company:riwal

  • Qui murmure à l’oreille de Marine Le Pen ? - Ouest France
    http://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/data/995/reader/reader.html#!preferred/1/package/995/pub/997/page/5

    Les amis « Gudards »

    Frédéric Chatillon, 49 ans, Axel Loustau, 47 ans, et Philippe Péninque, 64 ans… Tous très proches du FN, ils sont des amis de jeunesse de la candidate et faisaient notamment partis du Groupe d’union défense (GUD), syndicat étudiant d’extrême droite.

    La rencontre. Frédéric Chatillon, Marine Le Pen l’a rencontré sur les bancs de la faculté d’Assas, à Paris, dans les années 1990. Comme Axel Loustau, il a fait parti du GUD, un mouvement militant réputé violent, dont il a même été le leader en 1992. Frédéric Chatillon a notamment dirigé la société Riwal, une agence de communication prestataire de service pour le Front National. Les deux hommes ont notamment créé en 2010 le mouvement Jeanne aux côtés de Marine Le Pen. Philippe Péninque, de son côté, est considéré comme « le parrain de la bande ». Ancien avocat fiscaliste, il était également militant du GUD dans sa jeunesse.

    #Linfiltré #PhoneStories #FN #Fachosphere

  • Quand l’ex-leader du GUD Frédéric Chatillon cherchait 10 millions pour le FN - Challenges.fr
    https://www.challenges.fr/election-presidentielle-2017/quand-l-ex-leader-du-gud-frederic-chatillon-cherchait-10-millions-pour-le

    Le patron de Riwal (...) mentionne « un accord de principe de nos amis italiens » pour un prêt de 10 millions d’euros gagé sur la « subvention annuelle ». Sans doute l’aide publique de 5 millions d’euros que touche le Front national chaque année depuis 2012 grâce à son résultat aux élections législatives.

    Frédéric Chatillon évoque « quatre échéances de 2,5 millions d’euros directement subrogées sur la subvention annuelle » et un taux d’intérêt de 10%. « C’est assez élevé, mais c’est la seule solution que nous avons pour l’instant », note Frédéric Chatillon. Interrogé un an et demi plus tard par les juges d’instruction Aude Buresi et Renaud Van Ruymbeke dans l’enquête sur le financement des campagnes FN où il est mis en examen, le communicant assume. « Etes-vous en charge de la recherche d’un financement du Front national ? », s’étonnent les magistrats. « Comme de nombreuses personnes, répond-il. Toutes les bonnes volontés étaient les bienvenues. J’ai d’ailleurs tout intérêt à ce que le FN me paie. » Un prestataire aux petits soins, en somme.

    Quelques mois plus tard, le trésorier du Front national Wallerand de Saint-Just reconnait aussi le rôle joué par l’ancien leader du GUD dans la recherche d’un prêt pour le parti. « Monsieur Chatillon a effectivement essayé de trouver des prêts pour financer les campagnes électorales, notamment en Italie. Cela n’a pas marché. J’ai réussi en Russie », relate-t-il. Une allusion au prêt de 9,4 millions d’euros que le Front national a finalement souscrit auprès d’une banque tchéco-russe en 2014.

    Plus largement, depuis l’arrivée de Marine Le Pen à la tête du Front national, Frédéric Chatillon a été, avec son agence Riwal, un prestataire incontournable pour les tracts et affiches des candidats FN, largement remboursés sur fonds publics. Début 2011, c’est même la présidente du Front national qui a convoqué dans un petit restaurant à Nanterre les imprimeurs qui avaient l’habitude de travailler avec le Front pour leur imposer Riwal comme intermédiaire entre eux et les candidats.

