company:solid

  • Pour qui sommes-nous prêts à payer l’#impôt ?
    https://www.franceculture.fr/emissions/du-grain-a-moudre/pour-qui-sommes-nous-prets-a-payer-limpot


    « Nous devons baisser, et baisser plus vite, les impôts ». Telle est la feuille de route établie la semaine dernière par Edouard Philippe, dans le cadre de la restitution du Grand débat national. Un objectif qui, sauf surprise, sera un des axes des annonces qu’Emmanuel Macron s’apprête à faire ce soir.

    Que la question fiscale soit à ce point mise en avant, voilà qui n’a rien d’incongru : le mouvement des Gilets jaunes est d’abord un mouvement de #révolte_fiscale ; quant au Grand débat, il en a fait un des principaux thèmes de discussions.

    Or que ressort-il de ces dernières, sachant que l’échantillon qui s’est exprimé, pour être conséquent, n’en est pas forcément représentatif de la population ?

    Et bien qu’au-delà de la pression fiscale, c’est le sentiment d’#injustice qui domine, l’idée selon laquelle ce sont les autres et pas soi-même qui bénéficient le plus de la #redistribution des richesses.

    Le consentement à l’impôt en est amoindri. Or c’est ce consentement qui constitue un des socles les plus importants de notre pacte social.

    Alors comment y remédier ?

    Intervenants #Du_grain_à_moudre

    Jérôme Fourquet
    politologue, directeur du département Opinion et Stratégies d’entreprise de l’Ifop
    Anne Guyot-Welke
    porte-parole du syndicat Solidaires Finances Publiques
    Philippe Nemo
    Philosophe, ancien professeur à ESCP Europe

  • #Solid : le projet de l’inventeur du World Wide Web pour reprendre possession de ses #données_personnelles

    On présente souvent Sir Tim Berners-Lee comme étant « l’inventeur d’Internet ». L’homme est en fait l’inventeur du World Wide Web et du langage HTML. Fervent défenseur de la neutralité du net, et d’une certaine liberté face au pouvoir grandissant des GAFA, il vient de lancer un tout nouveau projet dédié à la reprise en main des données personnelles. Le projet Solid vise à décentraliser #Internet, et à reprendre le pouvoir aux GAFA. Cette reprise en main passe par les données personnelles qui sont le coeur du business des géants du web. Si la plateforme arrive à séduire les développeurs, et les utilisateurs, elle pourrait radicalement changer la face d’Internet.

    https://www.blogdumoderateur.com/solid-le-projet-de-linventeur-du-world-wide-web-pour-reprendre-pos
    #protection_des_données

    ping @fil

  • Solid : le projet de l’inventeur du World Wide Web pour reprendre possession de ses données personnelles - Blog du Modérateur
    https://www.blogdumoderateur.com/solid-le-projet-de-linventeur-du-world-wide-web-pour-reprendre-pos

    On présente souvent Sir Tim Berners-Lee comme étant « l’inventeur d’Internet ». L’homme est en fait l’inventeur du World Wide Web et du langage HTML. Fervent défenseur de la neutralité du net, et d’une certaine liberté face au pouvoir grandissant des GAFA, il vient de lancer un tout nouveau projet dédié à la reprise en main des données personnelles. Le projet Solid vise à décentraliser Internet, et à reprendre le pouvoir aux GAFA. Cette reprise en main passe par les données personnelles qui sont le coeur du business des géants du web. Si la plateforme arrive à séduire les développeurs, et les utilisateurs, elle pourrait radicalement changer la face d’Internet.

  • Tim Berners-Lee veut redonner aux internautes le contrôle sur leurs données, Actu
    https://business.lesechos.fr/entrepreneurs/actu/0302343149198-tim-berners-lee-veut-redonner-aux-internautes-le-con

    « Le Web est devenu une machine produisant de l’injustice et de la division, influencée par des forces puissantes qui l’utilisent pour imposer leurs propres agendas. » C’est avec ce constat que Tim Berners-Lee, l’un des inventeurs du Web, a annoncé vendredi le lancement d’Inrupt, une nouvelle start-up dédiée à redonner aux internautes le contrôle sur leurs données, dans laquelle il est directeur technologique. « Dévasté » par les récents scandales sur la vie privée impliquant des géants du Web comme Facebook , le chercheur britannique a décidé de prendre un congé sabbatique du MIT et de diminuer son implication dans le World Wide Web Consortium (W3C), l’organisme en charge d’élaborer les standards du Web, pour se consacrer entièrement à ce projet.

    Celui-ci vise à développer une communauté de développeurs autour d’une nouvelle architecture open-source que Tim Berners-Lee a mis sur pied au cours des dernières années au MIT. Baptisée Solid, celle-ci inverse « le modèle actuel où les utilisateurs donnent leurs données personnelles à des géants du numérique », explique-t-il dans [[https://medium.com/@timberners_lee/one-small-step-for-the-web-87f92217d085?source=user_profile---------2------- .

