company:nom

  • Les banques de Wall Street reconnaissent que le dollar doit chuter. Les traders ne sont pas d’accord
    https://www.crashdebug.fr/international/15609-les-banques-de-wall-street-reconnaissent-que-le-dollar-doit-chuter-

    Alors qu’un nombre croissant d’analystes comme Morgan Stanley et Nomura prédisent des jours sombres pour le dollar, le marché raconte une autre histoire.

    La devise américaine s’est redressée de près de 1 pour cent depuis le jour de la surprenante réunion de la Réserve fédérale en janvier, effaçant ainsi toutes ses pertes de 2019. Et les perspectives s’améliorent en fait, selon le marché des options. Les contrats qui s’apprécient si le dollar s’apprécie par rapport à ses principaux homologues au cours des trois prochains mois sont près de leur niveau le plus élevé depuis la mi-décembre par rapport aux couvertures qui protègent contre une baisse.

    Le coût des options d’achat par rapport à celui des options de vente sur un panier à 7 semaines est le plus élevé.

    Bien que le (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

  • L’Internet pour tous, c’est fini !

    http://www.lemonde.fr/economie-mondiale/article/2016/03/27/l-internet-pour-tous-c-est-fini_4890854_1656941.html

    Facebook a été pris sur le fait. L’affaire s’est déroulée en Inde il y a moins d’un mois. Le réseau social voulait généreusement offrir aux populations déshéritées un accès « basique » et gratuit à Internet, mais limité à quelques sites Web triés sur le volet : l’encyclopédie Wikipédia, la BBC, le moteur de recherche Bing de Microsoft, et bien sûr Facebook.

    Les autres contenus, eux, ne sont pas compris dans ce bouquet « Free Basics ». Le gendarme indien des télécommunications n’a pas apprécié. En février, il a interdit au réseau américain et à tous les fournisseurs d’accès à Internet du pays de pratiquer des tarifs différenciés en fonction des services et contenus offerts sur le Web.

    Pourquoi ? Parce que cette pratique bat en brèche l’un des principes cardinaux de l’Internet : sa neutralité. Un opérateur peut offrir des débits différents, mais n’a pas le droit de choisir les contenus. C’est ce que l’on appelle la neutralité du Net. Et pourtant, la violation caractérisée de cette règle d’airain par un acteur majeur du numérique n’a fait que jeter la lumière sur une réalité : la balkanisation de l’Internet est en marche.

    Car ce service Free Basics si controversé a déjà été lancé dans trente-cinq pays émergents depuis 2014, en partenariat avec des opérateurs mobile tels que Airtel, MTN ou Digicel, dans le cadre du programme Internet.org. La Zambie, le Ghana ou encore le Malawi n’ont rien trouvé à redire. Le Kenya a même réagi fin février à la décision de l’Inde en déclarant que donner un accès à Internet aux Africains était plus important que de défendre la neutralité du Net ! (...)

    Attaques en règles

    Mais Facebook n’est pas le seul à en vouloir à l’universalité du Net. Les opérateurs télécoms sont en première ligne dans ce combat. Avec d’autres motivations. Face à l’appétit des géants de la Silicon Valley, qui menacent de les ravaler au rang de simple fournisseur de « tuyaux », à l’instar des sociétés d’eau ou d’électricité, ils veulent proposer des contenus exclusifs afin de fidéliser leurs clients.

    Les Orange, Deutsche Telekom, Verizon, Comcast, AT&T et autres SFR se diversifient dans la télévision, la vidéo sur Internet, les portails média ou même la production de films. Les services pour tous laissent progressivement la place à des services spécialisés, des exclusivités ou des contenus premium. Netflix, le service en ligne de films et séries par abonnement, n’a-t-il pas préféré aller sur les box fermées des opérateurs plutôt que d’être proposé sur l’Internet ouvert ?

    Face à ces attaques en règles, la résistance tente de s’organiser. Avec neuf autres organisations de défense du Net en Europe, La Quadrature du Net (https://www.laquadrature.net/fr) , association de citoyens militant pour la neutralité des réseaux, a lancé le site Web RespectMyNet.eu (https://respectmynet.eu) pour que les internautes dénoncent les comportements abusifs de leurs opérateurs télécoms (blocages, ralentissements, filtrages...). SaveTheInternet.eu (https://savetheinternet.eu/fr) , un autre site Web, arrive en renfort.
    RespectMyNet a recensé quelque 570 problèmes signalés depuis 2011 par des internautes d’une dizaine de pays européens.

