• Sur YouTube et Instagram, ces entreprises qui volent des visages | korii.
    https://korii.slate.fr/et-caetera/instagram-youtube-influenceuses-voleurs-visages-utilisation-marketing-ac

    Toutes sortes de firmes utilisent commercialement l’image d’influencers, sans leur accord. Sur internet, n’importe quelle image ou presque peut être capturée en HD grâce à un simple clic droit ou à une capture d’écran. Cela complique infiniment la protection de son image et de sa propriété intellectuelle. Les créateurs et créatrices présentes sur Instagram et YouTube, particulièrement lorsque leurs contenus sont liés à la mode ou à la beauté, en savent quelque chose. Dans une enquête, Wired explique que (...)

    #Amazon #Instagram #YouTube #influenceur #copyright

  • Pour empêcher les procès pour plagiat dans la musique, un algorithme met 68 milliards de mélodies dans le domaine public
    https://www.lemonde.fr/big-browser/article/2020/02/27/pour-empecher-les-proces-pour-plagiat-dans-la-musique-un-algorithme-met-68-m

    Face au « champ de mine mélodique » où chaque artiste risque une poursuite pour plagiat, deux musiciens développeurs ont généré toutes les mélodies possibles dans la musique pop. Robin Thicke et Pharrell Williams condamnés pour avoir plagié Marvin Gaye, Radiohead accusant Lana Del Rey d’avoir copié le titre Creep avec son Get Free, Chris (ex-Christine and the Queens) accusée d’avoir copié un logiciel dans son titre Damn, dis-moi… Les accusations de plagiat et les procès qui s’ensuivent sont l’une des (...)

    #art #son #copyright #algorithme

  • Diffuser légalement de la musique sur Fortnite peut amener à être banni... de YouTube - Tech - Numerama
    https://www.numerama.com/tech/607165-diffuser-legalement-de-la-musique-sur-fortnite-peut-amener-a-etre-b

    Entre Justin Bieber, Fortnite et les crèmes glacés, le Copyright Madness de la semaine est clairement en plein délire. Copyright Madness Au voleur. L’industrie musicale nous a habitués à des dérives à répétitions. Nous avons déjà épinglé dans le Copyright Madness des accusations de plagiat capilotractées pour un sample de quelques secondes. Mais on peut vraisemblablement aller encore plus loin dans les abysses de la propriété intellectuelle. Le chanteur Justin Bieber a récemment sorti un nouvel album. (...)

    #Google #LG #GoogleSearch #YouTube #jeu #bot #copyright

    //c0.lestechnophiles.com/www.numerama.com/content/uploads/2020/02/fortnite-saison-2-3.jpg

  • I ♥ Free Software - Valentine’s Day 2020 - FSFE
    https://fsfe.org/campaigns/ilovefs

    We often underestimate the power of a simple Thank You. Free Software contributors do important work for our society and they deserve attention. The “I love Free Software Day” on 14 February (also known as Valentine’s Day) is the perfect opportunity for you to express your special gratitude.

    ILoveFS 3D card In the Free Software community, we put a lot of pressure on project maintainers. We write bug reports and demand new features from people who often spend their sparse volunteer time on (...)

    #copyright #FreeSoftware

    https://fsfe.org/picturebase/campaigns/ilovefs/2019-ilovefs-3D-heart-Hetzner-800px.jpeg

  • Cinélibre | La bataille du Libre | Montpellier | Janvier 2019 - Montpel’libre
    https://montpellibre.fr/spip.php?article4654

    La bataille du Libre (87mn) est le nouveau documentaire de Philippe Borrel. Ce film a été produit par temps noir. Séance unique le mardi 28 janvier à 20h, suivie d’une rencontre avec le réalisateur Philippe Borrel, Pascal Arnoux, Librosophe et Myriam Criquet, Juriste du Libre, invitation d’Edgar Morin. « Que ce soit dans le domaine médical, boursier, industriel, éducatif, ou même agricole, il n’existe presque plus de secteurs d’activité ayant échappé à l’emprise du code informatique. Nous en (...)

    #santé #copyright #activisme

    ##santé

  • Prime Leverage : How Amazon Wields Power in the Technology World - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2019/12/15/technology/amazon-aws-cloud-competition.html

    Prime Leverage : How Amazon Wields Power in the Technology World Software start-ups have a phrase for what Amazon is doing to them : ‘strip-mining’ them of their innovations. SEATTLE — Elastic, a software start-up in Amsterdam, was rapidly building its business and had grown to 100 employees. Then Amazon came along. In October 2015, Amazon’s cloud computing arm announced it was copying Elastic’s free software tool, which people use to search and analyze data, and would sell it as a paid (...)

    #Amazon #AWS #domination #brevet #copyright

  • Sonos, nouvelle championne de la lutte contre les géants de la tech | korii.
    https://korii.slate.fr/biz/sonos-google-amazon-proces-concurrence-copie-pression-chantage

    Les géants des nouvelles technologies détestent la concurrence. Amazon poursuit une longue tradition qui consiste à copier les produits populaires sur sa plateforme pour les vendre moins cher. Facebook s’est fait une spécialité de racheter ou copier tout nouveau réseau social émergent –elle les rachète parfois simplement pour récupérer les technologies qui l’intéresse, puis cesse de s’en occuper. L’ogresse Google a aussi un appétit fameux pour les start-ups, avec lesquelle elle procède de la même manière. (...)

