• Port du masque dès la 5e primaire à Bruxelles, dans la même école, obligatoire pour les Flamands, pas pour les francophones
    https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2021/09/01/port-du-masque-a-partir-de-la-5e-primaire-a-bruxelles-obligato

    À Bruxelles, tous les élèves doivent obligatoirement porter un masque à partir de la cinquième primaire. Du moins dans les écoles néerlandophones, car les établissements francophones ont quelque peu assoupli leurs mesures. Cette différence peut parfois mener à des situations absurdes. C’est le cas dans l’école Sint-Juliaan De Vlindertuin à Auderghem, où une école francophone et une école néerlandophone se partagent la même entrée.


    Dans notre école, les élèves de 5ème et 6ème primaire doivent porter un masque. Mais les élèves de l’école francophone ne sont pas obligés de le porter", affirme Stéphanie Vermeire, directrice de l’école Sint-Juliaan De Vlindertuin.
    « Il n’est pas facile d’expliquer cette situation aux enfants. Mais j’espère qu’à la fin du mois de septembre, il y aura de nouveaux assouplissements pour nos élèves du troisième degré », ajoute-t-elle.

    Une même porte, deux règles différentes
    Dans cet établissement d’Auderghem, les élèves des écoles francophone et néerlandophone entrent par la même porte. Mais une fois à l’intérieur, des règles différentes s’appliquent. « C’est pourquoi de bons accords entre les deux écoles étaient importants. Nous nous rendons donc dans le gymnase, où les enseignants doivent eux aussi porter le masque. Les francophones accueillent pour leur part les enfants dans la cour de récréation par petits groupes. Mais heureusement, nous nous entendons bien. »

    A l’extérieur, les élèves néerlandophones doivent également porter le masque s’ils ne peuvent pas garder leurs distances. Les choses seront légèrement différentes pour les élèves francophones. « Il est dommage que de telles mesures accentuent la diversité. Nous devons voir comment nous pouvons résoudre ce problème ensemble à Bruxelles. Car si on crée une diversité en ayant des mesures aussi différentes dans une même école, nous devons essayer de prendre des décisions ensemble. »

    Tapis rouge
    Ce mercredi 1er septembre, les enfants de l’école Sint-Juliaan De Vlindertuin ont été chaleureusement accueillis. « Nous avons installé un tapis rouge pour offrir un bel accueil aux élèves, ainsi qu’un tremplin pour bien démarrer la nouvelle année scolaire. Avec ou sans masque, nous allons en tirer tout le meilleur », conclut la directrice.

    On notera qu’en Flandre, le port du masque n’est plus obligatoire dans les écoles, mis à part pour les élèves de secondaire uniquement lors de leurs déplacements. 

    #masques #coronavirus #en_vedette #covid-19 #santé #santé_publique #covid19 #confinement #pandémie #guignolade #Bruxelles #Fédéralisme

  • Le Danemark jette le pass sanitaire aux oubliettes
    http://www.lessentiel.lu/fr/corona/story/le-danemark-jette-le-pass-sanitaire-aux-oubliettes-13782575

    Pionnier dans l’introduction du pass sanitaire, le Danemark a levé mercredi l’obligation de ce laisser-passer dans presque tous ses lieux publics, à quelques jours de la levée de toutes les restrictions, malgré la menace d’une quatrième vague en Europe.

    Lancé en catimini début mars pour la réouverture des zoos, le pass sanitaire danois avait été progressivement étendu, devenant le corollaire de chaque étape de la réouverture du pays. Disponible via une application ou sur papier, sa mise en œuvre avait toujours été prévue pour être provisoire, avec une date de péremption initialement fixée au 1er octobre.

    Avec 71,6% de la population entièrement vaccinée, le pays scandinave de 5,8 millions d’habitants devrait retrouver bientôt un quotidien similaire à celui d’avant la pandémie. Le « coronapass », qui certifie d’un test négatif ou d’une immunisation contre le virus, soit par vaccination complète soit parce qu’on a déjà contracté le Covid-19, ne doit plus être présenté à partir de mercredi que dans les boîtes de nuit, qui rouvrent ce jour. Il disparaît des salles de sport ou les salons de coiffures mercredi et n’était plus obligatoire depuis le 1er août, dans les musées et salles de spectacles avec moins de 500 personnes.

    #coronavirus #en_vedette #covid-19 #santé #santé_publique #science #masques #covid19 #confinement #pandémie #Danemark #pass_sanitaire

  • Didier Raoult à la retraite des Hôpitaux de Marseille
    https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/didier-raoult-mis-a-la-retraite-des-hopitaux-de-marseille-1630342819

    Ce 31 août au soir, Didier Raoult, 69 ans, ne fera plus partie d’Aix-Marseille Université et des Hôpitaux universitaires de Marseille. Retraite. Sa demande de vacations a été rejetée. Ses défenseurs crient à l’injustice.

    https://www.leparisien.fr/resizer/vOCs14wLmGNU_gIFMkBbzoDq6TE=/932x582/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/leparisien/553ZIG5WSBDW5HNQ2FN4TOENLY.jpg
    Didier Raoult, en août 2020 lors d’une conférence de presse. AFP/Christophe Simon

    Ce mardi est le dernier jour de Didier Raoult au sein de l’AP-HM (assistance publique des hôpitaux de Marseille). Né le 13 mars 1952, le célèbre microbiologiste arrive à 69 ans à l’âge fatidique de la retraite. La nouvelle direction de l’AP-HM http://fr.ap-hm.fr n’a pas souhaité le prolonger. Demain, mercredi 1er septembre, il ne sera plus professeur des universités-praticien hospitalier (PU-PH) au sein d’Aix-Marseille Université et des hôpitaux universitaires de Marseille. Il n’est donc plus chef de service. Il n’enseigne plus. Dans ces deux institutions. 

    La direction générale nommée le 6 juin a refusé sa demande de vacations supplémentaires : deux demi-journées par semaine. Le nouveau directeur général de l’AP-HM, ex-numéro 2 des Hôpitaux de Paris, François Crémieux, ne s’en cache pas : « Il faut tourner la page Raoult ». Déclaration du 18 août dernier dans le journal « Le Monde ».

    Raoult pas soutenu par la commission médicale d’établissement
    Jean-Luc Jouve est sur la même longueur d’onde. Le président de la commission médicale d’établissement de l’AP-HM, au micro de France Bleu Provence, se refuse à toute polémique, tout en ne faisant aucun cadeau. « Il demandait deux demi-journées de vacation par semaine. On ne pouvait pas en attendre un grand travail. On va dire qu’il a réussi sa succession car il est entouré d’une équipe brillante avec qui nous travaillons déjà ». Accusé par la vox populi de vouloir faire taire l’encombrant professeur médiatique, Jean-Luc Jouve se défend : « On est en démocratie. Il pourra toujours continuer à s’exprimer ». 

    Mais il est clair et net que la dernière sortie du professeur sur la vaccination, « protection modeste sur les variants » d’après lui, a scellé son sort. Jean-Luc Jouve : « Émettre des doutes sur l’efficacité de la santé publique, c’est inacceptable. C’est un mauvais message à faire passer. Quand on voit le très faible taux de vaccination dans les quartiers les plus indigents de Marseille, quelque part, l’IHU a sa part de responsabilité compte tenu de son aura. »

    Didier Raoult à la retraite reste directeur de l’IHU Méditerranée Infection, une fondation de coopération scientifique dont le conseil d’administration se réunit à l’automne. Et parmi ses membres fondateurs, l’AP-HM ne cache pas son désir d’évincer Didier Raoult. Seul ce conseil d’administration peut le révoquer. Mais l’AP-HM n’a qu’une seule des 18 voix. 

    Situé sur le site de la Timone, cet IHU s’étend sur 27.000 mètres carrés, dont 5.000 sont destinés aux soins du pôle maladies infectieuses et tropicales avec près de 75 lits d’hospitalisation complète depuis 2016 et 25 lits d’hôpital de jour. Philippe Parola dirige lui une unité de recherche soutenue par l’IHU, il est un proche du professeur Raoult, et il tient à souligner : « Didier reste directeur de l’IHU. Il sera à nos côtés ». 

    Pour les inconditionnels du professeur, cette page tournée par la retraite victimise un peu plus le Marseillais. Aux abords du fief du chercheur - l’IHU Méditerranée - collé à l’hôpital de la Timone, on se rend compte assez vite que l’iconoclaste est devenue une icône. « Il gêne, on le fout dehors. Quand vous voyez ces sénateurs et ces députés de 80 ans qui dorment à l’Assemblée... » 
    Défendre Raoult, c’est tirer sur les élites parisiennes. Et ça soulage les Marseillais. Frédéric, comptable, reçoit tous les jours sur son smartphone les vidéos de Didier Raoult. « Je le trouve crédible parce qu’il nous a ouvert sur beaucoup de choses. Ceux que je ne supporte pas, ce sont ces médecins qui font en sorte de n’être compris que par eux-mêmes. Ici à Marseille, vous ne trouverez personne qui dit que Didier Raoult a fait du mal. Il est probable qu’il y ait beaucoup de gens qui n’aiment pas être contredits dans les hautes sphères. » On a quand même trouvé quelqu’un qui en dit du mal. Sarah, préparatrice en pharmacie : « La retraite, ça lui donnera le temps de relire ses études ! Marseille le vénère, pas moi. Quelqu’un qui expose ses études sur Youtube, c’est de la poudre de perlimpinpin ». 

    L’infectiologue à la retraite ne se mettra pas en retrait pour autant. La copine de Sarah n’a aucun doute : « Il fera toujours parler de lui quoi qu’il arrive. Je trouve qu’il ne part pas vraiment à la retraite. » . . . .

    #Résistance #coronavirus #en_vedette #covid-19 #raoult #didier_raoult #santé #santé_publique #science #masques #covid19 #confinement #pandémie

  • Coronavirus : l’Irlande lèvera la quasi-totalité des restrictions fin octobre
    https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-l-irlande-levera-la-quasi-totalite-des-restrictions-fin-octo

    « Le moment est maintenant venu de passer de règles et de restrictions généralisées aux libertés individuelles des gens à une approche définie par des conseils de santé publique, l’attitude, le jugement et la responsabilité individuelle », a exposé Micheal Martin lors d’une conférence de presse, après avoir réuni ses ministres.

    Assouplissement progressif des restrictions
    Le Premier ministre a annoncé l’assouplissement progressif des restrictions au cours du mois de septembre jusqu’à la levée de la quasi-totalité des restrictions le 22 octobre, dont l’obligation de porter un masque à l’extérieur ou d’observer des mesures de distanciation sociale. Les limites sur le nombre de personnes autorisées à se rassembler dans des logements privés ou à participer à des cérémonies civiles ou religieuses seront aussi levées.


    Sera toutefois conservée l’obligation de porter un masque dans les hôpitaux et centres de santé, les commerces et les transports publics.

    Micheal Martin a justifié cette étape importante du déconfinement en Irlande par le succès de la campagne de vaccination et l’efficacité « très claire » des vaccins pour protéger contre les formes graves et les décès liés au Covid-19.

    Près de 90 % des plus de 18 ans ont été complètement vacciné

    « Près de 90 % des plus de 18 ans ont été complètement vaccinés, et le taux de vaccination chez nos citoyens de moins de 18 ans est également extrêmement encourageant », a-t-il exposé.

    Il a toutefois souligné qu’il était « très peu probable que nous puissions nous débarrasser complètement du virus » et dit s’attendre même « à une augmentation du nombre de cas au cours des prochaines semaines ».

    Le Premier ministre a souligné que le gouvernement resterait « vigilant » et réagirait « promptement » si « un nouveau variant préoccupant émerge ou si nos hôpitaux subissent à nouveau une pression insoutenable ».

    En Irlande, pays qui compte environ 5 millions d’habitants, 5000 personnes atteintes du Covid-19 sont décédées.

    #coronavirus #en_vedette #covid-19 #santé #santé_publique #science #masques #covid19 #confinement #pandémie #Irlande

    • Les limites aux cérémonies religieuses levées, quand je pense quand France certaines personnes trouvent de la logique dans les limites posées par notre gouvernement de richard bouffies ou même pas ne se questionnent sur celles ci, tandis quaucune restrictions n’étaient posées chez nous dans une église qui rassemblent souvent plus que dans des bars...
      Pire on peut rentrer dans un Ikea sans passe sanitaire.

      #citoyen_mauvaise_foi
      #gouvernement_pourri

  • #Luxembourg : Pas de masque ni de CovidCheck au lycée
    http://www.lessentiel.lu/fr/luxembourg/story/pas-de-masque-ni-de-covidcheck-au-lycee-26005343

    Les règles sanitaires vont changer à la rentrée dans les lycées. Comme dans le fondamental, l’obligation du port du masque sera levée dans le secondaire, pour les élèves comme pour les enseignants, a proposé mardi Claude Meisch (DP), ministre de l’Éducation nationale, devant les représentants syndicaux, d’après les informations de L’essentiel. Les nouvelles dispositions seront présentées jeudi par les ministres de l’Éducation nationale et de la Santé, au lendemain du Conseil de gouvernement.


