country:corée du sud

  • Hudson Yards : la ville instrumentée, la communauté quantifiée - Places
    http://alireailleurs.tumblr.com/post/144238030924

    Places, une revue d’architecture et d’urbanisme américaine revient en détail sur le programme de #smart_city newyorkais d’Hudson Yards qui se veut un laboratoire expérimental pour la #Ville_intelligente. Jusqu’à présent, si l’imaginaire de la ville intelligente est toujours ambitieux, force est de constater qu’il a surtout accouché de villes mortes et bien peu désirables - Songdo en Corée du Sud, Masdar, aux Emirats Arabes Unis ou Lavasa en Inde -, et même parfois fort peu durables, sans que, malgré les critiques nourries, leurs promoteurs ne remettent en question le délire de leurs projets. Comme si le rêve de la ville parfaite était sans cesse ravivé par ses échecs successifs eux-mêmes…Sans revenir sur le projet que détaille très bien Shannon Mattern dans son article (notamment un système de ramassage de (...)

  • L’Australie bloque un gigantesque achat chinois | Métro
    http://journalmetro.com/monde/955968/laustralie-bloque-un-gigantesque-achat-chinois

    Évoquant l’intérêt national du pays, le gouvernement australien est intervenu vendredi pour empêcher un consortium chinois d’acheter le plus vaste bien foncier privé du pays, une collection d’exploitations bovines dans la région de l’Outback dont la superficie est supérieure à celle de la Corée du Sud.

    Le Trésorier australien Scott Morrison a expliqué que ces terres représentent plus de 1 pour cent de la superficie totale de l’Australie et 2 pour cent de ses terres agricoles.

    Il a ajouté que ce bien foncier est si énorme qu’il aurait été difficile pour des intérêts australiens de rivaliser avec le consortium chinois.

    La décision de bloquer la vente à Dakang Australia Holdings et à la compagnie publique australienne Australian Rural Capital est toutefois préliminaire. Dakang peut contester la mesure d’ici mardi prochain. Le prix de vente est de 355,3 millions $ CAN.

    #Australie #terres #Chine

  • un homme est mort écrasé apparemment accidentellement par un véhicule antiémeute, en traversant une rue du centre-ville, selon la police. Une trentaine de personnes ont été interpellées, selon l’agence de presse pro-gouvernementale Anatolie.

    Des militants du Parti démocratique des peuples (HDP, prokurde) ont également été dispersés par la police, qui a mobilisé près de 25.000 hommes et bouclé de nombreuses rues en prévision de la fête du Travail, souvent l’occasion de heurts entre militants opposés au pouvoir et forces de sécurité.

    En Russie, près de 100.000 personnes selon la police ont participé à Moscou à une grande parade organisée sur la Place Rouge, brandissant drapeaux et ballons sous le murs du Kremlin, rappelant les grandes parades de la défunte URSS. Plusieurs millions de manifestants étaient attendus dans tout le pays pour célébrer la fête des travailleurs, jour férié qui coïncide cette année avec la Pâque orthodoxe.

    En Italie, une manifestation unitaire des trois principaux syndicats (CGIL, CISL et UIL) s’est déroulée dimanche matin, sous la pluie et sans incident, dans les rues de Gênes (nord-ouest), en présence d’environ 5.000 personnes, alors qu’un grand concert rock était prévu dans la soirée à Rome, place Saint Jean de Latran, haut-lieu des rendez-vous syndicaux.

    En Suisse, des manifestations du 1er Mai ont eu lieu ou étaient prévues dans plus de 50 localités, notamment Genève et Zurich, sous la houlette des syndicats, pour dénoncer l’injustice sociale, la baisse des pensions et la majorité de droite, selon l’agence ATS. Des déprédations ont été signalées, notamment dans la ville de Limmat dans la nuit de samedi à dimanche.

    En Corée du Sud, des dizaines de milliers de personnes ont protesté contre une réforme annoncée des conditions de travail, projet du président Park Geun-Hye et de son parti conservateur, qui prévoit de faciliter les conditions de licenciement.

    En France, la fête du Travail se déroulait dans un climat particulièrement tendu, après deux mois de contestation contre un projet de loi sur le travail et de nombreuses manifestations émaillées de violences. Un défilé unitaire des syndicats, réunis pour la première fois en sept ans, était prévu dans l’après-midi.

    Le gouvernement a adressé une ferme mise en garde aux éventuels “casseurs”, et prévu toute une série de mesures pour éviter les débordements. Dans plusieurs villes de province, Marseille, Bordeaux, Toulouse ou Nantes, plusieurs milliers de personnes ont défilé dimanche matin dans le calme pour réclamer le retrait de cette loi travail.

    En Autriche, le chancelier social-démocrate Werner Faymann a été accueilli par des huées réclamant sa démission alors qu’il s’adressait à une foule d’environ 80.000 personnes à Vienne et qu’il essayait de défendre la politique envers les migrants et pour l’emploi de la grande coalition avec les chrétiens-démocrates qu’il dirige.

