country:cameroun

  • #Boko_Haram perd du terrain, mais la production alimentaire aussi

    Au #Nigeria, la guerre contre Boko Haram tourne enfin en faveur du gouvernement, mais il faudra bien plus de temps pour remettre sur pied la #production_alimentaire dans le nord-est du pays. Il en va de même au Cameroun voisin, qui a lui aussi pâti de la violence.


    http://www.irinnews.org/fr/actualit%C3%A9s/2016/03/11/boko-haram-perd-du-terrain-mais-la-production-alimentaire-aussi
    #alimentation
    cc @odilon

  • Est-il encore permis d’informer sur les activités du groupe Bolloré ?
    http://www.bastamag.net/Est-il-encore-permis-d-informer-sur-les-activites-du-groupe-Bollore

    L’audience du procès en diffamation que le groupe Bolloré intente à Bastamag se déroulera le jeudi 11 février, à la 17ème chambre du Tribunal de grande instance de Paris, à partir de 13h. L’audience sera publique.

    Le groupe Bolloré estime diffamatoire pas moins de huit paragraphes – ainsi que le titre et le surtitre – d’un article de synthèse publié par Bastamag en octobre 2012 et consacré à la question de l’accaparement des terres, ces appropriations de terres à grande échelle par des fonds d’investissements ou des multinationales, principalement en Afrique et en Asie.

    S’appuyant sur des rapports des Nations unies et d’organisations internationales, cet article dressait un état des lieux du mouvement d’accaparement de terres en Afrique, en Amérique latine et en Asie, et des grandes entreprises françaises qui y sont impliquées. L’article mentionne ainsi les activités du groupe Bolloré, via une holding luxembourgeoise, la Socfin, dans lequel le groupe possède de fortes participations. La Socfin possède de multiples filiales qui gèrent des plantations d’hévéas et d’huile de palme en Afrique et en Asie.

    >>>>> L’article en question dans le procès pour diffamation : "Bolloré, Crédit agricole, Louis Dreyfus : ces groupes français, champions de l’accaparement de terres", par Nadia Djabali (2012)
    http://www.bastamag.net/Bollore-Credit-agricole-Louis

    Alors que 868 millions de personnes souffrent de sous-alimentation, selon l’Onu, l’accaparement de terres agricoles par des multinationales de l’agrobusiness ou des fonds spéculatifs se poursuit. L’équivalent de trois fois l’Allemagne a ainsi été extorqué aux paysans africains, sud-américains ou asiatiques. Les plantations destinées à l’industrie remplacent l’agriculture locale. Plusieurs grandes entreprises françaises participent à cet accaparement, avec la bénédiction des institutions financières.

    Egalement sur le site Bastamag :

    >>>> Liberté de la presse : Bolloré porte de nouveau plainte contre Basta ! 2015
    http://www.bastamag.net/Liberte-de-la-presse-Bollore-porte-de-nouveau-plainte-contre-Bastamag

    >>>> Basta ! et Rue 89 mis en examen suite à une plainte du groupe Bolloré. 2013
    http://www.bastamag.net/Basta-et-Rue-89-mis-en-examen

    >>>> Deux autres journalistes de Basta ! mis en examen suite à une plainte du groupe Bolloré
    http://www.bastamag.net/Deux-autres-journalistes-de-Basta

    >>>> Voir aussi les articles au sujet de Bolloré par l’association Survie
    http://survie.org/mot/bollore

    Sierra Leone : Emprisonnement de Shiaka Sama, procès de journalistes en France, les voix critiques contre Bolloré réduites au silence . FIDH Mouvement mondial des droits humains
    https://www.fidh.org/fr/themes/mondialisation-droits-humains/sierra-leone-emprisonnement-de-shiaka-sama-proces-de-journalistes-en

    A la veille d’un nouveau procès intenté par Bolloré contre des journalistes de médias français, des organisations dénoncent l’emprisonnement le 5 février de 6 leaders des communautés locales affectées par les investissements de la SAC, une filiale de Socfin, société liée au groupe Bolloré.

    Comprendre les investissements fonciers en Afrique - Le projet SOCFIN en Sierra Leone - 2012 Oakland Institute

    http://www.oaklandinstitute.org/sites/oaklandinstitute.org/files/rapportOISocfinAvril2012enfrancais.pdf

    En 2011, Socfin Agricultural Company Sierra Leone Ltd. (Socfin SL) a pris le contrôle de 6.500 hectares (ha) de terres agricoles pour établir des plantations de palmiers à huile et d’hévéas dans la chefferie de Malen, district de Pujehun, au sud de la Sierra Leone. L’entreprise cherche maintenant à acquérir 5.000 ha supplémentaires dans la région de Malen ou des chefferies voisines.

    Promettant création d’emplois, compensation pour les exploitations agricoles perdues et la construction d’infrastructures, l’investissement initial, estimé à 100 millions de dollars, a bénéficié d’un soutien au plus haut niveau du gouvernement Sierra Léonais.

    Le bail de 50 ans a été signé par le Ministre de l’Agriculture, des Forêts et de la Sécurité Alimentaire, le Dr Sam Sesay, lui-même.Malgré ce soutien politique, le projet de Socfin SL se heurte à une forte résistance de la population locale. En octobre 2011, 40 manifestants ont été arrêtés, suite aux tensions entre les villageois et l’entreprise. Les manifestants protestaient contre le projet d’investissement, le manque de transparence de la société, l’absence de consultation des populations locales, et le manque d’information sur les perspectives de réinstallation. Ils se plaignaient également des faibles rémunérations, de la corruption d’élites locales, et de la pression exercée sur les propriétaires de terres et les chefs de villages pour la signature des accords.

