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RSS: #cosmos

#cosmos

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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 6/11/2020
    5
    @vanderling
    @rastapopoulos
    @monolecte
    @jeanmarie
    @sombre
    5

    Être écoféministe | Jeanne Burgart Goutal
    Les Éditions L’échappée
    ►https://www.lechappee.org/collections/versus/etre-ecofeministe

    Je souhaitais en savoir plus sur l’#écoféminisme, Aude (#merci) m’a recommandé ce #livre. En plus de l’avoir trouvé très intéressant, j’ai appris des choses, l’approche et les arguments avancés résonnent bien avec mes propres ressentis.

    #Oppression des #femmes et #destruction de la #nature seraient deux facettes indissociables d’un modèle de #civilisation qu’il faudrait dépasser : telle est la perspective centrale de l’écoféminisme. Mais derrière ce terme se déploie une grande variété de #pensées et de #pratiques_militantes.
    Rompant avec une approche chic et apolitique aujourd’hui en vogue, ce livre restitue la richesse et la diversité des théories développées par cette mouvance née il y a plus de 40 ans : critique radicale du #capitalisme et de la #technoscience, redécouverte des sagesses et #savoir-faire traditionnels, réappropriation par les femmes de leur #corps, #apprentissage d’un rapport intime au #cosmos…
    Dans ce road trip philosophique alternant reportage et analyse, l’auteure nous emmène sur les pas des écoféministes, depuis les Cévennes où certaines tentent l’aventure de la vie en autonomie, jusqu’au nord de l’Inde, chez la star du mouvement #Vandana_Shiva. Elle révèle aussi les ambiguïtés de ce courant, où se croisent Occidentaux en quête d’alternatives sociales et de transformations personnelles, ONG poursuivant leurs propres stratégies commerciales et #politiques, et #luttes concrètes de femmes et de communautés indigènes dans les pays du Sud.

    #colonialisme #agriculture #intersectionnalité

    https://www.lechappee.org/sites/default/files/styles/couverture_ouvrage/public/images-ouvrages/Etre-ecofeministe_0.png?itok=Fnp2akk8

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 8/03/2021

      #éco-féminisme

      CDB_77 @cdb_77
    • @jeanmarie
      jeanmarie @jeanmarie CC BY-NC-SA 5/05/2021
      @odilon

      Salut @odilon ,
      je ne sais pas pourquoi ton post d’il y a 6 mois, commenté il y a 2, ressort pile la semaine dernière mais ça tombe bien !
      Je l’ai donc offert à une personne qui se posait des questions sur le sujet et ça semble être une bonne porte d’entrée.
      Merci pour le partage :)

      jeanmarie @jeanmarie CC BY-NC-SA
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 5/05/2021
      @jeanmarie

      Hello @jeanmarie , oui, c’est une très bonne entrée en matière. Bonne lecture :)

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @b_b
      b_b @b_b PUBLIC DOMAIN 5/05/2021
      @jeanmarie

      @jeanmarie c’est la magie de #seenthis :p ou plus simplement que quelqu’un que tu suis vient de l’étoiler, mais ça vend moins de rêve...

      b_b @b_b PUBLIC DOMAIN
    • @jeanmarie
      jeanmarie @jeanmarie CC BY-NC-SA 6/05/2021
      @b_b

      @b_b Je prends la 1ère option !

      jeanmarie @jeanmarie CC BY-NC-SA
    • @sombre
      Sombre @sombre CC BY-SA 6/05/2021

      Et donc merci à toutes les personnes de la « team Seenthis » qui gèrent les #algorithmes. Mais cela dépend aussi des paramètres de nos alertes dans le menu préférences .

      Sombre @sombre CC BY-SA
    • @val_k
      ¿’ ValK. @val_k CC BY-NC-SA 23/09/2021

      interview ici : ►https://seenthis.net/messages/930653

      ¿’ ValK. @val_k CC BY-NC-SA
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  • @visionscarto
    visionscarto @visionscarto 5/03/2020

    Cartographie et subjectivité chez Alexander von Humboldt
    ►https://visionscarto.net/humboldt-carto-subjective

    En scrutant minutieusement les différentes cartes réalisées par Alexander von Humboldt, on remarque certaines particularités, des mentions qui, à priori, n’auraient pas lieu de s’y trouver tant elles témoignent de la subjectivité de l’auteur. Ce sont pourtant ces précisions mêmes qui, à ses yeux, faisaient office de preuve de véracité. Elles permettent également de comprendre que le géographe assumait pleinement la relativité du savoir scientifique. par Laura Péaud Maîtresse de conférences en géographie à (...) #Billets

    visionscarto @visionscarto
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 21/04/2020

      Ci-dessous, d’autres textes de #Laura_Péaud, publié en 2019, autour de la figure et de la pensée de #Alexander_von_Humboldt

      #Humboldt #von_Humboldt

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 21/04/2020

      L’#utopie mexicaine d’Alexander von Humboldt

      Dans les années 1820, Alexander von Humboldt décrit à deux de ses correspondants le fonctionnement d’un centre scientifique novateur dont il rêve depuis son retour d’Amérique. Situé idéellement au #Mexique et réunissant des savants du monde entier, ce centre doit réaliser l’utopie rêvée par Humboldt d’une #science_cosmopolite, détachée des contingences politiques et sociales de son temps. A travers l’analyse de cette utopie, cet article montre quelle conception de la #science anime Humboldt et quelle relation ambivalente il entretient avec le monde politique.

      ▻https://www.persee.fr/doc/globe_0398-3412_2019_num_159_1_7742

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 21/04/2020

      Alexandre de Humboldt et les acteurs politiques mexicains (1804-1825)

      ▻https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02518911v1

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 21/04/2020

      The many translations of Humboldt’s #Cosmos

      ▻https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02518896v1

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 21/04/2020

      Science & communication : avec l’émergence de l’Anthropocène, comment la pensée de Humboldt aide à surmonter les déconnections entre l’expertise scientifique et les acteurs sociaux et politiques

      ▻https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02518879v1

      CDB_77 @cdb_77
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 11/04/2019
    4
    @mad_meg
    @simplicissimus
    @7h36
    @reka
    4

    Le Monde en sphères | BnF - Site institutionnel
    ▻https://www.bnf.fr/fr/agenda/le-monde-en-spheres

    https://www.bnf.fr/sites/default/files/2019-02/LMES_couv.jpg

    L’exposition « Le Monde en sphères » relate les origines antiques du modèle cosmologique et astronomique de sphères concentriques, puis la réception et l’évolution de ces théories et représentations à l’époque médiévale, dans le monde arabo-musulman et l’Occident chrétien. Au fur et à mesure que s’affirme le globe terrestre géographique, à la faveur des explorations européennes et de la Renaissance des arts et sciences en Europe aux XVe et XVIe siècles, au fil des révolutions scientifiques de Copernic à Newton et jusqu’aux origines de l’astrophysique moderne, le globe s’enrichit, se transforme, devient un objet familier à haute valeur symbolique, que les artistes s’approprient et réinterrogent à la lumière des défis de leur époque.
    Sphère terrestre, orbes des #planètes et #zodiaque, dans Barthélemy l’Anglais, Livre des propriétés des choses. Copie de 1479-1480. Manuscrit enluminé sur parchemin Paris, BnF, département des Manuscrits

    L’#exposition fait la lumière sur l’« invention » du modèle sphérique dans l’Antiquité gréco-latine. Au VIe siècle avant notre ère émerge une conception de l’univers fondée sur l’observation des mouvements cycliques du #ciel, complétée par une intuition #mathématique sur les propriétés de la #sphère qui en font, aux yeux des savants et des philosophes, la forme la plus juste du #cosmos. S’impose alors le modèle d’un monde clos composé de sphères concentriques portant astres et étoiles autour d’une #Terre sphérique et immobile. Ce modèle est perfectionné par Ptolémée et matérialisé par les premiers globes. La plus ancienne sphère céleste connue, présentée dans l’exposition, date du IIe siècle avant J-C. La présence de la sphère dans les arts antiques illustre par ailleurs sa forte portée symbolique. En témoignent les figures récurrentes des Empereurs tenant un globe - le monde - en leurs mains ou d’Uranie, muse de l’astronomie pointant sa baguette sur un #globe suggérant l’influence des astres sur la destinée humaine.