    La journée des travailleurs, célébrée dans de nombreux pays, est née à Chicago en 1886 à l’initiative d’un mouvement syndicaliste réclamant la journée de travail de huit heures.

  • Les objets ont (parfois) une âme , par Martine @Bulard
    http://www.monde-diplomatique.fr/2016/04/BULARD/55216 #st

    A l’origine était une petite colline aux herbes folles où vivaient quelques paysans, à l’ouest de Séoul. Devenue une décharge à ciel ouvert au milieu des années 1970, elle s’est élevée à près de cent mètres au-dessus du fleuve Han avant d’être transformée en un lieu de promenade et d’habitations de luxe. Hwang Sok-yong se saisit de cette histoire — réelle — de l’île aux Fleurs pour rendre hommage aux laissés-pour-compte qui ont forgé la Corée du Sud d’aujourd’hui

    http://zinc.mondediplo.net/messages/24690 via Le Monde diplomatique

  • Tidelands
    http://www.nova-cinema.org/prog/2016/154-avril/prima-nova/article/tidelands

    Kika Nicolela 2014, BR, KR, video, vo st en, 62’ L’ile de Daebu en Corée du sud a vu son équilibre écologique totalement modifié par la mise en place du lac artificiel alimentant la centrale de Sihwa. Construite dans le but de promouvoir la croissance urbaine et d’améliorer l’industrialisation de la région, la centrale marémotrice de Sihwa et ses différentes excroissances, parmi lesquelles la plus longue digue de marée d’Asie, ont eu un impact énorme sur l’écosystème de ces îles, la vie de leurs habitants et sur les cultures traditionnelles. En (...) jeudi 7 avril 2016 - 20h , #Prima_Nova Kika Nicolela

  • Le grand combat de l’IA de #Google contre le champion de #go #Lee_Sedol sera diffusé en direct - Sciences - Numerama
    http://www.numerama.com/sciences/143423-le-grand-combat-de-lia-de-google-contre-le-champion-de-go-sera-diff

    Demis Hassabis, le fondateur et directeur de DeepMind, a en effet indiqué sur Twitter que les matchs seront diffusés en direct sur YouTube. La rencontre elle-même aura lieu à Séoul, capitale de la Corée du Sud, à un horaire qui reste à déterminer. Pour les Français, il pourra être difficile d’assister à la rencontre, dans la mesure où le décalage horaire entre Paris et Séoul est de neuf heures.

  • Laboratoire Urbanisme Insurrectionnel : Corée du Sud | SONG DO | Ville Ubiquitaire
    http://laboratoireurbanismeinsurrectionnel.blogspot.de/2016/01/coree-du-sud-song-do-ville-ubiquitaire.html

    ARTIFICIALITÉS FUTURES
    SONGDO :
    VILLE INTELLIGENTE DU FUTUR OU CAUCHEMAR ORWELLIEN ?

    Via : ECHORADAR
    (Hors illustrations - Photos)
    Septembre 2015

    Comme Brasilia en son temps, la ville de Song Do en Corée du Sud est une création ex nihilo. Pour autant, les raisons et, à plus forte raison, les principes qui conduisent à son développement sont radicalement différents. Portée par le concept du « Zéro émission de carbone » (« Zéro CO² »), sa conception s’appuie fortement sur les systèmes d’information avec une prépondérance marquée pour les équipements et les objets connectés.

    Peut-on dès lors considérer Song Do comme une ville-pilote qui viendrait dessiner l’avenir urbain des grandes métropoles du futur, écologiques, (ultra) connectées mais aussi plus intrusives, sans âme et renforçant un peu plus encore l’individualisation de ses habitants ?

  • Canut Infos---Le canut-info du jeudi 31 décembre 2015
    http://blogs.radiocanut.org/canutinfos/2015/12/31/le-canut-info-du-jeudi-31-decembre-2015

    Les sujets du canut-infos de ce jeudi : (le podcast est à la suite) Journalistes tués en 2015… ça canarde sec ! Corée du sud : atteinte à la mémoire Tariq Ramadan… toujours homophobe Censure & Racisme : le ministère de … Continuer la lecture (...)

  • Japan and South Korea agree to settle wartime sex slaves row | World news | The Guardian
    http://www.theguardian.com/world/2015/dec/28/japan-to-say-sorry-to-south-korea-in-deal-to-end-dispute-over-wartime-s

    Japan and South Korea have removed the biggest obstacle to better bilateral ties after agreeing to “finally and irreversibly” resolve Tokyo’s use of tens of thousands of Korean women as wartime sex slaves.

    In a breakthrough that barely seemed possible a few months ago, Japan’s prime minister, Shinzo Abe, offered his “most sincere apologies” to the women in a statement issued in Seoul by his foreign minister, Fumio Kishida .

