• Long thread de Pierre Beyssac sur la transformation des liens vers l’extérieur sur Twitter (« Le partage d’articles supprime désormais le titre et les informations d’accroche du papier. Une simple photo apparaît sans que l’usager sache de quoi il s’agit. ») :
    https://threadreaderapp.com/thread/1709811947376459917.html

    Tout le monde, notamment dans le milieu de la presse, tape sur Musk ce matin pour ceci. Mais donnons l’histoire complète : cette décision est une conséquence quasi directe d’une disposition de la #copyrightdirective votée en 2019, demandée à hauts cris par... la presse UE.

    […]

  • Un créateur passe de DC (Comics) à DP (Domaine Public)
    https://framablog.org/2023/09/26/un-createur-passe-de-dc-comics-a-dp-domaine-public

    Bill #Willingham, fort mécontent de son éditeur #DC_Comics, décide de porter toutes ses #Fables dans le #Domaine_Public. Il s’en explique dans un communiqué de presse du 14 septembre. En #édition, le modèle auquel nous sommes conformé·es, c’est qu’une … Lire la suite­­

    #Enjeux_du_numérique #contrat #Copyright #création #Dérivés

  • GRR contre GPT : l’auteur de Game of Thrones attaque OpenAI
    https://actualitte.com/article/113522/droit-justice/grr-contre-gpt-l-auteur-de-game-of-thrones-attaque-openai

    Les actions en justice se suivent et se ressemblent, aux États-Unis, contre les sociétés qui développent des intelligences artificielles et les outils qui vont avec. OpenAI, filiale de Microsoft qui porte notamment le médiatique ChatGPT, est ainsi visée par plusieurs plaintes d’auteurs qui dénoncent une utilisation non autorisée de leurs œuvres, sans aucune compensation.

    Trois procédures ont déjà été ouvertes en 2023, le 28 juin, le 7 juillet et début septembre, par des auteurs et deux avocats, Joseph Saveri et Matthew Butterick, qui entendent mener la fronde.

    La dernière charge contre OpenAI est collective : des auteurs s’estimant lésés peuvent la rejoindre, pour obtenir des compensations en cas de victoire devant la cour. Elle implique l’Authors Guild, organisation qui représente les écrivains américains, et plusieurs grands noms du secteur, de George R.R. Martin à Jodi Picoult, en passant par Jonathan Franzen ou David Baldacci.
    Une « menace pour les auteurs »

    Dans un communiqué, l’Authors Guild assure que, « sans les œuvres des plaignants, [OpenAI] proposerait des produits très différents », selon les termes de l’avocate Rachel Geman. « Le choix de copier les œuvres des plaignants, sans leur autorisation et sans verser de compensation, constitue une menace pour les auteurs et leurs revenus. »

    Les intelligences artificielles derrière les outils comme ChatGPT sont entrainées à l’aide d’un volume massif de données, et notamment des textes accessibles en ligne. Ces derniers sont « lus » et traités par les algorithmes, afin d’en améliorer la vélocité, la compréhension des requêtes, mais aussi la cohérence des réponses fournies.

    L’utilisation de textes couverts par le copyright par les sociétés de développement des intelligences artificielles a soulevé de nombreuses questions ces derniers mois. D’autant plus que l’accès à ces textes pourrait avoir été réalisé via des plateformes pirates, dont Library Genesis, Z-Library, Sci-Hub ou encore Bibliotik... Un moyen d’accéder à des réservoirs massifs de textes, sans alourdir la facture.

    Par ailleurs, les auteurs reprochent aux créateurs d’IA de s’être passés de leur autorisation, mais aussi d’avoir omis de verser une compensation et d’avoir oublié toute notion de mention des sources.

    En juillet, l’Authors Guild avait publié une lettre ouverte, cosignée par plus de 10.000 auteurs américains, réclamant plusieurs promesses des sociétés visées. Elles devaient, pour satisfaire l’organisation, s’engager « à obtenir le consentement, à créditer et à rémunérer équitablement les auteurs pour l’utilisation d’écrits protégés par le droit d’auteur à des fins d’entrainement de l’intelligence artificielle ». Visiblement, les discussions ne se sont pas déroulées comme prévu...
    Copyright et fair use

    La plainte de l’Authors Guild s’appuie sur plusieurs violations du copyright qu’auraient réalisées les entreprises. Dans l’accès aux textes, pour commencer, puisque l’organisation reprend l’hypothèse selon laquelle « les livres des plaignants ont été téléchargés depuis des répertoires pirates puis intégrés dans les rouages de GPT 3.5 et GPT 4, qui sont à la source de ChatGPT, utilisé par des milliers d’entreprises et d’applications, et grâce auquel OpenAI espère engranger des milliards ».

    Une autre violation surviendrait par l’exploitation sans autorisation des œuvres des auteurs, qui ne peuvent pas, par ailleurs, s’opposer à celle-ci.

    Enfin, l’Authors Guild assure que l’entrainement de ChatGPT par des créations littéraires permet à cette intelligence artificielle d’imiter le style de leurs auteurs, menaçant l’intégrité de leur œuvre et leur identité.

    GPT est déjà utilisé pour générer des livres qui singent les travaux d’auteurs humains, comme la tentative récente de générer les volumes 6 et 7 de la saga Le Trône de fer de George R.R. Martin le montre, ainsi que d’autres ouvrages de l’IA postés sur Amazon pour essayer d’usurper l’identité et la réputation d’auteurs humains.

