company:sonic

  • [La BAF] concert en soutien aux inculpé.es de Briançon
    https://grenoble.indymedia.org/2018-05-16-La-BAF-concert-en-soutien-aux

    19h30 : repas vegan 21h : concerts avec les 3 groupes suivants : MAUDIT DRAGON - one woman band / Grenoble GOUACHE - indie / Lyon - écouter MONPLAISIR - noise àla Sonic youth / Lyon - écouter Entrée et repas prix libre. Les bénéfices de la soirée seront renversés en soutien aux trois inculpé.es de Briançon, voir ici ou là pour plus d’infos. La BAF 2, chemin des Alpins 38100 Grenoble bus C3 (Eugène Sue) / bus C5 (Stalingrad Alliés) / tram A (Malherbe) / tram E (Louise Michel) La (...)

    #Agenda

    https://gouachelyon.bandcamp.com
    https://monplaisir.bandcamp.com/releases
    https://valleesenlutte.noblogs.org

  • Mon inconscient me laisse en rase campagne
    J’attendais pourtant la suite du feuilleton freudien
    Et que vais-je raconter à McEnroe mardi prochain ?

    Café silencieux
    C’est bien aussi
    Regard au loin

    Échange de blagues
    Avec Émile
    Veiller sur son moral

    Émile parti
    Je monte dans ma chambre
    Et déballe le tableau de Martin

    Je décroche mes deux photographies
    Du Jour des innocents
    Et j’accroche Marie-Louise de Tassis

    Marie-Louise de Tassis
    De Van Dyck
    Réinterprété par Martin

    J’emmène Zoé chez l’orthophoniste
    Je travaille sur les épreuves de Raffut
    À cheval sur deux chaises

    J’emmène Zoé au BDP
    Rizoto pour Zoé
    Mezzé pour mézigue

    Avant qu’on nous serve
    Je donne le début de Raffut à lire à Zoé
    Elle rit de temps en temps, bon signe !

    Et surtout
    Elle confirme
    C’est lisible par elle

    Café
    Retour
    Rangement

    Dans l’attente d’une nouvelle rasade
    De coquillettes de Mathilde
    Je travaille à mes #Flux_détendus_

    Presque un an que je ne travaille plus
    Ni en photographie, ni même à quoi que ce soit
    De numérique. Rouillé. Et indifférent, presque

    Faisant du tri dans mes images
    Je remarque que je n’ai même pas regardé
    Mes photographies des dernières vacances cévenoles !

    De temps en temps
    Le changement de disques (de free jazz)
    Donne un répit au vieux photographe

    Je reçois des nouvelles de Corentin
    Les Montréalais entendront parler
    De Mon Oiseau bleu en août !

    Du coup
    Le connaissant
    Je prends les devants

    J’ai commencé à écrire
    Des tercets sur mon téléphone de poche
    Au cinéma pendant les réclames

    Au début
    Je n’avais
    Qu’une seule lectrice

    Quand elle est partie
    Je me suis senti amputé
    J’ai continué les tercets pour survivre

    Je les écrivais
    Au fil de l’eau
    Téléphone et bouts de papier

    Le soir
    Je rassemblais
    Les extraits

    Après un mois
    De cette collecte
    Je les ai copiés collés dans _seenthis

    Mon Oiseau bleu
    N’a pas de contrainte
    Mais beaucoup d’habitudes

    C’est souvent le récit du rêve
    Qui démarre la journée, ou pas
    Il n’y a pas de règle

    J’ai songé un moment
    En faire une très grande page html
    Mais je ne sais plus faire ce genre de choses

    Quand Mon Oiseau bleu
    Sera fini il rejoindra, tête-bêche
    Les Anguilles les mains mouillées

    Mais je ne sais pas
    Quand ce sera la fin
    De Mon Oiseau bleu

    J’attends le bon moment
    Pour cela
    Un signe, une fin. Naturelle

    Le moment
    De lâcher
    Prise

    Le
    Bon
    Moment

    Le moment
    Propice
    Pour

    Lâcher
    Prise

    F
    I
    N

    Fontenay-sous-Bois, le 18 mars
    En écoutant Downdating
    De Seijiro Murayama

    Fini ?
    Oui
    Fini !

    Mais alors
    Je ne vais plus pouvoir
    Écrire de petits poèmes ?

    Je ne vais plus pouvoir
    Écrire à propos de ces petites
    Et de ces grandes choses qui m’arrivent ?

    Des personnages
    Vont disparaître ?
    Psy, Ego, vous-savez-qui

    Je ne pourrais plus noter
    La grande intelligence de Sarah
    Les surprises d’Émile et les bons mots de Zoé ?

    Je ne pourrais plus
    Chanter les concerts merveilleux
    Ceux du Tracé provisoire et ceux d’ailleurs ?

    Je ne pourrais plus
    Écrire : « Comme dans (tel ou tel film)
    Tu vois ? »

    Je ne vais pas faire
    La chronique de la lecture hier
    Des poèmes de Jim Dine à Beaubourg ?

    Pas davantage
    Celle du concert de Seijiro Murayama
    À Sonic Protest à Sainte-Méry ?

    Et d’y croiser
    Lotus, Isabelle Duthoit
    Et Margaux ? Et d’y être heureux ?

    Pas même
    Je n’y crois pas, demain
    Le concert des Sex Pistols ?