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @philippe_de_jonckheere
      Philippe De Jonckheere @philippe_de_jonckheere CC BY 13/04/2019
      @odilon

      @odilon Serait-ce une réédition ou une extension de l’exposition que nous avons vue toi et moi au même endroit (la BNF) ?

      Philippe De Jonckheere @philippe_de_jonckheere CC BY
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  • @radio
    Radio Panik @radio 12/12/2018

    Mercredi ! Dans le #Cosmos // 12.12.2018
    ▻http://www.radiopanik.org/emissions/mercredi-/mercredi-dans-le-cosmos-12-12-2018-2

    Au programme ce mercredi !

    L’espace et le cosmos, un sujet qui interroge tant les Hommes. C’est Louise, Nolwenn et Hélène qui vont vous expliquer ce qu’on sait de cet univers si mystérieux.

    Les musiques de l’émission :

    Moteur-fusée - Marc de Blanchard

    Ainsi parlait zarathoustra - Richard Strauss

    Extrait du film Agora

    Crédit photo

    illustration par Minjeong Kang

    #Jeune_Public #Espace #Jeune_Public,Cosmos,Espace
    ▻http://www.radiopanik.org/media/sounds/mercredi-/mercredi-dans-le-cosmos-12-12-2018-2_05850__1.mp3

    • #Cosmos
    Radio Panik @radio
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  • @fil
    Fil @fil 17/09/2016
    2
    @monolecte
    @bug_in
    2

    Incursions extraterrestres - Juste Ciel #5 - CNES
    ▻https://www.youtube.com/watch?v=30RK9uWQddo

    De nombreux témoins racontent des passages furtifs d’objets lumineux dans le ciel. Ces visions peuvent dérouter l’observateur qui ne sait pas ce qu’il vient de voir, surtout lorsque les objets en question s’enflamment ou explosent…

    #espace #ciel via @jbfavre

    Fil @fil
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 17/09/2016

      Le mardi, nous parlons de #planètes et donc, d’espace. Il est partout, partout autour de nous, et partout à l’intérieur de nous, dans l’espace, le #cosmos et dans les plus petites particules quantique. Et pourtant, nous ne savons toujours pas exactement ce que c’est que #le_vide. Ajoutez à cela un soupçon de conception taoïste de l’univers, et vous obtiendrez « La plénitude du vide », le nouveau livre de notre invité qui examine, depuis l’antiquité jusqu’à nos jours, cette curieuse notion du vide, un vide étrangement plein, sans aucun passage à vide.
      L’univers est-il vide ? C’est le problème que nous allons tenter de résoudre avec notre invité dans l’heure qui vient. Bienvenue dans La Méthode scientifique.
      #Trinh_Xuan_Thuan est de passage en France pour la sortie de son livre La plénitude du vide chez Albin Michel.
      Il est #astrophysicien, enseignant à l’université de Virginie aux Etats-Unis ainsi qu’à l’Institut d’astrophysique de Paris. Parmi ses faits d’armes, il a notamment découvert grâce à l’analyse des données du télescope spatial #HUBBLE la plus jeune galaxie connue de l’univers.

      Visionnez le film CNRS Images dont l’archive du jour est tirée : L’origine de l’univers (Françoise Combes)
      ▻http://youtu.be/WciftCBuNhk


      ▻http://www.franceculture.fr/emissions/la-methode-scientifique/trinh-xuan-thuan-lunivers-est-il-vide

      Vanderling @vanderling
    • @fil
      Fil @fil 28/09/2016

      Du big sky à l’espace pollué : l’effet boomerang des débris spatiaux - par Arnaud Saint-Martin
      ▻https://www.cairn.info/revue-mouvements-2016-3-page-36.htm

      Fil @fil
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  • @rezo
    Rezo @rezo 26/08/2015
    5
    @solitudemaisdishuits
    @loloster
    @fil
    5

    Brassens dans le Cosmos
    ▻http://www.bouletcorp.com/2015/08/25/brassens-dans-le-cosmos

    « Voici les cieux, frappés d’alignement »... Voyez-vous, Monsieur Georges, cette chanson m’a toujours un peu agacé... J’y ai toujours lu un reproche à la science : celui d’avoir tué la poésie. Source : bouletcorp

    Rezo @rezo
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 26/08/2015

      #espace #astronomie #univers #cosmos #Brassens #poésie #BD #bande_dessinée #Bouletcorp

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @loloster
      loloster @loloster 28/08/2015

      Une fois les Dieux chassés du firmament, y verrons-nous enfin des lumières dans l’obscurité ?

      loloster @loloster
    • @fil
      Fil @fil 8/09/2015

      http://www.bouletcorp.com/wp-content/uploads/2015/08/Cosmos-SoleilComplet.gif

      Fil @fil
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 13/08/2015
    1
    @sombre
    1

    Les nuits lumineuses de Beth Moon
    ▻http://www.kaizen-magazine.com/les-nuits-lumineuses-de-beth-moon

    Des chercheurs de l’Université d’Édimbourg ont récemment montré l’influence positive de l’énergie émise par les rayons cosmiques sur le développement des arbres. Ce constat scientifique a largement inspiré l’Américaine Beth Moon pour la réalisation de Diamond Nights, une envoûtante série de photographies. Cette amoureuse des arbres – dont nous dévoilions la série Portraits of Time il y a quelques mois – présente ici des clichés pris dans l’hémisphère sud de l’Afrique où la pollution lumineuse brille par son absence. Et nos yeux sont absorbés.