    #Google #Amazon #Facebook #domination #brevet #copyright

  • Study: #hadopi Has Been Great For Big Artists And Labels, Bad For The Spread Of Culture And Smaller Or New Artists | Techdirt
    https://www.techdirt.com/articles/20191219/09254343602/study-hadopi-has-been-great-big-artists-labels-bad-spread-culture-smaller-

    En bref (Seb Sauvage) : "Sans grande surprise : HADOPI a été bénéfique aux artistes qui touchent déjà beaucoup d’argent, et mauvais pour les artistes moins connus : Les ventes des artistes moins connus ont BAISSÉ. Celles des artistes les plus connus ont augmenté. C’est donc mauvais pour la diversité culturelle, mais très bon pour les industriels de la culture qui sont là pour nous vendre leur locomotives. " — Permalien

    #copyright #droitdauteur #piratage

    • Ce qui m’étonne un peu c’est qu’Hadopi ait eu un impact quelconque (à part pour ce qui est de gober des deniers publics).

  • Disney oublie de renouveler un DRM d’un jeu vidéo, le rendant injouable
    https://www.numerama.com/pop-culture/577896-disney-oublie-de-renouveler-un-drm-dun-jeu-video-le-rendant-injouab

    Cette semaine, le Copyright Madness revient sur une histoire de DRM impactant l’accès à un jeu vidéo, YouTube qui cause des soucis à un vidéaste qui voulait diffuser une vidéo consacrée à son propre jeu ainsi que sur le buste de Néfertiti. Bonne lecture et à la semaine prochaine ! Player 1. On le dit et on le répète, les biens dématérialisés que nous achetons ne nous appartiennent pas. L’anecdote suivante nous le rappelle une fois de plus. Des joueurs ont fait l’amère expérience qu’il ne leur était plus (...)

    #Disney #YouTube #algorithme #Bluetooth #bot #DRM #copyright #CreativeCommons #EFF

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  • YouTube : un bug a entraîné des dizaines de faux signalements pour droits d’auteur
    https://www.numerama.com/tech/577538-youtube-un-bug-a-entraine-des-dizaines-de-faux-signalements-pour-dr

    Des streameurs et streameuses ont reçu de multiples revendications de la part d’un même ayant-droit. YouTube plaide l’erreur et explique que cela n’aura pas de conséquence pour les personnes concernées. Les vidéastes n’en ont décidément pas fini de se battre avec Content ID, le système utilisé par YouTube pour faire respecter les droits d’auteur, et revendiquer des droits sur une partie de leurs revenus. Ce mercredi 4 décembre, plusieurs streameurs et streameuses se sont plaint de revendications (...)

    #Google #streaming #YouTube #ContentID #copyright #erreur #algorithme

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  • #LaPrécaritéTue ? Ne pas taire la précarité.
    Mail à un assistant parlementaire d’une sénatrice socialiste, mais aussi lettre ouverte aux politiques qui prétendent combattre la précarité.

    Il y a quelques jours j’ai trouvé dans une boite mail que je consulte peu une « demande » pour utiliser une de mes photos sur le blog d’une sénatrice. Sans avoir attendu ma réponse, ladite photo a été publiée pour illustrer un article sur les ravages de la précarité et une manœuvre sénatoriale pour y remédier... J’ai fait le choix de ne pas porter plainte mais de rendre publique ma réponse, des fois que ça puisse faire avancer un peu la question des droits et du précariat entretenu par celleux qui prétendent le combattre.

    Bonjour.

    Je relève peu cette adresse google, ayant désormais un autre mail principal, *@riseup.net, il faudrait que je mette mes coordonnées de contact à jour. Je vous présente donc mes excuses pour le délai de réponse.

    Pour autant, je dois vous avouer être un tantinet « gênée » par votre publication de ma photo bien que, techniquement, dans votre monde, vous penserez n’avoir sans doute rien à vous reprocher. D’autant que, fait très rare et malgré une date de péremption extrêmement courte, vous m’avez « demandé » l’autorisation quelques minutes (?) heure (?) avant son utilisation !

    Donc, dans un premier temps, je vous demande de retirer cette photo du blog de la sénatrice X ici :
    http://***

    Mais venons-en au fond. Et bien que je ne me fasse guère d’illusion, je rêve que ce qui va suivre vous fasse prendre conscience que vous, non pas l’assistant parlementaire qui a peut-être fait une bourde (je m’attends tellement à cette excuse !) mais VOUS, les "socialistes" qui avez plein de choix incohérents avec ce que vous prétendez défendre, vous pérennisez la précarité et, pire, vous l’exploitez.

    Vous utilisez une photo en #creatives_commons pour une publication politique dans le cadre de votre #travail de documentation du travail d’une sénatrice en fonction, sur son site web. Selon vous, c’est « non commercial ».
    En êtes-vous sûr ?

    Déjà, que signifie « #non_commercial » côté creative commons ?
    Utilisation non commerciale signifie que l’utilisation n’a pas principalement pour but ou pour objectif d’obtenir un avantage commercial ou une compensation financière. L’échange de l’Œuvre sous licence avec d’autres œuvres soumises aux Droit d’auteur et droits connexes par voie de partage de fichiers numériques ou autres moyens analogues constitue une Utilisation non commerciale à condition qu’il n’y ait aucun avantage commercial ni aucune compensation financière en relation avec la transaction.
    Et que signifie le « sa » de la licence que j’ai choisie ? Il signifie que la publication doit se faire dans les mêmes conditions, toutes les conditions, le rapport à la #rétribution aussi : si je suis bénévole, vous êtes bénévole !
    Vous ne pouvez pas proposer ou imposer des termes ou des conditions supplémentaires ou différents ou appliquer des Mesures techniques efficaces à l’Œuvre dérivée qui seraient de nature à restreindre l’exercice des Droits accordés par la Licence d’Œuvre dérivée que Vous appliquez.
    source : https://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/4.0/legalcode.fr

