country:irán

  • Baltimore paralysée par un virus informatique en partie créé par la NSA
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2019/05/29/la-ville-de-baltimore-paralysee-par-un-virus-informatique-en-partie-cree-par

    Le problème, c’est que, trois semaines plus tard, l’affaire n’est toujours pas résolue. Les serveurs et les e-mails de la ville restent désespérément bloqués. « Service limité », indiquent les écriteaux à l’entrée les bâtiments municipaux. Les équipes municipales, le FBI, les services de renseignement américains et les firmes informatiques de la Côte ouest s’y sont tous mis : impossible de débarrasser les dix mille ordinateurs de la ville de ce virus, un rançongiciel. Et pour cause : selon le New York Times, l’un des composants de ce programme virulent a été créé par les services secrets américains, la National Security Agency (NSA), qui ont exploité une faille du logiciel Windows de Microsoft. L’ennui, c’est que la NSA s’est fait voler en 2017 cette arme informatique devenue quasi impossible à contrôler.

    Alors, beaucoup de bruit pour rien ? Non, à cause du rôle trouble de la NSA. Selon le New York Times, celle-ci a développé un outil, EternalBlue (« bleu éternel »), en cherchant pendant plus d’une année une faille dans le logiciel de Microsoft.

    L’ennui, c’est que l’outil a été volé par un groupe intitulé les Shadow Brokers (« courtiers de l’ombre »), sans que l’on sache s’il s’agit d’une puissance étrangère ou de hackeurs américains. Les Nord-Coréens l’ont utilisé en premier en 2017 lors d’une attaque baptisée Wannacry, qui a paralysé le système de santé britannique et touché les chemins de fer allemands. Puis ce fut au tour de la Russie de s’en servir pour attaquer l’Ukraine : code de l’opération NotPetya. L’offensive a atteint des entreprises, comme l’entreprise de messagerie FedEx et le laboratoire pharmaceutique Merck, qui auraient perdu respectivement 400 millions et 670 millions de dollars.

    Depuis, EternalBlue n’en finit pas d’être utilisé, par la Chine ou l’Iran, notamment. Et aux Etats-Unis, contre des organisations vulnérables, telle la ville de Baltimore, mais aussi celles de San Antonio (Texas) ou Allentown (Pennsylvanie). L’affaire est jugée, à certains égards, plus grave que la fuite géante d’informations par l’ancien informaticien Edward Snowden en 2013.

    Le débat s’ouvre à nouveau sur la responsabilité de la NSA, qui n’aurait informé Microsoft de la faille de son réseau qu’après s’être fait voler son outil. Trop tard. En dépit d’un correctif, des centaines de milliers d’ordinateurs n’ayant pas appliqué la mise à jour restent non protégés. Un de ses anciens dirigeants, l’amiral Michael Rogers, a tenté de dédouaner son ancienne agence en expliquant que, si un terroriste remplissait un pick-up Toyota d’explosifs, on n’allait pas accuser Toyota. « L’outil qu’a développé la NSA n’a pas été conçu pour faire ce qu’il a fait », a-t-il argué.

    Tom Burt, responsable chez Microsoft de la confiance des consommateurs, se dit « en total désaccord » avec ce propos lénifiant : « Ces programmes sont développés et gardés secrètement par les gouvernements dans le but précis de les utiliser comme armes ou outils d’espionnage. Ils sont, en soi, dangereux. Quand quelqu’un prend cela, il ne le transforme pas en bombe : c’est déjà une bombe », a-t-il protesté dans le New York Times.

    #Virus #NSA #Baltimore #Cybersécurité

  • Échec et mat pour l’hégémon
    https://www.dedefensa.org/article/echec-et-mat-pour-lhegemon

    Échec et mat pour l’hégémon

    Selon les analyses de beaucoup de commentateurs intelligents et bien informés, une guerre entre les États-Unis et l’Iran pourrait éclater à tout moment. Leur preuve en faveur de ce point de vue consiste en quelques porte-avions américains qui sont censés être en route vers le golfe Persique, que l’Iran a menacé de bloquer en cas d’attaque. Pour ce faire, l’Iran n’aurait pas à faire quoi que ce soit de militaire ; il suffirait que ce pays menace d’attaquer certains pétroliers pour que leur couverture d’assurance soit annulée, les empêchant de charger leur cargaison ou de prendre la mer. Cela bloquerait les livraisons de près des deux tiers de tout le pétrole brut transporté par mer et causerait des dommages économiques vraiment stupéfiants, – si stupéfiants que les économies (...)