    « Quand la nuit tombe sur le pan de Makgadigadi, les grands arbres se tiennent nettement à l’horizon – les branches dénudées de feuilles atteignent alors la lumière. Quand le soleil tombe, le ciel se vide de ses couleurs pour ne garder que ses tons rougeâtres. De l’autre côté du ciel, l’ombre de la Terre se lève, portant un rideau d’indigo et la promesse d’une nuit claire. Science et art fusionnent comme une myriade d’étoiles incandescentes qui se dessoudent indéfiniment, et nos pensées suivent. »

    Beth Moon

    #étoiles #cosmos #ciel #nuit #arbres #vie #photographie #magnifique #poésie #imaginaire #couleurs

    http://www.kaizen-magazine.com/wp-content/uploads/2015/07/Beth-Moon-1.jpg http://www.kaizen-magazine.com/wp-content/uploads/2015/07/Beth-Moon-4.jpg http://www.kaizen-magazine.com/wp-content/uploads/2015/07/Beth-Moon-5.jpg http://www.kaizen-magazine.com/wp-content/uploads/2015/07/Beth-Moon-7.jpg http://www.kaizen-magazine.com/wp-content/uploads/2015/07/Beth-Moon-9.jpg

    Le site de Beth_Moon
    ▻http://www.bethmoon.com/index.html

    • #Beth Moon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND
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  • @reka
    Reka @reka CC BY-NC-SA 11/08/2015
    2
    @freakonometrics
    @02myseenthis01
    2

    Vu à Tukums - Août 2015

    Cartes de voeux soviétiques :

    https://farm1.staticflickr.com/498/19862513543_b0f52c2d86_o_d.jpg

    1962

    https://farm1.staticflickr.com/495/20295394638_1cfee164df_o_d.jpg

    1968

    https://farm1.staticflickr.com/564/20483438775_a434b25b45_o_d.jpg

    1973

    https://farm1.staticflickr.com/255/20474676812_62b349e336_o_d.jpg

    1974

    https://farm1.staticflickr.com/511/20296760529_8ed3a91738_o_d.jpg

    1976

    #image #ex-urss #cosmos #soviétisme #lettonie

    Reka @reka CC BY-NC-SA
    • @reka
      Reka @reka CC BY-NC-SA 12/08/2015

      Sur FB, Sophie Hochhäusl (qui a publié un magnifique article à propos des oeuvres premières d’Otto Neurath sur Visionscarto.net) m’envoie trois cartes postales pour compléter ce billet. Et je la remercie chaleureusement.

      https://farm1.staticflickr.com/567/19890762344_e3ca7920e0_o_d.jpg https://farm1.staticflickr.com/494/20504577922_db9de25689_o_d.jpg https://farm1.staticflickr.com/551/20513425885_c7538d480c_o_d.jpg

      Reka @reka CC BY-NC-SA
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  • @reka
    Reka @reka CC BY-NC-SA 11/08/2015
    2
    @gastlag
    @02myseenthis01
    2

    Vu à Riga IV - Août 2015

    Qu’est devenu le légendaire cinéma soviétique de Riga « Les pionniers » (Kino Pioneris) construit dans les années 1970 ?

    https://farm1.staticflickr.com/446/19857483443_57e54fb53f_o_d.jpg

    –---------

    https://farm4.staticflickr.com/3812/20478394615_fb30f12aa9_o_d.jpg

    En 2015, c’est devenu une boite de nuit à la mode.
    –---------

    http://fotokvartals.lv/wp-content/uploads/2012/03/Upitis13.jpg http://fotokvartals.lv/wp-content/uploads/2012/03/Upitis18.jpg

    Cinéma « Cosmos » à Riga en 1962 (cadeau Bonus)

    source : ▻http://fotokvartals.lv/2012/03/15/valdemars-upitis
    –—

    #riga #lettonie #cinéma #kino #architecture #photographie #cosmos #pionniers #soviétisme

    Reka @reka CC BY-NC-SA
    • @reka
      Reka @reka CC BY-NC-SA 1/08/2018

      Juillet 2018

      https://dl.dropbox.com/s/p1596tqam3ur6qr/riga%20kino%20teatri%20pionniers%202018.jpg?dl=0

      Reka @reka CC BY-NC-SA
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  • @touti
    vide @touti 17/03/2015
    1
    @geneghys
    1

    L’Informatisation en service social... du rêve au cauchemar !

    ▻http://fr.scribd.com/doc/119269562/L-Informatisation-en-service-social-du-reve-au-cauchemar

    Peut-on encore parler de travail humain ? Et ce, d’autant plus que l’assujettissement qu’exigent ces « machines » numériques imposent non seulement aux hommes de ne pas penser, de s’adapter aux signes informatiques sans recourir à la pensée, mais encore d’intégrer les normes et les forces symboliques qui n’ont aucun rapport avec les significations concrètes et réelles des objets et des pratiques de leur existence. Naguère, les « chefs » devaient veiller à la docilité du travailleur, à ce qu’il se soumette à quelques fonctions exigées par la machine (d’un nombre fini) ; désormais c’est l’organisation bureaucratique avec son traitement statistique de toutes les données et sa rhétorique d’expertise qui donne aux chefs une légitimité au développement infini de l’#oppression_sociale.
    La néo-évaluation est le nom de cette nouvelle perte de pensée et de subjectivité des professionnels assujettis à l’automatisme numérisé, aux nouveaux rapports de production et d’échange découlant du (modèle du) marché financier. Quitte à ce que s’aggrave encore la perte du « monde commun », phénomène qui est le propre de nos sociétés modernes ».
    8
    Des assistantes sociales ne trouvent plus de sens à leur travail parce que les tâches administratives sont démultipliées, l’empilement de dispositifs cache l’injustice sociale, et enfin la relation humaine est reléguée au second plan

    …

    À ceux qui brandissent l’archaïsme pour justifier le suivisme d’une modernisation forcée, nous répondons que nous n’avons pas besoin de l’outil informatique pour interférer dans notre relation avec les personnes reçues et dans notre savoir-faire. Il veut s’immiscer entre les personnes et nous, il provoque la méfiance et le doute,il veut éloigner les collègues les unes des autres. Nous voulons garder notre subjectivité, notre ressenti, notre savoir-faire et notre pensée.
    Les constats faits au sein de l’Éducation Nationale ou à l’époque du lancement des logiciels ANIS et ANAISS à la CRAM 16 mériteraient qu’au service social de la Seine Saint Denis,nous prenions le temps de la réflexion et que nous n’acceptions pas un oubli de notre savoir- faire et une occultation du service public que nous devons rendre tous les jours aux personnes que nous recevons.

    #COSMOS #informatisation #travailleurs_sociaux #précarité #fichage_social #données_personnelles

    voir aussi ▻http://seenthis.net/messages/351999

    vide @touti
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  • @filmsforaction
    filmsforaction [RSS] @filmsforaction 30/07/2014

    Journey of the Universe
    ▻http://www.filmsforaction.org/watch/journey-of-the-universe

    Re-imagine the universe’s story and see the human connection to the cosmos in new ways. Author and evolutionary philosopher Brian Thomas Swimme shares his infectious curiosity about life’s biggest...

    • #author
    filmsforaction [RSS] @filmsforaction
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 30/07/2014

      #cosmos #univers #Brian_Thomas_Swimme

      CDB_77 @cdb_77
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  • @koldobika
    koldobika @koldobika CC BY-NC-SA 5/07/2014
    14
    @monolecte
    @vazi
    @rastapopoulos
    @gastlag
    @odilon
    @7h36
    @reka
    @sombre
    @02myseenthis01
    @goom
    @parpaing
    @die_brucke
    @unagi
    14

    Le Jardin de Babylone - Bernard Charbonneau (Encyclopédie des nuisances, 2002)
    ►http://biosphere.ouvaton.org/de-1182-a-1999/1780-1969-le-jardin-de-babylone-de-bernard-charbonneau-encycloped
    Texte écrit en 1969, extrêmement visionnaire et complet

    « La #nature est à la fois la mère qui nous a engendrés, et la fille que nous avons conçue. A l’origine, il n’y avait pas encore de nature. L’homme ne s’était pas encore distingué d’elle pour la considérer. Individus et société étaient englobés dans le #cosmos. C’est en Judée que naquit la nature, avec la Création : Jahvé a profané le cosmos et l’homme peut y porter la main. Même provisoirement écrasée, la révolte de la liberté humaine était à tout jamais déchaînée. Alors grandirent parallèlement la maîtrise et le #sentiment_de_la_nature. La science pénétra le mécanisme du cosmos, et ainsi la #technique permit de la transformer. Le sentiment de la nature apparaît là où le lien avec le cosmos est rompu, quand la terre se couvre de maisons et le ciel de fumées ; là où est l’#industrie, ou bien l’#Etat. La #campagne s’urbanise, et l’Europe devient une seule banlieue. Mais quand la nature vient à disparaître, c’est l’homme qui retourne au chaos.

