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  • Nantes : Deux hommes condamnés pour avoir pendu un mannequin à l’effigie d’Emmanuel Macron
    https://www.20minutes.fr/justice/2543939-20190619-nantes-deux-hommes-condamnes-avoir-pendu-mannequin-effigi

    OUTRAGE Les deux prévenus, jugés mardi à Nantes, devront suivre un stage de citoyenneté

    L’affaire avait fait grand bruit. Il y a un peu plus d’un an, lors d’une manifestation contre la politique du gouvernement à Nantes, un mannequin à l’effigie du président Macron avait été frappé, pendu et brûlé devant la foule. Un « appel au meurtre », selon de nombreux élus qui avaient fait part de leur émotion.

    Mardi, deux hommes âgés de 52 ans pour l’un, 20 ans pour l’autre, ont été jugés pour « outrage à une personne dépositaire de l’autorité publique commis en réunion », rapporte le journal Ouest-France. Une autre personne avait été interpellée mais a été renvoyée vers le tribunal pour mineurs.
    « Sous le coup de l’adrénaline »

    Selon le quotidien, le premier prévenu a affirmé qu’il était venu à la manifestation par hasard, après avoir consommé de l’alcool. Le second, qui portait la potence, a indiqué qu’il avait agi « sous le coup de l’adrénaline ».

    Ils ont été condamnés à suivre des stages de citoyenneté.

    #outrage #lèse-majesté

  • Un correspondant franco-marocain de « Ouest-France » expulsé d’une église car jugé « suspect » - Libération
    http://www.liberation.fr/direct/element/un-correspondant-franco-marocain-de-ouest-france-expulse-dune-eglise-car-

    Comme l’a signalé sur Twitter une consœur de Presse Océan, le journal Ouest-France relaie dans son édition du jour la désagréable mésaventure qui est arrivée à l’un de ses correspondants locaux dimanche dernier. Franco-marocain de 46 ans venu à l’église de Châteaubriant (Loire-Atlantique) dans le cadre de l’interview d’un prêtre réalisée la veille, le correspondant entendait profiter de la messe pour « prendre le pouls de la communauté catholique ».

    Le pouls n’aura pas été celui d’un patient très sain puisque deux gendarmes l’ont invité à les suivre à l’extérieur de l’église : un paroissien les avait appelé pour signaler un homme « suspect ». Humilié, le correspondant du journal local a été obligé de quitter l’église encadré par les deux pandores, devant tout le monde. L’homme, qui dit avoir pardonné le malentendu, se montre compréhensif malgré l’injustice : « Ce qui s’est passé servira peut-être de leçon et permettra à chacun d’être plus prudent et moins jugeant afin que ça ne se reproduise plus. »

    [mise à jour : Le prêtre a présenté ses excuses au correspondant dans un message publié en ligne]

    #musulman_d'apparence dans une église : inconscience ou provocation ?

  • Impayés : le casse-tête des artisans
    http://www.scoop.it/t/impayes-et-risque-client/p/4012333285/2013/12/08/impayes-le-casse-tete-des-artisans

    Le syndicat des métalliers de Loire-Atlantique ouvre le débat sur un phénomène croissant qui met à mal les trésoreries. Jean-François Gaborit témoigne. Ouest France EntreprisesOuestGEST’s insight:OuestGEST, Conseil en crédit management, www.ouestgest.com/risque-client vous recommande la lecture de l’article de Jocelyne RAT dans le journal OuestFrance. L’interview de Jean-François Gaborit à OuestFrance est consacrée aux impayés dont sont victimes les artisans.See it on Scoop.it, via Impayés et risque-client

  • http://lalettredelaphotographie.com/system/photos/7001/med_120316112957725_52_000_apx_470_-jpg.jpg

    On April 6, 1972 in Saint-Brieuc, a town in Brittany, the workers from the company Joint Français went on strike. The CRS (French riot police) moved in. Face to face, are Guy Burmieux, a worker, and Jean-Yvon Antignac, a riot policeman. Jacques Gourmelen, the photographer, was covering local news for the newspaper Ouest-France.
    “I took the photo on instinct. Burniaux had recognized his old friend and classmate,” said the photographer to his colleague Véronique Constance, on the 40th anniversary of this legendary strike. “I saw him go toward his friend and grab him by the collar. He wept with rage and told him, ‘Go ahead and hit me while you’re at it!’ The other one didn’t move a muscle.”
    “I was one of the workers on strike,” Burmieux told Ouest-France. “We were getting paid next to nothing, working 47 hours a week... We had locked up three of the company’s directors. We spent the night on the premises, drinking endless cups of coffee. In the morning, the atmosphere was electric. According to the police, the guys from the CRS section 13 who were the first on the scene. And I recognized Jean-Yvon! We were in school together at the Lycée Curie. We were the class clowns, we were inseparable.”

    http://lalettredelaphotographie.com/entries/7001/la-mort-de-jacques-gourmelen