  • Le “piège” métaphysique de Bolton
    https://www.dedefensa.org/article/le-piege-metaphysique-de-bolton

    Le “piège” métaphysique de Bolton

    Que signifie la possible “guerre” USA-Iran ? Ou bien doit-on dire USA + Israël contre l’Iran ? Ou bien Israël seul, etc. Il semble, selon Alastair Crooke, que nous consultons régulièrement, qu’il faille parler plutôt d’un “conflit métaphysique” sinon “théologique”. Ainsi, quinze ans plus tard, cette fois avec beaucoup plus de pions dans les bonnes positions, avec une situation suffisamment détériorée pour faire appel aux notions de métaphysiques contre une raison défaillante, trouvons-nous “ranimé” l’argument des évangélistes américains tenant une position officiellement désignée comme Sionistes-Chrétiens, alliés d’Israël selon une vision directement théologique, dans une quête qui passerait pour ce qui estdes événements terrestres par un affrontement avec l’Iran…

    (On se rappelle (...)

  • Guerre à l’Iran : la solitude de Trump
    https://www.mediapart.fr/journal/international/290519/guerre-l-iran-la-solitude-de-trump

    Pour briser le régime iranien dont les ambitions régionales sont jugées dangereuses par ses voisins, alliés des États-Unis, le président américain menace Téhéran de sanctions renforcées et d’une intervention militaire. Mais nombre de pays, estimant cette attitude irresponsable, ou redoutant comme Israël un embrasement du Proche-Orient, l’appellent à la retenue.

    #Etats-Unis #Iran,_Netanyahou,_guerre,_Rohani,_trump

  • As tensions rise, moneyed interests pushing for hard line against Iran
    https://www.opensecrets.org/news/2019/05/interests-pushing-for-hard-line-against-iran

    Dozens of government officials, from Congress to the White House, have received financial support from an expansive network of interest groups, political action committees, foreign lobbyists and wealthy donors pushing for the hardest line possible against Iran.

    #Etats-Unis #sionistes #MEK #lobbying #guerre #Iran

  • Iran building new crossing on Syria border that would let it smuggle weapons, oil, experts say | Fox News
    https://www.foxnews.com/world/iran-border-crossing-syria-smuggle-weapons-oil-experts

    La contribution de Fox à l’effort de guerre US contre l’Iran....

    The images, obtained exclusively by Fox News and captured earlier this week, show a new construction in the Albukamal Al-Qaim crossing.
    A new construction in the Albukamal Al-Qaim crossing was seen via satellite.
    The area is under the control of Pro-Iranian Shiite militias. Last summer, Iran increased its presence in the area.

    According to analysts for ISI, which captures satellite data, the existing border crossing is still closed and destroyed, and the Iranians have put a lot of effort and resources into building the new one.
    Iran has put significant effort into building the new crossing, analysts said.

    Photos obtained by Fox News showed an Iraqi army base near the deserted post.
    The existing border crossing remained closed, analysts said.

    The border crossing would enable Iran to maintain land access in Syria, Beirut and the Mediterranean Sea. Regional and western sources said the Iranians are planning to use this new route for smuggling operations, including trafficking weapons and oil, to avoid the looming U.S. sanctions. Without Syrian or Iraqi supervision, Iran and its allies would have an unprecedented advantage in transferring whatever they wish, experts say.
    An Iraqi army base seen near the deserted crossing.

    This development sheds new light on the rising tensions between the U.S. and Iran, which escalated after President Trump canceled the temporary waivers permitting countries, including Iraq, Turkey, Japan and China, to purchase Iranian oil without violating U.S. sanctions.

    #iran #puissance_du_mal

  • TRIBUNE. Les Émirats, maîtres de la contre-révolution arabe - Le Point
    https://www.lepoint.fr/monde/tribune-les-emirats-maitres-de-la-contre-revolution-arabe-23-05-2019-2314718

    Larges extraits d’une bonne tribune.

    La perception que l’on a des Émirats arabes unis (EAU) comme un îlot libéral au milieu de l’archipel de monarchies conservatrices du Golfe est un mythe. Dans l’ombre des gratte-ciel clinquants et d’une image soigneusement travaillée, les EAU se sont transformés ces dernières années en un État policier – un État autoritaire qui ne cherche pas seulement à renverser les acquis des révolutions arabes, mais encore plus d’imposer son idéologie en réalité plus intransigeante et machiavélique que celle du royaume saoudien sur laquelle on a tendance à se focaliser. Les Émirats ne font pas que préparer le lancement d’une sonde sur Mars : ils s’acharnent également à étendre leur influence dans le monde et à mener une campagne contre-révolutionnaire de plus en plus active et radicale. C’est le plan mis en place par Mohamed Ben Zayed, prince héritier d’Abu Dhabi, pour externaliser et « glocaliser » sa doctrine sécuritaire dans tous les pays qui ont espéré la démocratisation. Cette « doctrine MBZ » a déjà transformé en partie le pays en « petite Sparte » du Golfe, certes puissante sous l’Antiquité, mais bien peu réputée pour son pacifisme.
    Soutien ou ingérence ?

