• Le rayonnement des smartphones est pire que celui des antennes 5G ats/aes
    https://www.rts.ch/info/sciences-tech/technologies/12753094-le-rayonnement-des-smartphones-est-pire-que-celui-des-antennes-5g.html

    Les nouvelles antennes de téléphonie mobile 5G sont combattues par plus de 3000 oppositions. Mais pour l’épidémiologiste Martin Röösli, le problème ne concerne pas tant le rayonnement de ces infrastructures que celui des téléphones portables, surtout lorsque la couverture réseau est faible.

    Un smartphone émet un rayonnement 100 à 1000 fois plus fort sur le corps qu’une antenne de téléphonie mobile 5G, explique Martin Röösli dans le quotidien Walliser Bote mercredi. Et pour un appareil qui n’a presque pas de réception réseau, c’est pire : il émet ainsi jusqu’à un million de fois plus de rayonnement qu’un natel qui bénéficie d’une bonne réception.

    En Suisse, les valeurs limites des antennes de téléphonie mobile sont 50 fois plus basses que celles qui causent des dommages avérés pour la santé. Compte tenu de la grande marge de sécurité dans ce domaine, il y a matière à discussion, et une augmentation des valeurs limite est une décision qui relève de la politique, estime l’expert. Mais les valeurs limite devraient être plus contrôlées, ajoute-t-il.

    Appliquer le principe du pollueur-payeur ?
    Pour l’épidémiologiste, il est important que le principe du pollueur-payeur s’applique aussi à la téléphonie mobile. Les opérateurs utilisent des technologies émettant des rayonnements ; ils devraient donc contribuer à la résolution du problème.

    Martin Röösli dirige l’unité Environnement et santé à l’Institut tropical et de santé publique (Swiss TPH) associé à l’Université de Bâle. Il étudie depuis 20 ans les effets du rayonnement de la téléphonie mobile et est membre de la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants. Cette commission participe à l’établissement de valeurs limites pour les téléphones portables et les antennes.

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  • Juteux business des tests PCR : Londres inflige 82 cartons rouges et radie 57 prestataires
    https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/chimie-pharmacie/juteux-business-des-tests-pcr-londres-inflige-82-cartons-rouges-et-radie-5

    Face aux multiples irrégularités constatées sur le marché dérégulé des tests PCR outre-Manche, le ministère de la Santé britannique suivi par le gendarme de la concurrence se sont décidés à agir, alors que l’association de défense des consommateurs Which tire le signal d’alarme depuis six mois. Les compagnies aériennes, notamment low cost, critiquent cette libéralisation du marché des tests PCR dont la cherté est pour certains vacanciers, notamment les familles, un frein pour se rendre au Royaume-Uni.


    Le gouvernement a créé un marché où chaque prestataire fait ses prix comme il l’entend. Mais, malgré la grande liberté de commerce dont jouissent les acteurs présents, de nombreuses sociétés sont tentées de tricher. Sur les prix d’abord, mais aussi sur les prestations : certaines ne sont tout simplement pas capables d’assurer jusqu’au bout la transaction dûment payée, et de nombreuses plaintes montrent une incapacité sinon une mauvaise volonté à rembourser les clients lésés. (Crédits : GONZALO FUENTES)

    Contrairement à la France où les tests pour entrer et sortir du territoire sont « gratuits » pour les résidents dans le pays, c’est-à-dire payés par la collectivité et donc totalement encadrés par l’action de service public et d’urgence sanitaire, le gouvernement britannique a choisi de laisser la logistique des tests Covid-19 presque entièrement aux mains du secteur privé.

    Certes, il existe des tests gratuits : ceux pratiqués à l’hôpital public et réservés aux patients symptomatiques. Tous les autres tests sont payants - ceux qui permettent d’obtenir un certificat sanitaire pour entrer ou sortir du Royaume-Uni pour raisons professionnelles ou touristiques.

    La possibilité de commercialiser ce service en pratiquant des prix sans contraintes a abouti à une offre difficile à lire pour les consommateurs mais aussi à contrôler par les autorités : en effet, les prix peuvent varier de 20 livres (*) à... 359 livres (23 euros à 420 euros), et ces différences sont en quelque sorte justifiées par les autorités elles-mêmes, https://www.find-travel-test-provider.service.gov.uk/test-type/amber#list-of-test-providers qui exposent sans inhibition l’argument du « niveau de prestation » offert :

    « Les prix peuvent différer d’un fournisseur à l’autre pour un certain nombre de raisons, par exemple pour refléter différents niveaux de support client. Contactez les fournisseurs pour obtenir des informations détaillées sur les produits et les prix. Certains fournisseurs peuvent proposer une gamme de forfaits à des prix différents avec des compléments supplémentaires, tels que la livraison premium », indique le gouvernement sur son site Gov.uk

    Parmi les centaines de sociétés qui se sont engouffrées sur ce nouveau marché et qui ont été accréditées par les autorités, on compte bien sûr les établissements physiques classiques comme des cliniques (aux prix élevés) mais aussi de nouveaux entrants comme des fournisseurs via internet. Ces prestataires en ligne proposent de fournir des kits de tests à domicile, d’assurer la logistique des prélèvements, la vérification médicale en laboratoire, et enfin la délivrance de résultats officiels permettant à tous les demandeurs testés négatifs de pouvoir présenter un certificat ad hoc pour pouvoir se rendre à l’étranger ou être autorisé à résider au Royaume-Uni.

    Le gouvernement a donc créé un marché où chaque prestataire fait ses prix comme il l’entend. Mais, malgré la grande liberté de commerce dont jouissent les acteurs présents, de nombreuses sociétés sont tentées de tricher. Sur les prix d’abord, mais aussi sur les prestations : certaines ne sont tout simplement pas capables d’assurer jusqu’au bout la transaction dûment payée, et de . . . . . . .

    #test_pcr #pcr #tests #bénéfices #finance #gros_sous #covid-19 #coronavirus #sars-cov-2 #pandémie #covid #santé #cas_contact #travail #contacttracing #covid19 #Angleterre

  • Efficacité de la vaccination : Il manque plus de la moitié des décès ! Décoder l’éco

    https://www.youtube.com/watch?v=hLARwm6jqbA

    Le 13 juillet 2021, la DREES, la direction réalisant les statistiques pour le ministère de la santé a sorti une étude récapitulant les données connus des résultats de tests Covid-19 pour les vaccinés et les non-vaccinés en France.
    Cette étude a été complétée le 23 juillet 2021 par une autre étude ajoutant cette fois-ci les données d’hospitalisations et de décès liées à la Covid-19.
    Cette dernière étude est utilisée en ce moment par le gouvernement et les médias pour justifier la politique vaccinale, puisqu’elle affirme notamment que :

    – Les non-vaccinés représentent près de 85 % des entrées hospitalières, que ce soit en hospitalisation conventionnelle ou en soins critiques.
    – Les patients complètement vaccinés comptent pour environ 7 % des admissions, une proportion cinq fois plus faible que celle observée en population générale (35 % en moyenne durant la période d’étude).
    – À tout âge, la part de patients vaccinés entrant à l’hôpital est nettement inférieure à celle qu’ils représentent dans l’ensemble de la population.

    Seulement, comme l’a relevé @NiusMarco sur Twitter et détaillé Patrice Gibertie dans un article, les données utilisées pas la DREES posent un énorme problème : il manque la moitié des décès Covid-19 français. Dans cette vidéo, nous allons détailler les données de l’étude pour comprendre d’où viennent les données, comment la DREES a pu retirer la moitié des décès de son analyse et ce que cela signifie pour les conclusions de l’étude.

    Sources :
    Etude DREES sur les tests : https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/note_drees_suivi_de_la_crise_sanitaire_.pdf
    Etude DREES sur les hospitalisations / décès : https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/2021-07-23_-_sivic-sidep-vacsi_premiers_resultats_-_drees-2.p
    Géodes pour les données SIVIC : https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&view=map2
    Fichier public des personnes décédées : https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/fichier-des-personnes-decedees
    Etude anglaise sur la mortalité Covid vaccinés / non vaccinés : https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1001354/Variants_of_Concern_VOC_Technical_Briefing_17.pdf
    Données israéliennes sur la mortalité Covid : https://data.gov.il/dataset/covid-19/resource/8a51c65b-f95a-4fb8-bd97-65f47109f41f?filters

    #france #angleterre #israel #DREES, #SIVIC #décès #vaccination #test_pcr #covid-19 #cas_contact #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #france #pass #pass_sanitaire #statistiques #chiffres #data #europe #données

  • Pass sanitaire : Oui, un formulaire de « non-respect » du Pass sanitaire est utilisé à l’AP-HP
    https://www.20minutes.fr/societe/3101107-20210811-pass-sanitaire-oui-formulaire-non-respect-pass-sanitaire-

    Le personnel soignant de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris ( AP-HP) fait-il l’objet d’une surveillance démesurée de sa direction depuis l’entrée en vigueur du décrié Pass sanitaire ? 

    C’est en tout cas ce que dénonce un tweet repris par de nombreux internautes : « L’AP-HP a demandé aux cadres de faire le flicage du personnel avec une fiche de délation pour "non-respect du Pass sanitaire" en vue d’une convocation à la DRH et d’une suspension de ses fonctions. Chaque jour rajoute son lot d’ignominie ! » 

    Sur la photo jointe de ce document portant l’en-tête de l’AP-HP, on distingue, outre plusieurs champs libres - « nom/prénom de l’agent », date et heure du contrôle - un paragraphe important : « Il a été constaté que vous ne remplissiez pas les conditions prévues par la loi (un résultat d’un examen de dépistage virologique ne concluant pas à une containation par [le] Covid-19, un justificatif de statut vaccinal concernant [le] Covid-19 ou un certificat de rétablissement à la suite d’une contamination. Vous serez convoqué à la Direction des ressources humaines ou à la Direction des affaires médicales. »

    « Vous êtes informé que les personnes ne pouvant présenter un [Pass] sanitaire valide peuvent être suspendues de leurs fonctions à partir de la date de la constatation des faits. Cette suspension prend fin lors de la production et transmission des justificatifs requis », poursuit ce formulaire. 

    Jointe par 20 Minutes, l’AP-HP confirme à 20 Minutes que, « conformément à l’article 14 de la loi relative à la gestion de la crise sanitaire du 5 août 2021, le Pass sanitaire est obligatoire pour les professionnels pour pouvoir exercer leur activité dans un établissement de santé. »

    « Si l’entrée dans l’enceinte de l’hôpital se fait sur présentation de la carte professionnelle, le contrôle des justificatifs est effectué directement dans les services par l’encadrement. Il peut s’agir d’un certificat de vaccination si schéma vaccinal complet ou d’un test négatif RT-PCR ou antigénique ou autotest réalisé sous la supervision d’un professionnel de santé, de moins de 72h ou d’une preuve de rétablissement de la COVID-19 [...]. Le professionnel peut également fournir un certificat médical de contre-indication à la vaccination », ajoute-t-elle. 