    – L’Authors Guild

    « Il est impératif de mettre un coup d’arrêt à ce vol à grande échelle », martèle Mary Rasenberger, PDG de l’Authors Guild, dans un communiqué.

    À LIRE - Livres écrits avec l’IA : Amazon joue la transparence

    Se profile au tribunal un énième affrontement entre le copyright et le fair use, une sorte d’exception au premier, qui s’applique dans certains cas uniquement, notamment la recherche ou l’intérêt pédagogique. OpenAI et Meta (visé pour son IA LLaMA) ont tous deux mis en avant des usages permis par le fair use, pour se défendre des accusations de violations du copyright à leur égard.

    Aux États-Unis, la question de l’utilisation de contenus sous droits à des fins d’entrainement des IA est loin d’être tranchée. Fin juillet, Joe Biden assurait que plusieurs sociétés technologiques avaient accepté, sur le principe, d’appliquer des « garde-fous » proposés par la Maison-Blanche, comme le fait d’intégrer des filigranes aux productions, pour faciliter la distinction entre une œuvre générée et une œuvre originale.

    Mais aucune nouvelle d’un système de compensation, si ce n’est une vague promesse de Sam Altman, PDG d’OpenAI, quant à un système permettant de rémunérer les créateurs dès lors qu’une intelligence artificielle « s’appuie sur [leur] style » pour générer un texte.

    À LIRE - Des députés entendent "encadrer l’IA par le droit d’auteur"

    L’Union européenne, pour sa part, travaille à un IA Act, qui intégrerait quelques mesures relatives au droit d’auteur, notamment une relative transparence quant aux données utilisées pour l’entrainement des IA et une information claire sur l’aspect artificiel d’une œuvre générée. Le Conseil des écrivains européens a appelé de ses vœux un meilleur encadrement des usages des textes, en imposant le recours à une licence aux sociétés — et donc le versement d’une compensation.

    #Intelligence_artificielle #Copyright #fair_use #apprentissage #Auteurs

  • Fanfiction : chez Tolkien, un copyright pour les gouverner tous
    https://actualitte.com/article/113378/droit-justice/fanfiction-chez-tolkien-un-copyright-pour-les-gouverner-tous

    Début 2022, la Tolkien Estate s’inscrivait résolument contre la pratique de la fanfiction, en indiquant sur son site officiel : « [V]ous ne pouvez copier aucune partie des écrits ni des images de Tolkien ni créer des documents faisant référence aux personnages, histoires, lieux, événements ou autres éléments contenus dans l’une de ses œuvres. »

    Une application particulièrement stricte du copyright qui avait choqué les fans de la saga, puisqu’elle condamnait de fait l’écriture amateur de textes poursuivant l’histoire de la Terre du Milieu, racontant les événements de la saga du point de vue de tel ou tel personnage ou imaginant des récits alternatifs. Cette pratique amateur, la fanfiction, est centrale au sein de la pop culture.

    #Fanfiction

  • ‘Shadow Libraries’ Are Moving Their Pirated Books to The Dark Web After Fed Crackdowns
    https://www.vice.com/en/article/v7vnn4/shadow-libraries-are-moving-their-pirated-books-to-the-dark-web-after-fed-crac

    30.11.2022 by Claire Woodcock - Academic repositories like LibGen and Z-Library are becoming less accessible on the web, but finding a home on alt-networks like Tor and IPFS.

    Library Genesis (LibGen), the largest pirate repository of academic papers, doesn’t seem to be doing so hot.

    Three years ago, LibGen had on average five different HTTP mirror websites backing up every upload, to ensure that the repository can’t be easily taken down. But as Reddit users pointed out this week, that number now looks more like two. After the recent takedown of another pirate site, the downturn has caused concern among “shadow archivists,” the term for volunteer digital librarians who maintain online repositories like LibGen and Z-Library, which host massive collections of pirated books, research papers, and other text-based materials.

    Earlier this month, the head librarians of Z-Library were arrested and charged in federal court for criminal copyright infringement, wire fraud, and money laundering. After the FBI seized several websites associated with Z-Library, shadow archivists rushed to create mirrors of the site to continue enabling user access to more than 11 million books and over 80 million articles.

    For many students and researchers strapped for cash, LibGen is to scholarly journal articles what Z-Library is to books.

    “It’s truly important work, and so sad that such a repository could be lost or locked away due to greed, selfishness, and pursuit of power,” one Reddit user commented on r/DataHoarder. “We are at a point in time where humanity could do so very much with the resources and knowledge that we have if it were only organized and accessible to all instead of kept under lock and key and only allowed access by a tiny percentage of the 8 billion people on this planet.”

    There isn’t one clear explanation for what’s happening with LibGen’s HTTP mirrors. However, we do know that maintaining a shadow library is time-consuming and often isolating for the librarian or archivist. It makes perfect sense why a shadow librarian involved in this work for years may throw in the towel. This could also be the seed of a recruitment effort underway, much like we saw several years ago when archivists enacted a rescue mission to save Sci-Hub from disrepair.

    When news circulated that Z-Library was seized by the feds, some supporters stepped in with monetary donations to restore the repository. Members of the Z-Library team also expressed sadness about the arrests and thanked supporters in an official response, as reported by Torrent Freak.