    Avec Solid, chaque individu garde le contrôle sur ses contacts, ses photos, ses données bancaires ou de santé. Il les conserve dans un ou plusieurs portefeuilles numériques, surnommés des « pods », et choisit où les stocker - sur ses terminaux ou sur le serveur d’un fournisseur - et à quelle application y donner accès. Avec ce système, la portabilité des données n’est plus un problème : différentes applications peuvent accéder aux photos de vacances ou aux playlists musicales d’un internaute au même moment s’il décide de leur donner accès à son « pod ».
    Stade expérimental

    Tim Berners-Lee a décidé il y a un an de créer une entreprise pour obtenir les ressources nécessaires pour accélérer le projet. Il s’est associé à John Bruce, un entrepreneur dont la dernière société a été rachetée par IBM, qui occupe le poste de directeur général. La société a levé « quelques millions de dollars » auprès de Glasswing Ventures, un fonds qui avait investi dans sa précédente entreprise, raconte-t-il. Elle se prépare à un nouveau tour de table pour lever plus d’argent.

    Pour le moment, la plateforme en est encore à un stade expérimental. Son succès dépendra de sa capacité à attirer des développeurs prêts à construire des applications pour la plateforme. Les incitations financières pour le faire sont minimes aujourd’hui, la collecte des données étant centrale au business model des services les plus utilisés, qui se rémunèrent via la publicité ciblée.
    Vers un modèle payant

    Solid semble plutôt imaginer un modèle payant, où les internautes accepteraient de payer pour des services respectueux de leur vie privée. John Bruce souligne aussi que ce système privilégiant le stockage de données au sein d’un même « pod » pourrait au final éviter les silos et donner aux codeurs « l’accès à une masse de données plus large qu’aujourd’hui, permettant de développer des nouveaux services ». Des entreprises s’y intéressent pour mieux exploiter les données enfermées dans les différents logiciels utilisés en interne.

    Inrupt n’est la seule start-up à proposer un projet de ce genre. Mais la majorité des autres sociétés s’appuient sur la blockchain, alors qu’Inrupt repose, elle, sur les standards du Web existants. « Nous ne sommes pas dépendants d’un groupe d’individus consentant aux règles d’un livre de comptes ou de la puissance informatique de mineurs », souligne John Bruce.

    #Tim_Berners_Lee #Inrupt #Solid #Vie_privée

  • Écoutez ce soir la nouvelle face A de l’Écho des Gnous (@echodesgnous), l’émission de radio qui vous explique l’informatique libre !

    • en direct de 19h à 20h sur Radio Campus, 106,6 FM dans la région lilloise, ou via https://campuslille.com sur Internet
    • en différé via le podcast sur https://podcast.grossard.fr

    Au sommaire de cette émission, retrouvez l’actualité du Logiciel Libre, de la sécurité informatique et de la vie privé dans le monde numérique.
    Parmi les sujets du jour : sorties de #Java 11 et #Haiku Beta1, le projet #Solid de Tim Berners-Lee…
    Nous tenterons de degeekaliser le “code de bonne conduite” du projet Linux.
    Et pour finir nous vous annoncerons les prochains évènements à propos du Libre dans la région Lilloise.

    Pendant le direct, vous pouvez poser vos questions à l’équipe :

    • au téléphone : 03 20 91 24 00 pendant les pauses musicales
    • via IRC sur le canal #chtinux du réseau Freenode

    Envie de consulter nos sources et les titres des morceaux diffusés ? Retrouvez les notes de l’émission sur notre wiki :http://wiki.chtinux.org/doku.php?id=echo_des_gnous:emission_178

    #Écho-Des-Gnous #Echo-Des-Gnous #Radio-Campus #Radio-Campus-Lille #Logiciel-Libre #LogicielLibre #podcast #Lille

  • Aucun algorithme, jamais, ne pourra défendre la démocratie - Libération
    https://www.liberation.fr/debats/2018/09/17/aucun-algorithme-jamais-ne-pourra-defendre-la-democratie_1679311

    Pendant les dix dernières années, le combat principal d’activistes, de journalistes, de défenseurs des libertés numériques fut celui visant à limiter l’impact de l’empreinte algorithmique sur nos vies privées et intimes. Ce combat-là est terminé, obsolète et, pour l’essentiel, perdu. C’est un autre combat qu’il nous faut aujourd’hui mener, sur un tout autre front, avec une tout autre urgence et à une tout autre échelle. C’est le combat pour limiter l’impact de l’empreinte algorithmique décisionnelle sur notre vie publique, sur nos infrastructures sociales communes et sur notre destin collectif.

    Corps social

    L’enjeu est de savoir si nous serons capables à très court terme de construire une alternative qui, après le temps numérique de la « désintermédiation » des vingt dernières années, sera celle de formes de remédiations algorithmiques respectueuses du corps social et partant de sa partie la plus fragile, la plus pauvre, et la plus exposée. Alors peut-être, et alors seulement, les questions de gouvernance algorithmique pourront commencer d’être envisagées sereinement.

    Hors l’ensemble de ces conditions, nous allons offrir aux générations futures un monde dans lequel le principal problème ne sera pas que Mark Zuckerberg et quelques autres patrons d’industrie se piquent d’être les gardiens protecteurs de nos démocraties mais qu’ils soient effectivement les seuls encore en position de l’être, tout en n’ayant eux-mêmes qu’une idée très vague et très approximative de la manière de s’y prendre et des chances d’y parvenir.

