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  • @vanderling
    Vanderling @vanderling 14/04/2022
    9
    @vazi
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    9

    Les forçats des déchets | Santé & travail
    ▻https://www.sante-et-travail.fr/forcats-dechets

    https://www.sante-et-travail.fr/sites/default/files/2022-04/01_ST118_COUVERTURE.jpg

    Ce sont les soutiers des temps modernes, occupés dans l’ombre à faire disparaître promptement les rebuts de la #société_de_consommation, dont nous ne saurions tolérer la vue. Environ 100 000 personnes sont employées dans le secteur des déchets, dont la moitié au traitement des ordures ménagères. Parmi elles, de nombreux salariés en insertion ou des travailleurs handicapés. Tous exposés à de multiples risques connus – pénibilité physique et mentale, horaires décalés, manipulation de #produits_toxiques, manque de reconnaissance, etc. – ou moins documentés, comme la contamination par bactéries et moisissures, lors des manutentions en centre de tri ou de compostage.
    Car les politiques publiques environnementales, aussi vertueuses et nécessaires soient-elles, ont laissé le travail dans un angle mort. Qui sait que les piles et batteries équipant nos objets du quotidien sont recyclées, à cause de leur dangerosité, dans des usines classées Seveso, où les équipes d’ouvriers se relaient en 3 x 8, y compris les jours fériés ? Il est temps pour l’économie circulaire de penser aux enjeux de santé au #travail. Des pistes se dessinent : intégrer l’ergonomie du recyclage dès la conception des produits. Ou faire coopérer les professionnels de l’ensemble d’une filière sur les conditions de travail. Et surtout valoriser enfin des métiers et des travailleurs essentiels à la préservation de l’environnement.

    ▻https://basta.media/Recycler-trieur-de-dechets-sytcom-conditions-de-travail-Ecosystem-emplois-v

    Vanderling @vanderling
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 15/04/2022

      #déchets #ordures_ménagères #risques #risques_professionnels #pénibilité #reconnaissance #contamination #bactéries #moisissures #batteries #économie_circulaire #recyclage #santé_au_travail #conditions_de_travail

      CDB_77 @cdb_77
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  • @cuisinelibre
    Cuisine-libre.org @cuisinelibre via RSS CC BY 8/04/2022

    Steak de chou-fleur au grana padano
    ▻https://www.cuisine-libre.org/steak-de-chou-fleur-au-grana-padano

    Couper les deux choux-fleurs en tranches, afin d’obtenir 4 tranches de 3 cm d’épaisseur. Il est possible de les couper horizontalement ou verticalement, mais il est important d’inclure la tige au milieu de chaque tranche. Une fois les 4 steaks obtenus, utiliser les restes du #Chou-fleur pour la purée. Dans une casserole, faire revenir l’oignon haché avec un peu d’huile et une pincée de sel pendant environ 10-15 minutes. Pendant ce temps, faire bouillir les restes de chou-fleur dans de l’eau salée… Chou-fleur, #Parmesan, #Steaks, #Italie / #Végétarien, #Sans viande, #Sans gluten, Sauté

    #Sauté

    Cuisine-libre.org @cuisinelibre via RSS CC BY
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 8/04/2022

      https://www.cuisine-libre.org/local/cache-gd2/62/b2c70b267cbc5497249ed1d2326629.jpg?1645751854#.jpg

      CDB_77 @cdb_77
    • @metroet_
      métroet+ @metroet_ 8/04/2022

      #Belgique : L’Afsca rappelle les produits Kinder d’Arlon (exporté dans 45 pays) et retire le permis de production à l’usine
      ▻https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2022/04/08/l-afsca-rappelle-les-produits-kinder-d-arlon-et-retire-le-permis

      L’Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca) a annoncé ce vendredi rappeler la totalité des produits Kinder fabriqués à Arlon (en province du Luxembourg) et retirer à ce site son autorisation de production, en raison d’une centaine de cas de salmonellose identifiés en Europe ces dernières semaines.

      Un lien effectué fin mars entre ces intoxications et l’usine de production Ferrero d’Arlon a été confirmé depuis lors", souligne l’Afsca. Depuis, l’Agence fédérale a mené une enquête approfondie au sein du site de production d’Arlon. « Suite aux constats et à des informations incomplètes de la part de Ferrero, l’Afsca retire l’autorisation de production du site à Arlon », précise l’Afsca.

      https://images.vrt.be/width960/2022/04/05/4b06ad4a-b4e2-11ec-b07d-02b7b76bf47f.jpg

      Jusqu’ici, seul un certain nombre de lots avaient été retirés de la vente. Mais l’Afsca a désormais décidé de rappeler de manière exhaustive tous les produits de types ’Kinder Surprise’, ’Kinder Surprise Maxi’, ’Kinder Mini Eggs’ & ’Schoko-bons’, indépendamment des lots ou dates de péremption. L’Afsca demande donc de ne consommer aucun produit susmentionné et appelle les entreprises de distribution à retirer toutes ces friandises des rayons.

      L’Afsca a par ailleurs exigé de Ferrero « une approche client irréprochable » alors que l’entreprise italienne a fait l’objet de critiques depuis le début de ce scandale sanitaire. L’Agence fédérale affirme suivre de près les étapes entreprises par Ferrero et n’autorisera la réouverture du site qu’après avoir pu conclure que l’établissement répond à l’ensemble des règles et exigences de sécurité alimentaire. Entretemps, l’enquête menée sur le site du groupe italien se poursuit.

      « Une telle décision n’est jamais prise à la légère, mais les circonstances actuelles l’imposent », explique le ministre de l’Agriculture, David Clarinval, dont la tutelle sur l’Afsca fait partie de ses compétences. « La sécurité alimentaire de nos concitoyens ne peut jamais être négligée. »

      « Seuls les produits fabriqués à Arlon concernés »
      De son côté, Ferrero reconnaît dans un communiqué « des défaillances internes qui ont retardé la récupération et le partage d’informations dans les délais impartis ». Le groupe précise que seuls les produits fabriqués à Arlon sont concernés et insiste sur le fait qu’ils ne représentent que « 7% du total des produits Kinder fabriqués chaque année » dans ses usines.

      L’entreprise décrit la fermeture comme « la seule solution pour garantir le niveau de sécurité alimentaire le plus élevé et éliminer le risque d’autres contaminations ». Jeudi, l’entreprise avait indiqué que la présence de salmonelles avait été détectée le 15 décembre sur un filtre à la sortie de deux réservoirs de matières premières sur son site à Arlon.

      Les consommateurs ayant des questions doivent s’adresser au service client de Ferrero via son call center : Consumer.Service.benelux@ferrero.com ou 0800 21042. Selon le site internet de Ferrero, l’usine d’Arlon, ouverte en 1989, emploie 725 personnes, « un chiffre qui peut monter jusqu’à 1.100 en période de pointe saisonnière ».

      Les huit lignes de production du site arlonais fabriquent quotidiennement près de 18 millions de Kinder Schoko-Bons, 2 millions de Kinder Surprise et 4 millions de Raffaello. « Au total, 96% du volume de production est exporté vers 45 pays dans le monde », indique encore le site de l’entreprise.

      #ferrero #bactéries #nutella #multinationales #huile_de_palme #exploitation #kinder #agro-alimentaire #alimentation #nestlé #conditions_de_travail #marque #salmonelles #salmonelle #alimentation

      métroet+ @metroet_
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 8/04/2022
      @cuisinelibre

      @cuisinelibre je ne comprends pas cette histoire « steak » à propos de plat de végétarien (et ça me gave assez ces détours comme si c’était honteux de ne pas manger de viande).

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @colporteur
      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 9/04/2022

      je trouve plus honteux d’ajouter du chocolat pérave qui aurait du faire l’objet d’un seen spécifique (que je vous avais épargné : il y a foule au portillon des productions alimentaires de masse « rappelées » ces jours-ci) pour atteindre 90 abonnés (dont des qui ont bloqué cet expéditeur) au lieu de 20

      le « steak » c’est soit le pire (steak avec 85% de viande et on ne sait trop quoi, dans les rayons des grandes surfaces), soit la bonne intention : aider qui est habitué à la grillade à modifier son pli avec des machins qui se saisissent, se font griller (un usage particulier de l’huile comme exhausteurs de gout), deviennent croquant en surface et ne sont pas sucrés, pour pas dire galette, beignet, ou que sais-je qui ne serait d’ailleurs pas plus approprié à divers types de plats du genre. ça me parait caractéristique de la transition encours, et pas si grave (même si on peut préférer des désignations plus spécifiques).

