continent:amérique du nord

  • Le glaive américain - RipouxBlique des #CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/preview

    Quel débat !
    Des dommages sans intérêt.
    Des emballages, des déballages
    avec un mauvais goal-average :
    qui indique bien que
    nos deux candidats ont le même âge mental.
    Je ne croyais pas
    qu’on pouvait descendre si bas,
    en aspirant
    au plus haut niveau de l’État...
    On dirait que les deux bénéficient
    de la même disgrâce.
    Le niveau fut lamentable
    derrière un écran de lamentations
    Aucune argumentation
    mais un chassé-croisé entre
    moralisme et puritanisme.
    Ni politique, ni éthique
    Mais une morale sans texte
    et contre le sexe.
    Ça ne se situe même pas
    en-dessous de la ceinture,
    Parce que les deux pantins
    ont oublié leur ceinture au vestiaire !
    À bas Monsieur
    À bas Madame
    Les deux ne s’estiment pas
    Les deux se surestiment...
    Leur médiocrité seule
    est inestimable...
    Elle augmente même
    d’une manière déraisonnable
    Entre la laide et la bête
    La scie et le marteau
    La vendue et le vendeur de tapis !
    L’Amérique du Nord hésite
    entre le glaive et la balance.
    Et elle a tous les mérites
    de ne pas jeter les deux à l’eau !
    Il est privé de cervelle
    Elle a celui de son public !
    Qu’avons-nous retenu de leurs mimiques ?
    Des mails effacés, des impôts impayés,
    des programmes reprogrammés,
    des chiffres tronqués
    et une double mauvaise vision du monde.
    Le rêve américain ne fait plus rêver personne
    Plus de vraies mais que de fausses valeurs.
    Le dernier mot est un joyau :
    Monsieur respecte Madame
    parce qu’elle ne baisse pas son pantalon.
    Mais c’est toute la nation
    qui s’apprête à baisser le sien.

  • J-217 : Est-ce que je ne devrais pas tenter de faire l’inventaire, honnête, des quelques bribes d’informations que je ne suis pas parvenu à contenir et qui sont, malgré tout, arrivées jusqu’à moi, comme, ce matin, d’apprendre la mort de Shimon Peres ?

    Tentative de liste :
    Shimon Peres est mort.
    Patrick Buisson, ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, fait des siennes, mais dès que j’ai vu le mot Sarkozy s’imprimer sur l’écran, j’ai détourné le regard immédiatement, je n’ai donc rien vu, et rien entendu. Mais j’en ai de nouveau entendu parler dans les couloirs de mon travail, Patrick Buisson aurait écrit un livre ― « Patrick Buisson », « écrire », « livre », cherchez, et chassez, l’intrus.
    Il y a eu un premier débat entre Hilary Clinton et Donald Trump, dont les médias semblent vouloir insister que Hilary Clinton en est sortie victorieuse. Peut-on sortir victorieux d’un débat, et est-ce alors un débat ? Je ne pense pas que je pourrais sortir, moi, victorieux de mon combat à propos de cette élection améri-caine, à savoir en ignorer le résultat, pour deux raisons, trop de correspondants américains, et tous ligués contre Donald Trump, anciens amis de l’ Art Institute , au-cun qui comprendrait mon raisonnement à propos de telles élections, à savoir que les finalistes se valent, de toute manière, que les solutions ne se trouveront jamais dans les urnes, eux me demanderont si je m’en fous tant que cela que mon ancienne [camarade] de classe soit élue l’année prochaine, ils ne comprendraient pas que je ne fasse plus la différence entre elle et un autre, que je ne fais plus de distinguo entre droite et extrême droite, et puis, seconde raison, il faudrait aussi que je boude de regarder les émissions Last Week Tonight de John Oliver, surtout celles dans lesquelles il fait l’exégèse des déclarations et des faits de campagne de Donald Trump. Ce serait comme d’exiger de moi que je fasse régime.
    Serge Squarcini est mis en examen pour trafic d’influence. Ça c’est drôle. Vraiment. Toutes les nouvelles du monde ne sont pas tristes.
    François Hollande a fait une visite à Calais, apparemment pas très convaincante. Mais, comme, quoi qu’il fasse, les médias s’accordent sur le fait que ses interventions ne sont pas convaincantes, on peut même penser qu’il a été brillant à Calais. Mais j’en doute, quand même un peu.
    Claude Guéant, plus proche ancien collaborateur de Nicolas Sarkozy, a été mis en examen pour suspicion de financement de la campagne électorale de 2007 d’icelui, avec des fonds libyens, d’avant-guerre je présume. C’est quand même une destinée fréquente chez les anciens ministres de l’intérieur de droite de se retrouver quelques années plus tard chez le Juge. Guéant fils naturel de Pasqua ?
    36 avions Rafales de marque Dassault ont été vendus à l’Inde.
    Suite à l’assassinat d’un jeune Noir par des policiers, de graves émeutes ont lieu à Charlotte dans la Caroline du Nord aux Etats-Unis d’Amérique
    La Pologne va interdire les Interruptions Volontaires de Grossesse.
    Il y a eu une manifestation d’opposition à la loi Travaille ! le 17 septembre, elle n’a pas rencontré un très grand succès, mais, comme, quoi qu’il se passe dans la rue ― il s’passe quoi dans la rue ? , Paris, 1986, génération Oussekine ― les médias dominants s’accordent à penser qu’il ne se passe pas grand-chose, il est en fait possible que ce jour-là soit l’équivalent historique de la prise de la Bastille en 1789, mais j’en doute. Il y a eu des affrontements entre manifestants et forces du désordre sur la place de la République et à Paris, de même, naturellement, à Rennes et Nantes.

    Ça va, je m’en sors plutôt bien, il n’y a pas grand-chose qui filtre, ou qui soit poreux, en continuant de bien faire attention, je devrais pouvoir réussir. Mon premier test d’étanchéité est concluant. Si seulement le toit de ma maison pouvait sortir victorieux d’un tel test, la course d’escargot entre mon couvreur et la dégradation du beau temps en ce début d’automne me rend nerveux, on s’excuse pour cette parenthèse autocentrée.

    Je peux me tromper, bien évidemment, mais je serais étonné si on me di-sait qu’il s’était passé d’autres événements que ceux-là, d’autres qui mériteraient que j’en prenne connaissance, que je me renseigne à leur propos que je m’en fasse une opinion.

