country:israël

  • L’idylle insolite de Donald Trump, artisan du « Muslim Ban » avec la dynastie wahhabite : 2/2
    https://www.madaniya.info/2019/06/06/lidylle-insolite-de-donald-trump-artisan-du-muslim-ban-avec-la-dynastie-w

    Un conseiller du prince héritier d’Abou Dhabi incuclpé aux Etats Unis pour détention de matériel pornographique.

    Coup dur pour la stratégie d’endiguement de l’Iran, un des missi dominici américain en direction de l’Arabie saoudite et des Emirats Arabes Unis, Georges Nader, homme d’affaires américain d’origine libanaise, a été inculpé pour détention de matériel pornographique.

    Son arrestation est intervenue le 4 juin 2019 une semaine après l’échec du triple sommet de la Mecque (islamique, arabe et Golfe), fin mai, et la décision de Benyamin Netanyahu d’organiser de nouvelles élections législatives israéliennes en septmebre, faute de pouvoir former un gouvernement. Deux echecs qui ont renvoyé aux calendes grecques le lancement de la transaction du siècle, conconctée sous l’égide de Jared Kusgner, le gendre présidentiel américain.

    Agé de 60 ans, Georges Nader a été conseiller du prince héritier d’Abou Dhabi, Mohamamd Ben Zayed et son chargé de mission auprès de l’équipe de campagne présidentielle de Donald Trump, en vue d’établir un partenariat privilégié entre les Emirats arabes Unis et les Etats Unis.

    L’intermédiaire libano américain avait entrepris des démarches similaires auprès d’Israël, la Russie et l’Arabie saoudite.

    Georges Nader avait été entendu par Robert Mueller chargé de l’enquête sur les interérecnes russes de la campagne présidentielle américaine.

    Objet d’une première interpellation en 1987, il a été arrêté le 4 juin 2019 à son arrivée à l’aéroport John F. Kennedy de New York, en vertu d’un mandat d’arrêt délivré en 2018, en raison du fait que « sur son portable, il conservait des photos de mineurs en position obscène ».

    • Un homme d’affaires américano-libanais arrêté à New York pour possession d’images pédopornographiques
      https://www.lorientlejour.com/article/1173549/un-homme-daffaires-americano-libanais-arrete-a-new-york-pour-possessi
      https://s.olj.me/storage/attachments/1174/800_950951.png/r/800

      M. Nader avait aidé à mettre en œuvre une rencontre, aux Seychelles en janvier 2017, entre Erik Prince, un partisan de M. Trump qui avait fondé la société de sécurité privée Blackwater, et un responsable russe proche de Vladimir Poutine, rappelle le Washington Post. « L’objet de cette rencontre a suscité un intérêt particulier de la part des enquêteur du procureur Mueller, et certaines questions restent sans réponse, même après la publication du rapport Mueller », ajoute le quotidien américain.

    • Mars 2018 : Les Emirats accusés d’influencer Trump : un homme d’affaires américano-libanais dans le collimateur
      https://www.lorientlejour.com/article/1102941/les-emirats-accuses-dinfluencer-la-politique-etrangere-de-trump-un-ho

      Selon le quotidien, les enquêteurs de M. Mueller, qui mène l’enquête sur une possible collusion entre l’équipe du président Donald Trump et la Russie pendant la campagne présidentielle de 2016, ont interrogé M. Nader qui aurait tenté d’influencer la politique étrangère des Etats-Unis en faveur des Emirats, notamment en « donnant de l’argent en soutien à Trump durant la dernière campagne présidentielle ».

      L’Arabie saoudite et les Emirats arabes unis, de même que Bahreïn et l’Egypte, ont rompu en juin dernier leurs relations diplomatiques avec le Qatar, qu’ils accusent de promouvoir le terrorisme, ciblant aussi dans cette initiative l’Iran, ennemi juré de Riyad.

      Le New York Times cite le cas d’une relation de M. Nader, Eliott Broidy, un mécène de la campagne de Trump, très proche du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, qui a des centaines de millions de dollars de contrats avec la famille régnante émirati. M. Broidy a oeuvré ces derniers mois pour pousser l’administration Trump à se rapprocher des Emirats.

    • George Nader (businessman) - Wikipedia
      https://en.wikipedia.org/wiki/George_Nader_(businessman)

      Nader has been charged with multiple crimes involving the sexual exploitation of minors, and convicted of several of them. A 1985 charge of receiving from the Netherlands films and magazines depicting pre and post-pubescent boys engaged in sexual acts, was dismissed due to an invalid search warrant.[18] A federal court in Virginia in 1991 gave him a six-month sentence on a felony charge of transporting from Germany, pornographic videotapes of boys about 13 or 14 years old.[18] Prosecutors agreed to put the case under seal “due to the extremely sensitive nature of Mr. Nader’s work in the Middle East.”[18]

      In 2003, he was convicted in Prague, Czech Republic for sexually abusing 10 boys, for which he served one year in prison.[1][18] A spokesperson of the court told press that the crimes occurred between 1999 and 2002. In one case, at his room in Hilton Prague Hotel, he requested oral sex from a 14-year-old boy and after he refused, Nader masturbated in front of him, paying him 2,000 koruna.[1]

      On June 3, 2019, Nader was arrested by federal agents for possession of child pornography as well as bestiality[19] and, for a second time, transportation of child pornography. These charges stemmed from his January 2018 questioning by FBI agents working on behalf of special counsel Robert Mueller, at which time child pornography was incidentally found on one of his three cell phones as agents inspected it pursuant to a warrant.[20][21] He was ordered to be held pending his extradition to Virginia.[22]

  • Trump, les Rabbins, et le plan top secret pour construire le Troisième Temple (partie 3) ZÉNITH 2016 A-T-IL ÉTÉ ATTEINT ?
    https://www.crashdebug.fr/loisirss/73-livres/16095-trump-les-rabbins-et-le-plan-top-secret-pour-construire-le-troisiem

    Le 3eme Opus de notre nouvelle série sur le 3eme temple et Donald Trump proposée par notre cher Contributeur anonyme dans la ligné d’Exo Vaticana, et de Zenith 2016.

    PARTIE 3 : ZÉNITH 2016 A-T-IL ÉTÉ ATTEINT ?

    Par le Dr Thomas Horn

    Que les circonstances soient suffisantes ou non pour construire le nouveau Temple avant que l’Amérique n’élise (ou réélise) son prochain président en 2020, ce que les rabbins en Israël croient que Donald Trump a commencé en 2016 pourrait bien avoir jeté les bases sur lesquelles l’homme du péché régnera.

    Cela soulève quelques questions sérieuses.

    Dieu, qui travaille toutes choses ensemble pour le bien (voir Romains 8:28), a-t-il ordonné l’élection de Donald Trump pour un but et une mission spécifiques liés au troisième Temple ?

    Si oui, l’année de son (...)

    #En_vedette #Livres #Loisirs

  • The Dark Side of Israel’s Cold Peace With Saudi Arabia
    https://www.bloomberg.com/opinion/articles/2019-06-03/israel-s-cold-peace-with-saudi-arabia-has-a-dark-side

    The Saudis’ phone hacking is enabled by a privately owned Israeli company called the NSO Group Ltd. Its cyberweapon suite, Pegasus, has come under deserved scrutiny in the last year because governments have misused the weapon to hack the phones of journalists and human-rights activists. Last year, two groups of victims sued the company in Israel and Cyprus for providing phone surveillance to the Mexican and Emirati governments, which then used it against political targets.

