country:bangladesh

  • Selon un rapport du HCR, plus de 168’000 Rohingya auraient fui le Myanmar depuis 2012
    http://asile.ch/2017/05/15/selon-rapport-hcr-plus-de-168000-rohingya-auraient-fui-myanmar-2012

    D’après cette étude, des milliers de Rohingya auraient fui les violences et le désespoir pendant les cinq dernières années pour trouver sécurité et stabilité dans des pays tels que le Bangladesh et la Malaisie.

  • Le Conseil adopte onze résolutions dont cinq sur les droits de l’homme en Palestine et dans les autres territoires arabes occupés
    ​Conseil des droits de l’homme de l’#ONU, le 24 mars 2017
    http://www.ohchr.org/FR/NewsEvents/Pages/DisplayNews.aspx?NewsID=21445&LangID=F#sthash.ZKaoENC8.dpuf

    Concernant la #Palestine :

    Par une autre résolution sur les droits de l’homme dans le #Golan syrien occupé (A/HRC/34/L.11), adoptée par adoptée par 26 voix pour, 3 contre (États-Unis, Royaume Uni et Togo) et 18 abstentions, le Conseil se déclare profondément préoccupé par les pratiques israéliennes dans le Golan syrien occupé, telles qu’elles sont décrites dans le rapport du Secrétaire général soumis à la présente session du Conseil.

    Les États suivants ont voté en faveur de la résolution (26) : Afrique du Sud, Arabie saoudite, Bangladesh, Bolivie, Brésil, Burundi, Chine, Côte d’Ivoire, Cuba, Égypte, El Salvador, Émirats arabes unis, Équateur, Éthiopie, Ghana, Inde, Indonésie, Iraq, Kenya, Kirghizistan, Mongolie, Nigeria, Philippines, Qatar, Tunisie et Venezuela.

    Les États suivants ont voté contre (3) : États-Unis, Royaume-Uni et Togo.

    Les États suivants se sont abstenus (18) : Albanie, Allemagne, Belgique, Botswana, Congo, Croatie, Géorgie, Hongrie, Japon, Lettonie, Pays-Bas, Panama, Paraguay, Portugal, République de Corée, Rwanda, Slovénie et Suisse.
    ============================
    Par une résolution visant à « Faire en sorte que les responsabilités soient établies et que justice soit faite pour toutes les violations du droit international dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est » (A/HRC/34/L.38), adoptée par 30 voix pour, 2 contre (États-Unis, Togo) et 15 abstentions, le Conseil invite instamment tous les États à promouvoir le respect du droit international et invite instamment toutes les Hautes Parties contractantes à la quatrième Convention de Genève à respecter et à faire respecter le droit international humanitaire dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est.

    Les États suivants ont voté en faveur de la résolution (30) : Afrique du Sud, Arabie saoudite, Bangladesh, Belgique, Bolivie, Botswana, Brésil, Burundi, Chine, Congo, Côte d’Ivoire, Cuba, Égypte, El Salvador, Émirats arabes unis, Équateur, Ghana, Indonésie, Iraq, Kirghizistan, Mongolie, Nigeria, Philippines, Portugal, Qatar, République de Corée, Slovénie, Suisse, Tunisie et Venezuela.

    Les États suivants ont voté contre (2) : États-Unis et Togo.

    Les États suivants se sont abstenus (15) : Allemagne, Albanie, Croatie, Éthiopie, Géorgie, Hongrie, Inde, Japon, Kenya, Lettonie, Pays-Bas, Panama, Paraguay, Rwanda et Royaume-Uni.
    ===============================
    Par une résolution sur le « droit du peuple palestinien à l’#autodétermination » (A/HRC/34/L.39), adoptée par 43 voix pour, 2 contre (États-Unis et Togo) et 2 abstentions (Panama et Paraguay), le Conseil confirme que le droit de souveraineté permanent du peuple palestinien sur ses richesses et ses ressources naturelles doit s’exercer dans l’intérêt du développement national et du bien-être de ce peuple et dans le cadre de la réalisation de son droit à l’autodétermination.

    Les États suivants ont voté en faveur de la résolution (43) : Afrique du Sud, Albanie, Allemagne, Arabie saoudite, Bangladesh, Belgique, Bolivie, Botswana, Brésil, Burundi, Chine, Congo, Côte d’Ivoire, Croatie, Cuba, Égypte, El Salvador, Émirats arabes unis, Équateur, Éthiopie, Géorgie, Ghana, Hongrie, Inde, Indonésie, Iraq, Japon, Kenya, Kirghizistan, Lettonie, Mongolie, Nigeria, Pays-Bas, Philippines, Portugal, Qatar, République de Corée, Royaume-Uni, Rwanda, Slovénie, Suisse, Tunisie et Venezuela.

    Les États suivants ont voté contre (2) : États-Unis et Togo.

    Les États suivants se sont abstenus (2):Panama et Paraguay.
    ===================================
    Aux termes d’une résolution sur la situation des droits de l’homme dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est (A/HRC/34/L.40), adoptée par 41 voix pour, 2 contre (États-Unis et Togo) et 4 abstentions (Rwanda, République du Congo, Panama et Paraguay), le Conseil se déclare profondément préoccupé par la situation des prisonniers et des détenus palestiniens, y compris des mineurs, dans les prisons et les centres de détention israéliens.

    Les États suivants ont voté en faveur de la résolution (41) : Afrique du Sud, Albanie, Allemagne, Arabie saoudite, Bangladesh, Belgique, Bolivie, Botswana, Brésil, Burundi, Chine, Côte d’Ivoire, Croatie, Cuba, Égypte, El Salvador, Émirats arabes unis, Équateur, Éthiopie, Géorgie, Ghana, Hongrie, Inde, Indonésie, Iraq, Japon, Kenya, Kirghizistan, Lettonie, Mongolie, Nigeria, Pays-Bas, Philippines, Portugal, Qatar, République de Corée, Royaume-Uni, Slovénie, Suisse, Tunisie, Venezuela.

    Les États suivants ont voté contre (2) : États-Unis et Togo.

    Les États suivants se sont abstenus (4) : Congo, Panama, Paraguay et Rwanda.
    =====================================
    Par une résolution intitulée « Colonies de peuplement israéliennes dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, et le Golan syrien occupé » (A/HRC/34/L.41/Rev.1, oralement révisée), adoptée par 36 voix pour, 2 contre (États-Unis et Togo) et 9 abstentions, le Conseil décide de tenir, à sa session de septembre 2017, une table ronde sur « les activités de colonisation israéliennes dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est », et demande au Haut-Commissariat de consulter les États et l’ensemble des parties prenantes.

    Les États suivants ont voté en faveur de la résolution (36) : Afrique du Sud, Allemagne, Arabie saoudite, Bangladesh, Belgique, Bolivie, Botswana, Brésil, Burundi, Chine, Congo, Côte d’Ivoire, Cuba, Égypte, El Salvador, Émirats arabes unis, Équateur, , Éthiopie, Ghana, Inde, Indonésie, Iraq, Japon, Kenya, Kirghizistan, Mongolie, Nigeria, Pays-Bas, Philippines, Portugal, Qatar, République de Corée, Slovénie, Suisse, Tunisie et Venezuela.

    Les États suivants ont voté contre (2) : États-Unis et Togo.

    Les États suivants se sont abstenus (9) : Albanie, Croatie, Géorgie, Hongrie, Lettonie, Panama, Paraguay, Rwanda et Royaume-Uni.
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    Remarque : on voit que la politique d’#Israfrique commence à porter ses fruits avec le #Togo qui vote systématiquement pour israel...

    Et pourquoi la France ne vote pas ?

  • La loi sur les multinationales amputée de ses sanctions

    Ce texte déposé par le groupe socialiste de l’Assemblée, soutenu par de nombreuses ONG, avait mis fin à un marathon législatif de près de cinq ans. Emmanuel #Macron, alors ministre de l’Economie, s’y était opposé mais Michel Sapin avait ensuite donné son feu vert après sa réécriture.