    Madame X est payée pour sa fonction de sénatrice. Son blog a une visée politique professionnelle puisqu’il rend compte de son travail, de ses opinions politiques et qu’il est alimenté par l’équipe parlementaire dont vous, assistant parlementaire, rémunéré (et d’autres, d’après ce que j’ai vu). Nous sommes donc dans le cadre d’un commerce de pensée, absolument pas bénévole, et même si la « morale » capitaliste vous a donné l’absolution en estimant « non-commercial » le fait d’être rétribué pour un travail de politique publique, il y a bien des compensations financières à toutes ces activités. Les vendeurs d’information mainstream pensent d’ailleurs la même chose que vous, ce qui explique grandement l’extrême #précarité des métiers de l’illustration... à une époque où l’image règne en maitresse de nos sens, voilà un bien cruel paradoxe !
    Il se trouve que je suis au #RSA. Il se trouve que j’ai le droit à de réguliers contrôles, intrusifs, sur le fait de ne pas avoir « d’activité », ou sur, ô mon dieu, 200€ de cadeau qui arrivent sur mon compte à Noël et que j’aurai dû déclarer (si si, vérifiez, c’est passé, même les étrennes de Noël doivent être déclarées et sont retirées à 100% de la solidarité sociale !)
    Bref, vous ne m’avez pas « emprunté » une photo libre de droit mais vous m’avez forcée à être bénévole pour le Parti Socialiste.
    Et ça n’est pas du tout pareil.

    Après plusieurs jours de réflexion, je fais le choix de ne pas perdre de l’énergie en une procédure judiciaire, que je remporterai sans nul doute, les Creatives Commons étant certes désormais reconnues par la loi française, mais en tant que complément, le droit moral étant inaliénable :
    Toute oeuvre, dès sa matérialisation, est automatiquement (en France) protégée par le droit d’auteur. Les licences Creative Commons viennent en complément du droit applicable, elles ne se substituent pas au droit, l’auteur n’abandonne pas ses droits, il précise par le choix d’une licence CC la manière dont il souhaite les exercer. Le droit d’auteur qui s’applique par défaut requiert de devoir donner son accord par contrat pour toute exploitation. Avec une licence CC, l’auteur autorise à l’avance certaines utilisations de son oeuvre alors que certains autres droits restent réservés et soumis à l’autorisation de l’auteur.
    source : https://creativecommons.fr/faqs

    Je me permets d’ailleurs de vous faire remarquer le choix que j’ai dû faire sur le site où vous êtes allé télécharger la photo, nom du fichier faisant foi : https://www.flickr.com/photos/valkphotos/49054916252/in/album-72157711750301397

    Flickr
     : hé oui, juste en dessous on lit « tous droits réservés » assorti du logo © #copyright ! Le vol d’une photo par #Causeurs il y a des années m’avait incitée à, hélas, faire ce non-choix, devant la méconnaissance et parfois la mauvaise foi crasse des pilleurs d’images... ce qui n’a pas empêché le #JDD d’en faire autant il y a deux ans (https://twitter.com/ValKphotos/status/942791427691614208 & https://seenthis.net/messages/653494 )

    J’en profite pour souligner que vous n’avez pas choisi une photo brute et live d’une personne proche de Madame X mais bien une #œuvre pour laquelle j’ai prévisualisé un résultat, j’ai pris du temps à choisir une vitesse très lente, une ouverture de diaphragme minimale, fait de multiples essais en retenant mon souffle, puis procédé à un traitement précis en noir et blanc très contrasté pour obtenir ce résultat et, si vous allez voir plus loin, dans les métadonnées (ce qu’on appelle exif), vous trouverez de multiples renseignements allant bien au delà de la simple date de la prise de vue... Cela n’a strictement aucune importance dans le cadre juridique qui nous concerne mais c’est juste pour faire taire ces petites voix régulières sur l’absence de travail d’un-e #photographe, ou d’inféoder le #professionnalisme à la seule rémunération...

    Je tente donc par ce mail, une énième fois, d’alerter des personnes qui pensent faire de la politique « #sociale » afin qu’elles comprennent à quel point elles se sont corrompues en acceptant les règles absolument amorales du #capitalisme et de la course professionnelle aux voix politiques afin de prendre le pouvoir (au lieu de le rendre). J’aimerai tellement apprendre que, désormais, tous les blogs et sites de tou-te-s les élu-e-s alloueront un réel budget à l’illustration,feront appel en priorité à des travaux de professionnel-le-s, attendront le #CONSENTEMENT (bah ouai) avant de faire quoi que ce soit et, pour les cas de réel #bénévolat ou réellement libres de tous droits, que ce budget non-utilisé ne soit pas considéré comme une « économie » gagnée mais ira à des caisses de #solidarité pour les plus précaires... Voilà qui serait cohérent plutôt qu’utiliser la précarité pour illustrer... le drame de la précarité ! Franchement, vous vous rendez-compte de la violence du sentiment que j’ai ressenti là ?! Et je ne parle même pas de la politique « #socialiste » qui dérive années après années, qui transforme #Nantes en nécropole à force de choix faits essentiellement par des hommes blancs trentenaires et valides, ni du rapport de la Ville aux tags politiques : c’est à hurler !