    Abu Dhabi est omniprésente dans la vie politique de l’ensemble des pays en crise de la région, de sorte que chacun des pays du Printemps arabe a quasi réglé la situation de déstabilisation qu’il a pu connaître en 2011. La Tunisie s’est stabilisée et a entamé sa transition démocratique par une nouvelle Constitution, une vie politique active et des élections fin 2019. Mais dans ce pays, Abu Dhabi soutient clairement la présidence actuelle bien mal en point et largement critiquée à l’intérieur, contre le premier parti du pays, la formation islamiste Ennahda. Quant à la Syrie, après des années de guerre, elle est revenue à l’autoritarisme stable avec le maintien de Bachar el-Assad au pouvoir et la défaite de Daech : l’accord du 15 mars 2019 entre la Russie et les Émirats ouvre les portes de ce pays détruit à Abu Dhabi, qui est désormais son premier partenaire. L’Égypte, elle, après une révolution du 25 janvier 2011 pleine d’espoir a tout perdu avec le putsch contre le président Mohamed Morsi en 2013 et l’installation du nouveau raïs, le maréchal Abdelfattah Sissi, jusqu’à au moins… 2030. Le pays doit son retour à la dictature au soutien des Émirats arabes unis.

    En Algérie, pays qui a enfin entamé son nouveau printemps algérien, après celui de 1988, elle voit son chef d’état-major Gaïd Salah – un général qui effraie les Algériens en quête de démocratie – être en contact permanente avec le puissant Mohammed Ben Zayed. Et le militaire algérien ne cache même plus ses nombreux allers-retours à Abu Dhabi. Quid du Yémen et de la politique « humaniste » qu’Abu Dhabi prétend mener sur place depuis cinq ans avec le concours de Riyad ? Cette guerre a provoqué la pire catastrophe humanitaire du monde avec près de 100 000 enfants morts et des millions de déplacés : tout cela pour venir à bout de la « rébellion » houthiste, soutenue par l’Iran.

    Et nous arrivons enfin à la Libye, pour laquelle les Émirats arabes unis prétendent détenir la solution. Ce pays, dans lequel le renversement de Muammar Khadafi a provoqué un chaos quasi régional, n’est arrivé à rien en huit ans de conflit. À la décharge des Émirats, personne d’autre n’a trouvé de solution à ce jour. La guerre comme la lutte de clans et de gouvernements entre Tripoli et Benghazi n’en finit pas et la communauté internationale gère l’ingérable : l’intrusion de tous dans une histoire politique qui devrait être réglée par les Libyens en premier et en dernier ressort. Les dernières révélations de la BBC sur les crimes de guerre pratiqués par Abu Dhabi en Libye, après celles il y a deux ans des prisons émiriennes au Yémen où seraient pratiquées la torture, n’ont pas fini de faire des remous.

  • ضابط إسرائيلي : قمنا باغتيال سمير القنطار في سوريا بمساعدة أحد قادة فصائل المعارضة السورية | رأي اليوم
    https://www.raialyoum.com/index.php/%d8%b6%d8%a7%d8%a8%d8%b7-%d8%a5%d8%b3%d8%b1%d8%a7%d8%a6%d9%8a%d9%84%d9%8a

    Un officier israélien à la retraite déclare sur une chaîne israélienne que l’assassinat de Samir Kountar, proche du Hezbollah, en 2015 à Damas a été rendu possible grâce à des informations d’un « membre de l’opposition syrienne »... On apprend aussi que des commandos israéliens se seraient infiltrés en Syrie en prétextant apporter des soins aux blessés syriens [de l’opposition on suppose].

    #syrie #israël

    • L’original du Jerusalem Post en anglais

      Mossad, Saudi intel officials get along well, says former chief - Arab-Israeli Conflict - Jerusalem Post
      https://www.jpost.com/Arab-Israeli-Conflict/Mossad-Saudi-intel-officials-get-along-well-says-former-chief-590531

      “You can be an enemy when you are walking from the room, but when you are sitting together, you can share your experience, you can talk a lot, and you can deal with many obstacles,” he continued.

      Mossad and Saudi Arabian intelligence agents communicate well, the agency’s former chief indirectly revealed in an interview with Intelligence Matters podcast host and former CIA director Michael Morell Wednesday.