    Pegasus and similar hacking programs are now able to break into a phone without requiring the user to even click a link. In some cases, a bogus WhatsApp call is enough to infect the phone and make it a powerful tracking device. That makes it particularly suited to monitor Arab dissidents like Al-Baghdadi, who rely on the encrypted messaging service to make contact with networks of activists across the Middle East.

  • À qui profite le contenu des pages Facebook tunisiennes liées à Israël ? – Inkyfada
    https://inkyfada.com/fr/2019/06/03/tunisie-facebook-israel

    Le 16 mai 2019, Facebook annonce la désactivation de 265 pages ou comptes liés à une société israélienne dont le but est d’influencer l’opinion publique, principalement dans des pays africains. En Tunisie, 11 pages sont concernées. Inkyfada a eu accès à la quasi-totalité du contenu publié par ces pages. À qui profitent-elles ? Un candidat se dégage en particulier. Enquête.

    Que cette campagne ait été commandée directement par un candidat, des personnes ou des entités qui lui sont favorables, une société en est l’instigatrice, selon Facebook. Il s’agit de la société Israélienne Archimedes Group . Son objectif ? "Changer la réalité" pour "gagner des élections à travers le monde"

    “CHANGER LA RÉALITÉ”

    Archimedes Group opérait principalement en Afrique, mais aussi en Asie du Sud-Est et en Amérique Latine et affichait clairement ses intentions sur son site internet, avant qu’il ne soit lui-même supprimé à la suite de la révélation de ses méthodes par Facebook. 

    “Nos équipes ont joué un rôle significatif dans de nombreuses campagnes politiques ou publiques, comme des élections présidentielles ou d’autres projets sur les réseaux sociaux à travers le monde”, précisait encore Archimedes. 


    Capture d’écran de la page "a propos" du site de la société Archimedes Group avant sa suppression.

    Pour cela, la société israélienne affirmait avoir développé un ensemble d’outils et méthodes “innovantes” afin de “changer la réalité selon les souhaits de ses clients". Parmi ces outils, Archimedes Group propose à ses clients d’acquérir “Archimedes Tarva” , un produit décrit comme un logiciel de gestion de campagne. 

    “Développé par des experts de premier plan dans le domaine des réseaux sociaux et écrit par nos meilleurs développeurs, il inclut des outils d’automatisation et de gestion de campagnes sur les réseaux sociaux, la création de plateformes à grande échelle et des opérations illimitées de comptes en ligne. 

    La licence comprend la formation et la mise en oeuvre sur site, ainsi qu’un service technique 24h/7j”.

    Selon plusieurs sources dont l’AIPAC, puissant lobby américain de soutien à Israël, Elinadav Heymann est désigné comme le PDG d’ Archimedes Group. Il est à ce jour difficilement traçable en ligne, sa biographie ayant été supprimée de nombreux sites qui le référençaient depuis la révélation par Facebook de ses activités. L’un d’eux, negociations.ch, le présentait aussi comme un ancien agent du renseignement de l’armée de l’air israélienne.

    [Rick Gates Sought Online Manipulation Plans From Israeli Intelligence Firm for Trump Campaign](https://www.nytimes.com/2018/10/08/us/politics/rick-gates-psy-group-trump.html)

    Ce n’est pas la première fois qu’une société israélienne gérée par un ancien agent du renseignement est citée pour ce type d’activités. En 2016, Rick Gates, un responsable de la campagne électorale de Donald Trump avait approché la société Psy-Group, alors composée d’anciens agents des services du renseignement israélien, rapporte le New York Times. Un document élaboré par Psy-Group détaillait alors un plan d’action élaboré notamment pour cibler et influencer des milliers de délégué·es républicain·es.

    [L’unité militaire 8200, la face longtemps cachée de la high-tech israélienne](https://www.letemps.ch/economie/lunite-militaire-8200-face-longtemps-cachee-hightech-israelienne)

    Il n’est pas étonnant de trouver des sociétés israéliennes spécialisées dans ces techniques de manipulation de masse, par le biais des réseaux sociaux. Les compétences technologiques développées au sein de l’armée à des fins de cyberdéfense et de contre-espionnage ont dessiné le modèle économique israélien tourné vers le numérique et les nouvelles technologies. Ainsi, confirme Fabrice Epelboin, enseignant au MediaLab de Sciences Po Paris, de nombreuses start-ups y sont créées par des vétérans de l’armée formés au sein des unités du renseignement israélien.

    Des sociétés comme Archimedes Group, spécialisées dans la manipulation des masses sur les réseaux sociaux afin d’influencer l’opinion publique sur des sujets souvent politiques peuvent servir des États, des marques mais aussi des groupes politiques de manière décentralisée.

    #tunisie #facebook #manipulation #manipulation_en_masse #élections #changer_la_réalité #israël #archimedes_group

  • L’archéologie, donc la science et des universitaires, sont utilisés de manière frauduleuse pour servir des intérêts politiques et, au final, voler toujours plus de terres aux Palestinien.ne.s. Et il ne faudrait pas mêler l’université au boycott ?

    Israël utilise l’archéologie pour effacer l’histoire non juive
    Talya Ezrahi et Yonathan Mizrachi, Forward, le 29 mai 2019
    http://www.agencemediapalestine.fr/blog/2019/06/03/israel-utilise-larcheologie-pour-effacer-lhistoire-non-juive

    en Israël, l’archéologie a toujours été liée au projet de construction de la nation. L’historien Amos Elon a un jour expliqué que les archéologues israéliens ne font pas des fouilles que pour découvrir et connaître, mais pour réassurer leurs racines.

    #Palestine #archéologie #boycott_universitaire #BDS #colonisation #histoire #roman_national #mythe_fondateur #falsification #historicisation #Cité_de_David #Silwan

  • Reporters sans frontières : le crime paie Théophraste R. - 3 Juin 2019 - LGS
    https://www.legrandsoir.info/reporters-sans-frontieres-le-crime-paie.html

    Le 21 octobre 2000, le journaliste Jacques-Marie Bourget (1) se trouvait sur une place publique à Ramallah (Palestine). Tout était calme, les cafés étaient ouverts quand un tireur d’élite israélien «  non identifié  » lui a perforé le poumon d’une balle https://www.legrandsoir.info/macron-soutiendra-t-il-les-correspondants-de-guerre.html de son fusil d’assaut américain « M16 ». Alors même que le pronostic vital était engagé, il a fallu l’intervention personnelle de Jacques Chirac pour qu’Israël autorise l’évacuation du journaliste. La victime miraculée nous dira prochainement sur ce site tout ce qu’elle ne doit pas à Reporters sans Frontières.

    C’était hier, c’est encore aujourd’hui. Le 28 février 2019, une commission d’enquête https://news.un.org/fr/story/2019/02/1037422 indépendante de l’ONU a révélé que des tireurs d’élite israéliens tirent intentionnellement sur des journalistes (2).
    En novembre 2007, Maxime Vivas publiait un livre-enquête sur l’organisation Reporters sans Frontières et sur son secrétaire général Robert Ménard, alors intouchable et coqueluche des médias, toutes tendances confondues (Ménard fut invité à la fête de l’Huma). Mettant de côté son amour pour la liberté d’expression, le secrétaire général de RSF menaça à 4 reprises de traduire l’impertinent auteur devant un tribunal.