    Afin que tout ceci ne soit pas lettre morte, car pour écrire un tel mail il me faut plusieurs heures qui elles non plus ne sont pas rémunérées, je vais faire comme vous : je vous préviens que ce mail sera publié publiquement mais je n’attends pas votre accord. Cet éventuel accord, je vous le demande pour avoir l’autorisation de révéler vos identités... ce qui vous grandirait ! Et si, à ma grande surprise, cela donnait lieu à un mea culpa et une réponse politique, je n’aurai pas fait tout ce travail d’explication pour rien ! Voire, je pourrai même l’ajouter au billet publié (n’en attendez aucune gloire, bien que pas mal suivie sur les réseaux, ce ne sera qu’un grain de poussière dans le bruit ambiant)

    Enfin, s’il vous venait l’envie de vous racheter ou de rémunérer mon #travail, j’ai mis en place non pas une cagnotte de soutien mais un compte rémunérateur pour mes multiples activités : sociales, d’information, d’illustration /.../ la plupart du temps bénévoles par défaut : https://liberapay.com/ValK : surtout n’hésitez pas à y laisser un peu de compensation ;)

    « Bien cordialement »

    ValK.

    +-+->
    photos : http://frama.link/valk
    audios : https://archive.org/details/@karacole
    infos : https://twitter.com/karacole__
    repos : https://www.instagram.com/kolavalk
    pot commun : https://liberapay.com/ValK

    • Merci @monolecte ! J’ai reçu une réponse dudit assistant. Je laisse reposer mon énervement cette nuit et verrai demain si j’ai envie d’en causer (est-ce qu’il a évolué ? est-ce qu’il va y avoir un changement de comportement ? spoïler : non ! est-ce que je suis injuste ? spoïler : oui ! )

      A sa demande cependant, je publie ici sa demande initiale :

      J’ai bien noté la publication de votre texte sur vos réseaux. Je note également que vous y reproduisez votre réponse sans mon courriel initial, ce qui élude une partie de mes précautions (la demande d’autorisation, précisément, dans le respect de votre droit moral)…

      Le mar. 19 nov. 2019 à 10:46, xxx a écrit :

      Bonjour,

      Je tiens à vous faire savoir que j’envisage d’utiliser une de vos photos (rassemblement précarité étudiante au Tertre le 12/11) pour illustrer un article (article publié il y a qq minutes mais non diffusé pour l’instant), cet article étant sur le site web de la sénatrice socialiste de la Loire-Atlantique X (pas d’utilisation commerciale).

      Comme à l’accoutumée sur ce site, j’ai mentionné les crédits Commons, vous ai attribué la photo et l’ai reliée à votre compte flickr.

      Si toutefois vous ne souhaitiez pas être associée au contenu de l’article, merci de m’en faire part, je trouverai une autre illustration, mais moins bonne.

      Bien cordialement,

      Vous êtes libre d’intégrer cette réponse à votre article mais je ne tiens pas à ce que mon identité, celle de mon employeure ni mes coordonnées soient dévoilées.

      Je reste à votre disposition pour échanger plus en détail sur la question de la rémunération de la création artistique, par téléphone ou autour d’un café.

      Bien sincèrement,
      xxx

  • Une poignée de dollars pour un million de clics sur les plateformes numériques Guillaume Bourgault-Côté - 29 octobre 2019 - Le devoir
    https://www.ledevoir.com/culture/musique/565800/deux-mille-ecoutes-pour-un-dollar

    L’une des ovations les plus nourries du gala de l’ADISQ présenté dimanche n’a pas salué une performance artistique, mais plutôt une série de constats brutaux énoncés par Pierre Lapointe. Au nombre d’entre eux : « Pour un million d’écoutes de ma chanson Je déteste ma vie sur l’application Spotify — j’ai écrit les paroles et la musique —, j’ai touché 500 $. »

    Au lendemain de son coup d’éclat, Pierre Lapointe précisait au Devoir qu’en additionnant les droits d’auteur-compositeur touchés pour la même chanson grâce à la diffusion sur YouTube et Apple Music, il arrive à une somme d’environ 2000 $. Ce qui ne change pas le portrait global dénoncé lundi par l’auteur-compositeur-interprète : « On se fait voler ! », avait-il dénoncé au milieu d’une charge contre les plateformes numériques étrangères de diffusion de la musique et les gouvernements.

    « Le milieu a été le premier à crier haut et fort il y a 20 ans que l’arrivée d’Internet allait tous nous foutre dans la merde, a-t-il dit. Rien ou presque n’a été fait […] et ça y est, on est tous dans la merde. »

    Présent dans la foule, l’actuel ministre du Patrimoine, Pablo Rodriguez, acquiesçait de la tête. Une partie des critiques de Pierre Lapointe s’adressaient pourtant directement au premier gouvernement Trudeau (les multinationales exemptées d’impôts, notamment), mais la position des libéraux sur ces enjeux a évolué dans les derniers mois.

    « Nos artistes et créateurs méritent d’être payés justement pour leurs oeuvres et ils ont raison de se lever pour le réclamer, a écrit M. Rodriguez au Devoir lundi. Tout le monde, et ça inclut les géants du Web, va devoir contribuer à la création de contenu d’ici, l’offrir sur ses plateformes et le promouvoir », a-t-il dit.

    Solange Drouin, directrice générale de l’Association québécoise de l’industrie du disque, du spectacle et de la vidéo (ADISQ), se réjouissait lundi de la sortie de Pierre Lapointe. Celle qui, avec d’autres, sonne l’alarme depuis des années sur cet enjeu estime qu’un tel « appel à la mobilisation des artistes » ne peut avoir que du bon dans le contexte où le nouveau gouvernement Trudeau aura des décisions cruciales à prendre dans les prochains mois — le rôle de Québec est plus limité sur ces questions.

    Au premier rang des décisions à venir : la révision annoncée des primordiales lois sur la radiodiffusion, les télécommunications et le droit d’auteur. Trois chantiers lancés par le précédent gouvernement, et qui se trouvent à différents degrés d’avancement. Dans tous les cas, les libéraux entendent aller de l’avant — et trouveront des alliés chez les néodémocrates et les bloquistes.

