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  • Jean-Marie Hullot, informaticien visionnaire, technologiste exceptionnel | binaire
    http://binaire.blog.lemonde.fr/2019/06/20/jean-marie-hullot-informaticien-visionnaire-technologiste-excep

    Jean-Marie Hullot fut un très grand professionnel de l’informatique. Outre les apports scientifiques du début de sa carrière de chercheur IRIA détaillés plus loin, peu de personnes ont eu des impacts aussi forts et permanents sur l’informatique de Monsieur Tout-le-monde. On lui doit directement les interfaces et interactions graphiques et tactiles modernes, développés d’abord à L’IRIA, puis chez NeXT computers, dont la superbe machine est restée dans les mémoires et a servi en particulier à Tim Berners-Lee pour créer le World Wide Web, et enfin chez Apple à travers le Macintosh et son système MacOSX puis l’iPhone, véritables révolutions dans le domaine qui ont largement engendré le développement de l’informatique conviviale à grande échelle que nous connaissons maintenant, avec en particulier la révolution des smartphones.

    Ces interfaces particulièrement élégantes et intuitives ont marqué une nette rupture avec tout ce qui s’était fait avant, et qu’on a d’ailleurs largement oublié. Il faut bien comprendre qu’elles résultent de la conjonction d’un goût esthétique très sûr et de la création et de la maîtrise de nouvelles architectures de programmation subtiles et éminemment scientifiques, que Jean-Marie Hullot avait commencé à développer lorsqu’il était chercheur à l’IRIA. Un autre apport majeur a été celui des mécanismes de synchronisations d’appareils divers, ici Macs, iPhones et iPads, pour que les calendriers, listes de choses à faire ou autres soient automatiquement à jour dès qu’on les modifie sur un des appareils, sans besoin de la moindre transformation et quels que soient les réseaux utilisés. Cette transparence maintenant habituelle était difficile à réaliser et inconnue ailleurs. Il faut rappeler que le domaine concerné de l’IHM locale et synchronisée est profond et difficile, et les réussites de ce niveau y sont fort rares. Celle de Jean-Marie Hullot chez NeXT puis Apple, particulièrement brillante, a aussi demandé de très nombreuses interactions avec des designers et surtout directement avec Steve Jobs, dont l’exigence de qualité était légendaire.

    Mais, avant sa carrière industrielle, Jean-Marie Hullot a fait bien d’autres apports scientifiques de premier plan. Après l’École normale supérieure de Saint-Cloud, il s’est vite passionné pour la programmation, particulièrement en LISP. Cela s’est passé à l’IRCAM où se trouvait alors le seul ordinateur en France vraiment adapté à la recherche en informatique, le PDP-10 exigé par Pierre Boulez pour monter cet institut. S’y trouvaient en particulier Patrick Greussay, auteur de VLISP et fondateur de l’école française de LISP, et Jérôme Chailloux, auteur principal du système Le_Lisp qui a longtemps dominé la scène française de l’Intelligence Artificielle et auquel Hullot a beaucoup participé et apporté.

    Avec sa rencontre avec Gérard Huet, dont il suivait le cours de DEA à Orsay, il rejoint l’IRIA à Rocquencourt pour son travail doctoral. Il débuta sa recherche en réécriture de termes, problématique issue de la logique mathématique et de l’algèbre universelle, et par suite essentielle aux fondements mathématiques de l’informatique. Parti de l’algorithme de complétion décrit dans l’article séminal de Knuth et Bendix, il réalisa un système complet de complétion de théories algébriques, incluant les dernières avancées en traitement des opérateurs commutatifs et associatifs, permettant la transition avec le calcul des bases polynomiales de Gröbner. Le logiciel KB issu de son travail de thèse avait une algorithmique particulièrement soignée, permettant d’expérimenter avec des axiomatisations non triviales, comme par exemple la modélisation canonique des déplacements du robot de l’Université d’Edimbourg. La renommée de ce logiciel lui valut une invitation d’un an comme chercheur invité au Stanford Research Institute en 1980-1981. Là, en tandem avec Gérard Huet, il développa les fondements de la théorie de la réécriture algébrique, alors en balbutiement. Son article Canonical forms and unification, présenté à l’International Conference on Automated Deduction en 1980, présente un résultat fondamental sur la surréduction qui permit d’établir le théorème de complétude de la procédure de narrowing (Term Rewriting Systems, Cambridge University Press 2003, p. 297.)

    Sa thèse de Doctorat à l’Université Paris XI-Orsay Compilation de formes canoniques dans les théories équationnelles fut soutenue le 14 novembre 1980. Point d’orgue de son travail en algèbre effective, elle devint la bible des chercheurs en réécriture, désormais domaine essentiel de l’informatique fondamentale. Elle fut le premier document technique français composé avec le système de composition TeX, alors en développement par Don Knuth à Stanford, où Jean-Marie Hullot s’y était initié. Il était frappé par l’étonnante qualité graphique des documents traités par TeX, mais aussi des écrans bitmap alors développés au laboratoire PARC de Xerox.

    En 1981 il retrouve l’INRIA à Rocquencourt où démarrait le Projet National Sycomore dirigé par Jean Vuillemin, et que venait de rejoindre Jérôme Chailloux, concepteur du langage Le_Lisp. Il y découvrit le premier Macintosh, ordinateur commercial pionnier profitant des avancées de PARC (bitmap display, interface de fenêtres, ethernet) et du SRI (souris). Mais il a vite trouvé la façon dont ses interfaces étaient programmées assez infernale. Comme c’était l’époque de la naissance des langages objets, il a d’abord décidé de développer le sien au-dessus de Le_Lisp, nommé Ceyx, en privilégiant les aspects dynamiques non présents dans les autres langages de l’époque (il est ensuite passé à Objective C, langage du même type mais bien plus efficace.) Ce langage remarquable, dont l’implémentation était un bijou de simplicité et d’intelligence, a servi notamment à Gérard Berry pour écrire son premier compilateur Esterel.

    Ce travail a débouché sur la création du premier générateur d’interfaces mêlant conception graphique directe et programmation simple, SOS Interfaces. C’est en présentant ce système aux idées très originales dans un séminaire à l’université Stanford qu’il a rencontré Steve Jobs, alors chassé d’Apple, et qui a immédiatement souhaité l’embaucher pour créer sa nouvelle machine NeXT. Même si cette machine n’a pas été un succès commercial, elle reste connue comme probablement la plus élégante jamais fabriquée, et a eu le rôle de précurseur de tout ce qui s’est passé ensuite.

    Jean-Marie Hullot a ensuite pris le leadership des interfaces et interactions du nouveau Macintosh en tant que directeur technique du service des applications d’Apple. Ses créations et celles de son équipe marquent toujours l’informatique moderne. Il a ensuite quitté un moment Apple et la Californie pour s’installer à Paris. Là, Steve Jobs l’a rappelé pour régénérer l’esprit créatif d’Apple, mais il a refusé de revenir en Californie, et proposé plutôt de créer un téléphone, ou plutôt un smartphone comme on dit maintenant. Après quelques difficultés pour convaincre Steve Jobs qui n’y croyait pas trop, il a créé l’iPhone dans un laboratoire secret d’une vingtaine de personnes à Paris. La suite est connue, et assez différente de ce que disait Steve Ballmer lors de la première démonstration par Steve Jobs : « Cet objet n’a aucun avenir industriel » ! Avec plus d’un milliard d’exemplaires vendus, il s’agit probablement d’un des plus grands succès esthétiques et industriels de l’histoire.

    En outre, il mena plusieurs entreprises technologiques en France. La société RealNames qu’il a créé en 1996 avait pour objet de doter le réseau Internet alors en plein essor, mais anarchique au niveau du nommage, d’un espace de nommage standardisé. Plus tard, il chercha à créer une infrastructure ouverte pour le partage de photographies, en suivant le modèle de l’encyclopédie libre Wikipedia , et créa la société Photopedia à cet effet. Ces entreprises n’ont pas été pérennes, mais elles ont permis à de nombreux jeunes professionnels de se former aux technologies de pointe, et d’essaimer à leur tour de nouvelles entreprises technologiques.

