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  • Les portiques d’aéroport discriminent les passagères racisées | korii.
    https://korii.slate.fr/tech/discrimination-racisme-portiques-aeroport-femmes-noires

    Selon des membres de la TSA, l’agence américaine de sécurité dans les transports, les scanners sont en partie en cause : les portiques sont conçus avec des individus blancs en tête, et ont tendance à sonner quand quelqu’un a les cheveux crépus.

    Interrogé par ProPublica, un agent Texan affirme : « Les alarmes des scanners sonnent plus souvent pour les femmes noires parce qu’elles ont des cheveux plus épais. Elles arborent souvent des dreadlocks ou des tresses. » Et lorsque l’alarme retentit, les agents sont forcés d’effectuer une fouille au corps et de tâter la tête.

    La TSA a indiqué à ProPublica qu’elle étudiait d’autre moyens pour scanner les cheveux, mais réfute toute accusation de profilage racial. Les autres personnes régulièrement touchées sont celles portant un turban ou un voile.

  • Bouteflika sait-il ce qui se passe ? – Salimsellami’s Blog
    https://salimsellami.wordpress.com/2018/11/21/bouteflika-sait-il-ce-qui-se-passe

    Président  Abdelaziz BOUTEFLIKA.
    5e mandat, guerre des clans, succession…                         

    Liberté, 12 novembre 2018

    Pour le moudjahid et ancien condamné à mort, Abdelkader Guerroudj, “notre Président ne s’appartient plus”. Voilà une déclaration qui devrait faire mal. Particulièrement dans l’entourage du Président. Parce que, faut-il le préciser, Abdelkader Guerroudj, un natif de Tlemcen, est connu pour être un des amis les plus proches d’Abdelaziz Bouteflika. Ce n’est, d’ailleurs, pas à son “ami” qu’il s’en prend dans cette nouvelle sortie médiatique. Plutôt à son entourage. “Pour moi, l’État n’existe plus. L’Algérie est un pays qui se perd par la force de voyous qui sont autour de Bouteflika, qui reste un ami. Ceux qui sont autour de lui le fragilisent encore plus, y compris ses frères qui doivent le protéger et le laisser mourir en paix. Il est en train de souffrir à cause de ceux qui n’en finissent pas de se remplir les poches. Je n’en veux pas à Abdelaziz, parce que lui-même ne s’appartient plus”, déclarait, en effet, Abdelkader Guerroudj dans un entretien paru dans l’édition d’hier du quotidien El Watan. Comme en 2015 donc, lorsque ce moudjahid et ancien condamné à mort rejoignait l’initiative du groupe des “19”, afin de demander à rencontrer le Président et de s’assurer que certaines décisions émanaient réellement de lui, Abdelkader Guerroudj épargne, aujourd’hui encore, son “ami” Abdelaziz Bouteflika. À cette différence toutefois : il y a trois ans, le signataire de l’initiative des “19” doutait seulement de la paternité de certaines décisions attribuées au chef de l’État. Aujourd’hui, par contre, il a la certitude, sinon la conviction, que le Président “lui-même ne s’appartient plus”. Et si l’ami du Président est allé, cette fois-ci, jusqu’à pointer du doigt des “voyous qui sont autour de Bouteflika” et à demander à ses frères de “le protéger et le laisser mourir en paix”, c’est qu’Abdelkader Guerroudj entend visiblement alerter sur quelque chose. Avant lui, rappelons-le, une autre amie du chef de l’État, la moudjahida Louisette Ighilahriz, démissionnait, fin octobre, du tiers présidentiel du Sénat. Un acte politique qu’elle avait motivé par son souci de ne pas avoir à “cautionner le cinquième mandat”, ou alors à “défendre un mensonge”. Et les deux anciens combattants, qui ont en point commun une certaine proximité avec le Président, se rejoignent justement sur cette vision : qu’il s’agisse d’un cinquième mandat ou d’un plan de succession qu’on pourrait entreprendre au nom d’Abdelaziz Bouteflika, c’est le même “mensonge”. Parce que, pas plus tard que jeudi dernier, le sénateur du tiers présidentiel et membre de la direction du FLN, Madani Haoud, avait laissé entendre un scénario de succession qui pourrait effectivement avoir lieu au nom de l’actuel Président. Dans sa réplique à l’ancien président de l’APN, et plusieurs fois ministre FLN, Abdelaziz Ziari, qui ne voyait pas dans son parti un potentiel successeur à Abdelaziz Bouteflika, sinon le leader du RND et actuel Premier ministre, Ahmed Ouyahia, le sénateur Haoud tenait ce propos dans le journal électronique TSA : “Notre priorité (au FLN, ndlr), c’est la candidature du président du parti, Abdelaziz Bouteflika, pour un nouveau mandat. Dans le cas où il déciderait de ne pas se représenter, c’est à lui de désigner celui qui devra lui succéder (…).” Une manière, on ne peut plus claire, de dire qu’à défaut d’une reconduction d’Abdelaziz Bouteflika, le plan “B” se fera tout de même en son nom. Et la gravité de la chose réside dans le fait qu’Abdelkader Guerroudj comme Louisette Ighilahriz alertent sur une même situation : “Le Président ne sait pas.”