      #trolling

      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 21/03/2022
    @isskein @karine4

    Une personne sans titre de séjour sur six souffre de troubles de stress post-traumatique en France

    Les Troubles de stress post-traumatique (TSPT) sont des #troubles_psychiatriques qui surviennent après un #événement_traumatisant. Ils se traduisent par une #souffrance_morale et des complications physiques qui altèrent profondément la vie personnelle, sociale et professionnelle. Ces troubles nécessitent une #prise_en_charge spécialisée. Pour les personnes sans titre de séjour, la migration peut avoir donné lieu à des expériences traumatiques sur le #parcours_migratoire ou dans le pays d’accueil, qui peuvent s’ajouter à des traumatismes plus anciens survenus dans le pays d’origine, alors que les #conditions_de_vie sur le sol français sont susceptibles de favoriser le développement de TSPT.
    Quelle est la prévalence des troubles de stress post-traumatique au sein de cette population encore mal connue ? Comment les #conditions_de_migration et les #conditions_de_vie dans le pays d’accueil jouent-elles sur leur prévalence ? Quel est l’accès à l’Aide médicale de l’Etat (#AME) des personnes qui en souffrent ?
    54 % des personnes interrogées dans l’enquête Premiers pas, menée en 2019 à Paris et dans l’agglomération de Bordeaux auprès de personnes sans titre de séjour, déclarent avoir vécu un événement traumatique. 33 % dans leur pays d’origine, 19 % au cours de la migration, et 14 % en France. La prévalence des TSPT atteint 16 % parmi les personnes sans titre de séjour, tandis qu’elle est estimée entre 1 à 2 % en population générale en France (Vaiva et al., 2008 ; Darves-Bornoz et al., 2008). Les conditions de vie précaires en France sont associées à des prévalences plus élevées de TSPT. Parmi les personnes souffrant de TSPT éligibles à l’AME, 53 % ne sont pas couvertes, contre 48 % dans le reste de cette population.

    ▻https://www.irdes.fr/recherche/2022/qes-266-une-personne-sans-titre-de-sejour-sur-six-souffre-de-troubles-de-stres
    #trouble_de_stress_post-traumatique (#TSPT) #statistiques #chiffres #traumatisme #sans-papiers #France #santé_mentale #psychiatrie #accès_aux_soins #précarité

    ping @isskein @karine4

    CDB_77 @cdb_77
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  • @disclose
    Disclose @disclose via RSS 10/03/2022
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    @cdb_77
    @odilon
    @colporteur
    @sombre
    @kassem
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    Soignantes, le grand épuisement
    ▻https://disclose.ngo/fr/article/soignantes-le-grand-epuisement

    https://admin.disclose.ngo/wp-content/uploads/2022/03/partage_article_3.jpg

    A l’hôpital, les infirmières et les aides-soignantes sont les plus touchées par les accidents du travail, et les plus exposées aux risques cancérogènes. Des soignantes doivent encore se battre pour faire reconnaître leurs maladies professionnelles. Lire l’article

    https://admin.disclose.ngo/wp-content/uploads/2022/03/partage_article_3.jpg

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    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 10/03/2022

      #travail #conditions_de_travail #femmes #santé #hôpital #soignantes #aides-soignantes #accidents_de_travail #cancer #risques_cancérogènes #maladies_professionnelles #santé_au_travail #absentéisme #effectif #épuisement #blessures #bionettoyage #travail_de_nuit #produits_chimiques #pénibilité #cancer_du_sein #rayons_x #radiations #infirmières #sages-femmes #chimiothérapie

      CDB_77 @cdb_77
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  • @disclose
    Disclose @disclose via RSS 9/03/2022
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    @cdb_77
    @colporteur
    2

    Lidl : révélations sur un système qui brise ses salariées
    ▻https://disclose.ngo/fr/article/lidl-systeme-brise-salariees

    https://admin.disclose.ngo/wp-content/uploads/2022/03/partage_article_4.jpg

    Selon des documents internes à la multinationale allemande, Lidl évalue et classe ses 1 500 magasins selon leur performance. Un système qui inciterait à ne pas déclarer les accidents du travail des salariées. Lire l’article

    https://admin.disclose.ngo/wp-content/uploads/2022/03/partage_article_4.jpg

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    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 9/03/2022

      #accidents_de_travail #travail #conditions_de_travail #femmes #Lidl #supermarchés #grande_distribution #performance

      CDB_77 @cdb_77
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  • @disclose
    Disclose @disclose via RSS 8/03/2022
    3
    @odilon
    @cdb_77
    @colporteur
    3

    Aides à domicile, les sacrifiées de la santé
    ▻https://disclose.ngo/fr/article/aides-domicile-sacrifiees-sante

    https://admin.disclose.ngo/wp-content/uploads/2022/03/partage_article_2.jpg

    Le nombre d’accidents du travail chez les aides à domicile a augmenté de 110 % en dix ans. En cause, la précarisation du métier, la course à la rentabilité et les cadences extrêmes. Lire l’article

    https://admin.disclose.ngo/wp-content/uploads/2022/03/partage_article_2.jpg

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    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 8/03/2022

      #aide_à_domicile #accidents_de_travail #travail #conditions_de_travail #femmes #précarisation #rentabilité #cadences #santé #auxiliaires_de_vie #Colisée #silver_economy #économie_des_seniors #Ehpad #aides-soignantes #maltraitance

      CDB_77 @cdb_77
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 7/03/2022
    1
    @jacotte
    1

    Révélations sur la souffrance des femmes au travail - Actualités - Disclose.ngo
    ►https://disclose.ngo/fr/article/revelations-souffrance-femmes-travail

    #Disclose a enquêté sur les #conditions_de_travail des plus de 2 millions de #travailleuses dites « essentielles » : #infirmières, #aides-soignantes, #caissières, #aides_à_domicile. Nous sommes allés à leur rencontre dans le Jura, en Bretagne mais aussi en Auvergne ou encore à Lyon. Elles travaillent pour Lidl, Casino, le groupe Colisée, l’ADMR et dans nos hôpitaux. Certaines témoignent à visage découvert des souffrances physiques et psychologiques subies au cours de leur carrière. D’autres se sont confiées anonymement, de peur d’être sanctionnées par leurs employeurs. Toutes ont un point commun : leurs conditions de travail détruisent leur santé.

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 8/03/2022
      @disclose

      Pour info, Disclose a un compte sur seenthis : @disclose

      sur cette affaire, voir : ▻https://seenthis.net/messages/951997

      CDB_77 @cdb_77
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  • @rezo
    Rezo @rezo via RSS 7/03/2022
    7
    @vanderling
    @monolecte
    @metroet_
    @biggrizzly
    @tout_va_tres
    @7h36
    @bce_106_6
    7

    « Silence, des ouvriers meurent » : sur les chantiers du Grand Paris, des accidents de travail à répétition | Pierre Jequier-Zalc
    ▻https://basta.media/Accidents-du-travail-chantiers-Grands-Paris-Jeux-Olympiques-silence-des-ouv

    Basta ! a recensé au moins quatorze accidents du travail graves, dont quatre ayant entraîné la mort d’ouvriers, sur les chantiers liés au Grand Paris et aux Jeux olympiques. Le recours à l’intérim et à la sous-traitance en cascade pose question. Source : Basta !

    Rezo @rezo via RSS
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 8/03/2022

      #Grand_Paris #accidents_de_travail #travail #conditions_de_travail #décès #Jeux_Olympiques #JO #sous-traitance

      CDB_77 @cdb_77
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  • @disclose
    Disclose @disclose via RSS 7/03/2022
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    @cdb_77
    @rezo
    @vanderling
    @monolecte
    @7h36
    @metroet_
    @grommeleur
    @bce_106_6
    8

    Casino accusé « d’atteinte à la santé » de ses salariées
    ▻https://disclose.ngo/fr/article/casino-brise-sante-femmes

    https://admin.disclose.ngo/wp-content/uploads/2022/03/article_casino.jpg

    Des documents confidentiels obtenus par Disclose dévoilent la violence subie par les premières lignes du géant Casino. Face à l’inaction de la direction, une expertise indépendante a été déclenchée dans les 400 supermarchés et hypermarchés du groupe. Lire l’article

    https://admin.disclose.ngo/wp-content/uploads/2022/03/article_casino.jpg

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    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 7/03/2022

      #femmes #travail #femmes_au_travail #conditions_de_travail #santé
      #Casino #supermarché #grande_distribution #licenciement #inaptitude #licenciement #troubles_musculo-squelettiques (#TMS) #maladies_professionnelles #épuisement_physique #harcèlement #brimades #médecine_du_travail #dépression #stress #arrêt_de_travail #risques_psychosociaux #urgence #pression #détresse #dysfonctionnements #précarisation

      CDB_77 @cdb_77
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  • @disclose
    Disclose @disclose via RSS 7/03/2022
    2
    @cdb_77
    @odilon
    2

    Révélations sur la souffrance des femmes au travail
    ►https://disclose.ngo/fr/article/revelations-souffrance-femmes-travail

    https://admin.disclose.ngo/wp-content/uploads/2022/03/partage_article_1.jpg

    En l’espace de vingt ans, la santé des femmes au travail s’est lourdement dégradée. Premières victimes de ce fléau invisibilisé par les pouvoirs publics : les travailleuses essentielles. Lire l’article

    https://admin.disclose.ngo/wp-content/uploads/2022/03/partage_article_1.jpg

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    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 7/03/2022
      @wereport

      https://i.imgur.com/6Z1jq69.png https://i.imgur.com/4AQpqIM.png

      #femmes #travail #femmes_au_travail #conditions_de_travail #santé #santé_au_travail #souffrance #travailleuses_essentielles #confinement #supermarchés #caissières #féminisation_du_travail #infirmières #aides-soignantes #aides_à_domicile #hôpital #hôpitaux #Lidl #Casino #Colisée #ADMR #cancers #TMS #dépression #maladies_professionnelles #accidents_de_travail #pénibilité #travail_répétitif #intensification #précarisation #licenciement #inaptitude #division_sexuelle_du_travail #usure #invisibilité #La_Poste

      #statistiques #chiffres #France

      une enquête du collectif de journalites @wereport

      CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 5/03/2022
    @isskein @karine4

    EU anti-fraud watchdog has completed Frontex probe

    https://media.euobserver.com/97d5eb7730b7b2386c209e897198b760-800x.jpg

    The EU’s anti-fraud office Olaf has finalised its year-long investigation into Europe’s border and coast guard force, Frontex.