    Mathématicien créatif, informaticien visionnaire, programmeur élégant, ingénieur rigoureux, technologiste hors-pair, esthète raffiné, Jean-Marie Hullot aura marqué son époque. Les résultats de son travail ont tout simplement changé le monde à tout jamais. La Fondation Iris, qu’il a créé avec sa compagne Françoise et dont l’objectif est de sauvegarder la fragile beauté du monde, continue de porter son message humaniste : http://fondationiris.org.

    Gérard Berry et Gérard Huet

    #Histoire_numérique #IHM #iPhone #Interface #Synchronisation

  • Xerox-Software verändert eingescannte Zahlen | Telepolis
    https://www.heise.de/tp/features/Xerox-Software-veraendert-eingescannte-Zahlen-3961586.html

    Le « scandale » Xerox constitue en vérité une menace pour la validité de toute documentation sur papier passé en numérique. Cette transformation est imposée aux et par des institutions qui prendront ensuite des décisions sur base de tables et données dont la fiabilité ne peut être garantie dans aucun cas. Imaginez des statistiques sur papier qui servent de base pour le calcul par ordinateur d’une probabilité d’accident pour un nouvel avion . Le problème n’est pas moins grave quand on pense à la situation où les originaux sur papier n’existent plus et le fisc utilise ces chiffres aléatoires lors d’une vérification, pareil pour le calcul d’allocations, etc.

    07. Februar 2018 Christoph Jehle

    Im Zusammenhang mit der mehrheitlichen Übernahme des Druckerherstellers Xerox durch Fujifilm ist der 2013 entdeckte Software-Bug wieder aufgepoppt - Ob dieser Fehler bei allen betroffenen Geräten inzwischen beseitigt ist, ist nicht bekannt

    2013 hatte der Informatiker David Kriesel in Scans, die mit damals schon seit acht Jahren im Markt befindlichen Xerox-Multifunktionskopierern (Xerox Workcenter) angefertigt wurden, festgestellt, dass bestimmte Zeichen in den Scans durch andere, ähnlich aussehende, ersetzt worden waren (Character Substition). Dies fiel zuerst bei Quadratmeterangaben eines Bauplans auf, wo die Zahlen-Angaben im Scan nicht mit den eingezeichneten Größenverhältnissen der Räume korrelierten. Es gab ebenso Fälle, bei welchen in einer Spalte hierarchisch aufsteigend angeordnete Zahlenangaben unvermittelt aus der Serie ausbrachen. Statt der im Original vorhandenen „6“ stand im Scan dann eine „8“.

    Da die einzelnen Ziffern selbst völlig fehlerfrei aussahen, war der Fehler auf Anhieb nicht zu erkennen und war offensichtlich auch über acht Jahre, in welchen die Gerätefamilie schon im Einsatz war, bei den Anwendern nicht aufgefallen. Bei Xerox war das Problem jedoch offensichtlich bekannt, denn im Adminpanel der Kopierer gab es eine kleine Meldung zu Character Substition und dass der Fehler mit den falschen Zeichen weg sei, wenn man die Kompression von „normal“ auf „higher“ umstellt.

    Leider wird der Nutzer nur beim Setzen der Kompressionseinstellung auf das Problem hingewiesen. Wer sich nicht mit der Kompressionseinstellung beschäftigt, wird im Zweifelsfalle unwissentlich falsche Dokumente produzieren. Welche Einstellung bei der Lieferung der Geräte eingestellt ist, ist nicht nachvollziehbar, da Xerox die Geräte nicht selbst an die Nutzer liefert, sondern dafür lokale Vertriebspartner nutzt. Daher konnte Xerox auch die Nutzer seiner betroffenen Geräte nicht anschreiben und über das Risiko der vertauschten Zeichen informieren. Da beim sogenannten ersetzenden Scannen die analogen Originale nach dem Einscannen vernichtet werden, sind die Fehler, die beim Scannen entstehen, heute praktisch nicht mehr zu korrigieren.

    Zurückzuführen war diese Verfälschung letztlich auf den in den Xerox-Geräten eingesetzten Kompressionsalgorithmus JBIG2. Dabei werden gleiche Zeichen nur einmal abgespeichert. Zudem wird die Positionen gespeichert, an welchen dieses Zeichen einzusetzen ist. Dummerweise sind die Fehler nicht nur bei den verlustbehafteten Kompressionmodi, sondern zumindest bei einem Xerox WorkCentre 7545 in allen drei auswählbaren Modi (einschließlich der Werkseinstellung) aufgetreten. Xerox hat inzwischen einen Patch ausgeliefert, der die JBIG2-Kompression und das dort implementierte Pattern Matching deaktiviert. Auf wie vielen der mehreren hunderttausenden betroffenen Workcenter dieser Patch inzwischen aufgespielt wurde, ist nicht bekannt.
    BSI-Bann für JBIG2 im Jahre 2015

    Obwohl die Fehlerursache für die bei Xerox aufgetretenen Verfälschungen offensichtlich nicht in JBIG2 lag, sondern in der fehlerhaften Parametrierung beim Kodieren in JBIG2, hat das Bundesamt für Sicherheit in der Informationstechnik (BSI) jetzt festgelegt, dass die Nutzung aller Verfahren, die zur Bildkompression „Pattern Matching & Substitution“ nutzen, nicht eingesetzt werden dürfen. Auch das damit verwandte „Soft Pattern Matching“ darf nicht eingesetzt werden. Es dürfen somit sowohl die verlustfreie, als auch die verlustbehaftete Variante des verbreiteten JBIG2-Formats nicht mehr genutzt werden. Dadurch sind letztlich auch alle anderen Anbieter, welche die JBIG2 fehlerfrei implementiert hatten, vom Xerox-Fehler betroffen.

    Die Krux bei JBIG2 besteht wohl in erster Linie darin, dass es sich bei JBIG2 nicht um einen Kompressionsstandard, sondern um einen Dekompressionsstandard handelt und jeder Anbieter für die Kompression sein eigenes Verfahren einsetzen kann, das dieses möglicherweise fehlerbehaftet ist. Dieses wäre dann im konkreten Fall nur durch einen direkten Vergleich mit der eingescannten Vorlage zu erkennen.

    Während es im Zusammenhang mit Fragen der elektrischen Sicherheit von Geräten Datenbanken wie Rapex gibt, wo sich jeder über konkrete Sicherheitsprobleme informieren kann, sind vergleichbare Informationsmöglichkeiten im Bereich des rechtssicheren Transfers von analogen Informationen in digitale Medien bislang nicht bekannt. Und so muss ein Anwender damit rechnen, dass seine vor dem Bekanntwerden des Scanfehlers bei Xerox eingescannten Dokumente möglicherweise vor Gericht keinen Bestand haben. Ein Rückgriff auf die Originalvorlagen ist in vielen Fällen heute nicht mehr möglich.

  • Hunderte konspirative Wohnungen in Ost und West: Der Atlas der Stasi-Nester | Berliner-Kurier.de
    https://www.berliner-kurier.de/berlin/kiez---stadt/konspirative-wohnungen-der-atlas-der-stasi-nester-32286446

    Es ist immer wieder interessant und bewegend festzustellen, wie sehr West- und Ostberlin von Untergrundaktivitäten aller Art durchdrungen waren. Nachbarn als Spione oder Denunzianten, Besatzungsarmeen und ihre Geheimdienste als wichtige Arbeitgeber, Landkartenfälscher, Propaganda- und Fake-News Produzenten, die Mauerstadt war ihr Schlaraffenland. In Berlin bespitzelte jeder jeden und alle anderen auch noch. Es war ein blühendes Geschäft. Berlin galt aus gutem Grund als Welthauptstadt der Spionage im kalten Krieg. Otto Normalverbraucher diente hier gleichzeitig als Vorwand, Opfer und Kulisse für die Untergrundaktivitäten der großen Politik.

    Nun wird also die DDR-Stasi, richtiger das Ministerium für Staatssicherheit oder MfS, mal wieder vorgeführt. Das MfS ist dafür prädestiniert, denn detaillierte öffentlich zugängliche Unterlagen über die Aktivitäten der West-Geheimdienste in Berlin gibt es auch 29 Jahre nach der Wiederherstellung der staatlichen Souveränität Deutschlands nicht. Kein Wunder, sind doch immer noch die selben West-Akteure und ihre von diesen Helden des kalten Kriegs ausgebildeten Nachfolger im Einsatz gegen alle echten und vermeintlichen Bedrohungen der zivilisierten Welt. Nur ihre Vorväter, die Nazi-Spione aus dem Prinz-Heinrich-Palais, sind inzwischen nicht mehr von dieser Welt.