    Cette situation de quasi-monopole a permis à l’agence de com’ de dégager de confortables marges, allant de 38% à 68% sur les dépenses de campagne des candidats aux élections législatives de 2012. Et jusqu’à 74% sur les affiches officielles et profession de foi de la campagne présidentielle de Marine Le Pen. Soit 1,8 millions d’euros de marge sur les 2,4 millions remboursés par l’Etat ! Une forme d’industrialisation des subventions publiques qui est dans le viseur de la justice et vaut à #Frédéric_Chatillon, au trésorier du Front national et au FN en tant que parti d’être renvoyés en procès.

    #Linfiltré #PhoneStories #FN

  • Salut nazi, « extermination » des Arabes : à Lyon, identitaires et frontistes font la fête ensemble - BuzzFeed News
    https://www.buzzfeed.com/paulaveline/salut-nazi-extermination-des-arabes-a-lyon-identitaires-et-f

    C’est aux alentours de minuit que débarquent Frédéric Chatillon et Axel Loustau, tous deux membres de la garde rapprochée de Marine Le Pen mis en examen dans le cadre du financement de la campagne FN de 2012. Ils sont accompagnés de Nicolas Crochet, proche de Chatillon et mis en cause dans le scandale des Panama Papers via la société Riwal, fournisseuse de matériel électoral pour le FN. Ils serrent des mains, discutent, rigolent et boivent des coups. « Ah, ils sont venus ! » lance une jeune militante, bière à la main. Ils sont rejoints un peu plus tard par Damien Rieu, ancien leader de GI et aujourd’hui membre de l’équipe de Marion Maréchal-Le Pen. Il sont ici chez eux, à en juger par les poignées de main qui s’enchaînent.

    #PhoneStories #Linfiltré #FN

  • Frédéric Chatillon n’est-il qu’un conseiller en musicologie de Marine Le Pen ? - L’Express
    http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/frederic-chatillon-n-est-il-qu-un-conseiller-en-musicologie-de-marine-le-pe

    Frédéric Chatillon est toujours présent dans la campagne de 2017 de Marine Le Pen.

    Facebook/Frédéric Chatillon
    Mis en examen le 15 février dans l’affaire des comptes de campagne du FN, l’ancien dirigeant du GUD et prestataire de services du Front national semble toujours jouer un rôle important, qu’il n’entend pas détailler, dans la campagne du parti.

    « Animateur d’atelier mixologie et conseiller en musicologie, spécialité Pino d’Angio », un chanteur populaire italien. Quand on lui demande quel rôle il joue dans la campagne présidentielle de Marine Le Pen pour la présidentielle, Frédéric Chatillon esquive. « Je suis également titulaire d’un doctorat sur Eros Ramazzotti », ajoute-t-il, quand on insiste. L’ami des années fac de Marine Le Pen, ancien pilier du très radical GUD et prestataire de services du FN depuis le milieu des années 90 ne semble pas enclin à en dire vraiment davantage.

    LIRE AUSSI >> Frédéric Chatillon, l’ami qui encombre Marine Le Pen

    Il faut dire que les juges ne semblent pas partager son humour. Et en matière de mixologie, c’est plutôt le cocktail détonnant d’amitiés politiques et de business juteux qui semble être sa spécialité. Soupçonné d’avoir surfacturé, à la tête de la société Riwal, des « kits de campagne » obligatoires aux candidats aux législatives, il a été renvoyé en correctionnelle pour faux, escroqueries, abus de biens sociaux.
    Bien visible aux meetings de Marine Le Pen

    Il a aussi été mis en examen le 15 février, pour abus de biens sociaux dans le cadre d’une information judiciaire ouverte le 9 novembre 2016 par le parquet de Paris pour « escroqueries » et « abus de bien sociaux » lors des élections de 2014 (municipales, européennes et sénatoriales) et de 2015 (départementales). Les juges d’instruction soupçonnent Riwal, longtemps prestataire principal de la communication électorale frontiste, d’avoir accordé un crédit au FN via Jeanne, un micro-parti, soupçonné par la justice d’être une coquille vide abritant une société commerciale. Or, les personnes morales n’ont pas le droit de contribuer au financement des partis politiques. Une autre enquête, encore au stade préliminaire, a été ouverte début novembre concernant les régionales de 2015.