    « Les principales lois qui régissent notre culture et nos communications datent d’avant Internet, fait valoir Pablo Rodriguez. Cette situation nuit à notre économie, à nos emplois et à notre culture. »

    Pour Geneviève Côté, cheffe des affaires du Québec à la SOCAN (Société canadienne des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique), « le problème de fond, c’est qu’il faut faire en sorte que les plateformes redonnent à l’écosystème, comme les radios le font, dit-elle. Si tu veux une radio qui émet vers les citoyens, ça te prend une licence qui vient avec des obligations, dont celle de financer la culture. C’est l’absence de ce bout-là qui nous fait le plus mal, à tous ».

    Au-delà de cela, à qui — ou à quoi — s’adressait Pierre Lapointe dimanche ? Le gouvernement est-il le seul responsable de la situation ? Réponse courte : non.

    La fin des ventes. Le phénomène est connu, et va croissant. Au Québec comme ailleurs, la consommation de la musique se fait de moins en moins par l’entremise de l’achat, et de plus en plus par le principe de location à travers des plateformes de diffusion comme Spotify, Tidal ou Apple Music.

    Dans un bulletin produit en juin dernier, l’Observatoire de la culture et des communications illustrait l’ampleur du recul des ventes depuis dix ans : il s’est vendu en 2018 trois fois moins de disques physiques (CD ou vinyles) au Québec qu’en 2008, alors que les ventes d’albums numériques ont diminué de moitié en cinq ans — soit depuis l’arrivée des principaux services de diffusion en continu.

    Ces mouvements ne s’accompagnent pas d’une ruée vers les spectacles qui compenserait le manque à gagner. L’Observatoire fait plutôt état d’un recul de 12 % des revenus de billetterie pour les spectacles de chansons au Québec entre 2013 et 2018.

    Faibles redevances. Que vaut une écoute en ligne pour les artistes ? Difficile à établir précisément… mais tous s’entendent pour dire que c’est fort peu. Et cela ne relève pas directement du gouvernement. « Les redevances pour le streaming, c’est compliqué », reconnaît Geneviève Côté. Dans les faits, une multitude de tarifs s’appliquent et s’additionnent.

    Les redevances varient selon le type de services et sont partagées entre six types de droits ou d’ayants droit. Des droits sont payés selon le nombre d’écoutes, et d’autres selon le pourcentage des revenus d’abonnements ou de publicités.

    « Il y a essentiellement deux droits en cause, résume Solange Drouin : un droit de reproduction pour que Spotify puisse mettre un album dans sa liste de lecture. Pour ça, c’est une négociation entre eux et les ayants droit. Mais pour le droit de communication au public par télécommunications, c’est la Commission du droit d’auteur [CDA] qui fixe un tarif. »

    Tarif à revoir. À cet égard, Mme Drouin rappelle que la CDA n’a pas ajusté son tarif versé aux interprètes et aux producteurs depuis… 2012. À l’époque, elle l’avait fixé à 10,2 cents par tranche de 1000 écoutes en continu (donc une centaine de dollars pour un million d’écoutes), ce qui représente l’équivalent du tarif de la radio commerciale. Le tarif est en cours de révision depuis plusieurs mois — l’ajustement sera rétroactif : aux États-Unis, il est environ 20 fois supérieur.

    Les géants. Outre la révision des lois évoquée plus haut, le gouvernement Trudeau a promis qu’il imposerait dès ce printemps à hauteur de 3 % les recettes que les géants du Web génèrent au Canada. Les libéraux ont aussi l’intention de les forcer à percevoir la TPS. Ottawa « devrait remettre une partie de l’argent prélevé au milieu culturel et aux médias », pense Geneviève Côté.

    #Pierre_Lapointe #Chansons #musique #youtube #spotify #facebook #google #apple #netflix #tidal #vol #multinationales #internet #domination #streaming #bigdata #copyright #marketing #deezer #streaming

  • Droit voisin : comme Google, Facebook ne rémunérera pas la presse pour des liens enrichis
    https://www.numerama.com/business/564207-droit-voisin-comme-google-facebook-ne-remunerera-pas-la-presse-pour

    Facebook est aussi concerné par la loi française sur le droit voisin de la presse. Le réseau social estime qu’il n’a pas à rémunérer les médias dans ce cadre, estimant qu’ils donnent leur accord quand ils publient eux-mêmes sur son service. Néanmoins, le site dit discuter avec les journaux pour un projet de rémunération via un onglet spécial. Depuis qu’a été votée en France la loi sur les droits voisins des agences de presse et des éditeurs de presse, qui transpose l’un des articles clés de la directive (...)

    #Google #GoogleNews #Facebook #algorithme #législation #copyright

    //c2.lestechnophiles.com/www.numerama.com/content/uploads/2018/11/facebook-locaux.jpg

  • The House Votes in Favor of Disastrous Copyright Bill
    https://www.eff.org/deeplinks/2019/10/house-votes-favor-disastrous-copyright-bill

    It’s Not Too Late : The Senate Can Still Stop the CASE Act The House of Representatives has just voted in favor of the Copyright Alternative in Small-Claims Enforcement Act (CASE Act) by 410-6 (with 16 members not voting), moving forward a bill that Congress has had no hearings and no debates on so far this session. That means that there has been no public consideration of the serious harm the bill could do to regular Internet users and their expression online. The CASE Act creates a new (...)