    Les groupes Les Républicains (LR) et UDI de l’Assemblée et du Sénat avaient saisi le Conseil constitutionnel estimant, comme le Medef, que cette loi allait « nuire à la compétitivité » des entreprises françaises et à « l’attractivité de la France ».

    Le texte a pour objet de tirer les enseignements de l’effondrement en 2013 de l’immeuble #Rana_Plaza à #Dacca (Bangladesh) qui avait fait 1.135 victimes, des ouvriers de firmes textiles travaillant pour des donneurs d’ordres étrangers, notamment de grandes marques occidentales.

    #textile #multinationale #travail #compétitivité #medef

    https://www.mediapart.fr/journal/france/230317/la-loi-sur-les-multinationales-amputee-de-ses-sanctions

  • Passagers clandestins
    Les damnés de la mer
    par Nicolas de La Casinière
    paru dans CQFD n°152 (mars 2017)
    http://cqfd-journal.org/Les-damnes-de-la-mer

    On dénombre à peine ceux qui se font arrêter, à peine ceux dont on retrouve les corps. Depuis le Bangladesh, le Nigeria, l’Afrique du Sud, la Côte d’Ivoire, ils tentent leur chance sans trop savoir où se dirige le bateau qu’ils empruntent. Quelques provisions, de l’eau, et ils s’enferment dans des conteneurs, se planquent là où ils peuvent, un recoin de la salle des machines ou de la cargaison, voire le compartiment du gouvernail, où trempés d’embruns ils risquent de tomber et de disparaître dans les remous de l’hélice.

    En mai 2015, les dockers du port de Philadelphie trouvent le corps sans vie d’un Ivoirien qui vient de passer 19 jours de mer au fond d’un cargo anglais. Sans plus de recherches, les autorités annoncent qu’il serait mort au choix de chaleur, d’un manque d’oxygène, d’une intoxication aux traitements insecticides des fèves de cacao qu’il a côtoyés tout du long ou enseveli sous cette cargaison mouvante. À côté du cadavre gonflé, un sac à dos, du lait en poudre et des emballages de barres... chocolatées.

    #Chroniques_Portuaires #CQFD #Migrations #Passagers_Clandestins

  • Récompensé d’un césar, François Ruffin délivre un magnifique discours engagé - Les Inrocks
    http://www.lesinrocks.com/inrocks.tv/recompense-dun-cesar-francois-ruffin-delivre-magnifique-discours-engage

    Récompensé du César du meilleur film documentaire pour “Merci patron”, François Ruffin a profité de cette récompense pour dénoncer les multiples délocalisations qui frappent depuis plusieurs décennies le pays. “Pourquoi ça dure comme ça depuis 30 ans ? Parce que ce sont des ouvriers qui sont touchés et personne n’en a rien à foutre”, a déclaré avec émotion le réalisateur. Interpellant François Hollande sur la situation 200 salariés de l’usine de sèche-linge Whirlpool à Amiens, promise à la fermeture, Ruffin lui a demandé “de se bouger le cul” avant la fin de son quinquennat. Devant des ministres éberlués, le rédacteur en chef de Fakir a réussi à mettre la classe ouvrière au coeur des préoccupations.

    https://www.dailymotion.com/video/x5d38tg_le-discours-engage-de-francois-ruffin-pour-merci-patron-cesar-d

    http://zinc.mondediplo.net/messages/51698 via BoOz

    • Le discours de François Ruffin aux Cesars

      « Mon film parle d’une usine qui part en Pologne et qui laisse derrière un paquet de misère et un paquet de détresse. Au moment où je vous parle, c’est une usine d’Amiens qui s’appelle l’usine Whirlpool qui fabrique des sèches linges qui subit la même histoire puisque maintenant ça part là-aussi en Pologne. Il y a 15 ans c’était déjà à Amiens et c’était le lave linge qui partait en Slovaquie.

      Pourquoi ça dure comme ça depuis 30 ans ? Ça dure comme ça depuis 30 dans parce que ce sont des ouvriers qui sont touchés, et donc on n’en a rien à foutre. Si c’était des acteurs qui étaient mis en concurrence de la même manière avec des acteurs roumains ça poserait problème immédiatement.

      Si c’étaient des journalistes... Quand on touche à l’avantage fiscal de la profession de journaliste ça fait des débats aussitôt, il y a des tribunes dans les journaux. Mais imaginons que ce soit les députés dont on dise "les députés ne sont pas assez compétitifs". Un député français coûte 7 100 euros par mois, un député polonais revient à 2 000 euros par mois. Et encore je suis modéré parce qu’au Bangladesh, un député c’est 164 euros.

      Mais imaginons qu’on dise demain "Il faut délocaliser l’hémicycle à Varsovie". Et bien immédiatement il y aurait des débats à l’Assemblée Nationale et il y aurait un projet de loi. Et bien il n’y a pas de débat à l’Assemblé Nationale et il n’y a pas de projet de loi.

      Donc dans ce pays il y a peut être des "sans dents" mais surtout il y a des dirigeants sans cran ! Donc maintenant Francois Hollande par exemple, il a l’occasion de montrer sur le dernier fil que son adversaire c’est la finance , qu’il peut faire des réquisitions, qu’il peut interdire les produits Whirlpool sur le territoire français, qu’il puisse sortir de l’impuissance et se bouger le cul.

      Je vous remercie.

      Et je remercie aussi la famille Klur évidement et Marie-Hélène Bourlard, parce qu’elle est déléguée CGT et ce sont des gens comme ça qui contribuent à faire tenir notre pays debout. »

      Source : http://solidaire.org/articles/merci-patron-prime-aux-cesars-decouvrez-le-discours-enflamme-de-francois-

      NDR Par césars, on entend caste politique

  • Islamist Groups Demand Removal of Sculpture in Front of Supreme Court in Bangladesh · Global Voices
    https://globalvoices.org/2017/02/18/islamist-groups-demand-removal-of-sculpture-in-front-of-supreme-court-

    In Bangladesh, right wing religious groups are demanding the removal of a sari-clad sculpture of the Lady Justice in front of the Supreme court. They have threatened a countrywide movement from February 24 if their demands are not met by authorities.

    The sculpture was created from stainless steel by renowned artist Mrinal Hoque and is scheduled to be officially opened in April this year. The statue is currently in position outside the court but is still being decorated.

    #régression #bangladesh

  • Dans les magasins #Primark, des salariés pressurés, surveillés, terrorisés
    http://multinationales.org/Dans-les-magasins-Primark-des-salaries-pressures-surveilles-terrori

    La chaîne de vêtements et de #Textile Primark ouvre de plus en plus de boutiques en France. La marque est réputée pour le bas coût de ses produits. Elle a aussi été sous le feux des projecteurs lors de l’effondrement de l’usine #Textile du Rana Plaza, au Bangladesh, qui a fait plus d’un millier de morts. Moins connues sont les #conditions_de_travail de ces vendeurs, ici, en France. Le magazine professionnel du secteur Boutique2Mode a récolté les témoignages d’employés à travers le pays. Constat : entre (...)

    #Enquêtes

    / Primark, A la une, Textile, Textile, conditions de travail, #santé_et_sécurité_au_travail, #droits_des_travailleurs, #travail_digne, #chaîne_d'approvisionnement, impact (...)