    La politique de tests est également allégée. Un seul sera proposé chaque semaine aux élèves au lycée, en plus d’un autre à réaliser à la maison, avec à chaque fois un caractère facultatif, indique une source syndicale. Claude Meisch a indiqué la semaine dernière que la moitié des résidents de plus de 12 ans étaient vaccinés contre le Covid-19.

    Pas de quarantaine mais des tests
    Le ministre a en revanche exclu d’utiliser le CovidCheck pour entrer au lycée, refusant de rendre les tests obligatoires pour les non-vaccinés. « Le dispositif semble pertinent, mais je peux comprendre le choix du ministre, car cela aurait été compliqué à mettre en place, avec le risque d’exclure plusieurs milliers d’élèves des établissements », glisse un syndicaliste sous couvert d’anonymat.

    Les élèves devront tout de même effectuer trois tests par semaine si le scénario 2 d’infection est constaté dans une classe, c’est-à-dire avec plusieurs cas positifs. Dans cette situation, la quarantaine de toute la classe ne sera plus en vigueur, grâce notamment à l’avancée de la vaccination. En revanche, « nous ne savons pas ce qu’il adviendra de ceux qui refuseraient les tests. Cela n’a pas encore été tranché », dit un syndicaliste.

    #coronavirus #en_vedette #covid-19 #santé #santé_publique #science #masques #covid19 #confinement #pandémie

    • Le Luxembourg affiche a ce jour qu’à peine 60% de la population est totalement vacciné.
      Que leur courbe covid (nouveaux cas et décès) est pourtant rassurante malgré tout depuis décembre et malgré une moyenne de 78 nouveaux cas par semaine et zéro décès depuis début juin et une moyenne de 1 décès par semaine depuis avril.

      Que comprendre, que la non obligation vaccinale porte aussi des résultats ? Je ne suis sur de rien, mais ça ne va pas me donner plus autant l’envie de me faire vacciner surtout contre ma volonté. Puis le passe ne m’a pas empêché de passer de superbe vacance en famille à la montagne d’autant sur les alpins de prennent bien moins la tête avec ça ! 🤪

      Merci @metroet_ pour cette info, tu participe au soleil de ma journée.

    • Je suis autant pas fan du bonhomme que pas fan de MacronCastexVerran et de la majorité de ce gouvernement bien barré pourri.
      Mais je reconnais que dans cette vidéo il dit quand même des choses évidentes selon moi (si on enlève ses anecdotes relous).
      Évidement que ça parait stupide de se faire vacciner une troisième fois, de se faire vacciner tous le reste de sa vie peut-être bien pour chaque variant, évidement que ça montre que les vaccins actuels ont des limites, évidement que vacciner toute la population dès 12 ans (et pourquoi pas moins demain) quand uniquement les plus de 65 ans sont vraiment critiques est une question qui devrait être plus réfléchie, évidement que de se faire vacciner contre sa volonté est un vrais problème, évidement qu’il y a des conflits d’intérêt et que les concernés préfèrent ne pas les afficher (même l’OMS actuellement est en train de mettre en place des mesures pour la transparence de ces intérêt en leur sein), évidement qu’il n’y a aucun sens à dire que tel(s) ou tel(s) vaccin(s) de tel(s) ou tel(s) pays est plus ou moins efficace ou alors d’un point d’un point politique..., évidement que l’état français réduit la réflexion comme d’habitude à des lois et des sanctions, évidement qu’il faudrait faire des rappels vaccinales qu’en cas de besoin après contrôle et non de manière systématique etc.
      Et qu’il y a un déni de beaucoup de personnes sur tout ceci.

       ;-)

      Merci d’avoir partagé cette vidéo.

    • « Évidement que ça parait stupide de se faire vacciner une troisième fois, de se faire vacciner tous le reste de sa vie peut-être bien pour chaque variant,.. »
      @khalyp On vaccine pourtant tous les ans les personnes agées contre un nouveau variant de la grippe. Cela implique une nouvelle piqure tous les ans pour le reste de sa vie (donc beaucoup plus que 3 rappels !) et en plus certaines années le vaccin proposé par les labos n’est pas très efficace contre les nouveaux variants car c’est pas le variant qu’on pensait qui a pris le dessus.

    • Oui c’est vrais, j’y pense aussi et ça me met dans un tel état de tristesse et de rébellion...

      En manif no-passe (et non contre le vaccin, chacun fait comme il veut/peut pour se protéger) ce n’est pas que contre le passe que je m’oppose mais aussi globalement contre ces débordements, comme le majorité des manifestants, c’est pour quelque-chose et contre beaucoup de choses. Pas un simple raz le bol immature comme préfère le croire certains personnes cachées derrière leurs points de vue et intérêts politiques, ou caché derrière leur pseudonyme.

    • @khalyp Je voie pas trop ce qui est triste dans le fait d’avoir à faire des vaccins et je voie pas non plus une raison de se rebeller contre le vaccin.
      Se rebellé contre les labos, le pass, macron, le capitalisme ok mais contre le vaccin ca n’a pas de sens.
      Et pour le fait d’être « caché derrière leur pseudo » je voie pas trop quel est ton problème. Que veux tu faire de l’identité des gens ? on discute avec des arguments pas besoin de connaitre le nom des gens...

    • 🙂
      Plus précisément ce que je partage et qui concerne que moi (dans le sens ou je ne généralise pas que c’est triste mais que ça ME rend triste moi) n’est pas en lien avec le vaccination mais avec l’obligation de vaccination et la vaccination pour éventuellement le reste de sa vie ou tout du moins annuellement.
      Et non ce n’est pas triste la vaccination, c’est un état de fait et chacun fait comme bon lui semble.

      Et pour le fait d’être caché derrière un pseudo, j’ai manqué de précision, ce que j’exprime ne concerne pas le fait d’être caché derrière ni même ne concerne la protection de ses données personnelles, mais l’attitude qui va parfois avec qui est d’oser un comportement qui s’était moins évident en face ou avec sa rejette identité.
      C’est un soucis largement mit en évidence chez pas mal de communauté internet, à travers des chartes de bon comportement. Certaine charte de communauté concernant des personnes qui ont de réelles chance de se rencontrer, demande même d’avoir non pas un pseudo mais un vrais identifiant qui les responsabilises de leurs actes et dires.

    • Merci pour tes précision @khalyp
      Je trouve paradoxale que tu t’oppose au passe et à l’obligation vaccinale tout en proposant plus ou moins une abolition de l’anonymat dans l’espace publique pour responsabiliser les actes et dires des gens.
      Il me semble que le pass sanitaire est en fait un moyen de responsabiliser les gens sur leurs actes dans l’espace publique en supprimant la liberté de se déplacé anonymement et les risques de contagion qui vont avec.

    • Mais encore une fois, un vaccin dans le cas d’une maladie épidémique (et pire pandémique, mondialisation toussa), donc là par un virus (contrairement au tétanos qui ne se transmet pas), ce n’est pas « chacun fait ce qu’il veut » : le principe même d’une campagne vaccinale dans ces cas c’est de réduire les cas graves et de réduire la transmission. Soit pour que ça disparaisse, soit au moins pour réduire les générations de variants. Et personne de sérieux n’a jamais dit (pas les politcos démagos) que ça ne se transmettait plus du tout. Mais ça réduit fortement, et donc réduit en cascade les probas de variants. C’est donc tout comme le masque, c’est pas chacun son choix, c’est pas juste soi qu’on protège (mais ça l’est aussi), c’est la société dans laquelle on vit sur le même territoire, c’est faire société. Et même si on ne parlait que de soi-même… se protéger des formes graves implique qu’on va réduire le nombre de personnes finissant à l’hôpital, et donc prenant des lits au lieu d’autres malades qui n’y ont plus accès ou plus assez vite : là encore ça aide aussi les autres quand on s’assure qu’on n’aura pas de forme grave.

  • Pourquoi Sanofi ne s’est pas lancé dans la course aux vaccins anti covid-19 ?
    Pourquoi le personnel de santé est il aussi réticent à se faire piquer ?
    L’exemple du Dengvaxia, un Vaccin-chimère, recommandé par l’OMS, au départ.
    Toute ressemblance avec le covid-19 et ses variants ne serait que . . . . .

    Dengue : Sanofi au cœur d’une affaire de vaccin mortel aux Philippines Par Carol Isoux
    (Article du Nouvel Observateur, du 27 11 2018, ça date de l’époque où les journalistes faisaient encore leur travail).

    https://www.nouvelobs.com/monde/20181127.OBS6092/dengue-sanofi-au-c-ur-d-une-affaire-de-vaccin-mortel-aux-philippines.html

    Dans une salle au carrelage blanc, à l’arrière du parloir funéraire de Taytay à une vingtaine de minutes de Manille, le corps d’Elijah Rain De Guzman, 12 ans, repose sur une table en inox. Il est allongé sur le dos, ses jambes légèrement repliées.

    Les cinq légistes se préparent, enfilent les tenues de plastique bleu réglementaires et s’attellent à leur longue et pénible tâche. Pendant près de quatre heures, ils vont disséquer, prélever des échantillons de tissus, mesurer les organes : cœur, foie, cerveau…Tout est photographié avec soin. A l’extérieur, la famille attend.

    Des autopsies d’enfants comme celle-là, le docteur Erwin Erfe, qui travaille pour le bureau du procureur, en pratique deux à trois par semaine depuis quelques mois. Avec toujours les mêmes résultats : "Des hémorragies internes, notamment au niveau du cerveau et des poumons… et des organes enflés."  

    Pour lui, pas de doute, c’est le vaccin Dengvaxia, commercialisé par le laboratoire français Sanofi qui est responsable de ces morts. Son équipe de légistes a déjà identifié 103 cas concordants. Des enfants pauvres, qui n’ont pas un accès facile au système de soin.


    Le docteur Erwin Erfe devant le corps d’Elijah Rain De Guzman, 12 ans, pendant son autopsie à l’arrière du parloir funéraire de la ville de Taytay. Il est la victime présumée numéro 87 et avait reçu les 3 doses du vaccin Dengvaxia. Ci-dessous, sa mère, Fatima, lors d’une conférence de presse après les premiers résultats de l’autopsie. (Agnès Dherbeys/MYOP)

    Pour la procureure Persida Acosta, passionaria des inégalités sociales et star des réseaux sociaux, les responsabilités se partagent entre le laboratoire français qui a vendu "un vaccin dangereux", et le gouvernement philippin qui a mis en place une campagne de vaccination "massive et indiscriminée", dans des conditions déplorables. Sans informer le personnel de santé, sans exclure les enfants au système immunitaire compromis, sans suivi médical et souvent sans même demander le consentement des parents. Elle poursuit 38 personnes pour "conduite irresponsable ayant causé un homicide et négligence criminelle". Dont trois Français de Sanofi, qui ont tous déjà quitté le pays.

    Le Dengvaxia, un mauvais vaccin ?
    Le Dengvaxia s’annonçait pourtant comme un triomphe planétaire. En 2015, Sanofi-Pasteur confirme en grande pompe la mise sur le marché d’un vaccin révolutionnaire contre la dengue. C’est une première mondiale, le produit de vingt ans de recherche et 1,5 milliard d’euros d’investissements. La dengue, maladie virale transmise par le moustique, est en forte expansion dans le monde : elle affecte 100 millions de personnes par an et sa forme sévère, hémorragique, en tue 20.000, principalement des enfants et des femmes enceintes. Les centaines de milliers d’hospitalisations dues au virus représentent un coût important pour certains pays comme les Philippines.

    Pourtant, à y regarder de près, les résultats des premiers essais cliniques https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(14)61060-6/fulltext?code=lancet-site sont médiocres. 56% d’efficacité au bout de deux ans sur les enfants asiatiques (en clair, près de la moitié des participants ayant reçu l’injection ne sont pas immunisés), et ce chiffre chute largement les années suivantes. Surtout, un risque important apparaît chez les enfants les plus jeunes, qui ont presque huit fois plus de chance de tomber gravement malades après l’injection du vaccin. Plusieurs décès sont inexpliqués : les résultats indiquent que les chiffres et causes de la mort sont "cohérents avec les taux de mortalité de leur cohorte d’âge, principalement des blessures et des ’infections’"

    A y regarder d’encore plus près, ces résultats sont truffés de petites inexactitudes, des risques non-calculés, des détails qui manquent... "Pas une manipulation des chiffres à haut niveau, estime le docteur Antonio Dans, médecin et statisticien au Philippines General Hospital. Plutôt des complaisances de statisticiens qui veulent faire plaisir à leur hiérarchie."


    Le docteur Antonio Dans, en septembre. Médecin et statisticien au Philippines General Hospital, il a tenté d’alerter sur les résultats non concluants des premiers essais cliniques de Sanofi. (Agnès Dherbeys/MYOP

    Le pari risqué de Sanofi
    De toute façon, ces résultats importent peu, semble-t-il, à Sanofi, qui mise tout sur ce nouveau vaccin, coûte que coûte : dès 2009, bien avant le début des essais cliniques sur les humains, la firme a déjà investi 350 millions d’euros pour la construction d’une usine spécialement dévolue au Dengvaxia à Neuville sur Saône, près du siège de Lyon. Objectif annoncé à l’époque : produire 100 millions de doses par an. "Un pari industriel", selon Antoine Quin, alors directeur du site. "L’anticipation était le seul moyen de mettre des vaccins à disposition dans les délais impartis", justifie-t-on aujourd’hui au siège.