    D’après La Quadrature du Net (https://www.laquadrature.net/fr) , l’incident le plus sérieux a eu lieu en France : ce fut le bridage de YouTube constaté par nombre d’abonnés de Free en 2012. Le visionnage des vidéos devenait quasiment impossible. Certains ont soupçonné la mésentente commerciale. L’association de consommateurs UFC-Que choisir avait alors porté plainte auprès du régulateur des télécoms, l’Arcep (http://www.arcep.fr) , qui avait finalement classé l’affaire l’année suivante, confirmant une congestion de Free mais pas de discrimination envers YouTube.

    « Concurrence déloyale »

    Des ralentissements de ce même site de vidéo avaient également été dénoncés par des abonnés de Deutsche Telekom outre-Rhin. Toujours dans l’Hexagone, certains ont aussi signalé le blocage de Spotify sur Free Mobile, tandis que d’autres se sont plaints de restrictions dans l’usage de réseaux « peer-to-peer » [de gré à gré] utilisés pour télécharger de la musique ou des films, lorsque ce n’était pas des blocages de téléphonie sur Internet sur des forfaits Nomad de Bouygues Telecom.

    Aux Etats-Unis, le régulateur américain FCC s’interroge sur la multiplication d’offres dites « zero- rating », notamment celles de T-Mobile. L’abonné peut consommer certaines vidéo sans qu’elles soient décomptées dans sa consommation de données. Colère de Youtube, qui ne faisait pas partie de l’offre et s’estimait discriminé... avant de conclure un accord avec l’opérateur.

    Jusqu’en octobre 2014 Orange pratiquait de même avec la plate-forme de musique en ligne Deezer, comprise dans certains abonnements mobile, avant d’en faire une option payante. Cette alliance est d’ailleurs toujours dénoncée comme « concurrence déloyale » par le fondateur du site de musique concurrent Qobuz, Yves Riesel. Hormis ce cas, en France, le zero-rating reste encore peu pratiqué.

    « A ce jour, l’Autorité de la concurrence n’a pas eu à connaître et n’est pas saisie de telles pratiques mais demeure, naturellement, attentive aux évolutions du marché, indique au Monde Bruno Lasserre, son président. Selon lui, « le débat autour de l’interdiction du ‘zero-rating’consiste à étendre le principe de neutralité des réseaux, qui porte sur la qualité d’acheminement du trafic, en lui adjoignant un principe de neutralité commerciale vis-à-vis du consommateur final ».

    Des plaintes d’utilisateurs

    Pour l’instant, les opérateurs télécoms et les acteurs du Net pratiquent le zero-rating dans des pays émergents au prétexte de lutter contre la fracture numérique. « Wikipédia Zéro » a ainsi été mis en place dès 2012 pour donner accès gratuitement à la cyberencyclopédie mondiale dans des forfaits mobile-contenus. Free Basics n’est autre que du « Facebook Zéro ». A ce train-là, rien n’empêchera de voir apparaître « YouTube Zéro », « Dailymotion Zéro », « Netflix Zéro », voire « TF1 Zéro »...

    « Nous sommes réticents à la sacralisation du zero-rating qui, par définition, pousse les consommateurs de smartphone à s’orienter vers un service – généralement le leader capable de payer le plus – au détriment de ses concurrents, au risque de les faire disparaître », met en garde Antoine Autier, chargé de mission à UFC-Que choisir.
    L’association de consommateurs, qui ne cesse de recueillir des plaintes d’utilisateurs sur la qualité dégradée d’Internet, compte sur l’Europe pour instaurer des garde-fous au règlement « Internet ouvert » que les eurodéputés ont adopté le 25 novembre 2015.

    Bien qu’il ne soit pas question explicitement dans ce texte de « neutralité de l’Internet », les pays européens sont tenus de mettre en œuvre « au plus tard le 30 avril 2016 » le régime des sanctions applicables en cas de violation de ce principe. « Le règlement européen a instauré une définition générale de la neutralité du Net et permet quelques entorses à ce principe telles que les services gérés. Ces exceptions doivent être clairement encadrées afin qu’elles ne deviennent pas la règle », prévient Antoine Autier.

    Intense lobbying à Bruxelles

    Or les opérateurs télécoms font, eux, un intense lobbying à Bruxelles pour limiter le plus possible l’Internet pour tous. Ils ont obtenu des eurodéputés de pouvoir proposer des « services spécifiques », des « niveaux de qualité », des contenus « optimisés » et de continuer à faire de la « gestion de trafic ».

    Cette dernière doit être « raisonnable » – notion très subjective – et « ne pas être fondée sur des considérations commerciales ». La Quadrature du Net pointe elle aussi l’imprécision du texte. « Le règlement européen est censé éviter cet Internet à deux vitesses. Mais en ne définissant pas assez la neutralité du Net et les services spécialisés autorisés, il y a ce risque qui demeure », s’inquiète Adrienne Charmet-Alix, sa coordinatrice de campagnes.