    #législation #CASE #copyright #EFF

  • Pourquoi nous ne voulons pas que Google nous paie pour référencer nos articles
    https://www.numerama.com/politique/563444-pourquoi-nous-le-voulons-pas-que-google-nous-paie-pour-referencer-n

    Nous ne voulons pas que Google nous paie pour enrichir les liens qu’il référence. Alors que les voix qui soutiennent cette redevance n’ont jamais été aussi fortes et médiatisées, Numerama a choisi d’expliquer les raisons pour lesquelles nous trouvons qu’elle est absurde. L’économie des médias est un sujet qui n’entre pas exactement dans notre ligne éditoriale. Par la force des choses, étant un média 100 % indépendant qui vit du web et rémunère 8 journalistes en CDI à temps plein, dans une entreprise qui en (...)

    #Google #GoogleSearch #algorithme #copyright

    //c1.lestechnophiles.com/www.numerama.com/content/uploads/2019/10/numerama-google-news.jpg

    • Je n’arrive toujours pas à comprendre comment des médias ont pu lancer ça et le faire adopter… se faire payer pour accepter d’être référencés… alors que c’est la porte d’entrée gratuite de l’immense majorité de tous leurs visiteurs… comment ils espèrent que des gens vont arriver sur leurs articles ensuite ?

      Et maintenant les éditeurs qui veulent continuer d’être référencés comme avant galèrent à de nouveau avoir le même type d’affichage (on a le cas pour un client là).

  • Ready to Pay $30,000 for Sharing a Photo Online ? The House of Representatives Thinks You Are
    https://www.eff.org/deeplinks/2019/10/ready-pay-30000-sharing-photo-online-house-representatives-thinks-you-are

    Tomorrow the House of Representatives has scheduled to vote on what appears to be an unconstitutional copyright bill that carries with it life altering penalties. The bill would slap $30,000 fines on Internet users who share a copyrighted work they don’t own online. Take Action Now is the time to tell your Representative to vote NO Supporters of the bill insist there’s no problem, because $30,000 isn’t that much money. They even laughed about it. We know the reality : when nearly half of (...)

    #législation #copyright #EFF

  • Today : Tell Congress Not to Pass Another Bad Copyright Law
    https://www.eff.org/deeplinks/2019/10/today-tell-congress-not-pass-another-bad-copyright-law

    Today, Congress is back in session after a two-week break. Now that they’re back, we’re asking you to take a few minutes to call and tell them not to pass the Copyright Alternative in Small-Claims Enforcement (CASE) Act. The CASE Act would create an obscure board inside the U.S. Copyright Office which would be empowered to levy huge penalties against people accused of copyright infringement. It could have devastating effects on regular Internet users and little-to-no effect on true (...)

    #législation #copyright #CASE #EFF #DMCA

  • Armée du RGPD, Orange fait empêcher l’identification de centaines d’IP par un ayant droit
    https://www.nextinpact.com/news/108179-armee-rgpd-orange-fait-empecher-lidentification-centaines-dip-par

    Un producteur a été débouté de sa demande d’identification de 895 adresses IP. Il a trouvé sur son chemin Orange qui lui a opposé victorieusement la législation sur la protection des données personnelles, dont le RGPD. Explications. Une ordonnance rendue le 2 août dernier jette un pavé dans la mare des sociétés luttant contre le « piratage » sur Internet. Le producteur québécois Mile High Distribution Inc avait mandaté l’allemande Media Protector à charge pour elle de relever les IP partageant ses œuvres (...)

    #Orange #procès #[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données_(RGPD)[en]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR)[nl]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR) #copyright (...)

    ##[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données__RGPD_[en]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_[nl]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_ ##CNIL

  • L’industrie musicale actualise sa liste noire des sites pirates à abattre
    https://www.numerama.com/pop-culture/558533-lindustrie-musicale-actualise-sa-liste-noire-des-sites-pirates-a-ab

    Les majors du disque dévoilent leur nouvelle liste noire des sites accusés de favoriser le piratage à grande échelle et qui sont perçus par les internautes comme les meilleurs sites pour télécharger ou écouter de la musique gratuitement. Malgré l’essor de l’offre légale pour la musique et la vidéo, le téléchargement illicite de contenus culturels séduit encore bon nombre d’internautes. Aussi les ayants droit sont-ils contraints de maintenir une veille pour identifier quels sont les sites qui paraissent (...)

    #RIAA #copyright #surveillance #web

    //c2.lestechnophiles.com/www.numerama.com/content/uploads/2019/10/pirate-piratage.jpg

  • Notorious Markets Submission for 2019
    https://torrentfreak.com/images/Notorious_Markets_Submission_for_2019_final.pdf

    Dear Mr. Lee:AttachedpleasefindRIAA’ssubmissionin response to yourrequest for comments identifying Internet and physical markets based outside the United States that should be included in the forthcoming Notorious Markets List (List). The online and physical markets identified in our comments are harming American creators, businesses, and the American economy.The U.S. music industry is highly dependent on the Internet and, in turn,fuels other parts of the Internet economy, job growth, and (...)

    #BitTorrent #Robocopyright #copyright #surveillance #web

  • Quand une agence photo, Gamma-Rapho, s’assoie sur l’#EducPop et provoque la mort d’une asso consacrée à la culture bretonne, En Envor, au prétexte d’avoir illustré son enthousiaste note sur l’expo de Robert Doisneau...
    #Copyright_Madness 😳

    La fin d’une belle aventure
    http://enenvor.fr/eeo_actu/actu/la_fin_d_une_belle_aventure.html

    L’affaire remonte à l’hiver 2018-2019, période pendant laquelle nous avons de notre propre chef, sans avoir sollicité qui que ce soit ni réclamé quoi que ce soit, écrit sur le site tout le bien que nous pensions de l’exposition « #Robert_Doisneau, l’œil malicieux » présentée au Musée des beaux-arts de Quimper. Il s’agissait donc d’une publicité complètement gratuite et sans aucune contrepartie financière – nous avons même payé notre propre billet.