    It was not immediately clear if Abe would send a letter of apology to each surviving “comfort woman”.

    #viols #violences_sexuelles #esclavage_sexuel #prostitution_forcée #Japon #Corée

  • Femmes de réconfort : le gouvernement japonais prêt à aller discuter à Séoul - Yahoo Actualités France
    https://fr.news.yahoo.com/femmes-r%C3%A9confort-gouvernement-japonais-pr%C3%AAt-%C3%A0-aller-di

    Le chef de la diplomatie japonaise s’est dit prêt vendredi à partir en Corée du Sud pour avancer sur le règlement du différend dit « des #femmes_de_réconfort », un système de prostitution mis en place par l’armée nippone durant la seconde guerre mondiale.

    « Nous sommes en train de coordonner une rencontre » à Séoul et « je suis prêt à travailler d’arrache-pied pour les relations #Corée_du_Sud / #Japon et sur la question des #femmes de réconfort », a déclaré à la presse le ministre des Affaires étrangères, Fumio Kishida.

    Le chef du gouvernement, Shinzo Abe, avait demandé jeudi à son ministre d’envisager une visite dans le pays voisin d’ici à la fin de l’année pour rechercher une solution aux tensions diplomatiques entre les deux nations du fait notamment de cette dispute.

    #viol #prostitution_forcée #esclavage_sexuel

  • Vous aimez les Quizz ? - BBC
    http://alireailleurs.tumblr.com/post/133995488178

    Vous aussi vous aimez les Quizz sur #Facebook ? Ils ont effectivement beaucoup de succès, rapporte Jane Wakefield pour la BBC. Celui qui vous propose de vous fournir un nuage des mots clefs que vous avez le plus utilisé dans vos statuts sur FB a été partagé 17 millions de fois. Et ce n’est que l’un des nombreux Quiz produit par Vonvon, l’une des sociétés de Corée du Sud spécialisée dans les Quiz aspirateurs de données. Car comme le souligne Paul Bischoff sur CampariTech, ces quiz sont de véritables cauchemars pour vos données. Ils aspirent tout : âge, données de profils, liste d’amis, photos, likes… (voir également : “Et si notre boulanger exigeait l’accès aux mêmes infos que nos applis ?”).Vonvon est un spécialiste de ce type de Quizz : dans son top 5, ses Quiz ont été partagés par plus de 50 millions de (...)

    #vie_privée

  • ONU : vers une accélération des décisions contre les robots tueurs
    http://www.obsarm.org/spip.php?article258

    Plusieurs systèmes robotisés, avec des degrés variés d’autonomie et de létalité sont actuellement utilisés par des armées avec des capacités de haute technologie, y compris la Chine, la Corée du Sud, les États-Unis, Israël et le Royaume-Uni. Sans nouvelles contraintes, cette tendance résultera dans l’existence de systèmes d’armes qui donneront toute l’autonomie aux machines. Source : Observatoire des armements

  • De Séoul à Pyongyang

    http://www.lecavalierbleu.com/f/index.php?sp=liv&livre_id=362

    Un pays, deux États
    – « La division de la Corée est due à la Guerre froide. »
    – « La Corée du Nord est communiste et la Corée du Sud capitaliste. »
    – « La Corée du Nord est aux abois. »
    – « La Corée du Nord est un État voyou. »
    – « Tous les Coréens rêvent à la réunification. »
    – « La solution pour la Corée, c’est une réunification à l’allemande. »

    Le Sud, une success story
    – « Il y a un miracle économique sud-coréen. »
    – « La Corée du Sud est un protectorat américain. »
    – « Les Coréens sont obéissants et disciplinés. »
    – « Les Coréens sont dynamiques. »
    – « Les Coréens sacrifient tout pour leurs études. »
    – « Les Coréens sont les champions des nouvelles technologies. »

    Au pays du matin calme
    – « Les Coréens sont très différents de nous. »
    – « La Corée est un peu chinoise et un peu japonaise. »
    – « En Corée du Sud, tout se passe à Séoul. »
    – « Tous les Coréens s’appellent Kim. »
    – « La société coréenne est dominée par les hommes. »

    #corée_du_sud #corée_du_nord

  • La Corée du Sud et l’histoire

    La présidente de la République de Corée (du Sud), Mme Park Geun-hye, justifie la décision d’imposer une « histoire officielle » dans les manuels scolaires, qui suscite une vive opposition.

