Une dance de salon qui brise les codes de genre
▻https://www.youtube.com/watch?v=_mq-HqRnngc
Une dance de salon qui brise les codes de genre
▻https://www.youtube.com/watch?v=_mq-HqRnngc
Technical and social challenges of #conversational_design — uxdesign.cc – User Experience Design
▻https://uxdesign.cc/my-website-is-now-conversational-here-is-what-i-learned-7e943cc6ace0
A couple of weeks ago, I ran an experiment on my website. I made it conversational. The feedback, responses and media coverage have been absolutely amazing. I received over 300 emails within the first 24 hours.
(…)
Some of you asked me to share my insights. Since this whole thing started as a conversation, I’d like to keep it as one.
An excellent post from the author of Conversations, fighting against common beliefs and explaining in a clear way how XMPP works (talking about encryption, push, battery life, reliability), and why it’s a very well thought and modern protocol.
I highly recommend reading it.
►https://gultsch.de/xmpp_2016.html
#XMPP #conversations #push #mobile #instant_messaging #logiciel_libre #decentralisation #decentralization
We Are Hopelessly Hooked | The New York Review of Books (Jacob Weisberg, 25 février 2016)
▻http://www.nybooks.com/articles/2016/02/25/we-are-hopelessly-hooked
Some of Silicon Valley’s most successful app designers are alumni of the Persuasive Technology Lab at #Stanford, a branch of the university’s Human Sciences and Technologies Advanced Research Institute. The lab was founded in 1998 by B.J. Fogg, whose graduate work “used methods from experimental psychology to demonstrate that computers can change people’s thoughts and behaviors in predictable ways,” according to the center’s website. Fogg teaches undergraduates and runs “persuasion boot camps” for tech companies. He calls the field he founded “captology,” a term derived from an acronym for “computers as persuasive technology.” It’s an apt name for the discipline of capturing people’s #attention and making it hard for them to escape. Fogg’s behavior model involves building habits through the use of what he calls “hot triggers,” like the links and photos in Facebook’s newsfeed, made up largely of posts by one’s Facebook friends.
(…) As consumers, we can also pressure technology companies to engineer apps that are less distracting. If product design has a conscience at the moment, it may be Tristan Harris, a former B.J. Fogg student at Stanford who worked until recently as an engineer at Google. In several lectures available on YouTube, Harris argues that an “attention economy” is pushing us all to spend time in ways we recognize as unproductive and unsatisfying, but that we have limited capacity to control. #Tech_companies are engaged in “a race to the bottom of the brain stem,” in which rewards go not to those that help us spend our time wisely, but to those that keep us mindlessly pulling the lever at the casino.
Harris wants engineers to consider human values like the notion of “time well spent” in the design of consumer technology. Most of his proposals are “nudge”-style tweaks and signals to encourage more conscious choices. For example, Gmail or Facebook might begin a session by asking you how much time you want to spend with it that day, and reminding you when you’re nearing the limit. Messaging apps might be reengineered to privilege attention over interruption. iTunes could downgrade games that are frequently deleted because users find them too addictive.
A propos de quatre bouquins :
– Reclaiming Conversation: The Power of Talk in a Digital Age, by Sherry Turkle
– Alone Together: Why We Expect More from Technology and Less from Each Other, by Sherry Turkle
– Reading the Comments: Likers, Haters, and Manipulators at the Bottom of the Web, by Joseph M. Reagle Jr.
– Hooked: How to Build Habit-Forming Products, by Nir Eyal with Ryan Hoover
#écrans #conversation #commentaires #addiction #critique_techno #temps #déconnexion via @opironet
Tay, une IA lancée par Microsoft sur Twitter puis retirée pour aliénation mentale
▻http://www.nextinpact.com/news/99211-tay-ia-lancee-par-microsoft-sur-twitter-puis-retiree-pour-alienati
Il s’agissait à la base d’une expérience amusante. Tay était taillée en effet pour apprendre très rapidement des habitudes et des éléments de langages qu’elle repérait dans les conversations. Plus elle était sollicitée, plus elle devenait capable de répondre comme une personne « normale » [...].