    “Thank you for each donation you make. You are the ones who making the existence of the Z-Library possible,” the Z-Library members wrote in the statement, which was posted to a site on the anonymized Tor network. “We believe the knowledge and cultural heritage of mankind should be accessible to all people around the world, regardless of their wealth, social status, nationality, citizenship, etc. This is the only purpose Z-Library is made for.”

    The usage of the anonymized network follows the movement of shadow libraries to more resilient hosting systems like the Interplanetary File System (IPFS), BitTorrent, and Tor. While there might be fewer HTTP mirrors of shadow libraries like LibGen, there are likely more mirrors on alternative networks that are slightly harder to access.

    It’s unclear if LibGen will regain the authority it once had in the shadow library ecosystem, but as long as shadow librarians and archivists disagree with current copyright and institutional knowledge preservation practices, there will be shadow information specialists.

    “Shadow library volunteers come and go, but the important part is that the content (books, papers, etc) is public, and mirrored far and wide,” Anna, the pseudonymous creator of Anna’s Archive, a site that lets users search shadow archives and “aims to catalog every book in existence,” told Motherboard in a statement. “As long as the content is widely available, new people can come in and keep the flame burning, and even innovate and improve—without needing anyone’s permission.”

    Anna says the job of shadow librarians closely follows the ethos “information wants to be free,” which was famously put into practice by information activists like Aaron Swartz.

    “Once the content is out there, it’s hard to put the genie back in the bottle,” she added. “At a minimum, we have to make sure that the content stays mirrored, because if that flame dies, it’s gone. But that is relatively easy to do.”

    #IPFS #culture #information #monopoles #copyrightmadness

  • Dolphin abandons efforts to bring emulator to Steam
    https://www.gamedeveloper.com/business/dolphin-abandons-efforts-to-bring-emulator-to-steam

    Developer Dolphin has announced that it’s given up on trying to bring its titular emulator to Steam. On its blog, the company gave an update to months long controversy that saw its emulation software delisted from Valve’s storefront after a DMCA takedown. 

    Dolphin was quick to clarify that Nintendo didn’t file the original takedown, as initially believed. It revealed that Valve’s legal team contacted Nintendo, after which a lawyer from Nintendo of America asked Valve to delist the product.

    The only way to avoid delisting, according to the blog, was to come to an agreement with the Japanese developer. But Dolphin acknowledged Nintendo’s often litigious view on emulation and considered “Valve’s requirement for us to get approval from Nintendo for a Steam release to be impossible.”

    “Considering the strong legal wording at the start of the document and the citation of DMCA law, we took the letter very seriously,” wrote Dolphin. It added that its original statement post-takedown was “fairly frantic” and “as we understood it at the time, which turned out to only fuel the fires of speculation.”

    #jeux_vidéo #jeu_vidéo #émulation #émulateur_dolphin #nintendo #valve #dmca #droit_d_auteur #copyright #piratage

  • ’A History of the World According to Getty Images’ Challenges the Power Structures Inherent in the Capture and Control of Footage — Colossal
    https://www.thisiscolossal.com/2023/04/richard-misek-getty-images

    When a creative material’s copyright lapses, it enters the public domain, which means it is no longer subject to trademarks, patents, or intellectual property rights. No individual, company, author, or artist owns it, and it belongs to the public. If this is the case, why is some public domain footage so expensive? This is the question at the core of Richard Misek’s short film “A History of the World According to Getty Images” in which he explores how historically significant footage from newsreels, government agencies, and pioneers of film are “held captive” behind paywalls.

    https://vimeo.com/818633482


    #copyright #domaine-public

  • A battle royal is brewing over copyright and AI | The Economist
    https://www.economist.com/business/2023/03/15/a-battle-royal-is-brewing-over-copyright-and-ai

    Même si je ne suis pas certian de partage les conclusions et certaines remarques, il y a une manière intéressante de poser le problèm et des exemples significatifs.

    Consider two approaches in the music industry to artificial intelligence (AI). One is that of Giles Martin, son of Sir George Martin, producer of the Beatles. Last year, in order to remix the Fab Four’s 1966 album “Revolver”, he used AI to learn the sound of each band member’s instruments (eg, John Lennon’s guitar) from a mono master tape so that he could separate them and reverse engineer them into stereo. The result is glorious. The other approach is not bad either. It is the response of Nick Cave, a moody Australian singer-songwriter, when reviewing lyrics written in his style by ChatGPT, an AI tool developed by a startup called OpenAI. “This song sucks,” he wrote. “Writing a good song is not mimicry, or replication, or pastiche, it is the opposite. It is an act of self-murder that destroys all one has strived to produce in the past.”

    Mr Cave is unlikely to be impressed by the latest version of the algorithm behind Chatgpt, dubbed gpt-4, which Openai unveiled on March 14th. Mr Martin may find it useful. Michael Nash, chief digital officer at Universal Music Group, the world’s biggest label, cites their examples as evidence ofboth excitement and fear about the ai behind content-creating apps like Chatgpt (for text) or Stable Diffusion (for images). It could help the creative process. It could also destroy or usurp it. Yet for recorded music at large, the coming of the bots brings to mind a seismic event in its history: the rapid rise and fall of Napster, a platform for sharing mainly pirated songs at the turn of the millennium. Napster was ultimately brought
    down by copyright law. For aggressive bot providers accused of riding roughshod over intellectual property (ip), Mr Nash has a simple message that sounds, from a music-industry veteran of the Napster era, like a threat. “Don’t deploy in the market and beg for forgiveness. That’s the Napster approach.”