    1/5) Reconstruction de la nature, fin de la nature
    L’intervention puissante et aveugle de l’homme risque de rompre l’équilibre fragile dont l’homme est issu. Le souci de la #productivité s’attache trop au présent, pas assez à l’avenir ; alors vient un jour où le #rendement baisse. Si la production continue d’augmenter indéfiniment, alors se posera un autre problème, celui de l’élimination des déchets. Trop souvent, au constat de l’épuisement du milieu naturel, les fidèles du progrès opposent un acte de foi : « On trouvera bien un moyen. » Or il y a de fortes chances que nous soyons obligés de reconstituer à grand frais les biens qui nous étaient fournis par la nature ; et ceci au prix de discipline autant que d’efforts. L’homme naît de la nature comme au sein d’une mère. Là où elle disparaît, la société moderne est obligée de fabriquer une surnature, l’homme devra réempoissonner l’océan comme il empoissonne un étang. Mais alors l’homme doit imposer à l’homme toute la rigueur de l’ordre que le Créateur s’est imposé à lui-même. En substituant dans cette recréation l’inhumanité d’une police totalitaire à celle d’une nature totale.

    Si l’homme dépasse la nature, il en est aussi le fruit. Aussi voit-on se développer dans les sociétés industrielles et urbaines un « sentiment » de nature qui reflète la gravité de la rupture avec le cosmos. Ainsi au siècle de l’artifice, nous avons la passion de cette nature que nous détruisons. Le sentiment de la nature est à la fois profond et extérieur à la vie des individus ; il se nourrit d’apparences, son domaine est celui de la peinture et du spectacle. Sauf exception, nous aimons la nature, mais nous craignons d’y vivre.

    2/5) La fin des paysans
    « Là où il existe, le #paysan est l’homme du pays, il est englobé dans la pulsation du cosmos. L’Eden terrestre n’est pas un don de Dieu, mais le fruit de la peine, moissonneurs des plaines courbés sur l’horizon. Au siècle de la division du travail le paysan est l’homme des cultures et des travaux multiples. Jusqu’en 1914, il fallait prendre la carriole à la gare pour gagner le village, et parfois du village c’est à pied qu’il fallait gagner l’encart. Jusqu’en 1945 l’industrie agricole n’existait vraiment qu’aux USA et dans quelques pays neufs. Maintenant des machines toujours plus puissantes ébranlent son univers. La campagne doit se dépeupler pour accueillir le peuple des tracteurs. Il n’y a plus de nature ni d’homme qui puisse tenir devant l’impitoyable tracé des raisons de l’Etat ou de la Production. Des lois déracinent les peuples comme le bulldozer les haies.

    L’instruction primaire obligatoire fut une sorte de #colonisation bourgeoise de la campagne. En même temps qu’il apprenait à lire et à écrire, le jeune paysan devait désapprendre : sa langue et son folklore. Les instituteurs de la IIIe République participèrent d’autant plus à cette entreprise de colonisation qu’ils étaient fils de paysans, pour lesquels devenir bourgeois était une promotion sociale. On peut imaginer une évolution différente où l’école eût continué l’Eglise dans le village, s’insérant dans la nature et la tradition en leur ajoutant, avec l’instruction, la dimension de la conscience. Mais les manuels scolaires, qui se lamentaient de la « dépopulation » des campagnes, se mirent à déplorer leur surpopulation.

    Le plan Monnet a déraciné les paysans que 1789 avait enracinés en leur donnant la terre. Comment des ingénieurs auraient-ils pu concevoir la campagne autrement que comme une industrie ? Dans cette optique, la campagne française était évidemment « sous-développée ». Le plan prévoyait le passage d’une agriculture de subsistance à une agriculture de marché qui intégrait le paysan dans le cycle de l’argent et de la machine. Le paysan vivait sur la propriété de polyculture familiale, maintenant il se spécialise. La monoculture le fait dépendre du marché. Désormais il lui faut acheter pour vendre, et vendre pour acheter, le superflu dont il commence à prendre l’habitude, et le nécessaire : les machines, les engrais, et même la nourriture. Les critères du plan furent exclusivement techniques : rendements à l’hectare, consommation d’énergie, possession d’une auto ou d’un téléphone. Certains facteurs ne furent pas pris en compte : la conservation des sols, la saveur des produits, l’espace, la pureté de l’air ou de l’eau. A plus forte raison certains facteurs humains comme le fait d’être son propre maître. La vie à la campagne comportait un relatif isolement, la participation à un groupe retreint mais aux liens solides ; et voici que l’organisation administrative et syndicale, la diffusion de l’instruction et de la presse, de la TV, absorbent les paysans dans la société globale.

    La seconde révolution industrielle, celle des hydrocarbures et de la chimie, va s’imposer aux campagnes européennes. La machine va trop vite pour la pensée : son usage précède toujours la conscience de ses effets. La tronçonneuse ne laisse plus le temps de la réflexion comme la hache. Si on peut abattre un chêne en quelques secondes, il faut toujours un siècle pour le faire. Le tracteur n’est plus le monopole du très grand propriétaire, les produits chimiques diminuent le travail du paysan, mais comme il faut les payer, il faut d’autant plus travailler. La petite exploitation n’était pas rentable. Le progrès technique signifie la concentration, la mécanisation engendre la grande exploitation. Le ruisseau n’est plus que l’effluent d’un terrain saturé de chimie et il suffit de quelques pompes-canons pour le tarir. Qu’est devenue la vie secrète des vallons ? Il n’y a plus que l’eau morte des retenues collinaires. Le travail devient vraiment du travail, c’est-à-dire du travail d’usine. Avant peu, les paysans réclameront à leur tour le droit de passer leurs vacances à la campagne.

    L’électrification et l’adduction d’eau multiplient les tâches en intégrant le paysan dans le système urbain. L’#aménagement_du_territoire, ou plutôt le déménagement, étendit ses méthodes à la campagne. La grande presse, et surtout la TV, achèvent d’entraîner la campagne dans le circuit des villes. Avant la dernière guerre, la ville gagnait dans la campagne, maintenant elle la submerge. C’est ainsi qu’à la France des paysages succède celle des terrains vagues. Et bientôt la France rurale ne sera plus que la banlieue de Paris. La campagne n’est plus qu’un élément d’une seule économie dont la ville est le quartier général. Le reste n’est plus que terrain industriel, aérodromes, autostrades, terrain de jeu pour les citadins. Partout pénètrent les autos, et avec elles les masses, les murs : la ville.

