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  • Christian de Boisredon : « Les journalistes sont aussi là pour inspirer, donner l’envie et les moyens d’agir »
    http://www.lecourrierderussie.com/2016/02/christian-boisredon-journalisme-solutions

    « Nous avons environ 50 journaux participants, leaders sur leur marché, comme Le Figaro, le Sunday Times, Asahi Shimbun (7 millions d’exemplaires au Japon), La Nacion en Argentine, Le Courrier de Russie, L’Economiste au Maroc, Le Soir, O Globo au Brésil, etc. »

  • A la Une : Mauricio #Macri, le nouveau #président_argentin - #Amériques - RFI

    L’Argentine et la victoire de Mauricio Macri au second tour de l’élection présidentielle qui met fin à la décennie « kirchnériste »

    « Macri s’est imposé et a mis fin à douze années d’hégémonie kirchnériste », titre La Nación. Mauricio Macri, ex-président du club de football Boca Junior et maire de Buenos Aires prendra ses fonctions le 10 décembre pour quatre ans. Il succède à Cristina Kirchner qui l’a appelé pour le féliciter et l’inviter dès demain à la résidence de Olivos. Cristina Kirchner a déjà commencé à faire ses adieux. Elle a prévenu qu’il ne faudrait pas remettre en question les avancées que son gouvernement a obtenues pour les Argentins, rapporte La Nación. Pour Página 12, Daniel Scioli « n’a donc pas réussi à rompre le maléfice puisqu’aucun gouverneur de la province de Buenos Aires n’a réussi à se faire élire président ». De son côté, Mauricio Macri « n’a pas appelé à la revanche, mais à l’unité », signale Clarín.

    Une victoire relevée dans la presse de l’ensemble du continent

    Mauricio Macri a été félicité par plusieurs présidents du continent, indique Página 12, dont la Colombie, le Paraguay, le Mexique, mais aussi les pays dits progressistes et désormais anciens alliés : le Chili, l’Equateur, la Bolivie et le Venezuela. Pour le Washington Post, le maire de Buenos Aires a été catapulté à la tête du pays en surfant sur une vague de mécontentement due à plusieurs scandales au sein du gouvernement, une économie faible et un nationalisme combatif.

    Selon l’éditorialiste d’El Pais d’Uruguay, cette victoire n’est pas le fruit du hasard. Macri a su tisser au fil des ans des alliances politiques qui lui ont permis d’accéder à la présidence du pays : une coalition avec Elisa Carrió de l’Alliance civique, qui s’était présentée au premier tour, et avec l’Union civique radicale qui a apporté à Macri un large soutien sur tout le territoire. Un triomphe fort de la victoire de María Eugenia Vidal dans la province de Buenos Aires lors des élections d’octobre, insiste El País, alors que cette province était un bastion du péronisme et semblait invincible.

    Le Venezuela perd un allié stratégique.

    Les relations entre l’Argentine et le Venezuela risquent de se tendre, car comme le rappelle 2001, Macri avait déclaré qu’en cas de victoire, il demanderait des comptes à Nicolas Maduro à propos des abus, des prisonniers politiques, de la participation de militaires dans le gouvernement et pour faire suspendre le Venezuela du Mercosur ; une promesse qu’il dit vouloir tenir lors du prochain sommet en décembre.
    Selon El País, la vague progressiste du continent semble « avoir commencé à se fissurer à Buenos Aires ».

    Mais le nouveau président devra nécessairement « négocier avec le Congrès », prévient O Globo ; il devra aussi forger des alliances avec les principaux dirigeants péronistes, ajoute La Nación . Macri devra mettre en place une dévaluation de la monnaie, assainir le marché des changes et lever les restrictions qui pèsent sur le commerce extérieur, avance le journal colombien El Tiempo.

    Les grands défis du nouveau président Mauricio Macri

    Mauricio Macri n’a pas la majorité à l’Assemblée nationale et encore moins au Sénat, insiste Clarín. La « révolution du bonheur » dont Mauricio Macri s’est senti investi à mesure qu’on approchait du second tour ne durera pas longtemps estime d’un ton sarcastique l’éditorialiste du journal de Rio Negro. « Les circonstances économiques provoquées par l’irresponsabilité du gouvernement sortant ne lui donneront pas le temps de profiter de cette lune de miel » poursuit-il.