    Et est-ce que je ne devrais pas, pour mon plus simple amusement, mon divertissement à la fois en tant qu’émetteur et que récepteur, m’inventer une actualité purement fictive ? L’assassinat de Benjamin Netanyahou par un extrémiste du parti travailliste, pourtant moribond, lors du funérailles de Shimon Peres, l’infarctus simultané de Donald Trump et le trépas d’une crise d’étouffement de Hilary Clinton, lors du second débat télévisé, et ses conséquences invraisemblables, l’élection par défaut du candidat libertarien, Gary Johnson, un nouveau krach boursier, mais celui-là venant de la bourse de Pékin, principal créancier de l’économie américaine, ce qui est peu su, et donc, effet de domino oblige, l’effondrement des cours boursiers d’abord à Wall Street, puis dans le reste du monde, récession sans précédent, une nouvelle arme sol-air portative qui tombe aux mains de l’État Islamique, les avions de la coalition qui tombent comme des mouches dans les cieux syrien et irakien, Etats-Unis et Russie s’accusant mutuellement, escalade et provocations de part et d’autre, puis retrait gradué de ces positions hautes, nouveaux attentats en France, les terroristes fusillent des voitures et leurs passagers depuis des ponts enjambant les autoroutes, carambolages sans fin, massacres parmi les véhicules au fur et à mesure qu’ils arrivent à hauteur du carambolage, embrasement au napalm, empoisonnement massif de l’eau courante dans les stations d’épuration en périphérie des grandes villes, nombreuses explosions de véhicules piégés dans les parkings des sièges sociaux de toutes les entreprises du CAC40 ― la plupart de ces parkings ouvrant leur barrière et leurs portes par reconnaissance optique des plaques minéralo-giques, je ne vous ai rien dit ―, déclarations martiales du Premier Ministre et dé-pression nerveuse du Président, élections anticipées, décret de couvre-feu et autres mesures sécuritaires inutiles, affrontements extrêmement violents dans la ZAD de Notre Dame des Landes, des centaines de morts parmi les manifestants, condamnations unanimes à l’ONU, le Premier Ministre, droit dans ses bottes, martial, forcément martial, décès de Johnny Halliday d’une cirrhose du foie, obsèques nationales à Notre Dame de Paris, décès de Pierre Michon dans l’indifférence totale, on apprend sa disparition six mois après son décès, un mot de sport maintenant, résurrection du XV de France, qui inflige une très sévère défaite aux All blacks et, la semaine suivante, aux Wallabies , sous la réforme de Guy Novès, qui refuse la légion d’honneur pour des raisons de désaccord fondamental d’avec le premier sinistre, découverte d’un réseau général, s’étendant jusqu’aux amateurs, de dopage chez les manchots, le prix Pulitzer de la presse revient à la feuille de chou l’Équipe pour son patient travail d’investigation depuis plus de vingt ans dans le milieu mafieux des pousseurs de citrouille, Philippe De Jonckheere, remporte le prix Décembre , pour Une fuite en Égypte, qu’il refuse, en faisant un discours plagiaire de celui de Julien Gracq refusant le prix Goncourt, fortes ventes du livre malgré tout, Éric Chevillard entre à l’Académie Française, tous aux abris, immense rétrospective de Martin Bruneau à Beaubourg, la queue des visiteurs qui se forme dès le matin va jusqu’à la Fontaine aux Innocents, le film la Petite Fille qui sautait sur les genoux de Céline remporte la palme d’or à Cannes, premier film documentaire à remporter cette distinction, son réalisateur refuse d’aller chercher la palme, il a mauvais caractère et refuse de porter un costume, Tracé provisoire de @dominique Pifarély sacré meilleur disque de jazz de l’année 2016 par l’ensemble de la profession, résurrection de Pierre Boulez auquel on confie la direction de la Philharmonie , il ouvre une saison de musique con-temporaine, gratuité des places pour les moins de 77 ans, immense succès, salle comble quatre fois par jour, musiciens épuisés, épuisement subit et total des réserves pétrolifères dans le monde, découverte d’un processus de création d’énergie à partir des tempêtes de sable dans le désert et des orages dans le Pacifique Sud, les Aborigènes retrouvent un vieux sortilège et prennent le pouvoir en Australie, sans verser une goutte de sang, les côtes du pays sont désertées, à part quelques réserves de colons comme on appelle désormais les Blancs, les Anglo-Saxons, tout le centre du pays au contraire devient florissant ― grâce notamment au perfectionnement de la création d’énergie électrique avec les tempêtes du désert, et d’autres phénomènes propres au désert australien ―, immense famine en Amérique du Nord, le Mexique exige des Etats-Unis qu’ils prennent la charge financière la construction d’un mur entre leurs deux pays, le Canada envahit l’Alaska ― je trouve que cela sonne bien, même si cela ne sert à rien ― les services secrets indiens mettent à exécution un plan de longue date et prennent le contrôle de toutes les informatiques centrales des entreprises privées qui leur ont confié le plus petit développement, pendant les vingt dernières années, une jeune étudiante ivoirienne met au point un procédé de cerf-volant qui permet aux cargos, minéraliers et pétroliers, de naviguer quasiment sans apport énergétique en dehors des ports ― le port de Grand Bassam en Côte d’Ivoire, devient le centre mondial de maintenance des cerfs-volants géants, découverte, par une nutritionniste équatorienne, d’un remède exemplaire contre l’obésité à base de maïs et de haricots rouges, un jeune autiste francilien, défie le dernier supercalculateur d’IBM, Watson , aux échecs et remporte les cinq premières parties avec les Blancs en jouant 1.f4 et met en lumière les limites du calculateur en question, la Bird , comme on appelle 1.f4 dans le milieu échiquéen, étant très peu documentée, n’ayant pas accès à de très nombreuses données, l’ordinateur ne parvient pas à transposer et patine, avec les Noirs, pour les mêmes raisons, le jeune autiste obtient systématiquement la nulle en remettant la défense Alekhine au goût du jour, 1.e4 – Cf6, pour les mêmes raisons d’une faible documentation de cette ouverture antédiluvienne, Watson sans les données montre clairement ses limites, nouvel effondrement des cours boursiers à Wall street, un autiste pakistanais, étudiant en informatique, s’engouffrant dans la brèche créée par son homologue francilien, s’introduit dans les systèmes centraux de la Bourse de New York et détruit toutes les données des cours des dix dernières années, faillite de tous les établissements bancaires basant leur spéculation sur le paramétrage de leurs supercalculateurs d’anticipation, nouveaux soulèvements d’abord à Rennes, puis à Nantes et dans tout l’Ouest de la France, la Bretagne tout entière devient une ZAD et c’est tout l’Ouest qui passe à l’autonomie, tentative de putsch militaire à Paris écrasée, mais le gouvernement est contraint à la démission, malgré le premier sinistre martial, suicide du président dépressif, Donald Trump est élu, le reste du monde s’en cogne, il conduit le pays à la faillite et à la famine dans les états du Sud, de la Californie au Texas, un nouveau premier ministre travailliste est élu en Israël et entame immédiatement des pourparlers de paix avec son homologue palestinien. Mort de Sonny Rollins (pourvu que cela n’arrive pas, je ne me le pardonnerai jamais, sans parler de Pierre Michon plus haut).

    De toute manière, nulle crainte, je suis nul en anticipation, il n’y a qu’à lire mon récit Et dire que l’an 2000 c’est déjà du passé (http://www.desordre.net/textes/nouvelles/quoi_maintenant/(http://www.desordre.net/textes/nouvelles/quoi_maintenant/), pour s’en rendre compte.

    Exercice #5 de Henry Carroll : prendre une photo laide de quelque chose de beau : j’imagine que c’est le principe même de ma série des Croûtes dorées . Et l’utilisation de cette série d’images sous la forme d’une exploration à la lampe de poche, dans Apnées .