      Discussing the strength of cooperation between agents of different countries’ intelligence agencies, Tamir Pardo started rattling off many of the usual suspects with whom the Mossad cooperates, and then unexpectedly tossed in the Saudis.

      Before talking about the relationship between the CIA and Israel and the United States, even to speak to Arab countries that you don’t have any kind of relation, when you meet people from your profession, it’s so easy, okay?” Pardo said.

      You can be an enemy when you are walking from the room, but when you are sitting together, you can share your experience, you can talk a lot, and you can deal with many obstacles,” he continued.

      Finally, Pardo said that when intelligence agencies “are looking for certain qualities, and whether you’re serving in the CIA, the MI6, or one of any other country, France, Italy, Saudi Arabia, you need the same people, the same qualities. So it’s quite easy… They can fight each other very well, but they can talk and communicate very well.

      In November and December 2017, there was a flurry of rare public confirmation of contacts between Israel and the Saudis by former IDF chief Gadi Eisenkot, minister Yuval Steinitz and then-CIA director Mike Pompeo.

      However, Pardo’s statement dated the Israeli-Saudi intelligence cooperation back to an earlier period, since he served as Mossad director from 2011 until March 2016.

      Furthermore, Pardo’s statement was a much more personal reflection about his dealings with intelligence agents from Saudi Arabia and other countries – implying that Mossad-Saudi dealings are often similar to dealings with traditional allied intelligence agencies.

      Besides cooperation, Pardo reflected on the current tensions between Iran, Israel and the US.

      Asked by Morell if Iran sought “the elimination of the State of Israel,” he replied: “Look, that’s what they are stating, okay? I think that they know that that’s an illusion. Maybe it’s good for their own propaganda, and it might serve us if we want to do a few things, but it’s – come on. When they are facing reality, they will never be able to do it. It doesn’t matter which kind of weapon they’re going to hold.

      The reason, he said, is “because I believe that we know how to defend ourselves. We showed it when we were a very young country, against, let’s say, combined forces from all Arab countries. Now we have peace with some of them, and quite good relations with others. So I think that maybe for them, it’s a dream, but it’s more an illusion than a dream.

      Despite Pardo’s confidence that Iran does not endanger Israel’s existence, he did warn of multiple threats from the Islamic Republic.

      One is the nuclear program,” said the former Mossad chief. “The other [is] their vision that they’re going to have a corridor between Tehran and the Mediterranean Sea. And the third thing is [to] be dominant in many other countries by supporting minorities like they’re doing in Yemen, like they did in South America, in certain places in Africa.

      Pardo also told Morell that cyberattacks pose a major concern.

      I believe it’s the biggest threat that the free world, our planet, is dealing with these days,” the spy chief said. “You can compare it to a nuclear threat that we used to see during the Cold War days.

  • Le Pentagone demande a Trump d’envoyer des milliers de soldats américains au Moyen-Orient alors que les tensions avec l’Iran continuent de s’exacerber
    https://www.crashdebug.fr/international/16055-le-pentagone-demande-a-trump-d-envoyer-des-milliers-de-soldats-amer

    Plus nous prenons de mesures en vue d’une guerre avec l’Iran, plus il est probable que quelqu’un fera quelque chose de vraiment stupide qui en déclenchera une. En coupant les exportations pétrolières de l’Iran, nous menaçons de ruiner complètement son économie et, à ce stade, elle se sent acculé au pied du mur. Et les Iraniens ont déjà vu les États-Unis envahir deux pays avec lesquels ils partagent une frontière (l’Afghanistan et l’Irak), et il est donc compréhensible qu’ils soient un peu paranoïaques que cela puisse leur arriver aussi. Le président Trump ne cesse de dire qu’il ne veut pas d’une guerre avec l’Iran, mais les Iraniens ne croient pas un seul mot de ce que dit un politicien américain. Au lieu de cela, ils surveillent de très près ce que nous (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

  • Comment les USA ont gagné la guerre contre l’Iran
    http://www.dedefensa.org/article/comment-les-usa-ont-gagne-la-guerre-contre-liran

    Comment les USA ont gagné la guerre contre l’Iran

    Il est possible que Trump ait trouvé dans son futur nouveau Secrétaire à la défense “in charge”, actuellement encore n°2 faisant fonction de n°1 du Pentagone, l’homme idéal pour le seconder dans sa façon de faire la guerre, – car il est bien question, non seulement de “faire la guerre” mais de “la gagner”... Car il est bien question, comme Shanahan l’a dit aux journalistes accrédités au Pentagone, d’une “sorte de guerre” qui a eu lieu entre les États-Unis et l’Iran, puisqu’on y a envoyé un groupe de porte-avions d’attaque et des B-52, et cette “sorte de guerre” annoncée comme terminée, naturellement par une “sorte de victoire” des États-Unis.