    Le 19 mai 2019, Christophe Deloire, actuel secrétaire général de Reporters sans frontières a reçu le prix de la « défense de la démocratie » https://www.legrandsoir.info/reporters-sans-frontieres-recoit-le-prix-du-regime-assassin-de-journal (sic) lors d’une cérémonie à Tel Aviv en présence du président israélien Reuven Rivlin.

    Théophraste R. Auteur du proverbe : «  RSF est à la liberté d’expression ce que Monsanto est à l’écologie, Ségolène Royal au socialisme et BHL à la philosophie  ».

    (1) Grand reporter et écrivain, Jacques-Marie Bourget a publié 95 articles sur le site d’information alternative Le Grand Soir. Il a commencé sa carrière chez Gallimard à la NRF puis il a enchaîné à l’ORTF, l’Aurore, le Canard Enchainé, l’Express, VSD, le Sunday Times, Paris-Match et Bakchich. En 1986 a obtenu le Prix Scoop pour avoir révélé l’affaire Greenpeace.

    (2) Gaza 2018 : «  La Commission a constaté que les forces de sécurité israéliennes avaient tué 183 […] manifestants avec des balles réelles, dont 35 enfants, trois ambulanciers paramédicaux et deux des journalistes, clairement identifiés.  »

    #crimes_de_guerre #israel #israël #gaza #occupation #colonisation #rsf #reporters_sans_frontières #robert_ménard #christophe_deloire

  • Israël aurait largement compté sur la #NSA pendant la #guerre du #Liban de 2006 | The Times of Israël
    https://fr.timesofisrael.com/israel-aurait-largement-compte-sur-la-nsa-pendant-la-guerre-du-lib

    Israël a largement compté sur les renseignements américains lors de la guerre du Liban de 2006, et a demandé, à de nombreuses reprises, de l’aide pour localiser des terroristes du #Hezbollah en vue d’assassinats ciblés, selon les derniers documents classifiés ayant fuité par l’intermédiaire du lanceur d’alerte américain Edward Snowden.

    Les deux documents divulgués mercredi ont révélé que même si l’Agence de sécurité nationale (NSA) n’avait pas l’autorisation légale de partager des informations en vue d’assassinats ciblés, la pression israélienne a conduit à la création d’un nouveau cadre de travail pour faciliter le partage de renseignements entre les deux pays.

    L’un des documents rendu public cette semaine, par The Intercept, était un article de 2006 paru dans la newsletter interne de la NSA, SIDToday, écrit par un officiel anonyme de la NSA à Tel Aviv qui officiait comme agent de liaison avec des officiels israéliens pendant le conflit de 2006.

    [...]

    Le rapport explique que la guerre de 2006 a poussé l’ISNU [l’unité israélienne SIGINT de renseignements militaires] dans ses « limites techniques et de moyens », et des officiels israéliens se sont tournés vers leurs homologues américains à la NSA pour obtenir un grand soutien et de nombreuses informations sur des cibles du Hezbollah.

    #états-unis #agression #guerre_des_33_jours

  • Israël s’apprête à vendre aux enchères des salles de classes préfabriquées, dons de l’UE aux Palestiniens
    1er juin | Oliver Holmes pour The Guardian |Traduction JPP pour l’AURDIP
    https://www.aurdip.org/israel-s-apprete-a-vendre-aux.html

    Le ministère de la Défense israélien prévoit d’organiser une vente aux enchères, la semaine prochaine, afin de vendre deux salles de classe préfabriquées données par l’UE aux élèves palestiniens.

    L’Administration civile, qui est l’organisme chargé de diriger l’occupation, a démoli et confisqué les classes en octobre dernier. Elles étaient destinées à 49 élèves de la première à la sixième année, à Ibziq, dans le nord de la Cisjordanie occupée.

    Une annonce publiée dans le journal israélien Maariv a indiqué que la vente aurait lieu dans les bureaux de l’Administration civile en Cisjordanie.

    Quand les salles de classe ont été démontées, la mission de l’UE à Jérusalem et Ramallah a condamné les autorités israéliennes et elle leur a demandé de reconstruire ces structures, au même endroit, et « sans délai ». (...)

    traduction de cet article : https://seenthis.net/messages/784361

    • Israël : l’armée veut revendre des salles de classe financées par l’UE pour des Palestiniens
      Par Guillaume Gendron, correspondant à Tel-Aviv — 1 juin 2019 à 12:54
      https://www.liberation.fr/planete/2019/06/01/israel-l-armee-veut-revendre-des-salles-de-classe-financees-par-l-ue-pour

      Les préfabriqués, confisqués en octobre et dont la restitution est réclamée par l’Union européenne, doivent être présentés lors d’une vente aux enchères dans les Territoires occupés.

      Même les connaisseurs les plus blasés des mille histoires kafkaïennes découlant chaque jour de l’occupation israélienne n’en reviennent pas. En début de semaine prochaine, l’armée israélienne compte vendre aux enchères deux salles de classe financées par l’Union européenne et confisquées à une communauté palestinienne en Cisjordanie occupée.

      C’est l’administration civile israélienne, dite Cogat (la branche de l’armée chargée des affaires du quotidien dans les Territoires occupés), qui se chargera de la vente des préfabriqués, financés par plusieurs pays européens, dont la France, à travers ECHO, la branche humanitaire de l’UE. Ces classes étaient utilisées par les enfants de la communauté d’Izbiq (nord-est de la Cisjordanie), avant leur confiscation par les militaires en octobre dernier, sous prétexte que le village, situé en zone C, c’est-à-dire sous contrôle militaire israélien, serait un site archéologique biblique.
      Petite annonce

      C’est par une petite annonce publiée début mai dans les colonnes du quotidien populaire local Maariv que les diplomates européens ont eu des nouvelles de leurs salles de classe, dont ils avaient officiellement réclamé la restitution aux bénéficiaires et la réinstallation au moment de leur démantèlement. Sans précondition et « sans délai ». Un appel resté lettre morte.

      Dans le catalogue de vente, auquel Libération a eu accès, des équipements correspondants en tout point à ceux financés par l’UE sont listés aux côtés de matériaux de construction divers (tuyaux, poutres, sacs de ciment…) et d’autres bien confisqués (de la vieille Suzuki à des cargaisons de presse-agrumes et d’écharpes) tant à des colons qu’à des Palestiniens. Les enchères auront lieu à deux dates différentes dans les locaux du Cogat aux abords des checkpoints contrôlant l’accès de Ramallah et Bethléem.

      La revente de saisies en Cisjordanie occupée se fait de façon quasiment automatique sous 90 jours - les amendes et frais de restitution étant généralement dissuasifs. La petite annonce de l’armée laisse par ailleurs « 30 jours aux propriétaires après publication de cette annonce pour réclamer leurs biens », chose faite dès octobre par l’UE. Contactés par Libération sur d’éventuels efforts de joindre les bureaux de l’Union européenne à Jérusalem et Ramallah, les fonctionnaires israéliens n’ont pas donné suite.
      « Première preuve d’une revente de matériel humanitaire »

      « On avait entendu parler de ce genre de choses, mais c’est la première fois que nous avons la preuve d’une revente de matériel humanitaire. D’ordinaire le processus est plus nébuleux », confie une source humanitaire à Libé.