    The probe was launched in January 2021 after investigators raided the offices of Frontex’s executive director #Fabrice_Leggeri and his chief of staff, #Thibauld_de_La_Haye_Jousselin.

    The investigation, or investigations, that then ensued could lead to sanctions for officials at the Warsaw-based agency, but details so far are scant, and Olaf has not described the grounds on which it undertook the probe.

    On Monday (21 February) Olaf offered only a brief confirmation that it had “closed an investigation concerning Frontex on 15 February 2022.”

    But previous press reports by EUobserver (▻https://euobserver.com/migration/150574) and Politico Europe (▻https://www.politico.eu/article/frontex-growing-pains-europe-migration-border-coast-guards-hiring-chaos) have suggested the probe could be linked to human resource problems with recruitment and staff travel woes, as well as internal office harassment - not just the illegal #pushbacks of migrants and asylum seekers.

    The Olaf investigation is expected to be discussed by the Frontex #management board later this week.

    That board is composed of national police and interior ministry officials, plus two representatives from the European Commission, and is tasked “to exercise oversight over the agency,” according to the EU regulation underpinning Frontex.

    The board also is expected to determine the severity of #sanctions, if any, and that determination could come around the beginning of March.

    Olaf’s director general Ville Itala is expected, on 28 February, to brief European Parliament lawmakers who are members of a budget oversight committee — but those talks will not be public.

    The budget for Frontex last year was €543m, making it the EU’s best funded agency.

    The European Parliament had decided to reduce the size of the agency’s 2022 budget by roughly €90m as a result of concerns, including the agency’s failure to hire fundamental rights monitors to hold border guards accountable for possible violations of the rights of asylum seekers.

    But just over a year later, it had missed that target, and others, triggering an internal spat between the agency and EU commissioner for home affairs, Ylva Johansson.

    The parliament also took issue with the agency’s slow response in setting up a system to make it easier for border guards to report possible wrongdoing, including violations of the rights of asylum-seekers along the EU’s external border.

    Separately, Frontex has come in for criticism from the European Court of Auditors, the EU’s official spending watchdog, which took issue with Frontex accounting standards.

    The auditors found, among other things, that the agency’s operational reporting lacks information on actual costs and performance. Frontex was “its own worst enemy,” the auditors said (▻https://euobserver.com/migration/152070).

    The European Ombudsman, an EU administrative watchdog, also has faulted Frontex for lack of transparency and for failing to set up an adequate system allowing asylum seekers to issue complaints about their treatment.

    ▻https://euobserver.com/migration/154402

    #Olaf #fraude #anti-fraude #Frontex #frontières #migrations #réfugiés #enquête #refoulements #conditions_de_travail #droits_humains #transparence

    ping @isskein @karine4

    CDB_77 @cdb_77
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  • @rezo
    Rezo @rezo via RSS 3/03/2022
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    @monolecte
    @fil
    @7h36
    @jacotte
    @ant1
    5

    Livreurs UberEats ou Deliveroo, ils risquent leurs vies pour un burger | Lina Rhrissi
    ►https://www.streetpress.com/sujet/1646309485-livreurs-ubereats-deliveroo-morts-route-accident-uberisation

    Poussés par des algorithmes, les livreurs UberEats et Deliveroo risquent leurs peaux, forcés d’aller toujours plus vite pour des revenus de plus en plus bas. Depuis trois ans, 11 sont morts sur les routes. Et les blessés se comptent par milliers. Source : StreetPress

    Rezo @rezo via RSS
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 5/03/2022

      #uber #Deliveroo #Uber_eats #risques #morts #décès #blessés #uberisation #conditions_de_travail #travail #livreurs

      CDB_77 @cdb_77
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 2/03/2022
    1
    @fonkisifou
    1

    Stress, peur, pression : le difficile quotidien des salariés du réacteur nucléaire Iter
    ▻https://reporterre.net/Stress-peur-pression-le-difficile-quotidien-des-salaries-du-reacteur-nuc

    « L’Organisation #Iter a instauré une gestion par la peur », a déclaré ce lundi 28 février Michel Claessens, directeur de la communication de 2011 à 2015 et « ITER policy officer » à la Commission européenne de 2016 à 2021. « Mes collègues subissent un stress insupportable, une peur omniprésente, la peur de parler. Il y a dans ce projet de pointe une omerta scientifique. Elle conduit à des dérives inacceptables concernant le personnel et la radioprotection. » Il était entendu lors d’une réunion exceptionnelle consacrée au projet Iter par la Commission de contrôle budgétaire du Parlement européen. Bernard Bigot, directeur de l’Organisation d’Iter, a annulé sa participation à la réunion au Parlement européen, expliquant dans un message qu’« il ne souhaitait pas s’exprimer en présence de Michel Claessens ». Cette rencontre a été organisée suite au rapport accablant de cet ancien directrice de la communication, spécialiste de la fusion, et au suicide en mai 2021 d’un ingénieur italien de 38 ans au sein de l’agence Fusion 4 Energy de Barcelone, qui coordonne le projet Iter au niveau européen.

    #nucléaire

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 3/03/2022

      #travail #conditions_de_travail #peur #stress #pression #personnel #suicide #Fusion_4_energy #projet_Iter #fusion_nucléaire

      CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 20/02/2022
    1
    @02myseenthis01
    1

    Asile, une industrie qui dérape

    Le traitement des demandes d’asile en Suisse est devenu une véritable industrie, avec des #centres_fédéraux gérés principalement par des sociétés privées. Employés mal payés, manque cruel de formation, dérapages violents, dérives bureaucratiques, accès aux soins problématique : des témoignages et des documents d’enquêtes pénales inédits permettent de percer la boîte noire des centres fédéraux d’asile.

    ▻https://pages.rts.ch/emissions/temps-present/12754866-asile-une-industrie-qui-derape.html

    #Budget de fonctionnement des centres : 215 millions en 2021, dont 57 mio à l’encadrement et 60 millions à la sécurité (min 53’50) :

    https://i.imgur.com/6D2NHJ5.png

    Dans le reportage, l’histoire de #Sezgin_Dag est racontée. Sezgin décède dans un taxi qui était en train de l’amener à l’hôpital (à partir de la minute 3’06).

    #asile #migrations #réfugiés #privatisation #business #Suisse #ORS #Protectas
    #violence #accélération_des_procédures #procédures_accélérées #accès_aux_soins #souffrance #témoignage #industrie_de_l'asile #business #SEM #Securitas #coût #dysfonctionnement #Boudry #cellule_de_réflexion #décès #morts #suicides #automutilations #traumatismes #dérapages #Gouglera #injures #violence_systématique #frontaliers #conditions_de_travail #plan_d'exploitation_hébergement (#PLEX) #fouilles #nourriture #alimentation #punitions #privations_de_sortie #mesures_disciplinaires #horaires #pénalité #formation #spray #agents_de_sécurité #salaires #centres_pour_récalcitrants #récalcitrants #Verrières #centres_spécifiques #centre_des_Verrières #disparitions #délinquance #optimisation #sécurité #prestations #société_anonyme

    –-
    Ajouté à la métaliste sur #ORS en Suisse :
    ►https://seenthis.net/messages/884092

    CDB_77 @cdb_77
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  • @filmsforaction
    filmsforaction [RSS] @filmsforaction via RSS 19/02/2022
    3
    @cdb_77
    @sombre
    @02myseenthis01
    3

    Fast Fashion - The Shady World of Cheap Clothing
    ▻https://www.filmsforaction.org/watch/fast-fashion-the-shady-world-of-cheap-clothing

    Fast fashion has radically transformed the textile industry. These days, 56 million tons of clothing are sold every year. But cheap garments come at a high price: A precarious existence for...

    filmsforaction [RSS] @filmsforaction via RSS
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 19/02/2022

      #mode #fashion #industrie_textile #habits #précarité #travail #conditions_de_travail

      CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 21/01/2022

    Une #métaliste des fils de discussion autour de la #précarisation de la #carrière des enseignant·es-chercheur·es dans les universités suisses.