    De son côté, le syndicat USAP-CGT nous confirme l’authenticité du document relayé sur Twitter, qui lui a été « envoyé par des camarades de l’hôpital Henri Mondor lundi [9 août]. », et précise : « Pour l’instant, nous n’avons pas eu de remontées sur des cas de personnes convoquées par la DHR mais les cadres mettent la pression au quotidien sur les agents pour qu’ils fournissent leur Pass ».
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  • La vaccination à l’épreuve des faits : une mortalité inédite Volet 2 Contribution1 de Laurent Mucchielli

    La pharmacovigilance des vaccins anti-covid est déniée car elle menace l’idéologie de la vaccination intégrale portée par les industries pharmaceutiques, les gouvernements et les principaux médias. Cette vaccination de masse conduit pourtant à une mortalité inédite dans l’histoire de la médecine moderne. Il y a urgence à la suspendre pour évaluer la balance bénéfice/risque au cas par cas.
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    Enfin, aux États-Unis, où la pharmacovigilance (comme la transparence des données d’administration publique de manière générale) est beaucoup mieux organisée et plus contraignante que dans beaucoup de pays européens, des données très précises peuvent être exploitées sur le site de la Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) http://web.archive.org/web/20210802085407/https://vaers.hhs.gov/data.html . Et, contrairement à l’argument des industriels, répétés en boucle par les journalistes français (à l’image des fact-checkers déjà cités), ces données sont très largement fiables. Six chercheurs anglais viennent ainsi d’analyser un échantillon de 250 déclarations de décès attribués aux vaccins anti-covid dans la VAERS http://web.archive.org/web/20210802085347/https://www.researchgate.net/publication/352837543_Analysis_of_COVID-19_vaccine_death_reports_from_the_Vaccine_A . Il en résulte que les deux tiers des déclarations ont été faites par des médecins et qu’elles sont fiables à 86%. Or le constat qui ressort des données américaines est plus saisissant encore. En recherchant dans ces données les décès liés à la vaccination, il est possible non seulement d’avoir un comptage détaillé pour chaque vaccin anti-covid, mais de surcroît de pouvoir comparer ces résultats avec ceux de tous les autres vaccins administrés depuis plus de 30 ans dans ce pays. Au 16 juillet 2021, date à laquelle 160 millions d’Américains avaient été intégralement vaccinés, les vaccins anti-covid sont liés à plus de 6 000 décès, 91% d’entre eux étant attribuables aux seuls vaccins de Moderna et Pfizer (deux entreprises pharmaceutiques/biotechnologiques américaines, Janssen étant la filiale belge d’une autre entreprise pharmaceutique américaine, Johnson & Johnson). Nous avons reconstitué le tableau ci-dessous qui donne le détail de ces chiffres.


    Source : VAERS, calcul réalisé sur les données datant du 16 juillet 2021

    Ces décès sont en outre survenus principalement dans les 48h qui ont suivi la vaccination http://web.archive.org/web/20210804213044/https://www.openvaers.com/covid-data/mortality , ce qui renforce considérablement la présomption de causalité. Par ailleurs, ces fichiers permettent donc de comparer cette mortalité des vaccins anti-covid à la mortalité vaccinale globale dans ce pays depuis 30 ans (concernant des centaines de vaccins). Ce fichier donne un total de 16 605 décès pour l’ensemble des vaccins sur toute la période. À elle seule et en seulement 6 mois, la vaccination anti-covid représente donc 36% de la totalité de la mortalité vaccinale dans ce pays depuis 30 ans. Par comparaison, dans la même base de données, nous avons compté le nombre de morts occasionnés par l’administration des différents vaccins contre la grippe saisonnière (influenza seasonal). En 30 ans (1990-2020), ces vaccins ont occasionné 1 106 décès, ce qui représente 6,66% du total de la mortalité vaccinale depuis 30 ans. Une autre façon d’exprimer ces résultats est donc de dire que, aux États-Unis, en 6 mois, la vaccination anti-covid a contribué à tuer 5 fois plus de personnes que la vaccination anti-grippe en 30 ans. Ceci confirme d’une autre façon encore que nous sommes bien en présence de vaccins d’un nouveau genre, dont la dangerosité est inédite. Ajoutons enfin que cette dangerosité doit tout particulièrement interroger lorsqu’elle concerne des personnes jeunes et qui ne sont donc pas sérieusement menacées par la Covid. Or, 23,2% du total des morts américains imputés aux vaccins anti-covid et dont l’âge est connu avaient moins de 65 ans http://web.archive.org/web/20210804213044/https://www.openvaers.com/covid-data/mortality .

    Conclusion
    La question des effets indésirables graves des vaccins anti-covid fait l’objet d’un déni et d’un silence de la part du gouvernement et des principales agences sanitaires (Agence nationale de sécurité du médicament, Haute autorité de santé, Haut conseil de santé publique, etc.). Tout se passe comme s’il s’agissait d’un véritable tabou, en France comme dans la plupart des autres pays occidentaux. L’importance de ces effets apporte en effet une contradiction trop flagrante et dévastatrice pour l’idéologie de la vaccination intégrale qui guide des gouvernements ayant choisi de s’abandonner dans les bras de l’industrie pharmaceutique. Cette dernière est ainsi au cœur de toute la gestion d’une épidémie qui constitue pour elle une aubaine inédite dans l’histoire : quel produit commercial breveté a pour marché potentiel la totalité de l’humanité, renouvelable chaque année qui plus est ? Patrons et actionnaires de ces firmes pharmaceutiques et biotechnologiques sont en train de devenir immensément riches http://web.archive.org/web/20210731094253/https://www.alternatives-economiques.fr/covid-19-tres-chers-vaccins/00099304 . Au vu de la façon dont ces industries ont travaillé (dans l’urgence, pour générer un maximum de profits, sans tester les personnes les plus à risque http://web.archive.org/web/20210716225451/http://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/06/techniques-de-vente-bidouillages.html — âge et comorbidités —, à grand renfort de formules de type publicitaire), notamment aux États-Unis et en Angleterre, pour mettre au point ces nouveaux vaccins génétiques (ADN ou ARN), on pouvait ainsi dès le départ redouter que ces produits ne soient pas de très bonne qualité http://web.archive.org/web/20210716225117/http://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/04/inedit-exclusif-vaccins-contre-la-covid.html . Mais la réalité dépasse ces craintes et montre que ces vaccins ont davantage d’effets indésirables plus ou moins graves qu’aucun autre avant eux. Nous avons vu ainsi qu’aux Pays-Bas l’on parvient à un taux de 2,7 morts pour 100 000 vaccinés (16,5 millions de vaccinés, 448 morts). En France et aux États-Unis, ce taux monte à environ 3,7 morts pour 100 000 vaccinés. Et en Grande-Bretagne, ce taux grimpe même à 4,3 morts pour 100 000 vaccinés, très probablement en raison de la prépondérance du vaccin AstraZeneca que l’on sait depuis le mois de mars 2021 http://web.archive.org/web/20210731094338/https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/vaccin/vaccin-astrazeneca-les-pays-bas-suspendent-a-leur-tour-son-utilisation- être le plus dangereux des quatre vaccins couramment utilisés en Occident (en particulier du fait des nombreuses thromboses qu’il provoque et qui commencent à être documentées dans la littérature scientifique médicale, voir par exemple ici et là), ce qui n’est guère surprenant lorsque l’on connaît les conditions dans lesquelles il a été fabriqué en Chine http://web.archive.org/web/20210803145851/https://www.nytimes.com/2020/12/07/business/china-vaccine-astrazeneca.html . Au passage, nous avons également signalé que ce fut le premier vaccin administré en France, dès février 2021, aux professionnels de santé. De là une des raisons rationnelles probables de la grande réticence à la vaccination anti-covid que manifestent une partie d’entre eux.

    Cette mortalité vaccinale (qui n’est que la pointe émergée de l’iceberg des effets indésirables graves) est donc inédite, elle est particulièrement grave et sa dissimulation l’est plus encore. Soyons clair : dissimuler d’une façon ou d’une autre un tel danger est tout simplement criminel vis-à-vis de la population. Même réduite à ses plus élémentaires principes de déontologie (primum non nocere), l’approche de cette question en termes de santé publique devrait conduire à suspendre d’urgence la campagne vaccinale, à étudier beaucoup plus en détail les données de cette pharmacovigilance (en particulier selon les classes d’âge et en fonction des différents facteurs de risque) et, au terme d’une analyse bénéfices/risques méticuleuse, à déterminer à quelles catégories bien précises de la population il est possible de proposer la vaccination sans risque que les effets indésirables graves soient plus nombreux que les formes graves de la Covid dont elle est censée les protéger. Tout autre approche ne relève pas de la santé publique mais de postures idéologiques ou d’un marketing commercial. Et l’histoire a déjà montré (sur le tabac, sur les pesticides, sur la pollution aux hydrocarbures, etc.) que ces postures et ce marketing étaient responsables de véritables crimes contre les populations civiles. Qu’ils soient commis au nom du Bien ne devrait en aucun cas aveugler sur leur réalité et leur nature. Toutes celles et ceux qui s’y adonnent pourraient être désormais considérés comme complices de cette nouvelle mortalité vaccinale qui semble inédite dans l’histoire de la médecine moderne.

    Laurent Mucchielli

    L’intégralité de la publication : https://altermidi.org/2021/08/06/le-texte-de-laurent-mucchielli-depublier-par-mediapart

    À propos des auteurs : Laurent MUCCHIELLI (sociologue, directeur de recherche au CNRS), Hélène BANOUN (pharmacien biologiste, PhD, ancienne chargée de recherches à l’INSERM), Emmanuelle DARLES (maîtresse de conférences en informatique à Aix-Marseille Université), Éric MENAT (docteur en médecine, médecin généraliste), Vincent PAVAN (maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université) & Amine UMLIL (pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier, unité de « pharmacovigilance/CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques)/Coordination des vigilances sanitaires » du Centre hospitalier de Cholet). Contact : laurent.mucchielli@protonmail.com

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    • Une démonstration d’un sociologue sur la mortalité des vaccins ? Attention à l’interprétation des chiffres

      Dans un billet de blog hébergé un temps sur le site de Mediapart, et dépublié le 4 août, le sociologue Laurent Mucchielli affirme que la vaccination contre le Covid-19 est à l’origine d’une « mortalité inédite » en France, et responsable de « près de 1.000 morts potentiellement ». Son billet repose sur des données de pharmacovigilance qui sont des signalements de décès postérieurs à une vaccination contre le Covid. Pour une large majorité ces décès n’ont pas été à ce jour imputés à la vaccination. Pourtant, le billet est repris à tort comme une preuve du décès « d’un millier de personnes » à cause des vaccins.

      La suite : https://factuel.afp.com/http%253A%252F%252Fdoc.afp.com%252F9JX7Z6-1

    • A propos de comptabilisation des décés covid, les chiffres peuvent être mis en doute aussi. Un exemple de décès comptabilisé covid :
      Décès d’un résident d’Ehpad dans le Tarn : la famille porte plainte « parce qu’il était attaché depuis 15 jours »
      Les enfants de Georges Bordes considèrent que leur père, décédé du 30 mars à Mazamet (Tarn), est « resté attaché dans son fauteuil ». Ils disent avoir porté plainte pour homicide involontaire, le parquet de Castres confirme qu’une enquête est ouverte.
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      Tout commence le 15 mars lorsque Georges Bordes, 93 ans, résident de cette maison de retraite, institution de la ville du sud du Tarn depuis des décennies, est testé positif au coronavirus. La famille précise qu’elle avait refusé qu’il soit vacciné.
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      « il est resté durant les quinze jours qui ont précédé son décès, entravé sur ce fauteuil en journée et sous somnifères importants la nuit. Tout cela afin qu’il ne puisse quitter sa chambre et déambuler ». Une manière d’éviter que les résidents contaminent les autres occupants.
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      https://www.leparisien.fr/faits-divers/deces-dun-resident-dehpad-dans-le-tarn-la-famille-porte-plainte-parce-qui

  • #israel : Plus de 3 000 cas de COVID en un jour, pour la quatrième journée consécutive
    https://fr.timesofisrael.com/plus-de-3-000-cas-de-covid-en-un-jour-pour-la-quatrieme-journee-co

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    Le ministère de la Santé a fait état vendredi de plus de 3000 nouveaux cas de coronavirus la veille, avant les nouvelles restrictions qui doivent entrer en vigueur la semaine prochaine.