    Mme Park insiste sur l’importance d’une vision exacte de l’histoire au cœur des évolutions rapides de l’Asie du Nord-Est. (…) « Il est important que nos enfants grandissent en étant fiers [de la Corée], grâce à l’apprentissage d’une histoire correcte. »

    http://www.koreaherald.com/view.php?ud=20151022001174 [#st]

    http://zinc.mondediplo.net/messages/10490 via Le Monde diplomatique

  • Des robots tueurs, des armes autonomes sans foi ni loi

    http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/09/24/robots-tueurs-sans-foi-ni-loi_4770350_3224.html

    On l’appelle SGR-A1. De jour comme de nuit, sur un rayon de 4 kilomètres, ce robot militaire décèle, grâce à son logiciel de «  tracking  », les mouvements d’un intrus. Mis en marche à distance, cet automate pour poste-frontière tire de lui-même, de façon indépendante, sur toute personne ou véhicule qui s’approche. Conçu par Samsung, il est équipé d’une mitrailleuse, d’un lance-grenades, de capteurs de chaleur, de caméras de détection infrarouge et d’une intelligence électronique. En septembre 2014, la Corée du Sud a installé plusieurs de ces engins le long de la zone démilitarisée qui la sépare de la Corée du Nord, afin d’éviter d’envoyer des soldats dans des endroits isolés.

    C’est peu dire qu’une telle arme, «  intelligente   » et autonome, inquiète. Depuis 2012, elle est ­régulièrement dénoncée par une coalition de 51 organisations non gouvernementales (ONG) coordonnée par Human Rights Watch, dans le ­cadre de la campagne internationale «  Stop Killer Robots   » («  Arrêtez les robots tueurs   »). Le mouvement de protestation a été relancé à grand bruit, le 28 juillet, grâce à une lettre ouverte signée par près de 3  000 personnalités, dont des chercheurs en robotique, des scientifiques comme le physicien Stephen Hawking et des figures de l’industrie high-tech, comme Elon Musk, PDG de Tesla Motors, ou Steve Wozniak, cofondateur d’Apple. Pour eux, un tel robot militaire, et tous ceux qui risquent de suivre du fait des avancées rapides de l’intelligence artificielle, soulève de graves questions éthiques et juridiques qui remettent en cause le droit de la guerre.

    Droit moral

    (…) Or, lerobot sentinelle SGR-A1 est incapable de faire ces choix : il tire automatiquement sur tout ce qui bouge. Ce faisant, il risque à tout ​moment de violer deux principes du droit international humanitaire
    (DIH) qui régit les conflits armés depuis les conventions de Genève de 1949 et leurs protocoles additionnels : d’une part, la règle cardinale de la « distinction » entre les civils et les militaires ; ensuite, la nécessité d’éviter des violences « disproportionnées » par rapport aux menaces, et donc de procéder à une évaluation.

    L’autre problème soulevé par l’usage des robots tueurs est celui de la responsabilité pénale. Si l’un d’entre eux commettait un dommage collatéral ou abattait des civils, contre qui les victimes et leurs familles pourraient-elles se retourner ? ​Human Rights Watch pointe le « vide juridique » qui entoure ces armes nouvelles. Rien n’est prévu dans le droit international humanitaire.

    Pour discuter des dangers de ces systèmes d’armes létaux autonomes (SALA, la traduction française de lethal autonomous weapons systems), une réunion multilatérale mobilisant des représentants de 87 pays, ainsi que des délégués de la coalition d’ONG Stop Killer Robots, s’est tenue en mai 2014 aux Nations unies, à Genève, dans le cadre de la convention sur les armes classiques. Les ONG espèrent arriver à un accord pour l’interdiction de telles armes, comme cela fut le cas, en 2008, pour les armes à sous-munitions. Car, à écouter les spécialistes de la robotique qui les dénoncent, les SALA ont de quoi faire peur.

    « Létalité comparable à celle des armes nucléaires »

    Le 27 mai, dans la revue Nature, une tribune de l’Américain Stuart Russell, spécialiste de l’intelligence artificielle (IA), professeur d’informatique à l’université de Californie, prévenait que ces armes allaient être améliorées et développées « dans les années à venir » – c’est-à-dire très vite. Contacté par Le Monde, ce chercheur décrit l’extrême sophistication atteinte par « la combinaison des composants robotiques et de l’IA ». Equipé d’outils de navigation, de logiciels de « prise de ​- décision tactique » et de « planification à long terme », mais également doté d’un programme d’apprentissage, un véhicule inhabité trouve aujourd’hui seul son chemin dans un ​environnement difficile. Une fois militarisé, il pourra mener « des missions urbaines de recherche et d’élimination de cibles ». Stuart Russell ​assure qu’aux Etats-Unis, deux programmes de la Defense Advanced Research Projects Agency (Darpa), qui dépend du ministère de la défense, portent sur des hélicoptères miniatures capables de s’orienter seuls dans des immeubles où toute information est brouillée. Selon lui, l’armement de ces robots, qui pourraient diminuer jusqu’à n’être pas plus gros que des insectes – ce qui rappelle les agents arachnoïdes du film ​Minority Report (2002), de Steven Spielberg –, est déjà expérimenté en secret.

