company:next

  • Huge Solar Farms to ‘Match’ Google Data Center Energy Use in Southeast
    https://www.datacenterknowledge.com/energy/largest-solar-farms-ever-built-google-power-its-southeast-data-

    https://www.datacenterknowledge.com/sites/datacenterknowledge.com/files/solar+array%20las%20vegas%202016%20getty_0.jpg

    As the world’s largest corporate buyer of renewable energy, Google has been leading the charge by tech giants to make their data center energy use carbon-neutral. Those efforts have resulted in a massive amount of new renewable generation capacity to be built in the US and Europe, and at least one project in South America.
    Alphabet/Google/Aerial Innovations

    Google data center under construction in Clarksville, Tennessee

    “Last year, we shared our long-term objective to source carbon-free electricity around the clock for each of our data centers,” Amanda Corio, Google’s senior lead for energy and infrastructure, wrote in a blog post announcing the latest solar projects. “These new solar projects will bring us substantially closer to that goal in the Southeastern US.”

    In a deal with the Tennessee Valley Authority, the company has agreed to buy the two new solar farm’s entire output. It didn’t say where the remaining power in the 413MW renewable energy deal would come from. Each of the solar farms described in the blog post is expected to have generation capacity of about 150MW.

    Since it’s not always possible to power a data center directly with renewable energy generated by a specific wind or solar farm, Google’s focus has been on “matching” its energy consumption with renewables. That means that it buys a kilowatt hour of energy from a renewable source built specifically for Google for every kilowatt hour of energy consumed by its data centers, Urs Hölzle, Google’s senior VP of technical infrastructure, explained in a blog post last year:

    We say that we “matched” our energy usage because it’s not yet possible to “power” a company of our scale by 100 percent renewable energy. It’s true that for every kilowatt-hour of energy we consume, we add a matching kilowatt-hour of renewable energy to a power grid somewhere. But that renewable energy may be produced in a different place, or at a different time, from where we’re running our data centers and offices. What’s important to us is that we are adding new clean energy sources to the electrical system, and that we’re buying that renewable energy in the same amount as what we’re consuming, globally and on an annual basis.

    The new solar projects in Hollywood, Alabama, and Yum Yum, Tennessee, will be built by NextEra Energy Resources and Invenergy, which partner with TVA. By buying their output, Google expects to match the energy consumption of its upcoming data centers in the region with renewables “from day one.”

    #Energie #Reouvelable #Google #datacenters

  • #taiwan: The Next Crypto Capital of the World
    https://hackernoon.com/taiwan-the-next-crypto-capital-of-the-world-d2327f23390e?source=rss----3

    The story of why I moved to Taiwan, launched a crypto startup and how this country is pioneering the future of #cryptocurrency.Imagine living on an island that is not only advancing the adoption of cryptocurrency and #blockchain technology, but is actually pumping millions of dollars into seeing this nascent industry prosper.Welcome to Taiwan, a nation state in Asia that will soon be the crypto capital of the world.Serious about innovation, Taiwan is a hotbed for tech startups focusing on blockchain, AI and IoT. There is now a proliferation of major startup accelerators and incubators that are making this a reality. This includes startup super-hubs like Taiwan Tech Arena which will spawn 100 startups per year and expedite the overseas expansion of 300 over the next three years.Blockchain (...)

    #cryptocapital #taiwan-cryptocurrency

  • « Fake news » se dira « infox » en français
    https://lemonde.fr/pixels/article/2018/10/04/la-traduction-officielle-de-fake-news-sera-infox_5364490_4408996.html

    Comment traduire l’expression chère à Donald Trump ? La commission d’enrichissement de la langue française a finalement tranché, après plusieurs mois, pour traduire « fake news » par le terme « information fallacieuse » ou par le néologisme « infox », forgé à partir des mots « information » et « intoxication ». Des traductions qui vont s’imposer à toutes les autorités administratives.

    Le terme est défini comme une information « mensongère ou délibérément biaisée », servant par exemple « à défavoriser un parti politique, à entacher la réputation d’une personnalité ou d’une entreprise, ou à contrer une vérité scientifique établie », précise le Journal officiel, jeudi 4 octobre.

    Chargée de franciser certains termes avec des experts et des représentants de l’Académie française, la commission « se réjouit de soutenir la création d’un néologisme susceptible de plaire au grand public », selon des documents préparatoires auxquels le site français consacré aux nouvelles technologies Next INpact a eu accès.

    « Infox » avait été suggéré dans la boîte à idées de FranceTerme le 25 janvier 2017. Il a été préféré aux traductions alternatives comme « craque, fallace, infaux, infausse, intox ».

