company:new york times

  • #Uber, la start-up annonciatrice d’une crise morale dans la #Silicon_Valley - Atelier des médias
    http://atelier.rfi.fr/profiles/blogs/uber-crise-morale-silicon-valley

    Le Wall Street Journal estime qu’Uber est « le point d’aboutissement logique de la transformation progressive du secteur TIC ». Les entreprises d’hier se voulaient « une force permettant d’améliorer la vie et, peut-être, de changer le monde ». Celles d’aujourd’hui se demandent :

    « Qui devons-nous détruire pour nous enrichir nous et nos investisseurs, et quel est le meilleur moyen de créer un besoin des consommateurs qui facilitera cette quête ? »

    Dans un billet publié par le New York Times le jour de Thanksgiving, Nick Bilton écrit : "Je ne crois pas que la plupart des start-ups essaient d’être malveillantes et mauvaises (le fameux « evil », « malveillant » que Google ne voulait pas être). Mais je pense qu’elles ont tellement soif de gagner qu’elles sont parfois prêtes à contourner les règles éthiques et à oublier que de vraies personnes sont affectées par leurs actions".

    • L’auteur de RFI cite sa source : il s’agit de Sarah Lacy. Dans son blog Pandodaily elle écrit :
      The horrific trickle down of Asshole culture : Why I’ve just deleted Uber from my phone
      http://pando.com/2014/10/22/the-horrific-trickle-down-of-asshole-culture-at-a-company-like-uber

      Women drive Ubers and ride in them. I don’t know how many more signals we need that the company simply doesn’t respect us or prioritize our safety.

      Avec ce billet elle continue à développer une idée précédente :

      Venture capital and the great big Silicon Valley asshole game
      http://pando.com/2014/10/06/venture-capital-and-the-great-big-silicon-valley-asshole-game

      A senior partner at a top firm recounted a partner meeting at breakfast recently.

      “Why are we backing this guy?” he said to a younger rainmaker at the firm. “He’s an asshole.”

      His partner replied: “Hey, you gotta get over it. It’s no longer about whether someone is an asshole it’s about can he make money.”

      That conversation happened a year ago. Said this multi-decade veteran of the business: “It didn’t use to be that way.”

      Si les grands patrons des jeunes hyènes commencent à être dégoûtés de leur propre rejetons, quelle attitude dois-je adopter moi par rapport à cette - disons - racaille ?

      #Uber #taxi

  • Platform Cooperativism vs. the Sharing Economy
    https://medium.com/@trebors/platform-cooperativism-vs-the-sharing-economy-2ea737f1b5ad par Trebor Scholz qui avait coordonné l’ouvrage sur le #digital_labor via @antoniocasilli (pas lu encore mais j’archive)

    The backlash against unethical labor practices in the “collaborative sharing economy” has been overplayed. Recently, The Washington Post, New York Times and others started to rail against online labor brokerages like Taskrabbit, Handy, and Uber because of an utter lack of concern for their workers. At the recent Digital Labor conference, my colleague McKenzie Wark proposed that the modes of production that we appear to be entering are not quite capitalism as classically described. “This is not capitalism,” he said, “this is something worse.”

    je m’y perds un peu dans les tags sur ce sujet, on a #économie_collaborative #sharing_economy #partage au moins (mais je suis sûr que @hubertguillaud en a d’autres de derrières les fagots)

  • Pourquoi notre #mémoire nous fait défaut - New York Times
    http://alireailleurs.tumblr.com/post/104398714665

    Les professeurs de psychologie Christopher Chabris et Daniel Simons, auteurs du Gorille invisible : comment nos intuitions nous déçoivent, signent une intéressante tribune dans le New York Times sur les limites de la mémoire. Pourquoi ne nous remémorons nous pas tous d’un même événement de la même façon ? Nous nous rappelons les événements facilement et souvent, surtout s’ils sont important pour nous, mais il est rare que nos souvenirs soient contredits par des preuves et encore plus rare que nous prenions l’initiative de vérifier s’ils ont raison. Notre manque d’appréciation de la fiabilité de nos propres souvenirs peut causer beaucoup de problèmes, notamment dans le cas de procès. L’Académie des sciences américaine a récemment réuni un groupe d’experts sur le sujet qui a publié un rapport complet pour (...)

    #cognition

  • Linked-in aux prises avec les réseaux - New York Times
    http://alireailleurs.tumblr.com/post/104312424459

    Linked-in, le réseau social du recrutement propose a ses abonnées premium le service Reference Search, un service qui permet au recruteur de générer une liste de personne qui ont travaillé dans la même société au même moment qu’un candidat qu’ils s’apprêtent à recruter et leur permettant de discuter par messagerie avec ces personnes, sans que le candidat soit au courant. Un procédé qui n’est pas du goût de candidats qui se sont vu ainsi refuser des postes, sans possibilité de s’opposer à la véracité des informations ainsi recueillies et qui poursuivent le réseau en justice. En facilitant la mise en réseau des candidats, Linked-in permet d’accéder bien plus facilement à leurs réseaux… Le problème est que ces “références de confiance” générées par le site ne le sont pas tant que cela… Un avocat en fait la (...)