      Vendredi, dans une réponse officielle, le bureau du représentant européen à Jérusalem a condamné auprès de Libération « l’ordonnance militaire […] autorisant la vente aux enchères et le fait que les autorités israéliennes n’ont pas restitué les structures confisquées ou n’ont pas fourni de réparations pour les dommages subis », estimés à 15 320 euros.

      Le communiqué précise qu’aux deux salles de classe confisquées à Ibziq s’ajoutent deux tentes et trois hangars métalliques donnés à la tribu al Hadidiya, une communauté de bergers de la vallée du Jourdain, soumis eux aussi à la vente. Selon l’UE, ces actes « violent l’obligation de la puissance occupante de rétablir et assurer l’ordre public et la sécurité dans l’intérêt des personnes protégées (à savoir la population palestinienne), sous réserve des besoins militaires légitimes ». (...)

    • Israël veut vendre des structures humanitaires confisquées aux bédouins
      AFP - 31/05/2019
      https://www.lorientlejour.com/article/1172962/israel-veut-vendre-des-structures-humanitaires-confisquees-aux-bedoui

      L’Union européenne (UE) a condamné vendredi un projet, qu’elle attribue au gouvernement israélien, de vente de structures humanitaires, fournies par l’UE à des villages bédouins en Cisjordanie occupée, et confisquées selon elle par les autorités.

      Selon le porte-parole de l’UE à Jérusalem Shadi Othman, cette vente doit être effectuée par le Cogat, l’organe israélien chargé des opérations civiles dans les Territoires palestiniens.

      Le Cogat n’a pas répondu dans l’immédiat à une demande de confirmation de ces informations.

      Les structures en question ont été saisies en 2018 selon l’UE. Il s’agit de deux pré-fabriqués servant de classes donnés par l’Union européenne aux bédouins du village de Ibziq, et de deux tentes et trois hangars attribués à cette communauté à al-Hadidiya dans la vallée du Jourdain, précise l’UE dans un communiqué.

      Le texte cite une annonce légale parue le 6 mai dans le quotidien israélien Maariv dans laquelle il est fait mention de « bien saisis en Cisjordanie ».

      « Dans le cas où les propriétaires de ces biens ne procèdent pas à une demande de restitution de leurs biens dans un délai de 30 jours suivant la publication de cette annonce, les biens seront vendus » aux enchères, est-il précisé.

      M. Othman a assuré à l’AFP qu’une demande de l’UE de restitution avait été « communiquée via un communiqué officiel » aux autorités mais qu’elle n’avait « jamais » reçu de réponse.

      « Les missions de l’Union européenne à Jérusalem et Ramallah (en Cisjordanie occupée) ont appelé les autorités israéliennes à rendre les biens confisqués à leurs bénéficiaires sans condition préalable et aussi vite que possible, et à défaut de leur fournir sans délai des compensations » financières, ajoute l’UE.

      Selon le communiqué, les structures saisies ont une valeur de 15.320 euros.

      L’UE finance fréquemment des structures humanitaires dans les villages bédouins de Cisjordanie occupée. Les autorités israéliennes les confisquent régulièrement, au motif que leurs bénéficiaires ne disposent pas des permis nécessaires à leur construction.

      Israël occupe depuis près de 50 ans la Cisjordanie où plusieurs communautés de bédouins sont installées.

  • Israël : la crise politique affaiblit un peu plus le plan de Trump
    https://www.mediapart.fr/journal/international/010619/israel-la-crise-politique-affaiblit-un-peu-plus-le-plan-de-trump

    En dissolvant la Knesset pour organiser de nouvelles élections en septembre, le premier ministre israélien a plongé son pays dans une crise politique évitable. Et peut-être sabordé « l’accord du siècle » du président américain.

    #PROCHE-ORIENT #Israël,_Jared_Kushner,_Donald_Trump,_Palestine,_Benjamin_Netanyahou

  • Une page oubliée de l’histoire : comment 12 000 volontaires palestiniens se sont battus aux côtés des Britanniques durant la seconde guerre mondiale.

    12,000 Palestinians fought for U.K. in WWII alongside Jewish volunteers, historian finds - Israel News - Haaretz.com
    https://www.haaretz.com/israel-news/.premium-historian-12-000-palestinians-fought-for-u-k-in-wwii-alongside-jew

    In 2015, Prime Minister Benjamin Netanyahu sparked an uproar when he claimed that Mufti Haj Amin al-Husseini was the one who’d urged Hitler to annihilate the Jews. In the wake of the criticism this elicited, Netanyahu said his intention was not to absolve Hitler of responsibility for the Holocaust, but to note that “the Mufti played an important role in the Final Solution.”

    But it turns out that there was another side to the story that also escaped mention by Netanyahu, the historian’s son: the forgotten role played by thousands of Palestinians who did not heed the Mufti of Jerusalem’s call to support the Axis countries, and went so far as to take up arms to fight the Nazis, often shoulder to shoulder with young Jews from Mandatory Palestine.

    Professor Mustafa Abbasi, a historian at Tel Hai Academic College, has spent years tracing their story. Having recently published an academic article on the subject, this week he suggested an opposite narrative to the one that Netanyahu put forward. The prime minister had sought to paint the Palestinians as supporters of the Third Reich, but Abbasi says, “The Mufti did not find a receptive audience among the Palestinians for his call to aid the Nazis. Not at all.”

    >> Read more: Moments before their fatal mission, Jewish WWII soldiers took these incredible photos of Egypt ■ 76 years later, stories of Jewish soldiers killed in Nazi bombing can finally be told

    The subject of Abbasi’s research is unusual. Many studies have been published about Jewish volunteerism in the war against the Nazis, which reached a peak with the formation of the Jewish Brigade. But “the thousands of Arab volunteers are hardly mentioned and sometimes the record is often distorted,” Abbasi says.

    In an article in the latest issue of the periodical Cathedra (“Palestinians Fighting the Nazis: The Story of Palestinian Volunteers in World War II”), he explains why these Palestinian fighters have been left out of the history books.

    On the one hand, Zionist historians naturally placed an emphasis on the role played by Jewish volunteers in the fight against the Nazis. On the other hand, their Palestinian counterparts were focusing on the struggle against British rule and were not eager to glorify the names of those who cooperated with Britain not so many years after the British put down the Arab Revolt of 1936-1939, and thereby indirectly helped the Jews establish a state.
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    “Neither side wished to highlight this subject,” says Professor Abbasi. “But I think it’s the historian’s job to be faithful to the sources and to try to describe history as it was, without being hostage to any national narrative that would limit him and prevent him from writing history freely.”
    Haj Amin al-Husseini, the Grand Mufti of Jerusalem
    Haj Amin al-Husseini, the Grand Mufti of Jerusalem, greeting Muslim Waffen-SS volunteers with a Nazi salute, November 1943. Bundesarchiv / Wikimedia Commons

    One has to wonder why no organization was ever established to commemorate the actions of these Palestinian volunteers. “Many of them were killed and many others are still listed as missing. But no memorial has ever been established for them,” says Abbasi. In fact, the records of the Palestinian volunteers, along with much of their personal archives and papers, have disappeared, much of it lost in the War of Independence.