    Il ne s’agit pas simplement de fake news et de libre arbitre. Il ne s’agit pas simplement de la liberté de l’information ou de la liberté de la presse. Il ne s’agit pas simplement d’algorithmes, de plateformes, d’Etats et de nations. Il ne s’agit pas simplement d’intelligences humaines et d’autres « artificielles ». Il s’agit de la liberté des peuples. Il s’agit de la liberté tout court.

    (1) le projet Solid porté par Tim Berners Lee pourrait en être une première approche.

    Olivier Ertszcheid est l’auteur de l’Appétit des géants (2017, C&F éditions).

    #Olivier_Ertzscheid #Intelligence_artificielle #Algorithmes #Démocratie

  • The doctor responsible for gene therapy’s greatest setback is sounding a new alarm - MIT Technology Review
    https://www.technologyreview.com/s/610141/the-doctor-responsible-for-gene-therapys-greatest-setback-is-sound

    James Wilson of the University of Pennsylvania reported this week that monkeys and pigs given super-high doses of gene therapy died or suffered disturbing behavioral changes.

    “What is remarkable is we have not seen it before,” says Wilson. “We were surprised but shouldn’t have been. If you push the dose of anything high enough, you are going to see toxicity.”

    The warning comes amidst a scramble by three companies—Sarepta Therapeutics, Pfizer, and Solid Biosciences—to be the first to use the technique to cure muscular dystrophy. That disease strikes young boys, destroys their muscles, and kills them by their 20s.

    To attack the disease, researchers replace patients’ damaged copies of a gene called dystrophin by introducing viral particles that carry a correct copy. Reaching the countless muscle cells in a boy’s body requires extremely high doses of these particles—400 trillion or more per pound of body weight.

    R. Jude Samulski, who studies viral gene therapy at the University of North Carolina and is involved with Pfizer’s project, says that because Wilson’s viruses were slightly different from those being used in trials, it is not known whether his findings apply to the studies under way.

    However, Samulski says the mixture of scientific ambition, technological advances, desperate patients, and potential financial windfalls could be combustible.

    “It would be very naïve for our community to assume we won’t have toxic effects,” he says. “People get comfortable, saying, ‘Hey, let’s do it—there is nothing lose.’ Well, it’s out there waiting. But when it’s going to happen, why it’s going to happen—nobody knows.“

    #Médecine #Gene_therapy #Thérapie_génique #Néolibéralisme

  • Tueurs du Brabant : après 32 ans de sabotage de l’enquête, enfin une percée ? Solidaire - Herwig Lerouge - 22 Octobre 2017
    http://ptb.be/articles/tueurs-du-brabant-apres-32-ans-de-sabotage-de-l-enquete-enfin-une-percee

    Herwig Lerouge était, dès 1985, l’un des premiers à avancer la piste que, derrière les Tueurs du Brabant, qui semaient la terreur en Belgique à l’époque, se cachait une cellule d’extrême droite au sein du groupe Diane, unité d’élite de la gendarmerie. Aujourd’hui que cette piste semble se confirmer, il fait le point. Après 32 ans de sabotage de l’enquête sur un des plus grands crimes politiques dans l’histoire de la Belgique, va-t-on enfin avoir une percée ?


    Une du journal du PTB, Solidaire, du 20 novembre 1985. Déjà à l’époque, la piste d’un lien avec la gendarmerie était évoquée.

    Il y a 32 ans déjà, le PTB, son journal Solidaire et certains journalistes l’avançaient comme la piste la plus sérieuse : derrière les Tueurs du Brabant se cache une cellule d’extrême droite au sein du groupe Diane, le corps d’élite de la gendarmerie à l’époque. Pour rappel, ce groupe a été responsable de la vague de terreur qui a fait 28 victimes aux abords des grands magasins Delhaize et Colruyt et terrorisé toute la population dans les années 1980.

    Comme l’a révélé la presse durant le week-end des 21 et 22 octobre dernier, un ancien gendarme de cette unité spéciale Groupe Diane, décédé il y a deux ans, aurait avoué à son frère, sur son lit de mort, avoir été « le Géant » de la bande. La haute taille du gendarme correspondrait à celle du « Géant », et une blessure au pied qui lui avait valu une incapacité de travail pendant les tueries du Brabant pourrait correspondre à une caractéristique du Géant observée par des témoins : il boitait lors de la tuerie d’Alost. Les enquêteurs pensent aussi pouvoir identifier maintenant d’autres membres de la bande, tous des gendarmes, ex-membres du groupe Diane.

    Beaucoup d’indices qui pointent dans cette direction
    Or cette piste des gendarmes d’extrême droite a été qualifiée à l’époque par le ministre libéral de la Justice Jean Gol (MR) et par le procureur de Nivelles, Jean Deprêtre, en charge du dossier comme « de la fiction de roman policier ».