    Afin d’illustrer notre propos et de sensibiliser au mieux nos lecteurs, nous avons accompagné notre texte de deux clichés de Robert Doisneau faisant partie de l’exposition : « Bigoudène place Bienvenüe » et « Le baiser de l’hôtel de ville ». Ce fut, sans le savoir, notre arrêt de mort.

    Se basant sur le code L.122-4 du Code de la propriété intellectuelle, l’agence de photographie Gamma Rapho, par l’intermédiaire du cabinet d’avocats Harlay, nous a réclamé à l’été 2019 une somme avoisinant les 4 000€ au titre des droits d’exploitation de ces deux clichés.

    L’expo en question : http://www.mbaq.fr/fr/expositions/expositions-a-venir/robert-doisneau-l-oeil-malicieux-668.html

    #droit_et_photographie #photo #photographie #association #education #education_populaire #transmission

  • La justice européenne suggère que des documents publics peuvent être secrets au nom du droit d’auteur
    https://www.numerama.com/pop-culture/548200-la-justice-europeenne-suggere-que-des-documents-publics-peuvent-etr

    Quoi de neuf dans le Copyright Madness ? Une affaire devant la CJUE qui risque de restreindre l’accès aux documents publics, aux Maoris en Nouvelle-Zélande et à un jugement sur les adresses IP qui fera peut-être trembler Hadopi. Cette semaine, le Copyright Madness revient sur une affaire devant la justice européenne qui risque de restreindre le droit d’accès accès aux documents publics à cause du droit d’auteur, aux Maoris en Nouvelle-Zélande et à un jugement relatif aux adresses IP qui ne fait pas (...)

    #Apple #Robocopyright #procès #[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données_(RGPD)[en]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR)[nl]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR) #brevet #copyright #HADOPI (...)

    ##[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données__RGPD_[en]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_[nl]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_ ##CJUE
    //c0.lestechnophiles.com/www.numerama.com/content/uploads/2017/02/censure.jpg

  • A Cycle of Renewal, Broken : How Big Tech and Big Media Abuse Copyright Law to Slay Competition | Electronic Frontier Foundation
    https://www.eff.org/deeplinks/2019/08/cycle-renewal-broken-how-big-tech-and-big-media-abuse-copyright-law-slay


    Cory Doctorow explique comment le droit d’auteur sert à freiner le progrès technologique.

    As long we’ve had electronic mass media, audiences and creators have benefited from periods of technological upheaval that force old gatekeepers to compete with brash newcomers with new ideas about what constitutes acceptable culture and art. Those newcomers eventually became gatekeepers themselves, who then faced their own crop of revolutionaries. But today, the cycle is broken: as media, telecoms, and tech have all grown concentrated, the markets have become winner-take-all clashes among titans who seek to dominate our culture, our discourse and our communications.

    How did the cycle end? Can we bring it back? To understand the answers to these questions, we need to consider how the cycle worked — back when it was still working.
    How Things Used to Work

    In 1950, a television salesman named Robert Tarlton put together a consortium of TV merchants in the town of Lansford, Pennsylvania to erect an antenna tall enough to pull down signals from Philadelphia, about 90 miles to the southeast. The antenna connected to a web of cables that the consortium strung up and down the streets of Lansford, bringing big-city TV to their customers — and making TV ownership for Lansfordites far more attractive. Though hobbyists had been jury-rigging their own “community antenna television” networks since 1948, no one had ever tried to go into business with such an operation. The first commercial cable TV company was born.

    We don’t think that companies should be able to make up their own laws, because these turn into “Felony Contempt of Business Model.”

    The rise of cable over the following years kicked off decades of political controversy over whether the cable operators should be allowed to stay in business, seeing as they were retransmitting broadcast signals without payment or permission and collecting money for the service. Broadcasters took a dim view of people using their signals without permission, which is a little rich, given that the broadcasting industry itself owed its existence to the ability to play sound recordings over the air without permission or payment.

    The FCC brokered a series of compromises in the years that followed, coming up with complex rules governing which signals a cable operator could retransmit, which ones they must retransmit, and how much all this would cost. The end result was a second way to get TV, one that made peace with—and grew alongside—broadcasters, eventually coming to dominate how we get cable TV in our homes.

    By 1976, cable and broadcasters joined forces to fight a new technology: home video recorders, starting with Sony’s Betamax recorders. In the eyes of the cable operators, broadcasters, and movie studios, these were as illegitimate as the playing of records over the air had been, or as retransmitting those broadcasts over cable had been. Lawsuits over the VCR continued for the next eight years. In 1984, the Supreme Court finally weighed in, legalizing the VCR, and finding that new technologies were not illegal under copyright law if they were “capable of substantial noninfringing uses.”

    It’s hard to imagine how controversial the VCR was in its day. MPAA president Jack Valenti made history by attending a congressional hearing where he thundered ,"I say to you that the VCR is to the American film producer and the American public as the Boston Strangler is to the woman home alone."

    Despite that unequivocal condemnation, home recording is so normal today that your cable operator likely offers to bundle a digital recorder with your subscription. Just as the record companies made peace with broadcasters, and broadcasters made peace with cable, cable has made its peace with home recording.

    It’s easy to imagine that this is the general cycle of technology: a new technology comes along and rudely shoulders its way into the marketplace, pouring the old wine of the old guard into its shiny new bottles. The old guard insist that these brash newcomers are mere criminals, and demand justice.

    The public flocks to the new technology, and, before you know it, the old guard and the newcomers are toasting one another at banquets and getting ready to sue the next vulgarian who has the temerity to enter their market and pour their old wine into even newer bottles.