Seulement voilà, cette sympathique jeunesse a complètement déraillé. Beaucoup se sont amusés au bout d’un moment à lui dire les pires choses possibles pour qu’elle fasse de même. Évidemment, au bout d’un moment, l’opération a fonctionné : sexe, nazisme, propos haineux, promotion de l’inceste et affirmation que Georges W. Bush avait provoqué les attentats du 11 septembre, tout le répertoire y est presque passé.
#Conversation #Deep_learning #Intelligence_artificielle #Microsoft #Numérique #Politique #Twitter
C’était prévisible. Pour ce qui est de la Lutte des Classes, microsoft devait avoir mis des sécurités en place.
tay, un robot qui visait les Américains de 18 à 24 ans
Tay, utilisatrice de Twitter, à envoyé 96 000 messages en 8 heures, voilà qui pose question, d’ailleurs aucun utilisateur normal de Twitter n’est capable d’une telle prouesse… du moins chez les humains. Que s’est donc-t-il passé ?
Tay est en fait un « chatbot » (robot de conversation) développée par Microsoft, capable de participer à des conversations sur des réseaux sociaux et des applications de messagerie comme Twitter, Snapchat, Kik ou encore GroupMe raconte Le Monde.
Ce robot conversationnel, lancé mercredi 23 mars, « vise les Américains de 18 à 24 ans », explique Microsoft sur le site qui lui est consacré.
Un robot qui à peine mis en service à annoncé tout simplement sur son compte qu’il allait se taire le temps sans doute pour les ingénieurs de trouver une solution à sa logorrhée de tweets...
Tay Tweets est donc vite devenue « Tay toi ».
Source : ►http://www.rtbf.be/info/insolites/detail_le-robot-qui-tweet-envoie-96-000-messages-en-8-heures?id=9252066
#propagande #Twitter #goebels
With an interface that looks like a #chat platform, #Quartz wants to text you the news in its new app
▻http://www.niemanlab.org/2016/02/with-an-interface-that-looks-like-a-chat-platform-quartz-wants-to-text-yo
With Quartz’s App, You Don’t Read the News. You Chat With It
▻http://www.wired.com/2016/02/with-quartzs-app-you-dont-read-the-news-you-chat-with-it
Voir une discussion à ce sujet ici : ▻https://twitter.com/digi__mike/status/697766119785041920
Journal de Kafka (IV, 15) : Je n’étais pas étendu par terre pendant cette #conversation
▻http://www.oeuvresouvertes.net/spip.php?article3333
quatrième cahier nouvelle traduction
Quatrième cahier (novembre 1911- janvier 1912)
/ #Journal_de_Kafka_quatrième_cahier, #nez, #dos, #Helli_Haas, #visage, conversation
#Quatrième_cahier_novembre_1911-_janvier_1912_
« ▻http://oeuvresouvertes.net/spip.php?article2026 »
« ▻http://oeuvresouvertes.net/spip.php?article1969 »
« ►http://oeuvresouvertes.net/spip.php?article3287 »
Média sociaux : destructeurs ou créateurs ? - New York Times
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/138671613413
Dans sa dernière chronique pour le New York Times, Thomas Friedman discute avec Wael Ghonim, l’un de ceux qui ont lancé le printemps arabe au Caire en 2011. On sait que ces “révolutions Facebook”, de Wall Street à Istanbul, de Kiev à Hong-Kong, ne sont pas parvenues à construire un nouvel ordre politique durable. Et depuis, nombre de chercheurs et de commentateurs tentent de comprendre pourquoi les #médias_sociaux parviennent mieux à “casser les choses” qu’à les construire… Wael Ghonim, l’employé de Google en Egypte qui depuis sa page Facebook anonyme (”Nous sommes tous Khaled Said”) a contribué à lancer le printemps arabe en 2011 qui a conduit à la destitution du président Moubarak, a déménagé dans la Silicon Valley. Dans un récent TED, il est revenu sur son expérience. En 2011, il affirmait que si vous (...)