    #emploi #linkedin #Big_Data #réseaux_sociaux #algorithmes

  • "Sel, "sucre, "gras : comment ils nous ont rendus #accro
    (Salt Sugar Fat : How the "Food Giants Hooked Us)

    À l’occasion de la sortie en France de son livre Sucre, sel, matières grasses, Michael #Moss, journaliste “pulitzérisé” du New York Times, a accordé à Lyon Capitale un entretien exclusif.

    http://www.lyoncapitale.fr/Journal/Communs/Univers/A-table/Actualite/Innovation-conso/Sel-sucre-gras-comment-ils-nous-ont-rendus-accro

    Le sel, le sucre et la graisse constituent la sainte trinité de l’industrie agroalimentaire. L’industrie sait que, lorsqu’elle dose parfaitement ces trois additifs dans ses produits, ceux-ci vont nous rendre fous de bonheur et faire un tabac en rayon, car nous allons en acheter et manger davantage.
    Le bliss point (point de félicité, de bonheur suprême) est le terme inventé par l’industrie pour désigner le niveau de sucré optimal. Le premier à appliquer ce terme aux aliments, un certain Howard Moskowitz, est une légende de l’agroalimentaire : c’est lui qui a créé – même s’il préfère parler d’“ingénierie” – certains des produits alimentaires les plus iconiques. Le docteur Moskowitz, qui s’est formé en psychologie expérimentale à l’université de Harvard, m’a expliqué son récent processus d’ingénierie permettant de concevoir un nouvel arôme pour le soda américain Dr Pepper. Il a commencé avec 61 formulations sucrées, toutes très légèrement différentes, qu’il a soumises à plus de 3 000 dégustations par des consommateurs dans tout le pays, avant d’appliquer aux données une analyse de régression pour trouver l’unique formule parfaite.

  • Eureka Times
    http://blogs.mediapart.fr/blog/sylvain-bourmeau/271114/eureka-times

    L’intelligence du New York Times a consisté à inventer un modèle lui permettant de prendre en compte l’existence de ces deux entités, audience et public, mais différemment, à cibler les internautes en fonction de leurs intérêts économiques différent pour le titre. A rompre donc avec la logique publicitaire erronée mais qui désormais prévaut dès qu’on parle d’économie des médias et pour laquelle chaque visiteur (consommateur) se vaut. Le New York Times a donc logiquement posé que (1) chaque internaute ne doit pas être appréhender de la même manière en tant que consommateur, (2) certains ne paieront jamais pour lire un article, (3) ils ne doivent pas pour autant être empêchés de venir sur le site puisque pour les publicitaires ils comptent comme les autres, (4) il convient donc de focaliser tous les efforts marketing sur les 20% de vrais lecteurs, qu’il s’agit de transformer en abonnés.

    Astucieux exemple de marketing : le New York Times a également contribué à renouveler le modèle classique de la publicité (la vente d’espace) en proposant à ses 3% de lecteurs les plus assidus de faire payer par un annonceur unique (Lincoln/Ford) leur abonnement, en échange de quoi cet annonceur pourrait leur envoyer quelques emails dans l’année. (Un exemple qui intéresse aussi beaucoup les publicitaires les plus lucides, ceux qui savent qu’ils doivent dès aujourd’hui largement réinventer leurs pratiques) .

    C’est en direction des 17% de lecteurs réguliers moins assidus qu’a été orientée la campagne d’offres d’abonnements et, surtout, le système du purposefully porous paywall. Un paywall au compteur donc (metered) d’abord fixé à 20 articles par mois (avant d’être ramené à 10) mais volontairement poreux car contournable notamment par l’accès via les réseaux sociaux, ce qui permet au site de continuer de bénéficier des effets de partage et de buzz.

    #presse #financement

  • La sinistre histoire des stérilisations contraintes en Inde (et ailleurs) | Slate.fr - par Filipa Ioannou
    http://www.slate.fr/story/94723/sterilisations-contraintes-en-inde-et-ailleurs

    En Inde, les « campagnes de stérilisation » sponsorisées par l’Etat, qui paie des femmes pour qu’elles se fassent stériliser, s’inscrivent dans une tentative de contrôle démographique du pays qui devrait devenir le plus peuplé du monde d’ici 2028. Le 11 novembre, dans l’Etat du Chhattisgarh, l’un des plus pauvres du pays, 11 femmes sont mortes à la suite d’une de ces campagnes. Elles avaient été payées 600 roupies, soit une dizaine de dollars.

    Selon le New York Times, le samedi précédent, 83 femmes avaient été opérées par un seul et même chirurgien en l’espace de six heures, ce qui implique que chaque opération ait été effectuée en moins de cinq minutes en moyenne (selon un expert interrogé par le New York Times, les normes de sécurité ne permettent pas de pratiquer plus de deux ou trois stérilisations par heure car il faut entre 20 et 30 minutes pour stériliser et préparer les instruments chirurgicaux nécessaires). Après ces opérations, 68 de ces femmes ont été traitées pour choc septique, dû selon les responsables de santé de Chhattisgarh au fait que le chirurgien n’avait pas stérilisé ses instruments.