    Socfin SL, est une filiale de Socfin (Société Financière des Caoutchoucs), une société holding, qui opère dans divers secteurs, dont les plantations, l’agroalimentaire, l’immobilier et la finance. Le principal actionnaire est la société Bolloré Investissement SA (Groupe Bolloré), détenue par l’homme d’affaires français Vincent Bolloré.

    L’empire Bolloré s’est développé de façon spectaculaire au cours des deux dernières décennies. En achetant des anciennes entreprises coloniales, et profitant de la vague de privatisations issue des “ajustements structurels” imposés par le Fonds Monétaire International, Bolloré est devenu un acteur clé dans la structure économique et la vie politique de nombreux pays africains.

    Le Groupe est désormais présent dans 92 pays dans le monde, dont 43 en Afrique. Il contrôle des plantations mais est aussi présent dans d’autres secteurs, comme la logistique, la manutention, les infrastructures de transport, la production de pétrole et surtout les ports africains (13 en 2012). L’emprise de Bolloré sur le continent atteint aujourd’hui de nouvelles dimensions avec l’accroissement des investissements dansles plantations d’huile de palme et d’hévéas.

    Les griefs des agriculteurs de Sierra Leone vis-à-vis des plantations de Socfin font écho à ceux de communautés rurales de plusieurs pays du Sud concernant d’autres filiales de Socfin. Des critiques similaires sont ainsi apparues ces dernières années au Libéria, au Cameroun et au Cambodge.
    Des agriculteurs et petits propriétaires sont poursuivis en Sierra Leone pour leur opposition à Socfin. Leur lutte est bien celle de David contre Goliath, Socfin étant aux mains de puissantes élites économiques et financières internationales, Vincent Bolloré et ses associés.

    >>>> Affaires, médias et humanitaire : Les guerres africaines de Vincent Bolloré, par Thomas Deltombe (2009)
    http://www.monde-diplomatique.fr/2009/04/DELTOMBE/16970

    >>>> Port, rail, plantations : le triste bilan de Bolloré au Cameroun par Thomas Deltombe (2009)
    http://www.monde-diplomatique.fr/2009/04/DELTOMBE/17037

    >>>> Bolloré : monopoles services compris. Tentacules africaines (2000) - Survie
    http://survie.org/francafrique/diplomatie-business-et-dictatures/article/bollore-monopoles-services-compris-170

    Vincent Bolloré contre Basta ! : à bas la presse libre, vive les paradis fiscaux - Attac
    https://attac.org/l/5m1

    Ce jeudi 11 février s’ouvre le procès en diffamation contre le site d’info indépendant Bastamag sur plainte de Vincent Bolloré. Après avoir normalisé Canal +, M. Bolloré veut étouffer le scandale… Bolloré en faisant taire Basta !, un site d’info qui dérange. Il devrait plutôt se méfier de la publicité : la société Socfin, épinglée par Basta ! au vu des enquêtes de terrain menées par plusieurs ONG sur l’accaparement de terres en Afrique, est aussi lourdement impliquée dans deux paradis fiscaux particulièrement nocifs, Liechtenstein et Luxembourg

    .
    #Vincent_Bolloré #Socfin #Bastamag #Nadia_Djabali #attac #fidh #Oakland_Institute #Thomas_Deltombe #procès #paradis_fiscaux #Sierra-Leone #Afrique #Multinationales #Information #survie.org

  • Le progrès peut tuer : des enfants ’pygmées’ rémunérés en colle à sniffer et en alcool - Survival International
    http://www.survivalfrance.org/actu/11098

    Un nouveau rapport de Survival International révèle que des enfants des forêts tropicales africaines ont été payés en colle à sniffer et en alcool pour des tâches subalternes qu’ils ont effectuées.

    Le rapport mentionne qu’en 2013, en République du Congo, des commerçants ont rémunéré des enfants de la tribu bayaka en colle à sniffer pour le nettoyage de latrines.

    Au Cameroun, les Baka – qui ont été illégalement expulsés de leurs forêts – sont souvent payés 5 verres d’alcool la demi-journée de travail. Nombre d’entre eux, en proie à la pauvreté et à la dépression causées par la spoliation de leurs terres, se tournent vers la boisson pour échapper à leurs problèmes.

    Presque partout en Afrique centrale, les chasseurs-cueilleurs qui ont été dépossédés de leurs terres sont rémunérés en substances addictives, le plus souvent en alcool artisanal.

    Atono, un Baka expulsé de force de son territoire, a raconté : ‘Nous sommes en train de tomber malades car notre alimentation a changé. Notre peau n’aime pas le soleil ni la vie au village. Dans la forêt nous sommes en bonne santé et nous prenons du poids. Mais désormais, plus personne n’est musclé, tout le monde a l’air malade. Nous sommes obligés de boire pour oublier nos problèmes’.

    #développement_forcé #peuples_autochtones #addiction_comme_salaire

  • Visionscarto.net publie ce matin « Sahel : la guerre des sables, par dessus les frontières », texte dans lequel Philippe Leymarie fait l’état de lieux de ce qui se passe aujourd’hui au Sahel.

    http://visionscarto.net/sahel-la-guerre-des-sables

    Ce texte est accompagné d’une grande carte de synthèse que je mets au pot bien qu’elle ne soit pas (encore) optimale.