    3/5) Le cancer de l’urbanisation
    Les villes anciennes étaient beaucoup moins nombreuses et beaucoup plus petites que les nôtres. Elles étaient perdues dans la nature. En hiver, la nuit, les loups venaient flairer leurs portes, et à l’aube le chant des coqs résonnait dans leurs cours. Puis un jour, avec le progrès de l’industrie, elles explosèrent, devenant un chaos. Le signe le plus voyant de la montée du chaos urbain c’est la montée des ordures. Partout où la population s’accumule, inexorablement l’air s’épaissit d’arômes, l’eau se charge de débris. La rançon du robinet, c’est l’égout. Sans cesse nous nous lavons, ce n’est plus une cuvette qui mousse, mais la Seine.

    Les villes sont une nébuleuse en expansion dont le rythme dépasse l’homme, une sorte de débâcle géologique, un raz de marée social, que la pensée ou l’action humaine n’arrive plus à dominer. Depuis 1960, il n’est plus question de limiter la croissance de Paris, mais de se préparer au Paris de vingt millions d’habitants dont les Champs-Élysées iront jusqu’au Havre. Les tentacules des nouveaux faubourgs évoquent irrésistiblement la prolifération d’un tissu cancéreux. La ville augmente parce qu’elle augmente, plus que jamais elle se définit comme une agglomération. La ville augmente parce que les hommes sont des êtres sociaux, heureux d’être nombreux et d’être ensemble. Il est bien évident qu’elle n’est pas le fruit d’un projet.

    Les hommes se sont rassemblés dans les villes pour se soustraire aux forces de la nature. Ils n’y ont que trop bien réussi ; le citadin moderne tend à être complètement pris dans un milieu artificiel. Non seulement dans la foule, mais parce que tout ce qu’il atteint est fabriqué par l’homme, pour l’utilité humaine. Au milieu des maisons, les hommes ont amené de la terre, construit un décor. Les usagers des jardins publics sont trop nombreux : regardez, mais ne touchez pas. Les coûts de Mégalopolis grandissent encore plus vite que sa taille. Il faut faire venir plus d’énergie, plus d’eau. Il faut assurer le transport des vivants, se débarrasser des cadavres et autres résidus. Il boit une eau qui n’est plus que celle, « recyclée » de ses égouts, la ville en est réduite à boire sa propre urine. Je propose en plus d’estimer en francs le mètre carré ou le mètre cube d’air pur, comme le kilowatt. Le XIXe siècle avait ses bagnes industriels, le nôtre a l’enfer quotidien du transport. Mégalopolis ne peut être sauvée que par le sacrifice, chaque jour plus poussé, de ses libertés.

    Après le style primitif, après l’ordre monarchique, le désordre de la période individualiste, la ruche monolithique d’une collectivité totalitaire. Si nous n’y prenons garde, en supposant un meilleur des mondes sans crise ni guerre, nous finirons dans une caverne climatisée, isolée dans ses propres résidus ; où nous aurons le nécessaire : la TV en couleur et en relief, et où il nous manquera seulement le superflu : l’air pur, l’eau claire et le silence. La ville pourrait bien devenir le lieu de l’inhumanité par excellence, une inhumanité sociale. Peut-être que si la science réussit à rendre l’individu aussi indifférencié qu’une goutte d’eau, la ville pourra grandir jusqu’à submerger la terre. Peut-être que le seul moyen de mettre un terme à la croissance inhumaine de certaines agglomérations est de laisser la pénurie atteindre un seuil qui, en manifestant avec éclat l’inconvénient d’y vivre, découragera les hommes d’y affluer.

    Le citadin s’est libéré en s’isolant du cosmos ; mais c’est ainsi qu’il a perdu sa liberté. Aujourd’hui, pour être libre, prendre des vacances, c’est sortir de la ville.

    4/5) Le tourisme, produit de l’industrie
    Pour les primitifs et les paysans, rien n’est plus étranger que l’idée de voyager. Ceux qui ont traversé les pays ignorés du tourisme savent à quel point leurs habitants sont surpris de voir un homme qui se déplace pour son plaisir. A l’origine, l’homme ne change de lieu que contraint par une nécessité supérieure : pour fuir un ennemi, s’enrichir, ou obéir à l’ordre d’un dieu. Pour le Moyen Age, le voyageur, c’est le pèlerin ou le trafiquant. Le voyage généralisé apparaît lorsque les conditions économiques et sociales permettent à l’individu de rompre avec son milieu. Il naît avec la richesse, la sécurité des routes, la curiosité et l’ennui. Le premier touriste, ce fut peut-être l’empereur Hadrien. Au contraire, le goût des voyages décroît avec la misère et l’insécurité. Le temps des invasions n’est jamais celui du tourisme ; alors l’individu se cramponne au sol pour subsister. Comme autrefois, il n’est pas assez d’une existence pour connaître vraiment son canton, parce qu’il lui faut avancer pas à pas. Et le quitter pour un autre, c’est le perdre.

    Le #tourisme commence au XVIIIe siècle, et d’Angleterre il gagne l’Europe. Le voyage n’est plus le fait d’une aristocratie, il devient celui d’une classe sociale tout entière : la bourgeoisie, et finalement les masses populaires. Pour un homme des villes, vivre physiquement et spirituellement, c’est retourner à la nature. Accablés de vêtements et d’artifices, nous nous étendons nus sur le sable. Ce sont les hommes de l’auto et de l’avion qui escaladent à pied les montagnes. La sympathie pour les sociétés indigènes aboutira tout au plus à un folklore pour touristes plaqué sur un abîme d’uniformité. On enfermera les derniers hommes sauvages, comme les derniers grands mammifères, dans des réserves soigneusement protégées, où ils joueront le rôle du primitif devant un public de civilisés. Le parc national n’est pas la nature, mais un parc, un produit de l’organisation sociale : le jardin public de la ville totale. C’est la terre entière qui devrait devenir un parc national ; tandis que la masse humaine irait vivre sous cloche dans quelque autre planète.

    La nature reste l’indispensable superflu de la société industrielle. La nature est photogénique ; notre civilisation de l’image est portée à l’exploiter pour compenser la rationalité de son infrastructure mathématique. Les mass media diffusent quotidiennement les mythes de la Mer, de la Montagne ou de la Neige. Le touriste n’est qu’un voyeur pour lequel le voyage se réduit au monument ou au site classé. Partout l’artifice cherche à nous restituer la nature. Isolé de la nature dans son auto, le touriste considère d’un œil de plus en plus blasé le plat documentaire qui se déroule derrière le miroir. Admirer les glaciers à travers les vitres d’un palace n’empêche pas de se plaindre de la faiblesse du chauffage. Un touriste ne vit pas, il voyage ; à peine a-t-il mis pied à terre que le klaxon du car le rappelle à l’ordre ; le tourisme et la vraie vie ne se mélangent pas plus que l’huile et l’eau. Avec la société capitaliste, le tourisme est devenu une industrie lourde. L’agence de tourisme fabrique à la chaîne quelques produits standard, dont la valeur est cotée en bourse. Il n’y aura plus de nature dans la France de cent millions d’habitants, mais des autoroutes qui mèneront de l’usine à l’usine – chimique ou touristique.