    #qui_ca

  • Les mutilations génitales féminines. État des lieux et des connaissances - Cairn.info

    http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=POPU_1602_0224&WT.mc_id=POPU_1602

    Alors que l’assemblée plénière des Nations unies s’est prononcée solennellement pour l’éradication des mutilations génitales féminines en décembre 2012, la lutte contre cette forme de discrimination sexuelle est encore loin d’être généralisée et le nombre de filles et de femmes concernées ne cesse d’augmenter. En 2016, l’Unicef estimait qu’au moins 200 millions de femmes et de filles étaient mutilées dans le monde (Unicef, 2016). Elles résident principalement sur le continent africain – 27 pays formant une large bande centrale de l’ouest à l’est du continent et incluant l’Égypte (tableau annexe A.1) –, dans quelques régions du Proche-Orient et de l’Asie du Sud-Est (Irak, Yémen, Indonésie et Malaisie), mais aussi dans les pays du Nord d’immigration africaine, notamment en Europe, en Amérique du Nord et en Australie (Unicef, 2013).

    #excision #droits_humains #droit_des_femmes

  • Déclaration d’amour à une page Wikipédia

    http://www.franceculture.fr/emissions/la-vie-numerique/declaration-damour-une-page-wikipedia

    Je voudrais ce matin dire mon amour à une page Wikipédia. Elle s’intitule - je traduis - “liste des langues par ordre de disparition”. En gros, il s’agit d’une page qui liste les langues ayant disparu, la plus récemment récemment disparue se trouvant en tête de liste. Si vous y allez aujourd’hui, vous verrez que la dernière langue qui a disparu est le Wishita, c’était le 30 août dernier, quand est morte une dame du nom de Doris MacLemore.

    #langues #language #langues_disparues #langues_éteintes

  • Le premier armateur sud-coréen placé en liquidation judiciaire
    http://www.latribune.fr/entreprises-finance/services/transport-logistique/le-premier-armateur-sud-coreen-place-en-liquidation-judiciaire-595383.html

    Hanjin Shipping, le premier armateur sud-coréen, a annoncé mercredi son intention de se placer en liquidation judiciaire après avoir été lâché la veille par ses banques.

    Le numéro sept mondial du transport de conteneurs, plombé par une dette de 5.600 milliards de wons (4,5 milliards d’euros), a perdu mardi le soutien de ses banques créancières qui ont jugé insuffisantes les mesures proposées par sa maison mère pour redresser sa situation.

    De peur de ne pouvoir toucher leurs commissions, plusieurs ports en Chine, en Europe et en Amérique du Nord ont refusé l’accès à des navires de la compagnie, qui a par ailleurs appris qu’un de ses cargos, le Hanjin Rome, avait été saisi mardi à Singapour à la demande d’un créancier.

    L’autorité sud-coréenne des marchés financiers a indiqué que Hyundai Merchant Marine, le deuxième armateur sud-coréen, était intéressé par la reprise d’actifs sains et d’une partie du personnel de Hanjin.

  • L’école des soignants : Pourquoi débattre ?
    http://ecoledessoignants.blogspot.fr/2016/08/pourquoi-debattre.html

    Pour faire débattre les étudiants sur la question brûlante de l’aide à mourir, j’ai demandé lesquels parmi eux étaient favorables à l’AMM, et lesquels y étaient opposés. Dans chaque groupe, j’ai sollicité trois volontaires. Enfin, j’ai confié à chaque trio la tâche de préparer une argumentation contraire à leurs convictions : les étudiants favorables devaient présenter les arguments contre ; les étudiants opposés devaient présenter les arguments pour.

    Ca les a fait sourire, mais ça ne les a pas désarçonnés ni surpris. Débattre est une activité scolaire très répandue en Amérique du Nord. Quand j’étais lycéen à Bloomington, Minnesota, en 1972-73, plusieurs de mes camarades faisaient partie du Debate Team qui allait se mesurer contre les équipes d’autres établissements au cours de compétitions interscolaires, au niveau du comté, de l’Etat, voire au-delà. (Ces débats argumentatifs se déroulent en suivant des règles précises (un exemple ici pour les écoles secondaires dans le Vermont), comme pour un match sportif ou une compétition d’échecs ; tous les coups ne sont pas permis, et chaque équipe (ou membre) dispose d’un certain temps pour argumenter, contre-argumenter et poser des questions à l’équipe adverse. Et des juges spécialement formés notent chaque équipe selon des barêmes prédéfinis.)

    De sorte que lorsque j’ai confié aux étudiants de mon groupe la tâche de débattre de ce sujet difficile, je savais que tout le monde bénéficierait de l’exercice. Chaque groupe a présenté des arguments à la fois sensibles et rationnels ; le reste de la classe a ajouté son grain de sel, chacun à son tour, en nuançant certains points, certaines situations, certaines réflexions.

    Ce qui était assez impressionnant dans ce débat c’est que, malgré des croyances personnelles très différentes (il y avait là des athées, des catholiques, des juifs, des musulmans), personne n’essayait de dénigrer les opinions des autres. Chacun se positionnait en tant que personne, disant ce à quoi il croyait et ajoutant qu’il se garderait bien d’imposer son opinion à un patient, dans un sens ou dans l’autre. Et tous disaient qu’il leur paraissait normal de respecter la loi, puisque celle-ci est censée servir équitablement tous les citoyens.

    A la fin du débat, j’ai demandé aux étudiants ce que ça leur avait apporté. La plupart m’ont répondu que ça n’avait pas changé leur convictions, mais (en particulier ceux qui avaient présenté les arguments) que ça les avait aidés à comprendre la position des autres.

  • 1816, l’année sans été | Fins du monde
    http://hyperbate.fr/finsdumonde/2012/11/26/lannee-sans-ete

    Les dégâts indirects de l’éruption (et de plusieurs autres à peu près contemporaines : la Soufrière de Saint-Vincent des Grenadines en 1812, notamment), ont été très spectaculaires aussi. Les cendres ont encombré la stratosphère et ont eu un effet sur le climat de la Terre entière. La Chine, l’Inde, l’Europe et l’Amérique du Nord ont été particulièrement affectées, jusqu’en 1817 au moins. L’année 1816 est retenue aujourd’hui sous le nom “d’année sans été” : on a vu des gelées, des rivières glacées et de la neige au début de l’été à New York, en Pennsylvanie ou au Québec. Aux États-Unis, les cultures ont été très médiocres, le prix du blé et du maïs a augmenté de manière importante, mais en Irlande ou au Pays de Galles, certaines récoltes n’ont pas pu avoir lieu du tout. Ce qui fut la pire famine généralisée du XIXe siècle a forcé de nombreuses familles de prendre la route et les villes de l’Europe entière ont connu des émeutes et des pillages. Les bêtes, notamment les chevaux, si importants dans l’économie de l’époque, ne pouvaient plus être nourries. Dans de nombreuses régions, la population a fortement décru.

  • Entouré de lichens | Le blogue du Musée canadien de la nature
    https://museecanadiendelanature.wordpress.com/2012/03/28/entoure-de-lichens

    Les Sharnoff ont sillonné l’Amérique du Nord en fourgonnette de camping pour constituer un corpus de photos pour le livre. Fort de sa vaste expérience, Ernie Brodo s’est chargé de la rédaction du texte, notamment des chapitres d’introduction, des descriptions et des clés d’identification de plus d’un millier d’espèces.
    La couverture du livre Lichens of North America.

    En 2001, après presque dix années d’efforts, le trio a publié Lichens of North America (en anglais seulement). Cet impressionnant ouvrage de 800 pages ouvre les naturalistes professionnels ou amateurs à l’univers fabuleux des lichens.