    #impact_social
    « http://www.boutique2mode.com/Enquete-L-enfer-Primark_a192.html »
    « http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//TEXT+WQ+E-2015-002624+0+DOC+XML+V0//FR »
    « https://www.facebook.com/Primark-la-Valette-des-employ%C3%A9s-scandalis%C3%A9s-1553934561573415 »
    « http://www.lavoixdunord.fr/112159/article/2017-01-31/conditions-de-travail-tres-difficiles-chez-primark-euralille-des-temoig »
    « http://bfmbusiness.bfmtv.com/emploi/1-centime-de-l-heure-d-augmentation-primark-fustige-par-la-cfdt-1 »
    « https://www.flickr.com/photos/enschedeaanzee

    Flickr
     »
    « https://www.flickr.com/photos/simbiosc »

  • Dans les magasins Primark, des salariés pressurés, surveillés, terrorisés - Basta !
    http://www.bastamag.net/Dans-les-magasins-Primark-des-salaries-pressures-surveilles-terrorises
    http://www.bastamag.net/IMG/arton6037.jpg?1486461653

    La chaîne de vêtements et de textile Primark ouvre de plus en plus de boutiques en France. La marque est réputée pour le bas coût de ses produits. Elle a aussi été sous le feux des projecteurs lors de l’effondrement de l’usine textile du Rana Plazza, au Bangladesh, qui a fait plus d’un millier de morts. Moins connues sont les conditions de travail de ces vendeurs, ici, en France. Le magazine professionnel du secteur Boutique2Mode a récolté les témoignages d’employés à travers le pays. Constat : entre cadences, pression constante, brimades, et peur licenciements non justifiés, ici aussi, les salariés de Primark sont mis à mal.

    #travail #exploitation #habillement

  • Dans les magasins Primark, des salariés pressurés, surveillés, terrorisés
    http://www.bastamag.net/Dans-les-magasins-Primark-des-salaries-pressures-surveilles-terrorises

    La chaîne de vêtements et de textile Primark ouvre de plus en plus de boutiques en France. La marque est réputée pour le bas coût de ses produits. Elle a aussi été sous le feux des projecteurs lors de l’effondrement de l’usine textile du Rana Plazza, au Bangladesh, qui a fait plus d’un millier de morts. Moins connues sont les #Conditions_de_travail de ces vendeurs, ici, en France. Le magazine professionnel du secteur Boutique2Mode a récolté les témoignages d’employés à travers le pays. Constat : entre (...)

    #Résister

    / #Enquêtes, Conditions de travail, #Société_de_consommation, A la une, #Transformer_le_travail, (...)

    #Multinationales

  • Why the language we use to talk about refugees matters so much
    –-> cet article date de juin 2015... je le remets sur seenthis car je l’ai lu plus attentivement, et du coup, je mets en évidence certains passages (et mots-clé).

    In an interview with British news station ITV on Thursday, David Cameron told viewers that the French port of Calais was safe and secure, despite a “#swarm” of migrants trying to gain access to Britain. Rival politicians soon rushed to criticize the British prime minister’s language: Even Nigel Farage, leader of the anti-immigration UKIP party, jumped in to say he was not “seeking to use language like that” (though he has in the past).
    Cameron clearly chose his words poorly. As Lisa Doyle, head of advocacy for the Refugee Council puts it, the use of the word swarm was “dehumanizing” – migrants are not insects. It was also badly timed, coming as France deployed riot police to Calais after a Sudanese man became the ninth person in less than two months to die while trying to enter the Channel Tunnel, an underground train line that runs from France to Britain.

    The way we talk about migrants in turn influences the way we deal with them, with sometimes worrying consequences.

    When considering the 60 million or so people currently displaced from their home around the world, certain words rankle experts more than others. “It makes no more sense to call someone an ’illegal migrant’ than an ’illegal person,’” Human Rights Watch’s Bill Frelick wrote last year. The repeated use of the word “boat people” to describe people using boats to migrate over the Mediterranean or across South East Asian waters presents similar issues.
    “We don’t call middle-class Europeans who take regular holidays abroad ’#EasyJet_people,’ or the super-rich of Monaco ’#yacht_people,’” Daniel Trilling, editor of the New Humanist, told me.

    How people are labelled has important implications. Whether people should be called economic migrants or asylum seekers matters a great deal in the country they arrive in, where it could affect their legal status as they try to stay in the country. It also matters in the countries where these people originated from. Eritrea, for example, has repeatedly denied that the thousands of people leaving the country are leaving because of political pressure, instead insisting that they have headed abroad in search of higher wages. Other countries make similar arguments: In May, Bangladesh Prime Minister Sheikh Hasina said that the migrants leaving her country were “fortune-seekers” and “mentally sick.” The message behind such a message was clear: It’s their fault, not ours.

    There are worries that even “migrant,” perhaps the broadest and most neutral term we have, could become politicized.

    Those living in the migrant camps near #Calais, nicknamed “the #jungle,” seem to understand this well themselves. “It’s easier to leave us living like this if you say we are bad people, not human," Adil, a 24-year-old from Sudan, told the Guardian.

    https://www.washingtonpost.com/news/worldviews/wp/2015/07/30/why-the-language-we-use-to-talk-about-refugees-matters-so-much
    #langage #vocabulaire #terminologie #mots #réfugiés #asile #migrations #essaim #invasion #afflux #déshumanisation #insectes #expatriés #expats #illégal #migrant_illégal #boat_people #migrants_économiques

    cc @sinehebdo

    • The words we use matter—why we shouldn’t use the term ”illegal migrant”

      Words have consequences, especially in situations where strong emotions as well as social and political conflicts are endemic. Raj Bhopal’s rapid response in The BMJ, in which he objected to the use of the phrase “illegal migrant” on the grounds that only actions, not persons, can be deemed “illegal”, merits further reflection and dissection.

      Some people think that those who protest against this phrase are taking sides with migrants in conflict with the law, in a futile attempt to cover up what is going on. On the contrary: the very idea that a person can be illegal is incompatible with the rule of law, which is founded on the idea that everyone has the right to due process and is equal in the eyes of the law. Labelling a person as “illegal” insinuates that their very existence is unlawful. For this reason, bodies including the United Nations General Assembly, International Organization for Migration, Council of Europe, and European Commission have all deemed the phrase unacceptable, recommending instead the terms “irregular” or “undocumented”. It would be more than appropriate for the medical profession, given its social standing and influence, to do the same.

      While people cannot be illegal, actions can: but here too, words have to be chosen carefully. For example, the overwhelming majority of irregular migrants have not entered the country clandestinely; they have either had their asylum application turned down, or have “overstayed” a visa, or breached its conditions. Moreover, it is never correct to label someone’s actions “illegal” before the appropriate legal authority has determined that they are. Until then, the presumption of innocence should apply. Due process must have been followed, including the right to legal advice, representation, and appeal—rights that the UK government, especially where migrants are concerned, has been only too willing to sacrifice on the altar of cost-cutting.

      Even after an official determination that a person is residing unlawfully, we must have confidence in the fairness of the procedures followed before it is safe to assume that the decision was correct. This confidence has been badly shaken by the recent finding that almost half of the UK Home Office’s immigration decisions that go to appeal are overturned. In their zeal to implement the government’s policy of creating a “hostile environment” for people residing unlawfully, some Home Office officials appear to have forgotten that the rule of law still applies in Britain. People who had lived legally in the UK for decades have been suddenly branded as “illegally resident” and denied healthcare because they couldn’t provide four pieces of evidence for each year of residence since they arrived—even when some of the evidence had been destroyed by the Home Office itself. Hundreds of highly skilled migrants including doctors have been denied the right to remain in the UK because minor tax or income discrepancies were taken as evidence of their undesirability under the new Immigration Rules. A recent case in which the Home Office separated a 3-year-old girl from her only available parent, in contravention of its own policies, led to an award for damages of £50,000.

      What of the medical profession’s own involvement? The 2014 Immigration Act links a person’s healthcare entitlement to their residency status. Health professionals in the UK are now required to satisfy themselves that an individual is eligible for NHS care by virtue of being “ordinarily resident in the UK,” the definition of which has been narrowed. In practice, this has meant that people who do not fit certain stereotypes are more likely to be questioned—a potential route to an institutionally racist system. They can instantly be denied not only healthcare, but also the ability to work, hold a bank account or driver’s licence, or rent accommodation. It is unprecedented, and unacceptable, for UK health professionals to be conscripted as agents of state control in this way.

      Given the unrelenting vendetta of sections of the British press against people who may be residing unlawfully, it should also be borne in mind that such migrants cannot “sponge off the welfare state”, since there are virtually no benefits they can claim. They are routinely exposed to exploitation and abuse by employers, while “free choice” has often played a minimal role in creating their situation. (Consider, for example, migrants who lose their right of residence as a result of losing their job, or asylum seekers whose claim has been rejected but cannot return to their country because it is unsafe or refuses to accept them).

