country:irlande

  • La culture pub touche à sa fin | Presseurop (français)
    http://www.presseurop.eu/fr/content/article/1555451-la-culture-pub-touche-sa-fin

    Il n’y a pas si longtemps, le pub était le cœur de toute la société. Les anniversaires, les communions et les enterrements trouvaient toujours le moyen de s’y conclure dans ses sombres entrailles. C’était souvent contre leur gré que les buveurs en étaient extirpés par des membres de leur famille. Les lève-tôt y croisaient les couche-tard pour une pinte avant le boulot. D’aucuns se vantaient de s’être retrouvés enfermés pour la nuit dans de petites salles humides avec des sous-bocks pour seule compagnie.

    Aujourd’hui, les pubs ferment, au rythme d’un tous les deux jours – plus de 1 100 ont mis la clé sous la porte depuis 2005. On cite régulièrement leur déclin comme une preuve supplémentaire de la décomposition du tissu rural, mais en réalité, ce sont des pubs de tous les types, et dans tous les environnements, qui jettent l’éponge.

    #société #Irlande

  • La Souffrance sans bénéfice | Paul Krugman (NYT via RTBF)
    http://www.rtbf.be/info/chroniques/chronique_la-souffrance-sans-benefice-paul-krugman?id=7606623&chroniqueurId=503

    Aujourd’hui, les résultats sont là - et ils sont exactement ceux que trois générations d’analyses économiques et de leçons tirées de l’histoire vous auraient prédits. La fée de la confiance n’a pas pointé le bout de son nez : aucun des pays qui a sabré ses dépenses n’a constaté la poussée attendue du secteur privé. Au contraire, les effets déprimants de l’austérité fiscale ont été renforcés par la chute des dépenses privées. De plus, les marchés obligatoires persistent dans leur refus de coopérer. Même les élèves modèles de l’austérité tels le Portugal et l’Irlande, qui ont fait tout ce qui était exigé d’eux, se trouvent confrontés à des coûts d’emprunts qui s’envolent. Pourquoi ? (...) Source : NYT via RTBF

  • Le pillage de la classe ouvrière grecque
    http://www.wsws.org/francais/News/2012/fev2012/grec-f14.shtml

    Ce que l’aristocratie financière est en train de faire en Grèce est précisément ce qu’elle est déterminée à faire partout en Europe. Une contre-révolution sociale est en train de se produire et qui était à peine concevable il a quelques années. De vastes couches de la population sont condamnées à la pauvreté, au chômage, à la maladie et même à la mort dans le seul but de garantir les exigences de profit de l’aristocratie financière internationale.

    D’autres pays pris dans le tourbillon de la crise de l’euro (le Portugal, l’Espagne, l’Irlande) ou qui sont tributaires du Fonds monétaire international (la Hongrie, la Roumanie) sont en train de perpétrer des attaques draconiennes identiques contre la classe ouvrière. Les centaines de personnes qui sont mortes suite à la vague de froid survenue en Europe de l’Est ne sont pas victimes des intempéries, mais plutôt des mesures d’austérité qui, pour de nombreuses personnes, ont rendu inabordables l’électricité, le chauffage et un toit. Même dans les pays « riches » comme l’Allemagne, le nombre des « travailleurs pauvres » et des travailleurs à bas salaire augmente de façon spectaculaire.

  • Hashtable » Comment la France pourrait vraiment réduire sa dette
    http://h16free.com/2012/02/03/12561-comment-la-france-pourrait-vraiment-reduire-sa-dette

    Aujourd’hui, ce sera mathématiques financières. Oh là, un peu de calme. J’en entends déjà qui grondent et qui rouspètent et qui auraient préféré une étude de la gastronomie à travers les âges, mais voilà, c’est comme ça, il y a des jours où on aurait mieux fait de rester couché. Et là, ce sera donc quelques additions et soustractions financières. Le produit manipulé ? Les dettes souveraines. Miam !

    Il y a de cela sept ans, je tenais déjà ce blog et j’étais un des rares à parler dette souveraine. A l’époque, ce n’était pas vraiment trendy, la mode médiatique n’était pas encore branchée petits papiers d’État et seuls quelques illuminés s’époumonaient dans un désert aride à expliquer que les monceaux de dettes contractées par la France, par exemple, nous conduiraient droit au mur.

    Quelques années, quelques crises et des douzaines de sommets européens aux farandoles de petits fours colorés plus tard, le sujet n’est plus si méconnu et on peut même commencer à s’aventurer sur le chemin scabreux des aspects plus techniques.