    #Lichens

  • Mon voisin, mon tremplin
    Le financement de proximité fait lever des projets branchés sur les quartiers - Canada Le Devoir

    http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/476382/l-autre-economie-mon-voisin-mon-tremplin

    L’économie collaborative est en plein essor. Plus de 170 organismes au Québec forgent cette nouvelle donne économique, propulsée par Internet et une soif de renouer avec la communauté. Dernier volet d’une série de trois : quand les voisins pigent dans leurs poches pour améliorer leurs quartiers.

    L’explosion des Uber, Airbnb et Kickstarter, plateformes mondiales génératrices de lucratives commissions pour leurs inventeurs, est venue ternir ces dernières années le concept de l’« économie du partage ». Mais le vent tourne. De nouvelles plateformes émergent tant pour lancer que financer des projets, plus que jamais branchés sur des communautés, des quartiers, des voisins.

    Si des petits moutons qui broutent remplacent les bruyantes tondeuses dans le parc du Pélican depuis le début de l’été à Rosemont, c’est notamment grâce aux 5000 $ versés par 98 citoyens ravis par ce projet d’écopâturage urbain. Par le biais de La Ruche, une plateforme de sociofinancement québécoise lancée il y a trois ans pour soutenir des projets laissant une empreinte sociale dans des communautés, le projet « Biquette à Montréal » a amassé 101 % des fonds nécessaires pour permettre aux agnelles « moutondeuses » de batifoler en ville le temps d’un été.

    Idem pour le Grand Costumier, l’ancien antre aux costumes de Radio-Canada que des citoyens tentent de sauvegarder. Grâce à la même plateforme, les promoteurs du projet ont amassé auprès des émules de Dame Plume et de Paillasson 30 000 $ pour adapter les locaux qui abriteront cette collection inestimable — une des plus grandes en Amérique du Nord.

    Financer, c’est voter

    Les poches des citoyens ont aussi contribué au sauvetage in extremis de la clinique SABSA de Québec, seule clinique sans médecin de la région, que le ministère de la Santé souhaitait faire disparaître. Quelque 898 personnes ont allongé un total de 250 000 $ pour maintenir la clinique en vie, après un appel lancé sur La Ruche.

    . . . . . .

  • #Cherry_Smiley : Quand Amnesty International endosse l’industrie du sexe, ce sont les femmes autochtones et de couleur qui paient la note.

    http://tradfem.wordpress.com/2016/07/01/quand-amnesty-international-endosse-lindustrie-du-sexe-ce-sont-le


    (...) Aujourd’hui, grâce au travail soutenu de femmes et d’hommes autochtones, de plus en plus de gens et d’organisations reconnaissent l’importance du territoire pour la survie, pour les cultures et le bien-être des peuples autochtones. Ils et elles ont constaté les nombreuses façons dont le colonialisme perturbe violemment ces liens. Lentement, les non-Autochtones commencent à comprendre le concept de « territoires non cédés » et à reconnaître l’exploitation des terres et des « ressources » qui ont été arrachées au soin que leur portent les populations autochtones.

    Les colonisateurs mâles étaient des voleurs qui ont pris ce qui ne leur appartenait pas, convaincus qu’ils y avaient droit. Mais cette prérogative ne s’est pas limitée à des terres : ces hommes ont décidé qu’ils avaient également droit aux corps des femmes et des filles autochtones. Des études effectuées par Melissa Farley, Jacqueline Lynne, et Ann Cotton ont révélé que les femmes et les filles autochtones au Canada ont d’abord été prostituées dans le contexte des premiers forts et bases militaires, et comme « épouses de terrain » des commerçants de fourrures blancs. Si les femmes et les filles autochtones ont été ciblées pour la prostitution, c’est en partie à cause des mensonges racontés à leur sujet : on en a fait un portrait de « squaws », de « sauvagesses », toujours assoiffées de rapports sexuels avec les Blancs. De fait, avant l’invasion de l’Amérique du Nord, la prostitution n’existait pas parmi les nations autochtones que j’ai côtoyées : cette institution a été imposée aux femmes et aux filles autochtones par les colons. L’appropriation des territoires se poursuit aujourd’hui alors que des non-Autochtones vivent sur des terres autochtones et les exploitent. Et l’appropriation des corps se poursuit par les niveaux critiques de violence masculine imposée aux femmes et aux filles autochtones.

    Dans son article, Emily Bazelon cite Liesl Gerntholtz, directrice générale de la Division des droits des femmes chez Human Rights Watch (HRW), une autre organisation qui revendique la décriminalisation totale du système prostitutionnel :

    « On parle souvent de femmes qui disposent de choix extrêmement limités. Aimerais-je vivre dans un monde où personne n’est forcée à se livrer au travail du sexe ? Absolument. Mais ce n’est pas le cas. Alors je veux vivre dans un monde où les femmes le font en grande partie volontairement, de manière sécuritaire. »

    Gerntholtz et HRW ont apparemment conclu qu’il est impossible d’imaginer un monde sans prostitution et, ce faisant, elles tirent un trait sur les réalités historiques des Autochtones et adressent aux femmes et aux filles autochtones le message que leurs vies ne valent pas la peine d’être défendues.

    Traduction : #Tradfem
    Version orginale : http://www.feministcurrent.com/2016/06/16/emily-bazelon-amnesty-whitewash-prostitution-indigenous-women

    #prostitution #racisme #colonialisme #Cherry_Smiley #Feminist_Current #amnesty_international

  • Ikea : pas de rappel prévu des commodes Malm en France et en Europe

    http://www.lemonde.fr/entreprises/article/2016/06/29/ikea-pas-de-rappel-prevu-des-commodes-malm-en-france-et-en-europe_4960511_16

    Aucun rappel des commodes Malm n’est prévu à ce stade en France et en Europe, comme cela a été fait hier en Amérique du Nord, assure une porte-parole d’Ikea France mercredi 29 juin. La gamme Malm représente plus de la moitié des commodes vendues par Ikea dans le monde ces treize dernières années, soit 78 millions sur 147 millions.

    Mardi, le géant suédois de l’ameublement avait annoncé le rappel de près de 36 millions de commodes Malm aux Etats-Unis et au Canada après la mort accidentelle de plusieurs enfants écrasés quand elles ont basculé sur eux. Les commodes rappelées mesurent environ 60 centimètres de hauteur pour les modèles enfants et 75 centimètres pour les modèles adultes.

    Selon la porte-parole d’Ikea France, « ce modèle de commodes est également vendu en Europe et en France, mais il répond à toutes les normes de sécurité européennes ».

  • Après l’UE, que vive l’UAN
    http://www.dedefensa.org/article/apres-lue-que-vive-luan

    Après l’UE, que vive l’UAN

    Certes, ce n’est pas la première fois qu’un président mexicain propose la chose à ses deux partenaires nord-américains, mais cette fois la proposition dispose d’une actualité considérable pour l’éclairer, et c’est d’ailleurs à cette actualité qu’elle se réfère. Le président mexicain Enrique Pena Nieto annonce effectivement qu’il va proposer dans la réunion continentale d’aujourd’hui à Ottawa, à ses partenaires nord-américains USA et Canada, une union de type UE (UAN pour Union de l’Amérique du Nord) pour les trois pays du continent nord-américain. L’affaire est annoncée par Infowars.com le 28 juin, avec des commentaires particulièrement critiques bien entendu.