    The main issue here is not ai-made parodies of Mr Cave or faux-Shakespearean sonnets. It is the oceans of copyrighted data the bots
    have siphoned up while being trained to create humanlike content. That information comes from everywhere: social-media feeds, internet searches, digital libraries, television, radio, banks of statistics and so on. Often, it is alleged, ai models plunder the databases without permission. Those responsible for the source material complain that their work is hoovered up without consent, credit or compensation. In short, some ai platforms may be
    doing with other media what Napster did with songs—ignoring copyright altogether. The lawsuits have started to fly.

    It is a legal minefield with implications that extend beyond the creative industries to any business where machine-learning plays a role, such as self-driving cars, medical diagnostics, factory robotics and insurance-risk management. The European Union, true to bureaucratic form, has a directive on copyright that refers to data-mining (written before the recent bot boom). Experts say America lacks case history specific to generative ai. Instead, it has competing theories about whether or not data-mining without licences is permissible under the “fair use” doctrine. Napster also tried
    to deploy “fair use” as a defence in America—and failed. That is not to say that the outcome will be the same this time.

    The main arguments around “fair use” are fascinating. To borrow from a masterclass on the topic by Mark Lemley and Bryan Casey in the Texas Law Review, a journal, use of copyrighted works is considered fair when it serves a valuable social purpose, the source material is transformed from the original and it does not affect the copyright owners’ core market. Critics argue that ais do not transform but exploit the entirety of the databases they mine. They claim that the firms behind machine learningabuse fair use to “free-ride” on the work of individuals. And they contend that this threatens the livelihoods of the creators, as well as society at large if the ai promotes mass surveillance and the spread of misinformation. The authors weigh these arguments against the fact that the more access to training sets there is, the better ai will be, and that without such access there may be no ai at all. In other words, the industry might die in its infancy. They describe it as one of the most important legal questions of the century: “Will copyright law allow robots to learn?”

    An early lawsuit attracting attention is from Getty Images. The photography agency accuses Stability ai, which owns Stable Diffusion, of infringing its copyright on millions of photos from its collection in order to build an image-generating ai model that will compete with Getty. Provided the case is not settled out of court, it could set a precedent on fair use. An even more important verdict could come soon from America’s Supreme Court in a case involving the transformation of copyrighted images of Prince, a pop
    idol, by the late Andy Warhol, an artist. Daniel Gervais, an ip expert at Vanderbilt Law School in Nashville, believes the justices may provide long-awaited guidance on fair use in general.

    Scraping copyrighted data is not the only legal issue generative ai faces. In many jurisdictions copyright applies only to work created by humans, hence the extent to which bots can claim ip protection for the stuff they generate is another grey area. Outside the courtrooms the biggest questions will be political, including whether or not generative ai should enjoy the same liability protections for the content it displays as social-media platforms do, and to what extent it jeopardises data privacy.

    The copyrighting is on the wall

    Yet the ip battle will be a big one. Mr Nash says creative industries
    should swiftly take a stand to ensure artists’ output is licensed and used ethically in training ai models. He urges ai firms to “document and disclose” their sources. But, he acknowledges, it is a delicate balance. Creative types do not want to sound like enemies of progress. Many may benefit from ai in their work. The lesson from Napster’s “reality therapy”, as Mr Nash calls it, is that it is better to engage with new technologies than hope they go away. Maybe this time it won’t take 15 years of crumbling revenues to learn it.

    #Intelligence_artificielle #ChatGPT #Copyright #Apprentissage

  • À propos de la réécriture des livres de Roald Dahl | castagne
    https://hyperbate.fr/castagne/2023/02/22/11069

    Je vais commencer de péremptoirement et synthétiquement en disant ceci : altérer les textes de Roald Dahl pour éviter toute notion qui risquerait d’offenser ses lecteurs est idiot.
    Je ne cours pas un risque énorme en écrivant ça, car je n’ai pas vu grand monde en France prendre la défense de cette manœuvre due à l’éditeur Puffin (le label jeunesse de Penguin books) et à la Roald Dahl Story Company.
    Et à présent, la version longue.
    […]
    Au passage, comme j’ai mauvais esprit, je me demande toujours si ce genre d’opération tapageuse (« nouvelle traduction », « version réécrite ») ne constitue pas de la part des éditeurs historiques et des ayant-droits un moyen rusé pour relancer les années de copyright sur une œuvre dont l’auteur est décédé. Je m’explique : Roald Dahl étant décédé en 1990, ses œuvres entreront dans le domaine public, selon le droit britannique, en 2060 (1990+70 ans). Mais la Roald Dahl Story Company, qui gère les droits de Roald Dahl et qui vient d’être acquise par Netflix, peut signer les textes réécrits en tant que personne morale (l’auteur n’est plus une personne physique), et faire courir leur copyright jusqu’en 2143 ! (2023+120 ans, la durée du copyright pour les sociétés dans le droit étasunien). Plus de 80 ans de gagnés !

    • Au cours de religion à l’école primaire ils nous ont fourni une bible pour enfants qui n’avait aucun intérêt. Pas de sexe, pas de punitions effroyables, la fin de Sodome et Gomorrhe était présentée comme une explosion atomique sans morts. Il y avait juste le petit David tout mignon qui gagnait contre Goliath. Aucun suspense.
      Tu en connais le résultat ...