    #corps_intermédiaire #université #Suisse #recherche #travail #conditions_de_travail

    CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 21/01/2022

      Dans ce fil de discussion :
      ►https://seenthis.net/messages/822513

      – Une #relève académique en #souffrance
      – « #Burn-out » en série chez les chercheurs genevois
      – #Malaise dans la recherche
      – #Actionuni der Schweizer Mittelbau. Representing scientific staff in Switzerland
      – Des doctorants suisses réclament de meilleures conditions de travail
      – Dans les universités suisses, huit chercheurs sur dix n’ont pas de contrat fixe
      – Ein Königreich für einen Lehrstuhl
      – Forschende der Universität Zürich fühlen sich ausgebeutet
      – Le débat - La Suisse forme-t-elle trop de chercheurs ?
      – Un environnement de travail toxique ? Débat sur les conditions de travail du corps intermédiaire
      – Parliamentary resolutions
      – Les hautes écoles universitaires s’emploient à promouvoir des conditions de travail, d’enseignement et de recherche optimales en faveur de la relève scientifique

      #université_de_Zurich #Zurich #relève

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 21/01/2022

      A #Lausanne, les chercheurs précaires s’inquiètent pour leurs contrats
      ►https://seenthis.net/messages/853198

      #UNIL

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 21/01/2022

      Dans ce fil de discussion :
      ▻https://seenthis.net/messages/917606

      – Les #jeunes_chercheurs gagnés par la précarité
      – Une #pétition nationale pour mettre fin à la précarité dans les #hautes_écoles suisses
      – Comprendre le néolibéralisme universitaire français à partir de la Suisse
      – Les universitaires dénoncent leur précarité à Berne : interview de Laure Piguet

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 21/01/2022

      Dans ce fil de discussion :
      ▻https://seenthis.net/messages/941528

      – Une décision de #justice avive le débat sur la précarité des chercheurs
      -Entendre le #mal-être du monde académique

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 21/01/2022

      #Pour_la_recherche - #Pétition nationale
      ▻https://seenthis.net/messages/621865

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 21/01/2022

      L’enquête de l’#Université_de_Genève montre un système académique à bout de souffle
      ▻https://seenthis.net/messages/945131

      CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 21/01/2022

    L’enquête de l’#Université_de_Genève montre un système académique à bout de souffle

    Les situations de #précarité et de #harcèlement relevées ne sont pas des cas isolés, mais bien la conséquence d’un mal structurel qui ronge le #système_académique, estime l’association genevoise du corps intermédiaire.

    Un système « à bout de souffle ». C’est ce qui ressort de l’étude commandée par l’Université de Genève (#Unige), qui désirait faire un #état_des_lieux de la situation professionnelle du #corps_intermédiaire, aux rudes conditions de travail. Les propos sont de Mathilde Matras, membre du comité de l’Association commune du corps intermédiaire des collaborateur·rice·s de l’enseignement et de la recherche (#Accorder). « Les conclusions de cette #enquête montrent que les problèmes pesant sur les #personnels du corps intermédiaire ne sont pas des cas individuels, mais bien un #mal_structurel », analyse cette assistante doctorante à la Faculté des lettres de l’institution genevoise.

    Le corps intermédiaire représente les chercheurs non titularisés, c’est-à-dire non professeurs. Il englobe les jeunes en début de carrière tels que les #post-doctorants, mais aussi d’autres grades et postes tels que les #collaborateurs_scientifiques, les #chargés_de_cours et autres #maîtres-assistants. A Genève, ce sont 3800 personnes qui sont concernées. Majoritairement sous contrat à durée déterminée, ils disent souffrir de la précarité inhérente à leur profession. De tels contrats sont la conséquence de l’organisation du #financement de la science, où la majorité des #bourses sont allouées sur de courtes périodes, allant d’un à quatre ans.

    L’#excellence se résume à la #productivité

    La présente enquête, pour laquelle l’association Accorder a été consultée, a établi que la moitié des répondants disent craindre de glisser dans la précarité. « C’est plus qu’un sentiment, c’est vraiment de la précarité, nuance Mathilde Matras. Une grande partie des personnes qui se disent précaires sont âgées de 35 à 40 ans et ont parfois derrière elles sept à huit ans de contrats courts ; 50% ne prennent pas l’intégralité de leurs congés et 95% disent travailler sur leur temps libre. Le système académique actuel résume l’#excellence_scientifique d’un chercheur à sa productivité », commente Mathilde Matras.

    Par ailleurs, les cas de harcèlement sont en nombre inquiétant : 22% des répondants disent y avoir été confrontés personnellement. Par ailleurs, 3,4% des sondés ont affirmé être victimes de #harcèlement_sexuel et 12,9% signalent avoir été témoins de tels agissements. Pour Mathilde Matras, « une personne sur cinq confrontée au harcèlement, c’est alarmant. On peut y voir notamment les effets d’une trop grande #concentration_des_pouvoirs par le #corps_professoral, ce qui favorise de multiples #abus ». Et comme souvent, personne n’ose parler, soit par solidarité, soit par crainte pour sa #carrière, ajoute la chercheuse.

    Le rectorat de l’Unige dit mettre en place un plan d’action pour améliorer la situation. Il prévoit notamment de mieux informer sur les carrières, de valoriser les voies non académiques au sein de l’université et enfin de déployer des formations complémentaires « facilitant la transition hors de l’alma mater ». Un premier pas dans un chantier qui s’annonce immense, et qui de par son caractère structurel dépasse le cadre de l’université.

    ▻https://www.letemps.ch/sciences/lenquete-luniversite-geneve-montre-un-systeme-academique-bout-souffle

    #université #facs #Suisse #Genève #rapport #silence #risques

    –-

    ajouté à la métaliste sur les conditions de travail et la précarité dans les universités suisses :
    ►https://seenthis.net/messages/945135

    CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 21/01/2022

      ENQUETE #CCER

      https://www.unige.ch/doctorat/files/3416/4199/7314/A4-Couv-EnqueteCCER-2021_003_page-0001-1.jpg

      #Conditions_de_travail et de carrière du corps intermédiaire à l’Université de Genève

      L’Université de Genève (UNIGE) a mené pendant l’été 2021 une enquête approfondie sur les conditions de travail et de carrière du corps des collaborateurs/trices de l’enseignement et de la recherche (CCER). Les résultats ont mis en lumière des points de satisfaction ainsi que plusieurs points problématiques.

      L’enquête menée par l’UNIGE a été élaborée par le Rectorat après consultation des membres de l’association représentative du CCER ACCORDER, de l’Assemblée de l’Université, de la Commission du Personnel et de deux expertes en gestion des ressources humaines. Elle repose sur un questionnaire comprenant trois parties distinctes. La première partie, très courte, se concentre sur l’ambition de carrière des membres du CCER et l’attractivité des postes CCER de l’UNIGE ; la deuxième partie approfondit sept thématiques liées au cadre professionnel ; la troisième partie cherche à objectiver les risques impactant le développement des carrières académiques.

      Cette enquête a obtenu 772 réponses (20% du public considéré) au questionnaire court, et 542 à l’ensemble des questions. La distribution des répondant-es parmi les différentes Facultés et Centres reflète correctement leurs poids respectifs.
      Vidéo de présentation par la vice-rectrice Brigitte Galliot de l’enquête sur les conditions de TRAVAIL et dE CARRIERES du CCER

      ▻https://www.unige.ch/doctorat/fr/enquete-2021-sur-le-ccer

      CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 10/01/2022

    Conversation avec #Anthony_Edo : l’#immigration tire-t-elle les #salaires et l’#emploi vers le bas ?

    Cet article est publié dans le cadre de la série du CEPII « L’économie internationale en campagne », un partenariat CEPII–La Tribune–The Conversation–Xerfi–Canal. Anthony Edo, économiste au CEPII, docteur en économie (Paris 1 et École d’économie de Paris), est spécialiste des questions d’immigration. Il répond aux questions d’Isabelle Bensidoun et Jézabel Couppey-Soubeyran.

    L’idée selon laquelle l’immigration se traduit fatalement par une dégradation du #marché_du_travail est-elle juste ?

    Elle le serait si le facteur démographique (ici l’augmentation du nombre de travailleurs) était le seul déterminant du #salaire_moyen et de l’emploi. Si tel était le cas, en effet, l’arrivée de nouveaux travailleurs signifierait plus de #concurrence entre tous et, par conséquent, l’emploi pris par les uns détruirait celui des autres.

    Mais le marché du travail n’est pas figé : la quantité de travail n’est pas une grandeur fixe à partager. Cette quantité peut varier, en l’occurrence augmenter, selon la capacité des entreprises à réagir à l’arrivée de nouveaux travailleurs : vont-elles adapter leur stock de capital et leur technique de production de façon à maintenir un niveau élevé de capital par travailleur, auquel cas la productivité de ces derniers sera au même niveau qu’avant le choc migratoire ? Tout dépend aussi de l’ampleur des effets induits de l’immigration : les immigrés ne sont pas seulement des travailleurs, ils consomment, entreprennent, innovent et participent ainsi à la création de richesses et exercent, en conséquence, des effets positifs sur la croissance, les salaires et l’emploi.