    Selon Clarín, le nouveau président fait face à quatre défis majeurs : le ralentissement de l’économie mondiale, les déséquilibres de l’économie nationale, l’obstruction de l’opposition et l’inexpérience politique de sa propre coalition. Les grandes interrogations étant : est-ce que le président pourra faire passer ses réformes au Congrès, et est-ce que la rue le laissera les mettre en œuvre ?

    Heureusement, estime l’éditorialiste de Rio Negro, les partisans de Macri ne sont pas autoritaires ni illuminés. « Ce sont des centristes pragmatiques », assure-t-il, « qui veulent que l’Argentine soit assimilée davantage aux démocraties développées qu’à des pays ’bolivariens ’ comme le Venezuela, l’Equateur, sans parler de Cuba, qui ont servi de modèle au kirchnérisme » assène-t-il. Il faut désormais un changement soutenable, insiste pour sa part Clarín. Et Clarín de conclure : « à partir de maintenant le kirchnérisme n’est pas le problème, mais il faudra bien reconnaître qu’il a proposé la solution ».

    http://www.rfi.fr/ameriques/20151123-une-mauricio-macri-le-nouveau-president-argentin?ns_campaign=reseaux_so
    http://scd.rfi.fr/sites/filesrfi/imagecache/rfi_16x9_1024_578/sites/images.rfi.fr/files/aef_image/ARGENTINA2-ELECTION_0.JPG

  • Brazilian university seeks to list Israelis on campus, at behest of pro-Palestinian groups - World - - Haaretz Daily Newspaper | Israel News
    http://www.haaretz.com/news/world/.premium-1.659860

    The deputy dean of a Brazilian university asked faculty to provide a list of Israelis working or studying on campus, acting at the request of pro-Palestinian groups.

    Jose Fernando Schlosser, deputy dean of the Federal University of Santa Maria in Brazil’s south posted a memorandum on May 15 requesting "urgent dispatch of information on the possible presence of Israeli students or teachers” in post-graduate programs, the online edition of the O Globo daily reported Wednesday.

    The memorandum explains the request came from several groups, including the Santa Maria Committee of Solidarity with Palestinian People. According to the university, the request is based on Brazil’s 2012 law on freedom of information, which orders public institutions to provide information to interested citizens.

    Reproduction of the memorandum that surfaced on social media and carried the text “Freedom for Palestine, Boycott Israel” were forgeries of the original, which did not contain that text, the university said in a statement to local media. The university said it would file its own complaint for forgery.

    Parties offended by the memorandum filed a criminal complaint against Schlosser for allegedly inciting discrimination on race, color, ethnicity, religion or national affiliation, O Globo reported. But in a statement to media, the university’s dean, Paulo Afonso Burmann, insisted that the memorandum, which he said was issued at the request last year of five groups, was “in compliance with the law on freedom of information.”

    CONIB, the umbrella group of Brazil’s Jewish communities, rejected the university’s explanations and said in a statement that it “received the university’s actions with repudiation.”

    Schlosser’s memorandum “was a clearly discriminatory measure, done by a high-ranking official in the federal education system, and it should be dealt with the severity it merits,” CONIB President Fernando Lottenberg wrote in a statement posted Thursday on CONIB’s website.

  • Brazilian university seeks to list Israelis on campus, at behest of pro-Palestinian groups
    Request for list of names by five activist groups is in compliance with freedom of information law, dean insists.
    By JTA | Jun. 5, 2015 Haaretz Daily Newspaper |
    http://www.haaretz.com/news/world/.premium-1.659860

    The deputy dean of a Brazilian university asked faculty to provide a list of Israelis working or studying on campus, acting at the request of pro-Palestinian groups.

    Jose Fernando Schlosser, deputy dean of the Federal University of Santa Maria in Brazil’s south posted a memorandum on May 15 requesting "urgent dispatch of information on the possible presence of Israeli students or teachers” in post-graduate programs, the online edition of the O Globo daily reported Wednesday.

    The memorandum explains the request came from several groups, including the Santa Maria Committee of Solidarity with Palestinian People. According to the university, the request is based on Brazil’s 2012 law on freedom of information, which orders public institutions to provide information to interested citizens.

    Reproduction of the memorandum that surfaced on social media and carried the text “Freedom for Palestine, Boycott Israel” were forgeries of the original, which did not contain that text, the university said in a statement to local media. The university said it would file its own complaint for forgery.

    Parties offended by the memorandum filed a criminal complaint against Schlosser for allegedly inciting discrimination on race, color, ethnicity, religion or national affiliation, O Globo reported. But in a statement to media, the university’s dean, Paulo Afonso Burmann, insisted that the memorandum, which he said was issued at the request last year of five groups, was “in compliance with the law on freedom of information.”