    Merde
    Les Sex Pistols
    Ne seront pas dedans

    Non, il me suffira
    D’être heureux
    Et de ne plus l’écrire en somme

    #mon_oiseau_bleu

  • Sonic, the Most Sincere Hedgehog in the World
    https://medium.com/@siegarettes/sonic-the-most-sincere-hedgehog-in-the-world-754a65eec80d

    Sonic tends to continue on regardless, with the same confidence and bravado only a teenager could have.
    This is his best quality.
    In a world dominated by post-modern thought, irony has become one of our most valuable tools for new media. Whether that’s in a painting, comedy, online headline or endless memes, the modern world has trained us to engage everything with an ironic stance. We mask vulnerability with it, perform an affect of detachment to show that we’re free of naivety. In an environment like that it becomes dangerous to show sincerity. To engage openly and wholeheartedly is a good way to put a target on yourself.
    Sonic the Hedgehog is painfully, wonderfully sincere.
    Sonic is earnest in the way only a teenager can be — where novelty is king and your expectations haven’t yet been weighed down by the cynicism of adulthood.
    Sonic is an emotional reality where every feeling exists at its maximum expression.
    Sonic is exactly the type of character who we’d be told has been tortured for months, only for him to show up making jokes in the next scene.
    “ To live a life of power, you must have faith that what you believe is right, even if others tell you you’re wrong. The first thing you must do to live a life of power is to find courage. You must be ready to reach beyond the boundaries of Time itself. And to do that, all you need is the will to take that first step…”
    Sonic is so earnest it only feels right that his box art has messages telling you to live for the moment, live a life of power — or else you’ll carry regret and watch the Sun laugh at you.
    Sonic runs even faster when powered by friendship — which is so powerful that it causes rock songs to play at every climax.
    Sonic has the power of God and Anime on his side.
    Bring any cynicism or irony to Sonic and it falls apart. Sonic refuses to be anything but earnest or positive in the worst of times. That’s not something we often have time for today. It comes off as shallow, or empty. But when I put that cynicism aside, engaged with the character openly and earnestly, I found that there was a lot I loved, that I’d forgotten. Even more, I found that there was plenty that I’d never seen before, and found fresh things to appreciate.
    There is something deeply comforting about running around in Sonic’s world. Something full of joyous, infinite energy. Finding it just required me to be honest, and let myself care again.

  • Visite dans l’antre poussiéreux du futur Grand Mix - La Voix du Nord
    http://www.lavoixdunord.fr/255185/article/2017-10-29/visite-dans-l-antre-poussiereux-du-futur-grand-mix

    À la fin du mois de novembre, le Grand Mix fermera provisoirement ses portes. La salle de concerts, qui fête ses vingt ans cette année, va pousser les murs. Des travaux d’aménagement d’une seconde salle de concert, d’un bar, de loges, de bureaux... vont avoir lieu dans l’ancien magasin Herrebeau voisin. Petite visite avant travaux.

    Par Anne Courtel | Publié le 29/10/2017

    Que se cache-t-il derrière les panneaux orange et violet qui ornent la façade du Grand Mix depuis des années ? C’est dans le hall d’accueil, par une porte dérobée que les spectateurs du Grand Mix n’ont sans doute jamais remarquée, que commence la visite. Ce fut autrefois un cercle catholique , le cercle Notre-Dame. Le Grand Mix s’installa en 1997 à côté d’une solderie tenue par M. Herrebeau. La cohabitation n’est pas un long fleuve tranquille jusqu’à la fermeture du magasin il y a plus de quinze ans.
    La ville se porte alors acquéreur du site avec déjà dans l’idée de pousser les murs du Grand Mix. En attendant, le site s’endort sur son passé. La lumière passe péniblement à travers des persiennes poussiéreuses. L’espace paraît immense (1 200 m2). On pense immédiatement au film Belgica.
    L’histoire de deux frères, propriétaires d’un café à Gand, qui transforment la friche voisine en salle de concerts.
    Au sous-sol de l’ancien magasin, seront installés les espaces d’archivage, un studio son pour des
    artistes en résidence ou des projets d’action culturelle, et des locaux techniques qui manquent tant
    au Grand Mix.

    Le lieu est à la fois inquiétant et apaisant. On découvre une fresque sculptée de Notre-Dame des
    Anges
    , dont l’église est de l’autre côté de la rue.

    L’objet religieux est non loin de deux immenses affiches publicitaires des années 80. Rappelez-vous en 1981, une jeune femme en bikini mains sur les hanches regardait effrontément les passants en annonçant : « le 4 septembre, j’enlève le bas ».

    Cette publicité mythique et typique de son époque est placardée en 4X3 dans l’escalier de l’ancien
    magasin Herrebeau. Les couleurs sont un peu passées mais l’invective est la même ! « On va tout
    faire pour essayer de garder ces affiches », sourit Boris Colin, le directeur du Grand Mix. Au premier étage, les pigeons font leur propre concert. C’est ici que sera installé le club : une salle de concerts de trois cents spectateurs baptisée le Petit Mix avec un bar et une restauration le midi. « Le but est que les Tourquennois s’approprient aussi le lieu en journée », insiste Peter Maenhout, adjoint à la culture.

    La ville investit un million dans ce chantier.

    « Nous aurons une meilleure visibilité pour les Tourquennois qui pourront juste venir prendre un café en journée. »

    Au second étage, le parquet craque et des lattes se font la malle. Cet étage sera à disposition des artistes avec loges (elles sont actuellement à l’étroit) et cuisines. Un passage vers le Grand Mix seracréé.

    Enfin au dernier étage, l e Grand Mix installera ses bureaux qui sont actuellement rue Saint-Jacques .

    Les pigeons ont encore quelques semaines pour roucouler, les travaux doivent débuter en décembre.