      To sum up: abolishing the dehumanising term “illegal migrant” is an important first step, but the responsibility of health professionals goes even further. In the UK they are obliged to collaborate in the implementation of current immigration policy. To be able to do this with a clear conscience, they need to know that rights to residence in the UK are administered justly and humanely. Regrettably, as can be seen from the above examples, this is not always the case.

      https://blogs.bmj.com/bmj/2018/10/02/the-words-we-use-matter-why-we-shouldnt-use-the-term-illegal-migrant

  • NGO Shipbreaking Platform: Use of ’Polluting’ South Asia Scrap Yards Accelerating – gCaptain
    http://gcaptain.com/ngo-shipbreaking-platform-use-of-polluting-south-asia-scrap-yards-accelera

    A total of 862 ships were dismantled worldwide in 2016, the vast majority of which ended up in South Asia on the beaches of India, Pakistan, and Bangladesh, the NGO Shipbreaking Platform said Wednesday.

    The Platform, which has compiled and analysed a comprehensive list of all ships dismantled worldwide, said the figures show no sign that the shipping industry has improved its management of end-of-life vessels. In 2016, a total of 668 vessels were broken on tidal beaches of South Asia, which is as much as 87% of all tonnage dismantled globally, the Platform said.

  • Le solaire sort de l’ombre

    http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/01/30/le-solaire-sort-de-l-ombre_5071456_3234.html

    Chute des prix des panneaux solaires, afflux massif de capitaux et contraintes environnementales poussent les producteurs d’électricité, les industriels et de plus en plus de pays à jouer massivement la carte du soleil. La Chine fait pour le moment la course en tête.

    Sans bruit, le monde vient d’entrer dans une nouvelle ère énergétique, celle du solaire. Le photovoltaïque n’est plus une lubie d’écologiste. Face à la pollution du charbon et à l’envolée des coûts du nucléaire, investisseurs et industriels jouent désormais ouvertement et massivement la carte du soleil.

    En 2015, pour la première fois, les nouvelles capacités de production à partir des énergies renouvelables (hors grands barrages) ont représenté 53,6 % de l’ensemble des nouveaux moyens de production raccordés aux réseaux, indique le 10e rapport annuel du Programme des Nations unies pour l’environnement publié en mars 2016 : 62 gigawatts (GW) d’éolien et 56 GW de solaire.

    265,8 milliards de dollars

    Les capitaux mobilisés ont battu un nouveau record, à 265,8 milliards de dollars (247,5 milliards d’euros). On y investit désormais deux fois plus que dans les énergies fossiles (130 milliards) et le potentiel du solaire y est beaucoup plus important que celui des autres énergies renouvelables.



    « L’année 2016 marquera un point de bascule », assure Thierry Lepercq, directeur général adjoint d’Engie chargé de l’innovation et de la recherche. « Retenez trois chiffres : 70 gigawatts, la capacité solaire additionnelle en 2016 [après 50 GW en 2015], plus que l’éolien ; 26 dollars, le prix d’un mégawattheure du photovoltaïque sur un projet de 1 milliard de dollars à Abou Dhabi ; et zéro, le prix de l’électricité à certains moments au Chili. »

    Pourquoi les centrales solaires photovoltaïques sont-elles devenues compétitives dans de nombreux pays et se développent sans les subventions massives reçues en Europe au début de leur déploiement ? Le phénomène doit beaucoup à la domination chinoise sur les équipements. Un mal pour un bien. Si elle a tué une partie de l’industrie occidentale, notamment allemande, elle a provoqué une chute des prix spectaculaire.



    « Dans les usines, l’automatisation a fortement réduit le taux de casse, explique Antoine Cahuzac, directeur général d’EDF Energies nouvelles. De plus, tous les fabricants innovent et produisent des cellules plus efficaces. Ils ont aussi augmenté leur durée de vie, qui peut atteindre trente-cinq ans contre vingt-cinq il y a cinq ans grâce à une plus grande fiabilité des matériaux. » Les panneaux sont devenus un produit de base fabriqué en grande quantité, comme les écrans plats de téléviseur.

    Surcapacités et prix tirés vers le bas

    Les renouvelables sont ainsi passées « du statut de niche au statut de solution préférée », assurait récemment Adnan Amin, directeur de l’Agence internationale des énergies renouvelables, basée à Abou Dhabi, en présentant son dernier rapport. « Les panneaux solaires en sont le meilleur exemple, souligne ce document. Leur coût a baissé de moitié depuis 2010 et devrait baisser encore de 60 % dans les dix prochaines années. »

    Un phénomène plus conjoncturel s’est ajouté à cette tendance : la concurrence des producteurs de panneaux, qui a créé des surcapacités mondiales et tiré les prix vers le bas. M. Cahuzac s’attend, une fois ces stocks écoulés, à une remontée « marginale » des prix. Dans ce secteur très cyclique, la consolidation va se poursuivre et les nouvelles capacités installées devraient stagner en 2017 au niveau de 2016, prévoit le patron du chinois Trina Solar, premier fabricant mondial de panneaux, dans un entretien à l’agence Bloomberg.



    Un signe qui ne trompe pas sur la maturité de cette énergie : les tarifs de rachat pour soutenir la filière sont remplacés, partout dans le monde, par des appels d’offres. Début 2016, 64 pays en avaient lancés dans le solaire (et l’éolien), « suscitant des offres historiquement basses (prix modiques, volumes élevés) dans les pays émergents », note le réseau international REN21. « Nous faisons du solaire photovoltaïque à 30 dollars le MWh au Mexique », note M. Lepercq.
    On en est encore loin en France, mais les prix baissent aussi. Pour les centrales au sol, moins coûteuses que sur le bâti, le prix a été divisé par six entre 2007 et 2014, où il était encore dans une fourchette de 74 euros à 135 euros par MWh, note l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe), qui escompte une nouvelle baisse de 35 % à l’horizon 2025.

    Les émergents en pointe

    L’Europe n’est pas le continent au potentiel le plus prometteur, même si l’Allemagne est un pays pionnier. Trois pays ont encore fourni en 2015 la majorité des capacités additionnelles : La Chine, le Japon et les Etats-Unis. Mais le boum est planétaire, particulièrement dans les pays émergents qui conjuguent fort ensoleillement, croissance soutenue de la demande d’électricité et cadre réglementaire sécurisé pour les investisseurs. « Cette révolution sert leur développement. Ils peuvent valoriser leur potentiel, et cela les affranchit de leur dépendance énergétique », se félicite Isabelle Kocher, directrice générale d’Engie, qui affiche notamment de grandes ambitions en Afrique.



    La Chine reste une locomotive. Le solaire y enregistrera un doublement de ses capacités entre 2015 et 2020 pour atteindre 110 GW, selon l’Agence nationale de l’énergie. Et si elle est désormais électrifiée à 100 %, c’est grâce au solaire domestique (hors réseau). L’Arabie saoudite a défini un vaste plan en faveur des énergies renouvelables et le fonds souverain d’Abou Dhabi y investit depuis la fin des années 2000, dans la production de panneaux, les centrales et la recherche. Au Chili, privé de toute ressource fossile, le solaire pèse déjà 4 % du « mix » énergétique alors qu’il en était absent en 2012. Y compris pour alimenter des utilisateurs d’électricité aussi gourmands que les mines de cuivre.


    Le solaire domestique a séduit le Bangladesh et les mini-réseaux se développent en Afrique de l’Est (Kenya, Ouganda…) pour les villages enclavés. L’Inde prévoit un ambitieux plan de 100 GW de solaire d’ici à 2022. A l’initiative de son premier ministre, Narendra Modi, une « alliance internationale » en faveur de cette énergie a été créée fin 2015, en marge de la COP21, à Paris. Les 121 pays qu’elle rassemble s’engagent à assurer des transferts de technologies et à faciliter les financements dans tous les pays à fort potentiel solaire.