    Il n’est pas assuré que cette proposition soit jugée opportune par l’administration Obama dans l’actualité US aujourd’hui, dans la (...)

  • À Lyon, les re-baptiseuses de rues ont encore frappé ! | Rue89Lyon
    http://www.rue89lyon.fr/2016/06/24/lyon-rues-rebaptisees-noms-femmes

    En sortant de chez eux ce matin, les habitants des Pentes de la Croix-Rousse ont dû croire qu’ils étaient mal réveillés : toutes les rues (ou presque) de leur quartier avaient changé de nom durant la nuit ! Les plaques bleues des noms de rues et de places portant des patronymes biens virils (place Morel, rue Flesselles, rue de La Tourette, rue Bodin…) cohabitent désormais avec des affiches roses collées sauvagement et rendant, elles, hommage à des femmes.

    Ce n’est pas la première fois que des féministes lyonnaises mènent ce type d’opération : en 2014 déjà, elles avaient tenté d’instauré un peu plus de parité dans une toponymie encore très masculine : seulement 2% des rues françaises portent un nom de femme…

    Parmi les femmes ainsi mises à l’honneur, il y a les revenantes, comme la célèbre Divine (« née Harris Glenn Milstead, actrice, chanteuse, drag-queen, modèle d’Ursula dans La Petite Sirène (Walt Disney), égérie des films de John Waters, « plus belle femme du monde« , 1945-1988« ) ou Clara Campoamor (« avocate et femme politique républicaine, activiste pour le suffrage des femmes en Espagne, 1888-1972« ), qui avaient déjà été célébrées lors de la précédente opération de collage sauvage, il y a deux ans.

    Il y a aussi les personnages de fiction, comme les héroïnes de bande dessinée Mafalda et Yoko Tsuno (« ingénieure japonaise en électronique, pilote d’hélicoptère, ceinture noire d’aïkido« ) ou encore le personnage de comédie inventé par Aristophane en 411 avant Jésus-Christ, Lysistrata, qui « impulsa la grève du sexe pour faire cesser la guerre » et à qui le metteur en scène Emmanuel Daumas et le dramaturge Serge Valletti redonnent justement vie sur la scène des Nuits de Fourvière à partir de demain et jusqu’à dimanche.

    Mais les initiatrices de ce projet n’ont pas voulu limiter leur hommage aux seules femmes occidentales, comme les suffragettes (« militantes du droit de vote des femmes au Royaume-Uni à partir de 1903, aux modes d’action basés sur la provocation, en rupture avec la bienséance des autres mouvements« ) ou Marie-Louise Giraud (domestique et femme de ménage qui fut guillotinée sous l’Occupation pour avoir pratiqué des avortements).

    Au contraire, elles ont choisi d’opérer un décentrage bienvenu en célébrant également les femmes en lutte sur d’autres continents que l’Europe ou l’Amérique du Nord. Alors que se tenait justement ce lundi 20 juin à l’École normale supérieure (ENS) de Lyon une conférence de Hourya Bentouhami plaidant « pour un féminisme décolonial« , de nombreuses féministes d’Afrique subsaharienne ont soudainement fait leur apparition sur les murs du premier arrondissement.

    Des féministes islamiques, arabes ou africaines

    C’est le cas de la rappeuse nigériane Zara Moussa (« pionnière du hip-hop féminin d’Afrique de l’Ouest, porte-parole des sans-voix et des droits des femmes« ) ou de la princesse légendaire Yennenga (« reine guerrière, grande cavalière en lutte contre le patriarcat, fondatrice du royaume Mossi, née entre le XIeme et le XVeme siècle en Afrique« ). D’autres femmes en lutte font également le lien entre le combat contre le sexisme et celui contre le colonialisme et l’impérialisme : elles sont honorées par la rue de la Marche des femmes de Grand-Bassam (« marche des femmes d’Abidjan pour faire libérer leurs maris indépendantistes en défiant à mains nues l’armée coloniale, 24 décembre 1949« ).

    Ce projet permet également de mieux faire connaître des féministes arabes et/ou islamiques telles que l’écrivaine marocaine Fatima Mernissi (1940-2015) ou l’activiste Haneen Maikey (« directrice du mouvement queer palestinien Al Qaws – lutte pour l’émancipation sexuelle et contre l’occupation israélienne« ).

    Bien d’autres femmes de tous les continents mériteraient d’être ainsi mises à l’honneur ; cette initiative a le mérite de donner un coup de projecteur à quelques-unes d’entre elles, en espérant qu’elle donnera envie de mieux connaître l’histoire et l’actualité des féminismes à travers le monde.


    Par Romain Vallet sur heteroclite.org
    Photos Stéphane Stoclet

    #femmes #féminisme #historicisation

  • Le continent nord-américain commence à craquer dans le Wyoming , à l’est du Yellowstone
    http://www.brujitafr.fr/2016/05/le-continent-nord-americain-commence-a-craquer-dans-le-wyoming-a-l-est-du-

    La croûte terrestre s’est mis en mouvement Pour quelle raison les failles tectoniques et les volcans se réveillent soudainement sur tout le continent américain ? Nous dirigeons nous vers une ép... Source de cette information = 25 mai 2016 http://themillenniumreport.com/2016/05/north-american-continent-begins-cracking-in-wyoming-east-of-yel...

  • Autos connectées : 40% des propriétaires s’en fichent 24 mai 2016 AFP, La Presse

    Vantées par les constructeurs automobiles, les fonctionnalités des voitures connectées restent encore méconnues d’une grande partie de leurs propriétaires, selon une étude européenne publiée mardi.

    « Quatre conducteurs de voitures connectées sur dix ignorent encore tout des fonctionnalités de connectivité de leurs véhicules », a précisé la maison de sondages TNS Sofres qui a réalisé cette enquête dans sept pays européens en collaboration avec l’institut BearingPoint.
    Les pays étudiés sont la France, l’Allemagne, l’Espagne, les Pays-Bas, la Norvège, le Royaume-Uni et la Suède, regroupant 3724 automobilistes ayant acheté ces 18 derniers mois une voiture disposant d’équipements connectés (navigation, multimédia...)

    Même chose en Amérique du Nord
    L’indifférence d’une forte minorité de conducteurs pour les gadgets connectés est partagée par les conducteurs nord-américains. L’an dernier la maison de sondage JD Powers avait révélé que 20 % des propriétaires d’autos récentes n’utilisait « jamais » plus que la moitié des technologies disponibles. En fait, le sondage américain montrait aussi que 32 % des utilisateurs n’utilisaient jamais Pandora, Yelp et des applications internet du genre ; 38 % n’avait aucun intérêt à programmer une connexion Wi-Fi dans l’auto. L’indifférence atteignait même 35 % pour le stationnement assisté et 43 % pour le service personnalisé d’assistance routière (comme OnStar) pourtant disponibles dans leur auto neuve.
    Comment expliquer que quatre conducteurs sur 10 ignorent des fonctions connectées aussi simples que la navigation ? Pour les auteurs de l’étude, cela montre que les constructeurs et surtout les concessionnaires ont de gros efforts à faire au moment de la vente et de la livraison au client.