    L’auto, qui nous permet de nous déplacer aisément, par ailleurs nous enferme. Certains massifs de Pyrénées dépourvus de routes sont moins fréquentés qu’à l’époque de Russel et de Chausenque. Mais demain, le bulldozer permettra aux modernes centaures d’envahir partout la montagne, sans risque d’abîmer leurs délicats sabots de caoutchouc. Il faut du nouveau à l’individu moderne, n’en fût-il plus au monde. Le touriste change de lieu chaque fois plus vite – jusqu’au moment où le voyageur n’est plus qu’un passager affalé qui ronfle dans le fauteuil d’un avion lancé à mille à l’heure. Ce qui rend les voyages si faciles les rend inutiles. L’avion fait de Papeete un autre Nice, c’est-à-dire un autre Neuilly. Les temps sont proches où l’avion pour Honolulu n’aura pas plus de signification que le métro de midi. Tourisme ? Exactement un circuit fermé qui ramène le touriste exactement à son point de départ. A quoi bon l’auto qui permet de sortir de la ville, si elle nous mène au bord d’un autre égout ? Sur deux cents kilomètres de plage landaise, il n’est pas un feston de la frange des vagues qui ne soient ourlé par les perles noires du mazout. Et le soir, à la villa, le bain d’essence devient le rite complémentaire du bain de mer. On pouvait voir les bancs de perche évoluer dans les algues par trois mètres de fond dans l’étang de Biscarosse ; selon un rapport du Muséum il est aujourd’hui classé dans la quatrième catégorie, le maximum de pollution. La paix de l’hiver est rompue par les skieurs, le blanc des neiges, piétiné et balafré, n’est plus qu’un terrain vague maculé de débris et de traces. La montagne est mise à la portée des masses payantes. Mais est-elle encore la montagne ? Il n’y a plus de montagne ; il ne reste qu’un terrain de jeu. Le domaine du loisir étant celui de la liberté, pourquoi dépenser des milliards à couvrir les montagnes de téléphériques pour hisser le bétail humain sur les crêtes ? Aujourd’hui sites et monuments sont plus menacés par l’admiration des masses que par les ravages du temps. On voit venir le moment où les lieux les plus célèbres se reconnaîtront au fait que la visite en est interdite.

    Rien n’empêche la société industrielle d’enfermer la momie de Thoreau dans la vitrine de la littérature bucolique. Si nous voulons retrouver la nature, nous devons d’abord apprendre que nous l’avons perdue.

    5/5) Conclusion : échec et résurrection du sentiment de la nature
    Il n’est pas de lieu plus artificiel que ceux où la nature est vendue. Si un jour elle est détruite, ce sera d’abord par les industries de la mer et de la montagne. Si un « aménagement du territoire » désintéressé et intelligent s’efforce d’empêcher le désastre, il ne pourra le faire qu’au prix d’une organisation raffinée et implacable. Or l’organisation est l’exacte antithèse de la nature. Le « sentiment de la nature » s’est laissé refouler dans le domaine du loisir, du superflu et du frivole. La révolte naturiste n’a engendré qu’une littérature et non une révolution. Le scoutisme n’a pas dépassé l’enfance.

    Les passionnés de la nature sont à l’avant-garde de sa destruction : dans la mesure où leurs explorations préparent le tracé de l’autostrade, et où ensuite pour sauver la nature ils l’organisent. Ils écrivent un livre ou font des conférences pour convier l’univers à partager leur solitude : rien de tel qu’un navigateur solitaire pour rassembler les masses. L’amoureux du désert fonde une société pour la mise en valeur du Sahara. Cousteau, pour faire connaître le « monde du silence », tourna un film qui fit beaucoup de bruit. Le campeur passionné par les plages désertes fonde un village de toile. Ainsi, réaction contre l’organisation, le sentiment de la nature aboutit à l’organisation.

    En réalité il n’y a probablement pas de solution au sein de la société industrielle telle qu’elle nous est donnée. L’organisation moderne nous assure le superflu en nous privant du nécessaire. En dehors de l’équilibre naturel dont nous sommes issus, nous n’avons qu’un autre avenir, un univers résolument artificiel, purement social. L’homme vivra de la substance de l’homme, dans une sorte d’univers souterrain. Si l’espèce humaine s’enfonçait ainsi dans les ténèbres, elle n’aurait fait qu’aboutir à la même impasse obscure que les insectes. A moins qu’on ne s’adapte pour grouiller comme des rats dans quelque grand collecteur. Que faire ?

    La nature n’est pas une mère au sens sentimental du terme, elle est la Mère : l’origine de l’homme. L’homme doit péniblement se maintenir entre ces deux abîmes : la totalité cosmique et la totalité sociale ; et c’est ce terme même de nature qui lui indique où est son étroit chemin. Il faudra dominer l’industrie comme on a dominé la nature. Il nous faut réviser nos notions de nécessaire et de superflu. Il faut affronter le standard de vie, les investissements, les fusées et la bombe atomique pour choisir l’air pur. Ce n’est que si l’homme est capable de se dominer qu’il pourra continuer de dominer la terre. La solution suppose un renversement des valeurs. Il faut que la fin : la nature pour les hommes, commande les moyens : la science, l’industrie, l’Etat. Pour nous et surtout pour nos descendants, il n’y a pas d’autres voies qu’une véritable défense de la nature. Désormais toute entreprise devrait être envisagée en tenant compte de la totalité de l’équilibre qu’elle perturbe. Les hommes qui se voueraient à une telle révolution pourraient constituer une institution, indépendante des partis ou des Etats, consacrée à la défense de la nature. Elle se considérerait comme une sorte d’ordre, imposant à ses membres un certain style de vie, qui les aiderait à prendre leurs distances vis-à-vis de la société actuelle. Ils pratiqueraient une sorte d’objection de conscience. La merveille de Babylone est ce jardin terrestre qu’il nous faut maintenant défendre contre les puissances de mort.

    #ruralité #paysannerie #urbain_diffus #banlieue_totale #administration_du_désastre #wilderness #écoumène #critique_techno #système_technicien #déracinement #effet_rebond #hors_sol #soleil_vert #contre-productivité

    • #Le Jardin
    • #Bernard Charbonneau
    koldobika @koldobika CC BY-NC-SA
    • @koldobika
      koldobika @koldobika CC BY-NC-SA 20/07/2015

      houlà oui, c’est très très bas de plafond ce passage-là.
      visiblement y a à boire et à manger sur ce site, faut faire le tri.

      koldobika @koldobika CC BY-NC-SA
    • @martin5
      Nouvel auteur @martin5 20/07/2015

      A relire ici Charbonneau, il me semble y trouver bien plus de raisons qu’il ne m’a été nécessaire d’en réunir pour chercher à cesser de penser nos existences en fétichisant comme lui la Nature - mère ou non, peu importe - et en se mettant en travers de la pensée un dualisme aussi sclérosant que nature vs culture.

      Si je fais volontiers mien ses constats historiques quant à la dévastation à laquelle il assiste, je ne suis pas du tout en accord avec la manière dont il prétend trancher -

      l’origine de l’homme. L’homme doit péniblement se maintenir entre ces deux abîmes : la totalité cosmique et la totalité sociale ; et c’est ce terme même de nature qui lui indique où est son étroit chemin.

      , etc ;
      ou des perspectives aussi clairement exprimées que celles-ci (c’est moi qui graisse ) :

      Ce n’est que si l’homme est capable de se dominer qu’il pourra continuer de dominer la terre. La solution suppose un renversement des valeurs. Il faut que la fin : la nature pour les hommes ,

      [...]