    C’est une carte à lire plutôt qu’un carte à voir (comme aurait dit Jacques Bertin). Elle est très touffue. Je me suis demandé s’il fallait l’élaguer un peu, supprimer des éléments (comme les routes migratoires ou les opérations Frontex qui ne sont pas directement « dans » le sujet), mais finalement, j’ai pensé que tous les éléments pouvaient être utiles pour ceux à qui est destinée la carte, pour les laisser faire leur choix en cas d’utilisation en classe ou en conférence.

    Pour les routes migratoires par exemple, il aurait fallu représenter - en plus des grandes routes - transcontinentales, les déplacements régionaux rendus compliqués par les accords d’externalisation de surveillance des frontières signés avec les pays européens.

    On peut donc dire que cette carte très complexe est un premier jet, et qu’on en fera plus tard - éventuellement sur vos suggestions - des visualisations dérivées ou simplifiées.

    Enfin, je mettrai en ligne (en lien avec ce billet et cette carte) les archives cartographiques de cette « Afrique géopolitique et des interventions étrangères » depuis le début des années 1990.

    Cette carte existe :

    En français : http://visionscarto.net/sahel-djihadisme-interventions-etrangeres

    En anglais : http://visionscarto.net/sahel-djihadism-foreign-intervention

    #sahel #armée #france #djihadisme #guerre #conflits

    • Comment l’Etat islamique est parti à l’assaut de l’Afrique
      http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/01/22/comment-l-etat-islamique-est-parti-a-l-assaut-de-l-afrique_4852085_3212.html

      ... seconde vague djihadiste en Afrique. Petit rappel : pendant une grosse décennie, des groupes armés de cette mouvance se sont enracinés dans trois zones du continent africain : dans la Corne, avec un berceau en Somalie, où est apparu le mouvement Chabab (Harakat Al-Chabab Al-Moudjahidin, « le mouvement des moudjahidin de la jeunesse »), né vers 2006 dans la continuité de formations salafistes passées à la guerre, avant d’être affiliées à Al-Qaida puis de développer des extensions dans les pays voisins (Kenya mais aussi Tanzanie) ; dans la bande entre Sahara et pays du Sahel (depuis la Mauritanie jusqu’à Djibouti) ; et, enfin, dans le bassin du lac Tchad, où le groupe Boko Haram a essaimé depuis le nord du Nigeria vers le Tchad, le Niger et le Cameroun.

      (...)« Au-delà de leur détermination commune à faire le djihad, les liens qui unissent ces mouvements sont complexes, pas nécessairement coopératifs et sûrement pas figés », note Yvan Guichaoua, maître de conférences travaillant sur les conflits internationaux à l’université de Kent, dans « L’impasse du contre-terrorisme au Sahel », article paru sur le site The Conversation le 16 décembre. Le spécialiste de la région du Sahara tire, au sujet de cette dernière, une conclusion qui pourrait s’appliquer ailleurs sur le continent : « Les composantes de la nébuleuse djihadiste ne répondent pas au même commandement et ne sont pas à l’abri de dysfonctionnements organisationnels. Le nombre de leurs combattants, puisés à des viviers distincts, est faible et leur niveau d’équipement variable. (…) Les ériger en machine de guerre uniforme et irrépressible satisferait probablement leur appétit de reconnaissance mais ne correspondrait pas à la réalité. »
      L’irruption de l’Etat islamique dans cette galaxie fractionnée menace-t-elle d’unifier les troupes dispersées au point de changer la nature du djihadisme en Afrique ?

      L’impasse du contre-terrorisme au Sahel
      http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/12/21/l-impasse-du-contre-terrorisme-au-sahel_4836093_3212.html

      Yvan Guichaoua, maître de conférences sur les conflits internationaux, constate que l’armée française traque les djihadistes dans le Sahel, mais qu’ils étendent leur influence plus au sud. Une réalité qui souligne l’inanité d’une approche purement militaire. Ce texte a d’abord été publié par The Conversation.

  • Des vies de migrants en #Algérie (1/7) : arriver

    Agathe, technicienne en informatique au Cameroun, a pris la route en 2013. « J’ai tenté d’obtenir un visa pour la France plusieurs fois, sans résultat », raconte cette jeune femme d’une trentaine d’années aux longues tresses. Un ami lui explique alors qu’elle peut « aller en #aventure », qu’il suffit d’« un peu d’argent », et assure qu’il l’aidera à arriver jusqu’en Europe. « Je devais lui faire signe une fois au Maroc, mais il n’a jamais répondu. Je suis restée en Algérie. » Maggie, elle, 27 ans, est arrivée à Oran il y a un an sur les conseils de son petit ami qui avait fait le voyage avant elle : « On quitte notre pays pour améliorer notre vie », précise-t-elle.


    http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/01/13/des-vies-de-migrants-en-algerie-1-7-arriver_4846595_3212.html
    #migrations #parcours_migratoire

    Ce reportage en 7 épisodes m’a été siagnalé par @daphne

  • Déchéance de nationalité
    http://survie.org/billets-d-afrique/2016/253-janvier-2016/article/decheance-de-nationalite-5072

    En 1972, Mongo Beti publie chez l’éditeur Maspero Main Basse sur le #Cameroun, un essai politique qui tente de briser l’omerta sur les crimes de la dictature d’Amadou Ahidjo et de la puissance tutélaire de Paris, qui vient enfin d’anéantir la rébellion indépendantiste avec laquelle elle était aux prises depuis 15 ans. Le livre est immédiatement interdit, les stocks saisis, et l’écrivain né au Cameroun, professeur agrégé dans un lycée de Rouen, installé en France depuis vingt ans, se voit convoqué au (...)