    Pourtant, tant la façon de procéder des Tueurs que certaines informations sérieuses disponibles et le contexte politique à ce moment-là pointaient dans cette direction. Les membres de la bande n’étaient pas intéressés par le butin. Les primes de 5 et 10 millions offertes pour obtenir certaines infos auraient dû éveiller la convoitise des indicateurs du milieu. Il n’en était rien…

    Ces bandits semblaient agir à leur aise, comme s’ils n’avaient rien à craindre. Les attaques étaient menées de façon militaire. Des spécialistes sont très vite arrivés à la conclusion que certaines techniques utilisées par les tueurs — entrée et sortie des véhicules, progression déployée de manière à couvrir tous les angles de tir possibles, « tir croisé » — étaient enseignées dans les unités spéciales de plusieurs armées et de certains services policiers d’intervention.

    En outre, après leurs crimes, les Tueurs se plaçaient en embuscade pour attendre les policiers qu’ils prenaient sous un tir croisé. Les crimes semblaient gratuits. Le butin ne les intéressait visiblement pas. La motivation n’est pas de voler mais bien de tuer, de terroriser.

    Stratégie de la tension
    Les Tueurs du Brabant auraient-ils agi dans le cadre de « la stratégie de la tension », comme on l’a vue en Italie et en Allemagne ?


    De nombreux autres éléments sont venus confirmer cette hypothèse : des (ex-)membres du groupe d’élite Diane avaient des liens avec des organisations fascistes belges et des agents américains. On était au milieu des années 1980, au sommet de la Guerre Froide et de la course aux armements. Washington et le monde politique pro-américain en Belgique s’inquiétaient à l’époque de la montée du mouvement contre l’installation en Belgique des missiles nucléaires visant l’Union soviétique. Des centaines de milliers de pacifistes manifestaient pour s’opposer à ce type de menace. Les attaques des Tueurs du Brabant ont semé la panique et préparé le terrain pour un renforcement sans précédent de la gendarmerie. Et les missiles ont été installés.

    Le fait que des forces de répression à l’intérieur des États provoquent sciemment des attentats a été appelé la « stratégie de la tension ». Il a ainsi été prouvé qu’en Italie, dans les années 70 et 80 (voir le terrible attentat de Bologne en 1980), cette stratégie a été utilisée par l’extrême droite liée aux services secrets italiens et américains.

    Même l’Allemagne semble ne pas avoir été à l’abri de bien curieuses menées américaines. Dans un livre publié en septembre 1998, Andreas von Bülow, qui fut secrétaire d’État à la Défense à Bonn (de 1976 à 1980) puis ministre de la Recherche (de 1980 à 1982), affirme que « les services secrets américains ont influencé, sinon dirigé partiellement ou complètement tout le terrorisme européen ». L’Italie, l’Allemagne… pourquoi pas la Belgique ?

    Pas de coupable, mais une gendarmerie renforcée
    En Belgique, aucun des coupables des Tueurs du Brabant n’est aujourd’hui sous les verrous. La plupart des suspects sont morts ou à l’étranger. Dès le début, le procureur Deprêtre de Nivelles a bloqué la piste de l’extrême droite. Le sommet de la gendarmerie a protégé les gendarmes suspects. Deux commissions d’enquête parlementaires n’ont trouvé aucun coupable. Mais ont abouti au renforcement de la gendarmerie.

    Le nom du « Géant » dont il est question aujourd’hui est déjà apparu dans l’enquête en 1999, après la diffusion d’une série d’affiches présentant des portraits-robots des présumés tueurs. Le fait qu’il était un ancien du Groupe Diane était un autre élément interpellant, qui rendait son profil plausible. Il était membre d’un « practical shooting club », une technique utilisée par les Tueurs et apprise dans des stands de tir fréquentée par plusieurs gendarmes d’extrême droite. Selon son dossier médical, il avait pris congé chaque fois pendant les vagues d’attentats de la bande en 1985.

    Pour éviter les oubliettes
    La raison pour laquelle cette potentielle piste n’a pas été poursuivie est un mystère. Ou peut-être pas.

    On devra se demander comment certains, dans la police et ailleurs, ont fait que cette enquête soit systématiquement détournée de la seule piste crédible.

    On pourra, dans les jours qui viennent, dresser la liste de toutes les décisions mystérieuses dans cette enquête, de toutes les interventions politiques pour détourner les enquêteurs de cette piste de la terreur d’extrême droite pro-américaine.

    Suite à ces révélations, on pourra lire avec d’autres yeux les décisions prises suite à ces attentats en faveur du renforcement de la gendarmerie dans le paysage policier. Cette décision a amené, par exemple, à ce qu’une gendarmerie toute puissante monopolise l’enquête sur les enfants disparus, sans transmettre ses infos à la justice. C’est la fameuse opération Othello qui a empêché qu’on arrête Marc Dutroux avant qu’il puisse commettre ses crimes.

    On devra aussi se demander comment certains, dans la police et peut-être la justice, ont pu jusqu’à aujourd’hui faire en sorte que cette enquête soit systématiquement détournée de la seule piste crédible pour enfin découvrir la vérité.