    Les lecteurs ne fuient plus, et certains prêtent même l’oreille, sentant qu’il y va de leur portefeuille à plus ou moins long terme.

    ...

    Il y a même quelques surprises. On y découvre ainsi que :

    Les pays peuvent réduire leur dette totale de 64% par l’annulation des dettes liées les unes aux autres, amenant la dette totale de ce réseau de 40.47% du PIB à seulement 14.58%.
    Six pays — Irlande, Italie, Espagne, Grande-Bretagne, France et Allemagne –- peuvent ainsi sucrer plus de 50% de leur dette restante.
    Trois de ces pays — Irlande, Italie et Allemagne -– peuvent réduire leurs obligations de telle façon qu’ils doivent plus de 1 milliard d’euros à seulement deux autres pays.
    L’Irlande peut réduire sa dette de quasiment 130% de son PIB à moins de 20%
    La France peut quasiment faire disparaître sa dette, la réduisant à 0.06% de son PIB.

    • … Ce qui soulève un autre problème : si, du jour au lendemain, les dettes françaises redescendaient de 82% du PIB à 64%, je peux prendre le pari sans risque que nos politiciens, gagnant soudainement deux ou trois crans à leur ceinture budgétaire, rattraperaient d’un coup cette extraordinaire « embellie » et repartiraient dans la folle dépense comme jamais auparavant.

      C’est de fait ce qu’il s’est passé, en 2000 je crois, quand le gouvernement Jospin à la tête d’un excédent budgétaire de 70 milliards de francs avait alors magnaniment supprimé, beau geste socialiste quand on y pense, la vignette des voitures, ce qui naturellement était un cadeau proportionnellement plus beau pour les contribuables aisés que ceux plus modestes, quant à ceux qui n’avaient pas de voiture, c’était carrément pas un cadeau.

  • Mon pauvre Paulo, la situation se dégrade… | kitetoa
    http://reflets.info/mon-pauvre-paulo-la-situation-se-degrade

    A force d’écrire des choses sur la crise financière qui secouait le monde depuis l’explosion de celle des subprimes, il m’avait semblé utile de vulgariser un peu tous ces concepts macro-économiques abscons. J’avais donc entrepris fin 2010 de raconter comment j’avais expliqué la crise financière à Paulo, un habitué du Bar des Amis ou je bois régulièrement mon café. C’était un résumé de tout ce que j’avais pu raconter précédemment sur Aporismes.com ou sur Kitetoa.com. Mais en prenant le temps d’expliquer calmement les répercussions à venir. Par la suite, au fil des innombrables « sommets de la dernire chance » pour sauver la Grèce, l’Irlande, le Portugal, tous pays qui disait-on quelques semaines avant, n’avaient pas besoin d’être sauvés, je racontais que tout cela n’était que marketing et écrans de fumée. L’Europe, mais aussi les Etats-Unis ou la Chine sont au bout d’un cycle. Tout s’écroule doucement, mais très sûrement. Il n’y a qu’une solution pour sauver ce qu’il reste du système

    #A_la_Une #Economie #France #Monde #CDS #Crise_de_la_dette #Crise_de_la_dette_souveraine #Mario_Monti #Merkel #Sarkozy #Subprimes

  • Les Molly Maguires : histoire d’une terreur ouvrière - REDSKINS Limoges

    Les Molly Maguires.

    Contrastant singulièrement avec les organisations ordinaires et impuissantes de l’époque, les Molly Maguires, société secrète de mineurs opérant en Pennsylvanie dans les années 1860-1870, avaient commencé, pour atteindre leurs buts, une méthode principale que l’on peut résumer en deux mots : terrorisme et assassinat.

    Pour comprendre le phénomène américain des Molly Maguires, il faut remonter dans l’histoire de l’Irlande féodale jusque vers 1840. A cette époque vivait là une petite veuve énergique nommée Molly Maguire, fortement hostile au système de rente alors en vigueur dans sa contrée. Bravant ledit système, elle devint le guide spirituel d’un mouvement de résistance plus ou moins organisé. Barbare à sa façon et, à tout le moins pittoresque personnage que cette Molly, qui se noircissait de temps à autre la face, transportait sous ses jupes un pistolet lié à chacune de ses fortes cuisses et vouait une haine particulièrement tenace aux propriétaires terriens et à leurs agents, aux baillis, aux huissiers. Il semble que l’expression de cette haine ait, chez notre petite veuve, essentiellement consisté à molester ou assassiner ce genre de personnage, qu’elle procédât elle-même ou en chargeât « ses garçons », lesquels s’étaient eux-mêmes baptisés les Molly Maguires, ou Mollies.