    #Fake_news #Infox

  • « Un écrivain passe l’essentiel de sa vie dans l’obscurité » : rencontre avec Zadie Smith - Culture / Next
    https://next.liberation.fr/livres/2018/09/21/un-ecrivain-passe-l-essentiel-de-sa-vie-dans-l-obscurite-rencontre-a

    C’est une belle soirée de juillet, tout Paris semble s’être précipité pour voir les joueurs de l’équipe de France descendre les Champs-Elysées. Mais une petite foule compacte et fébrile a fait le choix d’élire domicile à quelques kilomètres de là, devant la librairie Shakespeare and Company. Vu ce qu’a duré la parade triomphale des Champs, il semble qu’ils aient fait le bon choix, car l’écrivaine britannique Zadie Smith, attendue ce soir-là avec son mari, Nick Laird, pour une lecture publique, est restée bien plus que dix-sept minutes. La taille de l’attroupement, la présence en son sein de l’écrivain américain en vue Dave Eggers, tout cela disait quelque chose de la célébrité de l’écrivaine au turban. « Oh, il y a toujours du monde ici », nous confia-t-elle avec légèreté, sans que l’on sache si cela disait quelque chose de la France, ou de cette librairie en particulier. Mais depuis la parution en 2000 de son premier roman, Sourires de loup, lorsqu’elle avait 24 ans, et le succès retentissant de cette plongée dans le Londres multiculturel de l’époque, il n’est pas excessif de qualifier Zadie Smith de star.

    Depuis, l’écrivaine mi-anglaise mi-jamaïcaine a signé d’autres bons romans - Ceux du Nord-Ouest est à nos yeux le meilleur - et quantité d’essais. Le couple habite désormais New York, où Zadie Smith enseigne le creative writing à la New York University, et s’ils sont à Paris ce soir, c’est pour présenter deux recueils paraissant en anglais à ce moment-là - des essais pour elle, des poèmes pour lui -, dont la particularité est de porter le même nom, Feel Free (« sens-toi libre »). Cette homonymie leur a donné l’occasion de lever un voile pudique sur leurs relations de couple et de travail, avec le genre d’humour autodépréciatif que les écrivains de langue anglaise manient avec agilité. Et n’est-ce pas une chose passionnante, la petite fabrique du métier d’écrivain, sur quoi Zadie Smith disserte très généreusement lorsqu’on l’interviewe ? Il faut l’avouer, Swing Time n’est peut-être pas, d’elle, notre livre préféré, sa magistrale première partie, qui met en scène l’amitié fusionnelle de deux fillettes métisses dans le Londres des années 80, bourrée de détails ironiques et de commentaires sociaux fulgurant tous azimuts, faisant place à une deuxième partie un brin plus mécanique, affaiblie par l’entrée en scène d’une pop star ressemblant à Britney Spears. Mais quelle intelligence, toujours, chez cette écrivaine-là. Le matin même est parue une nouvelle signée de sa plume dans le New Yorker, charge déjantée contre la tentation de notre époque à vouloir « oblitérer » tel ou tel dès lors qu’ils font un faux pas, et il fut jouissif de l’entendre, elle, s’entretenir à bâtons rompus. « On n’est libre nulle part, nous confiera-t-elle, autant être libre sur la page. »

    Il y a dans Swing Time une célébrité qui a grandi dans l’œil du public. Un écrivain n’est pas une rock star, mais n’y a-t-il pas des résonances avec votre parcours ?

    J’ai 42 ans, mes 24 ans me semblent loin ! (Rires) Mais ma renommée n’a rien à voir avec le genre de célébrité que je décris dans le livre : un écrivain passe l’essentiel de sa vie dans l’obscurité, la plupart des gens ne lisent pas, personne ne nous agresse. A New York, il m’arrive de voir des gens constamment harcelés, jour et nuit, et cela me fascine. Pas la célébrité en soi, mais qu’elle puisse continuer à exercer ce pouvoir d’attraction, particulièrement sur les jeunes, alors que l’on constate tous les jours que c’est un enfer. Cette aspiration, à quoi tient-elle ? Qu’en attendent ces gens ? J’en suis venue à la conclusion que ce qu’ils souhaitent, c’est être libérés de l’énorme anxiété qui naît des rencontres. Débarrassés de toutes ces choses qu’induisent les rapports sociaux. La célébrité les annihile, puisque tout le monde vous connaît déjà. Visiblement, une part de nous-mêmes aspire à cela : n’avoir aucune intimité à partager avec quiconque.

    Il y a un autre élément qui semble autobiographique, c’est ce sentiment de loyauté coupable d’un enfant envers ses parents, exacerbé par la différence de leurs origines…

    Je ne peux parler de ce que je ne connais pas, et je ne peux imaginer avoir deux parents blancs ou deux parents noirs ou tout simplement deux parents à qui je ressemble. Je ne sais pas si les différences entre mes deux parents ont pu rendre plus aiguë cette interrogation éternelle : « De qui es-tu davantage l’enfant ? » Mais je suis convaincue qu’il y a une attente génétique de similarité. Si un enfant ressemble à ses parents, c’est le résultat d’un attendu très profond. Ce qui se passe quand cela n’arrive pas, par exemple lorsque la couleur de peau n’est pas la même, n’est pas un problème ni une tragédie, mais c’est différent. Et cette différence-là m’intéresse.

    Votre livre commence en 1982, il est truffé de références, notamment musicales, à cette époque et à sa pop culture. En avez-vous la nostalgie ?