      Quant au ruses de copyright je m’en fous royalement car il est tout à fait possible qu’en 80 ans il n’y aura plus d’États Unis. Puis, même si les US survivent encore pendant tant d’années la question sera plutôt comment appeler « Roald Dahl » en chinois ;-) ?!?

      #political_correctness #copyright #impérialisme #wtf

    • Dans le genre En même temps, Fabcaro était il y a 10 jours à Montpellier au festival de BD indépendante organisé par Six pieds sous terre, où il dédicaçait debout, en remerciant chaleureusement chaque personne à qui il venait de faire une dédicace (« Nan, c’est moi qui te remercie… »).

    • https://de.m.wikipedia.org/wiki/Asterix

      1 Asterix der Gallier 1968 - 1 Astérix le Gaulois 1961 - 1 Asterix Gallus
      –------------------------------------
      5 Die goldene Sichel 1970 - 2 La Serpe d’or 1962 - 2 Falx Aurea

      Jusqu’à la mort de Goscinni et peur-être bien après les albums étaient ancrés dans l’actualité vue de France au point où l’ordre de parution en allemand et la traduction du nom des personnages donnaient une trame assez différente de l’original.

      Die Bände 2 bis 7 erschienen in Deutschland in abweichender Reihenfolge. Grund war nach einigen Angaben der große Erfolg des Filmes Asterix und Kleopatra, nach anderen vorherigen Veröffentlichungen einiger dieser Bände in deutschen Jugendzeitschriften (Lupo modern und MV Comix). Sie werden hier mit den deutschen Nummern, aber in der Reihenfolge ihrer Originalveröffentlichungen wiedergegeben. Beim Lesen empfiehlt es sich, die Originalreihenfolge einzuhalten, da sonst einige Chronologiefehler entstehen (z. B. die Treffen mit den Piraten und das Auftauchen von Idefix). Auch die Übersetzungen in andere Sprachen wurden teils in abweichender Reihenfolge veröffentlicht. Als Beispiel weist die nachfolgende Tabelle auch die Reihenfolge der lateinischen Übersetzung aus, die wie die deutsche beim Ehapa-Verlag erscheint.

      Sans avoir été au courant de la mort de Goscinni j’avais l’impression que la qualité des histoires n’était plus pareille après Astérix chez les Belges.

      24 Asterix bei den Belgiern - 1979 - 24 Astérix chez les Belges 1979

      Donc pour moi Astérix est un phénomène extraordinaire des années 1960 - 1970 qui depuis s’est rangé parmi les franchises multinationales comme Star Wars, McDonald’s et les Jeux Olympiques. Avec la mort de ses créateurs les conditions de production on transformé au fur et à mesure les sympatiques personnages d’Astérix en zombies sous contrôle du capital international.

      Ceci dit il faut ajouter que les auteurs et dessinateurs font toujours un travail excellent, mais c’est comme chez Star Wars, on nous vend une idéologie marquée par ses conditions de production.

      #bande_dessinée #histoire #France #capitalisme #copyright #Astérix

  • Un phénoménal fil de discussion, en anglais, sur la question « Les machines qui pondent du code à la demande en régurgitant du code source digéré dont elles ne sont pas l’auteur et qui initialement était sous licence libre, Microsoft Copilot en particulier, enfreignent elles la loi et la licence libre des logiciels sources qui ont servi à l’apprentissage ? »
    https://news.ycombinator.com/item?id=33240341
    #microsoft #copilot #github #machinelearning #libre #foss #copyright

  • Crypto Company Turns Games It Doesn’t Own into NFTs, Quickly Deletes Them
    https://www.vice.com/en/article/n7nxxb/crypto-company-turns-games-it-doesnt-own-into-nfts-quickly-deletes-them

    As recently as last week, the Retro Arcade Collection was dubbed a set of NFTs meant for “preserving abandonware games on [the blockchain].” In practice, that meant playable demos for games like Blizzard’s Blackthorne and Remedy’s Death Rally had been embedded into NFTs without any authorization by those games’ rights holders. A week later, following inquiries from Waypoint, the NFTs were removed after “some NFTs got reported.”

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #nft #jeton_non_fongible #cryptoactifs #retro_arcade_collection #préservation #droit_d_auteur #blizzard #jeu_vidéo_blackthorne #remedy #jeu_vidéo_death_rally #abandonware #piratage #rashin_mansoor #metagravity_studio #jeu_vidéo_total_carnage #dmca #copyright #david_hoppe #gamma_law #droit #jeu_vidéo_alan_wake #epic_games #tim_sweeney #zachary_strebeck #nightdive_studios #jeu_vidéo_powerslave #jeu_vidéo_larry_kuperman #jeu_vidéo_edge_of_chaos #jeu_vidéo_warcraft

  • Mammouths et CRISPR-Cas9 : quelle éthique pour la résurrection d’espèces disparues ?
    https://theconversation.com/mammouths-et-crispr-cas9-quelle-ethique-pour-la-resurrection-despec

    Cette pratique soulève d’une part la question de la désignation de ces espèces (qu’est-ce qu’une espèce éteinte ? L’espèce éteinte recrée est-elle une ancienne espèce « libre de droits » ou une nouvelle espèce synthétique ? Est-ce un animal avec les droits qui en découlent ou non ?) et d’autre part la question du devenir psychique de l’animal ainsi crée.