    Mais les clients potentiels sont sceptiques et les ventes peinent à décoller. Malgré une autorisation marketing dans plusieurs pays, les stocks ne s’écoulent pas. Les autorités sanitaires françaises par exemple, ne recommandent pas l’utilisation du Dengvaxia dans les territoires d’Outre-mer (Réunion, Guyane…) concernés par la maladie. L’année 2015 passe, Sanofi n’a toujours pas décroché le graal du marché des vaccins : un contrat public. "Il devenait très urgent pour eux de vendre, explique le docteur Francisco Cruz, épidémiologiste, ancien fonctionnaire au ministère de la santé philippin, certaines doses arrivaient à expiration en septembre 2017."


    Conférence de presse de la procureure Persida Acosta, avec le docteur Francisco Cruz, épidémiologiste et ex-fonctionnaire au ministère de la Santé philippin, et des familles de victimes présumées du Dengvaxia devant le département de la Justice, à Manille, en septembre. (Agnès Dherbeys/MYOP)

    En coulisses, le travail de lobbying des dirigeants du groupe bat son plein. Dès novembre 2014, le vice-président de Sanofi Jean-Luc Lowinski obtient une entrevue avec le président philippin de l’époque, Benigno Aquino III. Ils se rencontrent à l’ambassade des Philippines de Pékin, en marge du sommet APEC. Si la teneur exacte de leur échange reste secrète, quelques semaines plus tard, le labo français dépose une demande pour le Dengvaxia auprès de l’administration en charge de la régulation des médicaments du pays.

    50 millions d’euros 
    Quelques mois passent, et c’est la jeune ministre de la santé, Janette Garin, poulain du président et fraîchement nommée, qui se rend non seulement à Paris mais aussi à Lyon, où elle visite l’usine du Dengvaxia. Elle ne garde que des souvenirs flous du voyage, où elle a "beaucoup dormi dans des voitures et visité des églises, mais je ne sais plus lesquelles". Elle ne se souvient précisément d’aucune de ses entrevues avec Sanofi. Pas même de ce dîner, du 14 mai 2015 où selon un rapport de l’ambassade des Philippines à Paris elle discute du prix du Dengvaxia avec les dirigeants de Sanofi, dont Guillaume Leroy, l’actuel président France. Un dîner sur les Champs-Elysés peu cohérent avec le Code d’Ethique du laboratoire, mais "tout le monde le fait dans l’industrie pharmaceutique", balaie Garin d’un revers de main.

    Le prix indiqué sur le contrat de vente du Dengvaxia est donc fixé : 1.000 pesos la dose (17 euros) – un prix "outrageusement gonflé" estime le docteur Francisco Cruz pour un total de 3 milliards de pesos (50 millions d’euros). C’est plus que l’ensemble du budget alloué à tous les autres programmes de vaccination aux Philippines réunis, alors que la dengue ne fait pas partie des dix premières causes de mortalité.

    Or, les documents du département du Budget indiquent que ce sont 3,56 milliards qui ont été demandés et mis à la disposition du ministère de la santé pour le programme anti-dengue : 556 millions de pesos (9 millions d’euros) manquent à l’appel. "C’est l’appât du gain, qui a tué ces enfants", estime la procureure. Des procédures pour abus de biens publics et enrichissement personnel sont en cours contre l’ex-président et l’ex-ministre de la Santé au bureau de l’"ombudsman" des Philippines.


    L’ancienne ministre de la Santé des Philippines, Janette Garin, a été inculpée dans l’affaire du Dengvaxia. (Agnès Dherbeys/MYOP)

    Derrière le vaccin, un agenda politique
    A leur retour du Sommet de la Cop 21 en décembre 2015 à Paris, où le président Aquino et Garin rencontrent à nouveau les dirigeants de Sanofi, les officiels du ministère de la santé s’activent pour mettre en place en quelques semaines une immense campagne de vaccination, sur près de 800000 enfants. "Une folie, estime Paulyn Ubial, qui a succédé brièvement à Garin à la tête du ministère de la santé. Normalement, on a besoin d’un à deux ans pour préparer les communautés, le secteur de la santé, à un nouveau vaccin, et on commence avec une population cible d’environ 40.000 individus." Mais une échéance majeure approche : les élections présidentielles d’avril 2016.

    "Il était vital que la campagne puisse être mise en place et annoncée avant les élections", se souvient Paulyn Ubial. Pour accélérer les choses, les officiels philippins n’hésitent pas à enfreindre plusieurs règles, notamment la procédure d’attribution des marchés publics. Janette Garin s’auto-nomme directrice de l’Agence du Médicament l’espace de quelques semaines, juste le temps de décréter une autorisation immédiate de mise sur le marché pour le Dengvaxia sans passer par les circuits officiels. Dès le mois de janvier, l’annonce est faite : 1 million d’enfants philippins bénéficieront gratuitement de ce vaccin miracle grâce au gouvernement.

    Le Dengvaxia pourrait rendre vulnérable
    En réaction, les premières voix s’élèvent dans la communauté scientifique aux Philippines et à l’étranger. Notamment, aux Etats-Unis, celle du Professeur Scott Halstead, 82 ans, un spécialiste mondialement reconnu de la maladie, qui s’inquiète et envoie même une vidéo diffusée au Sénat philippin pour exhorter à suspendre le programme de vaccination.

    De ses décennies de recherche il a remarqué que le virus de la dengue opérait selon un mécanisme singulier : l’ADE, Antibody Dependant Enhancement (Facilitation de l’infection par les anticorps), au cours duquel les anticorps développés lors d’une première attaque de dengue peuvent se retourner contre l’organisme lors d’une deuxième attaque par une souche différente, aidant le virus à passer les barrières du système immunitaire ; raison pour laquelle c’est en général la deuxième attaque qui est fatale.

    En reproduisant une première contamination, le Dengvaxia peut rendre les personnes qui n’ont jamais été infectées par le virus plus vulnérables à une deuxième attaque, au lieu de les protéger. Ce risque dure toute la vie mais il est particulièrement élevé la troisième année après l’injection. C’est ce mécanisme qui est à l’origine des résultats inquiétants des essais cliniques sur les enfants jeunes, dont une grande partie n’avaient jamais été exposés au virus. Plus les enfants grandissent et plus ils ont une chance d’avoir déjà été contaminés, sans forcément développer de symptômes.

    L’âge de 9 ans, choisi comme seuil de sûreté par le laboratoire, est donc tout à fait arbitraire : "le risque ne diminue pas magiquement pour les personnes séronégatives avec l’âge", s’indigne le professeur Halstead. Les estimations font état de 10 à 20% d’enfants séronégatifs vaccinés. Pour lui, ceux qui ont lancé ce vaccin, ont fait preuve d’un "cynisme total, où on considère que si mathématiquement le bénéfice global pour la société est positif, et si les coûts d’hospitalisation sont réduits, alors peu importe d’affecter la santé de certains, alors que c’est contraire aux principes les plus élémentaires de la médecine".

    Rien n’y fait, la vaccination commence. Pas dans les provinces les plus touchées par la dengue, mais dans celles qui présentent la plus forte concentration d’électeurs. Pour les photos de presse le jour du lancement, on a distribué aux enfants des tee-shirts jaunes, couleur du parti au pouvoir. Les injections se déroulent d’abord dans les écoles, puis dans les centres de santé des barangays, quartiers, dont la plupart ne disposent même pas de médecin. 

    Dans de nombreux cas, les parents ne sont pas prévenus. La mère de Riceza Salgo, 12 ans, morte d’une attaque de dengue hémorragique raconte :
    “"Je n’ai découvert qu’après sa mort, dans les papiers de l’école, que ma fille avait reçu le Dengvaxia."”
    Le système de filtrage des enfants au système immunitaire affaibli n’est pas appliqué. "Les enfants qui avaient des maladies préexistantes, diagnostiquées ou non, ont eu droit eux aussi à l’inoculation du virus", déplore le docteur Erfe. Parmi les victimes potentielles du Dengvaxia, des enfants qui avaient un lupus, une leucémie, un cancer… Romeo Cariño, le père de Roshaine, 12 ans, regrette :
    “"Peut-être que mon fils aurait fini par mourir de sa tumeur. Mais j’aurais eu quelques mois, un an de plus avec lui. Ils m’ont privé de ça."”


    Dessins et portrait de Riceza Salgo, 12 ans, morte d’une attaque de dengue hémorragique. "Je n’ai découvert qu’après sa mort, dans les papiers de l’école, que ma fille avait reçu le Dengvaxia", raconte sa mère. (Agnès Dherbeys/MYOP)

    Vaccin-chimère
    Le Dengvaxia est un vaccin-chimère, c’est-à-dire qu’il est composé de deux virus combinés, celui de la fièvre jaune et celui la dengue. "Sanofi a créé un nouveau virus, explique le professeur Halstead. Il est difficile de prévoir comment il va évoluer." Selon les médecins du bureau du procureur, en plus des décès dus à la dengue hémorragique, certains enfants sont morts d’un accès de maladie viscerotropique ou neurotropique (une infection des viscères ou du cerveau), effet secondaire du virus de la fièvre jaune présent dans le vaccin. Si ces maladies sont mentionnées sur la notice comme des risques potentiels du vaccin, Sanofi affirme qu’il n’y a eu aucun cas lors des essais cliniques.

    En revanche, le laboratoire a fini par admettre en novembre 2017 "un risque accru de dengue sévère pour ceux qui n’ont jamais été exposés au virus". Le programme de vaccination est suspendu. Aux Philippines, la paranoïa monte : près d’un million d’enfants ont été vaccinés, sans test préalable et dans une désorganisation totale. Le ministère ne dispose pas de liste précise de noms.

    En plus des 500 morts rapportées par des parents paniqués au bureau du procureur, des milliers d’enfants ont été hospitalisés. Certains ont besoin d’opérations, pour résorber le sang après des hémorragies sévères. La plupart des familles n’en ont pas les moyens. 
    Pour l’instant, la ligne de défense principale de Sanofi est de pointer qu’aucun de ces problèmes n’a été signalé dans les 19 autres pays où le vaccin est commercialisé. Mais il est réservé dans ces pays au secteur privé, pour des familles qui ont les moyens d’un suivi médical.
    Le seul autre programme public de vaccination, au Brésil, s’est effectué principalement sur des individus entre 15 et 27 ans. Le laboratoire, qui a refusé toute interview pour cet article, se dit prêt à indemniser les victimes si une "causalité entre les cas et le vaccin est établie sur des bases scientifiques et si la responsabilité de Sanofi est établie sur des bases juridiques".

    Or même si dans certains cas le vaccin a favorisé l’apparition de la dengue hémorragique, la cause de la mort reste la maladie, non le vaccin. Une éventuelle faute restera donc difficile à prouver et l’affaire promet d’être un casse-tête juridique.

    Carol Isoux

    Pour compléter :

    Sanofi et son Dengvaxia visés par des poursuites par les Philippines (Mars 2019)
    https://www.youtube.com/watch?v=KIyThR1V2vQ

    Philippines : Benigno Aquino entendu sur le scandale du Dengvaxia (Décembre 2017)
    https://www.youtube.com/watch?v=ppKiATeI8-w

    Sanofi : la mévente du vaccin contre la dengue met en péril le site de Neuville/ Saône (Novembre 2017)
    https://www.youtube.com/watch?v=ocbZC7vQqMU*

    Wikipédia : Vaccin contre la dengue (Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil sur wikipédia) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Vaccin_contre_la_dengue#Controverse_aux_Philippines

    Mes vaccins.net : https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/539-dengvaxia

    Dengvaxia, le fiasco d’un labo, France Culture : https://www.franceculture.fr/emissions/la-fabrique-mediatique/la-fabrique-mediatique-du-samedi-14-novembre-2020


    https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/16743-14.11.2020-ITEMA_22483812-2020C26727S0319.mp3

    #covid-19 #coronavirus #confinement #en_vedette #crise_sanitaire #vaccination #pandémie #surveillance #santé_publique #pass_sanitaire #solidarité #dengue #virus #innovation #sanofi #enfants

  • #Canada Un événement de Justin Trudeau en Ontario annulé pour des raisons de sécurité Valérie Boisclair
    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1819899/evenement-justin-trudeau-bolton-ontario-annulation-manifestants-rai

    Le chef libéral a confié qu’il n’avait jamais été témoin d’une « colère d’une telle intensité » chez des manifestants.

    Le Parti libéral du Canada a été forcé d’annuler un événement prévu à Bolton, en Ontario, en début de soirée vendredi, en raison de la présence d’une centaine de manifestants agressifs opposés en grande partie à la vaccination et aux mesures sanitaires.

    La Gendarmerie royale du Canada a donc demandé au personnel et aux journalistes de remonter à bord de l’autobus de campagne.

    L’événement, qui devait débuter à 17 h, aura été retardé pendant près de deux heures avant que la décision ne tombe.