    Enfant, j’en avais plutôt pour les années 30 et 40. Mais étant donné la personne que je suis, je passe mon temps à me corriger : « Euh, non, ça ne serait pas merveilleux de vivre à cette époque-là et de porter les vêtements magnifiques qu’on portait alors car j’aurais sans doute été servante, et peut-être même qu’on m’aurait lynchée. » Il est certain que j’aurais été pauvre, que je n’aurais pu aller à la fac ni choisir un travail. Est-ce que les filles blanches se disent ce genre de chose ? En Angleterre, je vois toutes ces bandes de filles qui s’habillent dans le style des années 20 ou 50, mais avec des yeux de Noire, chacune de ces époques m’offre un scénario de meurtre potentiel, d’oppression certaine. C’est tentant, la nostalgie, mais je n’y ai pas droit. Cela m’a rendue, je ne dirais pas optimiste, mais en tout cas certaine que ce monde-ci, qui n’a rien de parfait, est historiquement le meilleur des mondes pour moi, femme noire. Même s’il reste encore beaucoup de choses à améliorer.

    Une grande partie de Swing Time se déroule en Afrique, lorsque la narratrice doit suivre la pop star pour qui elle travaille dans un projet caritatif fumeux. On y trouve des échos à un reportage que vous aviez fait au Liberia en 2007, qui est dans votre recueil Changer d’avis. Pourquoi avoir fait ce reportage à l’époque ?

    Hmm… Je ne suis pas sûre. Les gens qui me l’ont commandé ont vraiment été très insistants ! Je ne suis pas une grande voyageuse, pas une aventurière, et je décline généralement les propositions de reportages intéressants. Mais je crois que j’étais fascinée par l’histoire des origines du #Liberia, cet aveuglement total du « premier monde » vis-à-vis du tiers-monde, cette création ex nihilo. Mais pour moi ce premier voyage était totalement sentimental. Je suis sûre que beaucoup de Noirs britanniques et d’Afro-Américains vous diraient la même chose : aller en Afrique, c’est comme rentrer à la maison. C’est comme cela que je l’envisageais, et comme cela que je l’ai vécu. Ce n’était pas un fantasme, mais un fait historique et génétique : voilà l’endroit d’où vient le peuple de ma mère.

    L’article et le livre sont assez critiques des bonnes intentions des pays du « premier monde ». Tout Swing Time ne parle finalement que de responsabilité sociale. Vous croyez à quel type d’action ?

    Je m’intéresse peu au travail individuel des ONG dès lors qu’il existe d’immenses inégalités structurelles. Quand les Panamá Papers sont sortis, on a pu constater l’étendue du blanchiment d’argent américain, anglais, français, italien ou allemand en Afrique. Il faut se rendre à l’évidence : on peut envoyer autant d’organismes caritatifs qu’on veut au Liberia, tant que ce système de pillage ne change pas, par des lois internationales - car le pillage des ressources économiques de l’Afrique ne s’arrêtera pas à moins -, le reste est un détail.

    La question de la responsabilité personnelle, de la culpabilité et du privilège se retrouve souvent dans vos livres…

    Hmmm… Je crois que le sens des responsabilités par quoi il faut être habité pour être un bon citoyen, français, new-yorkais ou anglais, est désormais hors de portée pour n’importe qui. Voilà le piège : être un bon citoyen aujourd’hui, c’est devoir transformer radicalement sa manière de vivre, voyager, manger, envoyer ses enfants à l’école, les habiller. Chaque aspect de notre vie occidentale revient grosso modo à exploiter quelqu’un. Qu’il soit quasiment impossible de changer les choses au niveau individuel fait partie du problème. Cela me rappelle le krach de 2008 - ces banquiers qui nous ont fichus dedans, qui étaient-ils ? Des gens de mon âge, qui avaient fréquenté ma fac. Je les connaissais, c’étaient des connards de base. Rien de spécial, des connards de base. Mais le système où ils évoluaient leur a permis d’accomplir une destruction globale sans précédent. On peut bien s’émouvoir de la vanité, l’égoïsme et l’avidité de cette génération de jeunes hommes (car c’étaient surtout des hommes), et certes ils étaient avides et prétentieux. Mais ne le sommes-nous pas tous ? La différence, c’est que la plupart d’entre nous n’auront jamais accès à des structures permettant de tels dégâts. Je pratique le réalisme moral, je ne m’attends pas à ce que les gens soient parfaits. Mais j’aimerais en revanche qu’ils existent au cœur d’un système où les dégâts qu’ils causent peuvent être limités. C’est sans doute là que je m’éloigne de certains activistes. Je ne suis pas catholique, mais la conception très catholique du péché me parle : nous sommes tous en position de pécher. Il faut en tenir compte lorsqu’on travaille sur la réalité sociale, les gens ne sont que ce qu’ils sont.

    Swing Time est le premier livre que vous avez écrit à la première personne. C’était libérateur ou contraignant ?