    La faute aux concessionnaires ?
    En effet, 38 % des répondants ont indiqué qu’il n’y a eu « aucune démonstration des fonctionnalités connectées (...) lors de leurs passages en concession ou de leurs rencontres avec un vendeur ».
    « L’avenir de la voiture connectée n’est pas qu’une question d’innovation technologique entre les mains des ingénieurs. Les équipes marketing et les forces de ventes ont un rôle clé à jouer dès à présent », a observé Karen Tartour, directrice du pôle Automobile TNS Sofres, citée dans un communiqué.

    Elle a aussi remarqué que ce phénomène constituait un « manque à gagner certain pour les constructeurs » et qu’à « à plus long terme, cela représente aussi un risque de laisser d’autres acteurs s’emparer de l’usage des données de leurs clients », allusion aux géants d’internet comme Google et Apple.
    Indépendemment de ces considérations, JD Powers a fait remarquer l’an dernier que tous ces gens aucunement intéressés par les fonctionnalités connectés de leur auto paient pour des appareils qu’ils n’utilisent pas.

    La connectivité compte pour la majorité
    Par contre, cette médaille a un revers. 
    Dans les sept pays européens sondés, « près de six conducteurs sur dix (59%) ont été influencés dans leur parcours d’achat par les équipements ou fonctionnalités connectés. Pour un tiers des acheteurs, il s’agit même d’un critère primordial dans leur décision d’achat », note le rapport.
    Source : http://auto.lapresse.ca/technologies/201605/24/01-4984426-autos-connectees-40-des-proprietaires-sen-fichent.php

  • Bienvenue sur ASRDLF2016 à Gatineau, Québec – 53ème colloque de l’Association de Science Régionale De Langue Française |

    ASRDLF2016 à Gatineau, Québec – 53ème colloque de l’Association

    de Science Régionale De Langue Française
    http://www.asrdlf2016.com

    Avec la montée de la perspective territoriale, les sciences régionales prennent maintenant en considération de nouveaux territoires de développement dont les contours sont plus incertains que jamais. Parmi ces territoires aux contours flous, les régions transfrontalières retiennent de plus en plus l’attention des chercheurs tant en Europe qu’en Amérique du Nord, voire ailleurs dans le monde. L’émergence des régions transfrontalières comme objet de recherche dans les études régionales, et plus largement en sciences sociales, permet non seulement de s’interroger sur les nouveaux découpages territoriaux dans la dynamique de développement, mais également de relever des questions originales pour la recherche. C’est sur ces nouvelles questions que s’intéresse principalement le colloque de 2016 :

    Quels sont les rapports entre les découpages institutionnels et les découpages fonctionnels ?
    Comment émergent de nouvelles identités régionales ?
    Quelles sont les formes contemporaines de territorialisation des politiques publiques ?
    Quelles sont les dynamiques de construction de nouvelles échelles d’action publique ?

    La région d’Ottawa-Gatineau est un laboratoire de premier plan pour poser ces questions et observer les dynamiques de régions transfrontalières dans le contexte du fédéralisme canadien. C’est dans cette région qui est également la capitale fédérale canadienne que seront conviés les congressistes de l’ARSDLF en 2016.

    #frontières #-découpàage_régional #régions #territoire #unité_territoriale

  • La fragilité blanche : pourquoi est-ce si dur de parler aux Blancs de racisme ? | Etat d’Exception
    http://www.etatdexception.net/la-fragilite-blanche-pourquoi-est-ce-si-dur-de-parler-aux-blancs-de-

    Les définitions courantes du dictionnaire réduisent le racisme à des préjugés raciaux individuels et aux actions intentionnelles qui en résultent. Les personnes qui commettent ces actes intentionnels sont réputées mauvaises, et celles qui ne les commettent pas sont bonnes. Si nous sommes contre le racisme tout en ignorant commettre des actes racistes, nous ne pouvons pas être racistes ; le racisme et le fait d’être une bonne personne, s’excluent mutuellement. Mais cette définition contribue peu à expliquer comment les hiérarchies raciales sont systématiquement reproduites.

    Les sciences sociales comprennent le racisme comme un système multidimensionnel et hautement adaptatif – un système qui assure une répartition inégale des ressources entre les groupes raciaux. Parce que les Blanc-he-s ont bâti et dominent toutes les institutions importantes (souvent au détriment et grâce au travail non rémunéré des autres groupes), leurs intérêts sont intégrés dans la fondation de la société états-unienne. Que des personnes blanches puissent être contre le racisme, elles n’en bénéficient pas moins de la répartition des ressources contrôlées par leur groupe.

    Oui, une personne racisée [person of color ] peut s’asseoir à la table du pouvoir, mais l’écrasante majorité des décideurs seront blanc-he-s. Oui, les personnes blanches peuvent rencontrer des problèmes et faire face à des obstacles, mais le racisme systématique ne sera pas l’un d’eux. Cette distinction – entre les préjugés individuels et un système de pouvoir institutionnalisé racialement inégal – est fondamentale. On ne peut comprendre comment fonctionne le racisme aux États-Unis aujourd’hui si l’on ignore les relations de pouvoir entre groupes.

    Ce contrôle systémique et institutionnel permet à celles et ceux d’entre nous qui sont blanc-he-s en Amérique du Nord de vivre dans un environnement social qui nous protège et nous isole du stress causé par la race. Nous avons organisé la société afin de reproduire et de renforcer nos intérêts et perspectives raciaux. De plus, nous sommes le centre de toutes les questions considérées comme normales, universelles, bénignes, neutres et bonnes. Ainsi, nous nous déplaçons dans un monde entièrement racialisé avec une identité déracialisée (par exemple, les Blanc-he-s peuvent représenter l’ensemble de l’humanité, les personnes racisées seulement leurs semblables). Les défis à cette identité deviennent très stressants et même intolérables. Voici des exemples du genre de défis qui déclenchent du stress racial aux Blanc-he-s :

    Suggérer que le point de vue d’une personne blanche provient d’un cadre de référence racialisé (défi à l’objectivité) ;
    Personnes racisées qui parlent ouvertement de leurs propres perspectives raciales (défi aux tabous blancs à parler ouvertement de race) ;
    Personnes racisées qui choisissent de ne pas ménager les sentiments raciaux de personnes blanches à propos de la race (défi aux attentes raciales des Blanc-he-s et au besoin/droit au confort racial) ;
    Personnes racisées pas prêtes à raconter leurs histoires ou à répondre aux questions sur leurs expériences raciales (défi à la perspective selon laquelle les personnes racisées nous serviront) ;
    Un-e Blanc-he ne consentant pas aux perspectives raciales d’un-e autre Blanc-he (défi à la solidarité blanche) ;
    Être confronté-e à une réaction sur l’impact raciste de son propre comportement (défi à l’innocence raciale blanche) ;
    Suggérer que l’appartenance au groupe est significative (défi à l’individualisme) ;
    Recevoir une information sur le fait que l’accès est inégal entre les groupes raciaux (défi à la méritocratie) ;
    Être confronté-e à une personne racisée qui est dans une position de leadership (défi à l’autorité blanche) ;
    Être confronté-e à des informations sur d’autres groupes raciaux, par exemple à travers des films dans lesquels les personnes racisées mènent l’action mais ne sont pas dans des rôles stéréotypés ou dans l’éducation à la diversité (défi à la centralité blanche).

    #racisme #blancheur

  • http://npamanosque.unblog.fr/2016/03/31/nuit-debout-vers-un-mouvement-du-32-mars/#comment-1571


    valentini Dit :
    12 avril 2016 à 15:51

    FOULE ESCLAVE DEBOUT !