    Les électriciens convertis

    Résultat de ce changement d’échelle, toutes les grandes compagnies européennes d’électricité ont pris le virage du solaire, du français Engie à l’italien Enel. Jusqu’au géant EDF, dont l’ADN nucléaire est en train de se modifier. Et toutes les grandes entreprises mondiales se tournent vers l’énergie solaire pour leur propre consommation, de la grande distribution Walmart, Procter & Gamble ou Ikea à Google pour refroidir ses énormes centres de données…

    Certains pétroliers eux-mêmes croient aux vertus du solaire. Aurait-on imaginé, il y a quelques années, que le patron de Total intervienne dans un cénacle des énergies vertes ? Patrick Pouyanné expliquera, lors du colloque annuel du Syndicat des énergies renouvelables réuni à Paris le 31 janvier, pourquoi et comment il entend se développer dans l’électricité solaire après les rachats du fabricant californien de panneaux SunPower en 2011 et du fabricant français de batteries Saft en 2016.

    Bien que le solaire ne représente encore que 1,5 % des capacités de production électrique installées, le « mix électrique mondial » encore dominé par les énergies fossiles est en train de se redessiner. Mme Kocher estime qu’en 2050, la moitié de l’électricité pourra être produite par des énergies renouvelables décentralisées, surtout le solaire, l’autre moitié sortant des grandes centrales traditionnelles.
    Et quand on dresse le bilan carbone du solaire, il est positif. Grâce à l’énergie propre et renouvelable que produisent depuis 1975 les panneaux solaires, ils auront compensé d’ici à 2018 les gaz à effet de serre émis pour les produire, révèle une étude néerlandaise (université d’Utrecht) publiée fin 2016 dans le journal en ligne Nature Communications.

    L’atome « ne répond pas aux mêmes besoins »

    En quarante ans, le nombre de panneaux solaires est passé de 10 000 à 1 milliard. Avec une durée de vie moyenne de trente ans, une ferme solaire remboursera « plusieurs fois » l’énergie nécessaire à la fabrication de ses équipements. Désormais, à chaque doublement de capacités solaires installées, l’énergie nécessaire pour produire les panneaux baisse de 12 % à 13 % et les gaz à effet de serre émis de 17 % à 24 %, ont calculé ses auteurs.

    Et si le solaire rendait le nucléaire obsolète à un horizon pas si lointain, sachant que le charbon est condamné à plus ou moins longue échéance ? L’envolée des coûts de construction des réacteurs pèse sur le prix du MWh produit : 109 euros pour les EPR anglais d’EDF. Tout un symbole, quarante entreprises ont déposé une demande auprès des autorités ukrainiennes pour construire 2 GW de panneaux solaires… à l’intérieur de la zone d’exclusion radioactive entourant la centrale de Tchernobyl, où eut lieu en 1986 la pire catastrophe de l’histoire du nucléaire civil.

    « Jusqu’à présent, le nucléaire était le seul moyen de produire une électricité compétitive et décarbonée à grande échelle ; ce n’est plus le cas, analyse Mme Kocher. Le nouveau nucléaire a un espace de développement plus restreint qu’avant. » Mais il est impossible de comparer deux énergies, l’une intermittente tant qu’elle n’est pas stockéee dans de puissantes batteries, l’autre mobilisable en permanence : un MW de solaire ne vaut pas un MW de nucléaire. Et M. Cahuzac voit au contraire un avenir à l’atome, qui « ne répond pas aux mêmes besoins ». Un réacteur fournit une énorme quantité d’électricité vingt-quatre heures sur vingt-quatre et l’on peut faire évoluer sa puissance en moins d’une heure, plaide-t-il.

    Il n’en reste pas moins que les énergies renouvelables s’imposent peu à peu comme une référence pour comparer les prix. Patron du nouveau nucléaire chez EDF, Xavier Ursat reconnaît qu’il faudra que l’« EPR nouveau modèle » en préparation chez EDF-Areva soit compétitif (autour de 5 milliards d’euros). Et même « qu’il coûte moins cher en euros par kilowattheure que la moins chère des énergies renouvelables installée au même endroit ».

    Donald Trump, fervent défenseur du charbon

    On n’en est pas encore là. Mais pour avoir une véritable estimation de la compétitivité du solaire (et des renouvelables en général), il faudrait supprimer toutes les subventions, qui sont beaucoup plus importantes en faveur des énergies fossiles.

    Reste une menace qui plane, aux Etats-Unis, sur ces brillantes perspectives : l’arrivée à la Maison Blanche de Donald Trump, fervent défenseur du charbon, du pétrole et du gaz. Le 10 janvier, 640 entreprises dont des multinationales comme Intel, Johnson & Johnson, Hewlett-Packard, Levi Strauss, Nike, Ikea, Adidas, Danone, Schneider Electric ou L’Oréal, ont adressé une mise en garde au nouveau président : « Echouer à construire une économie bas carbone mettrait en danger la prospérité américaine », écrivent-ils en réitérant leur soutien à l’accord de Paris. Un investisseur aussi avisé que Bill Gates vient d’annoncer la création d’un fonds de 1 milliard de dollars chargé d’investir dans la recherche sur l’énergie et la limitation des émissions de carbone.

    En quittant ses fonctions, Barack Obama soulignait, à l’adresse de son successeur, que « le secteur solaire emploie désormais plus d’Américains que les mines de charbon dans des emplois mieux payés que la moyenne et qui ne peuvent être délocalisés ». Au niveau mondial, il fait travailler 2,7 millions de personnes, sur un total de 8,1 million dans les énergies renouvelables.

    Soutenu par l’entrée en force du numérique dans le monde de l’énergie, le solaire est au cœur d’une « révolution » et le premier maillon d’une chaîne de valeur (stockage d’électricité, réseaux intelligents, Internet des objets de la maison, mobilité électrique, hydrogène…) qui , selon M. Lepercq, apportera « beaucoup plus d’énergie, beaucoup moins chère et pour beaucoup plus d’usages ».

  • Police clash with protesters marching against power plant in Bangladesh
    https://news.mongabay.com/2017/01/police-clash-with-protesters-marching-against-power-plant-in-banglade

    A protest of a planned coal-fired power plant in Bangladesh turned sour on Thursday, when police reportedly confronted marchers with tear gas, rubber bullets, and water cannons in the capital city of Dhaka. Injuries have been reported, varying from five to more than 50.

    According to police estimates reported by Reuters, around 200 protesters had gathered to show their opposition to the Rampal power plant, which critics say will disrupt the nearby Sundarbans mangrove and endanger the health of thousands of local residents. Organized by the National Committee to Protect Oil, Gas, Mineral Resources, Power and Ports, the protest was reportedly intended to be an eight-hour event.

    But as the rally approached an intersection near Dhaka University Central Mosque, according to local news outlets, protesters were met by police.


    #contestation #répression #développement #mangrove #Bangladesh

  • On a tenté de faire les soldes... mais notre conscience sociale et environnementale nous a rattrapés
    https://reporterre.net/On-a-tente-de-faire-les-soldes-mais-notre-conscience-sociale-et

    Jusqu’au 21 février, les enseignes vivent à l’heure des soldes et de la consommation frénétique. En négligeant les impacts sociaux et environnementaux de l’industrie mondiale de l’habillement, dont la production a doublé depuis l’an 2000. Vous arrive-t-il de regarder les étiquettes des vêtements ? Pas celle qui pend, devant, annonçant en grosses lettres le prix soldé. Pas celle, bien visible dans le cou du tee-shirt ou à l’arrière du pantalon, qui vous vante la marque. Non. Plutôt celle cousue à (...)