    Oh, très difficile ! Cela allait à l’encontre de tout ce que je fais lorsque j’écris de la fiction. Les histoires que j’écris, pour le meilleur et pour le pire, traitent de notre vie en société, s’intéressent à des tas de gens différents. Me limiter à une seule personne était incroyablement étrange, mais cela m’a permis d’explorer les modalités de la subjectivité. D’être injuste et jalouse et cruelle, toutes ces choses qu’on est dans la vie. Dans mes autres romans, je m’octroyais la voix de la justice. Mais ça n’existe pas, la voix de la justice ! Il n’y a que nous et notre expérience subjective. J’ai commencé en pensant que j’allais écrire un roman existentiel français, quelque chose de très ramassé, à la Camus, mais après vingt pages j’avais déjà quinze personnages (rires). On ne se refait pas. Je n’ai aucun mal à inventer des personnages, je pourrais écrire un roman avec sept cents personnes dedans. Mais je ne voulais pas écrire un livre comme ça, je crois qu’il faut se méfier de ce qui nous vient trop facilement. Je voulais m’essayer à quelque chose d’un peu plus difficile, d’un peu nouveau.

    Pensez-vous revenir un jour aux « gros romans » ?

    Oh, j’espère bien ! J’ai une immense tendresse pour ce genre d’épaisseur. Les livres avec lesquels j’ai grandi, George Eliot, Dickens, que vous, Français, trouvez un peu ringards, je les adore. Ils sont loin de l’existentialisme, ce ne sont pas des livres idéologiques, plutôt des romans qui décortiquent la société - mais précisément, c’est à cet endroit-là qu’on vit. Donc aussi banals et petits et ennuyeux et pragmatiques et anglais qu’ils puissent paraître, ils sont aussi notre lieu de vie, notre réalité sociale. Ces romans-là sont d’un sublime un peu différent, parce qu’ils sont prêts à descendre dans la boue, à se colleter avec les gens… Oui, j’espère sincèrement me remettre à écrire comme ça.

    Ringards, vous y allez fort ! Ceux qui les lisent les aiment beaucoup ! Mais Eliot souffre en effet d’être mal connue ici. Pourquoi pensez-vous qu’elle n’a jamais « pris » en France ?

    Parce que c’est tout le contraire de l’esthétique française ! Les romans d’Eliot sont trop hégéliens, thèse-antithèse-synthèse. Complètement programmatiques et sociaux, là où les romans français sont tout en subjectivité, la vie comme processus…

    Enfin il y a Balzac quand même…

    Mais même Balzac… Il n’a pas ce côté domestique qu’ont les Britanniques et qui exaspère les écrivains français. Ils n’ont peut-être pas tort, mais les Anglais ont aussi quelque chose de précieux.

    Dans votre écriture, vous êtes toujours plus « micromanagement » que « macroplanning », pour reprendre des termes que vous utilisiez dans Changer d’avis ?

    Je n’écris rien à la légère, je ne fais pas d’esquisse, pas plus que je n’avance en me disant « bon, ce truc, j’y reviendrai ». J’écris une phrase, je la réécris, je la réécris encore, et je passe à la suivante. Je ne changerai jamais.

    Pas de plan ?

    Pas vraiment. Une vague idée, oui, mais très vague. Je crois que cela traduit un mélange de besoin de tout contrôler et de ressentir l’horreur de ne pas savoir où je vais - enfin, j’imagine que ça ressemble à l’horreur aux yeux d’un écrivain d’un autre genre.

    Quel plaisir trouvez-vous à l’écriture d’essais ?

    Je ne suis pas sûre… J’essaie d’en écrire un en ce moment, et je ne trouve pas l’expérience très gratifiante. Généralement, ces textes tournent mal, ou deviennent une source d’embarras. Ou alors, et c’est le problème que je rencontre actuellement, on me demande sept pages mais j’en écris quinze. Alors ça devient de la torture, je m’énerve, je tente de me sortir de la commande, j’envoie des mails hystériques. Et puis je sors du lit à 10 heures du soir, je m’y remets, je tente un truc. Et parfois je me rends compte que je n’ai pas besoin de ces huit feuillets-là, que je peux condenser ceci, et petit à petit je resserre, et l’essai devient meilleur. Bien meilleur que ce que je pensais tenir au départ, bien plus intelligent et raisonné que je ne le suis. C’est ça, le cadeau que vous font les essais : en corrigeant, en enlevant, en éditant, tout s’améliore. La #fiction, ce n’est pas pareil, rien n’est aussi précis, alors que le but de l’essai est limpide : j’ai un argument, et je veux vous convaincre. Quel est le but de la fiction ? Qui peut le dire ? On ne le sait jamais vraiment.

    Vous lisez quoi ?

    Je sors d’une année sabbatique où j’ai eu le temps de lire toutes sortes de choses. Quel bonheur ! Plein de jeunes, j’ai l’air vieille en disant ça, mais je pense à des écrivains de l’ère Internet, qui n’ont pas 27 ans et écrivent une prose habitée par leur vie en ligne. Ce n’est pas mon monde, c’est une génération à qui les noms de Roth, DeLillo ou Pynchon ne disent rien du tout. Mais j’aime bien le fait qu’ils écrivent tout court, à leur place je serais sur mon téléphone jour et nuit… Le fait qu’ils arrivent à prendre du recul et à écrire m’impressionne, il y a tellement plus de tentations pour eux.