    ...

    Les organisations de défense des droits humains dénoncent un changement de politique qui n’a fait en réalité que déplacer les quotas de stérilisations du gouvernement central vers les Etats et les autorités locales. Une recherche effectuée par Human Rights Watch révèle que les employés du secteur de la santé sont régulièrement menacés de diminution de salaire ou de renvoi s’ils ne remplissent pas leurs objectifs, ce qui les conduit à fournir aux femmes des renseignements inadaptés afin de les convaincre de subir l’opération (certaines femmes ne sont par exemple pas prévenues que leur stérilisation sera irréversible). Dans certains Etats, le gouvernement a recours à des mesures incitatives comme des tombolas pour promouvoir la stérilisation. Et Bloomberg signalait en juin 2013 que, dans de nombreux Etats, les interventions sont effectuées en masse en début d’année afin d’atteindre les quotas locaux avant la fin de l’année fiscale, le 31 mars, une période parfois surnommée « saison de stérilisation ».

    Cela va probablement sans dire hélas, mais les mesures de stérilisation indiennes sont imposées de façon disproportionnée aux pauvres relativement impuissants des régions rurales.

    En 2012, 53 femmes ont été stérilisées en l’espace de deux heures dans l’Etat du Bihar, dans les locaux d’un collège sans accès à l’eau courante ou à du matériel de stérilisation. Le Bihar compte le plus bas revenu par habitant du pays ; lors du recensement de 2011, on y constatait également le taux d’analphabétisme le plus élevé. En 2013, l’Etat a déclaré envisager l’ouverture de 13.000 camps de stérilisation –des hôpitaux de campagne temporaires où les interventions sont pratiquées en masse. Et début 2013 au Bengale-Occidental, le cinquième Etat le plus pauvre des 29 qu’en compte l’Inde, plus de 100 femmes ont été abandonnées, inconscientes, dans un champ après une opération de stérilisation collective qui avait mal tourné dans un hôpital incapable d’en accueillir un si grand nombre.

    Interrogés lors d’une séance au Parlement, les responsables de santé ont indiqué qu’entre 2009 et 2012, le gouvernement avait accordé une compensation financière à des familles à la suite de 568 décès liés à des stérilisations.

    ...

    En Ouzbékistan par exemple, des dizaines de milliers de femmes, appartenant principalement à des minorités pauvres, sont stérilisées chaque année afin de remplir les quotas imposés aux médecins. Dans certains cas, ceux-ci stérilisent des femmes pendant qu’elles sont sous anesthésie pour des actes chirurgicaux qui n’ont rien à voir.

    Au Pérou, dans les années 1990 plus de 300.000 femmes, en majorité des Indiennes pauvres et analphabètes, ont été stérilisées dans le cadre d’un contrôle du taux de natalité.

    ...

    Et il a fallu attendre cet automne pour que la Californie interdise la stérilisation contrainte dans les prisons après la découverte que des dizaines de femmes avaient été stérilisées sans leur consentement dans des prisons californiennes jusqu’en 2011.

    #stérilisation #Inde #femmes

  • Rhizome, outil d’archivage dynamique - New York Times
    http://alireailleurs.tumblr.com/post/103190883486

    Les réseaux sociaux sont un monde en constant changement : contenus et fonctionnalités évoluent tout le temps. Alors comment partager l’expérience de ces sites avec quelqu’un qui ne les as jamais utilisé ? Une capture d’écran ne rendra pas l’expérience ! C’est l’enjeu de Rhizome, une organisation américaine dédiée à la conservation des contenus artistiques numériques, qui développe un outil pour archiver une expérience immersive complexe, rapporte le New York Times. Le logiciel de sauvegarde est développé en partenariat avec Ilya Kreymer, l’un des programmeurs de la Wayback Machine d’Internet Archive et le code a été placé sur Github pour que d’autres puissent l’améliorer. Certains même envisagent que ces nouvelles formes d’enregistrement pourraient redonner aux utilisateurs un peu de contrôle sur leurs données et (...)

    #archivage

  • La vie secrète des mots de passe - New York Times Magazine
    http://alireailleurs.tumblr.com/post/103187994789

    Passionnante enquête de Ian Urbina pour le New York Times magazine sur ce que les mots de passe révèlent de nous, qui commence en évoquant comment Howard Lutnick, directeur de Cantor Fitzgerald, l’une des grandes sociétés américaines de services financiers, a du enquêter, par téléphone, auprès des proches de ses 658 collaborateurs décédés dans les attentats du World Trade Center, pour trouver des indices lui permettant de retrouver leurs mots de passe et rétablir le fonctionnement de sa société en quelques jours. Si Cantor Fitzgerald a pu redémarrer son activité, c’est à cause ou plutôt grâce à notre sentimentalité qui fait que nous choisissons le plus souvent des mots de passe mémorisables. Les mots de passe sont habités de nos histoires, rapporte Ian Urbina, qui a demandé à des centaines de personnes de lui (...)