    #253_-_janvier_2016

    / Cameroun, #Brèves_d'Afrique_et_d'ailleurs

  • #Cameroun : pendant et après la #colonisation, une amnésie organisée

    S’agissant du Cameroun, je doute fort qu’il y ait quoi que ce soit qu’il faille ajouter à ce que l’on sait déjà et qui n’a cessé d’être répété par beaucoup. Invention allemande, cette entité est vieille de 131 ans - assez pour qu’une histoire ait pu s’y dérouler et une mémoire s’y forger et, éventuellement, être partagée. Or si une histoire a en effet eu lieu, de mémoire de celle-ci il n’en existe pratiquement point, ni pour les vainqueurs, encore moins pour les vaincus. Du moins sur le plan formel et, dirait-on, liturgique.

    http://www.achac.com/blogs/81

  • Et maintenant nos terres | Un documentaire sur la résistance à l’accaparement des terres en Afrique
    http://www.maintenantnosterres.com

    Et Maintenant, Nos #Terres est un #documentaire qui donne à voir trois figures de la société civile et paysanne qui s’éveille en #Afrique.

    À l’heure où les investissements étrangers ne cessent de croître, en particulier sur le plan foncier, et où les accaparements de terre font rage, la question de la paysannerie est centrale : quelle doit être l’agriculture africaine de demain ?

    Tourné à l’été 2014, le documentaire parcourt l’Afrique de l’Ouest, du Cameroun au Bénin, en passant par le Sénégal. Le moment est venu d’entendre le point de vue de ceux qui se battent, chaque jour, avec leurs moyens, pour leurs droits et leur futur.

  • Cette carte en vidéo retrace 15 ans d’attentats dans le monde

    Un designer s’est efforcé de représenter en vidéo toutes les attaques terroristes survenues depuis quinze ans dans le monde et ayant fait au moins 20 morts.

    Al-Qaïda, Boko Haram, Daesh, les talibans, les FARC, Al-Shabaab… depuis quinze ans, les mouvements classés dans la liste officielle du terrorisme ont frappé de très nombreux pays : en Irak, en Syrie, aux États-Unis, en Colombie, en Inde, en Espagne, en Russie, en Algérie, au Cameroun, au Royaume-Uni et bien sûr en France.

    Cette vague d’attentats qui a frappé aveuglément tous les continents a été une source d’inspiration pour le designer Milan R. Vuckovic. Dans une vidéo intitulée Quinze ans de terreur, il présente un accéléré de toutes les attaques terroristes survenues entre le 1 décembre 2000 et le 13 novembre 2015, et ayant fait au moins vingt morts,

    http://www.numerama.com/politique/132434-15-ans-de-terrorisme-resumes-en-une-video.html

  • Une vidéo retraçant les #attentats de ces 15 dernières années.

    Un designer s’est efforcé de représenter en vidéo toutes les attaques terroristes survenues depuis quinze ans dans le monde et ayant fait au moins 20 morts.

    Al-Qaïda, Boko Haram, Daesh, les talibans, les FARC, Al-Shabaab… depuis quinze ans, les mouvements classés dans la liste officielle du terrorisme ont frappé de très nombreux pays : en Irak, en Syrie, aux États-Unis, en Colombie, en Inde, en Espagne, en Russie, en Algérie, au Cameroun, au Royaume-Uni et bien sûr en France.

    Cette vague d’attentats qui a frappé aveuglément tous les continents a été une source d’inspiration pour le designer Milan R. Vuckovic. Dans une vidéo intitulée Quinze ans de terreur, il présente un accéléré de toutes les attaques terroristes survenues entre le 1 décembre 2000 et le 13 novembre 2015, et ayant fait au moins vingt morts,

    http://www.numerama.com/politique/132434-15-ans-de-terrorisme-resumes-en-une-video.html

  • Afrique : le pillage conséquence de l’adoubement d’une certaine génération
    http://grigrinews.com/afrique-le-pillage-consequence-de-ladoubement-dune-certaine-generation/3168

    Actualités Afrique Il se dit de criée d’orfraie, indéniablement ironique pour des uns quand ce n’est gouvernée par des stratagèmes politiques de personnes européennes en perte de vitesse : Que la France pille en Afrique et notamment au Cameroun !(c) 2015 - Grigrinews.com

    #Africanité

  • L’Assemblée générale appelle à la reprise des négociations entre Israéliens et Palestiniens « fondées sur des éléments clairs et un calendrier précis » |
    24 novembre 2015

    Couverture des réunions & communiqués de presse
    http://www.un.org/press/fr/2015/ag11732.doc.htm

    L’Assemblée générale a adopté par 102 voix pour, 8 voix contre (Australie, Canada, États-Unis, Îles Marshall, Israël, Micronésie, Nauru et Palaos) et 57 abstentions, une résolution sur le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien (A/70/L.10) par laquelle elle prend note du rapport annuel de ce dernier et le prie de faire participer les organisations de la société civile palestinienne et des parlementaires à ses travaux, afin de mobiliser le soutien de la communauté internationale en faveur du peuple palestinien, notamment en cette période critique, marquée par l’instabilité politique, les difficultés humanitaires et la crise financière.