    That’s how it used to work, but the cycle has been interrupted.
    The Cycle is Broken

    In 1998, Congress passed the Digital Millennium Copyright Act, whose Section 1201 bans bypassing a “technical measure” that “controls access” to copyrighted works. The statute does not make an exemption for people who need to bypass a copyright lock to do something legal, so traditional acts of “adversarial interoperability” (making a new thing that plugs into an old thing without asking for permission) can be headed off before they even get started. Once a company adds a digital lock to its products, it can scare away other companies that want to give it the broadcasters vs records/cable vs broadcasters/VCRs vs cable treatment. These challengers will have to overcome their fear that “trafficking” in a “circumvention device” could trigger DMCA 1201’s civil damages or even criminal penalties—$500,000 and 5 years in prison...for a first offense.

    When companies like Sony made the first analog TV recorders, they focused on what their customer wanted, not what the winners of last year’s technological battle thought was proper. That’s how we got VCRs that could record off the air or cable (so you could record any show, even major Hollywood movies getting their first broadcast airing) and that allowed recordings made on one VCR to be played on another recorder (so you could bring that movie over to a friend’s house to watch with a bowl of popcorn).

    Today’s digital video products are different. Cable TV, satellite TV, DVDs/HD DVDs/Blu-Ray, and streaming services all use digital locks that scramble their videos. This allows them to threaten any would-be adversarial interoperators with legal reprisals under DMCA 1201, should they have the temerity to make a user-focused recorder for their products. That stifles a lot of common-sense ideas: for example, a recorder that works on all the programs your cable delivers (even pay-per-views and blockbusters); a recorder that lets you store the Christmas videos that Netflix and Amazon Prime take out of rotation at Christmastime so that you have to pay an upcharge to watch them when they’re most relevant; or a recorder that lets you record a video and take it over to a friend’s house or transfer it to an archival drive so you can be sure you can watch it ten years (or even ten minutes from now.

    Since the first record players, every generation of entertainment technology has been overtaken by a new generation—a generation that allowed new artists to find new audiences, a new generation that overturned the biases and preconceptions of the executives that controlled the industry and allowed for new modes of expression and new ideas.

    Today, as markets concentrate—cable, telecoms, movie studios, and tech platforms—the competition is shifting from the short-lived drive to produce the best TV possible to a long-term strategy of figuring out how to use a few successful shows to sell bundles of mediocre ones.

    In a world where the cycle that led to the rise of cable and streaming was still in effect, you could record your favorite shows before they were locked behind a rival’s paywalls. You could search all the streaming services’ catalogs from a single interface and figure out how to make your dollar go farther by automatically assembling a mix of one-off payments and subscriptions. You could stream the videos your home devices received to your phone while you were on the road...and more.

    And just as last year’s pirates — the broadcasters, the cable operators, the VCR makers — became this year’s admirals, the companies that got their start by making new services that centered your satisfaction instead of the goodwill of the entrenched industries would someday grow to be tomorrow’s Goliaths, facing a new army of Davids.

    Fatalistic explanations for the unchecked rise of today’s monopolized markets—things like network effects and first-mover advantage—are not the whole story. They are not unstoppable forces of nature. The cycle of concentration and renewal in media-tech shows us that, whatever role the forces of first-mover advantage and network effects are playing in market concentration, they are abetted by some badly written and oft-abused legal rules.

    DMCA 1201 let companies declare certain kinds of competition illegal: adversarial interoperability, one of the most historically tried-and-true methods for challenging dominant companies, can be made into a crime simply by designing products so that connecting to them requires you to bypass a copyright lock. Since DMCA 1201 bans this “circumvention,” it also bans any competition that requires circumvention.

    That’s why we’re challenging DMCA 1201 in court: we don’t think that companies should be able to make up their own laws, because inevitably, these turn into “Felony Contempt of Business Model.”

    DMCA 1201 is just one of the laws and policies that have created the thicket that would-be adversarial interoperators run up against when they seek to upend the established hierarchy: software patents, overreaching license agreements, and theories of tortious interference with contractual relations are all so broadly worded and interpreted that they can be used to intimidate would-be competitors no matter how exciting their products are and no matter how big the market for them would be.

    #Technologie #copyright #droit_d_auteur

  • « Avec l’œuvre de Jeff Koons, Paris redevient la capitale de l’audace » - Le Parisien
    http://www.leparisien.fr/paris-75/avec-l-oeuvre-de-jeff-koons-paris-redevient-la-capitale-de-l-audace-22-08

    Ici, rien ne se fait simplement. « Il y a des contrats de droit français et de droit américains extrêmement sévères et stricts sur l’interdiction de faire des images sous peine de poursuites judiciaires », prévient déjà Christophe Girard, adjoint de la maire de Paris Anne Hidalgo en charge de la culture.

    #copyright_madness #censure #art #art_contemporain

  • Copyright : la dernière bataille de l’Internet gratuit
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/08/26/copyright-la-derniere-bataille-de-l-internet-gratuit_5502808_3234.html

    « Désastre » pour les uns, « victoire » pour les autres : la directive sur les droits d’auteur divise les acteurs de l’industrie culturelle et ceux du numérique. Mais tous s’accordent sur le fait qu’elle change le visage du Web, dont la gratuité des contenus est un des fondements. L’Internet gratuit vit peut-être ses dernières heures. Du moins en Europe. Le 17 mai 2019, le Journal officiel de l’Union européenne a promulgué la directive sur les droits d’auteur après deux ans de bataille féroce. Objectif : (...)

    #Altaba/Yahoo ! #Apple #Google #Microsoft #Amazon #DailyMotion #Deezer #Facebook #Netflix #Spotify #YouTube #ContentID #Robocopyright #algorithme #législation #copyright #lobbying #surveillance (...)

    ##Altaba/Yahoo_ ! ##web