    Des concerts délocalisés
    Le Grand Mix fermera provisoirement ses portes le 30 novembre après le concert Inuït. Pendant dix mois, les concerts seront délocalisés à l’hospice d’Havré (200 places), au théâtre de l’Idéal (670 places debout) ou à la Condition publique à Roubaix (1 200 places). Le premier aura lieu le 24 janvier avec l’Or du commun au théâtre de l’Idéal. « On va passer de 80 concerts programmés par an à 50 cette année-là », annonce Boris Colin.
    En octobre 2018, l’équipe du Grand Mix espère réinvestir la salle historique. Les travaux eux se poursuivront notamment dans le Petit Mix jusqu’en avril 2019. Alors, les quelque trente mille spectateurs annuels du Grand Mix pourront découvrir le nouvel équipement dont l’entrée sera
    toujours place Notre-Dame.

    Trois dates et trois lieux à retenir
    Voici les trois premiers concerts annoncés du Grand Mix « hors les murs ».
    – L’or du commun + guest le 24 janvier à 20 heures au théâtre de l’Idéal à Tourcoing. Ce sera du hip-hop pour cette première.
    – Lee Ranaldo + guest le samedi 24 février à 20 heures à la maison folie Hospice d’Havré de Tourcoing. Ranaldo n’est pas n’importe qui puisqu’il a fondé le groupe Sonic Youth avec Thurston
    Moore.
    – Rejjie Snow+ guest le 16 mars à 20 h 30 à la Condition publique à Roubaix, dans le cadre du festival des Paradis artificiels. Du rap anglais qui n’a rien à envier aux Américains !

    Renseignements : Point d’accueil, 72, rue Saint-Jacques à Tourcoing. Ouvert du mardi au vendredi de 14 h à 19 h et le samedi de 14 h à 18 h. Tel : 03 20 70 10 00.

  • Pratiques artistiques de la cartographie - Colloques et conférences - ESAAix

    http://www.ecole-art-aix.fr/6914-pratiques-artistiques-de-la-cartographie

    wouh ! j’adorerai y être ! Déjà j’aime bien ça :

    « L’espace ne s’apprend pas, il se pratique »

    Dans le cadre du projet de recherche Walking the data, engagé par l’ESAAix depuis quelques années, nous proposons une réflexion autour de l’usage de la cartographie par les artistes. La présence de la carte dans l’art a pris un tour tout à fait nouveau dès lors que les artistes ne se sont plus contentés de les regarder comme des motifs mais qu’ils en ont fait à la fois un espace de création et un « moment » essentiel de la mise en oeuvre de leurs démarches. Les cartes, loin d’être des « objets » autonomes et « séparés », s’inscrivent alors dans des ensembles à la fois épistémiques, techniques et esthétiques, ce qu’on peut appeler des dispositifs cartographiques. Or, voir la carte comme un dispositif, c’est évidemment ce qui est induit par les formes contemporaines de la cartographie, ou plus exactement par le traitement spatial des informations.

    #art #cartographie #espace #territoire #représentation #visualisation

    • Je mets ici le programme parce que la lecture des résumés vaut vraiment le coup :

      Programme

      Jeudi 2 novembre
      9h30 - La carte comme dispositif
      par Jean Cristofol

      Présentation des journées thématiques

      Jean Cristofol enseigne à l’ESAAix, il fait partie du collectif de l’antiAtlas des frontières, il fait partie du laboratoire PRISM (AMU CNRS).
      10h00 - Walking the data, un programme de recherche
      par François Parra, Abraham Pointcheval, Guillaume Stagnaro

      François Parra , Abraham Pointcheval, Guillaume Stagnaro sont artistes et ils enseignent à l’ESAAix.
      10h30 - Le Réel comme matière plastique : caméras et continuum spatio-temporel
      par Caroline Bernard

      Lorsqu’un phénomène est enregistré par une caméra, sa cohérence spatio-temporelle est, dans le même temps, transformée et préservée. Les dispositifs filmiques présentés dans cette conférence tentent, en recourant à l’enregistrement vidéo, de s’approprier le réel comme une matière et de figurer le continuum spatio-temporel. Les artistes déjouent ainsi l’inexorabilité de notre condition spatio-temporelle et tentent de révéler des dimensionnalités inaccessibles autrement. Les films supplantent leur bidimensionnalité originelle pour prendre forme, ils sont des tubes, des ellipses, des anamorphoses jusqu’à devenir parfois des objets préhensibles.
      L’enregistrement vidéo, en s’ancrant dans le territoire, permet aussi une appropriation du temps et de l’espace à une échelle planétaire. La machine de vision est parfois mondialisée, la prise de vue a lieu à distance par l’entremise d’une webcam séparée de l’opérateur par des milliers de kilomètres. Les images deviennent des outils de mesure et de déchiffrement de la planète, les films sont alors de nature géodésique, c’est-à-dire qu’ils contribuent à une mensuration poétique du globe terrestre.