    Die vorliegende Liste der Stasiobjekte ist eine Produktion dieser kalten Krieger und enthält mindestens eine Merkwürdigkeit, die nicht nur vom Untergang der Herren der Normannstraße sondern vor allem vom Siegesrausch ihrer westlichen Gegner zeugt.

    Aufgefallen ist uns die Adresse An Der Krummen Lanke 16 , die es nicht in Köpenick und auch nirgenwo sonst auf der Welt gibt und nie gab. Was ist passiert?

    Wie sie zustande kommt, ist zunächst rätselhaft. Richtig heißt sie An der Krummen Lake 16 . Die Krumme Lanke ist ein Waldsee im ehemaligen amerikanischen Sektor von Westberlin, die Krumme Lake hingegen ein Rinnsal in Müggelheim in der ehemaligen Hauptstadt der DDR. Es wurden zwei Gewässer verwechselt.

    Da ist wohl dem Bearbeiter der Straßenlisten ein Fehler unterlaufen. Es scheint nach 1989 passiert zu sein, nachdem der spätere Bundespräsident Gauck die wichtigsten MfS-Unterlagen an US-Geheimdienste übergeben hatte. Darauf deutet der Umstand hin, dass der Listen-Bearbeiter weder sprach- noch ortskundig war. Außerdem hat er so schlampig gearbeitet, dass er eher nicht in einer preußisch geprägten deutschen Behörde tätig war.

    Zunächst legen das große D in „Der“ und das n in „Lanke“ nahe, dass der Fehler vom Mitarbeiter eines US Geheimdienstes beim Abtippen eingefügt wurde. Dem Mann war mit Sicherheit die _Krumme La n ke_ bekannt, denn sein Arbeitsplatz im Berlin Document Center lag ganz in der Nähe des Westberliner Gewässers. Vielleicht ging er dort sogar am Wochendende mit seiner Familie schwimmen. Außerdem folgte er den englischen Regeln zur Groß- und Kleinschreibung und schrieb Der anstelle von der .
    https://en.wikipedia.org/wiki/Capitalization_in_English
    https://english.stackexchange.com/questions/14/which-words-in-a-title-should-be-capitalized

    Eine mögliche Quelle des Fehlers wäre auch eine in den USA programmierte OCR-Software, die bei der Umwandlung der eingescanten MfS-Unterlagen mit unvollständigen Wortlisten und unvollkommnenen Algorithmen jonglierte. Das würde jedoch nichts daran ändern, dass dieser Fehler ein Indiz für die Bearbeitung der Listen durch US-Geheimdienste darstellt.

    Weitere Änderungen wurden später von der Stasi-Gedenkstätte oder Stasi-Unterlagenbehörde gemacht, indem aus den Westberliner Adressen die Hausnummern gestrichen wurden.

    Auf jeden Fall hat sich in der Hohenschönhausener Gedenkstätte niemand die Mühe gemacht, die Listen auf Plausibilität zu überprüfen und offensichtliche Ungenauigkeiten zu korrigieren.

    Für den Berliner Kurier zählte anschließend das Sensationelle und Gruselige, so dass nichts gegen die kritiklose Übernahme der schlampig überarbeiteten Listen sprach.

    Und so konnten - vermutlich durch einen Webredakteur des Berliner Verlags - zum Abschluß die Charlottenburger Adressen in den Bezirk Tiergarten verlegt werden. Hauptsache die drop-down Listen für die Webausgabe der Zeitung sahen gut aus.

    Das alles ist kurios und wäre nicht weiter weltbewegend, wenn nicht sichtbar würde, wie jede Beschäftigung mit Dokumenten und Belegen diese verändert. Heute manipulieren nicht nur Menschen sondern zunehmend drücken Algorithmen den verarbeiteten Dokumenten ihren Stempel auf. Sie können ganze Fakten- und Zahlengebäude zum Einsturz bringen, wie wir beim Xerox-Kopierer-Skandal erlebt haben.

    07. Februar 2018 - Xerox-Software verändert eingescannte Zahlen
    https://www.heise.de/tp/features/Xerox-Software-veraendert-eingescannte-Zahlen-3961586.html

    Für die Fake-News-Produktion brauchen wir keine Stasi. Software und Pressestellen genügen.

    Berlin - Sie horchte und guckte 40 Jahre in der Hauptstadt. Wie ein gigantisches Spinnennetz breitete sich die Stasi über Berlin aus. An Hunderten von Orten postierte sie geheime Spitzelnester – nicht nur im Ost-, auch im Westteil der Stadt. Direkt in der Nachbarschaft. Es waren vor allem konspirative Wohnungen, die für IM-Treffen oder zur Observierung genutzt wurden. Das ganze Ausmaß zeigt jetzt erstmals die Stasi-Opfer-Gedenkstätte in Hohenschönhausen in einer Ausstellung.

    Die Schau „Stasi in Berlin – Überwachung und Repression in Ost und West“, die heute eröffnet (Eintritt frei): Mittelpunkt ist ein 170 Quadratmeter großes Luftbild von Berlin. Es dokumentiert, wo die Stasi im Ost- und Westteil der Stadt ihre geheimen Stützpunkte hatte.

    Über 4000 Leuchtdioden zeigen sie auf der Karte an, auf der die Besucher gehen können und über ein Tablet mittels Videos, Fotos und Zeitzeugen-Berichten erfahren, was an diesen Stasi-Orten geschah. Nur 300 dieser Orte waren Dienststellen in Betrieben oder Fuhrparks.

    Über 3300 Stasi-Stützpunkte allein in Ost-Berlin

    Der Großteil sind konspirative Wohnungen. „Drei Jahre lang brauchten wir, um mit Hilfe der Stasiunterlagenbehörde die erste komplette Übersicht darüber zu erstellen“, sagt Kurator Andreas Engwert. Davon gab es über 3300 in Ost-Berlin. „Vor allem in den 80er-Jahren nahmen sie zu, konzentrierten sich besonders in Prenzlauer Berg, Lichtenberg, Friedrichshain und Mitte, wo viele DDR-Bürgerrechtler aktiv waren oder es eine MfS-Dienststelle in der Nähe gab“, sagt Engwert. Viele Wohnungen häufen sich an recht prominenten Adressen: etwa an der Leipziger Straße, Fischerinsel, Am Tierpark, an der Schönhauser Allee.

    Die Karte zeigt die Stasi-Nester in Berlin. Die roten gab es seit 1945, wurden von den Sowjets übernommen, die gelben entstanden in den 50er Jahren, die grünen in den 80er-Jahren.

    Eine solche Wohnung befand sich auch in der Oderberger Straße 31 (Prenzlauer Berg, Tarnname „Turm“). In den Zimmern baute die Stasi Monitore auf, filmte mit Kameras nicht nur das Geschehen auf der nahen Westberliner Seite der Bernauer Straße. In der Oderberger Straße wohnte auch die DDR-Regisseurin und Bürgerrechtlerin Freya Klier, die von der Stasi observiert wurde. Das Ziel des MfS war es, mit seiner konspirativen Arbeit vor allem in den 80er-Jahren Oppositionsgruppen zu zersetzen, deren Mitglieder einzuschüchtern.

    Punk-Szene in der Mainzer Straße ausgespäht

    Mehrere geheime Stützpunkte gab es in der Mainzer Straße (Friedrichshain). Das Hauptaugenmerk richtete sich Ende der 80er Jahre auf die sich dort entwickelnde Punk-Szene.

    Größtenteils wurden die Wohnungen jedoch für Treffen mit IMs genutzt. Die Privaträume stellten entweder MfS-Mitarbeiter zur Verfügung oder wurden bei vertrauensvollen SED-Mitgliedern gegen einen Unkostenbeitrag von 30 DDR-Mark/Monat „angemietet“.

    Selbst ungewöhnliche Orte wurden gewählt. „Im Pergamonmuseum gab es sogar ein Zimmer, wo sich Stasi-Offiziere, vermutlich wegen der Nähe zum Grenzübergang Friedrichstraße, mit ihren West-Agenten trafen“, sagt Kurator Engwert.