    Vous relisez des vieux livres ?

    Ouhlala non, je ne tiens vraiment pas à être le genre d’écrivain British qui passe ses étés à relire Middlemarch. Je veux savoir ce qu’il y a de neuf. Je fais un cours chaque année sur quatorze livres, les quatorze mêmes, voilà pour la relecture. Évidemment, si je tombe sur un Dostoïevski que je n’ai jamais lu, c’est merveilleux : on adore tous découvrir des choses qu’on a ratées à 15 ans. Mais sinon, du neuf !
    Elisabeth Franck-Dumas

    Très intéressant le passage sur la nostalgie.
    J’aurais bien aimé qu’elle cite des auteurs et autrices qu’elle lit, dommage !

    #zadie_smith #littérature #race #Afrique #écriture

  • « Whois » : DomainTools prend une claque outre-Atlantique - Next INpact
    https://www.nextinpact.com/brief/--whois-----domaintools-prend-une-claque-outre-atlantique-5438.htm

    Le 12 septembre, la Commission des noms de domaine en « .nz », a obtenu une injonction préliminaire contre Domains Tools, devant un tribunal de Washington. Elle interdit à la société américaine l’accès aux données des domaines en « .nz », leur téléchargement et la publication de certaines informations (dont l’historique).

    DomainTools, spécialisé dans les outils de surveillance et d’investigation, y compris de noms de domaine, pourrait s’en mordre les doigts.

    Depuis juin 2016, l’annuaire des noms de domaine néozélandais prévient qu’il est interdit de copier les coordonnées des titulaires. Un avertissement que DomainTools a outrepassé, téléchargeant et republiant en masse ces données.

    L’entreprise argue quelle en a le droit, au nom de l’intérêt général. Ces données servent à ses clients, forces de l’ordre et sociétés de cybersécurité, qui contribuent à la protection de tous ; peu importe comment ces informations sont récupérées.

  • http://www.autochromes.be/introduction.htm
    Autochromes from Belgium.
    Most autochromes do seem to have the authority of art – that power to rivet our gaze and demand of our eyes that they return again and again, and the power to reward those returns with pleasure and insight. It would be interesting to know what it is about the autochrome that so compels, to know why that soft glow of suggestion, of elegant ladies in lace, of nuance and the Monet-haze of dream is so emotionally gripping, so psychologically arresting. John Wood in The Art of the Autochrome.


    Charles Corbet, Mrs. Corbet and Mr. Sano having afternoon tea c. 1910, autochrome 9 x 12.
    Belgian art photography around 1900
    Around 1890 a number of amateur photographers were dissatisfied with the mere technical merits of photography. They wished to use photography for reproducing beauty and expressing their inner feelings and thoughts. Their vision had been opposed by painters and art critics, who were of the opinion that photography, being the product of a technical device, did not belong in a museum. The invention of a “fuzzy rendering process”, and the introduction of the manipulated image moved photography closer to the contemporary art movements in painting. Previous objections, to allow photography into the holy sanctuaries of museums, gradually disappeared.


    Alfonse Van Besten, Stagecoaches at Gent c. 1912, autochrome 9 x 12

    In 1895 the Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis in Brussels started collecting international art photography. Among the foremost Belgian pictorialists from around 1900 were Hector Collard, Alexandre, Edmond Sacré, Gustave Marissiaux, Léonard Misonne and Edouard Hannon. Like genuine impressionists they were captivated by light, atmosphere and colour.


    Ernest van Zuylen

    It was not until 1907 that colour photography, thanks to the autochrome process, came within the reach of photographers. But from among the above mentioned Belgian photographers, it was only Gustave Marissiaux who fully started to make use of the new technique. Whether his fellow pictorialists have ever applied the autochrome process is uncertain: were they disappointed by the fact that the new technique, in contrast to other known photographic techniques, was impossible to manipulate?

    The autochrome 1907-1932
    For most of us it is quite a surprise to realise that even before the first world war photographing in colour was possible. This was due to the autochrome process invented during the years 1895-1903, by the French brothers Louis Lumière (1864-1947 and Auguste Lumière (1862-1954). It took them four further years to work out and refine the several fabrication processes. Finally in 1907 the autochrome plates came on the market and were an instant succes. Until now, the photographers’ only way to produce colour was tinting the plates by hand which was done by many photographers with breathtaking artistry. E.g.the beach scene below is a hand coloured example of a plate coloured by the Belgian amateur photographer Constant Casters, who had a very refined hand and taste.

    Small guide to do it yourself

    The nucleus of autochrome plates are dyed grains of potatoe starch measuring between 0,006-0,025mm.