    Ainsi est présentée l’intervention de Shanahan, selon l’interprétation de RT-com qui nous semble extrêmement conforme à “la (...)

  • Iraq caught in the middle of US-Iran face-off
    https://www.france24.com/en/20190521-iraq-caught-middle-us-iran-face-off

    “The US foreign policy and security establishment knows full well that attacking #Iran would make the Afghanistan, Iraq, Libya wars look like walks in the park,” Bitar said.

    “So besides some messages that could be sent on the Iraqi arena, unless utter madness prevails, a large, open, direct war is still unlikely.”

    #promenade_de_santé

  • Pro-Iran Militias Denounce Rocket Strike Near U.S. Embassy in Iraq - WSJ
    https://www.wsj.com/articles/pro-iran-militias-denounce-rocket-strike-near-u-s-embassy-in-iraq-11558355575

    Hard-line pro-Iran militias in Iraq denounced the late-night rocket strike near the U.S. Embassy in Baghdad, seeking to distance themselves from an attack that threatens to inflame tensions amid efforts to de-escalate a crisis between Washington and Tehran.

  • Un faux drapeau iranien potentiel alors que la rocket tombe près de l’ambassade des États-Unis en Irak et qu’une explosion frappe une base israélienne (Activistpost)
    https://www.crashdebug.fr/international/16042-un-faux-drapeau-iranien-potentiel-alors-que-la-rocket-tombe-pres-de

    May 19, 2019

    y TLAV

    A rocket lands in Green Zone in Iraq. Trump appears to blame Iran Twitter “If Iran wants to fight, that will be the official end of Iran. Never threaten the United States again!” John Bolton heads to war room. Explosion hits military facility in Israel. Is this a false flag to foment war with Iran?

    YouTube newsman TLAV (The Last American Vagabond) on the latest below.

    Visit TheLastAmericanVagabond.com, subscribe to TLAV on YouTube, follow him on Twitter, and support his work here.

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    Image credit: Anthony Freda Art

    Source : Activistpost.com

    Informations complémentaires :

    Crashdebug.fr (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

  • Trump, tweet & l’Iran, une “stratégie liquide”
    http://www.dedefensa.org/article/trump-tweet-liran-une-strategie-liquide

    Trump, tweet & l’Iran, une “stratégie liquide”

    Le général Hossein Salami est le nouveau chef des Gardiens de la Révolution, l’unité militaire et idéologique d’élite de l’armée iranienne. Il a beaucoup “communiqué” depuis son entrée en fonction, mettant en évidence dans ses interventions ce qu’il estime être la faiblesse intrinsèque et cachée des USA et prouvant en même temps la justesse de son analyse selon laquelle l’Iran et les USA se trouvent actuellement dans la confrontation d’une « guerre totale du renseignement ». « Nous sommes en pleine guerre du renseignement[de communication] avec les États-Unis et les ennemis de la République islamique. Cette guerre est une combinaison de guerre psychologique, de cyber-opérations, d’opérations militaires, de diplomatie, de peur et d’intimidation... » (...)

  • Dans son reportage « Les nouveaux ordres de tuer de l’armée inquiètent les troupes » publié samedi, le journaliste dénonce le fait que l’armée exige que ses troupes « doublent » les pertes et les captures au combat, sans leur demander « perfection » ni totale « précision » au moment de « l’exécution d’attaques létales ». Il affirme avoir consulté des documents officiels de l’armée et interviewé des officiers de haut rang.

    S’agit-il du Vénézuela ? De Cuba ? De la Russie ou de l’Iran ?

    Suspens insoutenable. Mais pas d’inquiétude, l’article est strictement neutre et aucune réelle condamnation n’est même qu’envisagée. Le journaliste est parti, il a pu faire son travail, alors bon hein, on va pas s’offusquer plus que nécessaire.

    Ne rigolez-pas, ce WE, le chef de gang de l’univers a promis la « fin officielle » d’un pays. Lui aussi, on l’a cité religieusement, presque en se félicitant qu’enfin quelqu’un agisse dans ce monde de confusionnisme et de pseudogauchisme.

    Et chez nous, le chef du service d’ordre du gang au pouvoir, plutôt que de s’occuper d’organiser le référendum que l’on attend tous, a décidé de s’en prendre à un chanteur (noir, c’est bien la preuve qu’il est pas tout à fait artiste), chanteur qui a eu l’odieuse idée de raconter une histoire où on évoque la mise à feu du pays. Le dit chanteur aurait mieux fait d’en annoncer la « fin officielle ».