    Dans un rapport présenté à l’ONU en avril, M. Russell soutient qu’il faut s’attendre à voir apparaître d’ici vingt ans des essaims de giravions miniatures, équipés de cerveaux décisionnels et dotés de munitions capables de perforer les yeux ou de projeter des ondes ​hypersoniques mortelles. Ces armes pourraient posséder, dit-il, « une létalité comparable à celle des armes nucléaires » face à laquelle les humains « seront sans défense ». Dans leur lettre ouverte de juillet, les scientifiques avancent que le saut technologique, mais aussi éthique, franchi par l’usage présent et futur de SALA peut être comparé à l’invention de la « poudre à canon » et à celle des « armes nucléaires », et parlent d’une grave « perte d’humanité ». Ils soulignent que de telles armes, « intelligentes » mais sans aucune disposition morale, « sont idéales pour des tâches telles qu’assassiner, déstabiliser les nations, soumettre les populations et tuer un groupe ethnique particulier ». Ils ​- redoutent que « des dictateurs » les utilisent comme forces de l’ordre, ou que des « seigneurs de guerre » s’en servent pour « perpétrer un nettoyage ethnique ».

    Marché noir

    Ils expliquent enfin que ces robots ne sont pas coûteux à fabriquer, ne nécessitent aucune matière première rare, et qu’ils risquent ​d’apparaître rapidement « sur le marché noir ». Passant « aux mains de terroristes », ils deviendraient les « kalachnikovs de demain ». Autant de fortes raisons pour demander un moratoire international sur leur construction, en vue d’établir, comme le dit l’Américain Peter Asaro, philosophe s’intéressant à l’éthique des machines, « une norme interdisant toute délégation de tuer à une machine » et conservant « le choix de cibler et de tirer sous contrôle humain ».

    La campagne « Stop Killer Robots » est très critiquée, tant aux Etats-Unis qu’en Europe, par de nombreux spécialistes militaires, des ingénieurs de l’armement et des théoriciens de l’éthique des armes. En février 2013, le juriste américain Michael Schmitt, professeur de droit international à l’US Naval War College, a tenu à répondre sur le fond à Human Rights Watch dans le National Security Journal, de la faculté de droit de Harvard. Il estime que les opposants aux SALA jouent sur les mots en s’en prenant à l’« autonomie » des machines, alors que de nombreuses armes opération​nelles utilisent déjà des technologies intelli​gentes : certains missiles sol-air, surnommés « Fire-and-Forget
     » (« tire et oublie »), vont chercher seuls un objectif désigné, conduits par des outils de détection. Le canon antimissiles-antinavires Phalanx tire directement sur ses cibles grâce à un calculateur de position. Quant au système antiroquettes automatisé d’Israël, Iron Dome, utilisé en juillet 2014 durant l’opération Bordure protectrice, il est équipé d’un ordinateur de gestion de bataille.

    Si ces armes, explique Michael Schmitt, peuvent tirer de façon « automatique » sur une ​cible, elles n’en sont pas pour autant « auto​nomes ». L’homme « reste toujours dans la boucle de commandement », même s’il est très éloigné du terrain, et peut toujours décider d’arrêter à distance la mitrailleuse automatique, de reprogrammer le missile en vol ou le drone – autrement dit, il conserve l’acte moral de suspendre la décision de tuer. A ce jour, souligne Michael Schmitt, il n’existe pas encore de robots totalement indépendants. Il préfère s’en tenir à la définition avancée par le Defense Science Board américain (une instance de ​conseil du ministère de la défense), qui considère « les armes autonomes comme faisant partie d’un système homme-machine ».

    Nécessité stratégique

    En France, la spécialiste de l’éthique des machines Catherine Tessier, maître de conférences à l’Office national d’études et de recherches aérospatiales, avance dans l’ouvrage collectif Drones et « killer robots ». Faut-il les interdire ? (Presses universitaires de Rennes, 268 pages, 18 euros) que les anti-SALAconfondent les « automatismes embarqués », comme le pilotage et le guidage, avec l’autonomie. Pour elle, il ne faut pas oublier ce pour quoi a été « programmé » le robot, comment l’homme « partage les décisions » de la machine, interprète les évaluations de ses logiciels et peut l’arrêter. De son côté, la capitaine Océane Zubeldia, de l’Institut de recherche stratégique de l’Ecole militaire, rappelle que la robotisation, qui s’est ​accélérée avec l’essor extraordinaire des technologies de l’information et de la communication et des réseaux satellitaires, répond à une nécessité stratégique pour les armées.