      Professeure à l’école nationale supérieure de photographie à Arles Caroline Bernard est une collaboratrice de la HEAD à Genève. Depuis quinze ans, elle forme avec Damien Guichard le collectif Lili Range Le Chat, basé entre la France et la Suisse. Leurs créations naissent souvent suite à un voyage, à la découverte d’un nouveau territoire, et s’articulent autour des nouvelles formes de cinéma et des images mobiles.
      11h15 - Drones et dragons (et de quelques dispositifs cartographiques)
      par Anna Guillo

      Hic sunt dracones (ici sont les dragons) est une locution latine signalant, sur les cartes médiévales, les lieux réputés dangereux car non cartographiés, peuplés de dragons, de tigres et de lions. En vocabulaire informatique, l’expression est utilisée pour désigner un code source particulièrement complexe au-delà duquel il est téméraire de s’aventurer. Ce que l’on ne connaît pas est donc toujours potentiellement dangereux.
      À partir des travaux menés par le collectif d’artistes Hic sunt (Lucile Bertrand, Katrin Gattinger, Valentine Gouget et Anna Guilló), il s’agira de montrer comment la carte mais aussi la photographie aérienne conduisent à interroger les dispositifs qui permettent de les produire tant du point de vue des outils de capture à proprement parler (appareil photo, application numérique, radar, signal GPS, crayon, verre, céramique, vidéo…) que du point de vue de l’appareil qui les véhicule (ballon, avion, satellite, drone, corps humain, corps animal, bicyclette…). Les productions de Hic sunt explorent ce que les cartes disent des limites de notre monde afin d’offrir une autre manière de l’appréhender, de le ré-ouvrir en interrogeant notamment ces lieux « hautement dangereux » que sont les frontières politiques, spatiales, mentales et langagières.

      Anna Guilló est artiste et maître de conférences à l’université d’Aix-Marseille, rattachée au Laboratoire d’études en sciences des arts – LESA. Co-fondatrice du programme de recherches La Fin des cartes ? Territoires rêvés, territoires normalisés, elle dirige par ailleurs la revue d’art et d’esthétique Tête-à-tête (éditions Rouge Profond).
      www.annaguillo.org
      14h00 - Explorer, s’approprier, réécrire les territoires sonores
      par Elena Biserna

      Les représentations et les pratiques de l’espace – les cartes et les parcours – sont étroitement liées et cette relation devient de plus en plus évidente aujourd’hui, avec l’adoption de masse des technologies locatives. Au cours du siècle dernier, la marche – pratique quotidienne de l’espace par excellence – est devenue pour les artistes un moyen essentiel d’investir et produire l’espace, tout en traversant les frontières disciplinaires et en redéfinissant les contextes de l’art. En considérant la marche comme une plateforme pour entrer en rapport avec le contexte, le territoire, l’urbain, cette intervention explore sa présence et ses usages dans la musique et la recherche sonore pour observer, plus globalement, leur expansion dans le « champ élargi » de la ville et du territoire.

      Curatrice, critique, chercheuse, Elena Biserna est post-doctorante à Locus Sonus, elle fait partie du laboratoire PRISM (AMU-CNRS).
      14h45 - Nicolas Mémain, présentation

      Le témoignage d’un amateur passionné de cartes IGN, submergé par l’accessibilité des SIG depuis 10 ans, vous verrez des atlas d’architectures marseillaises, avant et après Quantum GIS. La maîtrise d’œuvre du GR2013 ; une tentative de crédibilité face aux services techniques institutionnels durant deux années pour le chemin de Grande Randonnée ® homologué le plus rapidement exécuté de l’Histoire. Les superpositions à l’echelle de mes collections de scans de cartes et de photos aériennes fournis par les archives et l’IGN, que j’utilise pour expliquer l’évolution des formes des quartiers que je fais visiter.
      Et peut-être des gifs animés de couvertures Landsat où apparaissent des trajectoires de LGV.

      Nicolas Mémain est artiste marcheur, urbaniste grand prix, marseillologue buccorhodanéologiste provençopolitain, cartographe et montreur d’ours en béton.
      15h30 - Explorateurs des frontières - Cartographier l’expérience
      par Elizabeth Guyon

      « L’espace ne s’apprend pas, il se pratique ». Cette conviction est au coeur du travail de l’artiste Elizabeth Guyon et du projet Explorateurs des frontières réalisé avec les habitants du quartier de Barriol à Arles deux années consécutives.
      Gopro sur la tête, appareil photo, enregistreur et carnet de croquis en main, enfants et adultes ont exploré les frontières de leur quotidien en pratiquant physiquement ces « espèces d’espaces ». Loin des représentations, ils ont restitué au public le résultat de ces explorations par une mise en espace, une sorte de cartographie de leurs expériences, qui orchestrait des médiums très diversifiés.

      Elizabeth Guyon est metteur en scène et designer d’espace. Elle a fondé 1er Siècle, un contre-espace de création qui pousse du milieu, entre les lieux, entre réel et fiction, entre le corps, l’image et l’espace.

      Vendredi 3 novembre
      9h30 - Les systèmes d’information géographique : de l’outil cartographique à l’omniprésence de la géolocalisation
      par Anna Cristofol

      Avec le développement de l’informatique et des technologies de la géolocalisation la cartographie a donné naissance à des objets aux contours flous : les systèmes d’information géographique. La carte devient une des représentations possibles d’une base de données. Mais au delà de la représentation, ces outils offrent un potentiel d’interaction et d’analyse méconnu du grand public. Cartographie et visualisation de données, outil d’analyse ou système d’information : ces systèmes se nourrissent aujourd’hui des technologies du web et des objets connectés, se diffusant toujours plus profondément dans tous les secteurs d’activités. Ils ont envahi notre quotidien, faisant émerger des nouveaux enjeux techniques, sociaux et éthiques. La géolocalisation a transformé profondément notre rapport au monde. Il revient aujourd’hui à la société de se saisir plus largement de ces outils.