    Listen mit West-Wohnungen vernichtet

    Auch in West-Berlin gab es konspirative Stasi-Wohnungen. „Die Adressen kennen wir nicht“, sagt Engwert. „Die Listen wurden kurz vor dem Ende des Stasi vernichtet.“ Erhalten geblieben ist aber eine Liste mit über 300 Stasi-Wohnungen im ehemaligen West-Berlin, in dem Stasi-Agenten oder West-Berliner, die als IM tätig waren, wohnten oder noch wohnen. Viele befanden sich in Charlottenburg, Neukölln, Kreuzberg.

    (Mitarbeit: Josephine Bährend)

    Stasi-Wohnungen Ost

    Prenzlauer Berg

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    Wilhelm-Pieck-Str. 24, 26, 76, 87, 138, 153
    Weinbergweg 6
    Conrad-Blenkle-Str. 65
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    Cotheniusstr. 7, 8
    D.-Bonhöffer-Str. 5
    Dieslerwegstr. 9e
    Dimitroffstr. 102, 104, 125, 134, 139, 140, 142, 144, 146, 166, 167, 199, 241
    Einsteinstr. 16A
    Gleimstraße 16
    Greifswalder Str. 9, 87, 153, 159
    Hans-Beimler-Str. 87
    Hanns-Eisler-Str. 16, 62
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    Husemannstr. 10
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    Mühlhauser Str. 3
    Naugarder Str. 7, 17, 35
    Ostseestr. 85 – 105
    Pasteurstr. 17, 42
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    Schneeglöckchenstr. 15, 26
    Storkower Str. 101, 114, 134, 158
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    Pankow

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    Am Schlosspark 30
    Am Sandhaus 24-38
    Am Steinberg 47
    An der S-Bahn
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    Binzstr. 11
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    Elsa-Brändström-Str. 6
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    Mitte

    Ackerstr. 11, 17, 20, 150, 157
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    Albrechtstr. 15, 16
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    Alexanderplatz Bahnhof
    Am Nussbaum 6
    Bhf. Friedrichstraße
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    Bergstr. 1
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    Borsigstr. 23
    Brunnenstr. 44, 177
    Chausseestr. 1, 105, 123, 130, 131
    Clara-Zetkin-Str. 74-80, 85, 97, 103
    Dirksenstr. S-Bahnhof Alex
    Dirksenstr. 78
    Eichendorffstr. 3
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    Krausenstr. 38, 39, 67
    Leipziger Str. 5-7, 40, 54, 56, 58, 61, 62, 63, 65, 66
    Linienstr. 121
    Littenstr. 14, 15
    Marienstr. 12, 14, 18, 21, 26, 11
    Memhardstr. 2, 3, 6, 8
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    Modersohnstr. 58
    Mohrenstr. 36, 37
    Mollstr. 4
    Münzstr. 15
    Neue Schönhauser Str. 14, 15
    Neustädtische Kirchstr. 3, 15
    Oranienburger Str. 17
    Otto-Grotewohl-Str. 13 (heutige Wilhelmstr.)
    Otto-Nuschke-Str. 4, 6 (heutige Jägerstr.)
    Panoramastr. 1
    Parochialstr. 1
    Poststr. 2,
    Probststr. 11
    Rathausstr. 7, 13
    Reinhardtstr. 8, 36
    Reinhold-Huhn-Str. 14
    Rheinsberger Str. 16, 50
    Rochstr. 9
    Rungestr. 22-24
    Seydelstr. 32, 33
    Schadowstr. 1B, 4, 10
    Scharrenstr. 2, 3, 10, 11
    Schillingstr. 30
    Schlegelstr. 5
    Schmidstr. 9
    Schumannstr. 10, 21
    Schwartzkopffstr. 9
    Spandauer Str. 4
    Sperlinggasse 1
    Spreeufer 6
    Tieckstr. 4, 10, 11
    Tucholskystr. 6, 41
    Voltairestr. 2
    Unter den Linden 8, 14, 24, 37, 39, 41
    Wallstr. 9
    Wassergasse 1
    Wilhelm-Pieck-Str. 158, 185, 195, 197

    Lichtenberg

    Am Tierpark 3, 62, 64, 66
    Alfred-Jung-Str. 16
    Archenholdstraße 38, 42
    Atzpodienstr. 32
    Baikalstr. 18, 21
    Beilsteiner Str.
    Bürgerheimstr. 9
    Coppistr. 20, 24
    Dolgenseestr. 21, 27, 40, 43
    Dottistr. 12, 16
    Einbecker Str. 90, 101, 102, 111
    Eberhardtstr. 5
    Egmontstr. 8A
    Elfriede-Tygoeer-Str. 6
    Elli-Voigt-Str. 6, 7
    Enkelortweg 2
    Erich-Kurz-Str. 7
    Erich-Mett-Str. 2, 12
    Fanninger Str. (Verwaltungsgebäude)
    Fanninger Str. 17, 19, 25, 68
    Frankfurter Allee 130, 147, 149, 150, 178, 192, 216, 245, 246
    Friedenhorster Str.
    Glaschkestr. 2
    Hans-Loch-Str. 4-36, 122, 259, 299, 309, 335, 345, 351, 355, 359, 371, 373
    Hauptstraße 8, 9-13
    Harnackstr. 16, 26, 28
    Harnackstr. (Baracke 1)
    Hausburgstr. 16, 24
    Hendrichplatz (Wohnkomplex)
    Herzbergstr. 127
    Hirschbergerstr. 4
    Ho-Chi-Minh-Str. 1, 2
    Irenenstr. 5a , 22
    Jacques-Duclos-Straße 3, 25, 26, 61, 75
    Köpenicker Chaussee 1-4
    Köpitzer Str. 8
    Löwenberger Str. 2, 4
    Lückstraße 32
    Magdalenenstraße 4-12
    Margaretenstr. 2, 4, 26
    Marktstr. 9
    Massower Str. 13
    Mellenseestr. 40
    Münsterlandstraße 58
    Paul-Gesche-Str. 7, 10
    Plonz-/Schottstraße (Wohnkomplex)
    Rhinstr. 1, 4, 5, 9, 11, 75, 91, 105, 149, 159
    Rosenfelder Ring 65-123
    Rummelsburger Str. 37
    Rüdigerstraße 54-57
    Schulze-Boysen-Str. 17, 27
    Schwartmeerstr. 25
    Siegfriedstr. 183, 186, 188. 198a
    Straße der Befreiung 25, 37, 67, 68, 72, 73, 75, 78, 85
    Volkradstr. 8, 24, 26
    W.-Florin-Str. 11
    Weitlingstr. 50
    Werner-Lamberz-Str. 86
    Winninger Weg 6

    Köpenick

    An Der Krummen Lanke 16
    Ahornallee 12
    Becherbacher Straße 40
    Breestpromenade 42
    Bruno-Wille-Straße 88, 98
    Dahmestraße 6, 15
    Dreiser Str. 1-3
    Edisonstr. 61
    Fritz-Kirsch-Zeile 8
    Godbersenstraße 27
    Grünauer Str. 132-134
    Güldenauer Weg 46
    Hämmerlingstr. (Eigenheime)
    Hasenwinkel 34
    Heimgartenstraße 18
    Imkerweg 1
    Karolinenhofweg 10
    Landjägerstr. 11
    Lassallestraße 27, 40, 42
    Libboldallee 16
    Lienhardweg 52
    Lübbenauer Weg 43
    Minkwitzweg 7
    Müggelheimer Damm 12
    Myliusgarten 24-30
    Niebergallstraße 1, 2, 5, 9, 11
    Nixenstr. 3-4
    Ottomar-Geschke-Str. 2, 22
    Piepertswinkel 10-14
    Puchanstr. 34
    Rohrwallallee 67
    Semliner Straße 46
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    Tabbertstr. 10
    Verl. Hämmerlingsstraße 1-3D
    Waldstraße 19, 20, 21, 22
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    Treptow

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    Elsenstr. 41, 87, 97
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    Stasi-Wohnungen West

    Kreuzberg

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    Charlottenburg

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    Kurfürstendamm
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    Theodor-Heuss-Platz
    Wilmersdorfer Straße

    Wilmersdorf

    Auguste-Viktoria-Straße
    Brandenburgische Straße
    Blissestraße
    Bundesallee
    Hohenzollerndamm
    Fasanenstraße
    Uhlandstraße

    Spandau

    Am Pichelssee
    Brunsbüttler Damm
    Falkenseer Chaussee
    Saatwinklerdamm

    https://www.stiftung-hsh.de/veranstaltungen/vorschau/stasi-in-berlin

    #DDR #Berlin #Geschichte #Straßennamen #Stasi #Spionage #Mauer #Geheimdienste #Kartografie

  • Gil Scott-Heron - The Revolution Will Not Be Televised - Lyrics
    http://www.metrolyrics.com/the-revolution-will-not-be-televised-lyrics-gil-scottheron.html

    You will not be able to stay home, brother.
    You will not be able to plug in, turn on and cop out.
    You will not be able to lose yourself on skag and
    skip out for beer during commercials,
    Because the revolution will not be televised.The revolution will not be televised.