    Bien que le sujet soit toujours discuté, il y a une sorte de consensus qui tend à dire que l’extinction est la mort de tous les membres d’une espèce de plantes, d’animaux ou d’autres organismes. Une fois qu’une espèce est éteinte, elle sort du périmètre de protection actuel (non-brevetabilité) pour passer sous le régime du traitement des dépouilles (protégées, mais appropriables). La question éthique du statut des êtres créés à partir de ces dépouilles appropriables est encore peu considérée, mais elle doit être résolue avant que ces derniers ne surviennent dans nos écosystèmes.

  • Les héritiers de Tolkien ne peuvent pas Saquet les fanfictions
    https://actualitte.com/article/105592/droit-justice/les-heritiers-de-tolkien-ne-peuvent-pas-saquet-les-fanfictions

    Fin février, la Tolkien Estate, société responsable du patrimoine et de l’héritage du romancier britannique, dévoilait un nouveau site : des archives audio, vidéo, des documents divers et variés, ainsi que des textes — dont un livre inédit. Tout cela était follement attrayant pour les fans.
    You Shall Not Past

    Mais avec le site vinrent les consignes de la Foire Aux Questions. Et là, on a déchanté. Car la Tolkien Estate s’avère jalouse de la propriété intellectuelle liée à l’œuvre : on se souvient que la cryptomonnaire JRR Token, et son délicieux jeu de mots avaient subi les foudres juridiques des ayants droit. Avant de couler tout bonnement. Alors, pensez bien que des œuvres dérivées sans contrôle, voilà qui ne passerait pas.

    À ce jour, indique la TE sur le site, sa mission et son devoir sont de « protéger l’intégrité des écrits et des œuvres d’art originales de Tolkien et prend le droit d’auteur très au sérieux. Cela signifie que vous ne pouvez copier aucune partie des écrits ni des images de Tolkien ni créer des documents faisant référence aux personnages, histoires, lieux, événements ou autres éléments contenus dans l’une de ses œuvres ».

    Quant aux petits malins qui souhaiteraient créer un fanzine Tolkien, gare à eux : Tolkien est désormais une marque protégée, dont l’utilisation est tout bonnement interdite. Sous peine d’être rapidement contacté par les avocats des héritiers.

    Plusieurs auteurs se sont rendus tristement célèbres en interdisant la production de fanfiction autour de leurs univers : Anne Rice, par exemple, ou encore les publications Archie Comics et même George RR Martin. En revanche, une JK Rowling a toujours estimé qu’il s’agissait là d’une forme de promotion dont elle bénéficiait. La Tolkien Estate, elle, est implacable : lorsqu’une exposition fut consacrée par la BnF au romancier, certains élément exposés étaient interdits à la photographie...
    Propriété intellectuelle inside

    Mais à la rigueur, que les auteurs eux-mêmes donnent les conditions d’accès, d’utilisation ou de réécriture de leurs œuvres se comprendrait. Jamais, de mémoire, Tolkien en personne n’a posé d’interdiction formelle — seuls les ayants droit, déjà sur la version 2007 du site, y avaient posé une objection totale et définitive.

    Et pour cause, rétorquera-t-on : une œuvre est protégée par le copyright dans les pays anglo-saxons ou le droit d’auteur dans la francophonie. Toute œuvre réutilisée doit donc faire l’objet d’autorisation, pour être reproduite. Tant qu’elle ne verse pas dans le plagiat — le copier-coller strict d’éléments textuels — la pratique de la fanfiction échapperait à la législation.

    En France, on invoquerait en revanche l’article L. 335-3 du Code de la Propriété intellectuelle, pour rappeler que « toute reproduction, représentation ou diffusion, par quelque moyen que ce soit, d’une œuvre de l’esprit en violation des droits de l’auteur ». Il en va de même avec l’article L.122-4 du CPI pour qui la « traduction, l’adaptation ou la transformation, l’arrangement ou la reproduction par un art ou un procédé quelconque ».

    Certes. Mais cela ne couvre pas strictement le sujet des fanfictions – seule la justice, au cas par cas, examinera alors et tranchera sur la réalité d’une contrefaçon… ou la liberté de création. Cela sans même prendre en compte l’une des exceptions majeures en matière de droit d’auteur : celle qui concerne la parodie. Mais on le comprend, le flou juridique est vaste, ne protégeant ni les uns ni les autres.

    Le nœud gordien restera qu’en cas de réussite commerciale d’une fanfiction, l’auteur cherchera certainement à récupérer les billes pour avoir été ainsi utilisé…
    Fair Use : du hobby aux hobbits ?

    Or, le copyright introduit une notion plus souple, et totalement absente du droit français : le Fair Use. En tant qu’œuvre dérivée, la fanfiction relèverait directement de l’exploitation d’œuvres protégées, s’il n’y avait ce pas de côté. Le Fair Use apporte une relative liberté, considérant comme possible d’effectuer une transformation de l’œuvre originale, tout en s’en inspirant. Sauf que, là encore, la justice pourra toujours être saisie, dans un cas, comme dans l’autre.

    Pour l’heure, la Tolkien Estate n’a jamais engagé de poursuites contre des fanfictions, et aucune procédure juridique formelle n’est intervenue. Probablement parce que ces ayants droit ne font pas la loi et que leurs interdictions ne peuvent se prévaloir d’un poids supérieur à celui du copyright, et de ses exceptions.

