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  • The Banned 1910s Magazine That Started a Feminist Movement in Japan - Atlas Obscura
    https://www.atlasobscura.com/articles/bluestockings-feminist-magazine-japan-sassy

    It was close to 10 p.m. on a spring night in Tokyo in 1912, when Kazuko Mozume heard a dog barking behind her father’s house. It would not stop. At the back gate, she found three men waiting for her, a policeman and two others. They didn’t say what they wanted, they only asked her if this was the office of Seitō, the women’s literature magazine she had started with four other young women.

    She led the men through the large house and down the long corridor to the rooms that served as the magazine’s headquarters. The men looked around and spotted just a single copy of the magazine’s latest issue. They seized the publication and, as they were leaving, finally told the surprised young woman why they had come. This issue of Seitō had been banned, they told her, on the grounds that it was “disruptive of the public peace and order.”

    The young women who had created the magazine less than a year before had known it would be controversial. It was created by women, to feature women’s writing to a female audience. In Japan in 1911, it was daring for a woman to put her name in print on anything besides a very pretty poem. The magazine’s name, Seitō, translated to “Bluestockings,” a nod to an unorthodox group of 18th-century English women who gathered to discuss politics and art, which was an extraordinary activity for their time.

    They fell in love, they indulged in alcohol, they built careers as writers, and they wrote about it all—publicly.

    But Seitō was not intended to be a radical or political publication. “We did not launch the journal to awaken the social consciousness of women or to contribute to the feminist movement,” wrote the magazine’s founder, Haruko Hiratsuka, who went by the penname Raichō, or “Thunderbird.” “Our only special achievement was creating a literary journal that was solely for women.” Raichō was most interested in self-discovery—“to plumb the depths of my being and realize my true self,” she wrote—and much of the writing in the magazine was confessional and personal, a 1910s version of the essays that might now be found in xoJane or Catapult.
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    Women’s feelings and inner thoughts, however, turned out to be a provocative challenge to the social and legal strictures of this era, when a woman’s role was to be a good wife and mother. The Seitō women imagined much wider and wilder emotional and professional lives for themselves. They fell in love, they indulged in alcohol, they built careers as writers, and they wrote about it all—publicly. The stories were radical enough that the government censored them. The story that prompted policemen to visit the magazine’s office late at night was a piece of fiction about a married women writing to her lover to ask him to meet her while her husband was away.

    As they attracted public attention and disapproval, instead of shying away from the controversy they’d created, the editors of Seitō were forced to confront more baldly political questions, and this in turn earned them more banned issues. In the pages of their magazine they came to debate women’s equality, chastity, and abortion. Without originally intending to, they became some of Japan’s pioneering feminists.

    #féminisme #historicisation #suffragisme

  • Grand Paris de l’eau : à la guinguette avec André Santini (5-6)
    http://www.eauxglacees.com/Grand-Paris-de-l-eau-a-la,1754

    Le colloque organisé à Saint-Maur-des-Fossés les 7 et 8 juillet dernier, à l’initiative du Syndicat Marne Vive et de la Métropole du Grand Paris, officiellement dédié aux enjeux de la GEMAPI et à la lutte contre les inondations, illustrait surtout l’agenda très politique d’un « Grand Paris de l’eau » qui défraie la chronique depuis plusieurs années. Mme Patricia Blanc, depuis peu DG de l’Agence de l’eau Seine Normandie, et ex-directrice de la Prévention des risques au ministère de l’Environnement dressait (...)

  • Campaign To Sell Israel With ’Hotties’ Reaches New Low
    http://forward.com/opinion/329247/campaign-to-sell-israel-with-hotties-reaches-new-low

    ... selling Israel with sex has become a strategy that many groups are doubling down on. TIP’s little slip-up here falls neatly in line with other blindly pro-Israel ad campaigns like the one that was devised by the ad agency Seiden for ReThink Israel, one of Sheldon Adelson’s pet projects. The avowed mission? To appeal to “stuff 18- to 24-year-olds care about. Like surfing, beer, hotties, style, music and changing the world. Except they’re all — that’s right — in #Israel.”