  • Après le pétrole, Trump place sous embargo les mines et métaux de l’Iran - Mines - métaux
    https://www.usinenouvelle.com/editorial/apres-le-petrole-trump-place-sous-embargo-les-mines-et-metaux-de-l-ir

    Le président américain Donald Trump a décidé, le 8 mai, d’imposer des sanctions sur le secteur mines et métaux en Iran, pays dont il tente déjà de réduire les exportations pétrolières à zéro.

    Les secteurs du fer, de l’acier, de l’aluminium et du cuivre représentent 10% de la valeur des exportations du pays, et sa principale source de revenus hors pétrole. Dans un ultime effort pour faire plier Téhéran, Washington étend les sanctions à tout partenaire commercial qui établirait une transaction en dollars pour des métaux iraniens après le 8 mai.

  • « Bolton espère que les Iraniens seront assez stupides pour provoquer une guerre »
    https://www.mediapart.fr/journal/international/190519/bolton-espere-que-les-iraniens-seront-assez-stupides-pour-provoquer-une-gu

    « La confusion et l’ignorance de Trump rencontrent l’agenda néoconservateur de son entourage », juge l’historien américain Hussein Banai, spécialiste des relations chaotiques entre les États-Unis et l’Iran. Un cocktail explosif.

    #Entretien #John_Bolton,_Iran,_Etats-Unis,_diplomatie,_Maison-Blanche,_guerre,_neoconservatisme,_A_la_Une

  • Donald Trump, fauteur de crises
    https://www.mediapart.fr/journal/international/190519/donald-trump-fauteur-de-crises

    La méthode du président américain, héritée de ses années d’agent immobilier, consiste à semer le chaos pour tenter d’en récolter les fruits pour lui-même. Jusqu’ici, de la Corée du Nord à l’Arabie saoudite en passant par le Venezuela et la Chine, cela aura produit plus d’échecs que de succès. Notre tour d’horizon en huit étapes.

    #DIPLOMATIE #crises,_John_Bolton,_Donald_Trump,_Arabie_Saoudite,_Iran,_Venezuela,_Etats-Unis,_A_la_Une

  • Crise dans le #Golfe : les enjeux géostratégiques du #détroit_d’Ormuz
    https://www.france24.com/fr/20190514-crise-golfe-enjeux-geostrategiques-detroit-ormuz-iran-oman-emirat

    Le détroit d’#Ormuz, qui permet aux navires de quitter le Golfe, est un petit bras de mer large de 50 km environ, 40 km dans sa partie la plus étroite. Ses eaux étant peu profondes (pas plus de 60 m de profondeur), les navires en provenance de l’océan Indien doivent emprunter un premier chenal de navigation entre les îles omanaises de Quoin et Ras Dobbah, en face de la péninsule du Musandam, avant de s’engager dans un chenal parsemé de trois îles : la Grande Tomb, la Petite Tomb et Abou Moussa. Ces dernières sont contrôlées par l’Iran depuis 1971, et revendiquées depuis par les Émirats arabes unis.

    C’est par ces chenaux de navigation, qui mesurent près de 3 km de largeur chacun, qu’ont transité plus de 18 millions de barils de #pétrole (brut et condensat) par jour pendant le premier semestre de 2018, soit plus de 35 % du pétrole transitant par voie maritime dans le monde, selon l’Agence d’information sur l’énergie du gouvernement américain (AIE). Un chiffre auquel il faut ajouter, selon un rapport du Service de recherches du Congrès américain, 4 millions de barils de produits pétroliers par jour, et plus de 300 millions de mètres cubes de #gaz naturel liquéfié (GNL) par jour.

    En moyenne, plus d’une trentaine de pétroliers et méthaniers quittent le Golfe par le détroit chaque jour, majoritairement en direction des pays asiatiques, notamment la Chine, le Japon, l’Inde et la Corée du Sud. Les pays de l’Union européenne et les #États-Unis figurent également parmi les clients des #pétromonarchies du Golfe. Selon les experts, une fermeture du détroit équivaudrait à retirer une dizaine de millions de barils de pétrole par jour du marché international. Par ailleurs, le détroit est également une porte d’entrée commerciale vitale pour les pays de la région, très dépendants des importations, ce qui en fait un des principaux corridors du #commerce international.