    Le premier avril, cette année, en France, a été politique. Au lieu des habituels paris, sur l’évolution positive des requins de la police radicale de France-Allemagne, des maquereaux et morues de l’alliance monétaire économique des jeune et vieille Europe, du dieu abyssal des nations de la sage et puissante Amérique du Nord, bref au lieu des mille discours lénifiants sur un changement souhaitable de tous les gros poissons du vieux monde des dictateurs et libéraux réunis, en êtres humains, il a été affirmé, dans la rue, où est la place de tous ceux mis au ban des institutions : nous ne voulons plus être des marchandises. Vos lubies, vos caprices, vos manies, vos humeurs, vos nerfs, stop ! Ça suffit ! Vous avez fait plus que votre temps. Vous avez eu cent mil milliards de chances et vous n’avez ni changé ni rien changé d’autre que l’argent en plus d’argent. L’avenir nous appartient.

    Pour commencer par le commencement

    En douze jours, La Nuit Debout a déjà cristallisé contre elle
    le gouvernement français qui ne trouve rien de mieux à faire qu’à envoyer la police faire le ménage, place de la République, à Paris et cela dans la continuité des violences policières à l’encontre des étudiants et lycéens. Que le gouvernement ait à résoudre des problèmes aussi mineurs, c’est au fond une bonne nouvelle. Tout va bien.
    les droites françaises, socialistes à portefeuilles compris, en état d’apoplexie, que ses propres scandales ni n’étouffent ni n’étranglent d’indignation, parce qu’au fond, pour ces gens-là qui prient combattent et travaillent, escroquer le peuple, c’est de bonne guerre, c’est normal, faut être réaliste. Ce petit-monde-là, comme il s’en vante d’ailleurs absurdement, n’est pas Toubisou, Tougentil, Harmonie, c’est plutôt le genre Abominable, avec un A comme je dois rentrer dans mon Argent.
    la lie du journalisme français, ce troupeau conformiste qui bêle contre Le Pen pour l’euro pérenne, hait littéralement tout ce qui ne s’aligne pas sur les institutions européennes, le cabinet général des états européens exploiteurs de la misère du monde, qui a fini la Grèce, comme font les chasseurs de fourrures, sur la banquise, à coups de battes de base-ball. Cette chienlit-là qui a envahi tous les médias et lance des appels à la soumission n’hésite jamais à mentir, pour notre bien. Et ils n’ont nul besoin de manifester physiquement leur violence, puisque la police et les bandes de fascistes de tous poils le font pour eux. Cette boite à fayots a de surcroît l’amour des électeurs du Front National. S’ils sont fascistes, ce n’est que dans l’isoloir d’abord et ensuite c’est pas de leur faute, les pauvres ! Ils ne sont pas gâtés par la nature démocratique. Et donc les traiter de fascistes, c’est, selon citizen Kahn, de la morale !

    Fort de cet enseignement hors-normes, nous lançons donc immédiatement l’avis qui suit.

    Avis à la population

    qui se fait traiter de bougnoules, de putes, de négros, de juifs,
    entends ce que les bons enfants des médias te disent :
    pas la peine de prendre la mouche, c’est juste un jugement moral !
    Ok ! D’accord !
    Et donc ne pas en faire un fromage électoral.
    Mais en faire un enjeu de lutte, national et international anti-capitaliste !

    Cette coalition trouble d’éléments bien connus des services fiscaux, cette Sainte-Alliance incontrôlable est un sûr indicateur de ce que représente potentiellement La Nuit Debout quels qu’en soient par ailleurs les initiateurs et les manques et les hésitations politiques. S’arracher à des décennies de léthargie politique, maintenue à coups de poisons électoraux qui sèment le trouble dans la population et attisent en elle la haine et la division réclame du courage et de la détermination. Le courage manifestement existe. Et la détermination s’acquiert dans la lutte. Personne pour l’instant, ne peut dire ce qu’il adviendra de ce mouvement d’opposition à la main-morte politique du capitalisme français et international. Ce qui est sûr c’est qu’il n’a pas surgi ex nihilo, mais dans le sillage de la mobilisation et des manifestations contre la loi-travail et en-deçà du socle de la rigueur constitutionnalisée par Maastricht et des réformes économiques mises en œuvre, en France, depuis 1983 et exclusivement menées en faveur des entreprises et leurs patrons et managers.

    L’entrée en scène de l’électoralisme new-look

    Mais La Nuit Debout ne fait pas que des pus et repus aigris amers, leur démocratie au final les dégoûte, elle attire aussi à elle toutes les sirènes élevées dans les urnes électorales qui frétillent d’aise et lancent en l’air de nobles trémolos. En elles le haut et le bas sont bel et bien réconciliés. Soudainement affectées par une intime conviction qui a valeur de grande transformation, elles s’agglomèrent, en un nouveau groupe de population civile, potentiellement préjudiciable aux vieux présidentiables et en vue de cette fin inouïe : continuer le combat à l’intérieur des institutions responsables du malheur français, confirmant ainsi le fait qu’à quelques bonnes élections malheur est bon. Ont été désigné, pour ce faire, six princes et princesses-consorts placés à la tête d’une sorte de château-d’eau espagnol, la société civile, qui invite La Nuit Debout, à son bal des primaires. Sa façon d’être ne diffère donc pas de celle des bons vieux politiciens. Mais comme ils affichent leur intention de blanchir la République franco-panaméenne, ses six prétendants à la présidentielle de 17, en tant que police présidentielle de secours s’entend, se sentent pousser des ailes électorales de géant. Un vent de liberté les tire maintenant hors de la bouse tiède des personnes morales entrepreneuriales, qui va à-la-va-comme-je-te-pousse civiquement, et amortit les sursauts d’indignation des défenseurs moyens des classes moyennes. Et du coup tout ragaillardis, devant micros et caméras, ils sautillent à pieds-joints, avec de la jute jusqu’aux yeux, en direction du centre de l’oeil de la vie politique : l’élection présidentielle. La Nuit Debout leur apparaît comme une urne gigantesque, dont ils exigent qu’elle leur dise tout ce qu’ils ont toujours voulu savoir sur leur avenir, sans jamais oser se l’avouer. À savoir qu’ils sont les meilleurs individus du monde et d’entre tous les Français. Donnons, en passant, comme ils désirent être reconnus eux aussi, quelques exemples de spécimen d’individualisme présidentiel, en passant. Il y a le Jardin, botanique et tricolore, le Posternak qui vend sa biographie chagrin sur le net, la Lepage, une fille sage qui rebondit dans l’environnement, Le Nicolas Doucerain qui dispense la loi qui fait aimer la loi-travail, Le Foucauld, ex-commissaire au plan, la bonne monnaie, et le Cavada qui fait l’article présidentiel du siècle. Leur mission est à la fois simple et complexe : organiser une « primaire des Français » afin de choisir un candidat hors parti pour la présidentielle de 2017.

    Que répondre à ces grands docteurs d’Europe et d’Égypte qui aiment les juifs, les musulmans, les éoliennes, la terre-mère vue du ciel, les nouvelles technologies de Noël, l’orange secouée,… nous en passons et de bien meilleures et plus poétiques ? Notre réponse sera donc simpliste mais sans complexe :

    Nous n’avons pas besoin de président pour vivre et lutter pour nous et nos enfants.