    Over the last few years, Abbasi was able to learn of their story in Palestinian newspapers from the Mandate era, in memoirs and personal journals, and through interviews he conducted with a few of the last remaining volunteers who are still alive. He also collected material from various British archives, from the Zionist Archive, and the archives of the Haganah and the IDF.

    Abbasi estimates that about 12,000 young Palestinians enlisted in the British Army in World War II. Hundreds became POWs, many others (the exact figure is unknown) were killed. “Compared to other peoples, this is not an insignificant number,” he says, and also points out that, unlike other groups, the Palestinians volunteered for the British Army from the first stage of the war.

    Initially, the Palestinian and Jewish volunteers served in mixed units. “They received training and drilled at the same bases and in many instances fought shoulder to shoulder, and were also taken prisoner together,” says Abbasi. And as reported here two years ago, the proximity of the Jewish and Palestinian fighters sometimes led to unusual outcomes, as in the case of Shehab Hadjaj, a Palestinian who enlisted in the British Army, was taken prisoner in Germany and died in 1943. To this day, he is listed at Mount Herzl as “a casualty of Israel’s wars” because someone mistakenly thought his surname indicated that he was Jewish.

    “Relations among the fighters were generally good, and if there was any friction it was mainly over service conditions, like mail and food,” Abbasi says. However, there were certain key differences between the two groups, too. For example, while the Jews were united in their goal of fighting the Nazis to promote the establishment of the Jewish state, the Palestinians “had no clear national agenda,” Abbasi writes. For this reason, unlike the Jews, they did not seek to form separate Palestinian units and there was no “Palestinian Brigade” parallel to the Jewish Brigade, in which thousands of Jews from Mandatory Palestine served.

    So who were the Palestinians who volunteered for the British Army to fight the Nazis? Abbasi says they mostly came from the Palestinian elite and that, contrary to what many think, represented “an important and central part of the Palestinian public.” A part of the public that believed it was necessary to stand by Britain at this time, and to temporarily put aside the Palestinian national aspirations – akin to the Jewish idea to “fight Hitler as if there were no White Paper, and fight the White Paper as if there were no Hitler.”

    They did this at a time when the Mufti of Jerusalem had left Palestine for exile in the Arab countries and Europe, where he met with Hitler and congratulated the Muslim volunteers of the Free Arab Legion – an Arab unit established in the army of Nazi Germany. “He left Palestine for a decade in 1937. What kind of leader abandons his people at such a time?” Abbasi wonders. “He had no influence on the public. He was detached and the public was already tired of him and his methods. They didn’t see him as a leader,” he says. “Anyone who says differently is distorting history,” he adds in a not so subtle dig at certain politicians.

    In his research, he documented pro-British propaganda conferences that were held from 1940 on in Abu Dis (next to Jerusalem), in Jenin, in villages in the Nablus area, in Tul Karm and in Lod. Among the supporters of Britain’s fight against the Nazis were the mayors of Nablus and Gaza. Radio Palestine broadcast the comments of an Egyptian writer who said, “The war is between the lofty and humane values represented by England and the forces of darkness represented by the Nazis.”
    Britain’s then-Home Secretary Winston Churchill, right, escorted by High Commissioner Herbert Samuel in Jerusalem during the British Mandate era, March 1921.
    Britain’s then-Home Secretary Winston Churchill, right, escorted by High Commissioner Herbert Samuel in Jerusalem during the British Mandate era, March 1921.GPO

    Motivations for volunteering were varied. “Some did it for ideological reasons, out of opposition to the Nazi ideology and loyalty to the British and the values that they represented,” says Abbasi. This motivation was common among upper middle class and highly educated Palestinian volunteers from urban backgrounds. Rural Palestinians were motivated largely by financial reasons. “And there were also those who were seeking adventure and wanted a chance to travel abroad,” he says.

    Abbasi found that some Palestinian women also volunteered to fight the Nazis. Almost 120 young women did so as part of the

    Auxiliary Territorial Service, the women’s branch of the British Army, alongside Jewish women. A British recruiting poster in Arabic, published in the Falastin newspaper in January 1942, read: “She couldn’t stop thinking about contribution and sacrifice, she felt ongoing pride and exaltation of spirit – when she did what she saw as her sacred duty for her nation and its sons. When your country is crying out to you and asking for your service, when your country makes it plain that our Arab men need your love and support, and when your country reminds you of how cruel the enemy is – when your country is calling you, can you stand by and do nothing?”

    Abbasi is one of the only researchers in Palestinian society who is studying this area, which was also the subject of a 2015 article by Dalia Karpel in Haaretz Magazine. He came to it thanks to his maternal grandfather, Sa’id Abbasi, who was one of the volunteers in the British Army during the war. “The family didn’t talk about it, until one day when I asked my grandmother why there was such a big age difference between her children,” he says. “Her answer was: ‘Don’t remind me of the time your grandfather left me for so many years.’” Abbasi decided to find out more about that time, and came to see that his family story was part of his people’s history.

    In the future, he hopes, the original material he has collected will be developed into a book that, for the first time, will tell the optimistic story of a rare moment in history in which Jews and Palestinians joined forces for a lofty shared goal.
    Ofer Aderet

    Ofer Aderet

    Haaretz Correspondent

  • Israeli Police Kills A Palestinian After He Reportedly Stabbed Two Israelis
    May 31, 2019 2:07 PM - IMEMC News
    https://imemc.org/article/israeli-police-kills-a-palestinian-after-he-reportedly-stabbed-two-israelis

    Israeli police officers killed, Friday, a Palestinian teen in occupied East Jerusalem, after he reportedly stabbed and injured two Israelis, and attempted to attack a police officer.

    The Palestinian was later identified as Yousef Wajeeh , 18, from Abwein village, northwest of the central West Bank city of Ramallah.

    Israeli sources said the Palestinian came from the West Bank to attend Friday prayers in Al-Aqsa Mosque, on the last Friday of Ramadan.

    Israeli online daily, The Jerusalem Post, said an Israeli man, in his fifties, suffered critical wounds, and added that a teen, 16 years of age, suffered moderate-to-severe wounds.

    It quoted the Superintendent of the Israeli Police in Jerusalem Micky Rosenfeld telling its reporter that one Israeli was stabbed and critically injured at Damascus Gate, and that the second Israel was stabbed and moderately injured when the Palestinian managed to make his way to the Old City, before the officers shot him dead.

    Following the incident, the Israeli army and police significantly increased their deployment in the Old City, and all areas leading to the Al-Aqsa Mosque.

    #Palestine_assassinée

  • Les États-Unis risquent de perdre leur statut de pays ayant éliminé la rougeole Afp à Washintown - 30 Mai 2019 - Le Devoir
    https://www.ledevoir.com/societe/sante/555680/les-etats-unis-risquent-de-perdre-leur-statut-de-pays-ayant-elimine-la-rou

    Le nombre de cas de rougeole aux États-Unis a atteint son plus haut niveau en 25 ans, et le pays pourrait « perdre son statut d’élimination de la rougeole » si l’épidémie se poursuivait au-delà de l’été, ont prévenu jeudi les autorités sanitaires américaines.