    Mais alors comment fait-on pour évaluer les effets de l’immigration sur les salaires et l’emploi ?

    En effet, ce n’est pas simple. Par exemple, on pourrait se dire qu’il suffit d’évaluer si les zones géographiques où la présence immigrée a le plus augmenté sont aussi celles où le salaire moyen (ou l’emploi) a le plus augmenté, ou baissé, pour savoir si l’effet de l’immigration sur les salaires (l’emploi) est positif ou négatif. Mais ce serait considérer que les choix de résidence des immigrés sont indépendants des conditions économiques locales. Or, ils peuvent ne pas l’être. En effet si les immigrés sont plus enclins à s’installer dans les régions les plus dynamiques sur le plan économique, alors l’effet mesuré sur les salaires ou l’emploi pourrait refléter ce choix plutôt que l’effet de la présence immigrée.

    Pour contourner cette difficulté, il est possible d’exploiter des épisodes historiques d’immigration soudaine, massive et non-anticipée. Dans ces cas particuliers, les choix de localisation des immigrés sont vraisemblablement moins connectés aux performances économiques du pays d’accueil. C’est ce que les économistes David Card, pour les États-Unis, et Jennifer Hunt, pour la France, ont fait. Le premier évalue les conséquences économiques de l’arrivée de plus de 125 000 réfugiés cubains à Miami en 1980. La seconde examine les conséquences du rapatriement d’environ 900 000 Français d’Algérie entre 1962 et 1968 (suite à l’indépendance de l’Algérie) sur l’emploi et les salaires des travailleurs résidant en métropole.

    Quels sont les résultats de ces études ?

    Les résultats de #David_Card indiquent que le #choc_migratoire n’a eu aucun effet sur le salaire et le taux d’emploi moyen de Miami. Ceux de #Jennifer_Hunt montrent qu’en moyenne le rapatriement des 900 000 Français d’Algérie a eu un effet négatif, bien que limité, sur l’emploi et les salaires des métropolitains. La principale conclusion de ces études est que l’immigration n’a pratiquement #pas_d’effets sur le salaire et l’emploi moyens des travailleurs.

    Des études plus récentes (théoriquement fondées et neutralisant les problèmes liés aux choix de localisation des immigrés), menées aux États-Unis, en Grande-Bretagne, en Allemagne et en France, le confirment. Certaines d’entre elles montrent même que l’immigration a parfois des effets légèrement positifs sur le salaire moyen des natifs : les nouveaux arrivants dégraderaient plutôt les #conditions_d’emploi des précédentes vagues d’immigration et permettraient aux natifs de se réorienter vers des emplois plus rémunérateurs.

    Donc peu d’effets sur le salaire ou l’emploi moyen. Mais est-ce le cas pour toutes les catégories de travailleurs ?

    A priori, non. Ce qui se passe en moyenne peut effectivement masquer des effets différents selon les catégories de travailleurs. Tout dépend des caractéristiques des nouveaux entrants comparées à celles des natifs. En théorie, l’arrivée de travailleurs immigrés devrait détériorer l’emploi et les salaires des travailleurs natifs qui possèdent les mêmes qualifications, car ils sont en concurrence sur le marché du travail.

    À l’inverse, elle devrait moins affecter, voire améliorer les conditions d’emplois de ceux dont les qualifications sont différentes : ces derniers vont en effet pouvoir se concentrer sur les tâches pour lesquelles ils sont les plus productifs. Ainsi, un afflux de travailleurs immigrés qualifiés devrait réduire le salaire des travailleurs natifs qualifiés et accroître celui des non qualifiés.

    En France, entre 1990 et 2010, la part des immigrés dans la population active est passée de 7 % à 10 %. Sur ces 10 %, en 2010, plus d’un quart (28 %) avaient un niveau d’éducation élevé (au moins 2 années d’études après le baccalauréat) alors qu’ils n’étaient que 10 % (des 7 %) en 1990. À l’inverse, la part des immigrés faiblement qualifiés (sans diplôme ou brevet des collèges) a chuté de 67 % à 39 % entre 1990 et 2010. Pendant cette période, l’immigration a donc surtout augmenté le nombre relatif de travailleurs qualifiés.

    https://i.imgur.com/uyZqIFf.png

    De ce fait, entre 1990 et 2010, l’immigration en France a réduit le salaire des natifs qualifiés et augmenté légèrement celui des natifs faiblement qualifiés. L’immigration a ainsi redistribué la richesse des travailleurs qualifiés vers les travailleurs moins qualifiés et contribué à réduire les inégalités salariales. Pas forcément les effets mis en avant dans le débat public !

    ▻https://theconversation.com/conversation-avec-anthony-edo-limmigration-tire-t-elle-les-salaires

    –-> publié en 2017, mis ici pour archivage

    #économie

    –-

    ajouté à ce fil de discussion :
    Migrants : l’irrationnel au pouvoir ?
    ►https://seenthis.net/messages/705790

    CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 6/01/2022
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    @ericw
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    @_kg_

    #Harcèlement, #précarité… #Université, le grand gâchis ?

    Elle a enquêté sur les conditions de travail des #jeunes_chercheurs en #France : Adèle B. Combes, docteure en neurobiologie et initiatrice du projet “Vies de thèse”, auteure de "Comment l’Université broie les jeunes chercheurs" (Ed Autrement, 2022), est notre invitée aujourd’hui.

    Adèle B. Combes est docteure en neurobiologie. Partant de sa propre expérience et de témoignages recueillis grâce au questionnaire "Vies de thèse : Doctorat et qualité de vie", elle pointe un phénomène banal mais peu (re)connu : la #détresse des jeunes chercheur(e)s en France.

    Elle publie "Comment l’université broie les jeunes chercheurs : Précarité, harcèlement, #loi_du_silence" (Autrement, 5 janvier 2022). Une enquête sur les #conditions_de_travail des jeunes chercheurs en France, “ceux qui n’ont pas été écoutés”, entre #culte_du_secret, #copinages ou #malhonnêteté_intellectuelle. L’#enquête aborde ainsi "toute forme d’#abus_de_pouvoir dans la recherche" : #agressions psychologiques voire sexuelles, #discriminations, harcèlement au travail, difficultés à trouver un financement ou encore précarité du contrat doctoral.

    Des potentiels gâchés par la #désillusion, pour des jeunes chercheurs plein d’#enthousiasme lorsqu’ils commencent leur #doctorat. Selon Adèle B. Combes, qui parle aussi de sa propre expérience de doctorante, "au départ, c’est grisant. On est très fier de faire un doctorat, (...) de pouvoir apporter sa pierre à l’édifice de la connaissance humaine."

    L’enjeu touche à la #santé_publique autant qu’il est national, puisque la recherche en France s’en trouve menacée, entre rêves avortés, fuite des cerveaux à l’étranger et choix du privé. Il s’agit ainsi d’entraîner une réelle prise de conscience sur les conditions de #travail imposées à nombre de doctorant(e)s en France.

    Pour autant, le livre ne vise pas à dissuader de faire une #thèse. Dans de bonnes conditions, nous rappelle l’auteure, ces années-là peuvent être un moment de vie extraordinaire.

    ▻https://www.franceculture.fr/emissions/la-grande-table-idees/harcelement-precarite-universite-le-grand-gachis

    #ESR #facs #science #recherche #Adèle_Combes

    ping @_kg_

    CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 6/01/2022

      Comment l’université broie les jeunes chercheurs. Précarité, harcèlement, loi du silence

      https://www.autrement.com/media/cache/couverture_medium/flammarion_img/Couvertures/9782080270474.jpg

      De retour d’un terrain, Laurine repousse les mains de son directeur de recherche, un géologue influent qui n’apprécie pas qu’on lui tienne tête et fera tout pour détruire sa carrière. Dans son laboratoire de biochimie, Baptiste se fait exploiter et insulter par son encadrant de thèse, un homme sanguin, homophobe et raciste. À l’autre bout de la France, Sarah, doctorante en anthropologie non rémunérée, essaie de survivre malgré le caractère imprévisible de sa directrice, la violence de l’administration, la perfidie de certains collègues et la détresse de ses amis.
      C’est un mal qui ronge la filière d’excellence du système universitaire français : la précarité, le harcèlement et la culture du silence. Chaque année, plus de 15 000 doctorants se lancent avec passion dans une thèse, mais à l’université, les dysfonctionnements engendrent les déviances. Manque de moyens, lourdeur d’une administration sans affect, compétition féroce et surtout toute-puissance des directeurs de thèse ont ouvert la voie au harcèlement, moral et sexuel, à la pression, aux sollicitations sans limites ou encore à la dévalorisation du travail des jeunes chercheurs, quand il ne s’agit pas simplement de se l’approprier.
      Cette enquête richement documentée perce le silence et appelle à un changement urgent, dont les premières étapes pourraient être déployées rapidement et sont proposées par l’auteure.