    L’Assemblée note avec satisfaction les efforts de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) en vue d’établir un rapport sur les coûts économiques de l’occupation israélienne pour le peuple palestinien, appelant l’attention sur les constatations alarmantes du rapport intitulé « Rapport sur l’assistance de la CNUCED au peuple palestinien : évolution de l’économie du Territoire palestinien occupé ». L’Assemblée demande que tout soit mis en œuvre pour que les ressources supplémentaires nécessaires pour accélérer la mise en œuvre des activités décrites dans le rapport soient débloquées.

    Par la résolution sur la Division des droits des Palestiniens du Secrétariat (A/70/L.11), adoptée par 99 voix pour, 8 voix contre (Australie, Canada, États-Unis, Îles Marshall, Israël, Micronésie, Nauru et Palaos) et 59 abstentions, l’Assemblée prie le Secrétaire général de continuer à doter la Division des ressources dont elle a besoin. Elle invite tous les gouvernements et toutes les organisations à offrir leur concours à la Division dans l’exécution de ses tâches.

    Aux termes de la résolution sur le Programme d’information spécial sur la question de Palestine du Département de l’information du Secrétariat (A/70/L.12), adoptée par 155 voix pour, 7 voix contre (Australie, Canada, États-Unis, Îles Marshall, Israël, Micronésie et Palaos) et 7 abstentions (Cameroun, Honduras, Nauru, Paraguay, Soudan du Sud, Tonga et Togo), l’Assemblée générale considère que le Programme d’information est très utile en ce qu’il aide à sensibiliser la communauté internationale à la question de Palestine et à la situation au Moyen-Orient. Elle prie le Département de diffuser des informations sur toutes les activités du système des Nations Unies touchant la question de Palestine et les efforts de paix.

    Par la résolution sur le Règlement pacifique de la question de Palestine (A/70/L.13), adoptée par 155 voix pour, 7 voix contre (Canada, États-Unis, Îles Marshall, Israël, Micronésie, Nauru et Palaos) et sept abstentions (Australie, Cameroun, Honduras, Paraguay, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Soudan du Sud et Tonga), l’Assemblée générale souligne qu’il est urgent de préserver les chances d’aboutir à l’existence de deux États, Israël et la Palestine, vivant côte à côte dans la paix et la sécurité, à l’intérieur de frontières reconnues fondées sur celles d’avant 1967. Elle souligne qu’il est nécessaire de reprendre des négociations fondées sur des éléments clairs et assorties d’un calendrier précis et encourage les efforts résolus déployés par les membres du Quatuor, par la Ligue des États arabes et tous les autres États concernés. L’Assemblée demande qu’une conférence internationale soit organisée à Moscou, comme l’a envisagé le Conseil de sécurité dans sa résolution 1850 (2008), en vue de promouvoir et d’accélérer la conclusion d’un règlement juste, durable et global.

    #Palestine #ONU

  • Le fléau des #faux_médicaments au #Cameroun

    Dans les rues de Yaounde et Douala au Cameroun, le commerce du médicament prospère dangereusement en dehors des officines pharmaceutiques. Les autorités essayent tant bien que mal de contrer le phénomène, mais la réalité sociale et le coût de la vie obligent une bonne partie de la population à s’y approvisionner pour leurs besoins de santé, en dépit des dangers.

    http://www.rfi.fr/emission/20150914-le-fleau-faux-medicaments-cameroun
    #santé #médicaments
    cc @fil

    • A plusieurs reprises nous avons tenté (plusieurs personnes individuellement) de donner nos médicaments encore valables à la pharmacie : des cachets mais aussi des compresses ou des couches. Une véritable honte, soit briser la solidarité pour enrichir les labos et les pharmacies, car immanquablement ils seront détruits.

  • #Sahel. L’évolution de la conflictualité armée

    #Boko_Haram s’est débaptisé cette année, en se ralliant à Daesh : ils se nomment désormais « le Gouvernorat d’Afrique de l’Ouest de l’Etats Islamique ». Depuis qu’ils ont souscrit au cahier des charges scrupuleux qui leur a été soumis par Daesh, leurs tactiques militaires se sont améliorées, leur dangerosité s’est accrue et leur communication sur internet s’est fortement développée.

    Au #Sénégal, on est bien conscient d’être au cœur des interactions sociopolitiques qui traversent l’espace saharo sahélien, comme le décrit ce rapport de 29 pages, publiée par le SAHEL RESEARCH GROUP. Comment le Sénégal traverse-t-il l’épreuve de la crise sahélienne ?

    Ipode, un think tank sénégalais, rappelle à juste titre avec des arguments solides, le leadership du Sénégal dans la sous région, son efficacité en matière de renseignement et de lutte contre l’émigration clandestine.

    Et, à l’Ecole de Guerre de Dakar, on sait bien que la victoire sur le terrorisme appelle davantage à lutter contre la précarité socio-économique, source de frustrations pouvant être instrumentalisées par les pseudo-djihadistes.

    Au début de l’été, le président sénégalais, Macky Sall évoquait clairement la menace islamiste en Afrique subsaharienne. Il s’exprimait le jour même où le groupe djihadiste Ansar Dine promet de "multiplier les attaques en Côte d’Ivoire, au Mali et en Mauritanie, des pays qui travaillent avec les ennemis de l’islam".