    Dans un article sur le sujet, Maddie Agne, pour le Michigan Daily, conclut sobrement : « La Tolkien Estate ne peut pas vous empêcher d’écrire toutes les fanfictions autour de Legolas que vous désirez produire. » Non seulement, une plainte en justice provoquerait une vilaine publicité contre les ayants droit, mais surtout, le travail de contrôle nécessiterait des dizaines d’individus en mesure de surveiller, vérifier, et demander le retrait de textes.

    Ou alors, recourir à une intelligence artificielle, qui, à l’instar des algorithmes idiots de Facebook, parviendrait à des résultats totalement délirants. Le cas de Tolkien est d’autant plus intéressant que son univers a structuré les bases de l’héroic fantasy. Et qu’outre les millions d’exemplaires vendus, les droits audiovisuels ont abouti à des films au budget de 281 millions de dollars — et une série qui coûterait à Amazon Prime 465 millions $.

    Et que Le Seigneur des Anneaux : le retour du roi, a rapporté quelque 1,119 milliard $. Aucun héritier au monde n’aimerait passer à côté de pareilles sommes — quitte à rouler des mécaniques pour faire peur aux auteurs en herbe…

    #Tolkien #Fanfiction #Droit_auteur #Copyright #Copyright_madness

  • Un procès insensé : “L’Internet Archive a un cœur, et sait s’en servir”
    https://actualitte.com/article/101537/humeurs/un-proces-insense-l-internet-archive-a-un-coeur-et-sait-s-en-servir

    Lorsque j’ai entendu parler des poursuites judiciaires pour non-respect du droit d’auteur intentées le 1er juin 2020 aux États-Unis par quatre grands éditeurs (Hachette, Penguin Random House, Wiley, HarperCollins) à l’Internet Archive pour son #Open_Library, et ce en pleine pandémie, je n’arrivais pas à y croire. Et ce mauvais rêve se transforme en cauchemar puisqu’un procès retentissant doit débuter le 12 novembre 2021.

    #internet_archive

  • Droit à l’image de la tour Eiffel
    https://www.toureiffel.paris/fr/entreprise/utiliser-image-tour-eiffel

    LA TOUR EIFFEL VUE DE JOUR
    Utilisation libre

    L’image de la tour Eiffel de jour est dans le domaine public : son utilisation est libre de droit, elle est reproductible sans autorisation préalable de la SETE, gestionnaire de l’image du monument pour le compte de la Mairie de Paris.

    LA TOUR EIFFEL VUE DE NUIT
    Utilisation contrôlée

    Les différents éclairages de la tour Eiffel (illumination dorée, scintillement, phare et les éclairages événementiels) sont protégés.
    L’exploitation de l’image de la tour Eiffel de nuit est donc sujette à autorisation préalable de la SETE. Cette exploitation est soumise au paiement de droits dont le montant est fonction de l’utilisation envisagée, du plan média...

    Les prises de vues de la tour Eiffel de nuit pour des particuliers et pour un usage privé ne nécessitent aucun accord préalable. À l’inverse, les professionnels doivent impérativement se rapprocher de nos équipes qui leur indiqueront les conditions d’exploitation des images.

    Un doute sur l’utilisation de l’image de la tour Eiffel ?

    Contactez-nous : documentation@toureiffel.paris

    La marque tour Eiffel petite_tour_eiffel

    LA MARQUE TOUR EIFFEL

    Utilisation contrôlée

    « Tour Eiffel » est une marque déposée donc protégée au titre des droits de marque.
    Cette mention peut être apposée sur des produits après négociation d’un contrat de licence étudié au cas par cas.

    Vous avez une question sur l’utilisation de la marque ?

    Contactez-nous : documentation@toureiffel.paris

    Découvrez nos prestations de tournage et les conditions d’utilisation de l’image et de la marque tour Eiffel

    La tour Eiffel est le symbole de Paris et de la France à travers le mondee.
    Elle embarque tout un imaginaire à sa simple évocation et nombreux sont les artistes et réalisateurs qui lui rendent hommage au travers de films, reportages, photographies, peintures, œuvres interactives…

    Mais la tour Eiffel est aussi populaire et accessible. Son image se retrouve alors sur différents objets qui sont finalement autant de témoins de la magie qu’elle représente.
    Prestations de tournage tournage_nuit

    Occupation d’espace de jour et de nuit..

    Prise de vue de Paris depuis la Tour

    Panorama imprenable à 360° sur Paris

    Hauteur de vue modulable (57 et 116 mètres) grâce aux 2 étages

    Décor principal du tournage

    Une silhouette mondialement connue
    Différents espaces proposés :
    parvis, étages, zones non ouvertes au public

    ...pour tous les projets audiovisuels

    Longs métrages
    Spots publicitaires
    Fictions télévisuelles & émissions
    Documentaires & reportages

    Le service Valorisation du fonds Patrimonial/Droits à l’Image se fait un devoir d’étudier chaque projet au cas par cas, afin d’adapter au mieux les exigences techniques et artistiques de chaque production au cahier des charges du monument, et de proposer un tarif au plus juste pour chaque opération.
    Pour les tournages de nuit, des droits d’image sont à prévoir, l’ensemble des éclairages étant protégés.