    On devra le faire. Mais, si c’est à travers une troisième commission d’enquête, il faudra que celle-ci soit composée d’une autre façon que les deux précédentes, qui n’ont abouti à rien. Il faudra donner une place aux parents des victimes, qui ont eux-mêmes mené l’enquête contre vents et marées, à des journalistes et des chercheurs qui ont depuis longtemps amassé de nombreux éléments dans cette direction. Il ne faudra pas que les questions qui sont posées, les témoins qui seront invités soient uniquement décidés par les partis politiques traditionnels, qui sont coresponsables de la débâcle que constitue cette enquête. Sinon, une commission d’enquête risque de terminer où de nombreuses commissions de cette sorte ont fini leur vie : dans les oubliettes.

    #espionnage #services_spéciaux #Belgique #police #gendarmerie #judiciaire #attentats #espions #secret #barbouzes #terreur #gladio

  • Long Read: Elites, War Profiteers Take Aim at Syria’s Economic — Syria Deeply
    https://www.newsdeeply.com/syria/articles/2017/09/18/long-read-elites-war-profiteers-take-aim-at-syrias-economic-future

    Despite years of calling for Assad’s removal from power, several European governments are now also looking to gain access to Damascus, diplomatically at least. Two sources close to the Syrian government told Syria Deeply that in the last few months some European states have opened channels with the Syrian government for talks on potentially reopening their embassies. At least one other E.U. state has had channels with Damascus open for roughly two years.

    According to one European diplomat in neighboring Beirut, “the Germans, for example, have had a channel for intelligence-sharing and security with Damascus since at least 2015.”

    But foreign involvement is not the only factor excluding average Syrians from the push to rebuild the economy. Since 2012, the government has passed legislation that largely favor deals with the ruling class – many of which are unrelated to rebuilding what was destroyed during the war.

    In May 2015, Assad issued Presidential Decree 19 allowing all units within the state to form private investment companies. The following year, the government passed the Public Private Partnership (PPP) law, permitting private companies to make deals with the government to manage state assets.

    While this legislation has been promoted as part of a reconstruction strategy, wealthy local businessmen – many with ties to the regime – are already cutting deals with the government for billion-dollar real estate projects that are unrelated to rebuilding efforts. Many of these lucrative development projects are planned for land that the government has expropriated under Presidential Decree 66, passed in 2012, which allows the state to “redevelop areas of unauthorized housing and informal settlements [slums].”

    For example, the government expropriated land in the East Mezzeh district of Damascus – compensating owners very little – and is now selling it off to private companies to build luxury apartments, modern villas, public services and commercial space. The majority of the East Mezzeh project went to the Damascus Cham Private Joint Stock Company, a private company owned by the Damascus governorate, but wealthy businessmen have also recently been included. In August the Aman Group, led by Syrian businessman Samer Foz, announced that it had established Aman Damascus, with a capital of $18.9 million, to build several towers within the project.

    “Reconstruction in Syria is going to breed a thousand Hariris,” said the former Syrian government employee, in reference to former Lebanese prime minister Rafic Hariri. After the Lebanese civil war, Hariri bought much of downtown Beirut though his company Solidere, forcing residents out to redevelop the land into high-rises and luxury apartment buildings.

    “The concern is that they may rig the game in their favor, preventing small businesses and hardworking honest merchants and industrialists from also enjoying a share of the cake,” he said.

    En bref, les Assad et Cie vont s’en mettre plein les poches. #syrie #reconstruction

  • La question féminine dans nos milieux | Lucía Sánchez Saornil
    https://www.infokiosques.net/spip.php?article1411

    Dans cette série de cinq articles publiés entre septembre et octobre 1935 dans le journal Solidaridad Obrera, Lucía Sánchez Saornil, militante anarchiste, fait une critique de l’attitude de ses camarades hommes vis-à-vis des femmes. Elle y expose leurs préjugés machistes, incompatibles avec les aspirations libertaires qu’ils affichent. Source : infokiosques.net

  • [Nantes - 5 avril] retour sur la manif à l’appel des jeunes exilé-e-s
    https://nantes.indymedia.org/articles/37368

    [Manifestation] Ce mercredi, au milieu de l’après-midi, alors que la ville se gonflait de passant.e.s, un cortège prit forme à la croisée des trams. À l’appel du jeune Mouvement des Mineur.e.s Rejeté.e.s Solidaires #Nantes, ce sont près de 300 personnes qui s’assemblent pour défiler dans les rues de Nantes.

    #/ #squat #logement #immigration #sans-papieres #frontieres #/,squat,logement,immigration,sans-papieres,frontieres

  • La KUL aide Israël à améliorer ses techniques d’interrogatoires Solidaire - Robin Bruyère - 11 Décembre 2016
    http://solidaire.org/articles/la-kul-aide-israel-ameliorer-ses-techniques-d-interrogatoires

    Le 26 septembre 2016, une trentaine d’académiciens de la KUL (université catholique de Louvain) ont adressé une lettre ouverte à leur recteur Rik Torfs pour demander l’arrêt d’un partenariat académique avec une université israélienne. Celle-ci sert le gouvernement israélien pour améliorer ses méthodes illégales d’interrogatoires contre des Palestiniens.