      Les hommes qui se voueraient à une telle révolution pourraient constituer une institution , indépendante des partis ou des Etats, consacrée à la défense de la nature. Elle se considérerait comme une sorte d’ordre ,

      Voilà qui me semblent quant à moi tout aussi sinistres (il y a dans un tel propos naturaliste quelque chose qui sonne banalement chrétien -

      dominer la terre, la nature pour l’homme

      - voir fasciste à mes oreilles : le naturalisme s’y donne assez vite à voir se prenant les pieds dans son propre tapis culturel) - et participer de - cela même que l’auteur croit critiquer et combattre.

      Lisant cela, l’innocence naturalisme des hétérosexistes anti-industriels (ou l’hétérosexisme innocent des naturalistes anti-industriels) dont Aude cite un morceau de choix me surprends finalement assez peu ; il procède assez clairement de vieilles carences critiques qu’il partage avec ceux dont il se réclame.

      (autres morceaux de bravoure hétérosexiste issu du même site - là encore, je graisse :

      Sur ce blog, nous n’avons aucune préférence religieuse et une seule éthique, la volonté d’être à l’écoute d’une nature … qui nous a fait homme ou femme . La volonté des gays et lesbiennes de se marier et d’avoir un enfant est une forme de discrimination envers l’autre sexe [tiens donc : mais lequel ?] : un couple hétéro est naturellement dédié à une relation sexuelle et seul capable d’assurer la reproduction nécessaire à l’espèce. L’homosexualité, c’est donc la volonté de transcender les limites naturelles et sociales en s’accaparant du mariage [sic] , une institution jusque là réservé à l’union d’un homme et d’une femme

      ▻http://biosphere.blog.lemonde.fr/2012/11/23/mariage-des-homosexuels-lois-de-la-nature-et-socialisme
      et en commentaire, cet accès de délirium :

      la revendication d’une ultra-minorité d’activistes qui parlent le langage de l’égalitarisme idéologique, synonyme de dé-différenciation.

      - où l’on retrouve notre vieil ami Escudero dans le texte...

      .
      C’est ballot pour eux, mais je préfère de loin consacrer du temps... aux écrits des féministes matérialistes, par exemple, qu’à grenouiller en compagnie de pareil tissu d’imbécilité béate).

      Nouvel auteur @martin5
    • @koldobika
      koldobika @koldobika CC BY-NC-SA 21/07/2015

      Oui il y a certains trucs qui ont mal vieilli dans le texte de Charbonneau, notamment dans les pistes qu’il propose. Aussi un autre terme que « dominer » aurait sûrement été choisi s’il avait écrit son texte aujourd’hui.
      Pour ma part sur ces questions je reste sur la grille #écoumène vs #wilderness, qui a l’avantage de trancher la fausse dichotomie nature/culture et de rappeler que l’humain et ses milieux se co-créent (partout, localement et sans avoir recours à des institutions) et que le souci est là où cette co-creation n’a plus lieu.

      koldobika @koldobika CC BY-NC-SA
    • @martin5
      Nouvel auteur @martin5 22/07/2015
      @koldobika

      @koldobika

      Je me suis attelé depuis plusieurs mois à la découverte (passionnante) des travaux de A. Berque.
      malgré quelques limites évidentes (un ton facilement universaliste abstrait), je dois dire que j’en trouve la lecture des plus stimulantes. Son érudition est parfois à double tranchant : autant je me régale à le suivre dans ses références, ses rapprochements et ses comparaisons... et parfois, il me semble qu’il se complaît dans ce qui ressemble tout de même à du jargon. Et, par exemple, ses références à Heidegger ne sont pas de mon goût.

      Heureusement, il y a bien d’autres choses chez lui, et il a le bon goût d’en laisser plus qu’assez en libre accès.

      je disputerai volontiers un de ces jours de ce qu’il me semble apporter au débat (entre autres, il m’a fait penser à Gunther Anders comme à l’historien d’art Gombricht) mais je pense que l’originalité de son approche exige, de ma part au moins, un temps de digestion conséquent avant de prétendre commencer d’en faire quelque chose.

      Quoi qu’il en soit, merci encore de me l’avoir fait connaître !

      Nouvel auteur @martin5
    • @koldobika
      koldobika @koldobika CC BY-NC-SA 23/07/2015
      @martin5

      @martin5

      parfois, il me semble qu’il se complaît dans ce qui ressemble tout de même à du jargon

      oui ça me fait souvent cette impression dans ses textes, c’est un peu pénible mais pour le reste sa réflexion est tellement intéressante qu’on lui pardonne

      koldobika @koldobika CC BY-NC-SA
    • @koldobika
      koldobika @koldobika CC BY-NC-SA 22/11/2015
      @martin5

      commentaire de @martin5 sur Le Jardin de Babylone ▻http://seenthis.net/messages/358405#message430349

      koldobika @koldobika CC BY-NC-SA
    • @koldobika
      koldobika @koldobika CC BY-NC-SA 22/11/2015

      Ce n’est pas de la Nature avec un grand N qu’il s’agit, cette dame est très recommandable et bien des professeurs lui font la cour. Cette « Nature » n’existe pas, nous avons vu les Landes, les Pyrénées, suivi les chemins de montagne où des générations de paysans sont allés apporter des provisions à des générations de bergers. La « Nature » nous laisse froids, mais nous connaissons ces grands caps de bois qui s’avancent dans les landes vides, les derniers tisons qui luisent pendant que dans le ciel étoilé de l’été monte de plus en plus strident le chant des grillons. Avez-vous brisé contre une roche un de ces cailloux creux remplis de cristaux violets ? Alors vous avez connu le sentiment de la nature

      Le sentiment de la nature, force révolutionnaire, 1937, Bernard Charbonneau
      ça reste assez peu défini dans les pages suivantes, il y parle de Rousseau, de la déclinaison en littérature du sentiment de la nature, ce que j’y perçois surtout c’est une aspiration à sortir de la rationalité totale et de l’industrialisation de tout, mais les catégories dont il cause ne sont pas très claires.
      J’y trouve une résonance avec Retrouver l’Océan, d’Henri Raynal ►http://www.peripheries.net/article3.html et avec La mystique sauvage, de Michel Hulin ►http://www.peripheries.net/article53.html

      koldobika @koldobika CC BY-NC-SA
    • @martin5
      Nouvel auteur @martin5 22/11/2015

      Ignorant tout de ces dernières références, je vais y aller voir aussi, mais ne sais si je pourrai revenir sur internet dans les jours à venir.

      Nouvel auteur @martin5
    • @paulo
      Paulo @paulo 23/11/2015

      Berque est un artiste.

      Paulo @paulo
    Écrire un commentaire
  • @0gust1
    0gust1 @0gust1 CC BY-NC 13/06/2013

    ▻http://vimeo.com/67121621

    Des cartes de l’univers en mouvement.

    Complètement #vertigineux, les #visualisations sont très belles et réussies, surtout à la fin.

    Par Hélène Courtois, Daniel Pomarède, R. Brent Tully et Yehuda Hoffman.