    Selon les chiffres du ministère, 3 843 infections ont été confirmées jeudi, ce qui constitue le quatrième jour consécutif où les nouveaux cas ont dépassé les 3 000. Il y avait 27 525 cas actifs sur les 891 811 infections vérifiées en Israël depuis le début de la pandémie.

    Les cas graves – une mesure clé utilisée par les décideurs dans la vague actuelle – ont légèrement baissé à 253. Parmi eux, 65 personnes se trouvaient dans un état critique, dont 52 sous ventilateur. Au total, 477 personnes ont été hospitalisées pour des complications liées au COVID-19.

    Le nombre de décès s’élève à 6 509, avec trois victimes du coronavirus jeudi.

    Selon le ministère, 3,79 % des plus de 100 000 tests effectués jeudi se sont révélés positifs.

    Le ministère a également déclaré que sur les quelque 9,3 millions d’habitants d’Israël, plus de 5,8 millions ont reçu au moins une dose de vaccin, près de 5,4 ont reçu deux doses et un peu moins de 350 000 ont reçu une injection de rappel.

    Dans un contexte d’augmentation continue des cas, les ministres ont approuvé jeudi un élargissement significatif des restrictions sur les rassemblements dans le cadre du système du passeport vert, malgré les réticences suscitées par une décision de dernière minute d’exempter les lieux de culte.

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    Le service d’ambulances Magen David Adom a déclaré vendredi qu’il allait commencer à gérer 120 stations de dépistage rapide à travers le pays pour les personnes devant présenter un résultat négatif au test dans le cadre des règles du Passeport vert.

    #vaccination #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #isolement

  • Pass sanitaire : « Opération ville morte » à Cambrai, une soixantaine de restaurateurs refusent de contrôler leurs clients

    Temps d’attente allongé, pas de personnel payé pour contrôler les entrées... Les restaurateurs de Cambrai se rassemblent samedi 7 août pour dénoncer les conditions de mise en place du pass sanitaire. Leurs établissements resteront fermés.

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/image/cqHexy7JQNQmMWVOgdI1OLJR2mc/930x620//filters:format(webp)/regions/2021/08/06/610cfa46d88ed_227491296-128156722771547-727919046840472
    Une soixantaine de restaurateurs de Cambrai protestent contre le contrôle du pass sanitaire ce samedi 7 août. • © Kevin Verin

    Les restaurateurs de Cambrai ne cessent de le répéter, ils ne sont pas contre le pass sanitaire et le vaccin. « Ce n’est pas le sujet » , lance l’un d’entre eux. Ce qui leur pose problème, c’est le contrôle à l’entrée des restaurants, des bars et des cafés à partir de lundi 9 août. 

    C’est pourquoi ce samedi 7 août, une soixantaine d’entre eux a prévu de se réunir sur la place Aristide Briand au centre-ville pour protester. Ce ne sera pas pour autant une manifestation, mais une « opération ville morte » . La quasi totalité de leurs établissements seront fermés. 

    « Le pass sanitaire, c’est une chose, on le respecte, lance Morgan Sedrue, gérant d’un bar de nuit. Mais ce qu’on ne veut pas, c’est contrôler les gens. On n’est pas des anti ou des pro-vaccin, ce n’est pas du tout le débat. On veut montrer notre mécontentement sur le contrôle du pass sanitaire. » Difficile pour lui et ses collègues de s’imaginer contrôler chaque client, « comme un agent de police ». 

    Plusieurs revendications
    Avec le déploiement du pass sanitaire, plusieurs problèmes se posent. A commencer par le temps d’attente devant les établissements. Frédéric Darras, restaurateur, constate déjà « des queues 15 à 20 personnes sur les côtés. Certains n’ont pas le temps par ce qu’ils travaillent, vous les imaginez faire une queue de 15 minutes alors qu’ils n’ont qu’une heure pour manger à la pause ? » Cela entraîne aussi un décalage « en cuisine et dans le service » qui ralentit considérablement la cadence du restaurant. 

    Ensuite, ils anticipent déjà des complications pour l’organisation : « quand on prend les additions, il y a ceux qui attendent à l’extérieur et qui vont vouloir s’asseoir de suite aux places libres, alors qu’on a pas encore contrôlé leur pass sanitaire. Si à ce moment-là, il y a un contrôle de police, ça nous fait 1500 euros d’amende et pour le client, c’est 135 euros. »

    La foire du 15 août à Cambrai inquiète aussi. Les restaurateurs prévoient « à peu près 4000 clients potentiels » dans les restaurants, les bars et les cafés en l’espace d’une journée. Comment s’organiser face à l’afflux de personnes, avec un pass sanitaire à contrôler et sans personne pour le faire ?  "Une situation intenable", pour Morgan Sedrue. 

    Casse-tête en vue
    La suite : https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/cambrai/pass-sanitaire-operation-ville-morte-a-cambrai-une-soix

    #grève #Douai #france #travail #surveillance #bénévolat #vichy #pétain #vaccination #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #isolement

  • G20 de la santé : cynisme et indécence
    https://www.pardem.org/g20-de-la-sante-cynisme-et-indecence-0

    Avez-vous entendu parler du Sommet du G20 sur la santé qui s’est tenu le 21 mai 2021 ? Un grand moment attendu par ceux qui croyaient au ciel néolibéral et ceux qui n’y croyaient pas !
Résultats : ceux qui croyaient aux bonnes intentions du G20 sur un “droit universel à la santé” sont déçus. Les réalistes, ceux qui n’y croyaient pas parce qu’ils savent que le G20, réunion des pays néolibéraux les plus riches, poursuit son offensive économique et de propagande pour dominer le monde au dépend des peuples, n’ont pas été surpris.


    Plongée dans la nasse du G20
    Le Sommet mondial de la santé du G20, dans sa Déclaration de Rome, ne fait pas une seule fois référence au « droit universel à la santé ». Pour lui, pas question de légitimer le principe de garantir les soins de manière universelle, c’est-à-dire à tous. Car cela serait une obligation institutionnelle pour les pouvoirs publics et les États. Or, pour les pays du G20 la santé se réduit à une option charitable envers les « pauvres » et rester une machine à profit pour les multinationales.


    Certes le G20 parle d’un « accès équitable et abordable » aux outils de lutte contre la pandémie de Covid-19 (vaccins, traitements médicaux, diagnostics et outils de protection individuelle). Il confirme les principes et objectifs du marché, l’échange monétisé (vente et achat) qui n’ont rien à voir avec le droit à la santé pour tous. La déclaration insiste sur le fait que les mesures nécessaires, qui seront prises dans les mois à venir pour « promouvoir l’accès de tous aux vaccins », doivent être définies dans le cadre des traités de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et en particulier des Traités OMC-ADPIC (Accord sur les droits de propriété intellectuelle liés au commerce). L’Organisation mondiale de la santé (OMS, agence des Nations unies) est ainsi évincée.


    Rappelons que, depuis des années, plus de 100 États, des centaines de prix Nobel, des scientifiques, des personnalités du monde de la culture et des milliers d’associations, d’organisations et de syndicats demandent que la santé soit le domaine de l’Organisation des nations unies (ONU) et en particulier de son agence l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La primauté de l’ONU et de l’OMS signifierait que les règles en la matière seraient établies conformément à la Déclaration universelle des droits de l’’Homme de 1948 et aux traités internationaux sur les droits civils, sociaux et politiques.

    Prétendre donc, comme le fait le G20, que l’objectif de la lutte mondiale contre la pandémie est de ne laisser personne de côté est un mensonge éhonté, une pure hypocrisie destinée à enfumer les peuples. La réalité est que la stratégie de lutte contre la pandémie, adoptée il y a un an et demi au nom de l’accès équitable et abordable aux vaccins et dans le respect des traités OMC/ADPIC, a privé de soins des centaines de millions de personnes exclues de la vaccination (seul 1% de la population africaine a été vacciné). Selon l’OMS, plus de la moitié de la population mondiale était, en 2020, toujours privée de couverture sanitaire de base et l’épidémie a aggravé la situation.

    Les pays du G20, chantres du néolibéralisme, maintiennent leur suprématie et leur pouvoir dans les domaines financier, technologique, scientifique, productif et commercial. Leurs entreprises privées restent les seuls propriétaires de la connaissance du vivant, les détenteurs de brevets, les producteurs et distributeurs de vaccins, les maîtres du commerce international, les fournisseurs de services médicaux, les contrôleurs des marchés de la santé, les maîtres de la digitalisation des systèmes de santé, etc.

    COVAX : nouveau nom de la charité et de la dépendance
    Le COVAX est le mécanisme de dépendance des pays du “Sud”, mis en place par les pays du Nord, en accord avec l’OMS, pour faciliter le partage de la recherche, le développement, l’achat et la distribution des vaccins en faveur des pays pauvres. Il est géré par deux organisations publiques-privées : le CEPI (Coalition for Epidemic Preparedness Innovations) et la GAVI (Global Alliance on Vaccines and Immunisation). Les vaccins sont transférés sous forme d’aide, gratuitement, aux populations des pays dits à faibles revenus, et sous forme d’aide à prix réduit pour celles des pays dits à revenus moyens. Une version payante de la charité chrétienne sans doute…


    Mais la philanthropie a des limites.
La première, c’est que les pays riches et les organismes philanthropiques privés, tels que la fondation Gates, n’ont pas alimenté les finances du COVAX comme ils l’avaient promis la main sur le cœur. COVAX devait disposer de plus de 40 milliards de dollars mais aujourd’hui, seuls 12 milliards sont arrivés dans les caisses… Entre effet d’annonce publicitaire et réalité, il y a un fossé.


    La deuxième est la préservation des brevets qui consacre la propriété privée absolue pendant 20 ans, par les multinationales pharmaceutiques, des vaccins et des dispositifs médicaux. Le but étant de maintenir la domination politique, économique et sociale des pays du Nord sur les pays du Sud par le biais de la mainmise sur la santé des milliards d’êtres humains qui les peuplent.
Les dominants le savent. Refuser la levée des brevets est un comportement cynique, voire criminel.

    Le cirque de la suspension (provisoire) des brevets
    C’était le point le plus attendu du Sommet mondial de la santé du G20. Il a officiellement choisi de ne pas prendre de décision et de reporter le débat à la réunion du Conseil général de l’OMC… qui, depuis, discutaille…


    L’Union européenne est majoritairement opposée à la suspension du régime des brevets et encore plus à son abolition. Elle cherche à déplacer le débat sur la définition d’un nouveau traité mondial de coopération en matière de surveillance et de réponse aux pandémies actuelles et futures… L’Idée de l’UE est de proposer de signer un traité mondial reprenant les grandes lignes du système de coordination intra-européenne mis en place dans le cadre de la “création” (récente) de l’Union européenne de la santé.
La vice-présidente américaine Kamala Harris s’est dite favorable à une suspension des brevets, « à condition qu’elle soit ciblée et limitée dans le temps »…

    Quant à l’Inde, la suspension lui sert à renforcer son rôle de premier producteur mondial de vaccins à faible coût par le biais de l’entreprise privée Serum Institute of India avec le soutien
de l’université d’Oxford et de Astra Zeneca. Le laboratoire a d’ailleurs signé, en 2020, un accord portant sur la production de plus de 1,2 milliard de doses de son vaccin par le Serum Institute of In-dia. La stratégie indienne d’expansion économique dans le secteur pharmaceutique se pose, évidemment, en concurrence avec la Chine.