      ▻https://www.autrement.com/comment-luniversite-broie-les-jeunes-chercheurs/9782080270474

      #livre

      CDB_77 @cdb_77
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  • @metroet_
    métroet+ @metroet_ 29/11/2021
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    @bce_106_6
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    2

    #Quebec : L’énigme des postes vacants Robert Dutrisac - 29 novembre 2021
    ▻https://www.ledevoir.com/opinion/editoriaux/650490/penuries-de-main-d-oeuvre-l-enigme-des-postes-vacants

    Le Québec compte 68 000 chômeurs de plus qu’avant la première vague de la pandémie en mars 2020. En dépit de cette main-d’œuvre en principe disponible, le nombre de postes vacants a explosé au Québec, passant de 147 000, ou 4,2 % du total des emplois, au premier trimestre de cette année à 279 000 en septembre, ou 7,3 %.

    Avant la pandémie, le nombre de postes vacants, dont se plaignait déjà le patronat, était de 3,5 %. C’est donc, en arrondissant, une progression du simple au double.

    Le phénomène est nord-américain. Nos voisins ontariens ont également vu une forte progression du nombre de postes vacants, qui est passé de 3,4 % à 5,6 % du total des emplois salariés. Aux États-Unis, le nombre de postes a également fortement progressé, passant de 4,5 % avant la pandémie à 7,1 %, selon les dernières données.

    Les explications ne sont pas évidentes. Pour l’économiste et prix Nobel Paul Krugman, c’est une surprise, comme il l’écrivait dans une de ses récentes chroniques du New York Times. Ainsi, les pénuries de main-d’œuvre persistent en dépit du fait qu’il y ait cinq millions moins d’emplois qu’avant la pandémie. Il note que les travailleurs américains quittent leur emploi à un taux record, ce qui est une indication qu’ils s’attendent à trouver un nouvel emploi sans trop de difficulté, tandis que les salaires sont en hausse.

    Ce serait ce qu’il appelle la « grande démission ». Au sud de notre frontière, on ne peut expliquer le phénomène par l’aide financière que les travailleurs ont reçue du gouvernement pendant la pandémie. Ces allocations ont pris fin en juin dans plusieurs États et au début de septembre à l’échelle du pays sans que le taux d’activité de la population ait augmenté de façon notable.

    Krugman cite Arindrajit Dube, économiste spécialisé celui-là en matière de marché du travail, qui avance qu’historiquement, les travailleurs américains à bas salaire sous-estimaient jusqu’à quel point leur emploi était détestable. Bas salaire — le salaire minimum aux États-Unis est de 10 $ l’heure ou moins dans la plupart des États —, mauvaises conditions de travail, vacances et avantages sociaux faméliques, c’est leur lot. Il n’est pas rare que ces travailleurs au bas de l’échelle occupent plus d’un emploi, seul moyen pour eux d’avoir une vie un tant soit peu décente.

    Or cette vague de démissions pourrait être la conséquence d’une vaste remise en question de la part des salariés durant la pandémie, fait valoir Krugman.

    Le marché du travail au Québec est certes bien différent. Aux États-Unis, dont certains voudraient que nous imitions le modèle, les pauvres sont plus misérables et les bas salariés sont souvent pauvres et piètrement traités par des employeurs implacables qui, depuis des années, ont les bonnes cartes dans leur jeu.

    Au Québec, l’aide du gouvernement fédéral aux salariés par le truchement de la Prestation canadienne de la relance économique (PCRE) n’a pris fin que le 23 octobre. Comme les entreprises cherchent à reprendre leurs activités au même rythme qu’avant la pandémie, il est donc possible que la PCU soit pour quelque chose dans la forte augmentation des postes vacants constatée dernièrement : les travailleurs retarderaient leur retour à l’emploi. En outre, les travailleurs âgés qui approchent du moment de la retraite — ils sont particulièrement nombreux au Québec — ont pu décider de la devancer après des mois d’inactivité durant la pandémie.

    Il faut interpréter les dernières données sur les postes vacants avec une certaine prudence, car elles doivent être confirmées. Mais si nombre de travailleurs ont pu réfléchir à ce qu’ils veulent faire dans la vie, il est possible qu’ils se montrent plus sélectifs. Cela peut faire boule de neige, comme aux États-Unis : plus il y a d’emplois disponibles, plus les salariés se montrent exigeants et quittent leur emploi afin d’améliorer leur sort, ce qui pousse à la hausse le nombre d’emplois disponibles.

    Avant la pandémie, le patronat québécois était déjà aux abois. Dans sa dernière mise à jour économique et financière, le ministre des Finances, Eric Girard, fait état de l’objectif d’ajouter 550 000 personnes à la population active d’ici 2036, malgré les départs à retraite. Le gouvernement Legault devra déployer une panoplie de mesures, dont les résultats ne pourront être instantanés.

    La rareté de la main-d’œuvre n’est pas un phénomène qui est propre au Québec, nous rappelle l’économiste Pierre Fortin. Les États-Unis composent avec ce problème depuis des années, l’Ontario également. Les changements sont toutefois plus rapides ici, et la pression exercée sur le bassin de main-d’œuvre imposera aux entreprises, mais aussi au secteur public, une difficile adaptation.

    Une version précédente de ce texte indiquant que c’est la Prestation canadienne d’urgence (PCU) qui a pris fin le 23 octobre a été corrigée. C’est plutôt la Prestation canadienne de la relance économique (PCRE). 

     #travail #emploi #Salaires #covid-19 #migrations #économie #emploi #capitalisme #exploitation #conditions_de_travail #postes_vacants #main-d’œuvre #précarité #Krugman #Canada

    métroet+ @metroet_
    • @metroet_
      métroet+ @metroet_ 29/11/2021

      Effet de bord, en langage de l’entreprise.

      métroet+ @metroet_
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 29/11/2021

    Elite universities less attractive due to precarity, says v-c

    Short-term contracts are leading researchers to chase more secure roles in less heralded universities, says Cardiff Met vice-chancellor

    (#paywall)

    ▻https://www.timeshighereducation.com/news/elite-universities-less-attractive-due-precarity-saysv-c

    #attractivité #ESR #université #facs #précarité #travail #conditions_de_travail

    CDB_77 @cdb_77
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  • @metroet_
    métroet+ @metroet_ 30/10/2021

    En Turquie, les producteurs de noisettes se soulèvent contre le géant Ferrero
    ▻https://www.rts.ch/info/economie/12604103-en-turquie-les-producteurs-de-noisettes-se-soulevent-contre-le-geant-fe

    A perte de vue, les noisetiers turcs déroulent leurs feuilles à peine roussies en ce début d’automne. Mais sous les frondaisons humides, la colère gronde contre la mainmise du géant de la pâte à tartiner Ferrero, accusé par les producteurs de casser les prix.

    https://dingiralfulbe.com/wp-content/uploads/2021/10/12604102.image-750x375.jpeg

    « Ils ont le monopole, donc les mains libres. Mais ils achètent encore plus bas que l’an dernier. Cette année, je ne leur vendrai rien », prévient Aydin Simsek, 43 ans, surveillant du coin de l’oeil la douzaine de ramasseurs kurdes accroupis, payés 12 euros la journée, qui enfournent à pleines poignées les noisettes dans de grands sacs de toile.

    Pour Mehmet Sirin, 25 ans, la capuche relevée sur sa casquette pour se garder de la bruine, « c’est de l’exploitation : les noisettes nous reviennent sous forme de Nutella, mais nous, on en tire bien moins de profit qu’eux. C’est une injustice pure. »

    Premier producteur mondial
    Selon la FAO, le Fonds pour l’agriculture des Nations unies, la Turquie, assure environ 70% de la production mondiale et 82% des exportations, très loin devant l’Italie (20%) et quelques pays qui se partagent les miettes, dont l’Azerbaïdjan, la Géorgie et l’Iran.

    Sur les 600 à 700’000 tonnes de noisettes ramassées, environ 300’000 partent à l’export : « Comment se fait-il que seuls les étrangers en tirent profit ? » s’insurge le président de la chambre de commerce d’Istanbul, Omer Demir.

    https://scontent-rtl.akamaized.net/GED/12110000/12118500/12118550.jpg

    « Bon sang, ils nous les achètent environ 2 euros le kilo et les revendent 20 euros : comment on en arrive là ? Il faut leur barrer la route. »

    Personne ne peut s’aligner
    Surtout qu’en fournissant outils et engrais aux paysans et en pré-payant leur récolte à un prix fixé à l’avance, les principaux grossistes, comme ceux qui fournissent le groupe italien, « ne laissent aucune chance aux autres », regrette-t-il.

    Car c’est vrai, personne ne peut s’aligner. Cabbar Saka le reconnaît, il n’a pas eu le choix : « Que pouvais-je faire ? J’avais besoin d’argent pour le mariage de ma fille... J’ai vendu mes 1600 kg de noisettes au grossiste ».

    Il a reçu l’argent tout de suite quand le Bureau agricole (TMO, l’autorité publique de régulation) paie lui à tempérament.