    The revolution will not be brought to you by Xerox
    In 4 parts without commercial interruptions.
    The revolution will not show you pictures of Nixon
    blowing a bugle and leading a charge by John
    Mitchell, General Abrams and Spiro Agnew to eat
    hog maws confiscated from a Harlem sanctuary.

    The revolution will not be televised.
    The revolution will not be brought to you by the
    Schaefer Award Theatre and will not star Natalie
    Woods and Steve McQueen or Bullwinkle and Julia.
    The revolution will not give your mouth sex appeal.
    The revolution will not get rid of the nubs.
    The revolution will not make you look five pounds
    thinner, because the revolution will not be televised, Brother.

    There will be no pictures of you and Willie May
    pushing that shopping cart down the block on the dead run,
    or trying to slide that color television into a stolen ambulance.
    NBC will not be able predict the winner at 8: 32
    or report from 29 districts.
    The revolution will not be televised.

    There will be no pictures of pigs shooting down
    brothers in the instant replay.
    There will be no pictures of pigs shooting down
    brothers in the instant replay.
    There will be no pictures of Whitney Young being
    run out of Harlem on a rail with a brand new process.
    There will be no slow motion or still life of Roy
    Wilkens strolling through Watts in a Red, Black and
    Green liberation jumpsuit that he had been saving
    For just the proper occasion.

    Green Acres, The Beverly Hillbillies, and Hooterville
    Junction will no longer be so damned relevant, and
    women will not care if Dick finally gets down with
    Jane on Search for Tomorrow because Black people
    will be in the street looking for a brighter day.
    The revolution will not be televised.

    There will be no highlights on the eleven o’clock
    news and no pictures of hairy armed women
    liberationists and Jackie Onassis blowing her nose.
    The theme song will not be written by Jim Webb,
    Francis Scott Key, nor sung by Glen Campbell, Tom
    Jones, Johnny Cash, Englebert Humperdink, or the Rare Earth.
    The revolution will not be televised.

    The revolution will not be right back
    after a message about a white tornado, white lightning, or white people.
    You will not have to worry about a dove in your
    bedroom, a tiger in your tank, or the giant in your toilet bowl.
    The revolution will not go better with Coke.
    The revolution will not fight the germs that may cause bad breath.
    The revolution will put you in the driver’s seat.

    The revolution will not be televised, will not be televised,
    will not be televised, will not be televised.
    The revolution will be no re-run brothers;
    The revolution will be live.

    #usa #révolte #révolution #poésie

  • « Le téléphone portable, c’est le rêve de Staline devenu réalité »
    https://m.usbeketrica.com/article/le-telephone-portable-c-est-le-reve-de-staline-devenu-realite

    Depuis plus de trente ans, Richard Stallman fait la promotion du logiciel libre et pourfend la domination d’Apple, Microsoft, Google et les autres géants du net, amateurs de logiciels propriétaires et d’une exploitation savante des données de leurs utilisateurs. On a profité de son dernier passage à Paris pour échanger avec lui sur la surveillance généralisée et la fin de notre monde numérique, qu’il imagine pour bientôt. Dans la grande mythologie de l’informatique moderne, l’Américain Richard Stallman, (...)

    #Apple #Google #Microsoft #Xerox #Linux #domination #copyright #smartphone

    • C’est un lieu magique où j’ai eu la chance de passer un week-end ("Game Jam") en septembre dernier.

      Bret Victor, qui a imaginé cet espace, s’inspire et veut reprendre des projets à la Xerox PARC, avec une visée essentiellement pédagogique.

      L’idée est d’explorer ce que devient l’informatique quand on supprime l’écran et le clavier, et qu’on les remplace par une caméra et des projecteurs, on supprime les fichiers de code et on les remplace par des feuilles de papier, on supprime les identifiants numériques et on les remplace par des gommettes de couleur.

      Un exemple : chaque fois qu’on édite un bloc de code, on obtient une nouvelle feuille de papier qui vient remplacer la précédente sur la table. On a alors plusieurs possibilités :
      -- conserver l’ancienne feuille sous la nouvelle ; alors on a un historique du code (versionning), qui permet de revenir en arrière en soulevant le nouveau papier pour refaire apparaître l’ancien ;
      -- avoir les deux feuilles sur la table (deux instances un peu différentes de notre code), et comparer leurs effets
      -- froisser la feuille qui ne nous convient plus et la jeter à la poubelle, y mettre le feu ou s’en servir comme brouillon pour griffonner.

      Comme les caméras détectent les points de couleur, on n’est pas obligé de se cantonner à programmer avec du papier : on peut programmer avec du carton, du bois, des cookies, des lego, des trains électriques… ce qui donne ce dispositif où une voiture en plastique se déplace sur une table, repère autour d’elle les trois feuilles les plus proches de type (son, fréquence, rythme), et joue la musique correspondante… tout en se déplaçant dans un paysage sonore alimenté en images fractales. Psychédélique.

      Le système fonctionne avec des objets (informatiques) qui font tourner le code correspondant à leurs points de couleur. Ces objets peuvent s’échanger des messages, et s’envoyer (à eux-mêmes ou aux autres) des illuminations (images, texte, sons).

      Un objet banal dira « je suis un écran », un autre dira « j’envoie à tous les écrans la valeur x », un autre encore dira « la valeur x est réglée sur le déplacement de mon point coloré ». Le fait que ce sont trois objets physiques différents fait qu’on peut alors remplacer n’importe quel bout pour changer le flux de messages, et qu’on fait ça « avec les mains », et qu’on voit ce qu’on fait.

      Comme le système lire la position et la couleur de points, on peut créer des objets physiques qui permettent de manipuler des nombres. Ainsi, une simple boulette de pate à modeler montée sur un ressort en plastique devient un joystick.

      Mais un autre objet peut venir et dire « j’envoie des flash sur tous les objets ». Un autre peut créer des images en webgl, faire des statistiques sur les points de couleur qui se trouvent sur la table, etc.

      Le sentiment qui s’en dégage est assez exaltant : la programmation devient une activité physique, sensorielle, collective. On se rapproche d’une pratique artistique, de la danse ou du théâtre peut-être.

      En tout cas le système oblige à des déplacements physiques, le code prend vie en-hors de l’ordi. Revenir ensuite à un code coincé entre clavier et écran est très frustrant.

      Le système mélange plusieurs concepts qui sont chacun intéressants en soi, et marchent bien ensemble.

      Si je résume on a :

      – une capture vidéo (basé sur OpenCV) d’une table (ou d’un mur), et un projecteur qui éclaire la même zone ; quand une partie des points colorés disparaissent, le système les garde en mémoire un certain temps, ce qui fait que les bras qui occultent les feuilles au passage ne provoquent pas trop de problème en pratique.

      – des points colorés qui, organisés en quatre coins d’un rectangle (appelé « page »), définissent un code (une référence) vers une base de petits logiciels de quelques lignes

      – un protocole de communication entre ces petits logiciels, baptisé RealTalk, qui s’inspire de smalltalk : chaque page peut envoyer des messages à toute la table, et écouter les messages

      – un OS qui relie le tout et qui orchestre le flux de communication, les modifications et l’insertion de nouvelles pages (avec une imprimante pour les matérialiser)

      Pour ma part durant le Game Jam j’ai fabriqué un bloc en bois qui me permettait d’éditer un code en pointant dessus ; une page qui capturait les points colorés sur la table et les faisait rayonner ; une exploration de la colorimétrie (très instable) de la caméra ; un dé à 24 faces avec reconnaissance optique de la face visible (sans succès d’ailleurs !). etc.