      Anna Cristofol est géographe, elle est responsable du département sciences humaines de l’IGN-Ecole nationale des sciences géographiques.
      10h15 - Hétérotopies
      par Fanny Bordier

      L’association M-topia a pour objet de porter des projets d’innovation sociale et culturelle par la conception de dispositifs d’expérimentation, la mise en place de démarches contributives associant habitants, acteurs, artistes et différents secteurs en transversalité. Elle est à l’initiative du projet hétérotopies#1, un parcours sonore conçu sous forme de mise en récit numérique géolocalisée et musicale grâce à une application pour smartphone par les compositeurs néerlandais Jeroen Strijbos, Rob Van Rijswijk et Dyane Donck. Consacré à la forêt, ses évolutions futures liées au changement climatique, et le citoyen comme acteur du changement, cette oeuvre permet de vivre l’histoire racontée en explorant le site emblématique de la Sainte-Victoire en marchant. Grâce à la cartographie de sons et de récits géolocalisés, le public est invité à composer son propre paysage sonore.
      Comment, dans l’optique d’une meilleure connaissance des processus naturels, produire, valoriser, visualiser la donnée scientifique pour qu’elle soit accessible en utilisant la cartographie ?
      Par ce projet comme le prochain dispositif d’expérimentation, M-topia explore des leviers de transformation en jouant avec la perception de notre environnement.

      Fanny Bordier dirige l’association M-topia.
      11h00 - Cartes sonores et environnements virtuels
      par Peter Sinclair

      Depuis l’apparition de google maps et open street maps nous assistons à un foisonnement des cartes en lignes dédiées à des projets spécifiques. Les “sound maps” ou cartes sonores en font partie. Je discuterai de l’état de l’art de cette pratique et de la façon dont elle se combine progressivement avec les espaces virtuels, augmentés et réels. Je décrirai les projets de recherche et les réalisations artistiques traitant de cette question auxquels Locus Sonus est associé : Sonic Lives, DiversCities, NewAtlantis, Echoscape, Mobile tracks…

      Peter Sinclair est artiste. Enseignant à l’ESAAix, il a fondé la laboratoire Locus Sonus. Il appartient au laboratoire PRISM (AMU CNRS)
      14h00 - De l’image à la carte
      par Geoffroy Mathieu

      Mes photographies, représentations du réel, entretiennent avec le lieu qu’elles mettent en image un lien que je travaille spécifiquement pour chaque projet, à travers une série de dispositifs : légendes, titres ou encore cartes. En fonction des séries et de leurs propos, le potentiel documentaire des images est donc plus ou moins sollicité et se concrétise différemment, de l’absence de carte à la géolocalisation numérique sur fond de carte interactive.

      Geoffroy Mathieu, diplômé de l’École nationale supérieure de la photographie d’Arles, vit et travaille à Marseille. Il axe ses travaux sur des questions écologiques ou politiques contemporaines et sur la manière dont elles se concrétisent dans le paysage. À travers des protocoles de parcours (observatoires photographiques du paysage, sentiers périurbains, promenades urbaines), il documente les territoires en mutations, les frottements ville-nature ou encore les résistances poétiques dans les usages des lieux.
      14h45 - Des territorialisations avec la photographie
      par Carlos Casteleira

      Aussi loin que je me souvienne, j’ai cherché à intégrer des espaces à partir du regard sur des lieux et des paysages.
      Qu’est ce que produire des espaces ? Ces lieux peuvent se retrouver sur une carte pour y présenter ou représenter un imaginaire, des projections, du réel …
      Le projet est né à partir de la photographie qui invite d’autres médiums (performance, son, vidéo…) à produire des expériences et des narrations, documentaires ou fictives, sociales ou intimistes, ludiques ou poétique, urbaine ou rurales, toujours politiques. Ensembles ils racontent et inventent des territoires plus ou moins familiers.
      Ainsi le projet « PES | Projet Entre Serras, agriculture et biodiversité / Interaction entre l’homme et les territoires de montagne » participe de cette démarche à l’échelle d’un vaste territoire trans-frontalier.

      Carlos Casteleira est photographe, il enseigne à l’ESAAix.
      15h15 - Le territoire et le paysage à partir du lexique du dessin
      par Francisco Paiva

      Dans cette communication, j’ai l’intention d’énumérer quelques axes thématiques pertinents à la compréhension de la capacité d’interpréter le territoire à partir des options et des méthodes de la représentation graphique. Je partirai d’une liste de thèmes et de concepts communs tels que l’échelle, la planimétrie et d’autres conventions de représentation, cartographiques et opérationnelles, pour traiter des paramètres de nature plus poétique et conceptuelle comme, par exemple, l’espace-temps des lieux, la présence de l’homme en tant que sujet qui voit, inscrit et transforme le sens et le potentiel de la signification des espaces. La capacité des œuvres d’art à évoquer, expliquer et intégrer les formes, les souvenirs et les affections ne peut être dissociée de la contribution apportée au savoir, indexée sur la capacité de voir et de traiter la complexité et l’étendue du monde. Ceci est parallèle à sa constitution comme clés d’accès à tout un ensemble de phénomènes multimediathiques de médiation et de renouvellement de l’expérience.

      Francisco Tiago Antunes Paiva (Covilhã 1973) est professeur adjoint à l’Université de Beira Interior (UBI). Depuis 2011, il est coordinateur scientifique de DESIGNA, Conférence internationale sur la recherche en design. Il dirige le cours de doctorat récemment créé en arts médiatiques à l’UBI

  • Reverse Design: Half-Life
    http://thegamedesignforum.com/features/rd_hl_1.html

    Through the Reverse Design series and other documents, we have already set forward the overall history of videogame design several times. Therefore, for this summary I will try to be as brief and as specific to Half-Life as possible about the overall history of games. We will go into great depth about the history of the FPS, however, because of how relevant it is to Half-Life’s design. For a more in-depth look at videogame design history, you can see the initial article about it, or the first few sections of Reverse Design: Super Mario World, which covers the composite era in greater depth. These shorter overviews will make the bigger picture of game design history much clearer. That said, it isn’t necessary to read them; a synopsis of those articles will follow this introduction. For this book, we’re going to focus on the transition from the composite era into the set piece era, and how that was an inevitable consequence of the collision of Western development techniques with Japanese game design styles. Half-Life straddles the composite and set piece eras in a significant way, and so it makes for a great example of the third great inflection point in videogame design history.