    #sécurité #anthropologie

  • Place de Smolensk, au ministère des affaires étrangères russe, une élite entre nostalgie et ambition
    http://www.monde-diplomatique.fr/2013/11/BREAULT/49776

    La dénonciation de l’exceptionnalisme américain signée par M. Poutine dans le New York Times (11 septembre 2013) touche une corde sensible à Moscou comme à Washington — pour des raisons différentes.
    http://www.nytimes.com/2013/09/12/opinion/putin-plea-for-caution-from-russia-on-syria.html

    A l’arrière plan de la citation sibylline ci-dessus, M. Vladimir Poutine tient une conférence de presse dans sa résidence de Novo-Ogarevo, près de Moscou. Des journalistes la suivent en direct dans la salle de billard de celle-ci, en mars 2012. Photo de Davide Monteleone, p. 36 du dernier « Manière de voir ». http://seenthis.net/messages/312450

  • Quand le FBI tentait de pousser Martin Luther King au suicide avec une lettre anonyme

    http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2014/11/13/le-fbi-a-tente-de-pousser-martin-luther-king-au-suicide-avec-une-lettre-anon

    Une lettre haineuse envoyée par le FBI à Martin Luther King en 1964, a été publiée mercredi 11 novembre dans son intégralité par le New York Times. La lettre anonyme, tapée à la machine à écrire, menaçait de révéler les infidélités du pasteur. Particulièrement virulente, elle traitait le pasteur de « complet imposteur », de « boulet », ou encore de « diable ».

    La lettre avait été rédigée de telle manière qu’elle était censée faire croire qu’elle avait été envoyée par un militant du mouvement des droits civiques, faisant notamment référence à « nous, les Noirs ». Le Sénat américain avait confirmé dans les années 1970 que cette lettre anonyme émanait en réalité du FBI.

    Selon le New York Times, la lettre avait été écrite par William Sullivan, un adjoint du dirigeant de l’époque, John Edgar Hoover, et envoyée au pasteur accompagnée d’un enregistrement audio prouvant qu’il avait une liaison extraconjugale. « Ecoute-toi, dégoûtant, animal anormal », lui enjoint notamment cette lettre.

    « Tu as été enregistré, tous tes actes d’adultère, tes orgies sexuelles, depuis longtemps. Ce n’est ici qu’un petit échantillon. » « Tu ne peux pas croire en Dieu et agir comme tu le fais », accuse encore la lettre. Elle se poursuit sur une incitation claire au suicide : « Il ne te reste plus qu’une chose à faire, tu sais ce que c’est. »

  • La mort (de la #politique) par les données - New York Times
    http://alireailleurs.tumblr.com/post/101920203258

    Dans un édito pour le New York Times, David Brooks souligne combien les campagnes politiques américaines sont désormais devenues scientifiques, pilotées par les données. Les discours, publicités et les campagnes ciblent désormais des tranches démographiques spécifiques. Mais cette nouvelle forme de politique est construite sur une philosophie et un ensemble d’hypothèses douteuses, estime l’éditorialiste. “Cette méthode suppose que la mobilisation est plus importante que la persuasion, qu’il est plus important de cibler des supporters susceptibles de recadrer le débat ou de convaincre l’ensemble du pays” que l’ensemble des citoyens. Elle favorise la démultiplication de messages formatés, qui insistent plus sur la forme que sur le fond. Au final, si Obama a gagné avec ces méthodes en 2012, il n’avait aucun (...)

    #data-driven

  • Les maîtres des machines - New York Times
    http://alireailleurs.tumblr.com/post/101918077816

    David Brooks pour le New York Times revient sur l’article que Kevin Kelly a publié sur Wired sur les trois avancées technologiques qui vont libérer l’intelligence artificielle sur le monde (à savoir le calcul bon marché, le big data et des algorithmes toujours plus performants). Selon Kelly, l’intelligence artificielle est enfin à portée de main. Mais celle-ci n’aura pas la forme d’un génie anthropomorphe, comme HAL 9000 dans 2001 l’odyssée de l’espace (même si HAL n’est pas vraiment anthropomorphe !). L’intelligence artificielle de demain sera constitué de machines plus modestes : moteurs de voitures, traducteurs en temps réel, logiciels pour organiser ses photos ou sa musique…

    « Tout ce qu’autrefois nous avons électrifié, nous allons désormais le cognitiser », écrit Kelly. (…) Pour Kelly :"Les business (...)

    #prospective #intelligence_artificielle

  • Importante archive oubliée d’août 2012 : à peine un mois après la « libération » d’Alep, le New York Times filme l’organisation d’un faux attentat-suicide par les « rebelles » :
    http://seenthis.net/messages/83465

    Ceci est une révélation invraisemblable : le New York Times a filmé un prisonnier capturé par l’Armée syrienne libre (accusé d’être un shabiha) manipulé pour devenir (à son insu) le conducteur-suicide d’un camion bourré d’explosifs. Le film et le reportage sont sur le site du quotidien :
    http://www.nytimes.com/2012/08/21/world/middleeast/syrian-rebels-coalesce-into-a-fighting-force.html

    Ce qui fait que, lorsqu’on se focalise sur la technique de l’« attentat suicide » par des « kamikazes » islamistes en Syrie, on passe à côté d’un aspect intéressant : dès août 2012 on sait qu’une partie au moins des « attentats suicides » ne sont des attentats-suicides.