    Molly avait une dent contre le gouvernement, qui procédait aux collectes d’impôts pour le compte des gros propriétaires tyranniques. Elle était à la tête d’un groupe qu’on appelait le Parti de la Terre Libre et dont l’emblème n’était autre que son propre jupon rouge.

    Tout propriétaire, tout agent assermenté expulsant un paysan du coin pour cause d’impayés, prenait le risque de signer du même coup son arrêt de mort. La chose se passait très simplement. Des Mollies, sinon Mme Maguire elle-même en entendait d’abord forcément parler, à un moment ou un autre. Puis on retrouvait le cadavre de l’indélicat, balancé dans un fossé quelconque, ou étendu sans façon sur le sol de chez lui. Cette politique de suppression systématique se révéla tellement efficace que, pour un temps, des régions entières de l’Irlande (notamment Tipperary, West-Meath, les comtés de King et de Queen) furent considérées comme inhabitables par qui que ce fût d’autre que les Mollies eux-mêmes. Les autorités résolurent finalement, sur l’injonction des propriétaires désespérés, de se mettre à persécuter sérieusement la veuve, et ses garçons, jusqu’à ce que ces derniers se décidassent à émigrer en masse vers l’Amérique des années 1850.

    http://redskins-limoges.over-blog.org/article-les-molly-maguires-histoire-d-une-terreur-ouvrie

  • Décidément, « Il y a des limites désirables à l’extension de la démocratie politique » (Les Dessous de Bruxelles)
    http://ellynn.fr/dessousdebruxelles/spip.php?article167

    « Il y a des limites désirables à l’extension de la démocratie politique » expliquait en 1975 un rapport d’experts de la Commission trilatérale [1]. Il semble que cette leçon de bon sens soit désormais bien ancrée dans les têtes des dirigeants de l’Union européenne. L’adoption laborieuse du Traité de Lisbonne (et ce malgré son rejet par referendum en France, aux Pays-Bas, puis Irlande) n’était donc qu’un avant-goût. Comme dans un mauvais film, la crise de la dette, loin de conduire à une remise en question de l’absence de régulation financière – qui en est pourtant la cause première – a permis aux marchés d’accroître leur emprise sur les pays de l’Union européenne. (...) Source : Les Dessous de Bruxelles

    • compil

      David Rockefeller [...] en 1999, dans un magazine à grand tirage : « Quelque chose doit remplacer les gouvernements et le pouvoir privé me semble l’entité adéquate pour le faire »

      Barroso [...] : « ce qui est en train de se passer est une révolution silencieuse – une révolution silencieuse vers une gouvernance économique plus forte. Les États membres ont accepté – et j’espère que c’est ainsi qu’ils l’ont entendu – que les institutions disposent désormais d’importantes prérogatives concernant la surveillance et le contrôle strict des finances publiques. » (juin 2010)

      Clement Attlee, premier-ministre britannique, s’effarouchait déjà en 1950 : « la démocratie ne peut abdiquer entre les mains de quelques personnes censées compétentes, et dont les décisions peuvent comporter des conséquences sortant du cadre de leurs attribution et débordant largement sur le plan politique ».

      Ce à quoi Sylvie Pierre-Brossolette pourrait répondre, avec la pédagogie et le bon sens coutumier du PPA : « Est-ce qu’il ne faut pas violer des fois les peuples un tout petit peu pour leur bien ? » (France Info, 16.01.08)

  • VERS UN TOTALITARISME RAMPANT… - Etat Critique - blog politique
    http://www.etat-critique-blog-politique.com/article-vers-un-totalitarisme-rampant-88686126.html

    Or, un système qui est incapable de produire du lien social, de la cohésion sociale – ici le salariat – est forcément fragilisé quant à l’ordre qu’il doit faire régner. Le Capital ne payant plus, les conquêtes sociales étant inexistantes, la régression sociale généralisée, l’exclusion s’étendant à toutes les couches de la société,… seule la force, la contrainte, la répression deviennent les moyens de la stabilité.

    Tant que l’illusion de la « démocratie politique », maintenue par une classe politique parasite et complice, à grand renfort de médias, fera illusion, un semblant d’ordre existera, ce qui n’empêche pas la déliquescence sociale : communautarisme, délinquance, contestation,…. Mais cette situation ne peut durer qu’un temps.