    Une centaine de manifestants se sont massés près du lieu où devait se tenir un événement pour la campagne du chef libéral Justin Trudeau. - Photo : La Presse canadienne / Sean Kilpatrick

    Face à l’important rassemblement de manifestants qui scandaient slogans et insultes, des agents de la Police provinciale de l’Ontario ont été dépêchés sur les lieux.

    Le nombre de policiers présents n’a toutefois pas été jugé suffisant pour contrôler la foule, où se trouvaient des enfants, et permettre au chef libéral de prononcer son discours.

    De nombreux protestataires en avaient contre la vaccination et le port du masque obligatoires, et contre l’imposition d’un passeport vaccinal. Certains manifestants défendaient plutôt les droits des vapoteurs.

    En fin d’après-midi, lors d’un précédent arrêt de campagne à Nobleton, M. Trudeau avait aussi été accueilli par une dizaine de manifestants agités, dont plusieurs s’opposaient aux mesures sanitaires et à la vaccination.

    Avant même l’arrivée du chef libéral sur les lieux, des manifestants brandissant des pancartes l’attendaient de pied ferme. Une fois M. Trudeau sorti de l’autobus, les cris et les huées n’ont fait que s’intensifier.
    . . . . . .
    Ces protestations surviennent après que le chef libéral se fut engagé, vendredi matin, à verser 1 milliard de dollars aux provinces afin de les aider à implanter un passeport vaccinal, au moment où le pays traverse sa quatrième vague d’infections à la COVID-19.

    Justin Trudeau n’avait pas manqué d’interpeller les manifestants qui s’opposent aux mesures sanitaires et qui viennent troubler ses allocutions depuis le début de la campagne électorale.

    Sur Twitter, le Parti conservateur du Canada a condamné vendredi le langage “obscène et extrême” employé par “certains” manifestants lors des événements de campagne du chef libéral.

    “Plusieurs familles, parfois avec de jeunes enfants, assistent à des événements comme ceux-ci”, a ajouté le Parti conservateur, rappelant que l’ambiance devrait y être “positive, peu importe l’appartenance politique”.


    Agités, les manifestants réunis sur les lieux d’un événement de campagne de Justin Trudeau ont scandé des slogans et crié des insultes. - Photo : La Presse canadienne / Sean Kilpatrick

    Le chef du Nouveau Parti démocratique, Jagmeet Singh, s’est désolé de voir Justin Trudeau et son équipe subir le courroux des manifestants. “Tout le monde devrait pouvoir se sentir en sécurité durant la campagne”, a-t-il tweeté. Le néo-démocrate a lui-même été la cible de propos racistes de manifestants depuis le début de la tournée électorale.

    Au cours des précédentes élections fédérales, en 2019, des manifestants avaient aussi donné du fil à retordre au chef libéral. Craignant que sa sécurité ne soit compromise, M. Trudeau avait dû porter un gilet pare-balles lors d’un événement à Mississauga, en Ontario.
    #canada #justin_trudeau #covid-19 #santé #international #trudeau #pass_sanitaire #coronavirus #confinement #crise_sanitaire #en_vedette #vaccination #pandémie

  • TRISTES TERRASSES Claude Semal
    https://www.asymptomatique.be/tristes-terrasses/?share=email

    L’exigence du “Passe sanitaire”, depuis le 9 août, dans tous les lieux publics en France, n’a pas fini de produire ses effets délétères.

    Dans le coin du Périgord, où j’ai passé une partie de l’été, ils se sont immédiatement fait sentir. Ce n’est pas une grande enquête sociologique, mais ça sent le vécu, coco.

    Dans la petite rue marchande d’Excideuil, celle qui monte vers la Place-à-la-fontaine, un resto a définitivement mis la clé sous la porte, épuisé par un an et demi de contraintes sanitaires.

    Chez les Anglais du coin, qui ne sont plus anglais, mais on ne va pas tout compliquer, on m’a demandé : “Avez-vous votre Passe ?”. J’ai répondu : “Oui, j’ai mon Passe”. Et on m’a servi un verre à table. Tremble, virus !
    (Cela m’a irrésistiblement fait penser au sketch de Francis Blanche et Pierre Dac, déguisés en voyants indous : “Pouvez-vous dire le numéro de sécurité sociale de madame ?” “Oui, je peux dire le numéro de sécurité sociale de madame”. “Il peut dire le numéro de sécurité sociale de madame !”).

    A la buvette-resto du Lac de Nantheuil, renonçant à trier sa clientèle en maillot de bain, et à vérifier son statut vaccinal avant de lui servir un rosé ou une pizza, Diego et ses collègues ont viré toutes les tables et toutes les chaises de la terrasse.

    Ils ne font plus que de la vente à emporter, qui ne répond pas aux mêmes obligations sanitaires, et qu’on peut toujours aller consommer assis dans l’herbe.

    Triste image d’une buvette au mois de novembre en plein mois d’août.

    Chez les Bretons du resto d’Anlhiac, on s’est plié avec rigueur aux nouvelles ordonnances. On scanne votre “QR code” avant même que vous soyez assis.

    Mais depuis le début de la semaine, ils ont perdu le tiers de leur clientèle, et ils ont évidemment parfois été obligés de mettre leurs futurs clients à la porte.

    Enfin, à l’Hostellerie du Fin Chapon, toujours à Excideuil, on a aussi tout “fait comme il faut”, avec chaînette qui clôture la terrasse et circuit sanitaire fléché.

    Mais il vous est toujours loisible, si vous n’avez pas votre Passe, de commander des boissons et des repas “à emporter”, et de les consommer aux tables qui traînent nonchalamment sur la placette adjacente. A malin, malin et demi.

    Ne croyez toutefois pas que j’ai passé la semaine au resto. J’en ai testé un, et pour le reste, j’ai mes propres informateurs ;-).

    Or cette exigence d’un “passe vaccinal” pour boire un verre à l’extérieur ou en terrasse, n’a pas de base médicale.


    En Belgique, on avait par exemple pris soin de distinguer, dans la restauration, le service “en salle”, où la transmission par aérosol reste possible, et le service “en terrasse”, où elle semble négligeable.

    Il ne s’agit donc plus ici de “prévenir une maladie”, mais de faire “chier les gens”, avec contrôles de police aux terrasses, pour les “contraindre” à se faire vacciner.

    Ce n’est donc plus directement un acte sanitaire, mais un acte de contrôle social.

    Version soft, apéritive et estivale de la grenade dans l’oeil chez les gilets jaunes.

    Avec cette conception bonapartiste et policière du pouvoir, “je décide seul, et je vous envoie mes chiens policiers pour le service après-vente”, qui prétend toujours contraindre plutôt que convaincre, Macron a transformé chaque bar et chaque restaurant de France en possible foyer de contestation de sa politique. Et il y en a beaucoup, des bars et des restos en France.

    Au moment où l’épidémie explose dans les territoires d’Outremer, ces confettis post coloniaux qui sont d’abord victimes de leur sous-développement économique et sanitaire, Macron a ainsi pris le risque de braquer et de cliver un peu plus l’opinion publique.

    Montrer des morgues qui débordent à la Réunion ou en Martinique, suffira sans doute pour lui à discréditer les 200.000 personnes qui ont manifesté hebdomadairement contre son “Passe sanitaire”.

    Là où une politique sanitaire conséquente et efficace devrait rassembler l’ensemble de la population, en préservant à la fois sa santé et ses libertés, il a personnalisé la question vaccinale, à coups de menton bonapartiste, jusqu’à la transformer en plébiscite “pour ou contre Macron”.

    Là où il faudrait renforcer les équipes soignantes des hôpitaux, il les affaiblit en licenciant ceux et celles qui ne sont pas vaccinés.

    Là où il faudrait prioritairement chercher à vacciner les 20% de personnes âgées qui, en France, sont actuellement passées sous les radars, il préfère aller draguer les jeunes prépubères sur Instagram.

    Or c’est un jeu risqué et dangereux, quand on est aussi aimablement détesté, de compter sur l’amour qu’on vous porte pour combattre une épidémie. Certains pourraient finir par préférer les virus.
    Claude Semal, le 20 août 2021

    #covid-19 #coronavirus #confinement #en_vedette #crise_sanitaire #vaccination #pandémie #surveillance #pass_sanitaire #France #EnMarche

  • Manifestation contre le passeport sanitaire - Montréal - 2021-08-14

    Beaucoup de monde ce sont donné rendez-vous dans les rues Montréal pour participer à la manifestation contre l’instauration du passeport sanitaire au Québec. Les manifestants arrive rue Sherbrooke, descende Jeanne-Mance pour terminé au quartier des spectacles.

    https://www.youtube.com/watch?v=V8z9XUwNUXE

    #Canada #Montréal #manifestation #covid-19 #coronavirus #confinement #en_vedette #crise_sanitaire #vaccination #pandémie #surveillance #santé_publique #pass_sanitaire #solidarité

  • #belgique #confinement : La Défense ouvre une enquête sur une Covid-party avec stripteaseuse à la caserne de Tielen, à Anvers
    https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_la-defense-ouvre-une-enquete-sur-une-covid-party-avec-stripteaseuse-a-la

    Le ministère de la Défense a décidé d’ouvrir une enquête pour faire la lumière sur une Covid-party à la caserne de Tielen (province d’Anvers), à laquelle une stripteaseuse était présente, d’après des informations du quotidien Het Laatste Nieuws et la chaîne de télé flamande VTM, confirmées à Belga. Des vidéos de la fête montrent une vingtaine de membres du 3e Bataillon Parachutiste, une unité d’élite de la Défense, ne respectant manifestement pas les mesures sanitaires d’application à l’époque.

    D’après VTM NIEUWS, les images datent du mois de mai et montrent un soldat attaché à une chaise et fouetté avec un martinet par une stripteaseuse, qui aurait été introduite clandestinement dans la caserne sécurisée.

    Stripteaseuse présente
    Les images montrent également un autre militaire posant nu pour une photo de groupe avec des collègues. Beaucoup dansent et boivent de l’alcool alors qu’à l’époque les rassemblements de ce genre étaient encore strictement interdits à cause du coronavirus. Aucune distanciation sociale n’est respectée, et l’absence de masques buccaux est notable.

    Le ministère de la Défense prend les faits très au sérieux et a décidé d’ouvrir une enquête, notamment sur le fait qu’une stripteaseuse a pu entrer de la sorte dans le bâtiment. Des mesures de sécurité très strictes entourent normalement la caserne de Tielen.

    « Cela n’a aucunement sa place au sein de la Défense et nuit à l’image de tous les militaires qui font un travail exemplaire à l’étranger et en Belgique, notamment pour soutenir la nation pendant la pandémie ou après les inondations », a déploré la ministre de la Défense Ludivine Dedonder (PS). « Des enquêtes sont en cours au sein de la Défense pour trois violations possibles : la sécurité des quartiers militaires, les règles de distanciation sociale dans le cadre de la pandémie de coronavirus et la consommation d’alcool sur le lieu de travail. Si les enquêtes confirment ces violations, la Défense prendra les sanctions disciplinaires et/ou juridiques appropriées. »

    #confinement (pas pour certains) #privilégiés #covid-19 pas de #cas_contact #coronavirus #santé #covid #sars-cov-2 #pandémie #prostitution #orgie #partouze #bourgeoisie

  • Efficacité de la vaccination : Il manque plus de la moitié des décès ! Décoder l’éco

    https://www.youtube.com/watch?v=hLARwm6jqbA

    Le 13 juillet 2021, la DREES, la direction réalisant les statistiques pour le ministère de la santé a sorti une étude récapitulant les données connus des résultats de tests Covid-19 pour les vaccinés et les non-vaccinés en France.
    Cette étude a été complétée le 23 juillet 2021 par une autre étude ajoutant cette fois-ci les données d’hospitalisations et de décès liées à la Covid-19.
    Cette dernière étude est utilisée en ce moment par le gouvernement et les médias pour justifier la politique vaccinale, puisqu’elle affirme notamment que :

    – Les non-vaccinés représentent près de 85 % des entrées hospitalières, que ce soit en hospitalisation conventionnelle ou en soins critiques.
    – Les patients complètement vaccinés comptent pour environ 7 % des admissions, une proportion cinq fois plus faible que celle observée en population générale (35 % en moyenne durant la période d’étude).
    – À tout âge, la part de patients vaccinés entrant à l’hôpital est nettement inférieure à celle qu’ils représentent dans l’ensemble de la population.

    Seulement, comme l’a relevé @NiusMarco sur Twitter et détaillé Patrice Gibertie dans un article, les données utilisées pas la DREES posent un énorme problème : il manque la moitié des décès Covid-19 français. Dans cette vidéo, nous allons détailler les données de l’étude pour comprendre d’où viennent les données, comment la DREES a pu retirer la moitié des décès de son analyse et ce que cela signifie pour les conclusions de l’étude.