    The history of videogame design, as we understand the field today, began in 1978 with the game Space Invaders. Obviously, videogames had been invented before this, but Space Invaders was the first game to demonstrate the core principle of videogame design. The designer of Space Invaders, Tomohiro Nishikado, was also the lead engineer responsible for building the physical components of the arcade machine. Because of an error in the way he configured the physical setup of the game, the ranks of enemies (the “space invaders” themselves) moved progressively faster as the player cleared the level of them. This meant that every level would get progressively harder toward the end, and then the difficulty would drop off considerably when the next level started. Although this was accidental, Nishikado kept this feature in the game and then embellished it by making the beginning of each level successively (but only slightly) more difficult. You can visualize the difficulty of the game like so:

    Essentially, what Nishikado had done was to treat difficulty as something that could slide up and along an axis. This axis was entirely controlled by enemy behavior, and so we can call it the axis of obstacles—obstacles being the things out of a player’s direct control which stand in the way of victory.

    In the early 1980s, other Japanese designers began to experiment with the idea of another axis, one that actually does deal with an element of player control. This was the axis of abilities, which changed the things that players could do. There were two schools of thought as far as the axis of abilities went in the arcade era. The most obvious interpretation of the axis of abilities was in games like Phoenix, Galaga or Pac-Man which moved player abilities up and down on an axis of greater or lesser power. For example, in Galaga, the multi-ship powerup doubled the player’s firepower.

    But these powers were always just a secret back door into the axis of obstacles. With Galaga, it’s obvious that the designers were simply increasing the ship’s shooting ability numerically—doubling it. It’s not that different than if the developers were to simply cut the number of enemies by a large fraction. In Pac-Man it’s less obvious but still essentially the same design idea. Over time, the duration of the power pellet’s effect gradually diminishes while the enemies only grow in difficulty. Everything the player needs to know about the power pellet involves the duration of its use, which shrinks to nothing as the game goes on. This quantitative focus in powerups is just a back door into quantitative manipulation of the axis of obstacles.

    The other school of thought on the axis of abilities sprang from the work of Shigeru Miyamoto. While most of the games of the early 1980s used powerups as an extra way to manipulate the axis of obstacles, Miyamoto’s first game—Donkey Kong—did something very different. When Jump Man (Mario’s first incarnation) gains the Hammer powerup in Donkey Kong, he loses the ability to jump, but gains the ability to attack enemies. Or, to put it another way, the game temporarily stops being a platformer and starts being an action game.

    Instead of treating the axis of player abilities as another quantitative modifier of game difficulty, Donkey Kong sets up a scenario in which the axis of player abilities is one that moves between genres. In Donkey Kong, this was a very rudimentary idea and probably the product of serendipity rather than a clear plan, but Miyamoto and his team must have gotten the sense that moving between genres within a game would be the design style of the future. The great strength of a game that moved between genres (even if only in a small way) is that the game could present new challenges to the player without always getting quantitatively more difficult. The great weakness of arcade games was that, by constantly pushing up the axis of obstacles, they would lose many players who became frustrated by the skyrocketing difficulty before they could really get into the game.

    In 1985, Miyamoto and his team created the first real composite game, Super Mario Bros. A composite game is a game in which a player can use the mechanics of one genre to solve the problems of another genre. The prototypical example is Super Mario Bros, in which the player can use platforming mechanics (jumping with momentum) to solve action game problems (defeating or avoiding enemies). The secret of a composite game, though, is not just combining two genres, but rather moving between those two genres without ever abandoning either one. Each level in Super Mario Bros “declines” (literally, leans toward) one of the two composited genres while never ceasing to be a combination of both. In the screenshots below you can probably guess whether the levels in question are in the platformer (lots of jumping) or action (more combat) declensions.

    The back-and-forth motion between genres in the composite creates “composite flow.” This is a phenomenon similar to ordinary psychological flow, in that the player becomes immersed in the task and forgets everything else. The unique feature of composite flow is that it is achieved by moving from one genre declension to the other just before the player gets bored or frustrated. All the while, however, the game is continuously getting more difficult. If you were to make a graph of it, it would look something like the figure you see below.

    The axis of obstacles is still the foundation of the composite game; it’s just that instead of the axis of abilities being a mere appendage of the axis of obstacles, it truly acts as another axis. Immediately after Super Mario Bros came out, videogame designers all over the world latched onto the idea of the composite game and started making their own combinations.

    Composite design thoroughly displaced the arcade style of design, and so we call the period from 1985 until about 1998 the composite period, after which point another game design style became equally popular. During this time dozens of different composites flourished, and the practice of composite design advanced considerably. Designers created some truly great composite games through innovative combinations. Mega Man and Metroid both added shooting to platformers to great effect. Sonic the Hedgehog took the Action/Platformer composite of Super Mario Bros and added racing game mechanics. Castlevania added RPG elements to the Mario formula. ActRaiser created an odd but extremely likeable composite out of the Simulation, RPG and Action/Platformer combination. Even after the heyday of composite games, we still see new composites like Portal, which allows the player to solve platforming problems with shooter mechanics, or Katamari Damacy, which is really a racing game that operates by an accelerated RPG level-up system. Half-Life is partly a composite game, involving both the FPS genre and a considerable amount of platforming. The relationship between Half-Life’s composite parts is, in fact, unusually complicated, because Half-Life is both a composite game and a set piece game, and the kind of composite game that Half-Life draws from has some special properties, too.