    Make three heaps of starch, dye each pile in respectively violet, green and orange.
    Make a mix of these three different coloured grain starches.
    You need a glassplate between 0,9 and 1,8mm thick.
    First you have to varnish the plate with a latex based varnish.
    Blow the coloured mix of grains on the varnished plate.
    Gently brush the plate to remove the surplus grains.
    Next, a fine layer of charcoal is applied to fill the interstices between the grains.
    The whole plate then has to be pressed to reduce overall thinkness of layers.
    After pressing apply a second layer of varnish.
    To finish off, place a panchromatic emulsion layer.
    This is briefly the production process of an autochrome plate, but imagine for all the different production stages industrial machines had to be invented to produce plates on a grand scale.

    J’adore celle-ci. :-)


    The grenata street army photographed by léon gimpel, 1915.

  • Incroyable... l’Italie bloque l’acquisition de Next (défense) par un groupe français
    https://www.crashdebug.fr/international/14164-incroyable-l-italie-bloque-l-acquisition-de-next-defense-par-un-gro

    Altran a été interdit par le gouvernement italien de racheter Next, une société de logiciels embarqués, pour

    des raisons de sécurité nationale (Crédits : Altran)

    Le gouvernement italien s’oppose à la vente de Next, une société italienne d’ingénierie travaillant dans la défense, à Altran. Il évoque une question de "sécurité nationale".

    C’est à peine croyable... l’Italie bloque une acquisition d’un groupe italien par un français. Pourtant, le groupe naval Fincantieri, qui négocie une alliance avec Naval Group, a eu finalement le droit de racheter STX Saint-Nazaire (certes après beaucoup de tergiversations de Paris). En revanche, Altran n’a pas le droit de racheter la société italienne d’ingénierie Next. Le gouvernement italien a décidé jeudi de s’opposer à cette (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

  • Razer se met aux smartphones ?
    http://www.comptoir-hardware.com/actus/business/33408-razer-se-met-aux-smartphones-.html

    Le fabricant de périphériques gamer Razer a fait l’acquisition d’un jeune fabricant de smartphones issu du financement collaboratif, Nextbit. Le cofondateur et PDG de Nextbit, Tom Moss, a indiqué que sa boîte fonctionnerait comme une division indépendante au sein de Razer... [Tout lire]

    #Business_&_internet

  • Ça fork chez #owncloud, ou les joies de l’open source...

    Nothing is perfect, the company could have done a better job recognizing the achievements of the community. It sometimes has a tendency to control the work too closely and discus things internally. But overall, the balance was not too bad.Without sharing too much, there are some moral questions popping up for me. Who owns the community? Who owns ownCloud itself? And what matters more, short term money or long term responsibility and growth? Is ownCloud just another company or do we also have to answer to the hundreds of volunteers who contribute and make it what it is today?
    These questions brought me to the very tough decisions: I have decided to leave my own company today. Yes, I handed in my resignation and will no longer work for ownCloud, Inc.

    http://karlitschek.de/2016/04/big-changes-i-am-leaving-owncloud-inc-today

    As announced 5 weeks ago I left ownCloud, Inc., The company that I co-founded. Not because I abandoned ownCloud or the idea behind it. Actually the opposite. I don’t want to go into details but there are a lot of things that could have been better at ownCloud Inc.

    So I, and a most of the core technical people reached the point where we decided to reboot ownCloud in a better way.

    So today we are forking ownCloud into a new open source project called Nextcloud and we are also founding a new company called Nextcloud GmbH to offer Nextcloud software and services for companies and bigger organizations.

    http://karlitschek.de/2016/06/nextcloud

    Open source projects work best when they have a company behind them which aims to build a sustainable business around a symbiotic relationship with the community they are a part off. Make no mistake, I think it’s great if people (investors, founders) can cash out big. They take a risk, put in blood, sweat and tears. But venture capital often leads to short term thinking and chasing of quarterly numbers resulting in bad decisions. Money, time and effort is wasted and growth isn’t what it could be - and that’s pretty much a best case scenario.

    http://blog.jospoortvliet.com/2016/06/nextcloud-is-replacing-owncloud.html

    Today’s announcement by our former colleague Frank Karlitschek, that he intends to launch a competitive product to ownCloud into the market using recently poached developers, has both surprised us and – admittedly – disappointed us. In the past, Frank has made a wealth of contributions to the development of the ownCloud Community Edition. With today’s announcement, he is no longer related to the ownCloud project and has started a competing community.Unfortunately, the announcement has consequences for ownCloud, Inc. based in Lexington, MA. Our main lenders in the US have cancelled our credit. Following American law, we are forced to close the doors of ownCloud, Inc. with immediate effect and terminate the contracts of 8 employees.

    https://owncloud.org/blog/owncloud-statement-concerning-the-formation-of-nextcloud-by-frank-karlitsc

  • Réfugiés : des enfants syriens exploités dans des usines de #H&M et #Next

    Les chaînes de magasins de vêtements H&M et Next ont découvert que des enfants syriens travaillaient illégalement dans des usines de leurs fournisseurs en #Turquie, révèle une étude publiée lundi par une ONG britannique.

    http://www.rtbf.be/info/dossier/drames-de-la-migration-les-candidats-refugies-meurent-aux-portes-de-l-europe/detail_travail-au-noir-d-enfants-syriens-dans-des-usines-de-textile-en-turquie?