    Sources :
    Etude DREES sur les tests : https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/note_drees_suivi_de_la_crise_sanitaire_.pdf
    Etude DREES sur les hospitalisations / décès : https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/2021-07-23_-_sivic-sidep-vacsi_premiers_resultats_-_drees-2.p
    Géodes pour les données SIVIC : https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&view=map2
    Fichier public des personnes décédées : https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/fichier-des-personnes-decedees
    Etude anglaise sur la mortalité Covid vaccinés / non vaccinés : https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1001354/Variants_of_Concern_VOC_Technical_Briefing_17.pdf
    Données israéliennes sur la mortalité Covid : https://data.gov.il/dataset/covid-19/resource/8a51c65b-f95a-4fb8-bd97-65f47109f41f?filters

    #france #angleterre #israel #DREES, #SIVIC #décès #vaccination #test_pcr #covid-19 #cas_contact #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #france #pass #pass_sanitaire #statistiques #chiffres #data #europe #données

  • Pass sanitaire : Oui, un formulaire de « non-respect » du Pass sanitaire est utilisé à l’AP-HP
    https://www.20minutes.fr/societe/3101107-20210811-pass-sanitaire-oui-formulaire-non-respect-pass-sanitaire-

    Le personnel soignant de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris ( AP-HP) fait-il l’objet d’une surveillance démesurée de sa direction depuis l’entrée en vigueur du décrié Pass sanitaire ? 

    C’est en tout cas ce que dénonce un tweet repris par de nombreux internautes : « L’AP-HP a demandé aux cadres de faire le flicage du personnel avec une fiche de délation pour "non-respect du Pass sanitaire" en vue d’une convocation à la DRH et d’une suspension de ses fonctions. Chaque jour rajoute son lot d’ignominie ! » 

    Sur la photo jointe de ce document portant l’en-tête de l’AP-HP, on distingue, outre plusieurs champs libres - « nom/prénom de l’agent », date et heure du contrôle - un paragraphe important : « Il a été constaté que vous ne remplissiez pas les conditions prévues par la loi (un résultat d’un examen de dépistage virologique ne concluant pas à une containation par [le] Covid-19, un justificatif de statut vaccinal concernant [le] Covid-19 ou un certificat de rétablissement à la suite d’une contamination. Vous serez convoqué à la Direction des ressources humaines ou à la Direction des affaires médicales. »

    « Vous êtes informé que les personnes ne pouvant présenter un [Pass] sanitaire valide peuvent être suspendues de leurs fonctions à partir de la date de la constatation des faits. Cette suspension prend fin lors de la production et transmission des justificatifs requis », poursuit ce formulaire. 

    Jointe par 20 Minutes, l’AP-HP confirme à 20 Minutes que, « conformément à l’article 14 de la loi relative à la gestion de la crise sanitaire du 5 août 2021, le Pass sanitaire est obligatoire pour les professionnels pour pouvoir exercer leur activité dans un établissement de santé. »

    « Si l’entrée dans l’enceinte de l’hôpital se fait sur présentation de la carte professionnelle, le contrôle des justificatifs est effectué directement dans les services par l’encadrement. Il peut s’agir d’un certificat de vaccination si schéma vaccinal complet ou d’un test négatif RT-PCR ou antigénique ou autotest réalisé sous la supervision d’un professionnel de santé, de moins de 72h ou d’une preuve de rétablissement de la COVID-19 [...]. Le professionnel peut également fournir un certificat médical de contre-indication à la vaccination », ajoute-t-elle. 

    De son côté, le syndicat USAP-CGT nous confirme l’authenticité du document relayé sur Twitter, qui lui a été « envoyé par des camarades de l’hôpital Henri Mondor lundi [9 août]. », et précise : « Pour l’instant, nous n’avons pas eu de remontées sur des cas de personnes convoquées par la DHR mais les cadres mettent la pression au quotidien sur les agents pour qu’ils fournissent leur Pass ».
    . . . . . . .

    #vaccination #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #isolement #surveillance #fichage #violence_administrative #france #fichage_et_surveillance #contrôle #répression #pass #pass_sanitaire

  • Is the cure really worse than the disease ? The health impacts of lockdowns during #COVID-19 | BMJ Global Health
    https://gh.bmj.com/content/6/8/e006653

    #Surmortalité franche dans les pays avec absence de confinement franc (Brésil par exemple) mais aussi dans ceux dont les confinements interviennent tardivement, alors que les chiffres de Covid-19 sont élevés (comparaison Suède, Royaume-Uni).

    Pas de surmortalité dans les pays qui ont choisi de confiner alors que les chiffres de covid-19 étaient encore bas (Australie par exemple)

    #confinement

  • Covid-19 : les touristes « invités à quitter » la Martinique, en deuxième phase de confinement
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/08/10/covid-19-les-touristes-invites-a-quitter-la-martinique-en-deuxieme-phase-de-

    Covid-19 : les touristes « invités à quitter » la Martinique, en deuxième phase de confinement. Les mesures renforcées du département antillais impliquent notamment la fermeture des plages et des hôtels.

    Les autorités ont renforcé les mesures de confinement à la Martinique, île en proie à un sévère rebond épidémique de Covid-19. Le territoire va entrer dans une « deuxième phase de confinement », après l’instauration d’un confinement partiel assorti d’un couvre-feu de 20 heures à 5 heures. « Les commerces seront fermés, sauf les commerces alimentaires et les pharmacies », a rapporté, lundi 9 août, le préfet de la Martinique, Stanislas Cazelles, en invitant « toutes les personnes en situation de tourisme qui sont vulnérables à quitter le territoire ». « Les hôtels seront fermés, sauf pour les besoins d’accueil des professionnels et des personnes résidant sur le territoire, il en sera de même des locations saisonnières », a ajouté le préfet. Les « magasins utiles pour la rentrée scolaire » rouvriront lorsque « la situation sanitaire se sera améliorée ». « Les entreprises et les administrations sont, elles aussi, invitées à participer à cet effort de confinement, elles sont invitées à organiser le service de façon à ce qu’un maximum de collaborateurs puissent travailler en télétravail », a encore précisé M. Cazelles.« Les lieux de loisirs et de culture seront fermés », notamment « les plages », qui « ne seront plus accessibles au public », a expliqué le préfet. Les habitants sont, en outre, astreints à des déplacements d’une distance maximale d’un kilomètre autour de leur domicile. « Ces règles sont strictes, elles seront levées dès que la situation sanitaire le permettra », a promis le représentant de l’Etat, en faisant état d’une « clause de revoyure dans quinze jours ». Ces annonces interviennent à la veille d’une « visite de crise » du ministre des outre-mer, Sébastien Lecornu, aux Antilles. Il est attendu mardi soir à la Guadeloupe. Avec le ministre de la santé, Olivier Véran, ils se rendront à la Martinique, jeudi, où la situation a été qualifiée d’« extrêmement préoccupante » par le directeur de l’agence régionale de santé locale, Jérôme Viguier, alors que quelque 240 soignants doivent arriver mardi pour une mission d’appui de quinze jours dans les Antilles. La Martinique accuse l’un des plus forts taux d’incidence de France, avec près de 1 200 cas pour 100 000 habitants, ainsi qu’une tension hospitalière de 227 %. La population de l’île est par ailleurs très peu vaccinée, moins de 22 % de la population ayant reçu une première dose.

    #Covid-19#migrant#migration#france#martinique#metropole#sante#confinement#retour#incidence#tourisme

  • La vaccination à l’épreuve des faits : une mortalité inédite Volet 2 Contribution1 de Laurent Mucchielli

    La pharmacovigilance des vaccins anti-covid est déniée car elle menace l’idéologie de la vaccination intégrale portée par les industries pharmaceutiques, les gouvernements et les principaux médias. Cette vaccination de masse conduit pourtant à une mortalité inédite dans l’histoire de la médecine moderne. Il y a urgence à la suspendre pour évaluer la balance bénéfice/risque au cas par cas.
    . . . . . . . . . .
    Enfin, aux États-Unis, où la pharmacovigilance (comme la transparence des données d’administration publique de manière générale) est beaucoup mieux organisée et plus contraignante que dans beaucoup de pays européens, des données très précises peuvent être exploitées sur le site de la Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) http://web.archive.org/web/20210802085407/https://vaers.hhs.gov/data.html . Et, contrairement à l’argument des industriels, répétés en boucle par les journalistes français (à l’image des fact-checkers déjà cités), ces données sont très largement fiables. Six chercheurs anglais viennent ainsi d’analyser un échantillon de 250 déclarations de décès attribués aux vaccins anti-covid dans la VAERS http://web.archive.org/web/20210802085347/https://www.researchgate.net/publication/352837543_Analysis_of_COVID-19_vaccine_death_reports_from_the_Vaccine_A . Il en résulte que les deux tiers des déclarations ont été faites par des médecins et qu’elles sont fiables à 86%. Or le constat qui ressort des données américaines est plus saisissant encore. En recherchant dans ces données les décès liés à la vaccination, il est possible non seulement d’avoir un comptage détaillé pour chaque vaccin anti-covid, mais de surcroît de pouvoir comparer ces résultats avec ceux de tous les autres vaccins administrés depuis plus de 30 ans dans ce pays. Au 16 juillet 2021, date à laquelle 160 millions d’Américains avaient été intégralement vaccinés, les vaccins anti-covid sont liés à plus de 6 000 décès, 91% d’entre eux étant attribuables aux seuls vaccins de Moderna et Pfizer (deux entreprises pharmaceutiques/biotechnologiques américaines, Janssen étant la filiale belge d’une autre entreprise pharmaceutique américaine, Johnson & Johnson). Nous avons reconstitué le tableau ci-dessous qui donne le détail de ces chiffres.


    Source : VAERS, calcul réalisé sur les données datant du 16 juillet 2021

    Ces décès sont en outre survenus principalement dans les 48h qui ont suivi la vaccination http://web.archive.org/web/20210804213044/https://www.openvaers.com/covid-data/mortality , ce qui renforce considérablement la présomption de causalité. Par ailleurs, ces fichiers permettent donc de comparer cette mortalité des vaccins anti-covid à la mortalité vaccinale globale dans ce pays depuis 30 ans (concernant des centaines de vaccins). Ce fichier donne un total de 16 605 décès pour l’ensemble des vaccins sur toute la période. À elle seule et en seulement 6 mois, la vaccination anti-covid représente donc 36% de la totalité de la mortalité vaccinale dans ce pays depuis 30 ans. Par comparaison, dans la même base de données, nous avons compté le nombre de morts occasionnés par l’administration des différents vaccins contre la grippe saisonnière (influenza seasonal). En 30 ans (1990-2020), ces vaccins ont occasionné 1 106 décès, ce qui représente 6,66% du total de la mortalité vaccinale depuis 30 ans. Une autre façon d’exprimer ces résultats est donc de dire que, aux États-Unis, en 6 mois, la vaccination anti-covid a contribué à tuer 5 fois plus de personnes que la vaccination anti-grippe en 30 ans. Ceci confirme d’une autre façon encore que nous sommes bien en présence de vaccins d’un nouveau genre, dont la dangerosité est inédite. Ajoutons enfin que cette dangerosité doit tout particulièrement interroger lorsqu’elle concerne des personnes jeunes et qui ne sont donc pas sérieusement menacées par la Covid. Or, 23,2% du total des morts américains imputés aux vaccins anti-covid et dont l’âge est connu avaient moins de 65 ans http://web.archive.org/web/20210804213044/https://www.openvaers.com/covid-data/mortality .

    Conclusion
    La question des effets indésirables graves des vaccins anti-covid fait l’objet d’un déni et d’un silence de la part du gouvernement et des principales agences sanitaires (Agence nationale de sécurité du médicament, Haute autorité de santé, Haut conseil de santé publique, etc.). Tout se passe comme s’il s’agissait d’un véritable tabou, en France comme dans la plupart des autres pays occidentaux. L’importance de ces effets apporte en effet une contradiction trop flagrante et dévastatrice pour l’idéologie de la vaccination intégrale qui guide des gouvernements ayant choisi de s’abandonner dans les bras de l’industrie pharmaceutique. Cette dernière est ainsi au cœur de toute la gestion d’une épidémie qui constitue pour elle une aubaine inédite dans l’histoire : quel produit commercial breveté a pour marché potentiel la totalité de l’humanité, renouvelable chaque année qui plus est ? Patrons et actionnaires de ces firmes pharmaceutiques et biotechnologiques sont en train de devenir immensément riches http://web.archive.org/web/20210731094253/https://www.alternatives-economiques.fr/covid-19-tres-chers-vaccins/00099304 . Au vu de la façon dont ces industries ont travaillé (dans l’urgence, pour générer un maximum de profits, sans tester les personnes les plus à risque http://web.archive.org/web/20210716225451/http://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/06/techniques-de-vente-bidouillages.html — âge et comorbidités —, à grand renfort de formules de type publicitaire), notamment aux États-Unis et en Angleterre, pour mettre au point ces nouveaux vaccins génétiques (ADN ou ARN), on pouvait ainsi dès le départ redouter que ces produits ne soient pas de très bonne qualité http://web.archive.org/web/20210716225117/http://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/04/inedit-exclusif-vaccins-contre-la-covid.html . Mais la réalité dépasse ces craintes et montre que ces vaccins ont davantage d’effets indésirables plus ou moins graves qu’aucun autre avant eux. Nous avons vu ainsi qu’aux Pays-Bas l’on parvient à un taux de 2,7 morts pour 100 000 vaccinés (16,5 millions de vaccinés, 448 morts). En France et aux États-Unis, ce taux monte à environ 3,7 morts pour 100 000 vaccinés. Et en Grande-Bretagne, ce taux grimpe même à 4,3 morts pour 100 000 vaccinés, très probablement en raison de la prépondérance du vaccin AstraZeneca que l’on sait depuis le mois de mars 2021 http://web.archive.org/web/20210731094338/https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/vaccin/vaccin-astrazeneca-les-pays-bas-suspendent-a-leur-tour-son-utilisation- être le plus dangereux des quatre vaccins couramment utilisés en Occident (en particulier du fait des nombreuses thromboses qu’il provoque et qui commencent à être documentées dans la littérature scientifique médicale, voir par exemple ici et là), ce qui n’est guère surprenant lorsque l’on connaît les conditions dans lesquelles il a été fabriqué en Chine http://web.archive.org/web/20210803145851/https://www.nytimes.com/2020/12/07/business/china-vaccine-astrazeneca.html . Au passage, nous avons également signalé que ce fut le premier vaccin administré en France, dès février 2021, aux professionnels de santé. De là une des raisons rationnelles probables de la grande réticence à la vaccination anti-covid que manifestent une partie d’entre eux.