    One of the most surprising developments of the composite era was the creation of new genres out of old ones. Plenty of games combined two genres in a way that left those two genres apparently intact. For example, everyone can see the way that Mega Man or Metroid alternates between shooter and platform content and sometimes mixes the two. Similarly, the RPG and action elements of The Legend of Zelda are still distinct. In the middle of the composite era, however, composites began to appear where the mix was blurrier. The real-time strategy genre is a good example of this. There are plenty of examples of strategy videogames, but players of the “pure strat” game tend to disdain the RTS as being not really “strategy.” In a certain sense, this is correct because the RTS is quite a bit more than just strategy. Dune 2, the first real RTS, mixed several other genres into the formula. By adding not just action game combat but also Sim-City-style economic simulation, the RTS became its own distinct genre. That new genre didn’t really retain the audiences of any of its composited parts; instead it created a new RTS-specific audience.

    The FPS genre is largely the same. Obviously the FPS is a shooter and shooters go all the way back to the 1970s—but consider how little overlap there is between the hardcore enthusiasts of the FPS and the ’shmup, for example. They’re both shooters, but the audience is different, and that difference stems from the genre composite. The first FPS, Wolfenstein 3D, brought together the aiming and dodging elements of the shooter, but it adopted first-person mechanics, exploration and level design of the CRPG.

  • Sonic Mania ‘Plays Perfectly’ on Linux via WINE
    http://www.omgubuntu.co.uk/2017/09/play-sonic-mania-linux-wine

    An official release of Sonic Mania on Linux is about as likely as the return of the name ‘Robotnik’ — but Linux users don’t have to miss out on all of the fun. The Windows version of Sonic Mania is playable on Linux using WINE — and that’s not just me saying that, that’s a bunch […] This post, Sonic Mania ‘Plays Perfectly’ on Linux via WINE, was written by Joey Sneddon and first appeared on OMG! Ubuntu!.

  • COOKIE MUELLER « FEMALE TROUBLE »
    https://laspirale.org/photo-534-cookie-mueller- female-trouble.html

    Muse de John Waters et de Nan Goldin, cette reine de l’underground fut décrite par le cinéaste comme « un écrivain, une mère, une hors-la-loi, une actrice, une styliste, une go-go danseuse, une sorcière-guérisseuse, une harpie des arts, et par dessus tout, une déesse ».

    Native de Baltimore, une ville ruinée, minée par les conflits raciaux, la drogue et la criminalité, #Cookie_Mueller a croisé sur son parcours chaotique Jim Morrisson, Jimi Hendrix, la Manson Family, Anton LaVey, Basquiat, Keith Haring, les Ramones, Klaus Nomi, Patti Smith, Blondie, Sonic Youth et le photographe Robert Mapplethorpe. Ses écrits cultes, enfin traduits en français, sont publiés chez Finitude, l’occasion de revenir sur la légende de cette icône méconnue.

    Portraits de Cookie Mueller par Nan Goldin, Robert Mapplethorpe, John Waters, Lawrence Irvine, Anthony Scibelli, Don Herron.

    #laspirale


    Cookie in Tin Pan Alley, New York City, 1983
    #photographie #Nan_Goldin http://www.artnet.fr/artistes/nan-goldin/cookie-in-tin-pan-alley-new-york-city-a-fQImYOIP8D1UeutFdmwt2w2
    http://www.artnet.fr/artistes/nan-goldin/3
    “Cochonneries” nouvelle de Dorothy Karen “Cookie” Mueller dans Ladyland - anthologie de #littérature féminine américaine des regretté 13E Note éditions.
    https://laisseparlerlesfilles.com/2014/05/12/ladyland-anthologie-de-la-litterature-feminine-americaine-fut

    Dreamland news is a site devoted to the life and work of filmmaker #John_Waters.
    Here you’ll find the latest news about Waters personal appearances, films, books, DVDs, his vigilant Fans, and a tribute to the one and only Divine.
    http://dreamlandnews.com

  • A l’occasion des 500 ans de la ville du Havre, retour sur l’émergence des scènes rock et punk normandes au tournant des années 1970/80
    https://www.franceculture.fr/emissions/metronomique/normandie-cote-rockeuse

    Du #rock sur france culture, ce n’est pas si fréquent avec en prime une impeccable playlist :

    Marc Minelli : (James please) Take me to America (33 tours Take me to America, 1984)
    Le Havre vu par ses musiciens : extrait du documentaire « Nous, enfants du Rock » de Michel Vuillermet (1992)
    Fixed-up : You can count me in (45 tours You can count me in, 1984, Sonic records)
    Bill Haley and His Comets : Shake, rattle and rock ! (45 tours, 1954)
    Danny Boy et ses Pénitents : Ah quel massacre ! (45 tours Twistez, 1962)
    Little bob story : I’m crying (album High time, 1976)
    Dr Feelgood : Keep it out of sight (album Down by the Jetty, 1975)
    The Ramones : Blitzkrieg Bop (album Ramones, 1976)
    Les Dogs : 19 (45 tours, 1978, figure sur la compilation Nos années punk / 1977-1980)
    Les Dogs : Here comes my baby (maxi 45 tours, 1978, figure sur la compilation Nos années punk ...)
    Les Olivensteins : Euthanasie (45 tours, Fier de ne rien faire, 1979, Mélodies Massacre)
    Fixed-up : Things get better (album Fixed-up, 1984)
    Barracudas : Black Snake (album Endeavour to persevere, 1984, Closer records)
    Le chômage et les difficultés matérielles des musiciens du Havre : extrait du documentaire de Michel Vuillermet « Nous, enfants du Rock » (déjà cité)
    Bad brains : Legends from the end of time (album Legends from the end of time, 1983, Closer records)
    City Kids : Tomorrow heroes (album Third life, 1993)