    Si le grand public est exposé aux entorses à la neutralité du Net, les entreprises ne sont pas épargnées. Le 20 janvier, le tribunal de commerce de Paris a ordonné à Free de débloquer les adresses e-mails de clients de la société Buzzee, spécialisée dans la gestion de campagnes d’emailing. « Le juge a réaffirmé que l’accès à un réseau et la transmission de messages par Internet est un droit qui s’impose aux opérateurs télécoms », souligne Christiane Féral-Schuhl, laquelle fut coprésidente à l’Assemblée nationale de la commission de réflexion et de propositions sur le droit et les libertés à l’âge du numérique.

    L’Autorité de la concurrence a eu, elle, à arbitrer en 2012 en faveur d’Orange un différend avec l’aiguilleur de contenus Cogent, lequel accusait l’ex-France Télécom de limiter le trafic Internet de ses clients – dont MegaUpload à l’époque. « A notre connaissance, il n’y a pas eu depuis d’intervention d’autres autorités de concurrence dans le monde en lien avec la neutralité du Net », assure Bruno Lasser.

    Loi « République numérique » en France

    La neutralité de l’Internet est un principe fondateur théorisé en 2003 par Tim Wu, un universitaire américain. Il s’agit de traiter de la même manière tous les contenus, sites Web et plates-formes numériques sur le réseau : « Internet n’est pas parfait mais son architecture d’origine tend vers ce but. Sa nature décentralisée et essentiellement neutre est la raison de son succès à la fois économique et social », expliquait-il alors. Treize ans après, ce principe est plus que jamais en péril.

    Maintenant, tous les regards se tournent vers l’Organe des régulateurs européens des communications électroniques (Orece (http://berec.europa.eu) ) chargé d’élaborer d’ici à fin août des lignes directrices pour mettre en musique le règlement « Internet ouvert ». En France, la loi pour une « République numérique » (http://www.assemblee-nationale.fr/14/projets/pl3318.asp) , dont le vote devrait avoir lieu le 3 mai au Sénat, va charger l’Arcep de veiller au respect de la neutralité du Net et au caractère « raisonnable » de certaines exceptions. Une manière de fixer des bornes au développement irrépressible de l’Internet à plusieurs vitesses.

  • Prise de dette sur la sortie de l’euro - Libération
    http://www.liberation.fr/politiques/2014/01/16/prise-de-dette-sur-la-sortie-de-l-euro_973376

    « Demain matin nous sortons de l’euro. [...] Ça fait du jour au lendemain 400 milliards d’euros de dette ! »

    Benoist Apparu, député UMP, le 9 décembre sur France 2
    « Vous ne connaissez pas votre droit international. Il y a une lex monetae, une loi de la monnaie. Aujourd’hui, 85% de la dette publique est libellée en contrats de droit français. [...] L’augmentation de la dette sera minime, de l’ordre de trois points de PIB. »

    Florian Philippot, vice-président du Front national, répondant à Apparu dans la même émission

    INTOX. La sortie de l’euro (ainsi que son coût éventuel et ses conséquences) sera un des débats qui nourrira la campagne des élections européennes de mai. En décembre, sur France 2, les différents acteurs politiques ont commencé à roder les argumentaires. C’est Benoist Apparu (UMP) qui a ouvert les hostilités, face à Florian Philippot (FN) : « Faisons un petit calcul très simple. Demain matin, nous sortons de l’euro. Si je regarde le programme du Front national, on dévalue immédiatement de 20 à 25%. Quelle est la dette française aujourd’hui ? Deux mille milliards d’euros, dont je rappelle que les deux tiers sont détenus par des étrangers, soit 1 300 milliards. On les remboursera obligatoirement en euro. Or 25% de 1 300 milliards, ça fait du jour au lendemain 400 milliards d’euros de dette ! » A quoi Philippot répond : « Vous ne connaissez pas votre droit international. Il y a une lex monetae, une loi de la monnaie. Aujourd’hui, 85% de la dette publique est libellée en contrats de droit français. Et donc si on change de monnaie, on remboursera en monnaie française, monsieur Sapir l’explique très bien. Et donc l’augmentation de la dette sera minime, de l’ordre de trois points de PIB. »