  • #Prenzlnet

    Aufruf zur Netzkritik
    http://thing.desk.nl/bilwet/TXT/NK3.txt

    Ein Zwischenbericht
    von Geert Lovink/Pit Schultz
    ...
    Ueber die Instrumentalisierung der Netze hinaus, gibt es trotz aller Netzkritik, neue Freiheitsgrade zu erforschen und zu geniessen. Hierzu gehoert die Aesthetisierung von LoTech, oder die Taktiken der Verlangsamung, das Zusammenloeten hybrider Medienverbuende (Theater, Radio, Super8, Fax, C64, Casio, Xerox, T-Shirts), das Operieren auf den untersten Systemebenen, Downgrading the future, die Rueckkehr zu ASCII als Politikum, Net-Strike, innercity, Prenzlnet (Vernetzung aller Hinterhoefe), public terminals, freie Vergabe von fake-e-mail-Adressen, anonyme Blitzmails. In diesem Sinne ist der Aufruf zur Netzkritik zu verstehen.

    Chronik zur Geschichte Freier Radios in Berlin-Brandenburg | Medienstaatsvertrag
    http://medienstaatsvertrag.org/radiochronik

    2000 (März): Radio Westfernsehen stellt seinen Sendebetrieb vorübergehend ein, nachdem die MABB einem Reporter bestätigt, den Sendeort des Radios zu kennen. Pi-Radio zieht vom Tacheles in die Lottumstraße um, ins Herz des Nachbarschafts-Servers Prenzl.net.

    Arbeitsperspektiven für Hochschulabsolventen
    http://www.uni-muenster.de/PeaCon/hochschule/Arbeit/start.htm
    Quelle auf dieser Seite:

    www.prenzl.net/~mr94/soziologie/archiv/0100.html

    Virtuelle Demokratie | Masterarbeit, Hausarbeit, Bachelorarbeit veröffentlichen
    http://www.grin.com/de/e-book/97431/virtuelle-demokratie

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    Inhaltsverzeichnis

    1 EINLEITUNG
    1.1 Forschungsstand
    1.2 Quellen
    1.3 Aufbau und Methodik

    2 ZUR KRISE DER REPRÄSENTATIVEN DEMOKRATIE

    3 DAS MEDIUM INTERNET
    3.1 Definition
    3.2 Größe
    3.3 Geschichte
    3.4 NutzerInnen

    4 DEMOKRATIE IM NETZ
    4.1 Die staatlich-institutionelle Ebene
    4.2 Die NGO-Ebene
    4.3 Die Graswurzel-Ebene
    4.4 Die E-Demokratie Ebene
    4.4.1 Stadtnetze
    4.4.2 Das Minnesota-Projekt

    5 DIE DEMOKRATISIERUNG DER DEMOKRATIE

    6 LITERATUR

    4.4.1 Stadtnetze

    Nicht nur auf konkrete politische Ereignisse bezogen, sondern für den Alltag entwickelt wurde die Idee der Stadtnetze, wie sie zum Beispiel seit 1994 in Amsterdam48 und seit 1996 in Berlin-Prenzlauer Berg existieren. Mit ihrer Gründung, so Hoffmann, werde Abschied genommen von McLuhans „global village“ und der Weg zur „Telepolis“ beschritten, zur Herausbildung einer neuen Urbanität. Hoffmann: „Die entstehende, noch unbekannte Form der Tele-Existenz orientiert sich nicht mehr am alten Bild eines Dorfes, sondern konstituiert nun selbst einen neuen Typ von Stadt - die virtuelle Stadt im Netz.“
    ...
    Das Kommunikationsmodell der digitalen Stadt wurzele in der Internetkultur, stellen Hoffmann und Rheingold übereinstimmend fest. „Information is free and always available“ (Rheingold); „Grundprinzipien sind der freie Fluß der Informationen, Dezentralität und Reziprozität“ (Hoffmann)53 . Digitale Städte sind mithin der Versuch (auch hier taucht wieder die Metapher des Marktplatzes auf), die Möglichkeiten eines dezentral vernetzten und interaktiven Mediums auszuschöpfen, um im öffentlichen Datenraum auf zweifache Weise eine Metastruktur zu implementieren. Mehrere Multimedia-Möglichkeiten (E-Mail, Newsgroup, Chat, WWW) bilden ein technisches System der Vermittlung zwischen vielen gleichzeitigen Nutzern. Der öffentliche Platz soll hier im Sinne von Hannah Arendt als Ort der „Tätigkeiten, die sich auf eine allen gemeinsame Welt richten“, begriffen werden. Dadurch werde der öffentliche Platz ein Raum des Politischen und Sitz der Freiheit, wenn Freisein weder Herrschen noch Beherrschtwerden bedeute. Die digitale Stadt Amsterdam nimmt dabei nur alte Stadtmuster und damit auch die Idee der direkten Demokratie der Antike wieder auf, befindet Hoffmann: „Vernetztheit, gleicher Zugang und Anschluß waren schon immer direkte Charakteristika der Stadt.“ Die virtuelle Stadt kann also im Sinne der „electronic townhall“, wie sie auch in Minnesota installiert wurde, das basisdemokratische Leben wiederbeleben, in der Anonymität der Masse Mensch verlorengegangene Bürger wieder für das Gemeinwesen gewinnen. Sei es, daß sie sich wenigstens per Mausklick an Abstimmungen zu lokalen Problemen beteiligen, ihre Entmündigung durch die vier- oder fünfjährige Delegation wichtiger politischer Entscheidungen an gewählte Repräsentanten überwinden; sei es, daß sie Kontakte zu Menschen, denen sie in der realen Welt nie begegnet werden (z.B. wegen räumlicher oder sozialer Grenzen), aufnehmen können. Das soll z. B. auch das Ziel des Berliner PrenzlNet sein: „Datenfernziel: andere Prenzlwesen kennenlernen ... Kiezinfos austauschen und die Neuen Medien entmystifizieren, indem man mit Lötkolben herumbastelt.“ Die PrenzlNet-Mailing-List hat bereits 80 Teilnehmer, und noch sind erst wenige Standorte der Prenzlberger linken Szene - besetzte Häuser, Kiezläden - vernetzt. Dabei, betont Schmidt, ist die Idee der Rötzerschen Telepolis, „der Einstieg ins Netzbürgertum kein Monopol der politischen Linken: Der Freistaat Bayern stellt seit April über 30 Bürgernetzvereinen freie Internet-Zugänge zur Verfügung“. Ob links, ob rechts, fest steht: "Der Kern der persönlichen Raumsphäre ist der Leib. Die Grenzen dieser Raumsphäre sind in Bewegung geraten.
    ...
    Schmidt, Hilmar, Der Kiez als Netzgemeinschaft. PrenzlNet: Der Traum von der elektronischen Vernetzung des sozialen Gemeinwesens, in: Der Tagesspiegel, 11.7.1996, 30.

    http://userpage.fu-berlin.de/~huette/prenzlnet (offline)
    https://web.archive.org/web/19991003230021/http://userpage.fu-berlin.de/~huette/prenzlnet

    prenzlnet
    http://userpage.fu-berlin.de/~huette/prenzlnet

    Wir sind auf dem besten Weg in eine echte 2-Klassen-Informationsgesellschaft!
    Wie gerne schon wieder vergessen worden ist, hat die Deutsche Telekom am 1. Januar 1996 eine empfindliche Gebührenerhöhung im Ortsbereich durchgeführt. Abgesehen von der kaum tragbaren Last, die finanziell schwachen Menschen dadurch entsteht, werden auch die durchschnittlichen Modembesitzerinnen bald fast so viel Geld an die Telekom wie an ihre Vermieterinnen bezahlen.
    Die Versorgungsstrategie der Deutschen Telekom wirkt der Forderung nach flächendeckender Versorgung mit bezahlbaren Internetzugängen entgegen.

    tkg-wanze Doch damit nicht genug: zentralistisch verwaltete (und kontrollierte) ’Mailboxen mit Internetanschluß’ erobern den Markt. Den Benutzern werden dort für viel Geld wenig Mitsprache- und Gestaltungsmöglichkeiten geboten. Das Medium Internet wird zunehmend seines demokratischen und kreativen Potentials beraubt.

    Was tun?

    Boykott und Protest sind die ersten Gedanken und soweit möglich auch gut. Da sich die Entwicklung aber kaum aufhalten lassen wird, schreiten wir zur Tat:

    Wir bauen unser eigenes Netz!