    Contactez-nous : documentation@toureiffel.paris

    Vous êtes journaliste et votre reportage a pour sujet la tour Eiffel elle-même ou son actualité ?

    Contacter notre service presse

    tournage_jour

    Logistique & informations pratiques

    Les tournages ont lieu de jour comme de nuit, majoritairement hors présence du public pour ne pas interférer avec l’exploitation du monument.
    Ascenseur de service spécifique entre le sol et le 2ème étage. Profondeur 2,30 m – Largeur 2,50 m – Hauteur 2,20 m. Ouverture porte 1,30 m x 2,10 m.
    Solutions techniques et règles de sécurité seront étudiées lors d’un repérage (besoins électriques, régie, accès des équipes et du matériel...).
    Prolongations d’illuminations possibles au cas par cas.
    Stationnement : les véhicules peuvent stationner avenue Gustave Eiffel le temps de décharger. Ils devront ensuite être déplacés. Vous pouvez vous rapprocher de la Mission Cinéma de la ville de Paris qui vous aidera à trouver des solutions.

    #film #vidéo #tournage #droit #copyright #Paris #France #nuit #photographie

    • Sur Toulouse, les manifestants qui viennent à n’importe quelle manif sont verbalisés si ils portent un gilet jaune (je ne sais pas si c’est un copyright du ministère des transports ou de la mode).

  • Supreme Court Backs Google in Copyright Fight With Oracle
    https://www.nytimes.com/2021/04/05/us/google-oracle-supreme-court.html?campaign_id=158&emc=edit_ot_20210406&insta

    The 6-to-2 ruling ended a decade-long battle over whether Google had improperly used Java code in its Android operating system. The Supreme Court on Monday sided with Google in a long-running copyright dispute with Oracle over software used to run most of the world’s smartphones. The 6-to-2 ruling, which resolved what Google had called “the copyright case of the decade,” spared the company from having to face claims from Oracle for billions of dollars in damages. The case, Google v. Oracle (...)

    #Google #Oracle #procès #copyright

  • #Recettes, droit d’auteur(e), #copyright et #propriété-intellectuelle
    https://www.planete-cuisine.com/10/encyclopedie-recettes-droit-d-auteure-copyright-et-propriete-intell

    Mais qu’est-ce qu’une recette au fond ? C’est en général, une liste d’ingrédients nécessaire à l’élaboration d’un plat et un texte servant d’instruction sur le déroulement de la préparation. Mais un plat, même réinterprété, ne peut avoir droit à cette protection au titre de la Propriété Intellectuelle s’il reste factuel en partie du fait qu’il soit éphémère et voué à disparaitre dans un laps de temps très court après sa réalisation.

    Un article qui répond à des questions que je ne m’étais jamais posées, et intéressantes. #cuisine #droit-d'auteur

  • Hadopi : 30 % des adresses IP restent anonymes, mais plus pour longtemps
    https://www.nextinpact.com/article/46428/hadopi-30-adresses-ip-restent-anonymes-mais-plus-pour-longtemps

    Depuis ses origines, la Hadopi est confrontée à un problème : le développement du « nattage », soit la mutualisation d’une adresse IP entre plusieurs abonnés. Un bug juridique l’empêche en effet d’adresser ses avertissements. Cette lacune, qui a profité à certains abonnés Free notamment, est en passe d’être corrigée. Rapport annuel après rapport annuel, la Hadopi n’a eu de cesse de dénoncer la problématique dite des adresses IP nattées. Ses racines sont à rechercher dans les textes fondateurs. Dans les (...)

    #HADOPI #surveillance #copyright

  • Les policiers de Los Angeles ont peut-être trouvé le moyen de ne pas se faire filmer en action.

    Récemment, Sennett Devermont entre dans un commissariat et entame une conversation avec un sergent qui comprend vite que leur échange est diffusé en direct sur Instagram. Aussitôt, le policier dégaine son téléphone portable et s’en sert pour diffuser… de la musique. Sennett Devermont lui demande plusieurs fois de baisser le son, l’agent ne bronche pas.

    Le vidéaste se rappelle alors que ce n’est pas la première fois. Deux semaines auparavant, le militant s’était approché d’un policier de Los Angeles. Même réflexe. Le flic avait compris qu’il est filmé, extirpé un téléphone de sa poche, fouillé sa playlist et sélectionné son arme fatale : les Beatles !

    https://www.franceinter.fr/emissions/l-edito-m/l-edito-m-16-fevrier-2021

    https://rf.proxycast.org/fee7fdac-2871-4de6-b7c2-06ef4be178ee/18798-16.02.2021-ITEMA_22575767-2021F31058S0047.mp3

    #police #droit_d'auteur #copyright #musique

  • Is This Beverly Hills Cop Playing Sublime’s ‘Santeria’ to Avoid Being Live-Streamed ?
    https://www.vice.com/en/article/bvxb94/is-this-beverly-hills-cop-playing-sublimes-santeria-to-avoid-being-livestreame

    Police officers in Beverly Hills have been playing music while being filmed, seemingly in an effort to trigger Instagram’s copyright filters. Last Friday, a man entered the Beverly Hills police department, only to be treated to a mini DJ set that could potentially get his Instagram account banned. Sennett Devermont was at the department to file a form to obtain body camera footage from an incident in which he received a ticket he felt was unfair. Devermont also happens to be a well-known LA (...)

    #Instagram #algorithme #police #vidéo-surveillance #copyright #surveillance