    Bref, à chaque scrutin, le nom sulfureux de Frédéric Chatillon apparaît dans le radar de la justice. Pas de quoi faire de l’intéressé un pestiféré au parti. Lors des « Estivales » de Fréjus en septembre 2016, il s’était laissé voir publiquement jusqu’à aller en salle de presse. Rebelote aux « Assises présidentielles » de Lyon les 4 et 5 février où Frédéric Chatillon était encore présent, ainsi que son acolyte Nicolas Crochet, un expert-comptable lui aussi mis en examen dans le volet 2012 de l’affaire Jeanne.
    Un contrôle judiciaire qui s’impose à lui

    A Lyon au début du mois, Frédéric Chatillon assumait encore auprès de L’Express « vérifier des choses purement techniques » dans la campagne. Sans plus de précisions. A Fréjus, en septembre, se livrant à quelques journalistes, il indiquait qu’il pourrait être « salarié » en son « nom propre » par Marine Le Pen et donner des « conseils sur la forme, sur la technique, sur la cohérence web/print, sur l’adaptation des supports, sur les livraisons dans les temps ».
    Frédéric Chatillon, à l’antenne de BFMTV (Capture d’écran).

    Frédéric Chatillon, à l’antenne de BFMTV (Capture d’écran).

    Dailymotion/BFMTV

    C’est que Frédéric Chatillon n’est pas libre de faire ce qu’il veut. Un contrôle judiciaire lui interdit « de poursuivre, en tant que dirigeant de la société Riwal ou Erer [la société-mère de Riwal, détenue par Frédéric Chatillon], quelque relation commerciale que ce soit, directe ou indirecte, avec le FN dans le cadre des élections ». « Personne n’est dupe. Il détourne les obligations du contrôle judiciaire mais reste formellement dans les clous » en n’agissant pas officiellement au nom de Riwal, estimait en septembre une source proche de l’enquête. « Il joue avec le feu mais sait très bien être borderline. »
    « Ce sont toujours les mêmes qui sont en piste »

    Un jeu avec le feu qui commence à donner quelques sueurs froides en interne. « On ne nous les montre pas mais nous savons que ce sont toujours les mêmes qui sont en piste sur le matériel », glisse à L’Express un membre du comité stratégique de Marine Le Pen au sujet de Frédéric Chatillon et de son proche, Axel Loustau, trésorier de Jeanne. Ulcéré par le rôle présumé que l’ancien « gudard » joue toujours dans la mécanique FN, ce cadre dit avoir « engueulé » Marine Le Pen à ce sujet. « Elle m’a répondu : ’c’est un fournisseur’ », raconte-t-il. Si la candidate du FN n’entend pas se passer de lui, « c’est parce qu’elle ne veut pas donner l’air de reculer ». « Il a prouvé un certain nombre de compétences, ça veut dire qu’on a besoin de lui », justifie un autre cadre frontiste, proche, lui, de Frédéric Chatillon.

    #PhoneStories #Linfiltré #FN

  • Frédéric Chatillon, un proche de Marine Le Pen, mis en examen pour abus de biens sociaux
    http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2017/02/25/frederic-chatillon-un-proche-de-marine-le-pen-mis-en-examen-pour-abus-de-bie

    M. Chatillon, dirigeant de la société de prépresse Riwal, est mis en cause pour avoir accordé un crédit fournisseur de Riwal au FN, via l’entremise du microparti de Marine Le Pen, Jeanne. Une opération s’apparentant, selon la justice, à un financement politique par une personne morale, ce qui est interdit par le code électoral et ressemble fort à ce qui lui était déjà reproché en 2012.