    DESINTOX. Que deviendrait la dette publique française en cas de sortie de l’euro ? Devrait-elle être majoritairement remboursée en euros, comme le dit Benoist Apparu ? La France pourrait-elle, comme l’affirme Florian Philippot, s’appuyer sur la « loi monétaire » pour la rembourser en francs dévalués ? Le FN, après avoir longtemps partagé l’argument de ses adversaires (lire ci-contre), s’appuie désormais sur l’analyse de l’économiste Jacques Sapir, qui reprend lui-même l’étude d’une banque japonaise, Nomura, parue en janvier 2012. Celle-ci se proposait de mesurer les risques encourus par les investisseurs dans l’hypothèse d’une sortie de la zone euro de plusieurs pays. Elle pose le postulat juridique qu’un pays, selon la loi monétaire, pourrait rembourser sa dette publique dans une nouvelle monnaie, si les obligations ont été émises sous un contrat de droit local. L’étude estime que tel est le cas pour 85% de la dette publique française. D’où ce nouveau calcul, effectué d’abord par Jacques Sapir, puis repris par le FN : la France ne devrait donc plus rembourser en euros que 15% de sa dette. Soit, dans l’hypothèse d’un « nouveau franc » dévalué de 20%, un accroissement de la dette publique d’environ 60 milliards d’euros, c’est à dire 3% du PIB.

    Depuis, l’un des auteurs de l’étude de Nomura, l’économiste danois Jens Nordvig, a même poussé l’argument plus loin : joint par Libération, il explique que, selon ses dernières informations, la dette publique française est même désormais émise à 97% sous contrat français. Interrogée par Libération, une source du Trésor juge ce chiffre « plausible ». Mais cela permet-il d’affirmer que cette part ultramajoritaire de la dette pourrait être remboursée en francs ? Plusieurs experts interrogés estiment correcte « en théorie » l’analyse juridique de Nomura reprise par Philippot. A Bercy, une source estime ainsi « douteux » l’argument d’Apparu : « Au plan du droit, que le détenteur de la dette soit résident ou pas ne change rien. Si la dette devait être remboursée dans une autre monnaie que celle dans laquelle elle a été émise, tous les créanciers seraient fondés au nom de la rupture du contrat à attaquer en justice. »

    L’idée selon laquelle la part de la dette détenue à l’étranger serait automatiquement remboursée en euros et celle détenue en France remboursée en « nouveaux francs » paraît donc « peu fondée ». Rejoignant l’analyse de Nomura, un économiste d’une grande banque internationale créancière reconnaît que la juridiction du contrat serait un critère en cas de contentieux : « La dette émise en droit français serait attaquable dans la mesure où la dette n’est pas remboursée dans la devise d’émission. Mais devant des tribunaux français, je pense effectivement, si les clauses sont bien écrites, que les plaignants auraient peu de chances d’être entendus. »

    Mais le même insiste sur l’aspect « très virtuel » du débat. Ne serait-ce que parce qu’une sortie de la France de l’euro... impliquerait probablement la disparition de l’euro, et que les problèmes se poseraient alors dans d’autres termes. « C’est une approche théorique et de peu d’importance au regard des bouleversements qui interviendraient dans un pareil scénario », ajoute-on au Trésor. Une conversion forcée de la dette publique en nouveaux francs, possible juridiquement, ne peut être isolée de ses conséquences : défiance des investisseurs, explosion des taux d’intérêt (et donc potentiellement de la dette à venir). Jacques Sapir en convient. Ouvrant un autre débat, il estime que la France devrait alors trouver un moyen de ne plus faire appel aux marchés internationaux. Et tous de s’accorder que ce débat juridique, posé par Apparu et Philippot, n’éclaire que très partiellement les enjeux d’une sortie de l’euro.

    Une conversion récente

    En juin, sur son blog, l’économiste Jacques Sapir n’y allait pas de main morte : « manipulation », « mauvaise foi ». L’objet de son courroux ? L’affirmation par la revue économique du PCF qu’en cas d’abandon par la France de la monnaie unique européenne, la part extérieure de la dette (65 %) devrait être honorée en euros. La critique paraît véhémente sur un sujet où il y a encore un an, tout le monde disait la même chose. Lui compris. « Si on est dans le scénario d’une sortie isolée, alors la part de la dette détenue par les non-résidents augmentera, écrivait Jacques Sapir à l’époque. Comme on a 66 % de la dette détenue par des non-résidents, si le franc dévalue de 20 %, cela signifie un accroissement de 13,2 % de la dette publique. » Le Front national en convenait mot pour mot dans son programme de 2012. Ce n’est que récemment que Jacques Sapir (et le FN à sa suite) a viré de bord. L’explication étant la publication début 2012 - puis la lente diffusion - d’une étude de la banque japonaise Nomura, donnant une nouvelle approche juridique. Et un nouvel argument aux détracteurs de l’euro.