    CONIB, the umbrella group of Brazil’s Jewish communities, rejected the university’s explanations and said in a statement that it “received the university’s actions with repudiation.”

    Schlosser’s memorandum “was a clearly discriminatory measure, done by a high-ranking official in the federal education system, and it should be dealt with the severity it merits,” CONIB President Fernando Lottenberg wrote in a statement posted Thursday on CONIB’s website.

  • #BRÉSIL#McDonald's ne fait plus la loi | Courrier international
    http://www.courrierinternational.com/article/2013/03/25/mcdonald-s-ne-fait-plus-la-loi

    Le 21 mars dernier, le tribunal du travail de Recife (capitale de l’Etat du Pernambouc) a condamné Arcos Dourados, la principale franchise de Mc Donald’s au Brésil, à une amende de 7,5 millions de reais (2,8 millions d’euros) pour préjudice moral collectif. Arcos Dourados, qui possède 600 restaurants et emploie près de 42 000 personnes, ne pourra plus désormais recourir au Brésil à la pratique des horaires flexibles pour ses salariés, souligne le quotidien O Globo.

    Selon le parquet, « l’employé se retrouvait ainsi beaucoup plus longtemps à la disposition de l’entreprise que les huit heures par jour prévues dans les contrats de travail, sans pour autant lui garantir l’équivalent d’un salaire minimum à la fin du mois », rapporte le site Brasil de Fato.

    Par ailleurs, la décision de justice oblige McDonald’s à autoriser ses employés à apporter leur propre repas pour la pause-déjeuner, et à le consommer où bon leur semble. Jusqu’à présent, ils étaient seulement autorisés à manger les sandwichs de leur fast-food, sans avoir le droit de s’absenter. Le géant du fast-food devra en outre financer des campagnes pour informer ses salariés de leurs droits. « McDonald’s doit s’adapter aux lois brésiliennes et non l’inverse », a tenu à préciser le Procureur de l’Etat du Pernambouc.

    #travail

  • Brésil : un chat « passeur » arrêté dans une prison - Le Nouvel Observateur
    http://tempsreel.nouvelobs.com/l-histoire-du-soir/20130107.OBS4686/bresil-un-chat-passeur-arrete-dans-une-prison.html

    Brésil : un chat « passeur » arrêté dans une prison

    Le chat était… une mule. Les surveillants de la prison d’Arapiraca (Brésil) ont capturé l’animal alors qu’il passait la porte d’entrée de la prison, le jour du réveillon du Nouvel An, rapporte « O Globo ».

    Le chat faisait souvent des allées et venues dans l’enceinte de la prison. Cette fois, les surveillants ont noté qu’il transportait, scotchés autour de son abdomen, des limes, des forets de perceuse, ainsi qu’un téléphone portable avec un chargeur et des écouteurs. Le félin a été placé dans un centre pour animaux.
    Une tactique surprenante
    Selon les autorités, les objets auraient pu être utilisés pour une évasion ou pour communiquer avec des criminels en dehors de la prison. Luiz de Oliveira Souza, responsable de la prison, s’est dit surpris par cette « nouvelle tactique des détenus ». Les prisonniers avaient dressé le chat et certains de leurs proches le reprenaient souvent chez eux lors de leurs visites.
    Selon le journal « O Estado de Sao Paulo », les 263 prisonniers sont tous des suspects. En effet, comme l’a indiqué le porte-parole de l’établissement, « c’est difficile de trouver le responsable, étant donné que le chat ne parle pas ».

    #prison #Bresil #chat_délinquant

  • RIO DE JANEIRO - Brésil : les réseaux sociaux organisent une manifestation anti-corruption - 20minutes.fr
    http://www.20minutes.fr/article/772754/bresil-reseaux-sociaux-organisent-manifestation-anti-corruption

    Un groupe de Cariocas (habitants de Rio) ont lancé l’organisation, via les réseaux sociaux internet, d’une grande manifestation contre la corruption au Brésil, après une série de scandales dans plusieurs ministères au cours des dernières semaines.

    Christine Maza, une des organisatrices de la manifestation « Tous ensemble contre la corruption ! », prévue le 20 septembre au centre de Rio, a déclaré vendredi au quotidien O Globo que le mouvement avait commencé il y a quinze jours sur Facebook et que son succès avait été instantané.

    #manifestation #corruption