    #exploitation #travail #enfants #enfance #réfugiés #asile #migrations #réfugiés_syriens

  • Comment le New York Times utilise #slack
    http://www.niemanlab.org/2015/08/the-new-york-times-live-blogged-last-nights-gop-debate-directly-from-slac
    http://www.niemanlab.org/2015/08/the-new-york-times-built-a-slack-bot-to-help-decide-which-stories-to-post

    (#irc #presse)

    Building the Next New York Times Recommendation Engine - The New York Times
    http://open.blogs.nytimes.com/2015/08/11/building-the-next-new-york-times-recommendation-engine

    In this post, I’ll discuss our recent work revamping The New York Times’s article recommendation algorithm, which currently serves behind the Recommended for You section of NYTimes.com.

    #LDA #gensim

  • #Big_data : l’exception humanitaire - NextBillion.net
    http://alireailleurs.tumblr.com/post/104228506558

    Yves-Alexandre de Montjoye (@yvesalexandre) du Laboratoire de dynamique humaine du MIT (dont nous avions déjà évoqué les travaux) et de l’Initiative pour les Big Data du MIT, signe pour NextBillion.net, en compagnie de Cameron Kerry de la Brooking Institution, une tribune qui en appelle à la mise en place d’une exception humanitaire pour l’accès aux Big Data des opérateurs mobiles (voir également leur article de #recherche (.pdf) sur le sujet). Ils reviennent sur les difficultés que les chercheurs ont rencontré pour utiliser les données des opérateurs mobiles d’Afrique de l’Ouest lors de l’épidémie d’Ebola, alors que les données des téléphones sont une source riche pour suivre les routes des maladies infectieuses, les schémas de migration ou comprendre l’économie. Barrières réglementaires et difficultés à (...)

  • US Government plans 2 new 150 Petaflops supercomputers

    The Department of Energy Awards $425 Million (339 M€) for Next Generation Supercomputing Technologies, of which $325 are for two new 150 Pflops supercomputers called Summit (in Oak Ridge) and Sierra (in Lawrence Livermore) for scientific and military purposes. The project is called CORAL - for Collaboration of Oak Ridge, Argonne, and Lawrence Livermore.

    Both CORAL awards announced today leverage the IBM Power Architecture, NVIDIA’s Volta GPU and Mellanox’s Interconnected technologies to advance key research initiatives for national nuclear deterrence, technology advancement and scientific discovery. Oak Ridge’s new system, Summit, is expected to provide at least five times the performance of ORNL’s current leadership system, Titan. Livermore’s new supercomputer, Sierra, is expected to be at least seven times more powerful than LLNL’s current machine, Sequoia. Argonne will announce its CORAL award at a later time.

    http://www.energy.gov/articles/department-energy-awards-425-million-next-generation-supercomputing-technolo

    Today’s most powerful US supercomputer is the Cray Titan (560 640 cores) with theoretical peak performance of 27.11 Pflops and 17.59 Pflops actual.
    Number one worldwide is the Chinese Tianhe-2 (3 120 000 cores ) with 54.9 Pflops theoretical peak and 33.86 Pflops actual.

    CORAL will use a hybrid architecture, using Nvidia’s Volta GPU, about 4x more bandwidth (1 Tbps) than the current Nvidia Kepler architecture used by the Titan. Volta has stacked DRAM which is directly mounted on the GPU (reduces footprint and latency).
    Hybrid architecture means the combination of both CPU and GPUs; GPUs offer many more simultaneous threads than CPUs, and can be spawned without soliciting the CPU (dynamic parallelism).

    This is extensively used in the Cray XK7 Titan:
    https://www.olcf.ornl.gov/computing-resources/titan-cray-xk7


    Titan hybrid architecture employs 16-core AMD Opteron 6274 CPUs (2.2 Ghz) in conjunction with Nvidia Testa K20X GPUs (Kepler architecture) to improve energy efficiency while providing an order of magnitude increase in computational power over Jaguar (=Cray’s previous supercomputer, which was upgraded to the Titan). Titan uses 18,688 CPUs (299,008 cores in total) paired with an equal number of GPUs. It has a total system memory of 710 Tb. The system runs Cray’s UNICOS/lc, which is a Cray’s SUSE-based Linux Environment (CLE).
    Cost : 100 million dollar.