#Information, véracité, #factchecking
(…) Trump a forcé la porte. Les medias américains qui le plaçaient d’abord en rubrique people, ont été obligés de l’admettre dans les pages politiques. Il va bien falloir se résoudre à l’admettre : les électeurs américains républicains veulent Trump (…)
Et il est très peu vraisemblable que les enquêtes du New York Times y changent quoi que ce soit. Les sondés qui se prononcent pour Trump ne veulent pas d’un Trump propre et respectueux. Ils veulent Trump tel qu’il est, un Trump qui lance que Clinton s’est fait « baiser » par Obama en 2008. Ce n’est pas seulement un clown macho et raciste, qui fait la course en tête chez les Républicains, mais un clown conspirationniste, qui s’appuie sur des sondages conspirationnistes, et participe à des émissions conspirationnistes [#conspirationnisme].
Est-ce pour cette raison que la rubrique Fact-checking du Washington Post a décidé de faire une pause, le temps de réfléchir aux moyens d’une plus grande effcacité ? Les journalistes de cette rubrique ont-ils pris conscience de leur inefficacité à contrer Trump ? "Les personnes qui partagent les rumeurs en ligne ne sont guère intéressées par leur véracité mais partagent celles qui semblent les plus proches de leur perception du monde" explique la responsable de la rubrique, Caitlin Dewey. C’est vrai. Ne savent que ceux qui veulent savoir. Ne sont informés que ceux qui souhaitent s’informer. C’est vieux comme l’information. Est-ce une raison pour baisser les bras ? C’est pour les autres, qu’il faut faire le travail, répond Samuel Laurent, chef décodeur au Monde, les millions de personnes "qui partagent de bonne foi des choses fausses". Autrement dit, le faire pour qui en voudra bien. Lancer de petites bouteilles à la mer. Sans se laisser paralyser par la question de l’efficacité.
Le débat ne s’applique pas seulement aux rubriques « factchecking ». Il s’applique au #journalisme en général. La meilleure information est offerte à la partie du public qui a les moyens, et le temps, de s’informer. Autrement dit, idéalement, c’est BFMTV, plutôt que Le Monde, qui devrait offrir une rubrique Décodeurs. Idée que nous avions soufflée à son directeur, quand il était venu nous rendre visite (5), sans résultat notable.
cc @alexandre (je commence à réviser)
Personnellement, j’ai la sensation que les rubriques « factchecking » sont trop souvent utilisées pour ne vérifier que ce qui permet d’aller dans le sens du vent, idéologiquement parlant. On ne va pas « factchecker » les décisions du gouvernement, mais on va « factchecker » les propos du porte parole de tel ou tel petit parti.
Le fact checking ça se concentre souvent sur du détail, presque par définition
Oui, voilà, c’est tout à fait ça. On va utiliser le factchecking pour démonter un détail dans une démonstration où ce détail n’est même pas un argument... mais le fait de pouvoir le démonter permet de dire : « untel a raconté des cracks » et de ne parler plus que de « ça ».
Il y a ce genre de trucs aussi : ▻http://www.luipresident.fr/60-engagements
Ou les observatoires de l’#état_d'urgence
Ou le tag #socialistes sur seenthis : )
de l’eau au moulin
l’An 2000 - Fact-checking, le malaise - Libération.fr
►http://an-2000.blogs.liberation.fr/2015/12/27/le-probleme-avec-le-factchecking
(…) Internet est une grande #conversation et les articles de presse servent souvent à conforter une position ou une autre. Ils sont rarement pensés comme un point final à la discussion, mais plutôt comme un argument parmi tant d’autres sur le grand marché de la mauvaise foi. « Les rapports entre vérités sont des rapports de force. D’où ce qu’on appelle la mauvaise foi », écrivait Paul Veyne.