    Cette mortalité vaccinale (qui n’est que la pointe émergée de l’iceberg des effets indésirables graves) est donc inédite, elle est particulièrement grave et sa dissimulation l’est plus encore. Soyons clair : dissimuler d’une façon ou d’une autre un tel danger est tout simplement criminel vis-à-vis de la population. Même réduite à ses plus élémentaires principes de déontologie (primum non nocere), l’approche de cette question en termes de santé publique devrait conduire à suspendre d’urgence la campagne vaccinale, à étudier beaucoup plus en détail les données de cette pharmacovigilance (en particulier selon les classes d’âge et en fonction des différents facteurs de risque) et, au terme d’une analyse bénéfices/risques méticuleuse, à déterminer à quelles catégories bien précises de la population il est possible de proposer la vaccination sans risque que les effets indésirables graves soient plus nombreux que les formes graves de la Covid dont elle est censée les protéger. Tout autre approche ne relève pas de la santé publique mais de postures idéologiques ou d’un marketing commercial. Et l’histoire a déjà montré (sur le tabac, sur les pesticides, sur la pollution aux hydrocarbures, etc.) que ces postures et ce marketing étaient responsables de véritables crimes contre les populations civiles. Qu’ils soient commis au nom du Bien ne devrait en aucun cas aveugler sur leur réalité et leur nature. Toutes celles et ceux qui s’y adonnent pourraient être désormais considérés comme complices de cette nouvelle mortalité vaccinale qui semble inédite dans l’histoire de la médecine moderne.

    Laurent Mucchielli

    L’intégralité de la publication : https://altermidi.org/2021/08/06/le-texte-de-laurent-mucchielli-depublier-par-mediapart

    À propos des auteurs : Laurent MUCCHIELLI (sociologue, directeur de recherche au CNRS), Hélène BANOUN (pharmacien biologiste, PhD, ancienne chargée de recherches à l’INSERM), Emmanuelle DARLES (maîtresse de conférences en informatique à Aix-Marseille Université), Éric MENAT (docteur en médecine, médecin généraliste), Vincent PAVAN (maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université) & Amine UMLIL (pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier, unité de « pharmacovigilance/CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques)/Coordination des vigilances sanitaires » du Centre hospitalier de Cholet). Contact : laurent.mucchielli@protonmail.com

    #vaccination #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #isolement #statistiques #censure # #liberté_d'expression #blogs #idéologie #mortalité #Laurent_Mucchielli

    • Une démonstration d’un sociologue sur la mortalité des vaccins ? Attention à l’interprétation des chiffres

      Dans un billet de blog hébergé un temps sur le site de Mediapart, et dépublié le 4 août, le sociologue Laurent Mucchielli affirme que la vaccination contre le Covid-19 est à l’origine d’une « mortalité inédite » en France, et responsable de « près de 1.000 morts potentiellement ». Son billet repose sur des données de pharmacovigilance qui sont des signalements de décès postérieurs à une vaccination contre le Covid. Pour une large majorité ces décès n’ont pas été à ce jour imputés à la vaccination. Pourtant, le billet est repris à tort comme une preuve du décès « d’un millier de personnes » à cause des vaccins.

      La suite : https://factuel.afp.com/http%253A%252F%252Fdoc.afp.com%252F9JX7Z6-1

    • A propos de comptabilisation des décés covid, les chiffres peuvent être mis en doute aussi. Un exemple de décès comptabilisé covid :
      Décès d’un résident d’Ehpad dans le Tarn : la famille porte plainte « parce qu’il était attaché depuis 15 jours »
      Les enfants de Georges Bordes considèrent que leur père, décédé du 30 mars à Mazamet (Tarn), est « resté attaché dans son fauteuil ». Ils disent avoir porté plainte pour homicide involontaire, le parquet de Castres confirme qu’une enquête est ouverte.
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      Tout commence le 15 mars lorsque Georges Bordes, 93 ans, résident de cette maison de retraite, institution de la ville du sud du Tarn depuis des décennies, est testé positif au coronavirus. La famille précise qu’elle avait refusé qu’il soit vacciné.
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      « il est resté durant les quinze jours qui ont précédé son décès, entravé sur ce fauteuil en journée et sous somnifères importants la nuit. Tout cela afin qu’il ne puisse quitter sa chambre et déambuler ». Une manière d’éviter que les résidents contaminent les autres occupants.
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      https://www.leparisien.fr/faits-divers/deces-dun-resident-dehpad-dans-le-tarn-la-famille-porte-plainte-parce-qui

  • #israel : Plus de 3 000 cas de COVID en un jour, pour la quatrième journée consécutive
    https://fr.timesofisrael.com/plus-de-3-000-cas-de-covid-en-un-jour-pour-la-quatrieme-journee-co

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    Le ministère de la Santé a fait état vendredi de plus de 3000 nouveaux cas de coronavirus la veille, avant les nouvelles restrictions qui doivent entrer en vigueur la semaine prochaine.

    Selon les chiffres du ministère, 3 843 infections ont été confirmées jeudi, ce qui constitue le quatrième jour consécutif où les nouveaux cas ont dépassé les 3 000. Il y avait 27 525 cas actifs sur les 891 811 infections vérifiées en Israël depuis le début de la pandémie.

    Les cas graves – une mesure clé utilisée par les décideurs dans la vague actuelle – ont légèrement baissé à 253. Parmi eux, 65 personnes se trouvaient dans un état critique, dont 52 sous ventilateur. Au total, 477 personnes ont été hospitalisées pour des complications liées au COVID-19.

    Le nombre de décès s’élève à 6 509, avec trois victimes du coronavirus jeudi.

    Selon le ministère, 3,79 % des plus de 100 000 tests effectués jeudi se sont révélés positifs.

    Le ministère a également déclaré que sur les quelque 9,3 millions d’habitants d’Israël, plus de 5,8 millions ont reçu au moins une dose de vaccin, près de 5,4 ont reçu deux doses et un peu moins de 350 000 ont reçu une injection de rappel.

    Dans un contexte d’augmentation continue des cas, les ministres ont approuvé jeudi un élargissement significatif des restrictions sur les rassemblements dans le cadre du système du passeport vert, malgré les réticences suscitées par une décision de dernière minute d’exempter les lieux de culte.

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    Le service d’ambulances Magen David Adom a déclaré vendredi qu’il allait commencer à gérer 120 stations de dépistage rapide à travers le pays pour les personnes devant présenter un résultat négatif au test dans le cadre des règles du Passeport vert.

    #vaccination #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #isolement

  • Pass sanitaire : « Opération ville morte » à Cambrai, une soixantaine de restaurateurs refusent de contrôler leurs clients

    Temps d’attente allongé, pas de personnel payé pour contrôler les entrées... Les restaurateurs de Cambrai se rassemblent samedi 7 août pour dénoncer les conditions de mise en place du pass sanitaire. Leurs établissements resteront fermés.

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/image/cqHexy7JQNQmMWVOgdI1OLJR2mc/930x620//filters:format(webp)/regions/2021/08/06/610cfa46d88ed_227491296-128156722771547-727919046840472
    Une soixantaine de restaurateurs de Cambrai protestent contre le contrôle du pass sanitaire ce samedi 7 août. • © Kevin Verin

    Les restaurateurs de Cambrai ne cessent de le répéter, ils ne sont pas contre le pass sanitaire et le vaccin. « Ce n’est pas le sujet » , lance l’un d’entre eux. Ce qui leur pose problème, c’est le contrôle à l’entrée des restaurants, des bars et des cafés à partir de lundi 9 août. 

    C’est pourquoi ce samedi 7 août, une soixantaine d’entre eux a prévu de se réunir sur la place Aristide Briand au centre-ville pour protester. Ce ne sera pas pour autant une manifestation, mais une « opération ville morte » . La quasi totalité de leurs établissements seront fermés. 

    « Le pass sanitaire, c’est une chose, on le respecte, lance Morgan Sedrue, gérant d’un bar de nuit. Mais ce qu’on ne veut pas, c’est contrôler les gens. On n’est pas des anti ou des pro-vaccin, ce n’est pas du tout le débat. On veut montrer notre mécontentement sur le contrôle du pass sanitaire. » Difficile pour lui et ses collègues de s’imaginer contrôler chaque client, « comme un agent de police ». 

    Plusieurs revendications
    Avec le déploiement du pass sanitaire, plusieurs problèmes se posent. A commencer par le temps d’attente devant les établissements. Frédéric Darras, restaurateur, constate déjà « des queues 15 à 20 personnes sur les côtés. Certains n’ont pas le temps par ce qu’ils travaillent, vous les imaginez faire une queue de 15 minutes alors qu’ils n’ont qu’une heure pour manger à la pause ? » Cela entraîne aussi un décalage « en cuisine et dans le service » qui ralentit considérablement la cadence du restaurant. 

    Ensuite, ils anticipent déjà des complications pour l’organisation : « quand on prend les additions, il y a ceux qui attendent à l’extérieur et qui vont vouloir s’asseoir de suite aux places libres, alors qu’on a pas encore contrôlé leur pass sanitaire. Si à ce moment-là, il y a un contrôle de police, ça nous fait 1500 euros d’amende et pour le client, c’est 135 euros. »

    La foire du 15 août à Cambrai inquiète aussi. Les restaurateurs prévoient « à peu près 4000 clients potentiels » dans les restaurants, les bars et les cafés en l’espace d’une journée. Comment s’organiser face à l’afflux de personnes, avec un pass sanitaire à contrôler et sans personne pour le faire ?  "Une situation intenable", pour Morgan Sedrue. 

    Casse-tête en vue
    La suite : https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/cambrai/pass-sanitaire-operation-ville-morte-a-cambrai-une-soix

    #grève #Douai #france #travail #surveillance #bénévolat #vichy #pétain #vaccination #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #isolement

  • HK border reopening hopes fade with new outbreaks - Asia Times
    https://asiatimes.com/2021/08/hk-border-reopening-hopes-fade-with-new-outbreaks