    #économie
    #dette
    #euro
    #sortie-de-l’euro

  • National Organization for Marriage Plans to Incite Muslims against U.S. Companies
    1
    Michael AirhartNovember 10, 2012

    The conservative Roman Catholic-Mormon antigay group, the National Organization for [Antigay] Marriage, reacted to the defeat of its anti-marriage initiatives in four states on Thursday by vowing to incite antigay Muslim opposition to U.S. Companies in the Middle East.

    Large U.S. Companies such as Starbucks publicly support marriage equality. NOM president Brian Brown vowed in a conference call to incite Muslim opposition to these American companies as they seek to expand in the Middle East.Starbucks in Dubai

    The American Independent received an invitation to join NOM’s conference call, and recorded the call.

    “Their international outreach is where we can have the most effect,” Brown said. “So for example, in Qatar, in the Middle East, we’ve begun working to make sure that there’s some price to be paid for this. These are not countries that look kindly on same-sex marriage. And this is where Starbucks wants to expand, as well as India. So we have done some of this; we’ve got to do a lot more.”

    Brown also said that NOM would continue to pursue a failed strategy of appealing to economic conservatives who object to social conservatives’ demand for big-government regulation of family life and religious belief.

    Until now, NOM has received nearly all of its funding from a few wealthy donors, believed to be the Roman Catholic and Mormon churches. Brown and NOM national political director Frank Schubert promised key supporters that they would work to develop a grassroots network.

  • NOM’s Post Election Freak-out: Attack Starbucks, Defend Calif.
    BY Neal Broverman
    November 10 2012 1:25 PM ET
    NOM president Brian Brown

    After the antigay National Organization for Marriage was handed four stinging defeats on Tuesday, with voters endorsing marriage equality in three states and shutting down a divisive ban in another, the group is reeling.

    The American Independent got wind of an emergency conference call on Thursday where the group and its leader, Brian Brown, plotted their next moves. The group’s mission is to “defend traditional marriage” by denying marriage rights to same-sex couples, but their fortunes took a massive turn for the worse on Tuesday when Maine, Maryland, and Washington voters endorsed same-sex marriage at the polls, upping the number of states with marriage equality to nine, as well as the District of Columbia. Meanwhile, Minnesota voters rejected a divisive constitutional amendment banning same-sex marriage, as well.

    Brown believes their failures had to do with being outspent, as well as GOP candidate Mitt Romney not pushing his opposition to same-sex marriage enough and Republican strategist Karl Rove focusing on economic issues instead of social ones; the latter point goes counter to dozens of polls that put the economy at the top of the electorate’s concerns.

    According to The American Independent, Brown promised to keep up the fight against same-sex marriage and asked his followers for more money. The group is also going after corporations like Starbucks which publicly advocate for marriage equality. NOM’s plan is to garner support in the Middle East, an area hostile to same-sex marriage and an area the coffee chain is interested in expanding in.

    “[Starbucks’s] international outreach is where we can have the most effect,” Brown said. “So for example, in Qatar, in the Middle East, we’ve begun working to make sure that there’s some price to be paid for this. These are not countries that look kindly on same-sex marriage. And this is where Starbucks wants to expand, as well as India. So we have done some of this; we’ve got to do a lot more.”

    Brown and NOM political director Frank Schubert also believe that their losses on Tuesday will help them with Supreme Court battles. Their hope is the high court, set to decide whether to take on challenges to California’s Prop. 8 and the federal Defense of Marriage Act, will not consider gay and lesbian people a “suspect class” now that voters in four states refused to discriminate against them. Judges often describe groups who are routinely subject to bias as members of a “suspect class,” and legislation passed against such groups is often scrutinized. How NOM will convince the Supreme Court that gays are now free of discrimination, especially since they can be legally fired in many states and are denied marriage rights in the majority of them, is unclear.

    NOM is concerned with the next wave of states looking toward marriage equality, including Delaware, Rhode Island, Illinois, and California; the latter could see marriage equality reinstated this month, should the Supreme Court accept a lower court ruling that struck down the Golden State’s narrowly-approved constitutional marriage equality ban.

  • Pôle emploi : un logo à 500000€ !
    http://www.marianne2.fr/Pole-emploi-un-logo-a-500000-!_a176923.html

    Pour créer le nouveau sigle du service public de l’emploi, l’Etat a déboursé… 500000€ auprès de l’agence Nomen, comme le confirmait le président de l’Unedic, Geoffroy Roux de Bézieux, avouant que c’était « un peu cher » pour un E dans un rond….

    #économie #politique #argent