    Vernetzte Studentenwohnheime gibt es ja schon. Die Idee auf einen ganzen Häuserblock (oder gar mehrere davon) auszudehnen scheint unrealistisch. Dabei hängt es einzig von den Menschen ab, welche der möglichen Zukünfte sich verwirklichen wird. Zumindest sollte man die Möglichkeiten alternativer Wege diskutieren und ausprobieren. Zu diesem Zweck hat sich unter dem Namen ’prenzlnet’ eine mailingliste formiert.
    Die folgenden Seiten zeigen erste Ergebnisse der Überlegungen.

    Wozu prenzlnet?

    Wie wollt Ihr Euch denn organisieren?

    Und wie soll das technisch funktionieren?

    Aha, aber wer bezahlt das alles?

    Die älteren Diskussionen können im prenzlnet-mailarchiv nachvollzogen werden.

    Geil, da will ich mitmachen!

    Wir sind sehr auf der Suche nach interessierten Menschen. prenzlnet-Keimzellen könnten überall im Land entstehen, auch wenn wir im Moment konkret von Berlin-Prenzlauer Berg sprechen (genau, daher auch der Name). Wem diese Idee nicht völlig abwegig erscheint und auf die mailingliste möchte, folge bitte diesem link. Interessenten, die sich konkret am Aufbau des Netzes beteiligen möchten, sollten sich per Formular eintragen.
    Als kleine Spielerei haben wir auch ein Gästebuch für Anregungen, Kommentare, Kritik, Hinweise, Sponsorenangebote...

    de.sci.politologie-FAQ
    http://faqs.cs.uu.nl/na-dir/de-sci-politologie/faq.html
    This article was archived around: 28 Jul 1997 12:00:01 +0200
    All FAQs in Directory: de-sci-politologie
    All FAQs posted in: de.sci.politologie
    Source: Usenet Version

    URL: http://www.in-berlin.de/User/prenzlnet/de.sci.politologie Das de.sci.politologie-FAQ Herausgegeben von Martin Recke (mr94@prenzlnet.in-berlin.de) und Lutz Lademann (pcsaal15@zedat.fu-berlin.de) Stand: 19. Dezember 1996 Haeufig gestellte Fragen (Frequently Asked Questions) zu Fragen der Politologie auf dem Netz. Dient zur Einfuehrung in die deutschsprachige Usenet-Newsgroup de.sci.politologie.

    #Berlin #Internet #histoire

  • Inside X, Google’s Moonshot Factory |The Atlantic (novembre 2017)
    https://www.theatlantic.com/magazine/archive/2017/11/x-google-moonshot-factory/540648

    (…) The decline in U.S. productivity growth since the 1970s puzzles economists; potential explanations range from an aging workforce to the rise of new monopolies. But John Fernald, an economist at the Federal Reserve, says we can’t rule out a drought of breakthrough inventions. He points out that the notable exception to the post-1970 decline in productivity occurred from 1995 to 2004, when businesses throughout the economy finally figured out information technology and the internet. “It’s possible that productivity took off, and then slowed down, because we picked all the low-hanging fruit from the information-technology wave,” Fernald told me.

    The U.S. economy continues to reap the benefits of IT breakthroughs, some of which are now almost 50 years old. But where will the next brilliant technology shock come from? As total federal R&D spending has declined—from nearly 12 percent of the budget in the 1960s to 4 percent today—some analysts have argued that corporate America has picked up the slack. But public companies don’t really invest in experimental research; their R&D is much more D than R. A 2015 study from Duke University found that since 1980, there has been a “shift away from scientific research by large corporations”—the triumph of short-term innovation over long-term invention.

    The decline of scientific research in America has serious implications. In 2015, MIT published a devastating report on the landmark scientific achievements of the previous year, including the first spacecraft landing on a comet, the discovery of the Higgs boson particle, and the creation of the world’s fastest supercomputer. None of these was an American-led accomplishment. The first two were the products of a 10-year European-led consortium. The supercomputer was built in China.

    As the MIT researchers pointed out, many of the commercial breakthroughs of the past few years have depended on inventions that occurred decades ago, and most of those were the results of government investment. From 2012 to 2016, the U.S. was the world’s leading oil producer. This was largely thanks to hydraulic fracturing experiments, or fracking, which emerged from federally funded research into drilling technology after the 1970s oil crisis. The recent surge in new cancer drugs and therapies can be traced back to the War on Cancer announced in 1971. But the report pointed to more than a dozen research areas where the United States is falling behind, including robotics, batteries, and synthetic biology. “As competitive pressures have increased, basic research has essentially disappeared from U.S. companies,” the authors wrote.

    It is in danger of disappearing from the federal government as well. The White House budget this year proposed cutting funding for the National Institutes of Health, the crown jewel of U.S. biomedical research, by $5.8 billion, or 18 percent. It proposed slashing funding for disease research, wiping out federal climate-change science, and eliminating the Energy Department’s celebrated research division, arpa-e.

    The Trump administration’s thesis seems to be that the private sector is better positioned to finance disruptive technology. But this view is ahistorical. Almost every ingredient of the internet age came from government-funded scientists or research labs purposefully detached from the vagaries of the free market. The transistor, the fundamental unit of electronics hardware, was invented at Bell Labs, inside a government-sanctioned monopoly. The first model of the internet was developed at the government’s Advanced Research Projects Agency, now called darpa. In the 1970s, several of the agency’s scientists took their vision of computers connected through a worldwide network to Xerox parc.

    “There is still a huge misconception today that big leaps in technology come from companies racing to make money, but they do not,” says Jon Gertner, the author of The Idea Factory, a history of Bell Labs. “Companies are really good at combining existing breakthroughs in ways that consumers like. But the breakthroughs come from patient and curious scientists, not the rush to market.” In this regard, X’s methodical approach to invention, while it might invite sneering from judgmental critics and profit-hungry investors, is one of its most admirable qualities. Its pace and its patience are of another era.

    #innovation #États-Unis #Google_X #Internet #histoire

  • How tech sleuths cracked the mysterious code that turns your printer into a spying tool
    https://www.washingtonpost.com/news/morning-mix/wp/2017/06/09/how-tech-sleuths-cracked-the-mysterious-code-that-turns-your-printer

    You wouldn’t have noticed it unless you knew where — and how — to look, but the top-secret National Security Agency document leaked to the Intercept and published Monday contained a clue that may have led authorities to its source. Spread throughout the pages were barely visible yellow dots, each less than a millimeter in diameter, repeated over and over in the same rectangular pattern. You could see them by zooming in on the pages and adjusting the color. Or, if you had the original printed (...)

    #NSA #FBI #Xerox #cryptage #surveillance #EFF

  • Our ’smart’ intervention in Libya is already escalating
    http://thehill.com/blogs/pundits-blog/defense/291705-our-smart-intervention-in-libya-is-already-escalating

    It’s an escalation that was essentially predictable, the natural progress of an imprudent war of choice waged entirely at the discretion of the executive branch. This reckless endangerment of American lives mirrors the disregard the Obama administration has shown for the Constitution, Congress and public opinion by the very fact of its Libyan interventions.

    Indeed, now as in 2011, there was no formal declaration of war to authorize our involvement in Libya. As in the fight against ISIS more broadly, the White House claims as cover the 2001 Authorization for Use of Military Force (AUMF), which at this point functions like a blank hall-pass you steal and Xerox endlessly to get free run of the middle school.

    #guerres_sans_fin #Etats-Unis

  • Now it is official: Cuba re-colonization via US Internet firms – Information Observatory
    http://informationobservatory.info/2016/03/27/now-it-is-official

    Last November, we wrote on how US tech firms with support from the US government, were moving into Cuba, occupying the country’s information sector ahead of any political détente with the US and threatening Cuba’s national sovereignty.[1] This week, US President Barack Obama made a three-day state visit to Cuba, the first US president to visit since President Calvin Coolidge in 1928. On this “historic trip,” the US president didn’t go alone. Along with his family, Obama was accompanied by a phalanx of executives from US firms including Google, Xerox, Airbnb, Priceline Group, PayPal, Xerox, Stripe, and Kiva[2] – as well as nearly 40 members of Congress.[3]

    (...) The U.S. strategy, it is evident, is to exploit the promise of modernizing Cuba’s information and communication infrastructure, in order to re-annex chunks of the country’s economy. Under the pretence of freeing the flow of information (obligingly symbolized by the superficially defiant Rolling Stones) it is actually U.S. capital that is to be set free, to work its will upon a small country that has stood up against the full measure of US power since 1959.