Il y a un malaise autour du fact-checking car on sent bien que sa vérité ne fait plus l’objet d’un consensus, que sa Vérité capitale n’est plus que minuscule, qu’il existe des vérités alternatives. « À quel moment la société devient complètement irrationnelle ? Est ce à partir de ce moment que nous commençons à nous réfugier dans des réalités alternatives ? », écrit Caitlin Dewey, du Washington Post.
Le fact-checking pose problème dans son principe-même : en revendiquant sa vérité, qui ne l’est plus tout à fait, il ne fait pas société. Il trace une ligne trop nette — et parfois arrogante — entre ceux qui le croient et ceux qui ne le croient pas.
LE FACT-CHECKING, COMME ÉDUCATION AUX MÉDIAS
D’où ce paradoxe : le fact-checking peut sembler utile dans une société fracturée où la vérité est éclatée entre différents camps. Mais il ne fonctionne réellement que dans une société apaisée qui a confiance en ses institutions.
Au-delà de cette critique de fond, reste l’héritage de « service public » que revendique Samuel Laurent. Le fact-checking serait aussi une forme d’éducation aux médias :
« Il s’agit d’une forme de “service public”, concret, qu’un média peut rendre à ses lecteurs. Il peut aussi aller plus loin et leur expliquer comment lire une info, comment savoir ce qui est crédible ou pas, etc. Et c’est utile. Et c’est même nécessaire, plus que jamais, aujourd’hui »
En pensant ainsi le fact-checking, davantage comme un mode d’emploi de la conversation que comme un point final de celle-ci, comme un outil en amont et non plus en aval du circuit de l’information, on peut peut-être dépasser ce malaise.
Un père filme sa fille 15 secondes chaque semaine pendant 14 ans
▻http://www.huffingtonpost.fr/2014/11/15/video-pere-filme-fille-frans-hofmeester-grandit-timelapse_n_6163300.h
l n’est pas le premier à tenter cette expérience, mais le résultat est bluffant. Le Néerlandais Frans Hofmeester, qui se décrit sur son compte Youtube comme « artiste, réalisateur et photographe », a filmé sa fille Lotte 15 secondes par semaine depuis sa naissance jusqu’à ses 14 ans.
Des images qui lui ont permis de réaliser une vidéo en « timelapse » (accéléré), montrant le bébé grandir, devenir une petite fille puis une adolescente, le tout en seulement 4 minutes. Cette spectaculaire évolution est à découvrir dans la vidéo en haut de cet article, qui comptabilise plus de 2 millions de vues depuis sa mise en ligne au mois de juin.
▻https://www.youtube.com/watch?v=_vHRgpZ7NkA#t=219
Komankikose ? Ethologie de l’animal bavard - La clé des langues
▻http://cle.ens-lyon.fr/plurilangues/komankikose-ethologie-de-l-animal-bavard-241840.kjsp?RH=CDL_PLU020000
Homo sapiens (Linnaeus, 1758), primate de savane physiquement peu doué, a du se munir de multiples prothèses et augmenter sa capacité crânienne pour survivre convenablement.
Cela aboutit à ajouter une fonction supplémentaire aux systèmes de communication banals des autres Mammifères : la fonction représentative (ou « symbolique ») qui caractérise le langage.
#Jacques_Cosnier présentera les réflexions d’un #éthologue sur cet aspect très spécifique en se centrant particulièrement sur les échanges voco-verbaux et leur prototype : la #conversation, forme sans doute jusqu’ici la plus répandue de la #communication humaine, avec aujourd’hui ses variantes par #écrans.
