkauft. Was Uber für die Nutzer zu einem guten Geschäft gemacht hat, macht es zu einem lausigen Investitionsvorhaben. Uber hat diese Einschätzung durch minimale und widersprüchliche finanzielle Offenlegungen in Schach gehalten, kombiniert mit einer beharrlichen und bisher wirkungsvollen PR-Kampagne, die Uber nach dem Muster digital basierter Start-ups darstellt, deren große Anfangsverluste sich in wenigen Jahren in starke Gewinne verwandelt haben.
    Vergleiche von Uber mit anderen geschichtsträchtigen Tech-Wunderkindern zeigen, dass Uber nicht auf dem selben Weg ist. Kein letztlich erfolgreiches großes Technologieunternehmen war auch nur im entferntesten so zutiefst unrentabel wie Uber. Nach neun Jahren ist Uber nicht annähernd soweit, Geld zu verdienen, und fährt fort, mehr rote Tinte auszubluten als jedes andere Start-up in der Geschichte. Im Gegensatz dazu waren Facebook und Amazon im fünften Jahr solide Cashflow-positiv.
    Die Tatsache, dass dieses verherrlichte Nahverkehrsunternehmen weiterhin ein finanzieller Misserfolg ist, sollte keine Überraschung sein. Was überraschend sein sollte, ist, dass die Wirtschaftspresse immer noch die gute Hoffnung des Uber-Managements nachplappert, dass das Unternehmen 2019 mit einer Zielbewertung von 120 Milliarden Dollar an die Börse gehen wird. Das ist weit über dem höchsten privaten Aktienverkauf mit einem Wert von 68 Milliarden Dollar. Und Ubers Management und Zeichner werden ohne Zweifel hoffen, dass die große unbeleckte Öffentlichkeit über die Tatsache hinwegsieht, dass SoftBank kürzlich Beteiligungen aufgrund einer Bewertung in Höhe von 48 Milliarden Dollar übernommen hat, und ihr Angebot überzeichnet war. Warum sollte neues Geld zu einem mehr als doppelt so hohen Preis hereinkommen, wo Führungskräfte und Angestellte bereit wären, auszusteigen?

    Uber hat noch nie ein Argument vorgebracht, wie das Unternehmen jemals rentabel sein könnte, geschweige denn eine angemessene Kapitalrendite erzielen wird. Die Investoren setzen auf einen erfolgreichen Börsengang, was bedeutet, dass sie noch größere Narren in ausreichender Zahl finden müssen.

    Uber ist ein Taxiunternehmen mit einer App im Anhang. Es entbehrt jeglicher Ähnlichkeit mit Internet-Superstars, die es vorgibt zu nachahmen. Die App ist technisch nicht sehr anspruchsvoll und schafft keine Wettbewerbsbarriere, wie die Tatsache zeigt, dass viele andere Akteure sie kopiert haben. Apps wurden für Fluggesellschaften, Pizzalieferungen und Hunderte anderer Verbraucherdienste eingeführt, haben aber nie Marktanteilsgewinne erzielt, geschweige denn Dutzende von Milliarden an Unternehmenswert. Sie erzeugen keine Netzwerkeffekte. Im Gegensatz zu Facebook oder eBay, mehr Uber-Nutzer zu haben, verbessert den Service nicht.

    Ab einem bestimmten Punkt hilft auch das Einstellen weiterer Fahrer nicht. Uber behauptet regelmäßig, dass seine App Skaleneffekte für die Fahrer schafft – aber damit das so ist, müßte das Einstellen weiterer Fahrer den Fahrern zugute kommen. Das tut es nicht. Mehr Fahrer bedeuten mehr Wettbewerb um verfügbare Fahrten, was eine geringere Auslastung pro Fahrer bedeutet. Es gibt eine Wechselwirkung zwischen Kapazität und Auslastung in einem Transportsystem, die man in digitalen Netzwerken nicht sieht. Der klassische Einsatz von “Netzwerkeffekten” bezog sich auf den Entwurf eines integrierten Verkehrsnetzes – ein Luftverkehrsknotenpunkt- und Speichennetz, das den Nutzen für Passagiere (oder Pakete) schafft, indem es mehr Möglichkeiten zur Verbindung zu mehr Zielen als lineare Punkt-zu-Punkt-Verbindungen bietet. Uber ist offensichtlich kein solches Netzwerk mit integrierten Routen – Taxifahrgäste verbinden sich nicht zwischen verschiedenen Fahrzeugen.

    Auch die Tatsache größer zu sein, macht Uber nicht zu einem besseren Unternehmen. Wie Hubert Horan in seiner Serie über den Nackten Kapitalismus erklärte, hat Uber keinen Wettbewerbsvorteil gegenüber traditionellen Taxiunternehmen. Im Gegensatz zu digitalen Unternehmen hat die Taxiindustrie keine signifikanten Vorteile durch die Größe eines Betriebes; deshalb gab es noch nie Monopole auf Stadtebene, Konsolidierungsspiele oder sogar bedeutende regionale Betreiber. Die Größe verbessert nicht die Wirtschaftlichkeit der Bereitstellung des Taxidienstes, von denen 85 Prozent Fahrer-, Fahrzeug- und Kraftstoffkosten sind; die restlichen 15 Prozent sind in der Regel Gemeinkosten und Gewinn. Und Ubers eigene Ergebnisse sind der Beweis. Uber hat sich ständig vergrößert, aber es ist ihm nicht gelungen, die schnellen Gewinnverbesserungen zu zeigen, die man sehen würde, wenn die Kosten mit zunehmender Geschäftstätigkeit sinken würden.