    Je rappelais alors les rumeurs de tels « attentats false flag » qui avaient circulé en Irak, dont une qui avait été relayée en 2006 par Robert Fisk :
    http://seenthis.net/messages/95131

  • Archives octobre 2012 à Alep, des attentats-suicide : Syrie : des combats intenses à Alep
    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/15/97001-20121015FILWWW00512-syrie-des-combats-intenses-a-alep.php

    Un responsable des services de sécurité syriens a affirmé à l’AFP que près de ce barrage, l’armée avait désamorcé « trois tonnes d’explosifs » placées dans un camion, et tué le « kamikaze » qui conduisait le véhicule.

    Voir, deux mois auparavant, le témoignage filmé d’un faux attentat-suicide par le New York Times :
    http://seenthis.net/messages/309060

  • INAglobal, un site pour suivre les volutions de la presse face aux dfis du en ligne - Un blog pour l’information juridique
    http://www.precisement.org/blog/INAglobal-un-site-pour-suivre-les.html

    « Sur ces sujets, le site INAglobal possède une excellent dossier sur la presse, surtout celle en ligne, qui permet un suivi de la situation financière et des recherches NTIC de ce secteur. Le combat pour la survie des journaux n’est toujours pas gagné mais des signes d’optimisme existent comme au New York Times (NYT). »

    #public

  • C’est officiel : les USA sont l’État terroriste n°1
    par Noam Chomsky
    http://www.vineyardsaker.fr/2014/10/26/cest-officiel-les-usa-letat-terroriste-n1

    (...) Il est même difficile d’imaginer qu’un tel article puisse être publié, sauf qu’il l’a été (ou presque).

    Le 14 octobre, l’info de Une du New York Times portait sur une étude de la CIA, qui passait en revue les principales opérations terroristes conduites par la Maison Blanche dans le monde, dans le but de déterminer les causes de leurs succès ou de leurs échecs et dont la conclusion disait que, malheureusement, les succès étaient rares et qu’il serait bon d’envisager une réadaptation stratégique [2] [3]. L’article continue en citant Obama, disant qu’il avait demandé à la CIA de lancer une enquête pour déterminer les cas où « le financement et la fourniture d’armes aux insurgés d’un pays a abouti à leur victoire. Mais ils n’ont pas trouvé trouvé grand-chose ».

    Il n’y a eu aucun cri de réprobation, aucune indignation, rien.(...)

    #État_terroriste

  • Paroles d’experts
    http://survie.org/billets-d-afrique/2014/238-septembre-2014/article/paroles-d-experts-4785

    Selon des responsables américains cités par le New York Times (25/08), l’Egypte et les Emirats arabes unis auraient bombardé fin août des milices islamistes en #Libye sans en avertir Washington. Avant que la diplomatie américaine ne fasse finalement machine arrière, les États-Unis, la Grande-Bretagne, la France, l’Allemagne et l’Italie ont, dans un communiqué commun (25/08), mis en garde contre les « ingérences étrangères » en Libye, estimant que celles-ci ne font qu’« exacerber les divisions actuelles et (...)

    #238_-_septembre_2014

    / #Brèves_d'Afrique_et_d'ailleurs, Libye

  • Pourquoi les hommes commentent-ils plus que les #femmes ? - Quartz
    http://alireailleurs.tumblr.com/post/100812900386

    Sur 1 million de #commentaires sur le site du New York Times entre juin 2013 et juin 2014, seulement 25% ont été le fait de femmes, alors que 44% des lecteurs du journal sont des femmes, rapporte Emma Pierson pour Quartz (voir aussi son blog, Obsession with Regression). Elles sont visiblement plus susceptibles de commenter des articles écrits par des femmes - mais est-ce le sexe de l’auteur ou le contenu qui leur est plus destiné qui les incite alors à plus commenter ? Leurs commentaires reçoivent plus de recommandations des autres lecteurs que ceux des hommes, sauf dans les sections où elles sont majoritaires. Pour Emma Pierson, les femmes se font plus rares dans les commentaires parce qu’elles sont moins à l’aise. Elles ont tendance à ne pas inclure leur nom de famille dans leur commentaire (pour (...)

    #genre #équité

  • Les Etats-Unis ont caché la découverte d’armes chimiques trouvées en Irak, « produites avec la complicité de pays occidentaux durant la guerre Iran-Irak » - L’Express

    Il y avait bien des armes de destruction massives en Irak lorsque les Etats-Unis sont intervenus dans le pays en 2003. Mais il ne s’agissait pas de celles que George Bush prétendait vouloir faire disparaître. Alors les Américains ont caché leur existence, révèle une enquête du New York Times publiée ce mercredi. Au risque de mettre en danger la santé des soldats américains et irakiens qui ont été au contact de ces agents chimiques.