    Le pouvoir politique prend de plus en plus ses aises, avec les principes dont il se réclame : lorsque le peuple ne vote pas comme il faut,… il contourne la décision avec l’aide des politiciens : exemple du Traité Constitutionnel Européen en France, exemple de la pression des dirigeants européens pour éviter une consultation populaire en Grèce à propos du programme européen qui lui est imposé.

    Certes, on peut considérer ces événements de manière isolée, mais à y regarder de près, c’est en fait une tendance qui s’instaure. On assiste en fait à un véritable détournement de légitimité.

  • Pendant la tempête, la campagne
    http://www.jean-luc-melenchon.fr/2011/11/10/pendant-la-tempete-la-campagne

    De Gaza, vendredi dernier. Paul Murphy, membre du Socialiste Party d’Irlande, député GUE/NGL se dirigeait vers Gaza à bord d’une flottille irlando-canadienne venue apporter de l’aide humanitaire, des livres et des médicaments notamment, aux assiégés de Gaza. Comme on le devine l’armée israélienne s’y est opposée. On connaît la disproportion des forces. Elle a harcelé la flottille plus de trois heures. Jusqu’à faire entrer en collision les deux navires, le Saoirse et le Tahrir, au risque de les faire couler. La cargaison est bien évidemment endommagée. L’armée israélienne se félicite pour sa part d’un abordage sans blessés, réalisé avec toutes les précautions nécessaires. En toute hypothèse et quoi qu’il en soit, en droit, il s’agit d’un acte de piraterie puisque tout cela a eu lieu dans les eaux internationales. De plus Paul Murphy signale que l’un des passagers canadiens aura des difficultés à marcher à la suite des décharges de taser qu’il a reçu et après avoir été battu comme il l’a été. Les militants et le personnel navigant, dont aucun n’était armé, ont été menottés et privés de leurs effets personnels avant d’être emmenés de force en Israël. D’abord au port israélien d’Ashdod, puis à la prison de Givon. Sur place, il leur a été interdit de passer les appels téléphoniques auxquels pourtant tout détenu à droit. Pourquoi ? Ce n’est que dimanche que notre camarade Paul Murphy a pu donner quelques nouvelles lors d’un entretien téléphonique d’à peine trois minutes. Voici ce que Paul a rapporté : « A la prison de Givon les autorités ont tenté de nous désorienter par des privations de sommeil, le retrait de nos montres et les horloges de la prison indiquant de fausses heures. On ne nous a donné aucun délai sur la durée où nous allons être gardés avant le procès d’expulsion. On nous a nié le droit, prévu par le droit israélien, de contacter nos familles dans les 24h suivant notre arrestation ». Pour l’heure, Paul et les autres militants sont toujours en prison. Pourquoi ? Parce qu’ils refusent de signer l’ordre de transfert vers leur pays d’origine. En effet celui-ci stipule qu’ils sont entrés illégalement sur le territoire israélien. De fait ils n’y sont pas entrés illégalement mais sous la contrainte de l’armée israélienne et n’ont jamais eu l’intention de se rendre en Israël puisqu’ils faisaient voiles vers Gaza. Tous ceux à qui j’en parle haussent les épaules. Entre amertume, révolte et indignation.

  • La justice finlandaise ordonne le blocage de The Pirate Bay
    http://www.numerama.com/magazine/20345-la-justice-finlandaise-ordonne-le-blocage-de-the-pirate-bay.html

    L’accès à The Pirate Bay se complique en Europe. Après le Danemark, l’Irlande, l’Italie et la Belgique, c’est au tour de la Finlande, par la voie de sa justice, d’ordonner le blocage de The Pirate Bay. Le FAI Elisa a jusqu’au 14 novembre pour mettre en œuvre ce jugement, sous peine de payer une amende de 100 000 euros. L’opérateur a indiqué qu’il fera appel.

  • L’Europe contre Facebook | Presseurop (français)
    http://www.presseurop.eu/fr/content/article/1083771-l-europe-contre-facebook

    Dans la presse germanophone, l’affaire est dépeinte comme le combat de David contre Goliath. Ce qui n’était au début que le mémoire d’un étudiant en droit autrichien s’est transformé en action en justice contre Facebook en Irlande pour violation de la vie privée, susceptible de toucher près de 600 millions d’usagers dans toute l’Europe.

    Les plaintes contre #Facebook ont pour origine une requête, effectuée conformément à la loi européenne par Max Schrems, étudiant en droit autrichien de 24 ans, afin d’avoir accès aux données dont Facebook disposait à son sujet. Il a fini par recevoir un CD contenant 1 222 pages d’informations que le réseau social détenait sur lui.