    #Economie #Quotidien #Emploi_et_travail

    http://zinc.mondediplo.net/messages/49150 via Reporterrre

    • Bien souvent, ce n’est que le pays de l’étape principale ou de la dernière étape de fabrication qui est indiqué. » Ainsi, le tee-shirt fabriqué au Portugal de chez Zara peut très bien n’y avoir été qu’assemblé, le reste du processus ayant été effectué dans un pays lointain… Les étiquettes ne nous donnent donc qu’une information très parcellaire.
      « Notamment, elles ne nous disent rien des conditions de #travail des ouvriers qui fabriquent le vêtement », regrette Nayla Ajaltouni. Le drame du Rana Plaza, en avril 2013 au Bangladesh, les a tragiquement rappelées aux consommateurs occidentaux. L’effondrement de cet immeuble abritant des ateliers de confection avait fait plus de 1100 morts, « et plus de 2.000 blessés la plupart désormais lourdement handicapés », ajoute Nayla Ajaltouni. Les marques Mango, Benetton ou Primark y avaient des fournisseurs. Des étiquettes de vêtements Carrefour, Auchan et Camaïeu ont été retrouvées dans les décombres. « Le Bangladesh est le pays où la main-d’œuvre est la moins chère au monde. Le syndicalisme y est réprimé. Et un tiers des députés sont aussi patrons d’usine, ils ne risquent donc pas de voter une augmentation du salaire minimum. »

      #exploitation

  • Cette #grève au Bangladesh dont vous n’avez pas entendu parler vous concerne | StreetPress
    http://www.streetpress.com/sujet/1485429231-cette-greve-au-bengladesh-dont-vous-n-avez-pas-entendu-parle

    Depuis plus d’un mois, au Bangladesh, des milliers de personnes se battent (link is external) pour des conditions de #travail dignes. Vous n’en avez peut-être pas entendu parler car peu de médias occidentaux ont repris l’info.

    Pourtant, cette lutte sociale qui a lieu à des milliers de kilomètres vous concerne. Et vous avez un rôle à jouer en tant que consommateur-citoyen.

    #mondialisation #lutte #solidarité

  • Les petites mains nord-coréennes de Fructofresh, en Pologne

    http://www.lemonde.fr/planete/article/2017/01/26/les-petites-mains-nord-coreennes-de-fructofresh-en-pologne_5069357_3244.html

    Depuis 2004, cette entreprise polonaise de salades de fruits gagne des parts de marché en ajoutant des additifs interdits dans ses produits et en employant des travailleuses nord-coréennes dans son usine de Czarnowice.

    Depuis l’esplanade du centre-ville de Gubin, on ne voit qu’elle. L’ancienne usine de chaussures, qui employait plus de 2 000 personnes à la fin des années 1980, n’est aujourd’hui qu’un vaisseau fantôme promis à la démolition. Victime de la désindustrialisation qui a suivi la chute du mur de Berlin, cette cité de 15 000 âmes de l’extrême ouest de la Pologne vivote désormais grâce aux salons de coiffure bon marché et aux magasins de cigarettes fréquentés par les habitants de Gubin, la partie allemande de la ville-frontière. Beaucoup de Polonais font le chemin inverse et franchissent chaque jour le pont enjambant la rivière Neisse, gelée en cette mi-janvier, pour chercher du travail en Allemagne.

    Gubin perd peu à peu ses forces vives, attirées par le pouvoir d’achat de l’autre rive, lassées aussi des cadences et des bas salaires imposés par les entreprises locales. A 8 kilomètres de là, à Czarnowice, Fructofresh a fait fuir bon nombre de ses salariés. En mai 2014, deux employées levaient le voile, dans l’hebdomadaire local Tygodniowa, sur la réalité de l’usine. Elles avaient touché 649 zlotys (150 euros) en un mois – le salaire de base avoisine les 400 euros en Pologne – et dénonçaient un véritable « camp de travail ».

    L’entreprise de fabrication de salades de fruits et de jus de fruits frais est l’un des principaux fournisseurs du marché français grâce à deux intermédiaires, le groupe Pomona, premier distributeur français de produits alimentaires aux professionnels, et la société Bharlev, un fabricant de salades et jus de fruits frais qui complète sa production par de la marchandise en provenance de Fructofresh. Des chaînes hôtelières de l’envergure d’Accor et Hilton, des géants de la restauration collective comme Sodexo ou encore l’Assemblée nationale s’approvisionnent auprès de ces deux opérateurs français.

    « Plus aucun Polonais ne veut rester »

    Fructofresh, née en 2004, exporte vers l’Allemagne, la Belgique, le Danemark, la France, l’Irlande ou le Luxembourg et a reçu en 2008 le Prix de l’entreprise polonaise enregistrant la plus forte croissance de l’année. Neuf ans après, un double scandale menace d’entacher la réussite spectaculaire de cette entreprise ­familiale qui affirme avoir réalisé un chiffre d’affaires de plus de 10 millions d’euros en 2016 : la présence dans ses salades de fruits frais d’un additif alimentaire interdit, et l’emploi d’une main-d’œuvre nord-coréenne dans des conditions sociales indignes pour faire tourner l’unité de production de Czarnowice.

    « Plus aucun Polonais ne veut rester là-bas, raconte sans ambages Ana, la serveuse du Retro, l’un des derniers restaurants encore debout à Gubin. Il n’y a plus que des Ukrainiens et beaucoup de Nord-Coréennes, qui travaillent dans des conditions proches de l’esclavage. » Des Nord-Coréennes recluses au cœur de l’Europe ? « Oui, il y a quelques semaines, j’ai croisé une dizaine d’entre elles, venues faire leurs courses au supermarché », affirme Ana.

    A la sortie du hameau assoupi, où les façades des maisons rappellent que la région fut allemande avant d’intégrer la Pologne en 1945, l’usine étend sa longue silhouette blanche entre champs en friche et fermes isolées. Blanche comme la palissade métallique de 2 mètres de haut qui enclot la fabrique.

    Des caméras de vidéosurveillance et un portique électronique près de l’entrée principale complètent l’allure de Fort Knox de ce fabricant de salades de fruits. Selon Dariusz, un ancien employé de Fructofresh qui a requis l’anonymat, sur les 150 personnes employées sur le site, près de 70 Ukrainiens (hommes et femmes) et près de 50 Nord-Coréennes sont affectés aux ateliers de découpe des fruits achetés dans le monde entier. Des manutentionnaires polonais complètent l’effectif, chargés de remplir les camions qui partent chaque jour à 16 heures vers l’Allemagne et livrent, le lendemain matin, le marché de Rungis.
    Dans un baraquement à l’intérieur de l’usine

    Travailleuses nord-coréennes de Fructofresh à Czarnowice (Pologne), vues de l’extérieur de l’usine.

    La direction de Fructofresh a refusé d’ouvrir ses portes au Monde. Il a fallu patienter de longues heures, à l’abri des regards, pour observer les va-et-vient de cette main-d’œuvre qui embauche vers 6 heures du matin et travaille une douzaine d’heures par jour, un peu moins pendant les mois d’hiver, où l’activité ralentit… et plus encore lorsque la demande atteint son pic, en été.

    Les Nord-Coréennes ont moins de 100 mètres à parcourir pour rejoindre leur dortoir. Elles vivent confinées dans un baraquement, à l’intérieur de l’usine. « Lorsqu’elles ont intégré Fructofresh, en janvier 2015, il a fallu louer un hôtel à Gubin pour les loger, le temps de faire construire un dortoir dans l’usine, explique Dariusz. Mais ça coûtait de l’argent et les allers-retours en ville prenaient du temps. Désormais, la direction les a sous la main et peut les faire travailler à tout moment. »

    Travailleuses nord-coréennes de l’usine Fructofresh rejoignant leur baraquement à Czarnowice (Pologne). Visible au premier plan, un vigile intervient pour faire cesser le travail du photographe.

    A la tombée du jour, alors que quelques ­employés regagnent en bus Gubin et les villages environnants, des grappes de Nord-Coréennes convergent vers le bâtiment neuf construit à l’extrémité des hangars. Elles sont systématiquement escortées par une « surveillante », car le groupe n’a pas d’accès direct au baraquement. Il doit sortir de l’enceinte de l’usine puis longer la route sur 100 mètres et franchir le tourniquet électronique contrôlé par un vigile. Quelques secondes durant, les « invisibles » prennent forme humaine, avant de disparaître à nouveau derrière la haute palissade. La construction d’un nouveau bâtiment est prévue cette année, pour accueillir cette fois le personnel qui gère la production.