    Crainte de ne rien vendre
    Le district d’Akyazi compte 5500 producteurs déclarés. Devant les maisons, la récolte sèche en plein air sur des bâches, quelques jours pas plus, en surveillant constamment le ciel pour éviter les pluies.

    https://scontent-rtl.akamaized.net/GED/12110000/12118500/12118578.jpg

    « Ferrero et les grands acteurs du marché tirent les prix à la baisse », dénonce Sener Bayraktar, le président de la Chambre de commerce locale, qui accuse le géant italien de gonfler les estimations de récoltes pour peser sur les cours. « Mais la crainte des producteurs, s’ils se plaignent, c’est de ne plus pouvoir vendre », relève-t-il.

    « Ferrero a mis en place un système qui ne laisse aucune chance » aux acteurs locaux, assure Sener Bayraktar, qui appelle les autorités à soutenir plus franchement les acteurs indépendants et ces derniers à relever leurs prix, pour inciter les producteurs à leur réserver leurs noisettes.

    « Respect des lois du marché »
    Sollicité par l’AFP, le géant italien se défend : « Nous n’achetons pas directement aux producteurs, nous passons par un réseau d’acheteurs et de fournisseurs spécialisés (...) en respectant les lois du marché et sa dynamique », explique un porte-parole du siège, qui rappelle que Ferrero est présent en Turquie depuis plus de 35 ans.

    L’approvisionnement turc en matière première étant indispensable à la production du Nutella et des rochers, le groupe a créé en 2014 une filiale locale, Ferrero Findik (noisettes, en turc) qui gère six usines de traitement (lavage, décoquillage et torréfaction) et un site de production de Nutella.

    En 2014, le groupe a aussi racheté le roi de la noisette, Oltan, ce qui a fini de lui assurer le contrôle du marché et des cours.

    https://scontent-rtl.akamaized.net/GED/12110000/12118500/12118557.jpg

    Transformer le produit directement
    Pour soutenir les producteurs de noisettes - 76’500 enregistrés - le ministère de l’Agriculture les pousse à se lancer eux-mêmes dans la transformation du produit au lieu de vendre seulement leur matière première, ce qui leur assurerait un meilleur revenu.

    L’an dernier, Aydin Simsek avait vendu toute sa récolte à Ferrero. Cette année, il prévoit de la réserver intégralement, 15 tonnes espère-t-il, au TMO. « Quand Ferrero agira de bonne foi, je serai ravi moi aussi de manger du Nutella. Mais pas à ce prix. »

    #ferrero #exploitation #nutella #multinationales #capitalisme #agro-alimentaire #kinder #profits #huile_de_palme #lobby #marque #conditions_de_travail #droits_fondamentaux #exploitation #noisette #alimentation #Turquie #Italie

    métroet+ @metroet_
    • @metroet_
      métroet+ @metroet_ 30/10/2021

      Les noisettes : ils nous les achètent environ 2 euros le kilo et les revendent 20 euros

      métroet+ @metroet_
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  • @metroet_
    métroet+ @metroet_ 19/10/2021
    1
    @tout_va_tres
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    Intoxication dans une usine près de Fécamp : quinze ouvriers gênés, un seul transporté à l’hôpital
    ►https://www.paris-normandie.fr/id240813/article/2021-10-14/intoxication-dans-une-usine-pres-de-fecamp-quinze-ouvriers-genes-un-

    Alors qu’ils travaillaient sur une ligne, une quinzaine d’ouvriers ont souffert d’irritation notamment des voies respiratoires, au sein de l’usine Traiteur de Paris à Épreville, près de Fécamp, jeudi 14 octobre 2021, dans l’après-midi.

    https://prmeng.rosselcdn.net/sites/default/files/dpistyles_v2/ena_16_9_extra_big/2021/10/14/node_240813/38713370/public/2021/10/14/B9728658975Z.1_20211014190159_000%2BGSEJ4S9U5.2-0.jpg

    C’est le second incident en quelques mois à l’usine Traiteur de Paris à Épreville, près de Fécamp. Jeudi 14 octobre 2021, plusieurs ouvriers ont souffert d’irritation alors qu’ils travaillaient sur une ligne. Le 31 mai 2021, une explosion s’était produite au sein de l’entreprise : ce jour-là (la photo), pompiers et Smur avaient été mobilisés. Comme jeudi 14 octobre 2021. - Photo d’archives Paris Normandie

    Jeudi 14 octobre 2021, peu avant 16 heures, des ouvriers se sont plaints d’irritations au niveau de la gorge et des yeux suite à un dysfonctionnement d’une machine à laver des moules , indiquent les pompiers. Et ce, alors qu’ils travaillaient au sein d’une entreprise de préparation de produits alimentaires, rue Jean-York dans la ZAC des Hautes-Falaises à Épreville, près de Fécamp. Selon nos informations, il s’agit de l’entreprise Traiteur de Paris.

    La machine a été stoppée avant l’arrivée des secours. Lorsque la vingtaine de pompiers – dont une équipe spécialisée en risques chimiques – est arrivée sur place, elle a pris en charge les quinze victimes, rassemblées à l’extérieur du bâtiment.

    Une reconnaissance dans le bâtiment
    Une équipe du Smur a également été mobilisée. Elle s’est mise en relation avec le centre antipoison. Une seule victime a finalement été transportée vers un centre hospitalier : « Elle souffrait de légères irritations des voies respiratoires », précisent les pompiers. En parallèle, les secours ont effectué une reconnaissance dans le bâtiment.

    C’est dans cette même usine qu’un précédent accident ►https://www.paris-normandie.fr/id240813/article/2021-10-14/intoxication-dans-une-usine-pres-de-fecamp-quinze-ouvriers-genes-un- – une explosion – s’était produit en mai 2021. Près de 90 pompiers étaient intervenus. Cinq salariés avaient été blessés, dont deux grièvement.

    Une enquête devrait être menée pour connaître l’origine de l’intoxication dont ont été victimes les salariés touchés.

     #conditions_de_travail #Santé #travail #france #santé #capitalisme #économie #conditions_de_travail #en_vedette #alimentation #industrie

    métroet+ @metroet_
    • @metroet_
      métroet+ @metroet_ 19/10/2021

      Cinq personnes blessées suite à l’explosion dans une usine près de Fécamp
      ▻https://www.paris-normandie.fr/id198183/article/2021-05-31/trois-personnes-blessees-dans-lexplosion-dune-usine-pres-de-fecamp

      Une explosion a eu lieu vers 17 h, lundi 31 mai 2021, au sein de l’usine alimentaire Traiteur de Paris à Épreville, près de Fécamp. La société se situe avenue Jean-York, dans la ZAC des Hautes-Falaises.

      53 salariés, choqués, ont été évacués indemnes. Cinq personnes ont été blessées, dont deux grièvement.

      Nombreux moyens déployés
      Au plus fort de l’intervention, 87 sapeurs-pompiers se sont rendus sur place, 40 véhicules ont été déployés. De nombreux gendarmes étaient également mobilisés.

      Deux hélicoptères, dont le Dragon 76, ont pris en charge les blessés graves pour les acheminer vers un centre hospitalier parisien, spécialisé pour traiter les grands brûlés. Le blessé plus léger a été transporté à l’hôpital de Fécamp.

      Benoît Daguenet, directeur de l’usine qui compte 200 salariés, indique que l’origine de l’explosion est inconnue. Elle s’est passée dans le secteur qui fabrique des entremets surgelés. La production de toute l’usine est à l’arrêt jusqu’à nouvel ordre.

      métroet+ @metroet_
    • @metroet_
      métroet+ @metroet_ 19/10/2021

      Comme quoi, laver des moules, fabriquer des entremets surgelés est extrêmement dangereux.

      métroet+ @metroet_
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  • @metroet_
    métroet+ @metroet_ 14/10/2021
    1
    @bce_106_6
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    Refus de faire des heures supplémentaires : des infirmières devant le tribunal
    ▻https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1809692/temps-supplementaires-infirmieres-urgence-mont-laurier

    Dans une cause liée aux heures supplémentaires des infirmières, le Tribunal administratif du travail vient d’ordonner à des infirmières de l’urgence de l’Hôpital de Mont-Laurier de cesser de refuser de façon concertée de faire leur prestation normale de travail.

    https://images.radio-canada.ca/q_auto,w_960/v1/ici-info/16x9/infirmieres-personnel-soignant-hopital.jpg

    Le CISSS des Laurentides avait demandé l’intervention du Tribunal administratif du travail, après le sit-in de sept infirmières de l’urgence de l’Hôpital de Mont-Laurier. Photo : getty images/istockphoto

    C’est le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) des Laurentides qui avait demandé l’intervention du Tribunal, après le sit-in de sept infirmières de l’urgence de cet hôpital, qui avaient refusé d’entamer leur quart de travail. Il alléguait aussi qu’elles avaient refusé, de façon concertée, de donner leurs disponibilités pour effectuer du travail en heures supplémentaires.

    Le CISSS n’a eu gain de cause qu’en partie.

    Le Tribunal administratif du travail a jugé que le refus de faire sa prestation normale de travail constituait un “moyen de pression illégal”.

    Il a donc ordonné aux infirmières de l’urgence de l’Hôpital de Mont-Laurier de “cesser immédiatement de refuser de façon concertée de fournir leur prestation usuelle de travail”.