    Au #Cameroun, c’est après un attentat suicide que les autorités camerounaises ont décidé d’étendre l’interdiction du port du voile intégral à l’ensemble dy pays, allant cette fois jusqu’aux régions de l’Est et du Littoral.

    C’est sur un pont frontalier emblématique de la guerre contre les islamistes que les soldats nigérians ont tenu à saluer leurs collègues camerounais et tchadiens pour l’action concertée des trois armées qui a permis de repousser les avancées du groupe qui terrorise la région.

    Car dans plusieurs villages isolés de la région, c’est bien loin des projecteurs médiatiques, que Boko Haram terrorise et massacre les populations locales, en les décapitant et parfois même en tirant les peaux sur les cadavres pour mieux épouvanter les villageois après leur départ.

    Comment mettre fin au attaques de Boko Haram, qui ont déjà causé plus de 15.000 morts recensés rien qu’au Nigéria, alors que les raids dans l’extrême nord du Cameroun sont de plus en plus fréquents ?

    Il y a un plus d’un moins, le gouvernement camerounais a rendu officielles les neufs mesures qu’il a prises pour lutter contre Boko Haram qui compliquent aussi sérieusement les libertés des populations : interdiction des regroupements et fermeture des débits de boisson après 18h, interdiction de la vente à la sauvette, restriction de la circulation des véhicules à deux roues et surveillance des mosquées, où les prêches des imams vont être plus attentivement écoutés.

    La chaîne d’information continue francophone Africa24 détaille ainsi dans un reportage, diffusé pendant son journal, l’ensemble des nouvelles mesures prises pour lutter contre le terrorisme, qui consistent aussi… à reconduire à la frontière des travailleurs des pays voisins, comme on le voit dans ce reportage de France24.

    http://www.franceculture.fr/emission-les-enjeux-internationaux-sahel-l-evolution-de-la-conflictual

    #conflit

  • Nouveau service de réparation informatique au centre du savoir de Manengouba

    C’est officiel le centre de savoir va bientôt offrir des services de réparation informatique dans la région du Manengouba. Le projet était en gestation depuis fin 2014 et il est actuellement lancé, en fait cela fait 2 mois qu’il est véritablement engagé.

    http://i2.wp.com/centredesavoirmanengouba.org/wp-content/uploads/2015/05/pc2-csm-0714-8-bbd-Lw.jpg?resize=690%2C460

    Il y a un double objectif avec cette activité . Le premier consiste à proposer dans le secteur du village de Mbouroukou et de la ville la plus proche Melong un service de réparation informatique à la population mais aussi aux entrepreneurs et aux entreprises de la région. Ainsi il sera possible de faire réparer son ordinateur lui prolongeant ainsi sa vie, évitant d’avoir a racheter du matériel qui est très cher encore pour une bonne partie de la population. Le deuxième objectif consiste à permettre au centre d’être autonome aussi bien sur l’aspect financier qu’avec son matériel informatique lui permettant de prolonger d’avantage la vie des ordinateurs ou de récupérer le maximum de pièces pouvant être réutilisé. L’autonomie autant technique que financière est de première importance pour le centre de savoir. Cela permet d’avoir des revenus tout en évitant d’avoir des frais pour faire réparer le matériel du centre l’impact est donc double.

    Le service se passe dans la salle informatique du centre de savoir . Cela comprend la réparation effective et intégrale des ordinateurs. Une vérification minutieuse de l’architecture de chaque ordinateur sera opérée pour détecter tous les problèmes, ensuite il sera fait une fiche descriptive des problèmes identifiés. L’interaction se fera entre le coordonnateur et le technicien permettant de dresser une liste des pièces de rechange qui seront achetées par le centre. Comme l’évoque Randau Ngoua le coordo « L’autre aspect du projet consiste à donner une bonne formation en ce domaine à l’équipe à l’aide des supports choisis d’un commun accord entre le coordonnateur et le technicien ».

    Les plages horaires pour la réparation sont le mercredi et le vendredi de 14h à 16h, ce sont donc 4 heures hebdomadaires qui sont consacrées à ce service.

    Les impacts de ce service de réparation des ordinateurs a un grand impact à court mais aussi à long terme. A court terme cela apporte au centre une nouvelle corde à son arc avec ce service apporté à la communauté qui est en premier lieu la bénéficiaire du matériel informatique. C’est également impactant pour l’équipe du centre lui-même qui bénéficie du développement de ses capacités et l’acquisition de nouvelles compétences dans un domaine qui sera de plus en plus en demande. A long terme ce service va se développer offrant de nouvelles options de développement au centre avec une activité génératrice de revenus. Mais cela tout en répondant aux besoins de la communauté en informatique.

    Et après ?
    C’est souvent la question que poserons certains ? L’idée derrière ce projet est de pouvoir boucler la boucle commençant par l’apprentissage de l’informatique jusqu’à être capable de réparer mais aussi de recycler . Bien que le recyclage fasse déjà partie de l’actuel projet cet aspect prendra de plus en plus de place à l’avenir puisqu’il est essentiel de recycler dans de bonnes conditions les pièces sensibles des ordinateurs et écrans comprenant des métaux lourds (plomb etc.) pouvant provoquer de graves préjudices en polluant les sols comme par exemple si des écrans cathodiques devaient être jetés dans la nature. Compte tenu des énormes besoin dans ce domaine au Cameroun cette projection dans l’avenir nous met en face d’un gros problème environnemental et social mais fait émerger un énorme potentiel pour le centre de savoir.