    The Tianhe-2:

    http://en.wikipedia.org/wiki/Tianhe-2

    The Top 500 classification of supercomputers:
    http://www.top500.org/lists

    Tranformation of the previous Jaguar into the Titan:
    https://www.youtube.com/watch?v=S8Y77efFW-I

    #supercomputer #supercomputing

  • L’insupportable braderie de notre souveraineté continue ! - Communiqué du 2 juillet 2014
    http://www.jean-luc-melenchon.fr/2014/07/02/linsupportable-braderie-de-notre-souverainete-continue

    François Hollande et son gouvernement viennent de décider un nouvel abandon de souveraineté. Après Alcatel, EADS, Alstom, c’est cette fois le cœur de l’industrie d’armement qui est attaqué. La fusion de l’entreprise Nexter (ex GIAT industries) avec l’entreprise allemande KMW est une double faute. Une faute contre la France qui perd ainsi le contrôle à […]

    #Communiqués

  • Allergen Beagle, le scanneur de nourriture domestique - NextNature.net
    http://www.nextnature.net/2011/10/allergen-beagle-%E2%80%93-a-home-foodscanner

    Allergen Beagle est un prototype conçu par Sebastian Goudsmit qui permet de faire un test allergique sur n’importe quel aliment pour en connaître la nature. L’idée : offrir un outil simple à ceux qui, de plus en plus nombreux, sont victimes d’allergie alimentaire. Le système est capable de détecter l’arachide, les crustacés, le gluten, le lactose, la noisette, l’oeuf, le soja, l’amande et le sésame.

    Plus portable, TellSpec - http://tellspec.com - est lui un scanner alimentaire de poche qui fonctionne lui grâce à un spectromètre à infrarouge qui, connecté à un smartphone, vous permet de détecter allergènes, produits chimiques, nutriments et calories présents dans tous vos aliments. Tags : internetactu2net internetactu (...)

    #quantifiedself #bodyware #corps #santé #allergie

    • @ fil je te donne mon opinion, qui n’est que mon opinion hein. J’ai déjà vu le lien pour cet objet.

      Donc, pour moi, c’est une mauvaise solution a un vrai problème et je ne parle pas de la faisabilité (broyer un extrait d’un aliment dans un magasin, dans un restaurant, dans un buffet au travail pour savoir si in fine il y a risque ou pas) : le quidam s’abstient, il ne sort pas un attirail pareil surtout en public (être malade, différent, c’est source de honte plus que de fiereté).

      Je ne parle pas non plus du fait que le promoteur confonde allergie et intolérance : l’intolérance au lactose c’est un déficit +/- important selon l’âge, l’individu, la génétique et le risque n’est pas mortel même si c’est un problème.

      Mauvaise solution parce que si le terme « allergie à l’arachide » reste d’usage facile cela recoupe en réalité de nombreux profils différents. L’arachide est un assemblage de différentes molécules, parmi celles-ci certaines sont allergisantes (http://www.meduniwien.ac.at/allergens/allfam) pour certains individus, d’autres ne le sont pas pour certains mais le sont tout de même pour d’autres individus quant à la gravité de l’ensemble, elle est fluctuante selon les individus.

      Sur quoi donc se base cette machine pour dire « le risque pour un allergique à l’arachide est là » : la présence d’Ara h 2 ? d’Ara h 1 ? d’Ara h 8 ? de rien de tout ça mais de d’autres constituants non allergéniques ?

      Aujourd’hui par contre, en agro-alimentaire, il est souvent possible en amont, lors des préparations culinaires, d’identifier ces molécules allergisantes et de les dénaturer par la cuisson ou le traitement de l’aliment. Simplement le coût, pour l’instant, n’en vaut pas l’investissement du point de vue commercial. Peut-être un jour ?

      La société Natama (http://natama.net ), par exemple, produit des plateaux repas sans allergènes par assemblage d’aliments peu à risque et tests allergéniques le long de la chaîne de production.

  • Interview avec Arne Hendriks le père de l’homme qui rétrécit - NextNature.net
    http://www.nextnature.net/2013/09/interview-arne-hendriks-researcher-and-father-of-the-incredible-shrinkin

    L’artiste hollandais Hendriks Arne a récemment proposé de réduire l’espère humaine à 50 cm de haut afin de mieux réduire nos besoins. Provocation ? « Le défi n’est pas tant de surmonter les impossibilités physiques à rétrécir notre espèce, que de stimuler notre désir à le faire. »

    Tags : fing internetactu internetactu2net #art #design #bodyware (...)

    #corps #corps&tic

  • Des magasins réels virtuels ? - NextNature.net
    http://www.nextnature.net/2013/08/virtual-offline-shopping-2

    Demain, ferons-nous nos courses en boutiique sur des écrans LCD géants sans plus jamais toucher des produits autrement que leurs images ? Consommerons-nous plus d’images que d’objets ? http://www.nextnature.net/themes/image-consumption Tags : internetactu internetactu2net fing #ecommerce (...)

    #consommation

  • Le verre qui change de couleur - NextNature.net
    http://www.nextnature.net/2013/08/this-color-changing-glass-could-stop-date-rape

    Parce que les médicaments de viol sont inodores, incolores et sans saveur, les victimes ne se rendent pas compte normalement ils ont été attaqués avant qu’il ne soit trop tard. D’où l’idée pour les fondateurs de DrinkSavvy de créer des gobelets jetables qui changent de couleur quand ce qu’ils contiennent n’est pas bon pour la santé. Tags : internetactu internetactu2net (...)