    Die Größe reduziert auch die Flexibilität. Wie Professor Amar Bhide, Autor des Klassikers The Origin and Evolution of New Businesses, sagte:

    Viele Giga-Unternehmen haben keine Ahnung davon, wenn sie anfangen, wie sie zu Giganten werden – denken Sie daran, dass Microsoft 1975 Basic für den Altair entwickelte, Sam Walton einen Country Store gründete und Hewlett und Packard Audio-Oszillatoren verkauften. Aber da sie klein sind, können sie experimentieren, um herauszufinden, was gewinnbringend skalierbar ist, und bei Bedarf radikale Veränderungen vornehmen. Das ist der Grund, warum es kein Segen und kein Fluch ist, wenn man anfangs keine tiefen Taschen hat. Sicherlich gibt es einige junge Unternehmen wie Google und Amazon, die zufällig in die richtige Richtung starten und als Lieblinge von Risikokapitalgebern oder der Wall Street schneller voran kommen. Aber das sind die Ausnahmen. Andernfalls bläst Geld sie einfach auf und macht es ihnen schwer, die Richtung zu ändern.

    Aber, aber, aber – werden Sie vielleicht sagen – Uber hat ein großes Geschäft in Städten auf der ganzen Welt gegründet. Ja, es ist einfach, viel Kundenverkehr zu bekommen, indem man mit einem Rabatt verkauft. Uber subventioniert die Fahrkosten. In allen Geschäftsbereichen erbrachte Uber im letzten Quartal nur rund 74 Prozent seiner Kosten für Dienstleistungen. Uber verkaufte seine Dienstleistungen 2017 nur zu rund 64 Prozent seiner Kosten, bei einer GAAP-Gewinnmarge von minus 57 Prozent. Als Bezugspunkt verlor Amazon in den schlimmsten vier Quartalen 1,4 Milliarden US-Dollar bei einem Umsatz von 2,8 Milliarden US-Dollar, was einer negativen Marge von 50 Prozent entspricht. Amazon reagierte, indem es über 15 Prozent seiner Arbeiter feuerte.

    Uber Verteidiger könnten argumentieren, dass dies eine große Verbesserung gegenüber 2015 ist, als die Einnahmen nur 43 Prozent der Kosten abdeckten und die GAAP-Marge negativ war mit 132 Prozent. Aber wie wir näher erläutern werden, ist diese Reduzierung der Ausgaben von Uber für jeden durchschnittlichen Dollar nicht auf eine verbesserte Effizienz zurückzuführen, sondern fast ausschließlich auf die Senkung der Fahrerlöhne. Das Transportunternehmen scheint die Grenze erreicht zu haben, in der es die Fahrer ausquetschen kann, da die Abwanderung zugenommen hat.

    Uber hat beispiellose 20 Milliarden Dollar an Investorenfinanzierung eingeworben – 2.600 mal mehr als Amazon vor dem Börsengang. Dies hat es Uber ermöglicht sowohl die traditionellen lokalen Taxiunternehmen zu unterbieten, deren Tarife alle Kosten decken müssen, als auch mehr Autos auf die Jagd nach Fahrten zu schicken, als es nicht subventionierte Betreiber können. Erinnern Sie sich daran, dass es bei jeder Transportdienstleistung einen Kompromiss zwischen der Häufigkeit der Dienstleistung und der Nutzung gibt. Wenn Uber mehr Fahrer dazu bringt, auf der Straße zu sein, um schnelle Abholungen zu gewährleisten, erzielt der einzelne Fahrer im Durchschnitt weniger Umsatz.

    Wenn Uber alle Wettbewerber auf einem lokalen Markt aus dem Geschäft drängen und dann die Preise erhöhen würde, würden die Kunden die Nutzung zurückfahren. Aber noch wichtiger, da die Eintrittsbarrieren im Taxigeschäft niedrig sind und Uber sie durch den Bruch lokaler Vorschriften weiter gesenkt hat, würden neue Akteure unter Ubers neuem Preisdach erscheinen. So müsste Uber seine Preise senken, um die Preise dieser Marktteilnehmer zu erreichen oder das Geschäft aufgeben.

    Darüber hinaus ist Uber ein kostenintensiver Anbieter. Ein Flottenmanager in einem mittelständischen Taxi-Unternehmen kann Fahrzeuge effizienter kaufen, warten und versichern als einzelne Uber-Fahrer. Darüber hinaus behalten die Transportunternehmen eine strenge zentrale Kontrolle sowohl über die gesamte verfügbare Kapazität (Fahrzeuge und Arbeitskräfte) als auch darüber, wie diese Kapazität geplant wird. Uber geht in die entgegengesetzte Richtung. Es hat keine Vermögenswerte, und obwohl es Anreize bieten kann, kann es die Kapazität nicht kontrollieren oder planen.

    Der einzige Vorteil, den Uber erreicht haben könnte, ist die Nutzung des fehlenden finanziellen Scharfsinns seiner Fahrer – diese unterschätzen die vollen Kosten für die Nutzung ihrer Autos und Uber kann somit ein Schnäppchen machen. Es gibt einige Beweise, die diesen Gedanken bestätigen. Ridester veröffentlichte kürzlich die Ergebnisse der ersten Studie zur Ermittlung der tatsächlichen Uber-Fahrerverdienste, die durch Screenshots bestätigt wurden. Unter Verwendung konservativer Schätzungen für die Fahrzeugkosten fanden sie heraus, dass die UberX-Fahrer, die den Großteil ihrer Belegschaft ausmachen, weniger als 10 US-Dollar pro Stunde verdienen. Bei McDonald’s würden sie besser abschneiden. Aber auch dieser Ausgleich zu den allgemein höheren Kosten des Flottenbetriebs hat keinen nennenswerten Einfluss auf Ubers Wirtschaft gehabt.

    Aber, so kann man argumentieren, Uber hat all diese Daten über Fahrgeschäfte! Sicherlich ist er dadurch effizienter als herkömmliche Taxis. Ähm, nein. Lokale Fahrdienste haben immer “Leerfahrtprobleme”, die durch kein Maß an Cleverness behoben werden können, wie z.B. das Mitnehmen von Kunden zum Flughafen und entweder das Warten auf eine Anschlussfahrt oder das leere Zurückkehren oder tägliche städtische Pendelfahrten, bei denen die Arbeiter morgens im Eiltempo überwiegend in die eine Richtung und abends in die andere Richtung wollen. Ebenso hat Ubers surge-pricing nicht dazu geführt, dass Kunden ihre Gewohnheiten ändern und ihre Reisen auf kostengünstigere Zeiten verlagern, was zu einer effizienteren Nutzung hätte führen können. Wenn Uber ein Geheimrezept hätte, hätte es sich bereits in den Uber-Umsätzen und den durchschnittlichen Fahrerverdiensten gezeigt. Neun Jahre später, und es gibt keine Beweise dafür.