    Entre 2004 et 2011, des soldats américains et irakiens ont retrouvé et ont été contaminés par des armes chimiques à six reprises au moins, selon C. J. Chivers, l’auteur de l’enquête. Quelque 5000 ogives, obus ou bombes chimiques ont été découverts, assure le journaliste qui s’appuie sur des entretiens avec des soldats et des officiers irakiens et américains ainsi que sur des documents déclassifiés. Mais toutes les armes découvertes avaient été fabriquées avant 1991. C’est l’une des raison pour lesquelles l’existence de cet armement n’a pas été révélée par le Pentagone. Evoquer ces découvertes aurait mis en relief les failles de l’argumentation utilisée pour justifier la guerre contre Saddam Hussein.

    Le 5 février 2003, le secrétaire d’Etat américain Colin Powell brandissait à l’ONU une fiole censée prouver que l’Irak cachait des armes de destructions massives. La preuve était bidon. Mais le Pentagone avait aussi des choses à cacher.

    Des armes développées pour attaquer l’Iran

    Les armes découvertes datent de la guerre Irak-Iran (1980-1988), déclenchée par l’attaque irakienne contre la jeune République islamique, un an après la révolution iranienne. Le dictateur irakien, soutenu par les pays du Golfe et certains pays occidentaux, avait imaginé venir facilement à bout d’un Iran affaibli par des purges dans l’armée du shah. Face à la résistance inattendue de l’ennemi, « l’Irak a rapidement cherché de nouvelles armes et créé un programme secret, le ’Projet 922’ qui a permis la production de centaines de tonnes d’armes chimiques », précise C. J. Chivers. Le régime de Saddam Hussein a surtout utilisé ces armes chimiques lors des grandes offensives de 1988.

    Des armes fabriquées avec l’assistance des pays occidentaux

    L’autre raison pour laquelle le secret de ces découvertes a été bien gardé tient aux connivences qui ont permis le développement de cet arsenal, « en collaboration étroite avec les pays occidentaux », selon le journaliste. Soucieux de contenir la république islamique, plusieurs pays occidentaux ont apporté leur aide militaire à l’Irak. Les Etats-Unis, l’Allemagne, l’Espagne et l’Italie notamment, ont participé à la production des agents chimiques irakiens, ou à la fourniture des vecteurs indispensables pour leur usage, souligne le New York Times.

    Des armes qui ont mis en danger les soldats américains

    Les gaz sarin et moutarde retrouvés par les soldats étaient périmés mais restaient suffisamment puissants pour constituer un danger pour les personnes qui y ont été exposés. Au moins 17 Américains et sept Irakiens ont été en contact avec ces agents toxiques. « L’étendue des découvertes d’armes chimiques en Irak n’a pas été ni partagée publiquement au sein de l’armée », affirme C. J. Chivers. Des soldats interrogés racontent avoir ramassé des armes hors d’usage et ne s’être inquiétés qu’après avoir senti une odeur nauséabonde s’en dégager. Ignorant le contenu des munitions découvertes, certains soldats n’ont en outre pas reçu les soins appropriés une fois atteints de symptômes déclenchés par ces produits. Plusieurs d’entre eux ont été accueillis avec scepticisme lorsqu’ils ont cherché à se faire soigner.

    Le risque que ces armes tombent aux mains de l’EI

    La majorité des incidents répertoriés par l’enquête du New York Times sont localisés à proximité des ruines du complexe militaire d’Al-Muthanna, au nord-ouest de Bagdad, une ancienne usine de production d’armes chimiques tombée aux mains du groupe Etat islamique en juin dernier. « Dans une lettre adressée à l’ONU l’été dernier, le gouvernement irakien a déclaré que près de 2500 roquettes chimiques corrodées étaient toujours présentes sur place », complète C. J. Chivers . Des responsables irakiens ont été témoins du pillage de ces équipements par des intrus, avant que des militants ne coupent les caméras de surveillance. « Washington affirme que les armes abandonnées ne constituent plus une menace. Mais l’expérience montre, observe le journaliste, que les anciennes munitions chimiques irakiennes restent dangereuses quand elles sont réutilisées pour des attaques locales au moyen de bombes de fortune, ce que les insurgés ont fait à partir de 2004 ».

  • Tatouages connectés - New York Times
    http://alireailleurs.tumblr.com/post/100223640417

    En collaboration avec le spécialiste de la science des matériaux, John Rogers, la société MC10 teste des ordinateurs connectables qui hésitent entre le pansement, l’autocollant et le tatouage, rapporte Nick Bilton pour le New York Times, et qui incluent des antennes, des capteurs et une petite batterie. Ils peuvent surveiller le rythme cardiaque, la sudation, les tremblements, l’hydratation de la peau… Selon John Rogers, visiblement critique de la mode des wearables, sans un contact intime, il sera difficile voire impossible d’extraire des données biométriques significatives. Pour Anke Loh, responsable du département mode de l’Ecole d’Art de l’Institut de Chicago, ces patchs permettent de combiner mode et technologie. A l’université de Tokyo, des chercheurs travaillent à une peau électronique, une (...)