    « Ce sont les Nord-Coréennes qui travaillent le mieux ; elles sont très disciplinées, très motivées, très organisées », dit le directeur général de Fructofresh

    A la réception d’un modeste hôtel, à la sortie de Gubin, on confirme les avoir logées pendant sept mois. « Tout a été fait légalement. Les autorisations étaient en ordre, les gardes-frontières venaient contrôler leurs papiers », assure-t-on sur place. Pour autant, ces travailleuses, liées à Fructofresh jusqu’en 2018, ne jouissent d’aucune liberté de mouvement. Elles sont placées sous surveillance constante d’« anges gardiennes » nord-coréennes et, selon plusieurs témoignages, privées de leur passeport.

    Le leader polonais de la salade de fruits frais se montre peu loquace sur ce point. « La question du passeport relève de la compétence de l’employeur de ces salariées, ce que nous ne sommes pas, élude Anna Suchowacka, la directrice des ventes de Fructofresh. Ces personnes sont employées par plusieurs sociétés auxquelles nous faisons appel dans le cadre de contrats de sous-traitance. »

    Cezary Zwoinski, le directeur général de Fructofresh, rencontré à Paris mardi 24 janvier, assume : « Ce sont les Nord-Coréennes qui travaillent le mieux ; elles sont très disciplinées, très motivées, très organisées. » Dariusz avance un deuxième argument : « Lorsque la direction s’est tournée vers une agence de placement pour renforcer son effectif, cette dernière lui a conseillé de choisir des Nord-Coréennes. Des Indiens ou d’autres nationalités auraient peut-être cherché à fuir, la frontière est très proche, a expliqué l’agence. Pas les Nord-Coréennes », dont le moindre faux pas mettrait en péril leur famille restée au pays.

    Près de 50 000 ressortissants nord-coréens à l’étranger

    La politique d’envoi de travailleurs nord-coréens à l’étranger s’est développée après le décès, fin 2011, de Kim Jong-il. Sous le « règne » de son fils Kim Jong-un, l’armée populaire de Corée a multiplié les tirs de missile et procédé à trois essais nucléaires. Le pays subit en retour de nouvelles sanctions. « Kim Jong-un devait trouver des alternatives pour obtenir des devises, qui se faisaient rares », analyse Remco Breuker, titulaire de la chaire d’études coréennes à l’université de Leyde (Pays-Bas), qui a coordonné en 2016 une analyse sur la main-d’œuvre nord-coréenne en Europe, « Slaves to the system ».

    Cité dans cette étude, un Nord-Coréen témoigne qu’une des conditions pour travailler à l’étranger est d’être marié et d’avoir des enfants restés au pays, afin d’éviter la tentation de faire défection. Il confie ne pas avoir eu connaissance du salaire payé par l’employeur européen. « Ils ne nous laissent jamais savoir combien nous sommes censés gagner et combien ils ponctionnent pour les charges, dit-il encore. C’est pourquoi aucun de nous ne sait à quel point nous sommes exploités. »

    Cette migration est connue des instances internationales. D’après un rapport rendu public à l’automne 2015 par Marzuki Darusman, le rapporteur spécial des Nations unies sur les droits de l’homme en Corée du Nord, près de 50 000 ressortissants nord-coréens travailleraient à l’étranger, principalement dans le secteur des mines, du textile et de la construction. La majeure partie d’entre eux exerceraient en Chine et en Russie, mais le phénomène gagnerait plusieurs pays d’Afrique et d’Asie, la région du golfe Arabo-Persique, et la Pologne. Les relations entre Varsovie et Pyongyang datent de l’époque soviétique.

    En 2013, l’édition polonaise de Newsweek avait déjà mis en lumière la présence d’employés nord-coréens dans les serres de tomates d’une société agricole, à 25 kilomètres de Varsovie. Un an plus tard, la mort d’un travailleur sur un chantier naval proche de Gdynia, port de la mer Baltique, relançait le dossier. Chon Kyongsu faisait de la soudure lorsque ses habits, inadaptés, prirent feu. L’inspection du travail avait pourtant établi une année plus tôt que 29 ouvriers nord-coréens œuvraient illégalement. Leurs permis de travail ne précisaient pas qu’ils opéraient sur les chantiers navals mais plutôt qu’ils étaient employés par une société intermédiaire, Armex, elle-même en contact avec un conglomérat d’état nord-coréen, Rungrado Trading.

    Prélèvement de 70 % du salaire

    La députée européenne Kati Piri, travailliste néerlandaise, a demandé à la Commission européenne d’engager une procédure contre la Pologne pour infraction aux traités garantissant les droits les plus basiques des travailleurs. L’article 20 de la convention du Conseil de l’Europe contre la traite des êtres humains – signée à Varsovie en 2005 et ratifiée par la Pologne en 2008 – qualifie de « traite » le fait de retenir les documents d’identité d’un individu. « Quel membre de l’Union européenne sommes-nous pour faire venir des esclaves d’un régime totalitaire ? », s’indigne un habitant de Gubin qui craint de s’exprimer à visage découvert.

    Les conditions d’arrivée des Nord-Coréennes de Czarnowice sont difficiles à éclaircir. Y compris pour leurs collègues. « On ne se parle pas trop, car on ne se comprend pas », confie Marina, une ouvrière ukrainienne. « Nous ne sommes pas employeurs de ces salariés. Néanmoins, nous nous sommes assurés que cette main-d’œuvre est employée en conformité avec le droit du travail », se défausse Anna Suchowacka.

    Selon le chercheur néerlandais Remco Breuker, les ouvriers nord-coréens ne sont pas emmenés de force en Europe, ils sont volontaires. Même après le prélèvement de 70 % de leur salaire par la compagnie qui sert d’intermédiaire avec Pyongyang, celui-ci reste un revenu précieux pour leur famille. Et, dans un cadre extrêmement surveillé, cette expatriation est souvent la seule occasion de sortir du pays et de voir de leurs propres yeux l’opulence du monde extérieur.

    Un vélo à Noël

    « On ne peut pas tolérer le travail forcé au sein de l’UE. Nous devons nous assurer que les valeurs européennes les plus fondamentales soient respectées », fait valoir Kati Piri.Même indignation du côté de la Commission européenne. « Nous condamnons fermement toute forme de travail forcé, renchérit Christian Wigand, le porte-parole de Bruxelles pour l’emploi et les affaires sociales. Mais c’est aux Etats membres de décider à qui et selon quelles ­conditions les permis de travail sont accordés. »

    En France, où Fructofresh réalise 40 % de son activité, ses deux principaux clients, Pomona et Bharlev, assurent ne rien savoir de l’existence de cette main-d’œuvre. « Pomona a signé un contrat avec ce fournisseur polonais dans lequel il s’engage explicitement à respecter les conditions d’ordre général en matière de travail en Europe, et au minimum la déclaration de l’Organisation internationale du travail, réagit Jean-Brice Hernu, directeur de Terre­Azur, la filiale de Pomona centrée sur les produits frais. S’il était avéré que ce n’est pas le cas, ça remettrait naturellement en cause la relation commerciale que nous avons avec lui. » « Nous diligentons cette semaine un audit social de cette usine », annonce Jean-Brice Hernu.

    La Pologne a annoncé en juin 2016 avoir cessé de délivrer de nouveaux visas aux travailleurs nord-coréens. A en croire le patron de Fructofresh, Cezary Zwoinski, ses travailleuses nord-coréennes ne font l’objet d’aucune surveillance particulière. Il se targue d’avoir organisé pour elles une excursion touristique et même offert à certaines un vélo à Noël, photos à l’appui. Si toutefois cette filière nord-coréenne venait à se tarir à Czarnowice, l’homme a déjà des alternatives en tête – le Bangladesh et le Népal, par exemple. « Nous réfléchissons à l’avenir », dit-il.

  • Bangladesh’s plan to allow some child marriages is ‘step backwards’ | Global development | The Guardian
    https://www.theguardian.com/global-development/2017/jan/17/bangladesh-plan-to-allow-some-child-marriages-is-step-backwards?CMP=sha

    Bangladesh will be taking a step backwards in efforts to end child marriage if parliament approves changes to a law that would permit girls below 18 to be married in “special cases”, a global alliance of charities said last week.