    Uber hat auch viel höhere Festkosten: Weitaus besser bezahlte Mitarbeiter in erstklassigen Büroräumen, die an Aktivitäten beteiligt sind, die ein lokales Taxiunternehmen entweder selten oder nie durchführen muss, wie Fahrerrekrutierung (Uber hat Rekrutierungszentren), Öffentlichkeitsarbeit und Werbung, Rechtsstreitigkeiten, Flugkosten und andere Kosten für den Betrieb eines globalen Unternehmens.

    Also dürfte Uber einen höheren Kapitalaufwand haben als es ein alteingesessenes Unternehmen mit ziemlich stabilen Einnahmen und Arbeitsabläufen hat (beziehungsweise hatte).

    Uber hat auf Zeit gespielt, um zu vermeiden, Finanzinformationen in einheitlicher Weise zu veröffentlichen, ein Warnsignal. Ein aussagekräftiges Beispiel: Ende 2016 zielte Uber auf ein Aktienangebot für High-End-Privatanleger, die vermutlich sogar noch dümmer waren als die Saudis, die in ihrer Vorrunde investiert hatten. Dennoch lehnten sowohl JP Morgan als auch die Deutsche Bank die “Gelegenheit” ab, Uber-Aktien an ihre Kunden zu verkaufen, obwohl dies ihre Position bei einem zukünftigen Börsengang von Uber gefährden könnte. Warum? Das Unternehmen “ride sharing” lieferte 290 Seiten Wortschwall, aber nicht das Nettoeinkommen oder gar den Jahresumsatz.

    Während Uber für das erste und zweite Quartal 2018 eine vollständige Gewinn- und Verlustrechnung vorlegte, gab es für das letzte Quartal, als sich seine Margen verschlechterten, nur drei Positionen.

    Während Uber seine negative Bruttomarge im Laufe der Zeit reduziert hat, resultieren diese Verbesserungen hauptsächlich aus der Verringerung der Fahrerausgleichszahlungen, so dass diese nun im Durchschnitt weniger pro Stunde netto erreichen, als die Taxiunternehmen.
    Bis 2015 gingen 80 Prozent der Fahrpreise an die Fahrer. In den ersten Jahren gab Uber den Fahrern hohe Auszahlungen, um gute Fahrer anzuziehen, und bot den Fahrern auch Anreize, Autos zu kaufen. Uber reduzierte das auf bis zu 68 Prozent, dann kehrten sie teilweise um, als die Fahrerfluktuation auf das aktuelle Niveau von rund 70 Prozent anstieg. Im Jahr 2017 lag die Marge von Uber, wie sie nach GAAP ausgewiesen wurde, bei minus 57 Prozent. Ohne die Gehaltskürzung der Fahrer wäre es auf dem negativen dreistelligen Niveau geblieben.

    Die Lohnkürzungen haben zu mehr Fahrerfluktuation geführt, was zu höheren Verwaltungskosten führt. Und es verschlechtert die Servicequalität. Ein Kommentar zu einem Artikel über Ubers Ergebnis des dritten Quartals:

    Ich brauchte eine Fahrt von Burbank nach LAX an einem Donnerstagmorgen gegen 5:45 Uhr. Ich habe am Vorabend ein Auto bestellt. Zur Abholzeit gab es innerhalb von 20 Meilen keine Lyft oder Uber. Als ich einen bekam, sagte der Fahrer, dass es sich bei der Bezahlung nicht mehr lohnt, früh aus dem Bett zu steigen.

    Ubers andere Art, seine Margen weniger verheerend zu gestalten, war es, seine ungünstigsten Geschäfte abzuschütteln. Aber selbst dann gab Ubers neuer CEO Dara Khosrowshahi effektiv zu, dass Uber in keinem Markt profitabel ist, wenn man die Festkosten des Unternehmens berücksichtigt. Uber hat verzweifelt neue Geschäfte wie Uber Eats und einen Rollerverleih hinzugefügt, um seine Wachstumsgeschichte am Leben zu erhalten. Uber gibt nicht nur stillschweigend zu, dass sie ihre Kosten nicht decken, sondern weigert sich, über ihre Einnahmen hinaus Einzelheiten über diese Geschäfte zu nennen und diskutiert nicht, wie sie die Wende schaffen könnten.

    Aber was ist mit autonomen Autos? Lassen Sie uns davon absehen, dass einige Enthusiasten wie Apple-Mitbegründer Steve Wozniak heute glauben, dass völlig autonome Autos “nicht stattfinden werden”. Vollständig autonome Autos würden bedeuten, dass Uber die Autos besitzen müsste. Die Kapitalkosten wären atemberaubend und würden die Illusion sprengen, dass Uber ein Technologieunternehmen ist, anstatt eines Taxiunternehmens, das die Roboterautos eines anderen kauft und betreibt.

    Uber ist es gelungen, die Wirtschaftspresse dazu zu bringen, Popularität mit kommerziellen Erfolg gleichzusetzen. Einige Tech-Reporter, wie Eric Newcomer von Bloomberg, haben höflich darauf hingewiesen, dass Ubers Ergebnisse weit hinter anderen “Tech Illuminati” vor dem Börsengang zurückbleiben. Das Argument, dass Dominanz Gewinne hervorbringen würde, ist nachweislich falsch und Uber scheint nicht in der Lage zu sein, eine neue Geschichte zu schreiben. Es gibt allen Grund zu der Annahme, dass Investoren und nicht lokale Taxiunternehmen den Verkehrstod von Uber herbeiführen werden.