    #cyborg #bodyware #corps

  • Sucre, graisses et sel : le trio qui nous rend accros à la nourriture industrielle | Slate.fr
    http://www.slate.fr/story/93489/sucre-sel-graisses-nourriture-industrielle-michael-moss
    A l’inverse, quand on a pris l’habitude de préparer à manger soi-même on trouve les plats préparés peu goûteux, trop salés ou trop sucrés.

    A la suite de cette enquête au long cours, ce journaliste du New York Times, prix Pulitzer en 2010 pour son travail sur la viande contaminée, a sorti en 2013 un ouvrage très riche sur l’industrie agroalimentaire. Publié en français cet automne sous le titre Sucre, sel et matières grasses, comment les industriels nous rendent accros, ce livre décortique minutieusement les méthodes secrètes des marques pour créer l’envie chez le consommateur, l’envie d’acheter, de manger et de manger encore… Avec des conséquences graves sur l’#obésité dans le monde entier, les #maladies_cardio-vasculaires, le #diabète, l’hypertension et les autres maux liés à l’alimentation.

    Selon #Michael_Moss, les ingrédients de cet alarmant tableau sont le #sucre, le #gras et le #sel, et la manière dont ils sont utilisés dans l’industrie. Ils rendent accros, et sont soigneusement dosés pour que le consommateur soit heureux (et continue donc à acheter, car derrière tout cela il y a des chiffres d’affaires faramineux).

    #graisse #empoisonneurs #prédateurs #agroalimentaire #alimentation #santé

  • Le « New York Times » révèle l’existence d’armes chimiques abandonnées en #Irak
    http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2014/10/15/le-new-york-times-revele-lexistence-darmes-chimiques-abandon

    George W. Bush était parti en guerre contre l’Irak en 2003, à la recherche d’armes de destruction massive. A la place, les troupes américaines ont découvert des armes chimiques vétustes, selon les révélations du New York Times publiées mardi 14 octobre. Des informations jusqu’ici tenues secrètes, malgré les séquelles dont souffrent aujourd’hui certains soldats américains et irakiens exposés aux substances toxiques. Alors que l’emprise de l’Etat islamique sur le territoire irakien s’étend, les langues se délient. Voici résumée en sept points-clés la longue enquête du New York Times.

    1 / Des milliers d’armes chimiques découvertes entre 2004 et 2011

    Près de 5 000 ogives, obus ou bombes chimiques ont été découverts par les troupes américaines et irakiennes entre 2004 et 2011 en Irak, affirme le New York Times, en se basant sur des dizaines de témoignages et des documents officiels. Ces armes contenaient du gaz moutarde, du gaz sarin et autres agents neurotoxiques.

    2 / Une vingtaine de soldats américains et irakiens exposés

    Le journal affirme qu’au moins 17 Américains et sept Irakiens ont été exposés à ces agents toxiques. Quand les armes ont été découvertes, les soldats ne savaient pas qu’elles étaient toxiques : elles ressemblaient aux autres et, qui plus est, étaient souvent recouvertes de rouille et de saleté. Les précautions nécessaires n’ont donc pas été prises.

    Parmi les soldats exposés, certains ont été brûlés, des cloques sont apparues sur leurs corps. Ils ont aussi connu, dans les semaines qui ont suivi, des problèmes d’équilibre, des pertes de mémoire ou encore des difficultés à lire. La plupart des soldats touchés n’ont, depuis leur retour aux Etats-Unis, bénéficié d’aucun suivi médical particulier et souffrent toujours de différents symptômes, comme des maux de tête ou des difficultés respiratoires.

    3 / Les armes dataient de la première guerre du Golfe

    Toutes les armes trouvées auraient été fabriquées avant 1991 : rien à voir, donc, avec le matériel de destruction massive que l’administration Bush soupçonnait le régime de Saddam Hussein de produire. Selon le New York Times, les armes découvertes seraient des reliquats d’un programme lancé par l’Irak durant sa guerre contre l’Iran dans les années 1980. Certaines étaient vides, d’autres contenaient toujours des agents toxiques, mais la plupart n’étaient plus utilisables en l’état.

    Lire aussi : Dix ans après, le douloureux bilan de la guerre d’Irak

    4 / Un secret bien gardé

    Ces informations avaient jusqu’à présent été gardées secrètes. Les troupes et les officiers présents sur place auraient reçu comme consigne de ne rien dire. Pourquoi les Etats-Unis ont-ils décidé de taire cette information ? Plusieurs témoins avancent, selon le New York Times, que la découverte de ces armes anciennes auraient représenté un nouveau revers pour l’administration Bush dans sa recherche d’armes de destruction massive. « Ils avaient besoin de quelque chose qui montre que Saddam Hussein avait utilisé des armes chimiques après le 11 septembre », affirme Jarrod Lampier, un ancien major de l’armée américaine désormais retraité. « Or tout cela datait de l’ère pré-1991. »

    Mais le mutisme des Etats-Unis pourrait aussi s’expliquer par leur implication dans la fabrication de ces armes.