    De son côté, l’Indonésie (autre membre du G20) a clairement exprimé sa volonté, grâce à la réduction des contraintes imposées par les brevets, de devenir le principal hub de l’Asie du Sud-Est et ce en concurrence avec la Chine et l’Inde.
Bref, la concurrence capitaliste néolibérale au sein du G20 bat son plein.
L’échec prévisible du G20 concernant une coopération mondiale effective dans la lutte conte la Co-vid-19 s’est révélé au grand jour.

    Big Pharma : des profits stratosphériques
    Les pouvoirs publics ont pratiquement financé en totalité (vaccin Astra Zeneca) et en grande partie (vaccins Pfizer, Moderna, Johnson&Johnson, etc.) la conception, le développement, la production et la commercialisation des vaccins. S’il y a des vaccins, ce n’est pas grâce à Big Pharma mais aux colossales sommes d’argent public injectées par les États (plusieurs dizaines de milliards de dol-lars), par tous les moyens possibles, dont celui décisif, des engagements garantis d’achat public de milliards de doses commandées aux entreprises.

    Ce faisant, les entreprises ont empoché le pactole et, sans investissements majeurs, ont déjà récolté des milliards de bénéfices pour les distribuer à leurs actionnaires, sans que les États, les citoyens dont l’argent public a financé les multinationales, n’aient obtenu aucun avantage financier en retour. Les gouvernements ont financé et continuent à financer les entreprises qui , elles, continuent à faire des bénéfices.
Le Sommet mondial de la santé du G20 est bien une tragique mascarade. Car il est clair que la santé des gens n’est pas la priorité des puissants du monde. La réalité d’un droit universel à la santé est inexistante.


    Qui peut croire encore que sans sortie du capitalisme néolibéral tous les peuples, nation par nation, pourront accéder aux soins de santé universels et gratuits ?

    Joël Perichaud, secrétaire national du Parti de la démondialisation, chargé des Relations internationales

    #capitalisme & #vaccination #mascarade #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #isolement #G20 #Inde #Indonésie #profits #Droit_à_la_santé #OMC #ADPIC #COVAX #brevets #ue #union_européenne

  • « Au moins je sers à quelque chose » : des retraités appelés en renfort pour contrôler les pass sanitaires dans les restaurants
    https://rmc.bfmtv.com/emission/au-moins-je-sers-a-quelque-chose-des-retraites-appeles-en-renfort-pour-co

    Des restaurateurs vendéens ont lancé un appel aux retraités pour venir donner un coup de main à l’entrée des établissements. Certains, comme Nicole, 68 ans, sont ravis.

    https://www.youtube.com/watch?v=ZTLYfv5oYvo

    Des papys et mamies videurs à l’entrée des bars et restaurants ?
    Dans moins d’une semaine, lundi prochain, l’application du pass sanitaire sera être étendue à l’entrée d’établissements recevant du public. Comment s’organiser pour contrôler ces pass, notamment à l’entrée des cafés et des restaurants ?

    Les professionnels de la restauration ont déjà du mal à trouver des bras en salle et en cuisine, alors mettre quelqu’un à l’entrée relève pour certain d’un véritable casse-tête.

    En Vendée, le syndicat des professionnels du secteur, l’UMIH, vient de lancer un appel aux retraités. Objectif : qu’ils viennent prêter main-forte et qu’ils contrôlent les pass à l’entrée, bénévolement.

    #bénévolat #vichy #pétain #vaccination #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #isolement

  • #Belgique Groen estime que l’application Coronalert doit être progressivement abandonnée Anne François
    https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2021/08/02/groen-estime-que-lapplication-coronalert-doit-etre-progressiveme

    Les écologistes flamands estiment que l’application Coronalert, qui permet de signaler une infection au coronavirus de façon anonyme à des contacts afin qu’ils puissent se faire tester, doit être abandonnée progressivement. D’après Groen, l’app ne représente actuellement aucune valeur ajoutée.

    Le député écologiste Jeremie Vaneeckhout a demandé au ministre flamand de la Santé Wouter Beke (CD&V) les chiffres concernant l’application Coronalert. Il en ressort que celle-ci a partagé 27.800 résultats de tests positifs jusqu’à présent. « Cela ne représente que 2,7% de tous les tests corona positifs depuis le lancement de l’application, il y a près d’un an », conclue Vaneeckhout. « Je ne pense pas que l’on puisse considérer cela comme un grand succès ».

    Groen réclame une évaluation approfondie de l’application et souhaite que le ministre Beke ne fasse plus aucune nouvelle dépense pour ce projet. « Avec 2.758.000 téléchargements de l’app, nous arrivons à un taux de couverture de 30% seulement de tous les utilisateurs de smartphones », constate Jeremie Vaneeckhout. « Quelque 806.000 résultats ont été signalés via l’application, dont 76.000 positifs. Mais seulement 27.800 tests positifs ont effectivement été partagés via l’app avec d’autres contacts. Avec un investissement de 1,25 million d’euros à la clef, on peut se demander si l’app est jamais parvenue à remplir sa fonction d’outil de lutte contre l’épidémie ».

    Le parti propose donc de réduire progressivement l’utilisation de l’application et ne lui voit pas non plus jouer un rôle pendant de grands événements. « Il est important de prendre encore toujours des précautions pour éviter une contamination, mais Groen estime que l’app Coronalert n’offre plus de valeur ajoutée ».

    Pour rappel, en mai dernier, le professeur en médecine Jan De Maeseneer (UGent) avait déjà indiqué, lors d’une audition au Parlement flamand, que l’application Coronalert lancée l’an dernier n’a fourni « aucune contribution » dans la lutte contre la pandémie.

    Interrogée également par les députés flamands, Karine Moykens, responsable du comité interfédéral Testing et Tracing, n’avait pas partagé cette analyse. Selon elle, l’application pouvait être un « instrument complémentaire » important dans les prochains mois. Mais d’après le Pr De Maeseneer, sa contribution ne peut être démontrée. « Il n’y a aucune preuve scientifique pour cela. Si on avait vraiment voulu qu’elle ait un impact, il aurait fallu la rendre obligatoire, comme c’est le cas à Singapour », avait ajouté le professeur.

    #inefficacité #gaspillage #application #smartphone #Coronalert #pandémie #vaccination #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing

  • Pfizer et Moderna augmentent le prix des vaccins en Europe, selon le Financial Times

    Le vaccin Pfizer passe ainsi de 15,5 à 19,5 euros et celui de Moderna de 19 à 21,5 euros. La Commission européenne s’est refusée à tout commentaire, au nom de confidentialité des contrats.

    La facture va s’élever. Les entreprises pharmaceutiques Pfizer et Moderna ont augmenté le prix de leur vaccin contre le coronavirus dans le cadre d’un accord avec l’Union européenne, révèle ce dimanche le Financial Times, qui a consulté le contrat.

    Le vaccin Pfizer passe ainsi de 15,5 euros à 19,5 euros et celui de Moderna de 19 euros à 21,5 euros, selon les données consultées par le quotidien financier britannique. Cette hausse intervient alors que l’inquiétude sur la flambée du variant delta monte et que des études ont prouvé que les vaccins de Moderna et Pfizer/BioNTech devraient rester efficaces face à ce variant. Interrogée par l’AFP, la Commission européenne s’est refusée à tout commentaire, mettant en avant la confidentialité des contrats. Contactés à leur tour par l’AFP, Pfizer et Moderna n’ont pas immédiatement réagi dimanche.

    La suite : https://www.lefigaro.fr/societes/pfizer-et-moderna-augmentent-le-prix-des-vaccins-en-europe-selon-le-financi

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  • France : un espoir venu du Nord | ARTE Reportage

    Dès les premiers signes de la crise sanitaire, des scientifiques de l’Institut Pasteur de Lille se sont lancés dans la recherche d’un traitement contre le Covid-19. Depuis le premier jour, notre équipe suit, en immersion, leurs travaux. 

    https://www.youtube.com/watch?v=A8JaWWwP4Kg

    Rapidement, les scientifiques ont découvert une molécule prometteuse : un ancien médicament que l’on pourrait facilement repositionner dans la lutte contre le coronavirus. Mais voilà : un an plus tard, le médicament n’est toujours pas disponible pour les malades. Pire : l’essai clinique qui doit valider cette découverte n’a même pas commencé. Alors que les scientifiques luttent pour faire aboutir leurs recherches, découverte inédite des coulisses de la guerre contre la pandémie.

    Disponible jusqu’au 15/05/2024

    #vaccination #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #isolement

  • Questions sur l’immunisation et la transmission de SARS-CoV-2 par Marc Whatelet
     https://www.asymptomatique.be/le-dr-marc-wathelet-a-front-renverse/?shared=email&msg=fail

    
Depuis la mi-juin, le « Pass sanitaire européen » facilite les voyages en Europe.
À compter du 13 août, le « Covid Safe Ticket » entrera en vigueur en Belgique pour les événements extérieurs rassemblant plus de 1500 personnes et, à partir du 1er septembre, il sera utilisé en intérieur également.

    Le « Covid Safe Ticket » sera réservé aux personnes qui présentent un test PCR négatif de maximum 48 heures, ou qui sont vaccinées tout à fait depuis deux semaines, ou qui ont un certificat établissant qu’elles ont eu la Covid, ce dernier étant limité à 180 jours après le dernier test PCR positif.
L’ASBL « Notre Bon Droit » est une alliance de professionnels de la santé, de scientifiques, de juristes et de citoyens belges qui estiment que la réponse du Gouvernement belge à la COVID-19 est malavisée et ne repose pas sur les preuves scientifiques les plus rigoureuses disponibles.
Les interrogations légitimes sur la pertinence d’instaurer ce « Ticket » n’ayant pas été entendues par le Gouvernement, cette association a décidé de lancer une action en référé pour en empêcher l’instauration.

    Dans ce contexte, « Notre Bon Droit » m’a demandé d’analyser les bases scientifiques qui justifieraient la position défendue par le Gouvernement belge, alors que celle-ci se trouve en contradiction avec l’esprit du « Règlement général sur la protection des données » (RGPD), et induit une discrimination manifeste à l’égard d’une partie de la population. Cette analyse technique à laquelle je me suis donc attelé relativement à l’effet de l’immunisation naturelle ou vaccinale sur la susceptibilité d’un individu à l’infection et sur sa capacité à ensuite transmettre le virus est détaillée dans le document en annexe.
De cette analyse, il ressort, en conformité avec les données fournies par le GEMS, que la capacité des individus vaccinés à être infectés par le SARS-CoV-2 et de le transmettre à autrui n’est pas suffisamment amoindrie par rapport à celle des non-vaccinés pour distinguer en pratique ces deux populations pour contrôler la situation épidémique (voir annexe E&F).

    
Par ailleurs, la confrontation entre l’immunité contre SARS-CoV-2 acquise à la suite de la vaccination et celle consécutive à une infection naturelle indique que cette dernière est plus robuste, plus large, plus équilibrée entre la production d’anticorps et de cellules T, et dure plus longtemps que l’immunité vaccinale, ce qui se traduit par une meilleure et plus durable protection contre l’infection pour les individus convalescents comparativement aux vaccinés (voir annexe G).