    Toyota invests $69M in Japanese Uber rival backed by the taxi industry
    https://techcrunch.com/2018/02/08/toyota-invests-69m-into-japanese-uber-rival/?guccounter=1

    SoftBank is now Uber’s largest shareholder as deal closes | Reuters
    https://www.reuters.com/article/us-uber-softbank-tender/softbank-is-now-ubers-largest-shareholder-as-deal-closes-idUSKBN1F72WL

    #Uber #disruption #Börse

  • Gilets jaunes. Le McDo de Quévert pris en sandwich
    https://www.letelegramme.fr/cotes-darmor/dinan/gilets-jaunes-le-mcdo-pris-en-sandwich-16-12-2018-12163719.php

    Après le défilé en ville samedi après-midi, qui a réuni environ 90 participants, les gilets jaunes dinannais ont conclu leur week-end par une opération « pacifique et symbolique », aux abords du McDo de Quévert, ce dimanche soir.

    « Venez comme vous êtes », invite le slogan de l’enseigne fast-food au grand « M ». Les « gilets » dinannais sont donc venus de jaune vêtu, ce dimanche soir, aux abords du McDonald’s de Quévert. Une quarantaine de manifestants s’est donné rendez-vous vers 17 h 30, afin de mener une action « pacifique et symbolique ». En ligne de mire : « Ces grosses entreprises, dont fait partie McDo, qui ne paient pas leurs impôts grâce à l’exil fiscal, alors que cet argent pourrait servir à financer les services publics et la transition énergétique. Là, on leur fait perdre du chiffre d’affaires, on assume », résume l’un des participants au rassemblement, sur place.

    « Allez manger une crêpe en ville ! »
    Sans entrer dans l’établissement, les Gilets jaunes ont dans un premier temps installé des barrages filtrants sur les accès au parking et au drive, à l’aide de chariots du supermarché voisin. « N’allez pas manger là, allez plutôt manger une crêpe en ville ! », exhorte l’un des manifestants, aux automobilistes tentant d’accéder au fast-food. Trois banderoles sont déployées aux alentours, mentionnant « McDo paie tes impôts », « RIC » (pour référendum d’initiative citoyenne) et « Va au resto ».

    Une jeune femme brandit une pancarte colorée confectionnée maison, sur laquelle on peut lire « Association des poussins libres, McDo c’est comme l’État, ça broie du jaune ». Des échanges ont ensuite eu lieu avec le responsable local de l’établissement, surpris par cette visite dominicale, mais qui a simplement demandé que ses employés puissent accéder sans encombre à leur lieu de travail. Chose qui a été respectée au niveau des barrages filtrants.

    La gendarmerie lève les barrages
    Dépêchés sur les lieux vers 18 h, les gendarmes, dont le peloton de surveillance et d’intervention (Psig), ont levé les barrages, rangeant eux-mêmes les chariots de courses entreposés en travers de la route. « On ne veut pas de gaz lacrymo ni de blessé, on n’oppose pas de résistance », explique une manifestante aux forces de l’ordre, visiblement à l’écoute mais fermes quant au déblocage des voies de circulation, par mesure de sécurité.

    Vers 19 h, après avoir distribué des tracts sur le RIC aux clients entrant dans le McDo, le groupe de gilets jaunes s’est repositionné sur les deux ronds-points à proximité. « Dans les jours à venir, on va désormais mettre l’accent sur ce genre d’action comme ce soir, on commence à se coordonner avec d’autres villes », a annoncé l’un des participants, assurant ne pas sentir de démobilisation au sein du mouvement.

    Peu avant 21 h, manifestants et gendarmes quittaient les lieux, sans incident particulier à déplorer. « C’est super positif, on a vidé l’affluence du McDo », s’est félicité un Gilet jaune, à l’heure du départ.

    #Dinant #mcdo #mcdonald's #mcdonald #évasion_fiscale #multinationales #GiletsJaunes

  • A game of chicken: how Indian poultry farming is creating global #superbugs

    On a farm in the Rangareddy district in India, near the southern metropolis of Hyderabad, a clutch of chicks has just been delivered. Some 5,000 birds peck at one another, loitering around a warehouse which will become cramped as they grow. Outside the shed, stacks of bags contain the feed they will eat during their five-week-long lives. Some of them gulp down a yellow liquid from plastic containers - a sugar water fed to the chicks from the moment they arrive, the farm caretaker explains. “Now the supervisor will come,” she adds, “and we will have to start with whatever medicines he would ask us to give the chicks.”

    The medicines are antibiotics, given to the birds to protect them against diseases or to make them gain weight faster so more can be grown each year at greater profit. One drug typically given this way is colistin. Doctors call it the “last hope” antibiotic because it is used to treat patients who are critically ill with infections which have become resistant to nearly all other drugs. The World Health Organisation has called for the use of such antibiotics, which it calls “critically important to human medicine”, to be restricted in animals and banned as growth promoters. Their continued use in farming increases the chance bacteria will develop resistance to them, leaving them useless when treating patients.

    Yet thousands of tonnes of veterinary colistin was shipped to countries including Vietnam, India, South Korea and Russia in 2016, the Bureau can reveal. In India at least five animal pharmaceutical companies are openly advertising products containing colistin as growth promoters.

    One of these companies, Venky’s, is also a major poultry producer. Apart from selling animal medicines and creating its own chicken meals, it also supplies meat directly and indirectly to fast food chains in India such as KFC, McDonald’s, Pizza Hut and Dominos.

    https://www.thebureauinvestigates.com/stories/2018-01-30/a-game-of-chicken-how-indian-poultry-farming-is-creating-glob
    #inde #antibiotiques #santé

  • Salon du livre jeunesse de Montreuil : le Centre national du livre se réjouit de sa collaboration avec McDonald’s | L. L. de Mars
    https://lundi.am/Salon-du-livre-jeunesse-de-Montreuil-le-Centre-national-du-livre-se-rejouit-de

    Et voici maintenant que le Centre National du Livre, éminence peu contournable du Ministère de la Culture et de la Communication, accompagne McDonald’s dans le culture-washing pour que son poison alimentaire et social soit auréolé à son tour du Bien, pour que le Grand Bien Culturel et ses fétiches s’invitent entre la piscine à bulles et la fontaine de Coke ; et le livre est encore l’archonte de toute la féticherie nationale même quand tous les signes de société invitent à le sceller à jamais et à s’asseoir dessus. Source : Lundi matin

  • Dans les quartiers Nord de Marseille, des salariés envisagent de transformer leur McDo en société coopérative
    https://www.bastamag.net/Dans-les-quartiers-Nord-de-Marseille-des-salaries-envisagent-de-transforme

    Important pour la vie sociale locale, le restaurant McDonald’s de Saint-Barthélémy, dans les quartiers Nord de Marseille, est aussi un bastion syndical, où les conditions d’emploi sont bien meilleures que dans les autres restaurants de l’enseigne. McDonald’s France tente cependant de se débarrasser de son établissement, dans des conditions laissant craindre sa fermeture prochaine. C’était sans compter la résistance des 77 salariés, engagés depuis plusieurs mois dans un véritable bras de fer. Ils ont (...)