  • #Twitter #Paradis-fiscaux

    le petit oiseau s’envole vers les paradis fiscaux
    Par Pascal Bories - Mardi 27 septembre 2011 à 16:30

    Sur The Inquirer

    http://www.theinquirer.fr/2011/09/27/twitter-le-petit-oiseau-senvole-vers-les-paradis-fiscaux.html

    Twitter Europe a élu domicile en Irlande, pays où la fiscalité est bien plus avantageuse que chez ses voisins et les réglementations financières plus souples.

    Le siège européen de Twitter, l’incontournable service de microblogging qui dispose déjà de bureaux à Londres, va finalement s’installer à Dublin, en Irlande.

    Comme de nombreuses autres entreprises américaines du secteur, celle-ci entend bénéficier d’un l’impôt sur les sociétés limité à 12,5% en Irlande, alors qu’il atteint 34% en France.

    Par ailleurs, la faible régulation des opérations financières permet là-bas davantage d’échanges avec certains paradis fiscaux encore beaucoup plus arrangeants [...]

  • « Les riches savent que la situation sociale est explosive » - Du côté des privilèges - Basta !
    http://www.bastamag.net/article1725.html

    La lutte des classes qui se déroulait pays par pays de façon fragmentée prend une dimension internationale. La mondialisation de la finance a pour effet de mettre les peuples, y compris aux États-Unis, dans des situations difficiles. Le comportement de la finance, qui a débouché sur la crise des subprimes, a mis à la rue des ménages américains qui se sont retrouvés dans des villages de toile. Comme des réfugiés dans leur propre pays. Nous retrouvons cette situation en Grèce, en Espagne et en Irlande.

    C’est du lourd : rien à jeter et tout est dit !

  • Copuler avec un chien peut s’avérer très dangereux :

    Woman died from allergic reaction to sex with dog
    http://www.thejournal.ie/woman-died-from-allergic-reaction-to-sex-with-dog-172620-Jul2011

    En effet, en Irlande, après un rapport consenti avec un berger allemand, une femme succombe pour cause d’allergie à son sperme. Pour autant, l’affaire ne s’arrête pas là. En effet, son maître (du chien !) est poursuivi pour sodomie (au sens anglo-saxon), sur la base d’une loi remontant à 1861 et jamais appliquée depuis lors. Il risque la prison à vie.

    #faits_divers #allergie #sexe #rapport_sexuel #chien #irlande #insolite #justice #sodomie

  • « Ne rougissez pas de vouloir la lune : il nous la faut », par Serge Halimi (Le Monde diplomatique)
    http://www.monde-diplomatique.fr/2011/07/HALIMI/20760

    Economique mais aussi démocratique, la #crise européenne soulève quatre questions principales. Pourquoi des #politiques dont la banqueroute est assurée sont-elles néanmoins déployées dans trois pays (#Irlande, #Portugal, #Grèce) avec une férocité remarquée ? Les architectes de ces choix sont-ils des illuminés pour que chaque échec — prévisible — de leur médication les conduise à en décupler la dose ? Dans des #systèmes démocratiques, comment expliquer que les peuples victimes de telles ordonnances semblent n’avoir d’autre recours que de remplacer un gouvernement qui a failli par un autre idéologiquement jumeau et déterminé à pratiquer la même « thérapie de choc » ? Enfin, est-il possible de faire autrement ?

    La réponse aux deux premières questions s’impose sitôt qu’on s’affranchit du verbiage publicitaire sur l’« intérêt général », les « valeurs partagées de l’#Europe », le « vivre ensemble ». Loin d’être folles, les politiques mises en œuvre sont rationnelles. Et, pour l’essentiel, elles atteignent leur objectif. Seulement, celui-ci n’est pas de mettre un terme à la crise économique et financière, mais d’en recueillir les fruits, incroyablement juteux. Une crise qui permet de supprimer des centaines de milliers de postes de fonctionnaires (en Grèce, neuf départs à la retraite sur dix ne seront pas remplacés), d’amputer leurs traitements et la durée de leurs congés payés, de brader des pans entiers de l’#économie au profit d’#intérêts privés, de remettre en cause le #droit du #travail, d’augmenter les #impôts indirects (les plus inégalitaires), de relever les tarifs des #services publics, de réduire le remboursement des soins de #santé, d’exaucer en somme le rêve d’une société de #marché — cette crise-là constitue la providence des libéraux. En temps ordinaire, la moindre des mesures prises les aurait contraints à un combat incertain et acharné ; ici, tout vient d’un coup. Pourquoi souhaiteraient-ils donc la sortie d’un tunnel qui ressemble pour eux à une autoroute vers la Terre promise ?