    Le nombre de malades depuis le début 2019 a atteint 971 jeudi, selon les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), un record depuis les 963 cas enregistrés sur toute l’année 1994.

    En 2000, la rougeole a été déclarée « éliminée » aux États-Unis, un but qui avait été fixé en 1963 avec le début de la vaccination. Ce terme correspond à l’absence de transmission continue pendant 12 mois dans une zone géographique particulière (le terme d’« éradication » correspond à une élimination sur toute la planète).


    Dans le cas présent, c’est l’épidémie persistante de la région new-yorkaise qui alarme les autorités. Elle a commencé officiellement à New York le 30 septembre 2018, et dans le comté voisin de Rockland le 1er octobre. Si elle continuait pendant encore quatre mois, selon cette convention, les États-Unis ne pourront plus dire qu’ils ont « éliminé » la maladie.

    Malgré la vaccination obligatoire décrétée par le maire de New York début avril dans les quartiers de la communauté juive les plus touchés, la ville a eu 173 cas en avril et 60 en mai.

    En pratique, les États-Unis ne sont jamais descendus à zéro cas. Depuis 2000, le nombre de cas oscillait entre quelques dizaines et quelques centaines par an, le maximum étant de 667 malades en 2014, une épidémie qui était alors concentrée pour plus de la moitié dans des communautés amish de l’Ohio (nord).

    La résurgence de foyers est principalement due à des voyageurs non-vaccinés ou sous-vaccinés contaminés à l’étranger et revenant aux États-Unis. C’est le cas depuis l’an dernier dans diverses régions des États-Unis, avec des souches importées notamment des Philippines, d’Israël et d’Ukraine.

    « Le seul moyen de mettre fin à l’épidémie est que tous les enfants et adultes qui peuvent être vaccinés le soient », a déclaré Robert Redfield, le directeur des CDC. « Je veux rassurer à nouveau les parents et leur dire que les vaccins sont sûrs, ils ne causent pas l’autisme. Le danger plus grave est la maladie que la vaccination prévient ».

    #santé #rougeole #vaccination #vaccins #vaccin #maladie #religion #ultra-orthodoxes #ultra-orthodoxe #israel #religieux #Philippines #Ukraine

  • Israel to auction prefab classrooms donated by EU to Palestinians | World news
    Oliver Holmes in Jerusalem - Fri 31 May 2019 06.00 BST - The Guardian
    https://www.theguardian.com/world/2019/may/31/israel-to-auction-prefab-classrooms-donated-by-eu-to-palestinians

    Israel’s defence ministry plans to hold an auction next week to sell two prefabricated classrooms that were donated to Palestinian schoolchildren by the EU.

    The Civil Administration, the body tasked with running the occupation, tore down and confiscated the classrooms last October. They had been intended for 49 students, in grades one to six, in Ibziq, in the northern occupied West Bank.

    An advertisement published in the Israeli newspaper Maariv said the sale would take place at Civil Administration offices in the West Bank.

    After the classrooms were dismantled, the EU mission to Jerusalem and Ramallah condemned Israeli authorities and called on them to rebuild the structures in the same place “without delay”.

    #sans_vergogne

  • Netanyahu shows off Trumps map of Israel with Golan Heights marked nice - anews
    http://www.anews.com.tr/middle-east/2019/05/31/netanyahu-shows-off-trumps-map-of-israel-with-golan-heights-marked-nice

    Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu, embroiled in political chaos after failing to assemble a governing coalition, attempted Thursday to divert public attention with his signature strategy: political theater.

    Addressing a nation bewildered by the prospect of an unprecedented second election campaign in the same year, Netanyahu brandished an official State Department map that had been updated to incorporate the long-disputed Golan Heights as part of Israel.

    He said that U.S. President Trump’s son-in-law and senior adviser Jared Kushner gifted him the map during his visit to Israel. Kushner and other architects of the administration’s Mideast peace plan are traveling the region to build momentum for the long-awaited proposal.

    #clichés_arabes #israël

  • Israel Is Using Archeology To Wage War On Muslim History – The Forward
    https://forward.com/opinion/425059/jerusalems-archaeological-sites-are-now-a-battle-ground-for-israeli

    Take for example, Khan Daraj al-‘Eyn, a 14th Century Mamluk bathhouse. Today it houses an exhibition on Jewish ancestry and an events hall. There is no sign alerting the visitor that it is a Mamluk structure, or that it was built by the governor of Damascus, Sayf al-Din Tankaz, who was responsible for some of the more impressive buildings of the time.

    Jerusalem’s history is as varied as it is long. While there is no doubt that there is a wealth of finds to excite one’s sense of Jewish continuity, there are many layers to this city which appeal to a variety of cultural and religious communities. Claiming exclusive ownership based on archaeological finds is not a reflection of archaeological discoveries but an act of #story-telling where large pieces of history are edited out.

    #occultation

  • Accord à l’amiable dans le procès de Sara Netanyahu
    Reuters29 mai 2019
    https://fr.news.yahoo.com/accord-%C3%A0-lamiable-proc%C3%A8s-sara-150814898.html

    JERUSALEM (Reuters) - L’épouse du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, soupçonnée de fraude dans une affaire de frais de bouche, a conclu un accord à l’amiable dans le cadre d’un plaider-coupable, rapporte mercredi Radio Israël.

    Sara Netanyahu a accepté de verser 45.000 shekels (11.000 euros) à l’Etat et de s’acquitter d’une amende de 10.000 shekels (2.500 euros), tout en assurant que le préjudice était moindre.

    L’acte d’accusation initial lui reprochait 90.000 euros de frais de bouche, une pratique interdite lorsqu’un cuisinier est affecté au service d’un haut fonctionnaire.

    (Jeffrey Heller, Jean-Philippe Lefief pour le service français)

  • En Israël, Netanyahou échoue à former une coalition, la Knesset dissoute
    https://www.mediapart.fr/journal/international/300519/en-israel-netanyahou-echoue-former-une-coalition-la-knesset-dissoute

    Les députés israéliens ont décidé dans la nuit de mercredi à jeudi de dissoudre le Parlement, après que le premier ministre sortant Benjamin Netanyahou a échoué à former un gouvernement de coalition dans le délai qui lui était imparti.

    #PROCHE-ORIENT #Alain_Dieckhoff,_Benjamin_Netanyahou,_Benny_Gantz,_Likoud,_travaillisme_israélien,_Joan_Deas,_Israël

  • Le “piège” métaphysique de Bolton
    https://www.dedefensa.org/article/le-piege-metaphysique-de-bolton

    Le “piège” métaphysique de Bolton

    Que signifie la possible “guerre” USA-Iran ? Ou bien doit-on dire USA + Israël contre l’Iran ? Ou bien Israël seul, etc. Il semble, selon Alastair Crooke, que nous consultons régulièrement, qu’il faille parler plutôt d’un “conflit métaphysique” sinon “théologique”. Ainsi, quinze ans plus tard, cette fois avec beaucoup plus de pions dans les bonnes positions, avec une situation suffisamment détériorée pour faire appel aux notions de métaphysiques contre une raison défaillante, trouvons-nous “ranimé” l’argument des évangélistes américains tenant une position officiellement désignée comme Sionistes-Chrétiens, alliés d’Israël selon une vision directement théologique, dans une quête qui passerait pour ce qui estdes événements terrestres par un affrontement avec l’Iran…

    (On se rappelle (...)