    #Résister

    / A la une, #Luttes_sociales, #Syndicalisme, #Transformer_le_travail, #Reportages, Emploi , Classes (...)

    #Emploi_ #Classes_populaires

  • Marseille, le futur Vietnam de McDonald’s ?
    https://www.bastamag.net/Marseille-le-futur-Vietnam-de-McDonald-s

    Important pour la vie sociale locale, le restaurant McDonald’s de Saint-Barthélémy, dans les quartiers Nord de Marseille, est aussi un bastion syndical, où les conditions d’emploi sont bien meilleures que dans les autres restaurants de l’enseigne. McDonald’s France tente cependant de se débarrasser de son établissement, dans des conditions laissant craindre sa fermeture prochaine. C’était sans compter la résistance des 77 salarié, engagés depuis plusieurs mois dans un véritable bras de fer. Ils ont (...)

    #Résister

    / A la une, #Luttes_sociales, #Syndicalisme, #Transformer_le_travail, #Reportages, Emploi , Classes (...)

    #Emploi_ #Classes_populaires

  • Des pompiers UK épuisés se voient maltraités dans un McDonald’s, le Net s’enflamme Sputniknews - 16 Octobre 2018
    https://fr.sputniknews.com/societe/201810161038513718-pompiers-uk-mcdonalds-reaction

    Le personnel d’un McDonald’s britannique s’est retrouvé sous le feu croisé des critiques pour avoir refusé d’offrir des boissons à des pompiers épuisés qui avaient éteint un énorme incendie dans un magasin voisin.

    Un restaurant McDonald’s britannique a été lynché sur les réseaux sociaux après que son personnel avait refusé de servir gratuitement des boissons aux pompiers qui s’y étaient rendu après avoir maîtrisé un incendie, relate le journal The Daily Mail. L’incendie en question s’était déclaré dans un magasin Home Store B & M dans le comté d’York.
    https://www.youtube.com/watch?time_continue=7&v=SsO8bwK_N_U

    Finalement, l’un des clients du McDonald’s a acheté du thé pour les pompiers et son geste n’est pas passé inaperçu par les réseaux sociaux, où une tonne de critiques virulentes fustigeant le comportement du personnel ont été adressées.

    L’incident a divisé l’opinion : certains affirment que les pompiers auraient dû prendre de l’argent avec eux ou auraient pu se contenter de l’eau du robinet tandis que d’autres soulignent que le personnel du McDonald’s aurait dû leur offrir des boissons.

    Un porte-parole de McDonald’s s’est excusé et a déclaré :

    « Nous apprécions le travail extraordinaire de nos services d’urgence et remercions tous ceux qui consacrent leur vie à la protection de notre communauté locale », a indiqué McDonald’s au lendemain de l’incident.

    Et de conclure : « À cette occasion, nous voudrions présenter nos excuses aux pompiers qui ont bravement affronté les flammes la nuit dernière. Ils auraient dû recevoir des rafraîchissements gratuits en guise de reconnaissance de leurs efforts ».

    #mcdonald’s #mcdonald's #pompiers

  • Wetherspoon, TGI Fridays and McDonalds staff join forces to strike in unprecedented day of action

    They are fighting for £10 an hour wages and union recognition

    https://inews.co.uk/inews-lifestyle/work/wetherspoons-mcdonalds-staff-strike-together-poverty-wages-tgi-fridays

    Workers from two of the biggest chains in the UK will be striking in a national day of action for better working conditions and more pay.

    McDonald’s and JD Wetherspoon staff will join forces on 4 October to fight for £10 an hour wages and union recognition in several branches across London and Brighton, an unprecedented action in the fast food industry.

    As it stands, the minimum starting rate for bar staff at JD Wetherspoons over 18 is £8.05 an hour, while kitchen staff receive £8.25 an hour. They receive an extra 10p an hour after they pass their probation period.

    • IWW Couriers Network: Why We’re Striking on October 4th

      https://libcom.org/news/iww-couriers-network-why-were-striking-october-4th-01102018

      The IWW Courier Network has called for a UK-wide strike of food delivery couriers on October 4th. Cities confirmed to be taking part so far include London, Glasgow, Cardiff, Bristol, Newcastle and Plymouth. Couriers in other cities are currently in discussion about joining the action.

      There are a lot of questions to be answered about the gig economy. Employment rights, job security, transparency. But for now, we’re focused on what matters most to the workers on the ground: Pay and safety.

      As it stands, cyclists, drivers, and scooter riders across the UK are delivering food with no guarantee of hitting at least national minimum wage. We can earn as low as £2.80 per delivery, with no guarantee of making enough deliveries in an hour to earn a decent living. And even national minimum wage, for a self-employed courier, wouldn’t pay enough to cover holidays, sickness, or vehicle maintenance.

  • Certaines pratiques commerciales d’Amazon préoccupent la Commission européenne
    https://www.numerama.com/politique/419414-certaines-pratiques-commerciales-damazon-preoccupent-la-commission-

    La Commission européenne a lancé une enquête préliminaire sur Amazon, parce que certaines de ses pratiques commerciales pourraient enfreindre la législation. Il a suffi d’une seule mention au détour d’un communiqué et d’un journaliste attentif pour révéler les intentions de Bruxelles à l’égard d’Amazon. Lors d’une conférence de presse sur l’enquête visant d’éventuelles aides d’État du Luxembourg au profit de McDonald’s, enquête qui a conclu qu’il n’y a pas eu de traitement fiscal particulier, la Commission (...)