    Depuis la première guerre du Golfe, en 1991, la guerre moderne est devenue, nous dit-elle, une « guerre cybernétique », une « guerre de l’information » utilisant des « systèmes d’armes intégrés » et des « véhicules inhabités » comme les drones. A cet aspect stratégique s’ajoute un ​objectif humanitaire et éthique : il faut « diminuer les risques de perdre les équipages » et « les éloigner de la zone des conflits ». « Le prix de la vie humaine, souligne-t-elle, n’a cessé de prendre de l’importance, et si la prise de risques reste une valeur essentielle du militaire, le “gaspillage” des vies n’est plus toléré, ni par la société ni par les autorités. »

    Epargner les soldats

    Une grande partie des arguments éthiques en faveur de la robotisation des armes découle de cet impératif humain : elle permet d’épargner les soldats – enfin, les soldats amis. Il est vrai qu’un robot ne peut être tué, blessé ou pris en otage. Il ne souffre pas des intempéries, ignore la fatigue et la peur, effectue sans état d’âme des missions-suicides. Il peut être envoyé dans des zones contaminées, minées, ou dans des sanctuaires ennemis et terroristes. Ce robot-soldat n’est pas affecté par la ​colère, la vengeance. Il ne viole pas, ne torture pas. Souvent, son tir est plus précis que celui d’un soldat. Océane Zubeldia pense qu’il peut jouer un rôle dissuasif, à la manière d’un ​- golem contemporain.

    Sur la question de la responsabilité en cas de crime de guerre, Didier Danet, du Centre de recherche des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan (ministère de la défense), observe qu’un robot ne saurait être considéré comme une « personne morale » au sens de l’article 1134 du code civil : un sujet doué de volonté, se donnant à lui-même ses propres objectifs, compatibles avec le respect des lois existantes. Selon lui, aucun robot militaire ne répond à ces critères – et aucun sans doute n’y répondra jamais. La machine, nous dit-il, se contente d’une « autonomie fonctionnelle » limitée : son activité, l’« autorisation » de son action dépendent des opérateurs humains. Elle reste un objet de droit, non un sujet. D’ailleurs, écrit-il dans l’introduction de Drones et « killer robots », en termes juridiques le soldat reste responsable de l’usage qu’il fait de son arme. Si un robot commet un dommage collatéral, le commandement devra en répondre : c’est sur lui que le droit international humanitaire continue de s’exercer.

    Voilà pourquoi, analyse Didier Danet, il vaudrait mieux que l’ONU n’interdise pas les ​armes létales autonomes. Cela risquerait de compliquer encore le droit de la guerre, mais aussi de paralyser la recherche en robotique permettant d’éloigner les soldats des zones de conflit.

    Luttes éthiques

    De toute façon, l’histoire des armements et de leurs usages montre que les luttes éthiques pour interdire des armes jugées irrecevables aboutissent rarement, mais aussi que le jugement porté sur elles évolue. Alain Crémieux, ancien ingénieur général de l’armement, auteur de L’Ethique des armes (Aegeus, 2006), rappelle qu’en 1139 déjà, lors du IIe concile de Latran, l’usage de l’arbalète avait été interdit entre chrétiens. Il paraissait « moralement inacceptable » que les « piétons » des armées, des gens du peuple, puissent abattre des chevaliers à distance. Pourtant, l’arbalète a été conservée. Elle a été remplacée, au début du XVIe siècle, par l’arquebuse, elle aussi rejetée par les moralistes pour sa létalité, puis par le mousquet, l’ancêtre du fusil à silex, lui-même adopté en France sous le règne de Louis XIV. Or, fait remarquer Crémieux, depuis, rares sont ceux qui remettent en cause les armes à feu légères : « Elles ont même été tellement identifiées à la guerre nationale et à la guerre populaire qu’il paraît inutile de chercher à les décrier. Le pouvoir et la liberté elle-même ne peuvent-ils pas être “au bout du fusil” ? »

    L’historien François Cochet, spécialiste de la mémoire des guerres, met en lumière la contradiction permanente entre le « sentiment d’horreur » que soulèvent certaines armes et le « cynisme » politique et militaire qui l’accompagne. Il donne un exemple fameux : en 1899, la conférence de la paix de La Haye, à laquelle participent 26 gouvernements, décide d’interdire « de lancer des projectiles et des explosifs du haut des ballons ou par d’autres modes analogues ». Une mort venue d’en haut, hors de portée, parfois hors de vue, semblait alors insupportable. « Ces exigences, constate François ​Cochet, n’ont pas arrêté les bombardements ​aériens pour autant ! Les Etats ont signé les protocoles, sans toujours les ratifier, en se préparant cyniquement à l’étape suivante, l’aviation militaire, que les Européens ont testée dans leurs colonies. » L’historien relève un autre exemple de cynisme : « Après 14-18, l’Allemagne a demandé l’interdiction des gaz asphyxiants, qu’elle avait beaucoup utilisés dans les tranchées, parce qu’elle savait que les autres pays en disposaient. »

    L’interdiction, un combat perdu ?