    Cette nouvelle activité de réparation possède de nombreux bienfaits mais aussi un fort potentiel. Le centre démontre une réelle volonté d’aller de l’avant. Il continue bien évidement ses activités habituelles d’initiation à l’informatique, tout comme les activités récréatives pour les enfants et bien sur les échanges sur des thématiques agricoles. Il n’en reste pas moins que les défis sont de taille entre le développement à court et long terme les services rendus à la population tout en assurant l’autonomie financière.

    Rappelons également que le centre est très jeune puisque il a commencé officiellement ses activités en juillet 2013 c’est un bébé plein de potentiel qui fait ses premiers pas… en réparation informatique. Raison de plus pour l’encourager dans son élan.

    http://centredesavoirmanengouba.org/nouveau-service-en-reparation-informatique-au-centre-de-sa

    #recycler-vieux-pc
    #cameroun
    #tiers-lieux
    #centre-savoir

  • Envahie par les eaux, l’île de Cap Cameroun en voie de disparition
    http://lacite.website/2015/11/20/face-a-la-montde-disparition

    Dix kilomètres dans l’océan Atlantique, au large de la partie continentale de l’île Cap Cameroun, se dresse une antenne relais de communication. Installée sur la terre ferme de cette île il y a douze ans, elle est aujourd’hui envahie par les eaux. Cet article Envahie par les eaux, l’île de Cap Cameroun en voie de disparition est apparu en premier sur La Cité.

  • IRIN | Des réfugiés de Boko Haram renvoyés au Nigeria
    http://asile.ch/2015/11/18/irin-des-refugies-de-boko-haram-renvoyes-au-nigeria

    Environ 15’000 Nigérians qui avaient fui au Cameroun pour échapper aux attaques du groupe islamiste Boko Haram ont été expulsés du pays. Certains disent que cette décision – qualifiée d’« inhumaine » par le gouvernement du Nigeria – constitue une violation du droit international. Cet article IRIN | Des réfugiés de Boko Haram renvoyés au Nigeria est apparu en premier sur asile.ch.

  • Un défenseur de l’environnement lourdement condamné au Cameroun !!!
    http://farmlandgrab.org/post/view/25464-un-defenseur-de-lenvironnement-lourdement-condamne-au-cameroun

    Monsieur Nasako Besingi, Directeur de l’ONG Struggle to Economize our Future Environment (SEFE) a été condamné ce jour par le tribunal de Mundemba, dans le Sud-Ouest du Cameroun. Nasako Besingi faisait l’objet d’une série de plaintes pour diffamation introduites par la société SGSOC et par deux de ses anciens employés.

    Après plusieurs renvois au cours des derniers mois, la décision a finalement été rendue le 3 novembre 2015, et la sentence est lourde pour l’activiste : une amende de 1 000 000 de francs CFA, ou une peine d’emprisonnement de 3 ans. Il devra en plus payer des dommages et intérêts de 10 000 000 de francs CFA aux deux parties civiles, ainsi que les dépens d’environ 200 000 francs CFA. Nasako dispose de 24 heures pour s’acquitter du montant de l’amende, faute de quoi il ira en prison pour 3 ans.

    Joint au téléphone, Me Adolf MALLE, avocat à Kumba, s’est déclaré surpris par la condamnation de son client, et a indiqué qu’il ferait appel de cette décision, fondée sur des moyens de preuve des plus contestables.

    En 2012 alors qu’il servait de guide à une équipe de journalistes de télévision réalisant un documentaire sur les conflits entre la société Herakles Farms (SGSOC) et des communautés de l’arrondissement de Mundemba dans le Sud-ouest du Cameroun, Nasako Besingi avait été violemment attaqué par un groupe de personnes, en la présence de nombreux témoins. Il avait alors rédigé un rapport de l’évènement, sur lequel repose aujourd’hui la plainte en diffamation.

    Monsieur Nasako Besingi a fait l’objet d’une série de plaintes et d’arrestation depuis l’installation de la société Herakles Farms (SGSOC) dans la région du Sud-Ouest, en raison de sa dénonciation des violations de la loi par cette compagnie, qui y a démarré ses opérations (défrichage, ouverture de route et création de pépinières) avant d’avoir obtenu un titre légal sur les terres, ce qui constitue une violation du droit foncier camerounais. L’opposition des communautés, qui contestaient la légalité de la présence de la compagnie sur leur terroir et qui, dans leur vaste majorité, condamnaient cette tentative d’accaparement de leurs terres, a conduit à de nombreux conflits avec la compagnie. La condamnation de monsieur Nasako Besingi, qui fait suite à une série d’autres procédures, semble indiquer une volonté d’intimider les défenseurs de l’environnement, dans un contexte marqué par la multiplication des investissements sur la terre et sur les ressources naturelles, qui empiètent fortement sur les terroirs villageois.

    #terres #colonialisme #cameroun #répression #censure

  • Finie l’omerta ?
    http://survie.org/billets-d-afrique/2015/249-septembre-2015/article/fini-l-omerta-5016

    Nono Théophile du Collectif Mémoire 60 réagit à la promesse du président français de déclassification des archives sur la guerre de décolonisation. Pouvez-vous brièvement présenter le Collectif Mémoire 60 ? Le CM60 est une association créée à Bafoussam en octobre 2009 par des militants politiques pour faire valoir le devoir de mémoire envers la lutte indépendantiste occultée de l’UPC. « 60 » cristallise cette date de l’histoire du #Cameroun en tant qu’année de « l’indépendance ». Je suis un des trois (...)