    #Amazon #données #marketing #domination

  • McDonald’s Workers Are Striking Against Sexual Harassment — Tying #MeToo to Their Labor Struggle
    https://theintercept.com/2018/09/18/mcdonalds-strike-sexual-harassment-me-too

    When Kimberly Lawson was first sexually harassed while working at McDonald’s in Kansas City, she did exactly what she was supposed to do. A co-worker, she said, had hit on her “constantly,” made lewd comments, and touched her inappropriately. “I filed a complaint, but nothing was done,” said the 25-year-old single mother of one. “He kept working on the same shifts as me.” When Lawson’s shift manager also began tormenting her with verbal sexual remarks, she didn’t even bother filing a complaint. (...)

    #McDonald's #harcèlement #travail

  • McDonald’s épargné par l’Union Européenne malgré ses astuces fiscales au Luxembourg AFP - 19 Septembre 2018 - RTBF
    https://www.rtbf.be/info/economie/detail_mcdonald-s-epargne-par-l-union-europeenne-malgre-ses-astuces-fiscales-au

    L’UE a jugé légal mercredi le traitement fiscal avantageux accordé par le Luxembourg à McDonald’s, épargnant ainsi le roi du Big Mac, contrairement à d’autres géants américains, comme Apple, condamnés à rembourser des impôts non payés.

    La Commission européenne, gardienne de la concurrence dans l’UE, a ainsi mis fin, sans prendre de sanction, à une enquête ouverte en décembre 2015.

    Elle a « conclu que l’absence d’imposition de certains bénéfices de McDonald’s au Luxembourg n’a pas entraîné d’aide d’Etat illégale, étant donné qu’elle était conforme à la législation fiscale nationale et à la convention sur les doubles impositions entre le Luxembourg et les États-Unis ».

    « Le Luxembourg n’a pas enfreint les règles », a-t-elle conclu.

    « La Commission a raté une occasion de s’attaquer à McDonald’s », a regretté l’ONG anti-pauvreté britannique War on Want, à l’origine de la plainte, début 2015, avec trois fédérations syndicales internationales, qui avait débouché sur cette enquête.


    L’ONG et les syndicats avaient accusé le géant de la restauration rapide d’avoir mis au point une stratégie d’optimisation fiscale qui lui aurait permis d’éviter de payer environ un milliard d’euros d’impôts entre 2009 et 2013 en Europe.

    Selon l’enquête de la Commission, McDonald’s a transféré au Luxembourg certains bénéfices réalisés en Europe, avant d’expliquer au Grand-Duché que ces revenus ne pouvaient pas être soumis à l’impôt car ils seraient taxés aux Etats-Unis.

    Mais cela n’a pas été le cas, permettant au groupe de bénéficier au final d’une double non-imposition.

    En rendant sa décision mercredi, la Commissaire européenne à la Concurrence, Margrethe Vestager, a convenu que « McDonald’s n’avait payé aucun impôt sur les bénéfices en cause, ce qui n’était pas conforme au principe d’équité fiscale ».

    « C’est pourquoi, nous accueillons avec une grande satisfaction le fait que le Luxembourg prend des mesures législatives pour remédier au problème qui s’est posé dans cette affaire et éviter que de tels cas ne se reproduisent à l’avenir », a poursuivi Mme Vestager, surnommée « Tax Lady » par le président américain Donald Trump, justement pour avoir sanctionné de nombreux groupes américains pour leurs combines fiscales illégales.

    ’ Territoires offshore’
    Le ministre luxembourgeois des Finances, Pierre Gramegna, a salué la décision de mercredi, affirmant « avoir collaboré pleinement avec la Commission tout au long de son enquête ».

    Tout comme McDonald’s : « Nous payons les impôts que nous devons », a-t-il écrit dans un courrier électronique à l’AFP.

    « De 2013 à 2017, les sociétés McDonald’s ont payé plus de 3 milliards de dollars d’impôt sur le revenu des sociétés dans l’UE, avec un taux d’imposition moyen proche de 29% », a-t-il ajouté.

    Des affirmations contestées par Eva Joly, eurodéputée verte française : « Depuis l’ouverture de l’enquête, McDonald’s a complexifié ses structures dans le but de trouver de nouveaux échappatoires à l’impôt, en déplaçant notamment ses structures du Luxembourg vers le Royaume-Uni ».

    « C’est pourquoi il est aussi essentiel que, dans le cadre des négociations sur le Brexit, l’UE obtienne du Royaume-Uni qu’il règle le problème de ses territoires offshore », a-t-elle asséné.

    La décision sur McDonald’s survient le lendemain de celle faite mardi par le gouvernement irlandais, qui a récolté auprès d’Apple 14,3 milliards d’euros pour des avantages fiscaux jugés indus par la Commissaire Vestager.

    Apple et Dublin font toujours front commun pour contester ces accusations, jugeant tout à fait légales les conditions fiscales entourant l’activité de la marque à la pomme en Irlande.

    Apple et McDonald’s font partie d’une longue liste d’entreprises dans le collimateur de la Commission européenne pour leurs combines fiscales.

    Après le scandale de LuxLeaks fin 2014, mettant à jour les avantages fiscaux dont avaient bénéficié de nombreuses multinationales au Luxembourg, l’exécutif européen avait en effet promis de faire le ménage. Une promesse qui semblait d’autant plus nécessaire que le président de la Commission entrant alors en fonction, Jean-Claude Juncker, avait été ancien Premier ministre et ministre des Finances du Luxembourg.

    Parmi les autres sociétés punies après des accords fiscaux avantageux passés au Luxembourg, on compte Fiat en octobre 2015, Amazon en octobre 2017, le français Engie en juin 2018. L’américain Starbucks a lui été sanctionné en octobre 2015 pour avoir bénéficié d’avantages sur ses impôts payés aux Pays-Bas.