    Pour ces raisons, l’action « Covid Safe Ticket » proposée par le Gouvernement, qui consisterait à discriminer les individus non-vaccinés en limitant leur accès à certains endroits et certaines activités, n’est pas justifiée d’un point de vue scientifique et de santé publique, car elle ne permettra pas de contrôler la propagation du virus en Belgique dans le contexte d’un variant de SARS-CoV-2 aussi contagieux que le sont les variants alpha et delta. De même, la période de 180 jours pour le certificat de guérison n’est pas adéquate puisque tout indique que l’immunité naturelle est supérieure et plus persistante que l’immunité vaccinale.
L’action « Covid Safe Ticket » s’inscrit dans l’approche particulièrement malavisée que le Gouvernement belge, à l’instar de nombreux autres gouvernements européens, suit pour gérer la COVID-19 depuis le début de cette crise. Il est illusoire d’espérer contrôler la diffusion du virus par la seule vaccination quand cette dernière ne bloque ni l’infection par le virus, ni sa transmission à autrui, ce qui est manifestement le cas pour tous les vaccins anti-COVID déployés à ce jour en raison des choix effectués lors de leur conception.

    
De fait, ces vaccins sont administrés par injection intramusculaire, alors que pour avoir un effet stérilisant, c’est-à-dire pour bloquer complètement l’infection et la transmission d’un virus respiratoire, il est nécessaire de stimuler l’immunité mucosale des voies respiratoires supérieures. Cet effet pourrait être obtenu en administrant un vaccin sous forme de spray dans la cavité nasale, mais pas par voie intramusculaire.
La stratégie du Gouvernement équivaut à mettre tous ses œufs dans le même panier en envisageant la vaccination comme la solution principale au contrôle de l’épidémie, en espérant ainsi obtenir une immunité collective dans le pays.

    Or, dans l’article référencé ci-après, C. Aschwanden identifie 5 raisons pour lesquelles l’immunité collective est probablement impossible : https://www.nature.com/articles/d41586-021-00728-2.

    De surcroît, selon les manuels classiques d’épidémiologie, le contrôle d’une pandémie repose sur quatre piliers bien définis :

    1) la prévention & le contrôle de la transmission ;

    2) le traitement précoce des malades ;

    3) le traitement des cas graves ;
4) et la vaccination.


    Entre ces 4 piliers, le dernier est en pratique le moins utile, car il faut du temps pour développer et valider un vaccin sûr et efficace (au minimum 3 ans), et du temps pour vacciner une population. Surtout, ce pilier ne peut pas être suffisamment efficace sans les 3 premiers, qui sont eux indispensables.
Comment, dès lors, ne pas être plongé dans la plus grande perplexité face à une stratégie gouvernementale qui s’obstine encore et toujours à largement les ignorer !

    1) Pour la prévention, une revue systématique de l’effet de la vitamine D indique que son niveau dans le sang peut déterminer le risque d’être infecté par SARS-CoV-2, la sévérité de la COVID-19 ainsi que sa mortalité :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7800698.


    Malgré l’appel de scientifiques à ce que le Gouvernement recommande à la population carencée en vitamine D de se “supplémenter”, cette approche a été rejetée sous prétexte que la vitamine D ne permet pas de traiter la COVID, ce qui est correct mais non pertinent puisqu’il s’agit de la prévenir, et qu’il y aurait un risque d’hypervitaminose. C’est une position absurde puisqu’il s’agit ici, répétons-le, de prévention et non de traitement et que les hypervitaminoses D sont très rares. Si l’on devait généraliser pareille « logique » en médecine, en fait, plus aucun médicament ne devrait être utilisé puisqu’un surdosage en est toujours possible !

    2) Le Gouvernement n’a toujours pas développé un dépistage/traçage suffisamment performant, alors que c’est essentiel pour contrôler la transmission (pilier 1). Le 8 octobre 2020, le virologue japonais Hitoshi Oshitani expliquait pourquoi le tracing en Belgique n’est pas efficace. Ainsi l’important n’est-il pas tant de connaître les contacts d’une personne que de découvrir l’endroit où elle a été infectée : https://tinyurl.com/23dhm953.

    Malgré cet avertissement, ce manquement n’a toujours pas été corrigé. Sept mois plus tard, ce 1er juillet 2021, Emmanuel André le reconnaissait encore : « Le tendon d’Achille de notre système de contrôle des infections en Belgique réside encore et toujours dans le fait que le concept de “backward contact tracing” n’a pas été intégré dans le système de tracing. » (https://tinyurl.com/jcta8s6c).

    3) Il existe un médicament très efficace en prophylaxie (pilier 1, 88% d’efficacité, selon la littérature publiée dans des revues à comité de lecture
https://ivmmeta.com, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8088823, https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34145166).
Il s’agit de l’ivermectine , dont l’usage a été proposé au Gouvernement en décembre 2020 (https://tinyurl.com/99presz6), mais ignoré par lui.
Certes, il ne s’agit pas d’un médicament miracle, en ce sens qu’il réduit mais ne supprime pas le risque de développer la COVID-19. En revanche, il permet d’écraser le nombre de reproduction du virus et, partant, de contrôler l’épidémie de manière très efficace. Dans cette perspective, l’approche préconisée consiste à traiter toute personne positive avec l’ivermectine, ainsi que tous leurs contacts quotidiens, au domicile, à l’école et au travail.
Dans « le monde réel », son utilisation a permis à l’Inde de contrôler la propagation du virus plus rapidement que des pays comme Israël et le Royaume-Uni qui ont misé sur l’approche vaccinale. De même, en Europe, la Slovaquie, la Bulgarie et la Macédoine du Nord ont complètement contrôlé l’épidémie depuis l’introduction de l’ivermectine, contrairement au Royaume-Uni où l’épidémie reprend. Par exemple : en Slovaquie, ce n’est pas la vaccination qui explique la décrue épidémique, car seulement 5,88% de sa population avait reçu une dose de vaccin au moment où l’ivermectine a été déployée le 1er mars, pour atteindre 20,34% le 1er mai : c’est donc bien là l’effet du recours à l’ivermectine.

    4) De même, la Belgique a ignoré les traitements précoces (pilier 2). Outre l’ivermectine, efficace à 74% dans cet usage (références ci-dessus), la liste des médicaments efficaces en traitement précoce ne cesse de s’allonger : il y a la fluvoxamine (https://c19fluvoxamine.com), la proxalutamide (https://c19proxalutamide.com), etc., ainsi que certaines combinaisons, comme la fameuse hydroxychloroquine couplée au zinc et à l’azithromycine. Leur utilisation permettrait de réduire considérablement les hospitalisations et les décès.

    5) Pour les formes sévères de la COVID-19 (pilier 3), le seul traitement actuellement approuvé est la dexamethasone, efficace à 30% seulement, en partie parce que la dose recommandée est trop faible, 6 mg. Ici aussi, pourtant, l’ivermectine se révèle plus efficace (références ci-dessus) et c’est pourquoi elle est d’ailleurs utilisée discrètement dans certains hôpitaux belges.

    6) La vaccination seule (pilier 4) ne peut pas suffire par elle-même, car l’apparition de nouveaux variants est favorisée par les campagnes de vaccination, comme un certain nombre de scientifiques l’avaient anticipé et comme le reconnaît maintenant le groupe SAGE au Royaume-Uni (https://www.gov.uk/government/publications/sage-93-minutes-coronavirus-covid-19-response-7-july-2021)
Ces nouveaux variants diminuent substantiellement l’efficacité des vaccins (E&F). Vacciner avec la forme mutante de Spike correspondant au dernier variant a tout d’une course-poursuite futile, car ces variants évoluent et se propagent beaucoup plus rapidement qu’il n’est possible de déployer de nouveaux vaccins.

    Rappelons, de surcroît, que cette campagne massive de vaccination, avec un produit qui reste expérimental, s’effectue dans une atmosphère de coercition , directe ou indirecte selon les pays, malmenant le principe du consentement éclairé pourtant indispensable et en vertu duquel il doit être apporté une information complète sur les risques encourus lors de la vaccination et sur l’existence de traitements alternatifs à celle-ci.
Cette campagne vaccinale se poursuit alors même que les signaux dans les divers systèmes de pharmacovigilance ne peuvent qu’inquiéter : les réactions adverses indésirables consécutives à la vaccination anti-COVID sont beaucoup plus importantes que pour d’autres vaccins. Si ces réactions ne sont sans doute pas toutes dues aux vaccins anti-COVID, leur temporalité implique tout de même une forte présomption. Par ailleurs, il faut savoir que ces systèmes ne capturent qu’une petite fraction d’entre elles. Normalement, le nombre déjà très élevé de réactions indésirables et de décès identifiables dans ces bases de données devrait suffire à justifier l’interruption de cette campagne sans délai.


    Au demeurant, les moyens de prévention et les traitements alternatifs existent, avec des produits dont l’efficacité et l’innocuité sont démontrées et impliquant donc un rapport bénéfice/risque favorable. Cette réalité devrait en principe conduire à la suspension de l’autorisation conditionnelle de mise sur le marché délivrée à ces vaccins anti-COVID, si la loi était respectée. C’est donc manifestement pour éviter cette conséquence juridique que les autorités de santé publique s’acharnent à ne reconnaître aucun des traitements alternatifs existants.

    En conclusion, la stratégie du « tout à la vaccination » choisie par le Gouvernement belge ne permettra pas de contrôler l’épidémie. Face aux rebonds inévitables de celle-ci tant qu’il s’arc-boutera sur sa politique actuelle, le Gouvernement sera en toute probabilité enclin à la tentation perverse de chercher à imputer la responsabilité de la poursuite de la crise sanitaire aux seules personnes non-vaccinées, et du fait de leur non-vaccination exclusivement, ce qui conduira à la diabolisation et à la discrimination, injustes et injustifiées scientifiquement, de cette partie de la population.
Par conséquent, il est urgent que le Gouvernement belge recoure enfin aux 3 premiers piliers de contrôle épidémique s’il souhaite réellement la reprise d’une vie sociale et économique décente.
    Par Marc Wathelet pour l’ASBL “Notre bon droit”

    ANNEXE
    Questions sur l’immunisation et la transmission de SARS-CoV-2 : analyse scientifique. Dans la fiche technique qui suit, les données scientifiques disponibles sont évaluées concernant :

    A) Les modes de transmission de SARS-CoV-2, à savoir le contact avec des surfaces contaminées, les gouttelettes, les microgouttelettes (aérosols) et la voie fécale-orale ;

    B) La transmission par les individus asymptomatiques et symptomatiques ;

    C) La probabilité de la transmission de SARS-CoV-2 entre deux individus ;

    D) Les facteurs individuels affectant la probabilité de transmission au sein d’une communauté, notamment :

    – 1) Le paramètre de surdispersion, k

    – 2) La charge virale

    – 3) L’effet de la charge virale sur la transmission
    
– 4) L’effet de la vaccination sur la charge virale

    E) L’effet de la vaccination sur l’infection :

    – 1) Une étude rétrospective en Israël
    
– 2) Une étude prospective de la CDC sur des soignants

    – 3) Une étude prospective au Royaume-Uni
    
– 4) Les données de Santé Publique Angleterre
    
– 5) Les données du Ministère de la Santé israélien

    F) L’effet de la vaccination sur la transmission :

    – 1) Les études observationnelles

    – 2) Le suivi des contacts en Belgique
    
– 3) Les données du Ministère de la Santé de Singapour & « Nos Tayons »

    – 4) Le porte-avions HMS Queen Elizabeth
    
– 5) Les grands foyers de contamination aux Pays-Bas

    G) L’effet de l’immunité naturelle sur l’infection et la transmission.
    Retrouvez les Sources considérées jusqu’au 20 juillet 2021 ici : https://www.linkedin.com/pulse/questions-sur-limmunisation-et-la-transmission-de-marc-wathelet ?