  • Ah ! Combien de fois j’ai entendu cela... « ils disent qu’ils sont pauvres, mais vous avez vu les smartphones qu’ils ont ? Moi j’ai pas cela, hein ? »

    Non, les smartphones des migrants qui arrivent en Europe n’ont rien d’un luxe

    En Autriche, les smartphones sont devenus le symbole des supposées largesses du système social avec les réfugiés. Une petite musique monte sur les réseaux sociaux : pendant que les contribuables payent pour leur pension et leur logement, les migrants s’offriraient de coûteux téléphones.

    http://m.slate.fr/story/105425/pourquoi-migrants-ont-smartphones
    #smartphone #réfugiés #asile #migrations #luxe #téléphone
    cc @albertocampiphoto

  • RSA : De la brutalité d’un Conseil Général, celui des Hauts de Seine, le plus riche de France. - Paris-luttes.info
    https://paris-luttes.info/de-la-brutalite-d-un-conseil-2140

    N’ayant pas reçu mon AVIS DE CHANGEMENT DE DOMICILE, la CAF des Hauts de Seine vient de me priver de RSA.
    J’avais pourtant télédéclaré mon changement d’adresse et de département au mois de mai (cf.photo), mais nenni, dans les HDS, on en a cure.
    La CAF des Yvelines aurait dû m’envoyer cet AVIS pour que je le renvoie à celle du 92 mais rien... Aucun message, aucun courrier ne m’ont averti de la cessation prochaine du versement de mes prestations ou de son motif.
    C’est en appelant la CAF qu’une agent m’apprit les raisons de ce divorce en précisant qu’il fallait que je refasse valoir mes droits en téléchargeant une « demande de prestations » à leur envoyer, une fois remplie. C’est à dire ré-informer la CAF du 92 de ce qu’elle sait déjà... Le site de cette CAF indique avoir pris connaissance de mon courrier le 18 novembre et ma demande de survie sera scrupuleusement étudiée sous quinzaine, c’est à dire vers la fin de... la première semaine de Décembre... Or à ce jour le 9 décembre 2014 toujours rien !
    Quand il s’agit de priver de ressources un « encombrant social », ces technocrates de choc ne sont jamais à court d’idées : l’autre coup de vice consiste à placer sur la page de l’allocataire un message intempestif indiquant que les prestations ont été interrompues et en même temps, de signaler que ce message est une erreur d’information due à une erreur technique...(cf. photo)

    #vie_quotidienne #précarisation #arbitraire #austérité

    • C’est curieux de renforcer la merde dans laquelle les gens sont déjà, ça m’étonne pas des Hts de Seine qui est le Dpt le plus riche de France et celui qui a la plus grosse mafia issue de la bande à Pasqua.
      Et aussi de la difficulté à déménager quand on est au #RSA, ce qui est un comble dans un pays où le gouvernement prône la flexibilité.
      #administration_française #bureaucratie #pauvreté

    • Les départements de gauche sont tout aussi soucieux de faire des économies sur le dos des RSAstes, certains allant même jusqu’à planifier les radiations (dites pudiquement « suspensions »).

      en Ariège
      http://cafca09.noblogs.org

      à Paris
      https://paris-luttes.info/compte-rendu-de-l-action-non-aux

      Et ils ont une argumentation toute prête pour le faire en toute bonne conscience, comme le disait Jospin (avant N.S), ils préfèrent « une société de travail à l’assistance ».
      De plus, pour ce qui est du rapport maffieux à la politique, depuis 1981, on a pu voir ce que cela donnait. L’affairisme n’est en rien le monopole de la droite de droite, il prévaut aussi chez la gauche de droite, on le constate chaque semaine avec les démissions liées au gvt Hollande-Valls. On a affaire à des corrupteurs (leur usage de la langue, leurs valeurs de pacotille) qui sont aussi des corrompus. Avec ou sans illégalité.

    • Oui oui, on peut aussi taper et trouver des preuves de corruption à gauche, aucun souci pour ça, pas loin d’ailleurs avec Catoire à Clichy (92).
      La différence c’est que l’article parlait des Hts de Seine, d’autant que les procédés de la mafia du 92 ont gagné toute la politique française, introduits le bling bling, les perspectives flippantes de société sécuritaire (labo de vidéosurveillance, réunion de la DST et et autres espionnages intérieurs) et que même un président en venait !
      Sans parler des modes de pression pour faire taire les opposants, parfois justement au RSA …

    • Euh, taper, je sais pas, il ont un SO hargneux et la police avec eux. Mais le fait est, par exemple, que le secrétaire général du PS, Cambadélis, l’"architecte de la gauche plurielle", est l’un de ceux qui a siphonné les caisses de la MNEF, que les « prises illégales d’intérêt » ne se comptent plus parmi eux, pas plus que l’évasion et la fraude fiscale. Ils vont au bout de ce qu’ils peuvent, parfois avec une grande naïveté, une certitude de ne pouvoir être découverts. Et cela à la fois sur le plan légal et illégal.

      Depuis les années 80 entreprise et fric sont le valeurs cardinales de cette société, et ils ont activement contribué à ça (nommer Tapie ministre, etc.).