    Alors, interdire une arme effroyable, un combat perdu d’avance ? Les ONG et les scientifiques qui s’opposent aux robots tueurs refusent de céder au cynisme du laisser-faire. Ils rappellent que plusieurs batailles éthiques récentes ont mené à l’interdiction par l’ONU et par le droit international humanitaire des ​armes chimiques (1993), des armes à laser aveuglantes (1995) et des mines antipersonnel (1997). Bonnie Docherty, membre d’Human ​Rights Watch et enseignante à la Harvard Law School, a publié le 4 septembre un mémoire où elle répond aux arguments de ceux qui justifient les SALA en affirmant que les militaires resteront responsables – et devront rendre des comptes en cas de crime de guerre. Elle montre que, au contraire, ils pourront toujours se retrancher derrière une faute du robot, arguant que les communications avec lui ont été rompues, qu’il a agi trop vite, que les spécialistes étaient absents ou qu’un logiciel a dysfonctionné. Les victimes, elles, auront le plus grand mal à ​demander réparation, car la responsabilité personnelle, base du droit, se trouvera diluée dans des dispositifs techniques.

    Faudra-t-il alors, demande la juriste, se ​retourner contre les fabricants des armes ? La Direction générale de l’armement ? Ou contre les politiques qui ont validé l’usage des SALA ? Pour Human Rights Watch, de telles démarches juridiques rencontreront des obstacles ​insurmontables : elles n’aboutiront pas. Cette impunité leur semble très grave. Elle rendra très difficile de « dissuader » les militaires et les forces de l’ordre d’utiliser des robots létaux. Nous entrerions alors dans une époque plus inhumaine.

  • BALLAST Quand les élites mondiales récupèrent le #féminisme
    http://www.revue-ballast.fr/quand-les-elites-mondiales-recuperent-le-feminisme
    http://www.revue-ballast.fr/wp-content/uploads/2015/09/BANDEAUFEM.bmp

    En légitimant le travail des femmes, les pays riches de l’Occident ont permis aux propriétaires d’industries, dans des pays tels que la Chine, le Viêt Nam et la Malaisie, de qualifier le recours à une main-d’oeuvre majoritairement féminine dans le secteur manufacturier comme un geste féministe – au regard de la création d’emplois rémunérés pour les femmes. En effet, n’entend-on pas continuellement Nicholas Kristof du New York Times défendre ces usines, vociférant qu’elles sont des lieux d’opportunités pour les femmes ? N’est-ce pas mieux pour elles, demande-t-il à ses lecteurs, d’avoir un emploi que de devoir fouiller les décombres des dépotoirs afin de trouver de quoi se nourrir ou des objets à vendre ? L’utilisation d’une main-d’oeuvre féminine bon marché dans la production de biens d’exportation n’a rien de nouveau. C’est la Corée du Sud qui est à la tête de ce « miracle économique » : où l’on a sorti les femmes de la campagne pour les confiner au travail manufacturier. Comme l’a suggéré l’économiste politique Alice Amsden en 1989, l’écart des salaires entre les hommes et les femmes est l’un des éléments clés du succès de l’industrialisation en Corée du Sud.

  • Corée : une questionnaire pour inciter les collégiens à révéler l’homosexualité de leur camarade - Le Figaro Étudiant
    http://etudiant.lefigaro.fr/les-news/actu/detail/article/coree-une-questionnaire-pour-inciter-les-collegiens-a-reveler-l-ho

    Le nom de vos parents ? Leur profession ? Le nombre de frères et sœurs ? Pas du tout. Selon un article paru dans Koreaboo (site de de K-pop) et repris dans le HuffPost, un questionnaire distribué à des élèves en Corée du Sud s’est intéressé à l’avis des étudiants sur la question de l’homosexualité, avant de leur demander en quelle année d’étude se trouve le ou les étudiant(s) potentiellement gay(s). En voici un extrait : « 1. Que pensez-vous de l’homosexualité ? / 2. Pensez-vous qu’il y a des étudiants homosexuels dans notre école ? / 3. S’il y en a, en quelle année d’étude pensez-vous qu’il y en ait le plus ? / 4. Selon vous, quelles mesures devrait adopter l’école vis-à-vis de ces étudiants ? Les conseiller ? Leur faire faire du bénévolat ? Les suspendre temporairement ? Les exclure ? / 5. Si vous connaissez un étudiant homosexuel, précisez en quelle année il se trouve. »

    #homophobie #discrimination #oppression

  • Tesco cherche toujours à céder sa filiale #big_data
    http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/agroalimentaire-biens-de-consommation-luxe/tesco-cherche-toujours-a-ceder-sa-filiale-big-data-503248.html

    Jusqu’où ira le démembrement de Tesco ? L’ancien numéro 2 mondial de la distribution tente de réduire ses dettes en cédant certaines des filiales. Dernière en date : Homeplus, numéro deux de la distribution en Corée du sud, pour un montant de 4 milliards de livres (5,44 milliards d’euros) annoncée le 7 septembre. Son plan de redressement, prévu un an plus tôt par son PDG Dave Lewis, comprend également des milliers de suppressions d’emploi et la mise en vente de Dunnhumby.