    #PhoneStories #Linfiltré #FN

  • FN : Marine Le Pen assume ses amitiés sulfureuses - Le Parisien
    http://www.leparisien.fr/elections/presidentielle/candidats-et-programmes/fn-marine-le-pen-assume-ses-amities-sulfureuses-23-02-2017-6703755.php

    Pas question donc pour cette campagne de se passer des services de Frédéric Chatillon, l’ancien patron du GUD (syndicat étudiant d’extrême droite), qu’elle a rencontré sur les bancs de l’université, à Assas, dans les années 1990. Il est mis en examen depuis janvier 2015 dans le cadre de l’affaire sur le financement du FN, et son entreprise Riwal, le prestataire du Front, n’a plus le droit de travailler pour le parti. Mais cela ne l’a pas empêché de reprendre du service pour la présidentielle 2017.

    Et au FN, on assume totalement sa présence. « Chatillon est l’un des hommes clé de la campagne. Riwal n’a plus le droit de travailler pour nous, mais lui, si », affirme ainsi, catégorique, un cadre. « Je le croise régulièrement au QG », renchérit un autre, tout en restant très elliptique sur son rôle précis dans la campagne...

    #Phonestories #Linfiltré #FN #GUD

  • Marine2017.fr : le dernier né de la galaxie Chatillon
    http://www.marianne.net/marine2017fr-dernier-ne-galaxie-chatillon-100244724.html

    Le 14 juillet dernier, un nouveau site a vu le jour sur la toile : Marine2017.fr. « Un nouvel outil essentiel pour la cause nationale », dixit Marine Le Pen. Une plateforme censée lui permettre de rester « au top de la modernité, au top des nouvelles technologies de communication », en vue de l’élection présidentielle du printemps prochain. Pour développer cet espace, la candidate n’est pas allée chercher bien loin. Comme à son habitude, la présidente du Front national a mis les copains sur le coup, confiant la prestation à une jeune boîte de communication : e-Politic.

    Créée il y a deux ans, cette SARL de quatre salariés est dirigée par Paul-Alexandre Martin. Inconnu du grand public, ce jeune entrepreneur de 26 ans fait partie des jeunes pousses qui gravitent dans le giron de Marine Le Pen et de ses plus vieux amis – et prestataires : Frédéric Chatillon et Axel Loustau. Les deux anciens leaders du GUD (un syndicat d’extrême droite actif dans les années 80-90) sont englués dans l’affaire du financement illégal des campagnes électorales du FN. Un dossier qui leur vaut des mises en examens multiples. L’un, Frédéric Chatillon, 48 ans, pour son rôle à la tête de Riwal, la société soupçonnée d’avoir surfacturé des kits de campagne pour des candidats aux législatives de 2012, ainsi que des prestations fournies au parti au moment de la présidentielle, la même année. Et l’autre, Axel Loustau, 45 ans, pour sa casquette de trésorier de Jeanne, le micro-parti de Marine Le Pen, accusé d’avoir prêté de l’argent avec des taux d’intérêts élevés à ces mêmes candidats pour qu’ils achètent les fameux kits.

    A l’époque, Paul-Alexandre Martin, n’est pas encore passé côté business. Mais déjà, l’étudiant à la fac de droit d’Assas milite activement au FN, où il fréquente Loustau, Chatillon et leur groupe de jeunes et anciens « rats noirs ». Numéro 2 du Front national de la jeunesse (FNJ) alors présidé par son grand copain, Julien Rochedy, le jeune homme originaire de Chartres obtient sans difficulté l’investiture aux élections législatives dans la 8ème circonscription du Rhône (photo ci-contre). Il perd. Mais qu’importe : A 22 ans, Paul-Alexandre Martin sait qu’il peut compter sur de solides appuis dans le premier cercle de la patronne.