      Pour mémoire un extrait d’un tract de 1998, « À gauche poubelle, précaires rebelles », quand « l’intègre » et « de gauche » Lionel Jospin (selon ce que dit la presse à l’occasion de sa nomination au conseil constitutionnel...) était premier ministre
      http://www.ac.eu.org/spip.php?article491

      Lorsque Jospin dit que la société doit être fondée sur le travail et le refus de l’assistance, cela signifie que les visites domiciliaires, les radiations, les convocations vont être multipliées. À la répression qui a frappé nombre d’actions
      collectives ces dernières semaines, il faut, pour les tenants de l’ordre social, adjoindre un renforcement du contrôle de tous ceux qui passent par le chômage. Telle est la réponse d’un gouvernement qui sait maintenant devoir compter avec un mouvement, avec des formes d’existence collective qui
      ne lui épargneront pas le conflit sur ces enjeux centraux relevant de la gestion de la vie par l’État.

      Nous ne voulons plus entendre et encore moins laisser passer un discours de solidarité qui prend les pauvres comme alibi pour faire baisser les salaires et aggraver la précarité. Nous ne voulons pas d’une baisse du chômage qui passe par toujours plus de boulots sans intérêt, un développement
      vertigineux de l’intérim, des jobs sous-payés et la flexibilité contrainte. Inventons des formes d’autodéfense sociale à la mesure de l’oppression diffuse organisée par ces technocrates gauche caviardeuse et leur collaborateurs ex-soixante-huitards, experts en contrôle des mouvements sociaux.

      Si chômeurs et RMIstes sont le plus souvent exclus du salaire direct et dépendent de diverses formes de salaire social (allocs, RMI, etc.) parce qu’ils ont un rapport fluctuant à l’emploi, ils sont résolument inclus dans la production de richesses : il n’y a plus aujourd’hui de frontière solide entre temps de travail et temps de vie, plus d’opposition possible entre salariés chômeurs et salariés précaires. Les chômeurs et les précaires qui se forment, utilisent et inventent mille machines productives, tous ceux-là ne reçoivent qu’une aumône misérable ou même carrément rien du tout en échange de leurs multiples implications dans une production de richesses qui
      ne se borne pas à la production de marchandises. Ils n’ont pas la chance de Lionel Jospin qui, lui, a bien eu droit à un salaire du Ministère des Affaires Étrangères de 1993 à 1997 alors qu’il était « en disponibilité ».
      Comme il l’a répondu à ses accusateurs le 20 mai à l’Assemblée Nationale, il a pu profiter de ces années « payé à ne rien faire » pour « agir et faire ».
      Curieusement, le Premier Ministre n’a pas songé à se définir alors comme « un assisté social » et a rejoint avec une spontanéité touchante les chômeurs, scolarisés et précaires qui réclament eux aussi la reconnaissance des formes de production hors-emploi dont ils sont les acteurs

    • Il y a une véritable enquête de fond dans l’article que j’ai mis en lien pour comprendre le fonctionnement et les imbrications de ce réseau, et je pense qu’elle serait à poursuivre pour comprendre les intersections qui lient les tenants du pouvoir politique, de gauche à droite et plus.
      Finalement si tu mets la date de la corruption de la gauche à partir de 1981, ça correspond à l’avènement au trône du mythe_errant, donc dès que la gauche au socialisme recomposé arrive au pouvoir elle se corrompt ? on doit surement pouvoir remonter plus loin historiquement.

  • Le Lobby de l’eau : les documents (1)
    http://www.eauxglacees.com/Le-Lobby-de-l-eau-les-documents-1

    Eaux glacées publie une sélection des très nombreux documents sur lesquels l’auteur s’est appuyé pour rédiger son ouvrage. Trop volumineux pour figurer en annexe du livre, ils permettront à ses lecteurs de mesurer la gravité des faits que relate « Le Lobby de l’eau ». 1 - Chambre régionale des comptes Ile de France, Annexe d’observations définitives, Contrôle exercices 2001 à 2006, Agence de l’eau Seine Normandie, 13 juillet 2009. CRC IdF Rapport définitif AESN, 2009 2 - Les IPEF dans le secteur (...)

  • Après l’Onema, pour le « Partenariat français pour l’eau », l’impunité c’est maintenant !
    http://www.eauxglacees.com/Apres-l-Onema-pour-le-Partenariat

    Des dirigeants et des systèmes d’information défaillants, les rapports de la Cour des comptes se suivent et se ressemblent. Mais rien ne change. Les nouveaux projets de l’agence de l’eau Seine Normandie et de l’Onema, dont les dérives financières et l’indigence des systèmes d’information ont défrayé la chronique, en sont une triste illustration. Et signent depuis quelques semaines le retour aux affaires de l’ex-directeur de l’Onema, M. Patrick Lavarde, nouveau membre du bureau du Partenariat (...)