    HK border reopening hopes fade with new outbreaks
    Hong Kong is pushing to reopen its border with Macau and the mainland but new virus outbreaks could scupper the plans. Hong Kong’s retail and tourism sectors have become pessimistic about the resumption of quarantine-free travel across the territory’s borders with Macau and the mainland by October after new outbreaks were reported in the region.
    The Macau government said Tuesday it received notification from Zhuhai authorities that samples they collected from two Macau residents had tested positive. The couple’s son and daughter were then identified as infected.
    Macau’s health authorities said the four were infected with the more infectious Delta variant. They said it was likely that the daughter, who joined a dancing trip with 30 people to fly from Zhuhai to Xi’an in Shaanxi province between July 19 and 24, was the first infected person in the cluster. Her brother and parents later showed symptoms of the illness.
    It was said that the plane taken by the daughter on July 19 had arrived from Nanjing to Zhuhai earlier on the same day. Two passengers flying from Nanjing to Zhuhai on that plane previously tested positive.Due to the outbreaks, the Macau government declared a state of “immediate prevention” from 3:30pm on Tuesday and ordered Covid tests for the gaming city of 680,000 people. People must provide a negative Covid test result done within 12 hours if they want to leave the city. The latest outbreak also sparked panic buying in supermarkets as Macau has not seen a local case for more than 400 days.Macau Chief Executive Ho Iat-seng said it was not necessary to shut down casinos for the moment as it was likely that the infected daughter contracted the virus on the July 19 flight. Ho said the girl sat on the same seat where two patients from Nanjing had occupied.
    The Hong Kong government also announced that from August 4, anyone who had been in Macau over the past 14 days could not return to the city under the Return2hk scheme, which allows Hong Kong residents quarantine-free entry upon returning to the territory if they test negative for the virus.A 13-year-old Hong Kong girl and her family are being sent to a quarantine camp as she stayed in the same room with the Macau girl during the dancing trip last month.
    Separately, a 43-year-old construction worker, who lived in Sham Shui Po in Kowloon, tested positive preliminarily on Tuesday. However, his sample tested negative for the coronavirus on Wednesday but positive for the Covid-19 antibodies, showing that he might have recovered from a previous infection.Chuang Shuk-kwan, head of the Centre for Health Protection’s Communicable Disease Branch, said Wednesday the man was probably a “re-positive” case, but authorities had not been able to find out the exact time of his infection yet.“The man has been undergoing regular testing, his regular testing started from May – although he had one or two tests at the end of March – so one of the possibilities is that he had an infection quite early on, maybe before May or March,” Chuang said.If the man has been infected recently through an unknown source, his case would have broken a 56-day streak of zero new untraceable local infections in Hong Kong.
    Since the second quarter of last year, Macau and the mainland have adopted a “zero infections” strategy by implementing tough anti-epidemic measures. As the two places successfully controlled their epidemic situations, they have resumed quarantine-free travel since last September.
    Last year, the Hong Kong government tried to maintain local infections at low level and avoided launching severe measures such as citywide tests and large-scale lockdowns. However, such strategy failed to prevent the city from being hit by the fourth epidemic wave between last November and January this year.Since then, the government has locked down infected areas, tightened quarantine measures and banned flights coming from high-risk countries to stay in line with Beijing’s “zero infections” strategy.
    Yiu Si-wing, a lawmaker representing the tourism sector, said his sector had previously expected that Hong Kong could reopen its border with Macau and the mainland by October but such hope seemed to have vanished due to the recent outbreaks in the latter two places. Yiu said the previously scheduled travel bubble between Hong Kong and Singapore had burst twice and would probably be unable to resume in the coming few months.
    He said among the 1,600 travel agencies in Hong Kong, only 100 to 200 were organising “cruise-to-nowhere” trips while 400 were running local tours. He said a majority of travel agencies were having no income while some of them might go bankrupt if the border between Hong Kong and the mainland could not reopen this year.Yip Kin-ming, a member of the Chinese People’s Political Consultative Conference and a director of the China Economic and Social Council, said the chance that the Hong Kong-mainland border could reopen in short term had become slim after the Delta variant was spread from Nanjing to a dozen of Chinese provinces in late July.
    However, Yip said the two places should continue to push forward the discussion about whether vaccinated people could be allowed to travel across the border with shorter quarantine periods. Health authorities in China on Wednesday reported 71 domestic cases, the highest since January. The country is fighting against the Delta variant by launching citywide tests and locking down millions.Infectious disease expert Leung Chi-chiu said it was right for Hong Kong to quickly remove Macau from the “Return2hk” scheme, so that from now on people who return from Macau would need to undergo home quarantine. Leung said if the situation became worse, returnees from Macau should be quarantined in hotels instead.
    “The Macau case does illustrate the fragility of a bubble with the mainland,” Benjamin Cowling, an epidemiologist from the University of Hong Kong, told RTHK. “I know that’s what we are going for. If we can maintain zero Covid for a period of time, if we can get the vaccine coverage up to a higher level, then we have the opportunity to establish a bubble with the mainland with free travel in both directions.” On Tuesday, the Hong Kong government launched several new measures to help boost the city’s vaccination rate. It said Hong Kong would have 70% of its population vaccinated with their first dose by the end of September.

    #Covid-19#migrant#migration#hongkong#chine#macau#sante#circulation#depistage#frontiere#confinement#quarantaine#bullesanitaire#vaccination#variant

  • Un soutien urgent est nécessaire tandis que des milliers de membres de la communauté de Cox’s Bazar perdent leurs moyens de subsistance | Organisation internationale pour les migrations
    https://www.iom.int/fr/news/un-soutien-urgent-est-necessaire-tandis-que-des-milliers-de-membres-de-la-commu
    https://www.iom.int/sites/default/files/styles/highlights/public/press_release/media/1_9.jpg?itok=b82Tw7a7

    Un soutien urgent est nécessaire tandis que des milliers de membres de la communauté de Cox’s Bazar perdent leurs moyens de subsistance. L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) est préoccupée par le sort de plus de 80 000 membres des communautés des sous-districts d’Ukhiya et de Teknaf à Cox’s Bazar qui ont perdu leurs revenus et leurs biens suite aux inondations dévastatrices qui ont balayé la ville depuis le 27 juillet. Près de 2 500 jardins potagers ont été partiellement ou totalement endommagés et 140 arbres ont été anéantis, ce qui soulève des inquiétudes quant à l’érosion des sols et aux glissements de terrain provoqués par ce que les habitants décrivent comme les précipitations les plus importantes depuis plus de dix ans.
    «  La pandémie de COVID-19 et le confinement en cours ont déjà laissé des millions de personnes à travers le pays sans emploi et ils ont du mal à joindre les deux bouts  », a déclaré Manuel Marques Pereira, chef de mission adjoint de l’OIM au Bangladesh. «  Beaucoup avaient réussi à se relever grâce aux différentes opportunités de moyens de subsistance offertes par la communauté humanitaire, mais sont maintenant obligés de repartir de zéro.  »
    L’urbanisation rapide des deux sous-districts de Teknaf et d’Ukhiya pourrait avoir conduit à l’obstruction du système de drainage naturel, provoquant une accumulation rapide des eaux de pluie et des crues soudaines. Depuis le début des pluies de la mousson, l’OIM aide les volontaires locaux du programme de préparation aux cyclones à diffuser des messages d’alerte rapide sur les glissements de terrain et l’évacuation, touchant plus de 175 000 personnes vivant dans 244 zones vulnérables du district de Cox’s Bazar.

    #Covid-19#migrant#migration#bangladesh#coxbazar#sante#OIM#refugie#vulnerabilite#climat#pandemie#confinement#crise

  • G20 de la santé : cynisme et indécence
    https://www.pardem.org/g20-de-la-sante-cynisme-et-indecence-0

    Avez-vous entendu parler du Sommet du G20 sur la santé qui s’est tenu le 21 mai 2021 ? Un grand moment attendu par ceux qui croyaient au ciel néolibéral et ceux qui n’y croyaient pas !
Résultats : ceux qui croyaient aux bonnes intentions du G20 sur un “droit universel à la santé” sont déçus. Les réalistes, ceux qui n’y croyaient pas parce qu’ils savent que le G20, réunion des pays néolibéraux les plus riches, poursuit son offensive économique et de propagande pour dominer le monde au dépend des peuples, n’ont pas été surpris.


    Plongée dans la nasse du G20
    Le Sommet mondial de la santé du G20, dans sa Déclaration de Rome, ne fait pas une seule fois référence au « droit universel à la santé ». Pour lui, pas question de légitimer le principe de garantir les soins de manière universelle, c’est-à-dire à tous. Car cela serait une obligation institutionnelle pour les pouvoirs publics et les États. Or, pour les pays du G20 la santé se réduit à une option charitable envers les « pauvres » et rester une machine à profit pour les multinationales.


    Certes le G20 parle d’un « accès équitable et abordable » aux outils de lutte contre la pandémie de Covid-19 (vaccins, traitements médicaux, diagnostics et outils de protection individuelle). Il confirme les principes et objectifs du marché, l’échange monétisé (vente et achat) qui n’ont rien à voir avec le droit à la santé pour tous. La déclaration insiste sur le fait que les mesures nécessaires, qui seront prises dans les mois à venir pour « promouvoir l’accès de tous aux vaccins », doivent être définies dans le cadre des traités de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et en particulier des Traités OMC-ADPIC (Accord sur les droits de propriété intellectuelle liés au commerce). L’Organisation mondiale de la santé (OMS, agence des Nations unies) est ainsi évincée.


    Rappelons que, depuis des années, plus de 100 États, des centaines de prix Nobel, des scientifiques, des personnalités du monde de la culture et des milliers d’associations, d’organisations et de syndicats demandent que la santé soit le domaine de l’Organisation des nations unies (ONU) et en particulier de son agence l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La primauté de l’ONU et de l’OMS signifierait que les règles en la matière seraient établies conformément à la Déclaration universelle des droits de l’’Homme de 1948 et aux traités internationaux sur les droits civils, sociaux et politiques.

    Prétendre donc, comme le fait le G20, que l’objectif de la lutte mondiale contre la pandémie est de ne laisser personne de côté est un mensonge éhonté, une pure hypocrisie destinée à enfumer les peuples. La réalité est que la stratégie de lutte contre la pandémie, adoptée il y a un an et demi au nom de l’accès équitable et abordable aux vaccins et dans le respect des traités OMC/ADPIC, a privé de soins des centaines de millions de personnes exclues de la vaccination (seul 1% de la population africaine a été vacciné). Selon l’OMS, plus de la moitié de la population mondiale était, en 2020, toujours privée de couverture sanitaire de base et l’épidémie a aggravé la situation.

    Les pays du G20, chantres du néolibéralisme, maintiennent leur suprématie et leur pouvoir dans les domaines financier, technologique, scientifique, productif et commercial. Leurs entreprises privées restent les seuls propriétaires de la connaissance du vivant, les détenteurs de brevets, les producteurs et distributeurs de vaccins, les maîtres du commerce international, les fournisseurs de services médicaux, les contrôleurs des marchés de la santé, les maîtres de la digitalisation des systèmes de santé, etc.

    COVAX : nouveau nom de la charité et de la dépendance
    Le COVAX est le mécanisme de dépendance des pays du “Sud”, mis en place par les pays du Nord, en accord avec l’OMS, pour faciliter le partage de la recherche, le développement, l’achat et la distribution des vaccins en faveur des pays pauvres. Il est géré par deux organisations publiques-privées : le CEPI (Coalition for Epidemic Preparedness Innovations) et la GAVI (Global Alliance on Vaccines and Immunisation). Les vaccins sont transférés sous forme d’aide, gratuitement, aux populations des pays dits à faibles revenus, et sous forme d’aide à prix réduit pour celles des pays dits à revenus moyens. Une version payante de la charité chrétienne sans doute…


    Mais la philanthropie a des limites.
La première, c’est que les pays riches et les organismes philanthropiques privés, tels que la fondation Gates, n’ont pas alimenté les finances du COVAX comme ils l’avaient promis la main sur le cœur. COVAX devait disposer de plus de 40 milliards de dollars mais aujourd’hui, seuls 12 milliards sont arrivés dans les caisses… Entre effet d’annonce publicitaire et réalité, il y a un fossé.


    La deuxième est la préservation des brevets qui consacre la propriété privée absolue pendant 20 ans, par les multinationales pharmaceutiques, des vaccins et des dispositifs médicaux. Le but étant de maintenir la domination politique, économique et sociale des pays du Nord sur les pays du Sud par le biais de la mainmise sur la santé des milliards d’êtres humains qui les peuplent.
Les dominants le savent. Refuser la levée des brevets est un comportement cynique, voire criminel.

    Le cirque de la suspension (provisoire) des brevets
    C’était le point le plus attendu du Sommet mondial de la santé du G20. Il a officiellement choisi de ne pas prendre de décision et de reporter le débat à la réunion du Conseil général de l’OMC… qui, depuis, discutaille…


    L’Union européenne est majoritairement opposée à la suspension du régime des brevets et encore plus à son abolition. Elle cherche à déplacer le débat sur la définition d’un nouveau traité mondial de coopération en matière de surveillance et de réponse aux pandémies actuelles et futures… L’Idée de l’UE est de proposer de signer un traité mondial reprenant les grandes lignes du système de coordination intra-européenne mis en place dans le cadre de la “création” (récente) de l’Union européenne de la santé.
La vice-présidente américaine Kamala Harris s’est dite favorable à une suspension des brevets, « à condition qu’elle soit ciblée et limitée dans le temps »…

    Quant à l’Inde, la suspension lui sert à renforcer son rôle de premier producteur mondial de vaccins à faible coût par le biais de l’entreprise privée Serum Institute of India avec le soutien
de l’université d’Oxford et de Astra Zeneca. Le laboratoire a d’ailleurs signé, en 2020, un accord portant sur la production de plus de 1,2 milliard de doses de son vaccin par le Serum Institute of In-dia. La stratégie indienne d’expansion économique dans le secteur pharmaceutique se pose, évidemment, en concurrence avec la Chine.


    De son côté, l’Indonésie (autre membre du G20) a clairement exprimé sa volonté, grâce à la réduction des contraintes imposées par les brevets, de devenir le principal hub de l’Asie du Sud-Est et ce en concurrence avec la Chine et l’Inde.
Bref, la concurrence capitaliste néolibérale au sein du G20 bat son plein.
L’échec prévisible du G20 concernant une coopération mondiale effective dans la lutte conte la Co-vid-19 s’est révélé au grand jour.

    Big Pharma : des profits stratosphériques
    Les pouvoirs publics ont pratiquement financé en totalité (vaccin Astra Zeneca) et en grande partie (vaccins Pfizer, Moderna, Johnson&Johnson, etc.) la conception, le développement, la production et la commercialisation des vaccins. S’il y a des vaccins, ce n’est pas grâce à Big Pharma mais aux colossales sommes d’argent public injectées par les États (plusieurs dizaines de milliards de dol-lars), par tous les moyens possibles, dont celui décisif, des engagements garantis d’achat public de milliards de doses commandées aux entreprises.