    Presque toutes les universités belges ont des liens avec les universités israéliennes (via des partenariats académiques et financements de projets directs et indirects).1 Sachant que certains de ces établissements universitaires sont complices de crimes de guerres et collaborent à leur manière l’occupation, tout partenariat académique avec eux est déjà en soi un problème éthique. Par exemple, la KUL collabore avec l’université israélienne de Bar Illan et ce partenariat sert directement le gouvernement israélien dans sa traque de la résistance palestinienne.


    Le projet « Law Train » est coordonné par l’Union européenne dans le cadre de son plan Horizon 2020, le grand programme européen pour la recherche et l’innovation. Celui-ci contient des partenariats et projets internationaux de recherche, notamment avec Israël. Ce projet, financé avec de l’argent public par les fonds européens à hauteur de 5 millions d’euros, est organisé en collaboration avec les ministères de la Justice et de l’Intérieur de Belgique et d’Espagne, le ministère de la Justice portugais, mais aussi avec le ministère de la Sécurité publique israélien.2 Problème : ce ministère gère notamment la police et les prisons israéliennes. Bien que l’argent soit 100 % fourni par des fonds européens, le projet est coordonné officiellement par l’université de Bar Illan. Les partenaires israéliens reçoivent donc 2,3 millions d’argent public pour ce projet. 

    Lutter contre le terrorisme ou contre la résistance ?
    Le projet consiste en une recherche menée par les psychologues des différentes universités pour améliorer les techniques d’interrogatoires des services partenaires du projet (les services de police, de la justice et des prisons donc). En créant une plateforme virtuelle qui fabrique des prototypes de criminels, les psychologues peuvent tester de nouvelles méthodes d’interrogatoire plus efficaces et les uniformiser sur une base commune, au delà des différentes « culture, législations et méthodes ».3 Ceci afin de mieux « interroger des suspects dans le domaine du crime international ». L’objectif principal, d’après les textes du projet, est de lutter contre le terrorisme. Si la lutte contre le terrorisme en Europe est liée à la lutte contre les mouvements djihadistes et les attentats qu’ils perpètrent, la vision de l’État israélien du terrorisme est tout autre. L’État israélien qualifie de « terroriste » toute forme de résistance de la part du peuple palestinien contre l’occupation et les crimes qu’ils subissent. 

    Les « méthodes différentes » d’interrogatoire et de lutte contre le terrorisme en Israël correspondent par exemple à l’emprisonnement d’enfants de 12 ans pour complicité de terrorisme, le viol et diverses pratiques de torture physique et psychologique condamnées chaque année par les rapports d’Amnesty International, entre autres.
    Le 26 septembre dernier, une trentaine de chercheurs de la KUL ont donc adressé une lettre ouverte à Rik Torfs, leur recteur, pour exiger l’arrêt de ce partenariat. « La KU Leuven est objectivement complice d’une politique qui nie leurs droits les plus fondamentaux aux Palestiniens », expliquent ainsi les signataires de la lettre ouverte. « La police et les forces de l’ordre impliquées dans les prisons israéliennes ont été inculpées à de nombreuses reprises par des institutions internationales comme l’ONU et l’Union européenne, et par des organisations de défense des droits humains comme Amnesty International et Human Rights Watch. Elles sont critiquées pour diverses pratiques violant les droits humains fondamentaux : l’utilisation systématique de la violence, la torture et d’autres violations flagrantes des droits de l’Homme. Le siège de la police nationale est également situé à Jérusalem-Est, occupée illégalement par Israël. La coopération avec eux est contraire au droit international. La coopération avec le ministère israélien de la Sécurité publique et ses organismes d’application de la loi est par conséquent inacceptable d’un point de vue éthique, sinon juridique. »

    Soutenir les droits des Palestiniens
    Depuis son lancement, le PTB soutien la campagne de boycott académique à l’égard de l’État d’Israël (la campagne BACBI). Cet appel, signé par des centaines de professeurs et chercheurs, vise à mener le débat au sein des établissements universitaires pour mettre un terme aux partenariats académiques avec Israël. C’est par la pression et les actions politiques comme le boycott que des États d’apartheid comme l’Afrique du Sud ont fini par être renversés. L’État colonial qu’est Israël se renforce par ses nombreux soutiens extérieurs, notamment en recherche militaire et policière comme le projet Law Train. Ce projet soulève également l’indignation ailleurs, puisque le Portugal s’est retiré depuis lors du partenariat, sous la pression du mouvement de boycott.

    1. « Les liens entre la Belgique et l’occupation israélienne », Katarzyna Lemanska, 2014 • 2. www.law-train.eu • 3. http://cordis.europa.eu

    #KUL #Belgique #Louvain #Israel #union_européenne #fonds_européens #UE #UEF #Université #prisons #psychologue #palestine #torture #viol #police_israélienne #projet_law_train #résistance #partenariat_académique #droits_de_l_Homme #KU_Leuven

    • « Monsieur le Recteur Torfs, les violations des droits de l’homme ne sont pas un sujet de plaisanterie (de mauvais goût) »
      Publié le 14 décembre 2016
      http://www.pourlapalestine.be/monsieur-le-recteur-torfs-les-violations-des-droits-de-lhomme-ne-son

      Le recteur Torfs de la KUL a posté un tweet des plus condescendants à propos d’un article de Solidaire qui critiquait la participation de la KUL au projet de recherche « Law-Train » de l’UE, mis sur pied en collaboration avec une université israélienne et la police d’Israël. Le professeur émérite Herman De Ley réagit par le biais de la présente lettre ouverte.