    L’activité de cette filiale spécialisée dans l’analyse des données provenant de la clientèle revêt pourtant en apparence un caractère stratégique. Du moins si les « big datas » - son domaine d’expertise - génèrent vraiment les profits qu’il sont censés promettre grâce à l’analyse ultra-fine du comportement des consommateurs. En France, de plus en plus de distributeurs parient sur cette idée. Au point d’intégrer dans leurs propres équipes des spécialistes du sujet. Le groupe Auchan a par exemple créé sa propre entité d’analyses de données, BluData.

  • *Logiques réticulaires et territoriales au sein de la ville portuaire : le cas de #Busan en #Corée_du_Sud []

    Le port  de Busan se classe en 2003 au quatrième rang des ports à conteneurs du monde avec un trafic de 10,4 millions d’EVP en 2002 derrière Hong Kong (20,4 millions d’EVP), Singapour (18,4 millions d’EVP) et Shanghai (11,3 millions d’EVP). Comment expliquer les performances du port sud-coréen qui, depuis l’ouverture du premier terminal à conteneurs en 1975, double son trafic en moyenne tous les 5 à 6 ans ? Cette croissance portuaire s’effectue au sein d’une très grande ville de plus de 4 millions d’habitants. La coexistence, au sein d’un site urbain exigu, des fonctions portuaires et urbaines est de plus en plus difficile. À terme, la ville portuaire de Busan est menacée d’asphyxie, ce qui est à même de remettre en cause le développement portuaire et le développement de fonctions métropolitaines. Face à ces risques, les autorités coréennes ont défini des projets de grande ampleur, actuellement en cours de réalisation, afin de conforter la Corée du Sud dans sa vocation maritime.

    http://www.cairn.info/revue-espace-geographique-2004-3-page-193.htm
    #ports #transport_maritime
    via @ville_en (twitter)

  • Nouvelle boulette : le #Pentagone envoie des bacilles d’#anthrax dans le monde entier
    http://fr.sputniknews.com/actualite/20150604/1016410950.html

    Des militaires américains ont envoyé par erreur des bacilles actifs de la maladie du charbon dans des laboratoires de plusieurs Etats américains, ainsi qu’en Australie, en Corée du Sud et au Canada. Selon certains médias, les bacilles ont également été expédiés dans le bâtiment du Pentagone lui-même.

    Initialement, les militaires envisageaient d’envoyer des bacilles inactifs dans le cadre d’un programme de recherche.

  • La Corée du Sud trace les mobiles de malades sous quarantaine
    http://www.numerama.com/magazine/33324-la-coree-du-sud-trace-les-mobiles-de-malades-sous-quarantaine.html

    Dans le cadre d’un plan pour endiguer la propagation du coronavirus MERS, qui a fait 442 morts dans le monde depuis 2012 dont cinq en Corée du Sud, le pays asiatique a décidé de placer plus de 2 300 personnes sous quarantaine en les assignant à résidence, et de s’assurer qu’ils ne dérogent pas à la règle.

    Ainsi le pays va mettre sous surveillance les téléphones mobiles des malades ou potentiels malades, pour géolocaliser en temps réel tous leurs déplacements et détecter la moindre infraction à l’obligation faite de rester chez eux — sauf, bien sûr, si la personne surveillée accepte cette audace des temps modernes qui consiste à partir de chez soi sans son téléphone.

    • intéressante utilisation de la géolocalisation

      La Corée du Sud a décidé de placer plus de 2 000 malades potentiels sous surveillance à travers leur téléphone mobile, pour s’assurer qu’ils restent chez eux et n’infectent personne.

      « Merci de bien vouloir comprendre qu’il s’agissait d’une mesure inévitable pour le bien de nos voisins et de nos familles », a supplié le vice-premier ministre sud-coréen Choi Kyung-hwan, en annonçant la nouvelle.

      Dans le cadre d’un plan pour endiguer la propagation du coronavirus MERS, qui a fait 442 morts dans le monde depuis 2012 dont cinq en Corée du Sud, le pays asiatique a décidé de placer plus de 2 300 personnes sous quarantaine en les assignant à résidence, et de s’assurer qu’ils ne dérogent pas à la règle.

      Ainsi le pays va mettre sous surveillance les téléphones mobiles des malades ou potentiels malades, pour géolocaliser en temps réel tous leurs déplacements et détecter la moindre infraction à l’obligation faite de rester chez eux — sauf, bien sûr, si la personne surveillée accepte cette audace des temps modernes qui consiste à partir de chez soi sans son téléphone.

  • #Corée_du_Sud. #Virus_Mers : une #épidémie endiguée ?

    Les autorités sud-coréennes se veulent rassurantes quant aux résultats des mesures préventives mises en place pour lutter contre le début d’épidémie de Mers, un virus originaire du Moyen-Orient qui peut se révéler mortel.


    http://www.courrierinternational.com/article/coree-du-sud-virus-mers-une-epidemie-endiguee
    #santé