Est-ce la fin des conversations sur les réseaux sociaux ? - FredCavazza
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/97129778810
Frédéric Cavazza rappelle que les #médias_sociaux sont en train de devenir de plus en plus “médias” et de moins en moins “sociaux” c’est-à-dire que les conversations y sont devenues de plus en plus rares à mesure que les interactions de surface (le like) ont pris le pas sur les commentaires, que les contenus visuels, spectaculaires et racoleurs remplacent les contenus textuels et de fonds, que les utilisateurs y échangent surtout des messages privés au détriment d’opinions publiques… Les médias sociaux sont devenus des outils de diffusion de contenus. Sans compter que la surexposition inhibe les utilisateurs, comme le montre la dernière étude du Pew Internet. Ce contexte explique pour Frédéric Cavazza, le report sur d’autres supports : applications mobiles fermées et anonymes comme Secret ou Whisper, (...)
Est-ce un mal ? Vraiment ?
Quand une information ou un message est délivré par quelqu’un en 140 caractères avec parfois un lien plus ou moins pointant vers la source originale, je ne me sens pas vraiment capable de délivrer un avis en 140 caractères sans pouvoir le nuancer vraiment.
Le RT, le forward, le like ou favori exprime alors simplement un : lu/vu ou estimé diffusable pour info aux gens qui me suivent. Il ne cautionne ni ne condamne le contenu mais le livre à la sagacité des autres lecteurs s’ils le souhaitent (ou le voient, dans une timeline de plus de 500 suivis…).
Exprimer un avis, commenter c’est s’exposer à la critique pour des nuances qui n’ont pu être exprimées, c’est parfois blesser des gens ou heurter des convictions.
Un exemple : une étude scientifique ouvre des perspectives dans la voie de la prévention des allergies alimentaires ▻http://www.pnas.org/content/111/36/13145.abstract L’information est médiatisée/transformée en version plus people (optimiste : « on va sauver le monde » !) ▻https://www.contrepoints.org/2014/09/01/179226-allergies-alimentaires-peut-etre-une-piste-serieuse
Elle est tweetée par une maman dont les enfants souffrent d’allergie alimentaire, un de mes followers fait suivre, tout heureux, et bêtement, je commente :
« le dosage des IgE totales N’EST PAS un bon marqueur de l’allergie... :-/ »
car malheureusement cette étude a deux gros problèmes : elle se base pour affirmer l’allergie et donc sa prévention sur le taux d’IgE totale (20% de faux positifs, 20% de faux négatifs) ce qui fait que le résultat n’est pas fiable, dommage. Ensuite, l’étude annonce que c’est le corinebacterium qui est efficace en prévention ! J’ai, tu as, il a, nous avons tous du corinebacterium dans nos selles. Il faudrait savoir quelles souches (sous familles et espèces précises) ? En quelle quantité ? Et quelle est l’alimentation des gens concernés (qui conditionne évidemment les bactéries présentes dans les selles).
La maman en question n’est pas contente de ma réponse car je casse un grand espoir qui venait de naître : j’aurais mieux fait de me taire et de juste prendre acte (fav).
Je pense que critiquer en ligne, en peu de caractères, c’est un acte social, de solidarité dans l’approbation ou la réprobation, mais que cela ne permet nullement d’exprimer une opinion.
Merci @allergie vos démonstrations sont toujours très parlantes !
Exprimer un avis, commenter c’est s’exposer à la critique pour des nuances qui n’ont pu être exprimées, c’est parfois blesser des gens ou heurter des convictions.
Ben bien sûr qu’avoir un avis c’est sujet à débat, encore heureux c’est ce qui en fait tout l’intérêt ! On arrive vraiment dans un monde plat, rempli d’eau tiède, c’est triste à voir :(
Sauf qu’il n’y a pas que Twitter : sur Facebook, que je sache, on peut écrire des messages forts longs, et donc argumentés. Et sur seenthis aussi bien sûr (la preuve). :)
GOLDEN DAWN by the Greek photographer Giorgos Moutafis
Greece’s effort to declare its fascist far-right party a “criminal organization” is a political and legal gamble.