  • « Ne rougissez pas de vouloir la lune : il nous la faut » | Serge Halimi (Le Monde diplomatique)
    http://www.monde-diplomatique.fr/2011/07/HALIMI/20760

    La crise de la dette qui balaie certains pays européens prend une tournure inédite : née du choix des Etats d’emprunter pour sauver les banques, elle place des pouvoirs publics exsangues sous la tutelle d’institutions soustraites au suffrage universel. Le destin des peuples de la Grèce, du Portugal et de l’Irlande ne se forge plus dans les Parlements, mais dans les bureaux de la Banque centrale, de la Commission européenne et du Fonds monétaire international. En attendant une convergence des mouvements sociaux ? (...)

  • We, the people of the Internets and the World | kitetoa
    http://reflets.info/we-the-people-of-the-internets-and-the-world

    Vous n’y croyez pas. C’est normal. Vous appartenez à une autre génération. A un autre temps. Vous n’avez pas vu venir la profonde transformation de cette société. Bien sûr, cette transformation n’en est qu’à ses débuts et vous pensez encore pouvoir renverser la situation à votre profit. Sauver votre système. Faire perdurer cette oligarchie qui vous sert si bien. Vous disposez depuis des siècles d’une matière première abondante. Docile, malléable. Exploitable sans limites : les peuples. Cette exploitation, coûte que coûte, pour assurer des profits jamais suffisants est particulièrement visible dans vos pathétiques tentatives de « sauver » des économies agonisantes. En Grèce, au Portugal, en Islande, en Irlande, Aux Etats-Unis. Vous faites payer le prix de la continuité aux plus démunis. Vous les stigmatisez. Vous les faites apparaître comme des « parasites » profitant des aides sociales. Vous qui ne manquez de rien. Qui n’avez jamais eu à vous soucier de trouver les ressources néc

    #A_la_Une #Tribunes #Anonymous #Banques #Capitalisme #Finance #NATO #Peuples #Réserve_Fédérale

  • Les entreprises françaises et allemandes en Irlande pour éviter l’imposition ? | kitetoa
    http://reflets.info/les-entreprises-francaises-et-allemandes-en-irlande-pour-eviter-limpositio

    Il y a comme ça des petites perles qui passent inaperçues. La presse ne leur donne pas assez de place. La loi de proximité, coco. Probablement celle de la proximité avec les milieux industriels parce que pour ce qui est de la proximité géographique, on est en plein dedans... L’Independent qui a mis la main sur quelques câbles diplomatiques détenus par Wikileaks, il semblerait que parmi les milliers d’entreprises qui venaient s’établir en Irlande, les françaises et les allemandes étaient connues des autorités du pays pour venir échapper au fisc. Selon Enda Connolly, de l’Industrial Development Authority, qui rencontrait des officiels américains en 2005, la France et l’Allemagne avaient beau jeu de critiquer le système d’imposition irlandais dans la mesure où leurs entreprises en profitaient largement. Les officiels américains voulaient être rassurés car la pression européenne a toujours existé pour que l’Irlande remonte ses taxes sur les entreprises. Comme chacun sait, de nombreuses

  • Et pourquoi ne pas juste effacer l’ardoise globale, pour voir ?

    Si nous ne cassons pas cette spirale mortifère l’avenir est très clair : les crises de la dette en Europe, au Japon et aux Etats-Unis vont se développer une par une au gré des marchés financiers, et dans les pays concernés ce sera la séquence grecque actuelle : note dégradée, hausse des taux, rigueur FMI, grèves, baisse de la croissance, rigueur accrue, révolte, intervention du fond européen alimenté par des pays européens très endettés et qui creusent leurs dettes jusqu’au jour où le fonds européen ne sera plus suffisant, etc.

    Cette séquence est engagée en Grèce, en Irlande et au Portugal. L’Espagne et l’Italie suivront et l’épée de Damoclès se rapprochera de la France qui, au fond, est dans une situation beaucoup plus catastrophique que l’Italie à cause de son déficit plus important et du fait que sa dette est détenue à 70 % par des étrangers.

    Ces crises localisées d’abord se généraliseront entraînant des troubles graves mettant en cause l’existence de l’Euro, de l’Europe et de nos démocraties.

    La solution ne peut qu’être mondiale ou au moins européenne. Il faut se donner des marges de manœuvre en prenant l’argent nécessaire là où il est.