  • Guerre à l’Iran : la solitude de Trump
    https://www.mediapart.fr/journal/international/290519/guerre-l-iran-la-solitude-de-trump

    Pour briser le régime iranien dont les ambitions régionales sont jugées dangereuses par ses voisins, alliés des États-Unis, le président américain menace Téhéran de sanctions renforcées et d’une intervention militaire. Mais nombre de pays, estimant cette attitude irresponsable, ou redoutant comme Israël un embrasement du Proche-Orient, l’appellent à la retenue.

    #Etats-Unis #Iran,_Netanyahou,_guerre,_Rohani,_trump

  • Chagos : l’ONU somme Londres de rendre l’archipel de l’océan Indien à l’île Maurice
    https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/maurice/chagos-l-onu-somme-londres-de-rendre-l-archipel-de-l-ocean-indien-a-l-i


    Au milieu de l’océan Indien, Diego Garcia, la plus grande des îles de l’archipel des Chagos, est devenue en 1966 une base militaire conjointe britannique et américaine d’importance, au détriment des habitants.
    STRINGER . / X80002

    Les Chagos se trouvent au cœur d’un litige vieux de cinq décennies, depuis la décision britannique de séparer en 1965 cet archipel de l’île Maurice et d’y installer une base militaire commune avec les Etats-Unis sur l’île principale de Diego Garcia.

    Cinglant revers pour le Royaume-Uni. Le 22 mai 2019, à l’Assemblée générale de l’ONU, une majorité de pays lui a demandé de rétrocéder l’archipel des Chagos à l’île Maurice, d’ici au mois de novembre. L’ensemble, constitué de 55 îles, abrite une base conjointe britannique et américaine, stratégique.

    Initiée par les autorités mauriciennes de Port-Louis, une résolution de rétrocession, non contraignante, mais à forte valeur politique, a été adoptée par 116 pays, six s’exprimant contre, dont le Royaume-Uni, les Etats-Unis, l’Australie et la Hongrie. Cinquante-six Etats ont choisi l’abstention. Les pays africains ont, en revanche, voté massivement en faveur de la résolution.

  • Libya : Flight data places mysterious planes in Haftar territory | News | Al Jazeera
    https://www.aljazeera.com/news/2019/05/libya-flight-data-places-mysterious-planes-haftar-territory-1905272058198

    Satellite images and flight data show two Russian-made Ilyushin 76 aircraft registered to a joint Emirati-Kazakh company called Reem Travel made several trips between Egypt, Israel, and Jordan before landing at military bases controlled by Haftar’s Libyan National Army (LNA) in early April, just as it attempted to seize the capital.

    Flight transponders appear to have been turned off while flying into the war-torn North African country. Libya is currently under an arms embargo imposed by the United Nations after years of fighting.

    Video published by Haftar’s forces shows one of the cargo planes - with the registration number UP-I7645 - after landing at LNA’s Tamanhant military base in southern Libya. It had taken off from Benghazi in the east, Haftar’s stronghold.

    Sans surprise, la version arabe met l’accent sur la collaboration avec Israël : https://www.aljazeera.net/news/politics/2019/5/27/%D8%AD%D9%81%D8%AA%D8%B1-%D8%AA%D8%AD%D9%82%D9%8A%D9%82-%D8%B7%D8%A7%D8%A

    #libye #mercenaires

  • « L’archéologie évangélique soutient l’occupation israélienne » en Cisjordanie - Wilson FACHE à Jérusalem et Salomé PARENT à Tel Shiloh - L’Orient-Le Jour
    https://www.lorientlejour.com/article/1172376/-larcheologie-evangelique-soutient-loccupation-israelienne-en-cisjord
    https://s.olj.me/storage/attachments/1173/150324_938945.jpg/r/800

    ❝Des archéologues évangéliques ont fait des territoires palestiniens leur terrain de jeu pour retrouver les traces de prétendus sites bibliques. Leur but : démontrer l’authenticité de leur vision messianique du christianisme, avec pour conséquence de légitimer l’occupation militaire israélienne.
    Wilson FACHE à Jérusalem et Salomé PARENT à Tel Shiloh | OLJ
    28/05/2019

    Une journée de fouilles archéologiques commence toujours par une lecture de la Bible. « Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais aura la lumière de la vie », répète le groupe de vingt chrétiens évangéliques, en majorité américains. Il est à peine cinq heures du matin à Jérusalem, l’heure pour les Associates for Biblical Research de monter à bord d’un bus en direction de Tel Shiloh, en Cisjordanie. C’est là, disent-ils, que le tabernacle originel – la tente qui abritait l’arche d’alliance à l’époque de Moïse – aurait reposé pendant près de quatre siècles.

    Le site est baigné dans une douce lumière matinale. Le visage couvert d’un chapeau de cow-boy beige et de lunettes de soleil, le Dr Scott Stripling, chef d’équipe, affiche un sourire éclatant. S’il correspond à l’image hollywoodienne surannée d’un archéologue, son travail est pourtant loin d’être conventionnel. Fiers évangéliques, ce Texan et son équipe estiment que la Bible doit être lue littéralement et peut servir de manuel à leurs recherches archéologiques.

    « La Bible est-elle un document historique fiable ? J’ai des confrères israéliens qui ne sont pas d’accord, mais moi je pense que oui », explique-t-il, parlant de « préjugés » contre l’Ancien Testament qui, selon lui, n’a pas moins de valeur historique que les textes de l’Égypte ancienne ou de Mésopotamie. « Je ne me balade pas avec une Bible dans une main et une pioche dans l’autre, se justifie Scott Stripling. Je suis religieux, mais ça ne signifie pas que je suis biaisé. Je suis capable de compartimenter. » C’est la troisième année de fouilles dans la colonie de Tel Shiloh, située dans la zone C de la Cisjordanie, soumise à un contrôle israélien total, et M. Stripling espère trouver de nouveaux indices qui pourront confirmer que le mythique tabernacle a bien un jour reposé ici. L’année dernière, ils avaient déjà découvert une grenade en céramique, un fruit symboliquement associé au sanctuaire sacré. Emeline et Perry Ginhart, un couple d’Américains fraîchement mariés, espèrent faire d’autres découvertes qui les aideront à soutenir l’authenticité de leur vision messianique du christianisme. Sous le soleil brûlant, le couple passe sa lune de miel à examiner le parterre dont il est en charge. « En aidant Israël, nous aidons notre cause. Notre Créateur nous a donné ces terres pour que nous en prenions soin », se félicite M. Ginhart.

    Une relation interreligieuse opportuniste
    « Je vois souvent des Américains idiots qui payent des fortunes pour venir grattouiller la terre. C’est tout simplement de l’archéologie confessionnelle. C’est ça le mot-clef. Et dès lors qu’elle est confessionnelle, elle s’éloigne de l’orbite de la science », assène amer un archéologue européen actif au Proche-Orient. « Les évangéliques et l’archéologie, ce sont des contes de Perrault. Ça n’a aucun sens. Il faut que l’armée israélienne arrête le massacre archéologique dans les territoires », implore ce spécialiste, qui souhaite rester anonyme.