    En juin 2014, avec la bénédiction de ses deux mentors, l’ambitieux lance e-Politic et s’installe au rez-de-chaussée du 27 rue des vignes, dans le XVIème arrondissement de Paris. A l’endroit même où Marine Le Pen et sa bande préparent la campagne de 2017 (lire notre enquête ici). Dans ses nouveaux bureaux, l’apprenti businessman côtoie la Patrouille de l’événement, une boîte qui gère les festivités de la ville de Fréjus, bastion du sénateur-maire David Rachline (lire nos articles ici ou là). Mais aussi Click and apps, une boîte qui développe des sites Web, ou Stream on fire, qui fait dans la diffusion d’événements en direct. Il y retrouve également Frédéric Chatillon et les salariés de Riwal, ainsi que le gérant de la SCI qui a acheté les murs du « 27 », Axel Loustau (photo ci-dessous - au centre - en compagnie de Julien Rochedy et Paul-Alexandre Martin), qui en a d’ailleurs profité pour y domicilier Jeanne. Que du beau monde, donc.

    Un mois après la création de la boîte, en juillet, un nouvel associé fait son apparition : Frédéric Chatillon. Via l’une de ses sociétés, le groupe Erer, l’homme d’affaires rachète 370 parts sur les 1.000 que détenait initialement son poulain. Très vite, les contrats tombent. Avant de s’occuper du site perso de Marine Le Pen, Paul-Alexandre Martin a mis sur pieds les sites des élus FN au Parlement européen. Ceux de nombreux candidats aux dernières élections régionales. Ou encore celui de David Rachline, dont le nom est cité dans l’enquête judicaire sur le financement illégal du Front national. Rachline est soupçonné d’avoir bénéficié d’un emploi fictif de deux mois chez Riwal pendant la dernière campagne présidentielle.

    #Linfiltré #PhoneStories #FN

  • Comment Frédéric Chatillon pilote encore la campagne de Marine Le Pen
    http://www.europe1.fr/politique/comment-frederic-chatillon-pilote-encore-la-campagne-de-marine-le-pen-285127

    D’autres entreprises gravitent autour du FN. Le week-end dernier, il y avait notamment une agence de communication, E-Politic, créée par une jeune pousse du FN, d’à peine 26 ans. C’est cette agence qui a lancé le nouveau site Marine2017 et qui se chargeait à Fréjus de relayer la communication de la candidate sur les réseaux sociaux.

    Des sociétés domiciliées à la même adresse… Cette société est domiciliée à la même adresse, dans le 16e arrondissement de Paris. A la même adresse où est installée l’association de Marine Le Pen, Jeanne, elle aussi mise en cause dans l’affaire de 2012. A la même adresse également qu’une autre agence d’événementiel, « La Patrouille de l’événement », dirigée par deux proches de Frédéric Chatillon.
    Erer

    … et qui appartiennent au même groupe. Ces deux entreprises ont un point commun : elles sont toutes détenues, en partie, par le groupe Erer. Erer, une holding qui est aussi la maison mère... de Riwal. Et quand on y regarde de plus près, ce groupe Erer détient 70% de Riwal, 23% de La Patrouille de l’Evénement et 37% de E-Politic. Et à qui appartient Erer ? A Frédéric Chatillon à 99%. Voilà comment, indirectement, Frédéric Chatillon continue de travailler pour la campagne de Marine Le Pen.

    #Linfiltré #PhoneStories #FN

  • Quand Louis Aliot et Gilbert Collard se désolidarisent de Frédéric Chatillon | Droite(s) extrême(s)
    http://droites-extremes.blog.lemonde.fr/2017/02/08/quand-louis-aliot-et-gilbert-collard-se-desolidarisent

    M. Chatillon, un ami proche de Marine Le Pen, est un ancien dirigeant du GUD, un groupuscule étudiant d’extrême droite radicale. Ce proche du polémiste antisémite Alain Soral et de l’humoriste Dieudonné est un soutien inconditionnel du régime syrien de Bachar Al-Assad. Dirigeant de la société Riwal, qui a longtemps été le prestataire des campagnes du FN, il se rend aujourd’hui régulièrement au siège de campagne de Mme Le Pen, et aurait, selon un dirigeant du parti, « une vision large sur la communication » de la candidate à la présidentielle (aucun organigramme de l’équipe de campagne n’a été rendu public).