    Je propose un moratoire sur 5 ans (intérêt et capital) sur l’ensemble des dettes souveraines de tous les Etats sauf les pays les plus pauvres pour lesquelles il faut annuler la #dette.

    http://www.pauljorion.com/blog/?p=24637
    Blog de Paul Jorion »

  • Si vous nous empêchez de rêver, nous vous empêcherons de dormir !

    Les banques, la finance dérégulée sont les seules responsables de la crise de 2007-2009. Les États ont dépensé des milliards d’euros pour renflouer les banques et restaurer les profits des entreprises. Ils ont « nationalisé les pertes » en transférant aux États une partie de l’énorme dette privée accumulée avant et pendant la crise.

    Et maintenant, ils veulent faire payer les frais de cette crise aux salariés, aux jeunes, aux retraités européens et profiter de ce qu’ils appellent la « pédagogie de la dette » pour utiliser cette dernière comme bélier contre les acquis sociaux, comme bulldozer pour livrer aux multinationales les services publics. Le plan d’ « aide » à la Grèce, qui soutient la Grèce comme la corde soutient le pendu, prévoit ainsi la privatisation d’une partie des services publics grecs (port, aéroport, télécommunication, électricité, gaz…) pour un montant de 50 milliards d’euros, soit 21 % du PIB de ce pays.

    En Irlande, le déficit public s’élevait à 0 % en 2007. Mais l’éclatement de la bulle immobilière et la crise des « subprime » amenaient les banques irlandaises au bord de la faillite. L’Union européenne et le FMI imposaient alors à l’État irlandais de nationaliser ses banques et de prendre leurs dettes à sa charge.

    L’État irlandais devait donc débourser, entre 2008 et 2010, 46 milliards d’euros pour renflouer les fonds propres des banques et 31 autres milliards pour leur permettre d’apurer une partie de leurs actifs toxiques. 77 milliards d’euros au total.

    Le budget irlandais subissait de plein fouet les conséquences de ce transfert de la dette des banques à l’État. En 2008, le déficit public s’élevait à 7,3 % du PIB. Il atteignait 14,4 % en 2009 et 32 % en 2010. En 3 ans, la dette publique augmentait donc de près de 55 points de PIB (la somme des déficits publics de 2008, 2009 et 2010) ! La récession frappait l’Irlande dont le taux de croissance s’écroulait de 9 % en 2009. Le taux de chômage passait de 0 % à 14 % de la population active. Et le gouvernement irlandais, chassé depuis par les électeurs, acceptait le plan de laminage du salariat irlandais imposé par l’Union européenne et le FMI.

    http://www.democratie-socialisme.org/spip.php?article2410

  • DSK inculpé d’agression sexuelle : Qui est la femme de chambre qui l’accuse ? - 20minutes.fr
    http://www.20minutes.fr/article/724765/dsk-inculpe-agression-sexuelle-femme-chambre-accuse

    20minutes.fr a donc publié l’article avec les questions importantes :

    Qui est la femme de chambre qui l’accuse?

    c’est-à-dire :

    Est-elle d’origine portoricaine ou Afro-américaine ?

    mais aussi :

    « Très jolie » ou « très peu séduisante » ?

    Et de conclure en citant un confrère élégant :

    « Le voiturier m’a dit que cette femme de ménage était une trentenaire très jolie, qu’elle avait de gros seins et de belles fesses. »

    Hé mé cé super-classieux, tout ça !

    • Vu ce matin un gros titre sur l’affaire dans le gratuit « Métro » : « La débandade ».

      Apparemment certains journalistes ont décidé de se lâcher complètement sur ce coup-là...

    • Je trouve aussi que ce papier est du grand art : Exit le mécano de la crise
      http://www.presseurop.eu/fr/content/article/655991-exit-le-mecano-de-la-crise
      « Il impose un tournant à la pensée unique néolibérale en réclamant des contrôles sur les mouvements des capitaux et de nouvelles règles pour le système bancaire. Il dénonce les inégalités sociales et choisit un Chinois comme numéro deux. Sous les coups de la crise, même les Etats-Unis vont apprendre à apprécier la présence d’un socialiste français à la tête du FMI, avec une vision des réformes nécessaires pour soigner les excès du tout-marché. »
      Ah, le grand homme avec un tout petit défaut
      "même « DSK » mettait en garde contre un danger plus grand encore : le thérapies de choc exigées des gouvernements des « PIGS » (Portugal, Irlande, Grèce, Espagne) les précipitent vers la récession, comme la Grèce, qui est en train de perdre quatre points de PIB.