    #249_-_septembre_2015

    / Cameroun, #Paul_Biya, #Salves, Dictateurs (Amis de la France)

    #Dictateurs_Amis_de_la_France_

  • Arrestations politiques, silence diplomatique
    http://survie.org/billets-d-afrique/2015/250-octobre-2015-716/article/arrestations-politiques-silence-5033

    Deux mois après la visite de François Hollande, le régime de #Paul_Biya fait à nouveau la démonstration de son autoritarisme. Pas de quoi gêner la diplomatie française. Paul Biya l’a assuré, à côté du président français, le 3 juillet à Yaoundé : il n’est « pas à la tête d’un État par la force », ajoutant un peu après que « la justice au #Cameroun est totalement indépendante. Même s’il arrivait à l’exécutif de vouloir l’influencer, l’exécutif ne réussirait pas ». François Hollande, comme à son habitude lorsqu’il tente (...)

    #250_-_octobre_2015

    / Cameroun, Paul Biya, #Salves, Dictateurs (Amis de la France), Une

    #Dictateurs_Amis_de_la_France_

  • Info RFI : des bombes françaises refont surface aux mains de Boko Haram - Afrique - RFI
    http://www.rfi.fr/afrique/20151012-exclu-rfi-bombes-francaises-refont-surface-mains-boko-haram-ei-nigeria-

    retwitter par @cqfd

    Un double attentat-suicide a fait au moins neuf morts, dimanche matin, dans la région de Mora, dans l’Extrême-Nord du Cameroun, en proie aux attaques des islamistes nigérians de #Boko_Haram. Selon une source sécuritaire et un responsable local, ce sont deux femmes kamikazes qui étaient porteuses des charges. Des explosifs qui, depuis quelque temps, attirent l’attention des services de sécurité camerounais et nigérians. En effet, à plusieurs reprises déjà, ce sont des grenades issues de bombes à sous-munitions françaises « Beluga » qui ont été retrouvées sur les candidats aux opérations suicides.

    #armes #armement

    • BLG 66 Belouga — Wikipédia
      https://fr.wikipedia.org/wiki/BLG_66_Belouga

      70 % des munitions Belouga ont été vendues à l’exportation.
      • Argentine : Stock détruit en 2005.
      • France : Ce pays a retiré du service cette arme entre 1996 et 2002, conformément à sa politique vis-à-vis des armes à sous-munitions et l’intégralité du stock a été annoncé détruit en mars 2005.
      • Grèce
      • Inde
      • Irak : Cette arme n’est en plus service dans l’armée irakienne depuis au plus tard la guerre d’Irak de 2003.
      • Koweït
      • Nigeria

  • Nord-Cameroun : deux attentats font 9 morts et au moins 29 blessés
    http://grigrinews.com/nord-cameroun-deux-attentats-font-9-morts-et-au-moins-29-blesses/3151

    Actualités Afrique #Cameroun : selon des sources sécuritaires camerounaises, un double attentat perpétré dans la région de Mora (village de Kangaleri au Nord) aurait fait selon un bilan provisoire neuf morts et vingt neuf blessés.(c) 2015 - Grigrinews.com

  • Extension (discrète) du domaine de la lutte antiterroriste
    http://survie.org/billets-d-afrique/2015/250-octobre-2015-716/article/extension-discrete-du-domaine-de-5024

    Officiellement, les 3500 soldats de l’opération Barkhane sont déployés sur cinq pays : Mauritanie, Burkina Faso, Tchad, Niger et Mali. Pourtant, le blog Lignes de Défense (03/10/2015) nous apprend qu’un arrêté du 25 septembre 2015, valable pour deux ans et concernant les risques encourus par les soldats de l’opération Barkhane s’applique aussi aux militaires en Opex au Sénégal, en Algérie, en Côte d’Ivoire, en Libye (où il n’y a officiellement pas de soldats français…), au Nigéria, au Cameroun et en (...)

    #250_-_octobre_2015

    / #Armée_française, #Brèves_d'Afrique_et_d'ailleurs

  • Tournée des potes et des popotes
    http://survie.org/billets-d-afrique/2015/250-octobre-2015-716/article/tournee-des-potes-et-des-popotes-5025

    « Depuis plusieurs mois, le président de la République et plusieurs ministres se sont rendus dans le "pré carré" de la France en Afrique afin de s’assurer du soutien de plusieurs pays pour la conférence climat », remarque Médiapart (23/09). Hollande, Royal, Fabius, Girardin, Hidalgo se sont ainsi rendus au Burkina, au Cameroun, en Côte d’Ivoire, au Congo, au #Gabon, et même en Angola, au Botswana, au Ghana, en Namibie ou en Zambie pour y parler COP 21. Objectif : assurer le succès et le financement de (...)

    #250_-_octobre_2015

    / Gabon, #Congo_Brazzaville, Dictateurs (Amis de la France), #Environnement,_écologie, #Brèves_d'Afrique_et_d'ailleurs, #Ségolène_Royal, François (...)

    #Dictateurs_Amis_de_la_France_ #François_Hollande