    #vaccination #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #isolement

    • 31 Juil Saint-Pasteur, priez pour nous ! LE Dr MARC WATHELET À FRONT RENVERSÉ
      https://www.asymptomatique.be/le-dr-marc-wathelet-a-front-renverse/?shared=email&msg=fail

      Quand un des pionniers de la lutte contre le coronavirus s’en prend aujourd’hui ouvertement à la politique du “tout-au-vaccin”, c’est peut-être que la “résistance vaccinale” ne se résume pas à un conte pour enfant mordu par un chien enragé ou au refus stupide de la ceinture de sécurité. Saint-Pasteur, priez pour nous !

      On peut peut-être reprocher beaucoup de choses à Marc Wathelet, mais certainement pas d’être un covido-sceptique.
      
Quand les autorités sanitaires belges, Maggy De Block en tête, parlaient encore chez nous de “grippette” et de “drama queen”, ce spécialiste mondial des coronavirus fut le premier à sonner le tocsin dans la presse belge pour annoncer la catastrophe sanitaire qui nous arrivait de Wuhan.
Or on le retrouve pourtant aujourd’hui aux premiers rangs de ceux qui critiquent (ou)vertement la politique gouvernementale ou européenne du “tout-au-vaccin”.
A l’heure où il est de bon ton, dans les réseaux sociaux, de présenter la résistance vaccinale comme le délire abscons de crétins décérébrés, à coup de petites blagues sur les ceintures de sécurité, les sauts en parachute ou les chiens enragés mordus par Pasteur, ce texte de Marc Wathelet vient rappeler que ces doutes trouvent d’abord leur origine à l’intérieur même du champ scientifique, chez ceux et celles qui connaissent le mieux le sujet, et non chez ceux et celles qui se contentent de docilement recopier les notices prophylactiques de BigPharma.

      A ce sujet, et en contrepoint à la contribution de Marc Wathelet, on lira avec intérêt l’article de “Libération” du jour, qui annonce que Pfizer et Moderna, profitant de leur situation de monopole, auraient gonflé artificiellement le coût de leurs vaccins. Non, sans blague ? La France aurait ainsi payé au moins 4,6 milliards d’euros de surcoût aux firmes pharmaceutiques, et l’Europe, 31 milliards. Grand dieu… C’est nin possiiiip’ !?


      Cette situation handicaperait particulièrement la vaccination dans les pays pauvres, au point qu’Oxfam parle carrément aujourd’hui de « pénurie organisée ». Jésus Marie Joseph ! Il n’y a donc pas que notre santé qui les intéresse ? 
(Arthur Quentin, dans “Libération”, le 29 juillet 2021, sauf les questions idiotes, qui sont hélas ! de moi).
      
Toute relation entre ces deux informations relevant forcément du “complotisme”, je vous invite donc à immédiatement oublier tout ce dernier paragraphe avant de lire ci-dessous les questions, remarques et propositions de Marc Wathelet, docteur en biochimie.

      Claude Semal le 30 juillet 2021

  • Pour un « non » écologiste à une vaccination systématique Grégoire Gonin, citoyen solidaire
    https://www.letemps.ch/opinions/un-non-ecologiste-une-vaccination-systematique

    Dans une société obnubilée par les solutions à court terme, la réflexion sur les causes de la pandémie demeure marginale depuis sa survenue. Les politiques publiques tireront-elles les leçons environnementales et sanitaires qui s’imposent ? Le pessimisme reste hélas de mise, et l’altruisme de façade. Miroir d’un été annonciateur du désastre planétaire en cours et à venir, les injonctions à la piqûre pleuvent tous azimuts. Dans son éditorial du 6 juillet, Le Temps invite la population à agir par « civisme ». Huit jours plus tard, le quotidien se demande « pourquoi reporter ou refuser une telle aide », écartant à juste titre l’argumentaire des réfractaires, mais en omettant – ô stupeur – l’objection écologiste.

    Pour tester leur bonne foi
    Il est permis de se montrer agacé par les personnes jurant la main sur le cœur se faire inoculer par souci du collectif. Pour tester leur bonne foi, il faut et il suffit de leur demander si elles agiraient de même si l’administration du précieux liquide était conditionnée au renoncement à prendre l’avion et à manger de viande. Au royaume du Moi-Je (l’iPhone, l’i-tout) néolibéral, ces personnes ont-elles le même soudain intérêt du bien commun au point de renoncer à la voiture et à ses gaz ultra-nocifs, à manger trop gras, trop sucré ou à boire de l’alcool et à fumer, et ne plus ainsi peser si lourd sur les coûts de la santé publique, à ne plus consommer via Amazon ou Uber et leurs armées de néo-misérables et prolétaires ? Les masques de nombreux tartuffes tomberaient aussi rapidement que leur empressement à sauter à bord du premier avion venu.

    La suite payante.
    #écologie #vaccination #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing

    • Un virus pas si dangereux que ça, puisqu’on ne commence que maintenant à vacciner les marins, et encore, dans un seul pays

      Les marins internationaux peuvent désormais se faire vacciner dans les ports belges, une première
      https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_les-marins-internationaux-peuvent-desormais-se-faire-vacciner-dans-les-p

      À partir de ce lundi, les marins venus des quatre coins du monde peuvent se faire vacciner dans les ports belges. La Belgique est le premier pays où, en plus de ses propres marins, les équipages des navires internationaux seront également vaccinés. Ils recevront le vaccin Johnson & Johnson, une seule injection étant nécessaire. 

      Depuis plusieurs mois, les marins belges qui accostent dans nos ports reçoivent leur vaccin. Mais à partir de ce matin, les membres d’équipage des navires du monde entier qui accostent à Anvers, Gand ou Zeebrugge seront également vaccinés. Le capitaine du navire doit signaler 24 heures avant l’arrivée dans le port combien de membres d’équipage doivent être vaccinés.

      . . . . . . . . .
      #guignolade

    • Mais puisqu’on vous dit que tout est de votre faute !
      Coronavirus à Lille : Un comité ministériel retarde des essais cliniques sur un médicament anti-Covid prometteur
      Un comité ministériel refuse à l’Institut Pasteur de Lille le droit d’accélérer les recherches sur un traitement anti-Covid qui a fait ses preuves in vitro.

      • L’Institut Pasteur de Lille avait annoncé, en octobre, avoir peut-être trouvé un médicament anti-Covid.
      • Restait à effectuer les essais cliniques pour lever les incertitudes car ce médicament avait déjà une autorisation de mise sur le marché dans une autre indication.
      • Un comité du ministère de la Santé a décidé, mardi, de refuser la demande d’accélération des essais cliniques pour cette molécule prometteuse.

      Mise à jour : Cinq jours après notre demande, la direction générale de la santé a répondu à 20 Minutes : « Les discussions collégiales qui s’exercent au sein du Capnet, et qui aboutissent à des décisions n’ont pas vocation à être rendues publiques. (...) Si les raisons aboutissant à ne pas attribuer le label de priorité nationale sont naturellement communiquées aux promoteurs, elles n’ont pas vocation à être communiquées au-delà ».

      Un blocage incompréhensible. En octobre, l’Institut Pasteur de Lille (IPL) annonçait avoir peut-être trouvé un médicament anti-Covid. Restait à effectuer les essais cliniques pour lever les dernières incertitudes. Or, un comité du ministère de la Santé a décidé, mardi, de ralentir considérablement le processus d’homologation de ce médicament contre le Covid, comme le révèle La Voix du Nord. Pourquoi ?

      « Visiblement, ce comité ne comprend pas ce qu’est un repositionnement », regrette, dans le quotidien régional, Terence Beghyn, président d’Apteeus, une start-up qui collabore avec Pasteur sur ce projet. Ce comité, c’est le Capnet, comité de pilotage national des essais thérapeutiques, une instance chargée de prioriser la recherche clinique autour du Covid-19.

      Molécule prometteuse
      Et le Capnet vient de refuser d’accélérer les essais cliniques mis en place par Pasteur dès le mois d’octobre. A l’époque, l’Institut estimait qu’une molécule était prometteuse dans la lutte contre le coronavirus. Il s’agissait d’un vieil anti-infectieux qui avait montré son efficacité lors des différents tests in vitro « pour inhiber la réplication du virus », mentionne Pasteur dans un communiqué.

      « Il s’agit d’un médicament commercialisé en Europe et ayant déjà eu une autorisation de mise sur le marché en France dans une autre indication. Il pourrait donc être repositionné comme traitement du Covid-19 », ajoute l’Institut.

      La suite : https://www.20minutes.fr/lille/2974879-20210211-coronavirus-lille-ministere-retarde-essais-cliniques-medi
      #Institut_Pasteur #médicaments #molécules #laboratoires_pharmaceutiques #capnet #ministère_de_la_Santé #EnMarche

  • #Angleterre : Vague de quarantaines à cause du Covid : inquiétude d’avoir des rayons vides dus à la "pingdémie" au Royaume-Uni.
    https://www.rtbf.be/info/societe/detail_vague-de-quarantaines-a-cause-du-covid-inquietude-d-avoir-des-rayons-vid

    Au Royaume-Uni, on craint de plus en plus que la « #pingdémie » ne provoque des pénuries alimentaires. "Nous sommes très préoccupés par la situation", a reconnu le ministre de l’Économie, Kwasi Kwarteng, interrogé sur des photos de rayons vides dans les supermarchés. "Nous suivons l’évolution de la situation."

    En une semaine, des centaines de milliers de personnes au Royaume-Uni ont reçu via une application officielle un appel à se mettre en quarantaine à domicile. Elles sont considérées comme ayant été en contact avec une personne testée positive au coronavirus et ont donc été "pinguées", ce qui signifie qu’ils ont reçu une notification sur leur téléphone.

    Demande de test PCR
    Les entreprises se plaignaient déjà de la pénurie de personnel due au Brexit et disent maintenant que la situation menace d’empirer à cause de cette ’pingdemie’. Selon Sky News, les chaînes d’approvisionnement "commencent à s’effondrer", car les chauffeurs routiers et les personnes travaillant dans le secteur de la viande, entre autres, restent à la maison.

    Ce nouveau type d’épidémie dominait d’ailleurs les premières pages des médias britanniques jeudi. "La ’pingdémie’ perturbe l’approvisionnement alimentaire des supermarchés", titre le Daily Telegraph. Le Sun et le Daily Mail ouvrent avec des photos d’étagères vides. "Des craintes de pénurie alors que les magasins sont touchés par la +pingdémie+", écrit le Times.

    Certaines entreprises prennent désormais les choses en main. La société Bidfood a appelé les employés "pingués" à venir travailler si un test PCR montre qu’ils ne sont pas infectés. Ces travailleurs jouent un rôle essentiel dans la chaîne alimentaire, a justifié le patron de cette entreprise, Andrew Selley, auprès de la BBC.

    Aussi dans les services publics
    Les services publics n’ont pas échappé non plus aux conséquences de la "pingdémie", la police manquant de bras pour pouvoir répondre rapidement aux appels qu’elle reçoit. La police de Cleveland dit que des congés du personnel ont finalement été retirés.

    Les Britanniques ne sont pas légalement obligés de se mettre en quarantaine à domicile pendant dix jours s’ils reçoivent une notification via l’application, qu’ils ne sont d’ailleurs pas non plus obligés de télécharger.

    De nombreuses personnes ont toutefois répondu à l’appel et le gouvernement est sous pression pour prendre des mesures. Ce dernier a déjà décidé qu’à partir du 16 août, les personnes entièrement vaccinées ne devront plus être placées en auto-isolement si elles entrent en contact avec le virus, sauf si elles sont elles-mêmes testées positives.