    #UE #Union_européenne est ses bons #amis #Luxembourg #mcdonald’s #mcdonald's #multinationale #paradis_fiscaux #économie #évasion_fiscale #fiscalité #finance #impôts #capitalisme
     

  • Des employés américains de McDonald’s en grève pour dénoncer le harcèlement sexuel AFP - 19 Septembre 2018 - RTBF
    https://www.rtbf.be/info/monde/detail_des-employes-americains-de-mcdonald-s-en-greve-pour-denoncer-le-harcelem

    Des employés de McDonald’s dans dix villes américaines se sont mis en grève mardi pour protester, dans la lignée du mouvement #MeToo, contre le manque d’efforts faits par l’entreprise pour défendre ses employés contre le harcèlement sexuel.

    Ces salariés, qui occupent des emplois très souvent précaires, reprochent au géant de la restauration rapide de ne pas faire assez pour les protéger contre les attouchements ou les commentaires déplacés. 

    « Je suis en grève et je suis ici aujourd’hui pour demander un changement », a expliqué Theresa Cervantes, qui dénonce le harcèlement des managers sur les employés. 

    Cette jeune femme de 20 ans manifestait avec des dizaines d’autres employés, pour la plupart des femmes, devant le siège social de l’entreprise, à Chicago. 

    « Le harcèlement sexuel est un problème universel. C’est une maladie », a-t-elle appuyé.


    Des manifestants sont également descendus dans la rue dans des villes comme Kansas City ou Saint-Louis.

    Ce mouvement social intervient quatre mois après que plusieurs employées ont porté plainte contre l’entreprise devant l’EEOC, l’agence fédérale chargée de promouvoir l’égalité dans le monde du travail.

    « Nous ne pouvons plus accepter qu’un travailleur sur deux subisse de la violence sous la supervision » de McDonald’s, a déclaré Karla Altmayer, organisatrice de la manifestation à Chicago. 

    La chaîne de restauration rapide a affirmé dans un communiqué disposer de « politiques, procédures et formations strictes » pour prévenir le harcèlement sexuel.

    Elle a souligné avoir également embauché des experts en matière de prévention et de réaction « pour faire évoluer nos politiques afin que quiconque travaillant pour McDonald’s le fasse dans un environnement sûr chaque jour ».

     #mcdonald’s #harcèlement #sexisme #femmes #harcèlement_sexuel #culture_du_viol #travail #violence #metoo #violences_sexuelles #discrimination #mcdonald's #multinationale #USA

  • Un McDo à défendre ?!

    https://www.franceculture.fr/emissions/les-pieds-sur-terre/un-mcdo-a-defendre

    Situé au cœur des quartiers Nord de Marseille, ce fast-food devait fermer ses portes pour laisser la place à un restaurant asiatique halal. Ses salariés, les habitants des cités environnantes et même des militants d’Attac racontent pourquoi ils se sont battus contre la fermeture du McDo.

    Soixante-dix-sept salariés de McDonald’s ont lutté pendant près de cinq mois contre la fermeture de leur lieu de travail. Situé au cœur des quartiers nord de Marseille, ce fast-food devait fermer ses portes pour laisser la place à un restaurant asiatique halal, selon ses repreneurs désignés.

    « Je voulais en finir avec moi-même. »

    Colère des serveurs pour qui ce McDonald’s a constitué leur premier et unique lieu de travail pendant parfois vingt ans. Colère des habitants des cités environnantes pour qui ce McDo était devenu le seul lieu mixte et multiculturel de rencontre et de rendez-vous, dans un quartier où les boulangeries, les supérettes et les cafés ferment les uns après les autres. Comment même ceux qui se sont opposés à McDo se retrouvent à défendre ce lieu symbolique….

    « McDo, ça a été ma bouée de sauvetage. »

  • Harmsens Berlin: Ein Geheimcode auf einem Geldschein führt nach Zagreb | Berliner Zeitung
    https://www.berliner-zeitung.de/berlin/harmsens-berlin-ein-geheimcode-auf-einem-geldschein-fuehrt-nach-zag


    Es ist wahr, es ist wahr, daß Hamburg nicht die Hauptstadt von McDonalds ist.

    Soweit Rio Reiser, und daß Kunst Kunst ist und eigentlich nicht geändert gehört, wissen alle, die mal ein Brechtwerk auf der Bühne ändern wollten - gerichtlich verboten. Die Urania-Weltzeituhr auf dem Alexanderplatz als Kunst gedacht ist wohl doch keine, sonst wäre sie noch als Werk aus der Zeit des „real existierenden Sozialismus“ erkennbar. Sie würde friedlich die Zeit für #Leningrad, #Frunse, #Alma_Ata und #Bratislava anzeigen. Tut sie aber nicht, sondern erinnert an Zarenreich, an Kriege gegen Mongolen und Turkvölker und an das von Österreich beherrschte Ungarn. Heute ist sie sinnentstellt. Stadmöbel. Kunst war früher, Möbel ist heute.

    Die Geschichte von Ländern, Städten und Straßen kann man sehr gut anhand von Umbenennungen nachvollziehen. Vor allem auch in Berlin. Meine Frau wuchs zum Beispiel in Lichtenberg in der Ho-Chi-Minh-Straße auf, von uns liebevoll-salopp „die Reisfelder“ genannt, wegen des Bezugs zu Vietnam. Wenn wir aber heute sagen: „Eh, Kinder, fahrt doch mal wieder in die Reisfelder, die Oma besuchen!“, gucken die Kinder doof. Die Straße heißt ja wieder Weißenseer Weg.

    Pressburg statt Bratislava

    Manchmal bleibt es aber nicht nur beim Doof-Gucken, sondern führt zu diplomatischen Verwicklungen. Zum Beispiel war es 1997 so, als man die Weltzeituhr auf dem Alex sanierte, samt Städtenamen. Leningrad verwandelte man in Sankt Petersburg, Frunse in Bischkek, Alma Ata in Almaty und Bratislava in Pressburg. Letzteres gefiel den Slowaken überhaupt nicht, und sie protestierten. Ohne Erfolg übrigens. Der Name steht heute noch an der Uhr. Was ich ziemlich ignorant finde gegenüber den Einwänden der Slowaken.