    http://www.rockinlehavre.com/groupes/croaks
    Une chiée de groupe sur le site #rock_in_le_havre dont les #Croaks germé dans la ville du grand #Little_Bob
    https://www.youtube.com/watch?v=QaKlavkcu7w


    http://www.closerrecords.com

  • #expulsions, #occupations, arrestations.
    http://www.radiopanik.org/emissions/la-voie-sans-frontieres/expulsions-occupations-arrestations-

    Lecture d’un texte d’Hugo Claus

    (1:53) à l’amour comme à la guerre - Philippe Léotard

    -- Retour sur la soirée de solidarité organisée par le JSP (Journal des Sans Papiers) dans le cadre de la Journée de l’Allée du Kaai pour soutenir et récolter des fonds à envoyer aux camarades expulsés suite à la rafle de l’occupation de Molenbeek et d’autres sans papiers arrêtés et expulsés depuis.

    --Discussion autour des arrestations de 19 personnes (aujourd’hui 18 sont relâchés et 1 est expulsé) du groupe gspr qui occupait un bâtiment de l’ambassade marocaine.

    -- Retour sur l’atelier écriture organisé par le JSP à l’occupation Ebola pour donner un espace d’expression. Thème du prochain JSP : les exploitations et les centres fermés.

    (33:44) Tremens - Sonic Youth

    (40:00) Chronique de Célestin

    (44:20) Ô-rage D2Kabal

    (48:16) Agenda (...)

    #sanspapiers
    http://www.radiopanik.org/media/sounds/la-voie-sans-frontieres/expulsions-occupations-arrestations-_03508__1.mp3

  • Les Inrocks - Le concert de Radiohead en Israël fait polémique
    25/04/2017 | 14h47
    http://www.lesinrocks.com/2017/04/25/musique/le-concert-de-radiohead-en-israel-fait-polemique-11937694

    Le concert de Radiohead en Israël ne fait pas l’unanimité. Attendue le 19 juillet, à Tel Aviv, la bande de Thom Yorke se voit critiquée par plusieurs artistes. Selon Pitchfork, Thurston Moore, ancien chanteur et guitariste de Sonic Youth, Roger Waters des Pink Floyd, le groupe de hip-hop écossais Young Fathers, Robert Wyatt co-fondateur de Soft Machine, le réalisateur anglais Ken Loach et beaucoup d’autres (plus ou moins célèbres), ont appelé Thom Yorke, Jonny Greenwood et le reste du groupe à annuler leur concert.

    Une lettre ouverte adressée au groupe d’Oxford a été publiée sur le site Artistsforpalestine.org.uk (en français : artistes pour la Palestine) tentant de les convaincre de rejoindre un boycott culturel, rapporte le site américain. Les auteurs de la tribune invitent Radiohead à réfléchir à leur concert qui aura lieu, selon eux, dans un Etat “où un système d’apartheid a été imposé au Palestiniens.” Ils poursuivent :

    “En vous demandant de ne pas jouer en Israël, les Palestiniens vous implorent de faire un petit pas de plus pour pousser Israël à cesser les violations des droits basiques et de la loi internationale.

    Les signataires de la déclaration s’étonnent des positions de Radiohead en faveur des droits pour le Tibet, mais du maintien de leur performance à Tel Aviv cet été :

    “Nous nous demandons pourquoi vous rejeter une requête à vous soulever en faveur d’un autre peuple qui subit l’occupation étrangère. Il n’y a pas le moindre doute que si s’insurger contre les politiques de division, de discrimination et de haine signifie vraiment quelque chose, cela veut dire qu’il faut s’insurger partout, et cela doit inclure ce qui se passe aux Palestiniens tous les jours.”

    #BDS

  • next Vault 7 episode : « Dark Matter »

    https://wikileaks.org/vault7/darkmatter/releases

    Among others, these documents reveal the “Sonic Screwdriver” project which, as explained by the CIA, is a “mechanism for executing code on peripheral devices while a Mac laptop or desktop is booting” allowing an attacker to boot its attack software for example from a USB stick “even when a firmware password is enabled”. The CIA’s “Sonic Screwdriver” infector is stored on the modified firmware of an Apple Thunderbolt-to-Ethernet adapter.

    “DarkSeaSkies” is “an implant that persists in the EFI firmware of an Apple MacBook Air computer” and consists of “DarkMatter”, “SeaPea” and “NightSkies”, respectively EFI, kernel-space and user-space implants.

    Documents on the “Triton” MacOSX malware, its infector “Dark Mallet” and its EFI-persistent version “DerStarke” are also included in this release. While the DerStarke1.4 manual released today dates to 2013, other Vault 7 documents show that as of 2016 the CIA continues to rely on and update these systems and is working on the production of DerStarke2.0.

    Also included in this release is the manual for the CIA’s “NightSkies 1.2” a “beacon/loader/implant tool” for the Apple iPhone. Noteworthy is that NightSkies had reached 1.2 by 2008, and is expressly designed to be physically installed onto factory fresh iPhones. i.e the CIA has been infecting the iPhone supply chain of its targets since at least 2008.

    #CIA #firmware
    #Vault_7