    La Nuit Debout, quant à elle, si elle veut être une assemblée permanente des luttes, a à faire ses preuves.
    Elle n’a pas à se soumettre aux échéances électorales et aux poisons de l’électoralisme.
    Elle n’est ni locale ni nationale par ce qui la touche et qui vaut pour tous ici comme ailleurs.
    Et si elle est locale et nationale, c’est uniquement par l’histoire et la langue au travers desquelles elle s’organise et qui sont les conditions de son ouverture politique au monde.
    Elle n’est pas un état dans l’État. Et sa souveraineté est dans une action politique qu’aucune puissance du vieux monde ne saurait contenir ni accepter sans en faire sa chose, son esclave, un cadavre.
    Elle a à devenir une force agissante, doté d’un programme propre qui oriente sa lutte.
    Elle doit agir pour une Internationale des Luttes Ouvrières et du Travail.

    publié sur rosluxkama-fr.overblog.com

  • Quelques faits marquants de l’histoire du tabac
    https://xconfrontationx.wordpress.com/2016/04/26/quelques-faits-marquants-de-lhistoire-du-tabac

    Le capitalisme moderne a été, bien sûr, construit en partie pour faciliter le commerce international du tabac et celui d’autres marchandises produites sur des plantations esclavagistes tenues par des Européen.ne.s dans le « Nouveau Monde ». Jamestown, la première colonie britannique en Amérique du Nord, ne produisait presque rien en dehors du tabac (cette production était tellement […]

    https://1.gravatar.com/avatar/af5bf7a8a9ec87a4405279c3f854f031?s=96&d=identicon&r=G

  • Saoudiens et Iraniens tirent le baril de pétrole à hue et à dia
    L’opinion / Avril 2016
    http://www.lopinion.fr/edition/economie/saoudiens-iraniens-tirent-baril-petrole-a-hue-a-dia-101059
    Résumé de l’article : lors de la dernière rencontre à Doha entre pays de l’OPEP et d’autres pays producteurs (Russie), les Saoudiens ont conditionné un accord sur un gel de la production au niveau de janvier pour faire remonter le prix du baril au fait que l’Iran s’y tienne aussi. En janvier, l’Iran étant encore sous sanction, et donc son niveau de production bas, Téhéran considère que c’est une manière de le priver des bénéfices de la levée récente des sanctions.
    Du coup, pas d’accord...
    Fin de l’article :

    En janvier dernier, juste avant la levée des sanctions, la production perse n’atteignait que 2,9 millions de barils par jour. Pour Téhéran, il est hors de question de retenir cette référence pour geler sa production car cela reviendrait à la priver du bénéfice de la levée des sanctions. La République islamique qui a commencé à relever sa production à 3,3 millions de barils quotidiens en mars compte bien poursuivre sur sa lancée. Dès décembre M. Zanganeh avait indiqué vouloir rapidement augmenter la production de 500 000 barils/jour. C’est donc à un véritable dialogue de sourds auquel se livrent à distance Riyad et Téhéran qui ont par ailleurs de nombreux autres points de friction sur leur leadership dans la région.

    En l’absence d’accord contraignant, la réaction des marchés pourrait annuler une bonne partie du rebond du baril qui a regagné 60 % depuis son plus bas de janvier où il était tombé sous les 30 dollars. Or, le niveau actuel d’environ 43 dollars, encore très loin des 115 dollars de la mi-2014 avant la guerre de surproduction lancée par l’Arabie saoudite, redonne de l’oxygène à plusieurs pays. Le royaume sunnite qui avait lancé cette offensive pour contrer l’essor du pétrole de schiste nord-américain a toujours de la marge puisque son propre prix de revient est proche de 10 dollars. Mais, au-delà de l’Iran, son intransigeance risque de coûter cher à de nombreux producteurs impactés en Amérique du Nord mais aussi du Sud et en Russie.

  • Les lobbys de l’Arabie Saoudite et Obama
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article2808

    Le lobbying aux Etats-Unis s’effectue à tous les niveaux du gouvernement des 50 Etats, du gouvernement fédéral, des comtés et même à l’échelle municipale. Dans la capitale Washington, au moins 12.000 personnes s’activent dans ce domaine. Elles travaillent principalement avec les centres centraux de décision. Elles visent les fonctionnaires et les hauts employés des organismes exécutifs et même la Cour suprême des États-Unis. Une bonne vingtaine de cabinets gèrent en Amérique du Nord (compris Canada) des (...)

    Actualité, événement, opinion, intérêt général, information, scoop, primauté

    / censure, presse, journaux, dictature, expressions, liberté, journaliste, poète, poésie, livre, écrits, #économie,_politique,_arts,_corruption,_opposition,_démocratie, Obama, USA, Israël, Proche-Orient, Palestine , arts, (...)

    #Actualité,événement,_opinion,_intérêt_général,_information,_scoop,_primauté #censure,_presse,_journaux,_dictature,_expressions,_liberté #_journaliste,_poète,_poésie,_livre,_écrits #Obama,_USA,_Israël,_Proche-Orient,_Palestine #arts,_culture,_littérature,_cinéma,_critique,_performances,_styles #Internet,_Web,_cyber-démocratie,_communication,_société,_médias

  • #drogues. Faut-il tout légaliser ? | Courrier international
    http://www.courrierinternational.com/video/drogues-faut-il-tout-legaliser

    Selon l’ONU, il y aurait environ 300 millions consommateurs de drogues dans le monde. Dont 99 millions en Asie, 61 millions en Amérique du Nord et 37 millions en Europe. La plus consommée est le cannabis, suivi des opiacés, de la cocaïne et des drogues de synthèses. Bien que la consommation de certaines drogues, soit aujourd’hui dépénalisée dans plusieurs pays, la majorité continue d’interdire et de réprimer les consommateurs. Une stratégie jugée peu efficace. Même l’agence fédérale américaine de lutte contre le trafic de stupéfiants (DEA) admet que les drogues sont de plus en plus abordables et faciles à se procurer. C’est pourquoi, à l’approche de la session extraordinaire des Nations unies sur le sujet (du 19 au 21 avril) une vingtaine de scientifiques et d’anciens chefs d’Etats ont lancé le même appel : (...)

    #prohibition #santépublique

  • Fondé en 1984 (comme moi ! ^_^), le Cirque du Soleil emploie...
    http://f-dellerie-illustration.tumblr.com/post/142899709394

    Fondé en 1984 (comme moi ! ^_^), le Cirque du Soleil emploie aujourd’hui 5000 personnes, propose 10 spectacles en tournée dans le monde et 8 spectacles fixes en Amérique du Nord. J’ai toujours littéralement admiré leur travail, inutile donc de préciser quel plaisir ça a été pour moi de travailler avec elles et eux pour leur spectacle “OVO” !J’ai réalisé les illustrations destinées à figurer dans le programme souvenir du spectacle (illustrations que vous avez pu voir passer sur ce blog il y a quelques temps ; vous savez, les araignées, criquets, coccinelles et autres blattes ?), dont je vous montrerai bientôt quelques extraits.N’hésitez pas à visionner la bande-annonce du spectacle, qui donne un petit aperçu de la magie, de la virtuosité et de la poésie à l’oeuvre : www.cirquedusoleil.com/fr/ovoBonne (...)