    Mehdi Mehenni                                                                                 PAR AW · PUBLIÉ NOVEMBRE 12, 2018 · MIS À JOUR NOVEMBRE 15, 2018                                            https://algeria-watch.org/?p=70069

  • Qui prendra le contrôle du FLN, le parti dominant de la vie politique algérienne ? Son secrétaire général arrivé en août 2013 pourrait quitter son poste plus tôt que prévu.

    Toufik / Saïdani / les colonels …etc. : qui mange qui ?
    par Kamel Daoud http://www.lequotidien-oran.com/?news=5193794

    C’est la fin de l’usage de la Métaphore en politique. Celle dont use généralement le régime pour parler des siens, de lui, de ses crises, dans les médias et les salons. Pour une fois, un homme du régime cite nommément l’homme auteur du régime : Saïdani contre le Général Toufik, Père caché du peuple, des années 90, du réel, des chiffres et des Présidents. La charge de Saïdani est si inattendue, si frontale, si directe et si grave que l’on a presque peur : le régime en est venu aux mains entre lui et lui-même. Pour beaucoup, cela implique un futur passage à la violence, une dissension très grave et un manque de consensus qui va passer par la violence pour se résoudre. Le clan Bouteflika, fabricant de cette figure caricaturale qu’est Saïdani, se sent en position de force, se sent mieux et semble être capable de pousser le pays au pire, la guerre, le vide ou l’inconnu pour rester aux commandes. A tel point qu’avant-hier, dans le journal électronique TSA, Saïdani a chargé le général Toufik de presque tous les maux de l’Algérie des années 90 et 2000 et avec le doux prénom de « Si Ali » pour bien signifier qu’il parle en initié. Kamikaze ? Tueur à gage ? Musicien ? On ne sait plus.

    Du nouveau dans ce qu’a dit le Drèbki cependant ? Non, les mots sont connus car c’est ce que pense le peuple, l’opposant classique, le FFS depuis toujours, les journaux, les larbins et les hommes justes ou les tasses de café. Sauf que cette fois l’accusation est officielle, l’attaque est portée par un homme du clan adverse, et cela va très loin : « Je dis par contre que si un mal m’arrive, ce sera l’œuvre de Toufik », a dit Saïdani. Et jamais de mémoire d’écrasé, Toufik n’a été aussi directement accusé, cité, incriminé et rendu responsable, lui et ses colonels. La fin d’une époque ? Peut-être. Mais pas le début d’une meilleure. La fin du contrôle du DRS sur le mot, le livre, le wali, le parti, la conférence, l’ENTV, la nominations …etc. est une nécessité pour que la démocratie soit réelle. On sait tous que ce n’est pas le cas ; que le régime algérien est frappé par cette nullité due à l’équation Réel/Apparent et que le DRS a fait du mal, a mal agi, a abusé ou a servi à certains. Cette dé-DRSisation, on l’a demande, l’attend, la paye et l’exige pour que la décolonisation soit totale et l’indépendance soit réelle. Mais il se trouve que cela ne vient pas de la volonté du peuple, mais de la volonté d’un clan. On risque simplement de remplacer une officine par une autre. Licencier des colonels pour abus de fortune à l’étranger, pour les remplacer par un frère, un homme d’affaires style Marlboro, un ami et un serviteur du clan. Le cadeau est donc empoisonné et le plaidoyer de Saïdani sonne comme une commande, pas comme un vœux du peuple enfin exaucé. Un pouvoir tombe, un autre le remplace ; mais on n’a pas encore un Etat ni la liberté. Celui qui charge aujourd’hui Toufik est celui-là même qui a usé de ses « services » pour passer de la musique au papier à musique. On ne se fait pas d’illusion car c’est de la purge entre eux, pas de la démocratie. La Justice n’en sort pas forte, dans les institutions le pouvoir informel est puissant, la loi n’est pas aussi souveraine que le coup de fil, les walis ne sont pas élus, les magistrats ne sont pas indépendants, les lobbys sont les véritables chambres. Il n’y a que Saïdani qui a parlé et il ne la pas fait pour notre bien mais pour celui de ses employeurs.

    Que faut-il en penser pour commencer ? D’abord que la sale guerre commence. Ensuite, que le clan Bouteflika est en meilleure santé que Bouteflika. Ensuite, que cela n’est pas fini.❞

  • A Mongolian Neo-Nazi Environmentalist Walks into a Lingerie Store in Ulan Bator
    Un titre des plus étranges ... on dirait un assemblage de mots au hasard ...
    http://www.theatlantic.com/infocus/2013/07/a-mongolian-neo-nazi-environmentalist-walks-into-a-lingerie-store-in-ulan-bator/100547

    Reuters photographer Carlos Barria spent time documenting Mongolian neo-Nazi group Tsagaan Khass, one of several ultra-nationalist groups that have expanded in the country.