    #silicon_army #cuba via @cryptome

  • #Copyright_Madness (n]134) : une semaine de propriété intellectuelle en délire - Pop culture - Numerama
    http://www.numerama.com/pop-culture/143687-copyright-madness-134-une-semaine-de-propriete-intellectuelle-en-de

    En 2013, l’#OMPI a adopté le traité de Marrakech, qui prévoit de généraliser au niveau mondial des exceptions au droit d’auteur en faveur des personnes souffrant d’un #handicap visuel, afin qu’elles puissent obtenir des œuvres adaptées. L’#Union_européenne est en train d’examiner la ratification de ce traité et, si elle l’accepte, il pourra entrer en vigueur. Mais les lobbyistes de la #propriété_intellectuelle agissent pour faire barrage, prétextant que ces exceptions constitueraient pour les handicapés un « privilège injustifié » (sic). Et ils ont réussi à convaincre l’Allemagne et le Royaume-Uni de bloquer le processus. Encore une belle preuve du maximalisme dans lequel peuvent sombrer par idéologie les promoteurs de la propriété intellectuelle !

    [...] Médaille d’or. Chaque mois l’Electronic Frontier Foundation (#EFF) décerne le prix du brevet le plus stupide. En ce mois de la chandeleur, le prix a été attribué à la société Xerox pour son #brevet sur un réseau social de partage de documents physiques. On assiste une fois de plus à un cas de dépôt de brevet sur des choses existantes en employant des termes confus pour faire croire qu’il s’agit d’une véritable invention. En d’autres termes, Xerox a déposé un brevet sur… les #bibliothèques ! Les établissements de prêts de documents physiques correspondent tout à fait à la description absconse du brevet de Xeorx !

    • ces exceptions constitueraient pour les handicapés un « privilège injustifié »

      Au même titre que la carte de handicap permet la gratuité à plein de trucs, comme d’accèder à un musée national. Oui, on peut penser ce genre de choses, d’ailleurs on m’en a déjà la remarque (en plus de remettre en cause le fait que sans doute je profitai de ladite carte pour emmener mon fils dans un musée, la citée de l’architecture pour ne pas la nommer, où on ne voyait pas bien ce qu’il allait capter.

      Je suis resté hyper calme. J’ai rapidement expliqué que l’institution qui émattait cette carte par ailleurs ne remeboursait pas la totalité des soins de mon fils, lequel venait justement avec moi ce jour-là parce que son pédopsy est dans le quartier et qu’en ce moment il se pose pas mal de questions sur le sujet du paradis et de l’enfer et que j’ai pensé que d’aller regarder avec lui quelques portails notamment celui d’Autun et d’autres encore représentant le jugement dernier lui permetrrait peut-être de se représenter les choses. Tête de la préposée. Je pense qu’elle n’embêtera plus personne.

  • Racketiciel : Dernier « tir » judiciaire | AFUL
    https://aful.org/nouvelles/racketiciel-dernier-tir-judiciaire

    Les racketiciels tuent l’innovation

    Quand on observe l’informatique grand public de ces 40 dernières années, rien n’a radicalement évolué. Les principes inventés par Xerox au début des années 70 sont toujours présents dans les systèmes d’exploitation grand public. Ils sont certes toujours plus jolis, mais cela reste la même chose. Pourtant, plusieurs systèmes d’exploitations, la plupart sur base GNU-Linux, ont proposé et essayé des interfaces utilisateur très innovantes qui auraient permis à l’usage de l’informatique grand public de faire un bond en avant. Malheureusement, la situation des racketiciels rend impossible de pénétrer ce marché. Ces systèmes novateurs restent totalement inconnus des non-initiés.

  • Graphic Designer Massimo Vignelli Dies at 83 | TIME

    http://time.com/120992/massimo-vignelli-obituary

    The renowned designer did work for Bloomingdale’s, the National Park Service, Xerox, IBM and Ford and has been featured in many international exhibits

    #design #graphic-designe #massimo_vignelli

  • Intrigué par le titre de la série All Watched Over by Machines of Loving Grace , je découvre ce poème écrit par Richard Brautigan en 1967
    http://en.wikipedia.org/wiki/Richard_Brautigan
    http://www.brautigan.net/machines.html

    All Watched Over by Machines of Loving Grace
    I like to think (and
    the sooner the better!)
    of a cybernetic meadow
    where mammals and computers
    live together in mutually
    programming harmony
    like pure water
    touching clear sky.

    I like to think
    (right now please!)
    of a cybernetic forest
    filled with pines and electronics
    where deer stroll peacefully
    past computers
    as if they were flowers
    with spinning blossoms.

    I like to think
    (it has to be!)
    of a cybernetic ecology
    where we are free of our labors
    and joined back to nature,
    returned to our mammal
    brothers and sisters,
    and all watched over
    by machines of loving grace.

    Le recueil qui contient ce poème porte la mention de copyright suivante

    © Copyright 1967 by Richard Brautigan
    Permission is granted to reprint
    any of these poems in magazines,
    books and newspapers if they are
    given away free.

    Il a enregistré ses poèmes http://www.brautigan.net/recordings.html
    http://www.brautigan.net/audio/listening/pill.mp3
    (je reprends toute la piste, on trouve facilement des vidéos sur YT reprenant uniquement le premier poème)

    Track 6: The Pill versus The Springhill Mine Disaster
    – All Watched Over by Machines of Loving Grace
    – December 30,
    – A Boat
    – Haiku Ambulance
    – Death Is A Beautiful Car Parked Only
    – Karma Repair Kit

    – Crab Cigar
    – Widow’s Lament
    – The Pumpkin Tide
    – Man
    – Adrenalin Mother
    – San Francisco
    – 1942
    – At the California Institute of Technology
    – Xerox Candy Bar
    – Alas, Measured Perfectly."

    Interview sur une télévision suisse en 1983.
    Il s’est suicidé l’année suivante.
    http://www.youtube.com/watch?v=dI8woHgQ0FE

  • Meet 9 managers who crush employees’ success – Quartz
    http://qz.com/151080/meet-9-managers-who-crush-employees-success

    neuf caractéristiques pour reconnaître un mauvais manager :

    1. arrogance
    2. confusion
    3. micro-management
    4. demandes non réalistes
    5. manque de confiance en soi
    6. absence d’intérêt porté aux autres
    7. proactif (qui fait les choses à la place de ses employés)
    8. écoute sélective
    9. s’attribue tout le crédit

    (article QZ sponsorisé par Xerox)

    #management #travail

    • Pas d’accord avec le 5. Les plus mauvais sont généralement les plus convaincus de leurs qualités supérieures. Une caractéristique immanquable, c’est quand ils se plaignent d’avoir une équipe de bras cassés à manager. C’est toujours le moment de leur rappeler qu’ils sont précisément payés pour rendre une équipe, quelle qu’elle soit, efficace.

  • Tout se compare : mais d’où vient la manie de tout « benchmarker » ? | Rue89
    http://www.rue89.com/rue89-eco/2013/04/19/dou-vient-cette-manie-tout-benchmarker-241620

    Pour Isabelle Bruno et Emmanuel Didier auteurs de « #benchmarking », la manie de la comparaison est née chez Xerox dans les années 80, quand l’entreprise se met à tester tous les photocopieurs existants pour ajuster les capacités des siens. A l’origine, le benchmarking était une technique de contrôle de la qualité avant de devenir une technique de #management popularisée par Xerox. « Le benchmarking n’a pas proliféré à ce point parce qu’il était performant, mais parce qu’il a été promu explicitement. » (...)

  • http://unimore.academia.edu/PatrickCoppock/Papers/331488/A_Conversation_on_Information._An_Interview_With_Umberto_Eco

    A Conversation on Information – An Interview With Umberto Eco

    Yes, we have an excessive retrievability of information. It is neither ironical nor paradoxical, I think, what has happened with Xerox copies.

    Once I used to go to the library and take notes. I would work a lot, but at the end of my work I had, say, 30 files on a certain subject. Now, when I go into the library - this has happened frequently to me in American libraries - I find a lot of things that I xerox and xerox and xerox in order to have them. When I come home with them all, and I never read them. I never read them at all!

    via @notabene

    #économie_de_l'information #cognition #pensée #Umberto_Eco #hypertexte