    #pénuries #supermarchés #ping #chaîne_alimentaire #approvisionnement #services_publics #vaccination #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #travail #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #isolement

  • Isolement obligatoire : le gouvernement veut conserver les revenus pour les travailleurs
    https://www.latribune.fr/economie/france/isolement-obligatoire-le-gouvernement-veut-conserver-les-revenus-pour-les-

    Alors que le ministre de la Santé a confirmé le placement à l’isolement obligatoire de 10 jours pour toute personne positive au Covid-19, le gouvernement va proposer des dispositifs pour éviter les pertes de revenus, lors de l’examen du projet de loi étendant le pass sanitaire.

    [Article publié le 21.07.2021 à 11:20, mis à jour le 21.07.2021 (ajout précisions de Jean Castex) à 14:15]


    Le gouvernement veut éviter les pertes de revenus pour les travailleurs à l’isolement obligatoire. (Crédits : Reuters)

    Un isolement qui n’est pas obligatoire pour les personnes vaccinées  si elles sont cas contact, a précisé le Premier ministre, lors de son intervention au 13 heures de TF1 ce mercredi. Une instruction doit être envoyée en ce sens par le ministère de la santé dès cet après-midi, selon Jean Castex.

    Isolement de dix jours des cas positifs
    L’idée du gouvernement est renforcer la stratégie du « tester, tracer, isoler » en demandant aux personnes positives au Covid-19 de rester chez elles durant 10 jours, avec des mesures de contrôle renforcées. Alors qu’il s’agissait jusque là d’une demande, cela deviendra donc une obligation. Revenant sur la « légitimité » de cette mesure d’isolement obligatoire, controversée car privatrice de liberté, le ministre Véran a mis en avant « l’effondrement du respect de l’isolement par les personnes positives » . Selon des remontées d’agences régionales de santé (ARS), moins de la moitié des personnes positives au Covid-19 restent isolées, a affirmé le ministre.

    La stratégie pour limiter la propagation du virus s’appuie sur le repérage précoce des symptômes, la réalisation de tests et l’isolement des malades ainsi que des personnes ayant été en contact avec eux.

    Pour rendre plus efficace le dispositif, dans le cadre du nouveau projet de loi qui doit être adopté en fin de semaine, les personnes dépistées positives au Covid-19 devront se placer à l’isolement pour une durée non renouvelable de dix jours dans le lieu d’hébergement qu’elles déterminent. L’isolement pourra s’achever plus tôt en cas de test PCR négatif.

    Un recours sera possible devant le juge des libertés et de la détention (saisi après le déclenchement de poursuites par le procureur de la République), qui devra statuer dans un délai de 72 heures.

    Les personnes à l’isolement ne pourront sortir qu’entre 10H00 et 12H00 ainsi qu’en cas d’urgence.  Ces heures seront aménageables en cas de justification de contraintes familiales ou personnelles. Des contrôles seront possibles dans le lieu concerné sauf la nuit de 23H00 à 8H00, et pendant la période d’autorisation de sortie. Les personnes qui ne respectent pas l’isolement seront passibles d’une contravention pouvant aller jusqu’à 750 euros.

    #covid-19 #coronavirus #santé #surveillance #france #travail #confinement #covid #géolocalisation #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #isolement

  • Passe sanitaire : la CNIL appelle à la vigilance sur la conservation des données personnelles lors des contrôles
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2021/04/28/passe-sanitaire-la-cnil-appelle-a-la-vigilance-sur-la-conservation-des-donne

    La Commission nationale informatique et libertés informations estime que les informations affichées sur papier ou dans l’application TousAntiCovid devront être réduites au minimum nécessaire et ne pas être conservées après le contrôle.

    Protection de la vie privée, craintes de surveillance, risques de faux : les questions soulevées par l’annonce d’un passe sanitaire en France et en Europe évoquent les débats ouverts par le lancement des applications de traçage des contacts, au printemps 2020. Les deux dispositifs devraient être utilisés par de nombreux Français, cet été, dans la même application mobile, TousAntiCovid.

    Une importante différence sépare les deux technologies. Quand la fonction de traçage de TousAntiCovid établit sur le téléphone un historique des contacts croisés par les utilisateurs, le passe sanitaire utilise des informations déjà existantes dans les fichiers dont le ministère de la santé est responsable : le système d’information de dépistage populationnel (SI-DEP) pour le résultat des tests, qui sont conservés trois mois, et Vac-SI, pour la liste des personnes vaccinées, dont l’enregistrement est pour l’instant prévu jusqu’à la fin de l’année. Pour les patients, les médecins et les douaniers la procédure reste donc identique, la certification apposée par l’Etat est la seule nouveauté.

    Les informations auxquelles pourront avoir accès les agents habilités à contrôler le passe sanitaire (policiers, gendarmes, douaniers français et étrangers, agents de compagnie aérienne) sont uniquement celles recommandées à tous les Etats membres par la Commission européenne : nom, prénom et date de naissance – pour vérifier que le passe correspond à l’identité de la personne –, suivis de la date, du type de test et du résultat ou de la date et du type de vaccin.Retour ligne automatique
    « Rupture du secret médical »

    « Il ne serait pas normal que le numéro de sécurité sociale soit mentionné sur le document », a averti le comité de contrôle et de liaison (CCL) Covid-19 dans une liste de « points de vigilance » envoyés au gouvernement, le 20 avril. Si l’identifiant est bien présent dans les fichiers SI-DEP et Vac-SI, son affichage n’est pas prévu sur le passe sanitaire. La Commission nationale informatique et libertés (CNIL) a aussi souligné, dans un avis rendu le 22 avril, l’importance de s’assurer que les autorités « qui vérifieront le datamatrix [semblable à un code-barres ou à un QR code] ne doivent, en aucun cas, générer la création d’une base centralisée de données » et les conserver après le contrôle.

    TousAntiCovid permet aussi de n’afficher que l’identité et un datamatrix contenant le reste des informations. Dans ce cas, la machine utilisée lors du contrôle vérifie l’authenticité du test en comparant sa signature à la base de données du gouvernement, puis y applique les règles locales ou nationales (par exemple, un test PCR doit parfois dater de moins de trente-six heures, plus souvent soixante-douze heures). Une validation ou un refus apparaît, comme un feu « rouge » ou « vert », sur l’écran du policier ou du douanier. Une solution qui a la préférence d’Emmanuel Rusch, président du CCL, qui estime que l’affichage d’un résultat ou d’une vaccination constitue déjà une « rupture du secret médical, dont une extension des dérogations doit passer par la loi ».

    En France, la direction générale de la santé a fait appel à de nouveaux partenaires pour certifier au mieux le résultat de test ou la preuve d’un vaccin reçu. L’Imprimerie nationale a été associée aux travaux pour son expertise du standard 2D-Doc, produit par le ministère de l’intérieur et utilisé sur le datamatrix. Le code-barres figure sur le passe sanitaire, mais sera aussi présent, dès l’automne, sur la nouvelle carte nationale d’identité française.

    #TousAntiCovid #QRcode #contactTracing #consentement #données #COVID-19 #santé #CNIL

    ##santé

  • Les « traceurs de contact » enregistrent les conversations téléphoniques à l’insu des citoyens contactés
    https://www.lalibre.be/economie/entreprises-startup/les-traceurs-de-contact-enregistrent-les-conversations-telephoniques-a-l-ins

    Les « traceurs de contacts » enregistrent les conversations téléphoniques à l’insu des citoyens contactés, dénonce lundi une association belge militant pour la protection de la vie privée, the Ministry of Privacy. Il y a quelques semaines, un lanceur d’alerte travaillant pour un centre d’appels a contacté The Ministry of Privacy, explique son fondateur, Matthias Dobbelaere-Welvaert, juriste de formation et expert en matière de vie privée. Le lanceur d’alerte a signalé que les appels téléphoniques (...)

    #contactTracing #consentement #COVID-19 #écoutes #santé #MinistryofPrivacy

    ##santé

  • Passeport sanitaire, à la mode chinoise | Making-of
    https://making-of.afp.com/passeport-sanitaire-la-mode-chinoise

    Pékin - C’est le rituel dont en Chine il est désormais difficile de s’affranchir : scanner un code-barres avec son téléphone et montrer patte blanche, avec une appli qui délivre un laissez-passer “vert”, synonyme de bonne santé. A l’entrée d’un immeuble, d’un commerce ou d’un parc ; pour prendre l’avion, le train ou un taxi ; ou tout simplement pour rentrer chez soi, mieux vaut ne pas avoir sa batterie déchargée. Les applis de traçage n’ont jamais été aussi envahissantes, dans une Chine pourtant largement (...)

    #algorithme #QRcode #smartphone #contactTracing #géolocalisation #consentement #COVID-19 (...)

    ##santé

  • Making sense of algorithms : Relational perception of contact tracing and risk assessment during COVID-19
    https://journals.sagepub.com/doi/full/10.1177/2053951721995218

    Governments and citizens of nearly every nation have been compelled to respond to COVID-19. Many measures have been adopted, including contact tracing and risk assessment algorithms, whereby citizen whereabouts are monitored to trace contact with other infectious individuals in order to generate a risk status via algorithmic evaluation. Based on 38 in-depth interviews, we investigate how people make sense of Health Code (jiankangma), the Chinese contact tracing and risk assessment (...)

    #algorithme #contactTracing #consentement #COVID-19 #santé

    ##santé
    /pb-assets/Images/SJ_Twitter_Card-1557144152440.jpg

  • New project launched : Tracing the tracers. Monitoring and analyzing ADM systems used to respond to the COVID-19 pandemic.
    https://algorithmwatch.org/en/project-launch-tracing-the-tracers-adm-covid

    We are very pleased to announce our new project Tracing the tracers. Monitoring and analyzing automated decision-making systems used to respond to the COVID-19 pandemic. With this, we aim at providing a platform through which to continuously update the public on how ADM systems are being used in Europe — and, comparatively, the rest of the world — in response to the SARS-CoV-2 global outbreak. Building on our report ADM systems in the COVID-19 pandemic : a European perspective, published in (...)

    #algorithme #QRcode #biométrie #contactTracing #technologisme #COVID-19 #santé #AlgorithmWatch

    ##santé

  • Autorité de protection des données : « Ne soyons pas naïfs, notre vie privée est sous pression »
    https://plus.lesoir.be/352768/article/2021-02-03/autorite-de-protection-des-donnees-ne-soyons-pas-naifs-notre-vie-privee-

    « Il ne faudrait pas que les mesures mettant en péril notre vie privée subsistent après la crise. » Pour la première fois, les patrons de l’Autorité de protection des données (APD) défendent leur bilan, sur fond d’intenses conflits internes et de critiques.

    Traçage, collecte massive de données, contrôle de quarantaine, « Passenger location form »… La crise covid a mis la vie privée à rude épreuve. Elle a aussi mis un coup de projecteur sur la jeune Autorité de protection des données (APD) mise en place en 2019 dans la foulée du Règlement général sur la protection des données (RGPD). Au four et au moulin, notamment dans un gros dossier l’opposant à Google, l’ex-Commission de la vie privée a aussi été ébranlée par de solides conflits internes comme le révélaient Le Soir et Knack le 15 octobre. Une lettre au vitriol, adressée au Parlement par deux directrices de l’APD (en écho à d’autres signaux d’alarme activés par la Ligue des droits humains et plusieurs juristes) dénonçait une « institution inopérante », « vidée de sa substance », minée par de « graves soucis d’indépendance » et « instrumentalisée » par le politique.