    Straßenumbenennungen, die ja immer heiße Debatten mit sich bringen, könnte man künftig verhindern, wenn man es so macht wie in dem Müggelheimer Viertel, in dem ein Bekannter wohnt. Dort heißen die kleinen Straßen einfach Weg P, Weg Q, Weg R und Weg U. Anderswo tragen Straßen Nummern. Wenn das überall so wäre, würde auch das umständliche Eintippen komplizierter Straßennamen ins Navi wegfallen, an dem ortsunkundige Taxifahrer nicht selten scheitern. Wie einfach wäre es, zu sagen: „Bitte nach Pankow, Straße 1 A.“ Das Tippen ginge dann ganz schnell.

    Wer hat eigentlich die slowakische Hauptstadt Bratislava als Preßburg germanisiert? War das eine Koproduktion von NPD oder AfD mit Vertriebenenverbandsfunktionären steinbachscher Art oder ist das alles nur ein deutsch-nationalistischer Ausrutscher? Keine Ahnung, man kann ja nicht alles wissen. Wunder über Wunder.

    Die allwissende Online-Enzyklopädie weiß es auch nicht genau.

    Weltzeituhr (Alexanderplatz)
    https://de.wikipedia.org/wiki/Weltzeituhr_(Alexanderplatz)

    Zwischen Oktober und Dezember 1997 wurde die Uhr für 350.000 Mark (kaufkraftbereinigt in heutiger Währung: rund 236.000 Euro) unter der Verantwortung von Hans-Joachim Kunsch als Metallrestaurator saniert. Bei der Sanierung wurden Städtenamen wie Leningrad in Sankt Petersburg und Alma Ata in Almaty aktualisiert. 20 neue Städte wurden hinzugefügt und die Zuordnung von Städten zu Zeitzonen geändert (Beispiel Kiew). Zu den erst 1997 hinzugefügten Städten gehören auch Jerusalem und Tel Aviv, deren Erwähnung in der DDR politisch unerwünscht war.

    Kunsch Metallbau - Referenzen
    https://www.kunsch-metallbau.de/referenzen/page/8

    Kunsch Metalbau – Metallbau Berlin Alexanderplatz, Weltzeituhr, Entwicklung, Konstruktion und Montage
    https://www.kunsch-metallbau.de/referenzen/weltzeituhr-berlin-alexanderplatz

    #Berlin #Lichtenberg #Ho-Chi-Minh-Straße #Leninallee #Landsberger_Allees #Taxi #Anekdote #Mitte #Alexanderplatz

  • Thousands of #Amazon workers get food stamps. #Bernie_Sanders wants Amazon to pay for them
    http://www.latimes.com/business/la-fi-bernie-sanders-food-stamps-20180824-story.html

    Sen. Bernie Sanders (I-Vt.) wants large employers such as Amazon, Walmart and McDonald’s to fully cover the cost of food stamps, public housing, Medicaid and other federal assistance received by their employees. The goal, he said, is to force corporations to pay a living wage and curb roughly $150 billion in taxpayer dollars that go to funding federal assistance programs for low-wage workers each year.

    #oligarques #Etats-Unis

  • Choose a side : the battle to keep French isle McDonald’s-free | World news | The Guardian

    https://www.theguardian.com/world/2018/aug/24/choose-a-side-fight-keep-france-ile-doleron-mcdonalds-free

    Tiens, c’est intéressant, je n’avais pas vu ça dans la presse française.

    Inside a ramshackle former holiday club on the picturesque Île d’Oléron off France’s Atlantic coast, a group of people were screen-printing old T-shirts with anti-burger slogans inspired by the student protests of May 1968. The artwork implored “comrades” to choose their side in the island’s battle with McDonald’s.

    “Oléron is a beautiful place, it’s important to protect it,” said Nicolas, 36, an IT worker, who volunteers on a local project to make furniture from discarded wooden pallets. “We don’t need McDonald’s in a place that is pioneering local organic food, sustainable development, zero waste – alternative ways of living that aren’t about mass consumption.”

  • Ce qu’il coûte à une mère de laisser son enfant seul 5 minutes dans une voiture
    https://www.nouvelobs.com/rue89/notre-epoque/20180808.OBS0681/ce-qu-il-coute-a-une-mere-de-laisser-son-enfant-seul-5-minutes-dans-une-v

    Le raisonnement est simple : pour se prémunir de toutes ces horreurs, nous sommes capables de tout. Kim Brooks ne peut qu’en attester. Elle ne voit plus d’enfants « aller à l’école à pied, jouer tout seuls dans un parc, faire du vélo ou construire des cabanes ». Pas à cause du risque, mais parce que c’est immoral.

    Parmi les témoignages recueillis par Kim Brooks, il y a celui de Debra Harell qui, en 2014, a « laissé sa fille de 9 ans dans un parc alors qu’elle travaillait dans un McDonald’s ». Accusée de négligence, elle a vu sa fille placée en famille d’accueil pendant deux semaines.

    La sentence semble lourde pour « un pays qui n’offre pas de services de garde subventionnés, ni d’assurance ou de flexibilité horaire au travail pour les parents », rappelle l’auteure de l’article. En réalité, qu’elle soit issue d’un milieu défavorisé ou aisé, toute mère américaine peut être visée par « ce type de surveillance et écoper d’une sanction ».

    #patriarcat #injonction_paradoxale

  • Inside China’s Vast New Experiment in Social Ranking
    https://www.wired.com/story/age-of-social-credit/?mbid=social_twitter

    In 2015, when Lazarus Liu moved home to China after studying logistics in the United Kingdom for three years, he quickly noticed that something had changed : Everyone paid for everything with their phones. At McDonald’s, the convenience store, even at mom-and-pop restaurants, his friends in Shanghai used mobile payments. Cash, Liu could see, had been largely replaced by two smartphone apps : Alipay and WeChat Pay. One day, at a vegetable market, he watched a woman his mother’s age pull out (...)

    #Alibaba #Tencent #WeChat #Baidu #carte #smartphone #réseaux #StateControl #contrôle #SocialNetwork #prédictif #journalisme #surveillance #vidéo-surveillance #web #marketing (...)

    ##profiling