    Ce faisant, les entreprises ont empoché le pactole et, sans investissements majeurs, ont déjà récolté des milliards de bénéfices pour les distribuer à leurs actionnaires, sans que les États, les citoyens dont l’argent public a financé les multinationales, n’aient obtenu aucun avantage financier en retour. Les gouvernements ont financé et continuent à financer les entreprises qui , elles, continuent à faire des bénéfices.
Le Sommet mondial de la santé du G20 est bien une tragique mascarade. Car il est clair que la santé des gens n’est pas la priorité des puissants du monde. La réalité d’un droit universel à la santé est inexistante.


    Qui peut croire encore que sans sortie du capitalisme néolibéral tous les peuples, nation par nation, pourront accéder aux soins de santé universels et gratuits ?

    Joël Perichaud, secrétaire national du Parti de la démondialisation, chargé des Relations internationales

    #capitalisme & #vaccination #mascarade #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #isolement #G20 #Inde #Indonésie #profits #Droit_à_la_santé #OMC #ADPIC #COVAX #brevets #ue #union_européenne

  • « Au moins je sers à quelque chose » : des retraités appelés en renfort pour contrôler les pass sanitaires dans les restaurants
    https://rmc.bfmtv.com/emission/au-moins-je-sers-a-quelque-chose-des-retraites-appeles-en-renfort-pour-co

    Des restaurateurs vendéens ont lancé un appel aux retraités pour venir donner un coup de main à l’entrée des établissements. Certains, comme Nicole, 68 ans, sont ravis.

    https://www.youtube.com/watch?v=ZTLYfv5oYvo

    Des papys et mamies videurs à l’entrée des bars et restaurants ?
    Dans moins d’une semaine, lundi prochain, l’application du pass sanitaire sera être étendue à l’entrée d’établissements recevant du public. Comment s’organiser pour contrôler ces pass, notamment à l’entrée des cafés et des restaurants ?

    Les professionnels de la restauration ont déjà du mal à trouver des bras en salle et en cuisine, alors mettre quelqu’un à l’entrée relève pour certain d’un véritable casse-tête.

    En Vendée, le syndicat des professionnels du secteur, l’UMIH, vient de lancer un appel aux retraités. Objectif : qu’ils viennent prêter main-forte et qu’ils contrôlent les pass à l’entrée, bénévolement.

    #bénévolat #vichy #pétain #vaccination #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #isolement

  • #Suisse : Les tests covid ont enrichi les pharmacies

    Le groupe Galenica, qui compte 367 établissements à croix verte dans le pays, a réalisé un chiffre d’affaires et un bénéfice record au premier semestre. Notamment grâce aux tests covid, intégralement payés par la Confédération

    Parfois décriée, la stratégie retenue ces dernières années par Galenica porte ses fruits. Notamment grâce au covid. Mardi, le plus important groupe de pharmacies du pays (367 établissements dont les chaînes Amavita, Sun Store ou Coop Vitality) a annoncé des résultats qui ont positivement surpris la communauté financière.

    La suite payante : https://www.letemps.ch/economie/tests-covid-ont-enrichi-pharmacies

    #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #vaccination

    • Et pendant qu’on y est, à la votre, ils continuent de jouer !

      Le panachage de vaccins (AstraZeneca + Pfizer/Moderna) se révèle (très) efficace
      https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/chimie-pharmacie/le-panachage-de-vaccins-astrazeneca-pfizer-ou-moderna-se-revele-efficace-8

      Le vaccin d’AstraZeneca ayant été suspendu du jour au lendemain dans de nombreux pays par les autorités sanitaires, ceux qui n’avaient reçu qu’une dose ont dû se rabattre sur un vaccin à ARN messager pour la deuxième dose, sans recul sur l’efficacité du nouveau protocole. Plusieurs études, dont la dernière publiée lundi, concourent à démontrer l’efficacité renforcée de l’administration combinée d’un vaccin à vecteur viral (typiquement, l’AstraZeneca) puis d’un vaccin à ARN messager (tel le Pfizer ou le Moderna).

      Plusieurs études publiées récemment se sont attachées aux effets de l’administration combinée d’un vaccin à vecteur viral (comme l’AstraZeneca) puis d’un vaccin à ARN messager (comme le Pfizer ou le Moderna). Certaines évoquent une efficacité multipliée par six face aux variants, notamment Beta, Gamma et Delta. Tour d’horizon.
      L’étude la plus récente, celle de l’Institut de recherche danois Statens Serum Institut (SSI), publiée lundi, montre que l’administration d’une seconde dose de vaccin contre le Covid-19 de Pfizer-BioNTech ou de Moderna après une première dose d’AstraZeneca offre une « bonne protection ».
      Un panachage obligatoire après la suspension de l’AstraZeneca
      L’étude des chercheurs danois débute quand les autorités sanitaires danoises ont, parmi les premières, interrompu en mars dernier les inoculations avec le vaccin d’AstraZeneca.
      À la fin du premier trimestre 2021, pour mémoire, les informations sur les effets secondaires rares mais graves (voir ANNEXE en pied d’article) quelques jours après la première dose d’AstraZeneca, avaient conduit les autorités sanitaires européennes, les unes après les autres, à déclarer la suspension du vaccin du laboratoire anglo-suédois.
      De fait, les 144.000 Danois (essentiellement des professionnels de santé et des personnes âgées), qui avaient reçu à ce moment-là une première dose d’AstraZeneca, avaient dû se rabattre, pour obtenir leur deuxième dose, sur un vaccin Pfizer-BioNTech ou de Moderna. Mais on n’avait alors aucun recul sur l’efficacité de ce nouveau protocole lancé précipitamment. Fort heureusement, les diverses études réalisées depuis sur le sujet de la combinaison de vaccins s’avèrent rassurantes.
      « L’étude montre que quatorze jours après un programme de vaccination combiné, le risque d’infection par le SARS CoV-2 est réduit de 88% par rapport aux personnes non vaccinées », a déclaré lundi le SSI.
      Le SSI ajoute :
      "Il s’agit d’une « efficacité élevée », comparable au taux d’efficacité de 90% de deux doses du vaccin de Pfizer-BioNTech, observé dans une autre étude danoise.
      Pour mémoire, voici les données du seul vaccin d’AstraZeneca. À l’époque des essais cliniques, ceux-ci avaient montré une efficacité de 60% seulement, bien en dessous de celle des vaccins à ARN messager de Pfizer et Moderna (90% selon les essais cliniques). Mais une équipe de chercheurs écossais, en utilisant des données réelles (données hebdomadaires de vaccination, admissions à l’hôpital, tests, décès), avait prouvé que le nombre de formes sévères du Covid-19 avait diminué de 94% pour les patients vaccinés à l’AstraZeneca, contre 85% pour le Pfizer à données comparables.
      Une limite cependant : l’étude, publiée la semaine dernière, a été menée entre février et juin de cette année, période durant laquelle le variant Alpha du coronavirus était prédominant. Elle n’a pas pu conclure, par contre, si la même protection s’appliquait au variant Delta, qui est maintenant le plus répandu au Danemark, et n’a pas non plus fourni de données d’efficacité sur les décès ou les hospitalisations liés au Covid-19.

      Le nombre d’anticorps multiplié jusqu’à 6 fois
      Fin juillet, une étude sud-coréenne a démontré que l’administration successive d’un vaccin d’AstraZeneca puis d’un vaccin Pfizer multipliait par six les niveaux d’anticorps neutralisants contre le Covid-19 par rapport à deux doses d’AstraZeneca.

      La méthodologie impliquait la participation de quelque 499 travailleurs médicaux dont 100 se voyaient administrer le panachage de vaccins à vecteur viral et à ARN messager, 200 prenant deux doses du vaccin Pfizer/BioNTech (ARN messager), et le reste de l’échantillon recevant deux injections du vaccin d’AstraZeneca (vecteur viral).

      Résultat : tous les participants ont développé des anticorps neutralisants (qui empêchent le virus d’entrer dans les cellules et de se répliquer) et l’échantillon ayant reçu la combinaison de vaccins a montré des quantités similaires d’anticorps neutralisants à ceux trouvés dans le groupe qui a reçu deux injections du vaccin de Pfizer/BioNTech.

      Une étude britannique publiée en juin a abouti aux mêmes résultats, mais introduit une différenciation selon l’ordre de vaccination : ainsi, une injection d’AstraZeneca suivie de Pfizer a produit une meilleure réponse des lymphocytes T et une réponse en anticorps plus élevée que l’injection d’un vaccin Pfizer suivie d’un vaccin d’AstraZeneca.

      L’étude sud-coréenne a également analysé l’activité neutralisante contre les principaux variants, a déclaré l’Agence coréenne de contrôle et de prévention des maladies (KDCA). Aucun des groupes n’a démontré une activité neutralisante réduite contre le variant Alpha, identifié pour la première fois en Grande-Bretagne, mais le titre de neutralisation a diminué de 2,5 à 6 fois contre Beta, Gamma et Delta, détectés pour la première fois en Afrique du Sud, au Brésil et en Inde respectivement.

      Le retour d’AstraZeneca dans les programmes de vaccination ?
      Ces résultats pourraient améliorer l’efficacité des campagnes de vaccination en cette période de nouvelle flambée due au variant Delta, tout en contribuant à redonner une place au vaccin d’AstraZeneca, actuellement écarté de la plupart des programmes de vaccination nationaux notamment en Union européenne à cause de ses effets indésirables rares mais graves, notamment l’apparition de caillots sanguins, qui avaient entraîné une désaffection d’une partie de la population.

      Mais il y a peu de chances que cela se produise dans l’Hexagone. En effet, mardi 20 juillet 2021, le ministère de la Santé a annoncé que toutes les nouvelles livraisons à la France du vaccin d’AstraZeneca contre le Covid-19 prévues par contrat avec le laboratoire anglo-suédois seraient désormais basculées vers les dons aux pays en développement, au bénéfice du programme Covax, le dispositif de solidarité internationale contre la pandémie. Le million de doses d’AstraZeneca livrées en France fin juillet, ainsi que les 4,5 millions de doses attendues en août, seront « 100% fléchées vers le programme Covax », avait assuré un représentant du ministère de l’Economie et des Finances.

      L’Allemagne propose le panachage en dose de rappel
      La question d’un panachage de vaccins se pose même avec une acuité nouvelle, après la décision, lundi, de l’Allemagne qui va proposer dès le 1er septembre l’administration d’une dose de rappel de vaccin contre le Covid-19 aux populations âgées et vulnérables, et donc notamment, à tous ceux qui, vaccinés en premier, ont reçu deux doses d’AstraZeneca avant la suspension, et qui n’ont donc encore jamais été vaccinés avec un vaccin à ARN messager :

      « Les vaccinations de rappel seront réalisées avec l’un des deux vaccins à ARN messager (Pfizer ou Moderna, Ndlr) », a indiqué lundi le ministère de la Santé allemand selon lequel cette décision est « dans l’intérêt des soins de santé préventifs » et tient compte de préoccupations concernant « la réponse immunitaire réduite ou en déclin rapide » chez les personnes vulnérables.
      (avec Reuters et AFP)

  • Millions under lockdown after Delta surge in China - Asia Times
    https://asiatimes.com/2021/08/millions-under-lockdown-after-delta-surge-in-china

    Millions under lockdown after Delta surge in China
    An outbreak of the fast-spreading Delta variant has reached more than 20 cities and more than a dozen provinces. Millions of people were confined to their homes in China Monday as the country tried to contain its largest coronavirus outbreak in months with mass testing and travel curbs. China on Monday reported 55 new locally transmitted coronavirus cases, as an outbreak of the fast-spreading Delta variant reached more than 20 cities and more than a dozen provinces.Local governments in major cities including Beijing have now tested millions of residents, while cordoning off residential compounds and placing close contacts under quarantine.
    The central city of Zhuzhou in Hunan province ordered more than 1.2 million residents on Monday to stay home under strict lockdown for the next three days as it rolls out a citywide testing and vaccination campaign, according to an official statement.
    “The situation is still grim and complicated,” the Zhuzhou government said.
    Beijing has previously boasted of its success in bringing domestic cases down to virtually zero after the coronavirus first emerged in Wuhan in late 2019, allowing the economy to rebound.But the latest outbreak, linked to a cluster in Nanjing where nine cleaners at an international airport tested positive on July 20, is threatening that success with more than 360 domestic cases reported in the past two weeks.In the tourist destination of Zhangjiajie, near Zhuzhou, an outbreak spread last month among theatre patrons who then brought the virus back to their homes around the country.Zhangjiajie locked down all 1.5 million residents on Friday. Officials are urgently seeking people who have recently traveled from Nanjing or Zhangjiajie and have urged tourists not to travel to areas where cases have been found.Meanwhile, Beijing has blocked tourists from entering the capital during the peak summer holiday travel season. Only “essential travelers” with negative nucleic acid tests will be allowed to enter after the discovery of a handful of cases among residents who had returned from Zhangjiajie.Top city officials on Sunday called for residents “not to leave Beijing unless necessary.”The capital’s Changping district locked down 41,000 people in nine housing communities last week.Fresh cases were also reported on Monday in the popular tourist destination of Hainan as well as in flood-ravaged Henan province, national health authorities said.

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