▻http://graphics.wsj.com/golden-dawn/images/victims_leadimage.jpg
▻http://graphics.wsj.com/golden-dawn/#s=1
#greece #golden_dawn #violence #athens #aube_dorée #photo #graphics #racism @cdb_77 @reka
#Grèce #aube_dorée #extrême-droite #photo #photographie #Giorgos_Moutafis #Athènes #violence #racisme #xénophobie #portraits #agression
Les #politiciens #leader de Golden Dawn :
#Charalambos Athanasiou :
Conversations moscovites
▻http://www.lecourrierderussie.com/2013/10/17/conversations-moscovites-10-2013
Je passe mon temps à croiser les anciens amants de ma femme. Et moi, je n’ai pas d’amant.
Je n’ai personne non plus.
Écoute, tu n’as qu’à être mon amant. Tu es beau, intelligent. Ça sera juste sans… tu sais... sans sexe, quoi.The post Conversations moscovites appeared first on Le Courrier de Russie.
La répartition des tâches entre les #femmes et les hommes dans le travail de la #conversation
▻http://1libertaire.free.fr/CMonnetConversation.html
Selon l’opinion communément admise, ce sont les femmes qui parleraient plus que les hommes. Le #stéréotype de la femme bavarde est certainement, en ce qui concerne la différence des sexes et la conversation, l’un des plus forts et des plus répandus. Paradoxalement, c’est aussi celui qui n’a jamais pu être confirmé par une seule étude. Bien au contraire, de nombreuses recherches ont montré qu’en réalité, ce sont les hommes qui parlent le plus. Déjà en 1951, Strodtbeck a mis en évidence que dans des couples hétérosexuels mariés, les hommes parlaient plus que les femmes.
Mais comment expliquer un tel décalage entre le stéréotype et la réalité ? Comment se fait-il que, bien que tou-te-s nous nous soyons retrouvé-e-s dans des situations où il était clair que les hommes monopolisaient la parole, si peu d’entre nous en aient profité pour questionner le bien fondé de cette croyance ?
Dale Spender s’est penchée sur ce mythe de la femme bavarde afin d’en analyser le fonctionnement. Ce stéréotype est souvent interprété comme affirmant que les femmes sont jugées bavardes en comparaison des hommes qui le seraient moins. Mais il n’en va pas ainsi. Ce n’est pas en comparaison du temps de parole des hommes que les femmes sont jugées bavardes mais en comparaison des femmes silencieuses (Spender, 1980). La norme ici n’est pas le masculin mais le silence, puisque nous devrions toutes être des femmes silencieuses. Si la place des femmes dans une société patriarcale est d’abord dans le silence, il n’est pas étonnant qu’en conséquence, toute parole de femme soit toujours considérée de trop. On demande d’ailleurs avant tout aux femmes d’être vues plutôt qu’entendues, et elles sont en général plus observées que les hommes (Henley, 1975).
A List Apart : Articles : Conversation is the New Attention
►http://www.alistapart.com/articles/conversation-is-the-new-attention
We propose a new rule for talks: if your presentation’s goal is something other than starting a meme, cancel it. What’s the point of your presentation if not to spread your ideas? Are you giving a speech, or do you want your ideas to begin a conversation?
A conference is the perfect place to start a meme. Audience and presenter interests are aligned: to be exposed to new ideas and to make connections with people. And both involve conversation.
À garder dans un coin de la tête
#conférence #conversation
#Salmon Protocol
►http://www.salmon-protocol.org
As updates and content flow in real time around the Web, #conversations around the content are becoming increasingly fragmented into individual #silos. Salmon aims to define a standard protocol for #comments and annotations to swim upstream to original update sources — and spawn more commentary in a virtuous cycle. It’s open, decentralized, abuse resistant, and user centric.
Un truc bien compliqué pour que nos bavardages puissent se balader partout