    Si ses eaux sont partagées entre la République islamique d’Iran et le sultanat d’Oman, le détroit d’Ormuz est un couloir international, et en principe tous les navires, quel que soit leur pavillon, bénéficient du droit de passage en transit, conformément à la Convention des #Nations_unies sur le droit de la mer, adoptée en 1982, et au droit international coutumier de la mer. Le Golfe est l’une des régions les plus militarisées au monde, qui concentre une grande partie des importations mondiales d’armement. De leur côté, les États-Unis disposent dans la région d’une forte présence militaire, à travers plusieurs bases hautement stratégiques. Ainsi la Ve Flotte américaine est stationnée à Bahreïn, tandis que le Qatar accueille la plus grande base aérienne américaine au #Moyen-Orient. La France, quant à elle, compte une base militaire à Abu Dhabi, dans les Émirats arabes unis. Ces derniers jours, le #Pentagone a dépêché dans la région un porte-avions, un navire de #guerre, des bombardiers B-52 et une batterie de missiles Patriot, évoquant des menaces de l’Iran ou de ses alliés contre des ressortissants ou des intérêts américains au Moyen-Orient.

  • Exclusive: Insurer says Iran’s Guards likely to have organized tanker attacks - Reuters
    https://www.reuters.com/article/us-usa-iran-oil-tankers-exclusive-idUSKCN1SN1P7


    Port officials take a photo of the damaged tanker Andrea Victory at the Port of Fujairah, United Arab Emirates, May 13, 2019.
    REUTERS/Satish Kumar/File Photo

    LONDON/OSLO (Reuters) - Iran’s elite Revolutionary Guards (IRGC) are “highly likely” to have facilitated attacks last Sunday on four tankers including two Saudi ships off Fujairah in the United Arab Emirates, according to a Norwegian insurers’ report seen by Reuters.

    The UAE, Saudi Arabia and Norway are investigating the attacks, which also hit a UAE- and a Norwegian-flagged vessel.

    A confidential assessment issued this week by the Norwegian Shipowners’ Mutual War Risks Insurance Association (DNK) concluded that the attack was likely to have been carried out by a surface vessel operating close by that despatched underwater drones carrying 30-50 kg (65-110 lb) of high-grade explosives to detonate on impact.

    The attacks took place against a backdrop of U.S.-Iranian tension following Washington’s decision this month to try to cut Tehran’s oil exports to zero and beef up its military presence in the Gulf in response to what it called Iranian threats.

    The DNK based its assessment that the IRGC was likely to have orchestrated the attacks on a number of factors, including:
    • A high likelihood that the IRGC had previously supplied its allies, the Houthi militia fighting a Saudi-backed government in Yemen, with explosive-laden surface drone boats capable of homing in on GPS navigational positions for accuracy.
    • The similarity of shrapnel found on the Norwegian tanker to shrapnel from drone boats used off Yemen by Houthis, even though the craft previously used by the Houthis were surface boats rather than the underwater drones likely to have been deployed in Fujairah.
    • The fact that Iran and particularly the IRGC had recently threatened to use military force and that, against a militarily stronger foe, they were highly likely to choose “asymmetric measures with plausible deniability”. DNK noted that the Fujairah attack had caused “relatively limited damage” and had been carried out at a time when U.S. Navy ships were still en route to the Gulf.

    Both the Saudi-flagged crude oil tanker Amjad and the UAE-flagged bunker vessel A.Michel sustained damage in the area of their engine rooms, while the Saudi tanker Al Marzoqah was damaged in the aft section and the Norwegian tanker Andrea Victory suffered extensive damage to the stern, DNK said.

    The DNK report said the attacks had been carried out between six and 10 nautical miles off Fujairah, which lies close to the Strait of Hormuz.

  • Trump ne veut pas d’une guerre avec l’#Iran
    https://www.courrierinternational.com/article/etats-unis-trump-ne-veut-pas-dune-guerre-avec-liran

    Le secrétaire d’État Mike Pompeo – l’un des partisans de la fermeté face à Téhéran – aurait pris contact avec le sultanat d’Oman, qui “a joué longtemps un rôle d’intermédiaire entre l’Occident et l’Iran”, et demandé l’aide de responsables européens pour faire baisser la température.

  • “D.C.-la-folle” : le bourbier précède la guerre
    http://www.dedefensa.org/article/dc-la-folle-le-bourbier-precede-la-guerre

    “D.C.-la-folle” : le bourbier précède la guerre

    Une dimension géographique et idéologique apparaît de plus en plus importante dans la tension entre les USA et l’Iran, et la volonté du groupe desneocon-MAX autour de Trump d’aller vers une guerre. Il s’agit de l’Irak et des éventuelles “menaces” qui pèsent sur l’important contingent militaire des USA dans ce pays, ainsi que ses diverses implantations de renseignement, diplomatiques, d’influence, etc. Il s’agit également de la situation classique, déjà signalée, d’un occupant (ce que restent les USA en Irak) se transformant, peu à peu ou rapidement c’est selon, en otages d’un conflit impliquant un troisième acteur (l’Iran).