      Cher et estimé Recteur Torfs,

      N’étant pas moi-même un usager de Twitter, j’ai été informé par quelques lecteurs indignés du tweet que vous avez fait circuler : « “La KU Leuven aide Israël dans ses techniques d’interrogatoire illégales.” Enfin, un peu d’humour dans le journal communiste Solidaire ! », et ce, à propos d’un article de ce périodique concernant la participation de la KU Leuven au projet « Law-Train » d’Horizon 2000.

      Par votre réaction, vous semblez à première vue mettre en doute les inquiétudes justifiées – les faisant même passer pour « ridicules », lis-je dans l’une des réactions – exprimées par certains collègues de votre propre institution. Plus encore, vous suscitez l’impression que la politique israélienne de violation du droit international et des droits de l’homme peut faire l’objet de plaisanteries (de mauvais goût).

      Mais sans doute cela avait-il trait au titre de l’article, « La KU Leuven aide Israël dans ses techniques d’interrogatoire illégales » ? À ce propos, je voudrais vous renvoyer aux « Ethical Guidelines and Ethical Procedures » (Directives et procédures éthiques) élaborées par l’Université coordinatrice de Bar-Ilan et qui engagent tous les partenaires du projet « Law-Train ».

      J’y lis les exigences suivantes : « Chaque partenaire respectera les lois et réglementations des autres pays partenaires participants » (par. 2.4) et « (…) ce concept est fondamental pour l’exécution de Law-Train » (ibid., p. 14). Mais il est possible que cette clause ait échappé aux commissions éthiques de votre université qui ont approuvé le projet. (...)

    • Monsieur Rik Torfs est diplomé en droit canonique, et membre du (CD&V).
      Il a travaillé pour la Roumanie sur les sujet de la protection des minorités religieuses.
      Il a participé aux Assises de l’Interculturalité en 2009.
      C’est dire le boulot qu’il a réussi à y faire

      Un trés sale bonhomme.

  • Essentialismes | Anthropiques.org
    http://www.anthropiques.org/?p=1563

    « La pensée essentialiste, précisait Aron, se définit par deux caractères : elle attribue à tous les membres d’un groupe social, ethnique, historique ou racial des traits qui peuvent, en effet, se rencontrer plus ou moins fréquemment, chez les membres de ce groupe ; elle explique ces traits par la nature du groupe et non par la situation sociale ou les conditions de vie. Quand ce groupe est tenu pour bon, les traits favorables passent pour caractéristiques ; quand il est tenu pour mauvais, seuls les traits défavorables passent pour caractéristiques. Les individus exemptés du mépris qui s’adresse à leur communauté deviennent des exceptions, atypiques » (87).

    • De la nécessité de ne jamais se laisser aspirer intellectuellement par l’adversaire...

      Ce que l’on peut observer, en revanche, c’est une tendance très nette, chez les adversaires du Front national, à essentialiser les électeurs frontistes. Ces derniers seraient, au minimum, traversés de part en part par leur xénophobie, leur « racisme », leur peur ou leur haine. La naturalisation, qui accompagne souvent l’essentialisme, est patente.

      (...)

      Elle montrait que ces élites qui se veulent éclairées n’en continuent pas moins de fonctionner comme n’importe quel groupe humain, de façon ethnocentrique, tendant à se considérer comme les seuls vrais civilisés et rejetant les autres en dehors de la civilisation, du côté de la sauvagerie, de la barbarie ou de la nature (le « moisi », le « rance », le « viscéral »)5.

      (...)Tout se passe, selon ces élites, comme si le vote frontiste n’était pas vraiment un vote, mais une simple expression de mécontentement, ayant des aspects « tripaux ». Bref, une sorte de cri, plus proche de la pulsion que de la raison. Quand on n’insulte pas l’électeur frontiste, on se penche à son chevet, on essaie de comprendre (mais d’une façon qui nous ramène le plus souvent aux vieilles thèses sur les « mentalités hétérogènes »). On propose parfois aussi quelques pistes qui permettraient de le civiliser, un peu comme Jules Ferry prétendait « civiliser les races inférieures ».

    • Pour lutter contre le front national, il faut avoir un discours compréhensible pour l’électorat.
      On a beaucoup trop de politiques qui parlent comme Victor Hugo ( et qui disent des choses trés intéressantes, mais pour qui ? )
      C’est ce que disent ceux qui votent pour le FN, et ils n’ont pas tord.