    5 / Les pays occidentaux impliqués dans la fabrication des armes

    Selon le New York Times, le soutien de plusieurs pays occidentaux à l’Irak pendant la première guerre du Golfe lui a permis de développer rapidement un programme d’armement contenant ces armes chimiques . Le journal évoque le rôle d’entreprises allemandes dans la construction d’usines irakiennes ayant servi à fabriquer des ingrédients chimiques. Saddam Hussein aurait aussi acheté à des entreprises européennes et américaines des munitions pour disperser les agents toxiques fabriqués sur son sol.

    Ainsi, dans la plupart des incidents ayant conduit à l’exposition de soldats, les munitions avaient été conçues aux Etats-Unis et remplies de produits chimiques en Irak dans des usines construites par des entreprises occidentales.

    6 / Les lourdes conséquences du secret américain

    Le choix des autorités américaines de garder le secret sur ces découvertes a eu de lourdes conséquences : les troupes, non-informées, n’ont pas pu se protéger efficacement lors de leurs opérations. Et les soldats exposés n’ont pas pu recevoir de soins adaptés, puisque que l’origine de leurs blessures n’était pas officiellement reconnue.

    Les Etats-Unis auraient aussi, selon le New York Times, violé la convention sur les armes chimiques , qui impose que celles-ci soient sécurisées et détruites selon un protocole précis. Jennifer Elsea, porte-parole du Pentagone, a assuré que ces armes avaient été détruites dans des circonstances permettant « de ne pas menacer les Irakiens, les Etats voisins, les forces de la coalition et l’environnement ». Des témoins assurent néanmoins que les Etats-Unis ont perdu la trace de nombreuses armes découvertes, ont abandonné des caches sans les sécuriser et n’ont pas averti les Irakiens et les autres troupes qu’ils risquaient d’être exposés à des substances dangereuses.

    7 / Aujourd’hui, l’inquiétude que ces armes tombent entre les mains de l’Etat islamique

    Une grande partie de l’Irak est désormais entre les mains de l’Etat islamique, et de nombreuses armes chimiques se trouvent certainement toujours sur le territoire, selon le New York Times. Le gouvernement irakien a alerté les Nations unies, estimant qu’environ 2 500 armes chimiques se trouvaient encore en Irak. Parmi les cas référencés de manipulation d’armes chimiques, plusieurs ont eu lieu près des ruines du Muthanna State Establishment, à Samarra, lieu principal de production d’agents toxiques dans les années 80. Cette zone est contrôlée depuis juin par l’Etat islamique.

    The Secret Casualties of Iraq’s Abandoned Chemical
    http://www.nytimes.com/interactive/2014/10/14/world/middleeast/us-casualties-of-iraq-chemical-weapons.html

    Since June, the compound has been held by the Islamic State, the world’s most radical and violent jihadist group. In a letter sent to the United Nations this summer, the Iraqi government said that about 2,500 corroded chemical rockets remained on the grounds, and that Iraqi officials had witnessed intruders looting equipment before militants shut down the surveillance cameras.

    #crimes #Etats-Unis "#nos_valeurs"

  • La créativité à l’heure des machines
    http://www.internetactu.net/2014/10/15/la-creativite-a-lheure-des-machines

    Anna North (@annanothtweets), rédactrice des pages opinion du New York Times a testé Yossarian, un moteur de recherche qui souhaite booster la créativité en s’appuyant sur les relations métaphoriques. Un moteur de recherche pour stimuler la créativité ! Selon son créateur, Paul Neekey, “Google est un outil puissant et incroyable, si vous savez ce que vous cherchez. Mais il est…

    #apprenti_sorcier #économie_de_l'attention #cognition #créativité #dispositifs_créatifs #imaginaire #psychologie

  • Le brunch, ce truc d’actifs sans enfants qui ne veulent pas être adultes | Slate.fr
    http://www.slate.fr/story/93285/brunch

    Manger des oeufs au bacon en terrasse le dimanche matin, ça craint. De tendance, le brunch est devenu envahissant, rapporte une tribune publiée par le New York Times. Une image sophistiquée et urbaine colle à la peau de ce qui n’a pourtant rien d’un repas gustatif. D’après l’écrivain Shawn Micallef, les cuisiniers en profiteraient pour se débarrasser de leurs restes de la semaine en les noyant dans la sauce.
    Mais ce n’est pas tant le brunch en lui-même que le mode de vie qu’il représente, qui est critiqué. Il est devenu « le symptôme d’un changement démographique », explique l’auteur. Avec l’augmentation des loyers, certains quartiers ont en effet été désertés par les classes moyennes et les familles jeunes. Ne reste alors plus qu’une population élitiste formée de jeunes actifs sans enfants. Le principe du brunch est en adéquation avec les habitudes de vie de ce groupe social, qui diffèrent de celle de la population « installée ».

    #brunch #repas #démographie #classe_sociale