      On ne réduit pas les dettes publiques sur les ruines d’une calamité sociale. « DSK » travaillait à une solution socialement viable. Les Américains le qualifiaient avec admiration de vrai « micro-manager » pour saluer le soin qu’il portait à l’étude de chaque détail des dossiers de crise. « Micro-manager » exemplaire, de tout, sauf de lui-même. "

  • La France, un « pays d’assistés » ? | Mediapart
    http://www.mediapart.fr/journal/economie/090511/la-france-un-pays-dassistes?page_article=3

    Selon une étude de l’Institut de recherches économiques et sociales de 2007, « les montants des revenus minima garantis aux personnes pauvres sont beaucoup plus élevés » dans les onze autres pays européens étudiés : « de 30 à 40 % au Royaume-Uni et en Finlande, de l’ordre de 50 à 75 % en Irlande, Suède, Belgique et Pays-Bas, environ le double en Norvège et en Islande, environ le double pour les couples et environ 140% pour les parents isolés en Autriche, et de l’ordre de 150% au Danemark ».

    « En appauvrissant ainsi les plus faibles, la France est en train cultiver une exception délétère en Europe », estime Olivier Ferrand de Terra Nova, partisan d’une « augmentation des minima sociaux ». « D’autant qu’elle prive également la quasi-majorité des moins de 25 ans du revenu de solidarité active, ce qui est une exception en Europe ! » Selon Olivier Ferrand, le montant des minima sociaux dessine d’ailleurs une « hiérarchie des générations dans notre pays » : « 709 euros pour le minimum vieillesse, 460 euros pour le RSA, 0 pour les jeunes ».

    #pauvreté #minima_sociaux

  • Le pacte pour l’euro, ferment de nationalisme (André Gauron)
    http://alternatives-economiques.fr/blogs/gauron/2011/03/23/bonjour-tout-le-monde

    les gouvernements qui ne souscriraient pas aux objectifs du pacte et dont les Etats éprouveraient des difficultés à financer leurs dettes sur les marchés ne pourraient prétendre à l’aide du fonds européen de stabilité financière. L’Irlande en a fait l’amère expérience. Le refus du nouveau premier ministre irlandais de souscrire à l’harmonisation de l’impôt sur les sociétés, et donc de revenir sur l’un de ses engagements de sa récente campagne électorale, lui a valu le refus de la chancelière de voir réduit le taux d’intérêt du prêt accordé à son prédécesseur et la durée de remboursement allongé. A l’inverse, en acceptant les conditions qui lui étaient imposées, le premier ministre grec a obtenu ce qu’elle refusait aux irlandais : une baisse d’un point du taux d’intérêt et un allongement de l’échéance de trois ans. Chacun sait dès lors à quoi s’en tenir. (...)
    Ses domaines d’intérêt sont la politique économique, l’Europe et les questions d’emploi et de formation. Il a notamment publié L’empire de l’argent (éd. DBB), Le malentendu européen (Hachette Littératures), Croissance et crise (Maspéro - La découverte) ainsi qu’un rapport sur La formation tout au long de la vie (La (...)

  • Pollution des mers par la radioactivité .... - Les poubelles radioactives
    http://mthandreorange.over-blog.fr/article-pollution-des-mers-par-la-radioactivite-69639681.ht

    A la Hague, 230 millions de litres de déchets radioactifs sont jetés dans la Manche chaque année. Sellafield rejette 9 millions de litres dans la mer d’Irlande. A elles deux, tous les sept ans, ces usines libèrent autant de radioactivité que Chernobyl. Mais ce n’est pas dangereux, nous dit-on. La mer d’Irlande est pourtant la mer la plus contaminée par la radioactivité du monde. Les fruits de mer et coquillages concentrent cette radioactivité. Les homards de la mer d’Irlande présentent un taux de radioactivité 13 fois plus élevé que celui considéré sans danger pour la consommation. En 1985 un rapport du gouvernement britannique a reconnu que le taux de plutonium dans la poussière des maisons proches de Sellafield était 6000 fois supérieurs à celui qu’on trouve ailleurs en Angleterre. Une autre étude montre que le taux de Césium 137 est, à Sellafield, de cinq à treize fois supérieur à celui qu’on a relevé autour de l’atoll de Bikini où les États unis ont procédé à 23 Essais de bombe

    #nucléaire #pollution #environnement #connerie #for:rezo.net #for:l.serisgers.cci.fr #for:twitter