    Le Tribunal n’a toutefois pas donné gain de cause au CISSS concernant le refus de faire des heures supplémentaires.

    Il a estimé qu’à ce sujet la preuve était insuffisante, puisqu’elle reposait sur du ouï-dire. Il s’agissait d’un témoin qui disait avoir entendu une conversation qui lui avait permis de conclure qu’un refus de faire des heures supplémentaires volontaires se préparait le 13 juillet.

    La décision du Tribunal administratif du travail a été déposée devant la Cour supérieure, ce qui lui donne le même poids. Ainsi, “elles sont conséquemment susceptibles d’outrage au tribunal en cas de contravention” à l’ordonnance.

    “Tout le monde est épuisé”
    En entrevue avec La Presse canadienne, Julie Daignault, présidente du Syndicat des professionnelles en soins des Laurentides, de la Fédération interprofessionnelle de la santé (FIQ), a dénoncé la situation. “Tout le monde est épuisé. Tout le monde a travaillé longuement pendant la pandémie.”

    “On est présentement devant une situation qui est très critique. L’employeur continue de gérer les horaires avec des temps supplémentaires et des temps supplémentaires obligatoires. Il force nos membres à rentrer travailler malgré leur épuisement”, a-t-elle critiqué.

    Mme Daignault concède qu’il y a pénurie d’infirmières, mais elle affirme qu’il y a là aussi un problème de gestion des horaires, d’affichage de postes qui soient intéressants et de recours trop fréquents aux heures supplémentaires.

    “Je sais que je ne le vis pas seulement à Mont-Laurier, qu’on le vit partout dans les Laurentides et au Québec”, ajoute la dirigeante régionale de la FIQ.

    “Si on continue comme ça, à obliger des professionnelles en soins à faire du temps supplémentaire obligatoire, on s’en va vers des gens qui vont tomber en maladie, qui vont démissionner et vouloir faire autre chose”, prévient Mme Daignault.

    La version du CISSS
    Le CISSS des Laurentides, de son côté, a soutenu qu’il n’avait guère le choix d’agir comme il l’a fait, parce qu’il doit veiller à la continuité des soins pour le public.

    “Il est vrai que la situation actuelle peut être difficile pour nos équipes de soins. Cependant, il est essentiel pour nous que les usagers demeurent au coeur des décisions. Nous avons tous la responsabilité de collaborer dans la mise en place de solutions au bénéfice de nos usagers et de notre personnel”, a-t-il fait savoir, par courriel.

    Le CISSS des Laurentides fait valoir que “le sit-in à l’Hôpital de Mont-Laurier survient après celui ayant eu lieu à l’Hôpital régional de Saint-Jérôme”.

    Il ajoute que “tout arrêt de travail concerté, comme le cas du sit-in à l’Hôpital de Mont-Laurier, est une grève illégale. Le personnel du quart de soir, anticipant qu’une ressource manquerait pour le quart de nuit et que du temps supplémentaire obligatoire pourrait être requis, a tenu un sit-in. Les employés ont donc réagi avant même que l’employeur puisse agir et trouver une solution à cette situation précise qui aurait pu survenir 8 heures plus tard”.

    Le CISSS se dit disposé à chercher des solutions aux problèmes soulevés par le syndicat de la FIQ. “Nous souhaitons envoyer un signal clair : il y a d’autres voies pour améliorer la situation, soit celle de la communication et collaboration.”

    “En aucun temps nous n’avons été passifs face à la situation à l’Hôpital de Mont-Laurier. Depuis le 10 mai dernier, une cellule de crise est active et déjà un grand nombre d’actions ont été déployées. La révision des corridors de services, la modulation des lits disponibles en fonction des ressources, la couverture de quarts de travail par d’autres équipes au CISSS des Laurentides qui libèrent du personnel pour donner un coup demain ne sont que quelques exemples de ce qui est déjà en place”, conclut le CISSS.

    #Quebec #Gréve #Syndicats #Femmes #urgences #travail #capitalisme #exploitation #santé #hôpital #femmes #infirmières #soin #conditions_de_travail #soins #soignantes

    métroet+ @metroet_
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  • @metroet_
    métroet+ @metroet_ 13/10/2021

    Les géants de l’habillement fragilisés par le confinement prolongé du Vietnam
    ▻https://fr.fashionnetwork.com/news/Les-geants-de-l-habillement-fragilises-par-le-confinement-prolong

    Chaussures de sport, sweat-shirts, pantalons de survêtement : le confinement strict et prolongé du Vietnam en raison du coronavirus a provoqué des pénuries de produits chez des marques internationales telles que #Nike et #Gap, devenues de plus en plus dépendantes des fabricants de ce pays d’Asie du Sud-Est.

    https://media.fashionnetwork.com/m/c924/9793/786e/a47d/24b6/161e/d804/ca47/d860/cf0f/cf0f.jpg

    Dans son usine de tissus à l’est de Hanoï, Claudia Anselmi, la directrice de Hung Yen Knitting & Dyeing, sous-traitant pour plusieurs géants européens et américains de l’habillement, se demande chaque jour si les machines vont devoir s’arrêter.

    Lorsque la dernière vague de #Covid-19 a frappé le pays au printemps, la production a chuté de 50%, et l’Italienne est confrontée à des problèmes d’approvisionnement.

    « Les restrictions de voyage ont mis en péril toute la logistique d’entrée et de sortie... cela a créé de longs, longs retards » dans la livraison du fil utilisé dans des maillots de bain et des vêtements de sport pour des clients tels que #Nike, #Adidas et Gap, a-t-elle déclaré à l’AFP.

"Nous ne survivons que si nous avons du #stock".

    Ajouter à cela des mesures de #confinement contrôlées de manière stricte qui ont empêché de nombreux vietnamiens de se rendre au travail ou de circuler pendant de longues périodes.

    

Plusieurs chauffeurs du delta du Mékong ont dû attendre trois jours et trois nuits dans leur véhicule avant d’entrer dans Can Tho (sud), a raconté Hamza Harti, le responsable de l’entreprise de logistique FM Logistic lors d’une table ronde à la chambre de commerce française de Hanoï. « Ils étaient sans nourriture, sans rien ».

 

    Accélérées par la guerre commerciale entre Washington et Pékin, les relocalisations d’usines de la #Chine vers l’Asie du Sud-Est se sont amplifiées ces dernières années, particulièrement au bénéfice du Vietnam.


    Risques de rupture d’approvisionnement 

    Mais les mesures sanitaires exposent désormais les #multinationales à des risques de rupture d’#approvisionnement.



    L’équipementier Nike, qui produit la moitié de ses chaussures dans le pays communiste, a annoncé des pénuries et a revu ses prévisions de vente à la baisse, déclarant que 80% de ses usines dans le sud du pays ont dû fermer.



    Le japonais Fast Retailing, propriétaire de la marque #Uniqlo, a également mis sur le compte du blocage du Vietnam des retards dans la production de ses vêtements.

    #Adidas a de son côté estimé que la baisse de ses ventes pourrait atteindre jusqu’à 500 millions d’euros d’ici à la fin de l’année.

    

Plusieurs marques dont Nike et Adidas ont annoncé qu’elles envisageaient de produire temporairement ailleurs qu’au Vietnam.


    Dans une lettre adressée au Premier ministre Pham Minh Chinh, plusieurs associations d’entreprises américaines, européennes, sud-coréenne et du sud-est asiatique ont tiré la sonnette d’alarme, avertissant que 20% de leurs membres fabricants avaient déjà quitté le pays.

"Une fois la production déplacée, il est difficile d’y revenir", ont-ils écrit.

    Nguyen Thi Anh Tuyet, directrice générale adjointe de Maxport Vietnam, dont les 6.000 employés fabriquent des vêtements de sport pour des entreprises comme #Lululemon, #Asics et Nike, a déclaré à l’AFP que l’entreprise était « très inquiète » de voir ses clients retirer leurs commandes, même si elle est l’une des rares à avoir traversé ces derniers mois pratiquement indemne.



    Sans clients étrangers, « nos travailleurs se retrouveraient sans emploi », a-t-elle ajouté. La pandémie n’a pas seulement frappé l’industrie textile du pays, elle menace également le café, le Vietnam étant le premier producteur mondial de robusta.


    Les constructeurs automobiles n’y ont pas échappé non plus : #Toyota a réduit sa production pour septembre et octobre, en partie à cause du virus, et a déclaré à l’AFP que « l’impact a été important au Vietnam », ainsi qu’en Malaisie.

    

Les pénuries ont été aggravées par un regain de la demande en Occident, après un effondrement au plus fort de la crise du Covid-19.

Dans son usine textile près de Hanoï, Mme Anselmi pense que les entreprises resteront au Vietnam si le pays parvient à retrouver une certaine normalité en octobre :

    « Si nous pouvons permettre aux usines de travailler, je pense que la confiance (dans le Vietnam) est toujours là ».

    #Textile #Vietnam #Italie #café #vêtements #industrie_textile #conditions_de_travail #exploitation #mode #coronavirus #capitalisme #chaîne_d'approvisionnement #mondialisation #pénuries

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