    E.J. Magnier consacre un texte, ce 16 mai 2019, à l’extrême complexité de la situation en Irak, particulièrement pour les relations entre (...)

  • Le port émirati de Fujairah, l’alternative au détroit d’Ormuz mise en lumière | Connaissances des énergies
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/le-port-emirati-de-fujairah-lalternative-au-detroit-dormuz-

    De mystérieux « actes de sabotage » ces derniers jours sur quatre navires, dont trois tankers, au large des côtes émiraties ont mis en lumière l’importance du port de Fujairah, situé juste à l’entrée du détroit d’Ormuz.
    […]
    Le port de Fujairah, situé sur la côte est des Émirats arabes unis, est distant de quelque 180 km d’Abou Dhabi, le plus riche des sept émirats de la fédération avec 90% de la production pétrolière. Il est situé à 70 milles nautiques du détroit d’Ormuz, crucial pour la navigation mondiale et le commerce pétrolier, et 80 milles nautiques du port iranien de Jask, qui se trouve de l’autre côté des eaux du Golfe.

    Fujairah est le seul émirat de la fédération à être situé sur la côte de la mer d’Arabie, au sud du détroit d’Ormuz. À plusieurs reprises, l’Iran a menacé de fermer ce détroit stratégique, en cas de confrontation avec les États-Unis. En cas de fermeture, les Émirats arabes unis seraient en mesure de continuer d’exporter du pétrole par Fujairah, du fait de sa position.

    Fujairah est devenu un acteur majeur dans les exportations pétrolières des Émirats avec deux terminaux, un oléoduc le reliant à Abou Dhabi et une immense installation de stockage pétrolier.

    L’oléoduc reliant Fujairah à Abou Dhabi, long de 406 km et détenu par Abu Dhabi Crude Oil Pipeline Co. (ADCOP), peut transporter plus de 600 000 barils de brut chaque jour. Une capacité qui peut être portée à 1,6 million de barils par jour en cas de besoin. Les deux terminaux pétroliers ont une capacité de plus de 50 millions de tonnes de pétrole par an.

    Fujairah peut accueillir des Very Large Crude Containers (VLCC) et, en 2016, a mis en place un quai pour les supertankers. Le port dispose d’une énorme installation de stockage d’une capacité de 10 millions de tonnes de brut, soit quelque 70 millions de barils.

    Abou Dhabi a récemment signé un contrat de 1,2 milliard de dollars pour développer une deuxième zone de stockage de 42 millions de barils dans cet émirat.

    • Alternative ?

      Comme d’habitude, le lecteur doit jongler habilement entre les millions de tonnes par an et les milliers de barils par jour,…

      Un peu d’arithmétique donc :
      • Ormuz est réputé voir 18 M barils/jour

      • l’oléoduc Abou Dhabi - Fujaïrah
      a une capacité de 0,6 à 1,6 M barils/j (soit, au maximum, 10% du passage par le détroit)
      • le port pétrolier de Fujaïrah a une capacité de 50 M tonnes/an, soit de l’ordre de 1 M de barils par jour, soit environ 6% du transit maritime par le détroit.

      L’alternative est un peu serrée,…

      Bon, faut voir aussi à combien pourrait monter l’oléoduc transsaoudien. Et les capacités d’acheminement des différentes zones de puits vers les têtes d’oléoduc.

  • Deux autres navires de guerre américains se rendent dans le golfe Persique alors que les tensions avec l’Iran s’exacerbent (Zerohedge)
    https://www.crashdebug.fr/international/16035-deux-autres-navires-de-guerre-americains-se-rendent-dans-le-golfe-p

    Lors de la dernière provocation contre Téhéran par les États-Unis, deux destroyers de la Marine sont entrés dans le Golfe Persique alors que l’armée américaine continue d’accroître ses moyens dans la région pour empêcher toute "agression" prévue, rapporte l’USNI.

    L’USS McFaul et l’USS Gonzalez ont traversé le détroit d’Ormuz jeudi après-midi sans être défiés par les forces des IRGC dans la région. Ils rejoignent l’USS Abraham Lincoln, stationné dans le golfe d’Oman, ainsi qu’une force de frappe comprenant plusieurs bombardiers B-52, alors que les États-Unis continuent à renforcer leur présence militaire dans la région. Un autre porte-avions, l’USS Kearsarge, est ancré au large des côtes des EAU.

    Selon l’USNI, si les États-Unis voulaient attaquer (...)

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