    #cosmos #univers #physique #cartographie #astronomie

    • #Hélène Courtois
    0gust1 @0gust1 CC BY-NC
    • @0gust1
      0gust1 @0gust1 CC BY-NC 15/06/2013

      Pour décrypter :
      Structures à grande échelle de l’univers :
      ▻http://fr.wikipedia.org/wiki/Structures_%C3%A0_grande_%C3%A9chelle_de_l%27univers

      Portail cosmologie sur wikipedia :
      ▻http://fr.wikipedia.org/wiki/Portail:Cosmologie

      Sites grand public sur la cosmologie :
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  • @univers
    univers @univers 14/03/2012

    Neil DeGrasse Tyson - The Universe

    ►http://youtu.be/qK0dF2hHqyU

    Le Dr Neil DeGrasse Tyson est l’un des astrophysiciens les plus connus de la planète.
    Récemment interviewé par Time Magazine qui lui a demandé : "Quel est le fait le plus étonnant que vous pouvez partager avec nous à propos de l’Univers ?", voici ce qu’il a répondu...

    « Quand je regarde le ciel la nuit, je sais que, oui, nous faisons partie de cet Univers, nous sommes dans cet Univers, mais surtout l’Univers est en nous. Quand je réfléchis là-dessus, je lève les yeux — beaucoup de gens se sentent tout petits parce qu’ils sont petits et l’Univers est grand, mais moi je me sens grand parce que mes atomes proviennent de ces étoiles ».

    #astronomie, #astrophysique, #cosmos, #Neil_DeGrasse

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  • @univers
    univers @univers 14/03/2012

    Magazine l’Univers et ses mystères : Épisode 64 - La Puissance du Soleil

    Il manque la partie [1/4]

    ►http://youtu.be/_5gk8_6D8Lo

    Il manque la partie [3/4]

    ►http://youtu.be/BqPjkd7BzMA

    #magazine_l'univers_et_ses_mystères, #documentaire_scientifique, #astronomie, #astrophysique, #cosmos, #Soleil

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    univers @univers
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  • @univers
    univers @univers 27/02/2012

    Magazine l’Univers et ses mystères : Épisode 63 - Sombre avenir pour le Soleil

    ►http://www.youtube.com/watch?v=_48dOdY1Dhw&feature=colike

    ►http://www.youtube.com/watch?v=EHZPlGNjtkc&feature=colike

    ►http://www.youtube.com/watch?v=MYhTnh2l_-U&feature=colike

    #magazine_l'univers_et_ses_mystères, #documentaire_scientifique, #astronomie, #astrophysique, #cosmos, #soleil

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  • @univers
    univers @univers 27/02/2012

    Magazine l’Univers et ses mystères : Épisode 62 - Éclipse totale

    ►http://www.youtube.com/watch?v=MwyeMaFO49U&feature=colike

    ►http://www.youtube.com/watch?v=l7TrBfvMTX4&feature=colike

    ►http://www.youtube.com/watch?v=ViHiVPgv1MU&feature=colike

    #magazine_l'univers_et_ses_mystères, #documentaire_scientifique, #astronomie, #astrophysique, #cosmos, #éclipse

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  • @univers
    univers @univers 27/02/2012

    Magazine l’Univers et ses mystères : Épisode 61 - Attaques d’astéroïdes

    ►http://www.youtube.com/watch?v=QjLII6oGI_Y&feature=colike

    ►http://www.youtube.com/watch?v=dCTu1Mi7IqA&feature=colike

    ►http://www.youtube.com/watch?v=bW7vLNiJPl0&feature=colike

    #magazine_l'univers_et_ses_mystères, #documentaire_scientifique, #astronomie, #astrophysique, #cosmos, #astéroïde

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  • @univers
    univers @univers 26/02/2012

    Magazine l’Univers et ses mystères : Épisode 60 - Les secrets des sondes spatiales

    ►http://www.youtube.com/watch?v=Oz0yqrQ0mRA&feature=colike

    ►http://www.youtube.com/watch?v=y_8smscKqkM&feature=colike

    ►http://www.youtube.com/watch?v=LUkx8FXdowg&feature=colike

    #magazine_l'univers_et_ses_mystères, #documentaire_scientifique, #astronomie, #astrophysique, #cosmos, #sonde_spatiale

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  • @univers
    univers @univers 26/02/2012

    Magazine l’Univers et ses mystères : Épisode 59 - Voyage dans le Temps

    ►http://www.youtube.com/watch?v=2PVaMK6LNSM&feature=colike

    ►http://www.youtube.com/watch?v=LxrDwGe67g8&feature=colike

    ►http://www.youtube.com/watch?v=e_OvHivZXQg&feature=colike

    #magazine_l'univers_et_ses_mystères, #documentaire_scientifique, #astronomie, #astrophysique, #cosmos, #voyage_dans_le_temps, #Clifford_Johnson, #théorie_de_la_relativité, #Albert_Einstein, #la_flèche_du_temps, #théorie_de_l'entropie, #espace_temps, #trou_noir, #champs_gravitationnel, #voyageur_spatio-temporel, #paradoxe_temporel, #passé, #présent, #futur, #pliure_de_l'espace_maitre, #paradoxe_du_grand-père, #univers_multiple, #univers_parallèle

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  • @univers
    univers @univers 26/02/2012

    Magazine l’Univers et ses mystères : Épisode 58 - Tempêtes magnétiques

    ►http://www.youtube.com/watch?v=2c9ZLkljkFs&feature=colike

    ►http://www.youtube.com/watch?v=tVkQrGzIijY&feature=colike

    ►http://www.youtube.com/watch?v=PAifZaZtBDM&feature=colike

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  • @univers
    univers @univers 26/02/2012

    Magazine l’Univers et ses mystères : Épisode 57 - Mars, nouveaux indices

    ►http://www.youtube.com/watch?v=WNflRv8gLlE&feature=colike

    ►http://www.youtube.com/watch?v=qbLjbH7XDdc&feature=colike

    ►http://www.youtube.com/watch?v=qiEo-mLMf-M&feature=colike

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  • @univers
    univers @univers 26/02/2012

    Magazine l’Univers et ses mystères : Épisode 56 - Sept merveilles du système solaire

    ►http://www.youtube.com/watch?v=smti56n3mQg&feature=colike

    ►http://www.youtube.com/watch?v=E1-D12vVoZA&feature=colike

    ►http://www.youtube.com/watch?v=UaHK4SgCtJw&feature=colike

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  • @univers
    univers @univers 26/02/2012

    Magazine l’Univers et ses mystères : Épisode 55 - Énergie extrême

    Il manque la vidéo [1/3]

    ►http://www.youtube.com/watch?v=ygnu328Cgc4&feature=colike

    ►http://www.youtube.com/watch?v=lBCqrTY0oaM&feature=colike

    #magazine_l'univers_et_ses_mystères, #documentaire_scientifique, #astronomie, #astrophysique, #cosmos, #énergie_cosmique

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  • @univers
    univers @univers 26/02/2012

    Magazine l’Univers et ses mystères : Épisode 54 - Science-fiction, fait scientifique

    ►http://www.youtube.com/watch?v=neL8FUoayJw&feature=colike

    ►http://www.youtube.com/watch?v=vIT0m-BAZTw&feature=colike

    – ►http://www.youtube.com/watch?v=KQfVNcRkipM&feature=colike

    #magazine_l'univers_et_ses_mystères, #documentaire_scientifique, #astronomie, #astrophysique, #cosmos

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