    The nation has one of the highest rates of child marriage in the world, despite a decades-old law that bans marriage for girls under 18 and men under 21.

    Girls Not Brides, a coalition of more than 650 charities, said Bangladesh’s parliament was expected to consider the proposed change to the Child Marriage Restraint Act during the next session beginning on 22 January.

    #Girls_Not_Brides in #Bangladesh said the proposed change was “alarming” and a step backwards for the country, which has reduced child marriage in recent years.

    #enfant #filles #mariage

  • Grève des ouvrières du textile au Bangladesh : 1600 grévistes virées, 600 poursuivies, 11 syndicalistes emprisonnés. http://www.industriall-union.org/crackdown-on-garment-workers-in-bangladesh-must-stop …pic.twitter.com/RZl0TEX94w
    https://twitter.com/OlivierCyran/status/818054790714376192

    Grève des ouvrières du textile au Bangladesh : 1600 grévistes virées, 600 poursuivies, 11 syndicalistes emprisonnés. http://www.industriall-union.org/crackdown-on-garment-workers-in-bangladesh-must-stop … pic.twitter.com/RZl0TEX94w

  • Vague de répression dans le secteur #Textile au #Bangladesh
    http://multinationales.org/Vague-de-repression-dans-le-secteur-textile-au-Bangladesh

    Plusieurs milliers d’ouvriers et d’ouvrières travaillant dans les ateliers textiles de la banlieue de Dhaka ont été congédiés suite à un #mouvement_social pour réclamer une hausse de leurs #salaires. Les multinationales européennes et nord-américaines qui s’approvisionnent au Bangladesh restent largement silencieuses. Entre 1500 et 3500 ouvriers et ouvrières textiles bangladeshi ont été renvoyés du jour au lendemain des ateliers où ils travaillaient, suite à une semaine de manifestations et de blocages (...)

    Actualités

    / #Textile, Bangladesh, #Gap, #Inditex, H&M, #Libertés_syndicales, Textile, salaires, #responsabilité_sociale_des_entreprises, mouvement social, droits des (...)

    #H&M #droits_des_travailleurs
    « http://www.bangladeshworkersafety.org »

  • Myanmar: Security forces target #Rohingya during vicious Rakhine scorched-earth campaign

    The Myanmar security forces are responsible for unlawful killings, multiple rapes and the burning down of houses and entire villages in a campaign of violence against Rohingya people that may amount to crimes against humanity, Amnesty International reveals in a new report today.

    https://www.amnesty.org/en/latest/news/2016/12/myanmar-security-forces-target-rohingya-viscious-scorched-earth-campaign

    #rapport:
    https://www.amnesty.org/en/documents/asa16/5362/2016/en
    #Birmanie #Bangladesh #asile #migrations #réfugiés #destruction #feu #crime_contre_l'humanité #viols

  • Two #Maersk Supply Vessels Sink En Route to Turkish Shipbreaker – gCaptain
    https://gcaptain.com/two-maersk-supply-vessels-sink-en-route-to-turkish-shipbreaker


    The Maersk Supply vessel Maersk Shipper.
    File photo : Maersk Supply Service

    Two Maersk offshore supply vessels have sunk off the coast of France during a tow to a ship recycling yard in Turkey where they were due to be scrapped.

    The Maersk Supply Service vessels, Maersk Searcher and Maersk Shipper, were unmanned when they sank Thursday approximately 60 miles off the coast of France, Maersk Supply COO Claus Bachmann said in a statement.

    We can confirm that the Maersk Supply Service vessel, Maersk Battler, lost two towed supply vessels on December 22,” Bachmann said.

    The two towed vessels were unmanned. There are 10 people on board the towing vessel Maersk Battler. All are well and accounted for. Coast guard of France has been informed of the incident,” he added.

    à joindre au dossier sur la #démolition_navale #démantèlement_sur_la_plage #beach_scrapping

    Maersk est dans le collimateur sur le sujet : malgré différents accidents mortels à Alang, Pakistan et Chittagong, Bangladesh et les soucis environnementaux, la société vient de confirmer son programme de démantèlement sur la plage arguant du respect des normes par les chantiers auxquels elle confie ses coques.

    • European Ship Recycling List Published But Non-EU Yards Forced to Wait – gCaptain
      https://gcaptain.com/european-ship-recycling-list-published-but-non-eu-yards-forced-to-wait

      The European Commission has published and adopted the first version of the long-awaited European List of accepted ship recycling facilities for exclusive access to EU-flag ships being sent for scrap. Unfortunately, yards located outside the European Union are going to have to wait a little longer.

      The first 18 shipyards included in the List are all located in the EU. All have been vetted to comply with the strict requirements for inclusion in the list, which grants the yards exclusive access to recycling end-of-life ships flying the flags of EU Member States under the EU Ship Recycling Regulation.

      The big question remains whether or not any yards in South Asia, particularly Alang, India, where safety and environmental standards have improved in recent years but the beaching method is still used, will be included in the List.

      The EU Ship Recycling Regulation, adopted in 2013 and entering into force no later than December 31, 2018, requires, among other things, that all large sea-going vessels sailing under an EU Member State flag to use an approved ship recycling facility.

    • Le rapport du bureau danois sur le naufrage

      Denmark Issues Investigation Report Into Loss of Maersk Supply Ships Off France – gCaptain
      http://gcaptain.com/denmark-issues-investigation-report-loss-maersk-supply-ships-off-france


      Towage at noon on 21 December 2016 leaving the English Channel at the Celtic Sea.
      Source : Private photo via DMAIB

      It is concluded in the report that the loss of fenders, collision and flooding of the unmanned ships under tow had been addressed in the risk assessment carried out, and that risk mitigating initiatives were in place for each risk item. However, these initiatives were ineffective. The DMAIB concludes that the risk mitigating strategies were mainly focused on preventing risk factors in isolation and left little or no contingency for acute interaction between the risk factors,” the DMAIB report stated.


      MÆRSK SEARCHER capsizing and sinking on 22 December 2016, just past midnight.
      Source : Private photo via DMAIB

      C’est dit gentiment, mais si je comprends bien, Mærsk porte l’entière responsabilité du naufrage…

    • Conclusion plutôt radicale. Et qui fait peur…
      bip @freakonometrics

      http://www.dmaib.com/Ulykkesrapporter/Marine+accident report - Loss of tow - MAERSK BATTLER.pdf

      The risk management system used by Maersk Supply Service is one of the most common in the shipping industry and the problems connected to the risk management system which led to the insufficient risk mitigation of the towing operation are hence not out of the ordinary. The risk management system offers to handle risk as an objective value and to provide a structure for handling risk. However, there is no aid or control of what is put into the system when it comes to which risk factors are identified. The numeric risk value is based solely on how imaginative the involved persons are, and the system does not provide a structure for how to reflect on what risk mitigating strategies are applied. This means that the risk management system does not help its user to manage risk, and that the assessment of the risk reduction is highly sensitive to one or more individuals’ subjective risk perception, which will be strongly influenced by the desire to make the operation possible. Thereby, the risk management system will rarely limit activities prone to risk In fact, the risk management system instead tends to facilitate the carrying out of risk prone operations.

    • A legal notice from the French Prefecture Maritime required Maersk Supply Service to analyse and empty the contents of the vessels’ tanks. The identified task has been followed and concluded. In addition, Maersk Supply Service will inspect the wrecks and monitor any potential environmental impact twice a year until 2019.

  • Amnesty | Réfugiés Rohingyas : le désespoir au Bangladesh
    http://asile.ch/2016/12/21/amnesty-refugies-rohingyas-desespoir-bangladesh

    Des dizaines de milliers de Rohingyas en quête de sécurité ont franchi la frontière du Bangladesh au cours des deux derniers mois. Le nombre exact de réfugiés est impossible à déterminer, mais les Nations unies estiment qu’ils sont au moins 27’000.