    Collard : « Frédéric Chatillon, je ne le connais pas »

    #FN #Linfiltré #PhoneStories

  • Comment Frédéric Chatillon règle les factures du Front National
    http://lahorde.samizdat.net/2014/04/24/comment-frederic-chatillon-regle-les-factures-du-front-national

    Rue89 le 23 avril 2014 a décidé de consacré un article à un pauvre petit patron, Eric Caucheteur, qui a eu la bonne idée de vouloir faire un peu de business avec le Front National, via la société de communication Riwal, propriété de Frédéric Chatillon, ancien chef du GUD. Tout allait bien jusqu’au jour où [&hellip

  • Activisme et business : l’engagement pro-Assad des proches de Marine Le Pen - Page 2 | Mediapart
    http://www.mediapart.fr/journal/france/050913/activisme-et-business-lengagement-pro-assad-des-proches-de-marine-le-pen?p

    Dans l’entourage de Marine #LePen, certains travaillent même avec le régime syrien. Comme son conseiller officieux Frédéric Chatillon. « Vieux pote de faculté » de la présidente du FN, cet ancien chef du Groupe union défense (#GUD) a été prestataire de sa campagne présidentielle 2012, avec sa société de communication Riwal. Ces dernières années, cette même société #Riwal a perçu entre 100 000 et 150 000 euros par an du régime syrien, pour gérer sa communication. 

    Officiellement, des opérations de communication et de marketing qui concernaient le ministère syrien du tourisme et la promotion du pays. Frédéric Chatillon a notamment organisé la visite du ministre du tourisme, Saadallah Agha al-Qalaa, à Paris, en 2008. Riwal a aussi ouvert un bureau à Damas pour démarcher les sociétés et les institutions syriennes cherchant à s’implanter en France. 

    Ces affaires ont fait l’objet d’une enquête de la brigade financière (close en avril 2012) pendant plus d’un an, comme l’avait révélé Mediapart. Les prestations ont été payées par virements de l’ambassade de Syrie en France. Ces flux financiers, provenant du compte Crédit lyonnais de l’ambassade, auraient été à l’origine de l’investigation. 

    « La #Syrie, c’est un client », expliquait Frédéric Chatillon à Mediapart, en juillet 2012, réfutant tout « cadeau du régime » mais aussi toute « dimension politique ». Pourtant, cette dimension ressort clairement de ses visites en Syrie. À l’été 2006, Chatillon accompagne l’ex-FN Alain Soral et Dieudonné – « un pote » – à Damas.

  • Dutch probe sends warning to firms abetting Israel’s crimes
    http://electronicintifada.net/content/dutch-probe-sends-warning-firms-abetting-israels-crimes/12462

    This week sees the conclusion of a three-year criminal investigation into the Dutch crane company, Riwal, accused of complicity in war crimes and crimes against humanity in the occupied West Bank. The case is unprecedented as it is the first time a company has been criminally investigated for involvement in the Israeli occupation.

    Although the case has not resulted in a prosecution, it is nonetheless an important step for those seeking justice for human rights abuses committed against Palestinians. The case sends a clear message to the corporate sector: complicity in Israel’s occupation potentially carries the risk of criminal prosecution.

    The case started with a complaint submitted to the Dutch prosecutor by the Palestinian human rights organization Al-Haq in March 2010. The complaint documented the involvement of Riwal’s cranes and aerial platforms in constructing Israel’s wall and illegal settlements in the West Bank. It prompted the prosecutor to launch a large-scale investigation into the company’s activities, including a raid on company headquarters in September 2010.