    Pour la première fois, David Stevens, son président, et Hielke Hijmans, directeur de la Chambre contentieuse, répondent aux accusations pour Le Soir et Knack. Et défendent fermement le bilan de cette jeune institution. « Jamais la vie privée des 11 millions de Belges n’a été aussi bien protégée », assènent-ils.

    Dites-nous, l’APD fonctionne-t-elle comme elle devrait ?

    Hielke Hijmans : Le bilan est positif. On est passé d’une autorité qui rendait surtout des avis à une véritable autorité de contrôle, qui peut donc sanctionner. Est-ce que ça va assez vite ? Non, je ne crois pas. On met en place une jurisprudence qui donne une base juridique cohérente au citoyen. Je regrette juste que, en raison des volumes énormes de dossiers, nous ne soyons pas capables de traiter les affaires dans un délai acceptable. C’est dû aux procédures légales et au budget. On doit trouver des solutions.

    Le 28 janvier, on célébrait la Journée internationale de la protection des données ? Un jour noir ?

    David Stevens : Oui, parce que le coronavirus et toujours là et que des gens meurent. Mais pas pour la protection de la vie privée. Est-ce que cela veut dire que tous les problèmes sont résolus ? Non, pas du tout. On aurait pu faire plus et mieux. Mais nous protégeons la vie privée des gens de manière plus efficace qu’avant.

    Vos sanctions sont très souvent contestées en appel (devant la Cour des marchés). C’est le cas pour les amendes de 20.000 euros à Proximus et de 600.000 à Google infligées pour non-respect du RGPD… Quel est le souci ?

    H.H. : C’est surtout pour des questions de procédure qu’elles sont annulées. Les conditions que la Cour des marchés nous impose sont assez élevées. Cela nous demande d’être vigilant. Ces entreprises ont des moyens illimités pour contester nos décisions.

    Vous dites que les procédures sont trop lourdes. Le RGPD est inapplicable ?

    H.H. : En 2020, on a eu plus ou moins 600 plaintes ici en Belgique. On doit les traiter une par une, d’une manière « diligente », comme dit la loi. L’APD a des compétences énormes. On peut imposer des sanctions de plusieurs millions. Cela justifie des procédures très formelles. Mais je crois, oui, que de temps en temps, les procédures sont trop lourdes, même pour les petits cas. On travaille sur leur allégement en Belgique.

    Selon vous, ce n’était pas un jour noir pour la protection des données. Vous niez que notre vie privée est plus que jamais sous pression ?

    DS : Ne soyons pas naïfs, je ne dis pas que notre vie privée n’est pas sous pression. Je vous donne un exemple. Au début de la crise sanitaire, Philippe De Backer et Maggie De Block (NDLR, ex-ministres de l’Agenda digital et de la Santé, Open VLD) se sont demandés si on pouvait utiliser les données télécoms pour en faire un indicateur de mobilité. A l’époque, cela paraissait comme un problème compliqué. Rétrospectivement, la question est en réalité facile (car les données sont totalement anonymes). Mais quand je lis dans la presse ce que certains veulent faire, comme envoyer les données des personnes en quarantaine aux bourgmestres (le nom, l’adresse et la période de quarantaine)…

    C’est cela, votre ligne rouge ?

    DS : La crise corona évolue de jour en jour. Nous sommes peut-être au début d’une troisième vague. Donc, même si je dis que la ligne rouge est ici, il se pourrait que d’ici deux ou trois jours nous soyons confrontés à des décisions que l’on n’imaginait pas il y a peu de temps. Entre vie privée et santé publique, ce n’est jamais noir ou blanc. Il faut trouver un équilibre. Et c’est souvent du gris. C’est dommage, peut-être, mais c’est la vie.

    Si on ne regardait cette crise que sous l’aspect vie privée, c’est simple : rien ne se serait autorisé. Pas d’application corona, pas de transmission de données aux bourgmestres, pas de registre d’infections, pas de registre à Sciensano… Mais nous devons également prendre en compte d’autres intérêts, à savoir la protection de la vie privée dans son contexte. Parce que ces traitements de données servent également un but. Et nous devons également tenir compte de cet objectif.

    Vous savez, le respect de la quarantaine pourrait être vérifié sur la base des données de télécommunications. C’est techniquement possible. Il suffirait de demander les données aux opérateurs télécoms. Mais j’espère que ce jour ne viendra pas. Le cauchemar, pour moi, serait encore pire. A long terme, on ne serait pas loin de la situation en Chine, où vous êtes surveillé pour votre contrat social. Et perdez votre emploi si vous passez le feu rouge.

    HH : Je suis d’accord avec ça. Il y a autre chose qui est essentiel, et je l’ai vu au cours de toutes ces années : quand ce genre de mesures est imposé, elles restent simplement en place.

    Vous comprenez donc que les gens s’inquiètent de l’impact de certaines mesures corona sur leur vie privée (tracing, données de vaccination, déplacements à l’étranger…) ? Mais êtes-vous entendus ? Ou même, consultés ?

    DS : Attendez… Pour la troisième vague, le variant britannique… Je ne défends pas du tout le gouvernement ou qui que ce soit. Ce à quoi nous sommes attentifs, c’est le bon équilibre. Je n’accepte pas l’insinuation selon laquelle on mettrait de côté l’APD. Ou qu’on laisserait tranquillement travailler le gouvernement. Oui, évidemment, on trouve que c’est problématique qu’après un an, il n’y ait pas encore une loi Pandémie. Nous sommes en train de rechercher si oui ou non on doit, on veut, réagir devant les instances judiciaires.

    Dans quels cas, par exemple ?

    DS : Plusieurs dossiers sont sous nos radars. Comme la possibilité (NDLR, en Flandre) de transmettre les données de quarantaine aux bourgmestres, ou l’arrêté ministériel du 12 janvier qui donne à l’ONSS des pouvoirs étendus pour partager des données personnelles avec à peu près n’importe qui. Après un avis externe d’un cabinet d’avocats spécialisé, notre comité de direction a décidé d’envoyer un avertissement clair dans une lettre à toutes les autorités de notre pays. Si certaines mesures ne sont pas corrigées, nous pouvons toujours décider de saisir les tribunaux. Si la mesure est déclarée nulle et non avenue, le transfert ne peut plus avoir lieu.

    Nous sommes également préoccupés par la situation à Bruxelles. Le bourgmestre d’Etterbeek (NDLR, Vincent De Wolf, MR) a mis en demeure l’administration bruxelloise dans le but d’obtenir les données des citoyens contraints à la quarantaine. Mais il n’existe aucune base légale pour cela. Nous avons donc ouvert un fichier de surveillance et demandé des informations complémentaires.

    La demande de Vincent De Wolf se calque sur ce qui se fait déjà en Flandre…

    DS : Oui, en Flandre, il est possible de transmettre les données de quarantaine aux bourgmestres. Nous enquêtons également actuellement sur cette affaire. Mais la Flandre a adopté un décret à ce sujet en décembre, qui renforce l’application des mesures de quarantaine. Nous pouvons également faire appel au Conseil d’Etat contre cela. A Bruxelles, il n’y a aucune base réglementaire qui permet à un bourgmestre de mettre en demeure une administration régionale pour lui fournir ces informations.

    Vous pourriez… N’avez-vous pas été consultés ?

    DS : Non, dans aucun des trois cas (NDLR, arrêté ministériel, données de quarantaine en Flandre et à Etterbeek). Alors que c’était en fait obligatoire. Et dans d’autres cas, le gouvernement a ignoré nos conseils. Par exemple, nous avons estimé qu’une base de données centrale à Sciensano contenant toutes les données corona, ce n’est pas une bonne idée.Retour ligne automatique
    Analyse : crise d’Autorité

    Ph.L.

    Nul doute que cet entretien en laissera plus d’un sur sa faim : juristes, défenseurs des droits humains, certains au sein même de l’APD, bref, tous ceux qui, depuis des mois, tirent la sonnette d’alarme sur les faiblesses de cette institution majeure de notre démocratie. Difficile de leur donner tort. David Stevens et Hielke Hijmans défendent avec force un bilan marqué sous le signe de la « proactivité », plaident les « lourdeurs du RGPD » ou la complexité du contexte sanitaire. Ce n’est pas faux. Mais ils ne rassurent pas. En particulier sur la capacité de la gardienne de la vie privée à assumer ses missions. Avec abnégation. Ils bottent en touche. Les soucis d’indépendance ? « C’est le Parlement qui nomme les membres. » Le « bypass » de l’autorité flamande ? Du pipeau. Les problèmes internes ? Des conflits interpersonnels… Concernant sa participation à la « Task Force Corona », David Stevens relève lui-même ce qu’on lui reproche : donner son avis sur un texte qu’il a lui-même contribué à rédiger. Peu rassurant, aussi, cette idée que la vie privée serait en balance avec la santé publique. Ni la loi, ni le RGPD ne prévoient de « zone grise ». En matière de protection des données, tout est possible à partir du moment où c’est justifié, expliqué et contrôlable. C’est précisément ce qu’il leur était demandé dans cet entretien.

    #Coronalert #contactTracing #géolocalisation #manipulation #données #COVID-19 #santé #[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données_(RGPD)[en]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR)[nl]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR) (...)

    ##santé ##[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données__RGPD_[en]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_[nl]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_ ##APD-Belgique

  • TousAntiCovid : vers des QR codes dans certains lieux publics à risque
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2021/01/19/tousanticovid-vers-des-qr-codes-dans-certains-lieux-publics-a-risque_6066804

    Le gouvernement entend accompagner la réouverture des bars et restaurants de cette fonctionnalité dans l’application de suivi des contacts, avec pour objectif d’identifier les clusters pouvant s’y former. L’application TousAntiCovid va proposer à ses utilisateurs d’enregistrer leur présence dans certains lieux publics considérés à risque par les autorités en prenant en photo des QR codes – ces codes-barres carrés qui, lorsqu’ils sont filmés par un téléphone, permettent généralement l’ouverture d’une page (...)

    #algorithme #Bluetooth #smartphone #contactTracing #géolocalisation #données #COVID-19 #santé #surveillance #CNIL #QRcode (...)

    ##santé ##TousAntiCovid

  • Singapore Police Force can obtain TraceTogether data for criminal investigations : Desmond Tan
    https://www.channelnewsasia.com/news/singapore/singapore-police-force-can-obtain-tracetogether-data-covid-19-13889

    SINGAPORE : The Singapore Police Force (SPF) can obtain TraceTogether data for criminal investigations, said Minister of State for Home Affairs Desmond Tan in Parliament on Monday (Jan 4). The SPF is empowered under the Criminal Procedure Code (CPC) to obtain any data, and that includes the TraceTogether data, said Mr Tan. “The Government is the custodian of the TT (TraceTogether) data submitted by the individuals and stringent measures are put in place to safeguard this personal data,” (...)

    #algorithme #TraceTogether #contactTracing #criminalité #police #COVID-19 #santé #données

    ##criminalité ##santé

  • Singapore police can access COVID-19 contact tracing data for criminal investigations
    https://www.zdnet.com/article/singapore-police-can-access-covid-19-contact-tracing-data-for-criminal-invest

    Under the country’s Criminal Procedure Code, the Singapore Police Force can obtain any data — including information gathered by the contact tracing TraceTogether app and wearable token — to facilitate criminal probes, confirms cabinet minister. Singapore has confirmed its law enforcers will be able to access the country’s COVID-19 contact tracing data to aid in their criminal investigations. To date, more than 4.2 million residents or 78% of the local population have adopted the TraceTogether (...)

    #algorithme #TraceTogether #contactTracing #criminalité #police #données #COVID-19 (...)

    ##criminalité ##santé