      Un exemple gagnant, le #PTB en Belgique.
      Il est sorti de son invisibilité lors des dernières élections.
      Extrait de Wikipédia :
      « Suite à son relatif échec électoral de 2003, le PTB a modifié en profondeur ses méthodes de travail et de communication.
      D’une part, le PTB a déclaré qu’il allait se recentrer sur le travail auprès des ouvriers en usine ainsi que sur le travail de terrain dans les communes où il est présent.
      D’autre part, le PTB a déclaré rompre officiellement avec ce qu’il appelle son sectarisme passé afin de se rapprocher des demandes concrètes des citoyens,
      Cela se traduit notamment par la mise en avant de revendications de progrès extrêmement concrètes relatives à la baisse du prix des médicaments, la réduction de la TVA sur les produits énergétiques de 21 % à 6 %, une augmentation du montant minimal des pensions, un meilleur contrôle des loyers ou encore la baisse du coût des sacs poubelles.
      En vue des élections législatives belges de juin 2007, le journal Solidaire et le site du parti ont été refondus pour pouvoir toucher un plus large public.
      Les structures ont de même été ouvertes à une couche plus large de militants. »
      A étudier de prêt, la pédagogie des articles de Solidaire
      http://solidaire.org

  • Mobilisation gagnante pour les femmes de chambre STN des Hôtels Campanile
    http://endehors.net/news/mobilisation-gagnante-pour-les-femmes-de-chambre-stn-des-hotels-campanile

    ❝Lu sur Rebellyon : « Suite à la grève des femmes de chambre dans les Hôtels Campanile de Berges du Rhône et Tassin La Demie Lune Avec cent pour cent de grévistes sur les deux exploitations du groupe Louvre HOTELS, la mobilisation fut exceptionnelle. C est l arrivée d un nouveau prestataire de service (...) Suite aux négociations avec la CNT – Solidarité Ouvrière, la société STN GROUPE s’engage à :

    ✔ payer les heures de grèves ;
    ✔ annuler la clause de mobilité ;
    ✔ payer l’ensemble des heures travaillées ;
    ✔ à accorder deux jours de repos consécutifs aux salariées au lieu
    d’un ;
    ✔ accepter les modifications voulues par les salariées sur les cycles
    de travail ;
    ✔ prendre en charge l’entretien des tenues de travail ;
    ✔ les opérations d’habillage et de déshabillage seront réalisées sur
    le temps de travail ;
    ✔ la société renonce à l’abattement pour frais professionnel...
    Contre l’exploitation et le mépris : la lutte et la solidarité paient ! »

  • Small shareholders in #Solidere mulling lawsuit against board on mismanagement grounds
    http://english.al-akhbar.com/content/small-shareholders-solidere-mulling-lawsuit-against-board-mismana

    Beirut’s central district which is owned by real estate giant Solidere. (Photo: Marwan Tahtah) #Beirut's central district which is owned by real estate giant Solidere. (Photo: Marwan Tahtah)

    Solidere board members are making side profits from being part of companies that do business with Solidere, such as Bank Med and real estate developers, or subsidiary tourist enterprises established in a way that violates the laws related to the company’s scope of work. Small shareholders are disgruntled about this situation as well as the company’s financial results, and some plan to sue on mismanagement grounds.

    Mouhamad Wehbe

    read (...)

    #Economy #Articles #BankMed #Beirut_central_district #Beirut_Waterfront_Development_Company #Joseph_Esseili #Lebanon #Raphael_Sabbagha

  • Un gamepad, clavier, souris qui fait le café sur KickStarter
    http://www.comptoir-hardware.com/actus/peripheriques/24190-un-gamepad-clavier-souris-qui-fait-le-cafe-sur-kickstarter.

    Cet étrange projet vient de San Francisco, sorti tout droit de chez Solid Art Labs. Quand un ingénieur qui aime jouer cherche un moyen de pouvoir tout faire avec un seul périphérique et sans jamais avoir besoin de lever les mains, ça donne le King’s Assembly... [Tout lire]

    #Périphériques

  • Accusations de corruption contre Solidere au Liban
    Lebanon : Sinking Solidere Throws Employees Overboard | Al Akhbar English
    http://english.al-akhbar.com/content/lebanon-sinking-solidere-throws-employees-overboard

    This week, Solidere issued its annual financial report, but failed to mention the company’s employee layoffs or the increasing misappropriation of company funds. Instead, the report is an attempt to polish Solidere’s image as the company shifts its operations from the reconstruction of downtown Beirut to the leisure and entertainment sectors.

    #Solidere
    #corruption
    En contrepoint, 9 ans plus tôt :

    Charges of grand-scale corruption were lobbed at real estate giant Solidere on Tuesday, following a heated annual shareholders meeting, where prominent stockholders lashed out at the core foundations of the multi-billion dollar corporation that has come to symbolize the post-war re-emergence of Beirut.

    http://www.dailystar.com.lb/Business/Lebanon/Jun/23/Solidere-assailed-by-charges-of-corruption.ashx#ixzz2XDIveory

    peut intéresser @mona

  • Clash of the Titans : Solidere Breaks With SODIC | Al Akhbar English
    http://english.al-akhbar.com/content/clash-titans-solidere-breaks-sodic

    After years of partnership and mutual benefiting, Lebanese real estate giant Solidere seeks to distance itself from Egyptian counterpart SODIC as it comes under corruption charges linked to its close affiliation with the Mubarak regime.

    Et ainsi quand un 14 Mars prétend que c’est le 14 mars 2005 au Liban qui a inspiré la révolution égyptienne, évidemment il se moque du monde.