    Les pièces déterrées à Tel Shiloh sont ramenées chaque jour à Jérusalem, avant d’être analysées en collaboration avec l’agence gouvernementale chargée du patrimoine dans un processus pour le moins opaque. À la mi-mai, la Cour suprême a statué qu’Israël n’était pas obligé de divulguer des informations sur les fouilles archéologiques menées en Cisjordanie, rejetant un appel de deux organisations non gouvernementales. Depuis la convention de La Haye de 1954, il est pourtant interdit de fouiller dans un territoire occupé, sauf en cas de menace sur le patrimoine. Un argument régulièrement utilisé par Scott Stripling pour justifier ses travaux. « Tout ce que nous trouvons est stocké en Israël, et si une solution politique au conflit est trouvée, les responsables du territoire auront alors accès aux objets. Mais je serai mort avant que ça n’arrive », dit-il en riant.

    Leah Tramer, l’une des rares Israéliennes de l’équipe, collabore régulièrement avec les évangéliques américains qui viennent creuser dans la région et pour qui la « Judée et Samarie » – le nom biblique de la Cisjordanie – est une extension naturelle de l’État d’Israël. « C’est merveilleux que des chrétiens nous aident à redécouvrir notre passé », se réjouit cette assistante à l’Université d’Ariel, située dans une grande colonie. La relation interreligieuse qui existe entre certains juifs israéliens et des « chrétiens sionistes » est parfois qualifiée par ses critiques d’opportuniste. Un sous-ensemble de la communauté évangélique étant convaincu de la signification biblique du retour des juifs sur la terre de leurs ancêtres, préambule prophétique indispensable au retour du Messie et à la fin des temps, tandis que les Israéliens sont à la recherche d’alliés pour légitimer leur occupation militaire vieille d’un demi-siècle.

    L’archéologie comme outil politique
    S’il ne fait aucun doute que les juifs ont un lien historique avec la Cisjordanie, c’est la façon dont les découvertes archéologiques sont instrumentalisées pour éclairer le patrimoine d’un peuple plutôt qu’un autre pour des raisons politiques et idéologiques qui est source de controverse. « Israël utilise l’archéologie comme outil politique à Jérusalem-Est et en Cisjordanie pour tenter de justifier sa présence. Cela explique pourquoi ils travaillent avec des évangéliques, qui soutiennent le même récit », analyse Yonathan Mizrachi, directeur de l’ONG israélienne Emek Shaveh, l’une des deux organisations signataires de la pétition déboutée par la Cour suprême. « Les évangéliques ne font pas de la recherche pour le bénéfice de la communauté locale, mais pour leur propre bénéfice et pour soutenir l’occupation, » assène-t-il.

    En 2013, Scott Stripling avait trouvé à Khirbet el-Maqatir des restes humains qu’il estimait être des juifs tués pendant la grande révolte contre Rome il y a environ 2 000 ans. Il les a ensuite remis à la colonie d’Ofra, qui les a enterrés en secret en 2017. « L’inhumation a servi de symbole pour les résidents, selon lesquels la colonie – illégale en vertu du droit international – n’est en fait qu’une continuation de l’ancienne implantation juive historique sur cette terre », estime Michael Press, un expert en archéologie en Israël et dans les territoires palestiniens. « Le fait que les résultats de ces fouilles servent à renforcer le contrôle israélien sur la Cisjordanie est très dommageable. Mais il n’y a pas d’institution pour faire respecter le droit international et personne ne veut exercer de pression, donc rien ne changera. »

    De nombreux autres sites à travers les territoires occupés ont soulevé la controverse, comme la « cité de David », un complexe archéologico-touristique censé être, selon les références bibliques, l’emplacement d’origine de Jérusalem à l’époque du roi David, il y a 3 000 ans. Depuis son exploitation, ce site n’aura de cesse d’alimenter les polémiques en raison de son emplacement en plein cœur du quartier palestinien de Silwan, à Jérusalem-Est. Surtout, le site est administré par une organisation privée controversée, Elad, à l’objectif explicite : « la revitalisation résidentielle », un euphémisme qui désigne une politique assumée de colonisation avec l’implantation de familles juives israéliennes dans le quartier.

    « Jamais plus important que les gens qui vivent à la surface »
    D’après la population palestinienne locale, les fouilles archéologiques menées en sous-sol ont sévèrement endommagé une quinzaine d’habitations. Mazen Aweida, 48 ans, montre d’un geste las les fissures épaisses qui courent le long des murs de sa maison. L’évier de la cuisine est à moitié effondré, et le sol de la chambre est tellement gondolé qu’il semble près d’exploser. « J’ai des enfants en bas âge, et j’ai peur que des débris ne tombent sur eux. Ça me stresse énormément. J’ai toujours peur que mon fils soit blessé », murmure ce père de sept enfants en jetant un regard vers son petit garçon, assis à côté d’une cicatrice béante qui file du sol au plafond. « La seule option, c’est qu’ils trouvent une solution pour stopper la dégradation. En tout cas, je ne partirai pas, même si la maison s’effondre sur nous, » prévient Mazen Aweida.

    Question de principe : certains résidents estiment aujourd’hui que les fouilles archéologiques font partie d’une stratégie visant à chasser les habitants palestiniens pour prendre le contrôle de leurs terrains. Contactée à plusieurs reprises, la direction d’Elad n’a pas donné suite à nos demandes d’interview. Elle avait par le passé déjà balayé ces allégations d’un revers de la main, niant toute forme de responsabilité dans la détérioration de maisons palestiniennes. « Ils ont le droit de rechercher des vestiges de leur histoire – si tant est que de tels vestiges existent bien à cet endroit, estime Sahar Abassi, coordinatrice dans un centre social de Silwan. Mais quoi qu’ils trouvent dans le sous-sol, ce ne sera jamais plus important que les gens qui vivent à la surface. »

    À 13h tapantes, le son d’un chofar, un cor traditionnel juif, résonne à travers les collines rocheuses de Tel Shiloh pour marquer la fin de la journée. Les participants seront de retour à l’aube à la recherche du tabernacle, bien qu’ils n’aient encore rien trouvé de concluant. Peu importe. « L’absence de preuve, prévient M. Stripling, n’est pas la preuve d’une absence. »

    #archéologie #palestine

  • Long article dans la presse israélienne sur Lea Tsemel, la seule avocate juive à défendre les Palestiniens, à l’occasion d’un documentaire réalisé sur elle qui sort bientôt (pas encore de date en France alors qu’il sort partout ailleurs !) :

    The Israeli Lawyer Who Defends the Most Violent Fighters Against the Occupation
    Ravit Hecht, Haaretz, le 25 mai 2019
    https://www.haaretz.com/israel-news/.premium.MAGAZINE-the-israeli-lawyer-who-defends-the-most-violent-fighters-

    Voir aussi :
    https://seenthis.net/messages/171835
    https://seenthis.net/messages/344801
    https://seenthis.net/messages/676993
    https://seenthis.net/messages/678658
    https://seenthis.net/messages/758607

    #Palestine #Lea_Tsemel #Avocate

    • Après avoir fait le tour du monde depuis un an, voici qu’enfin une salle parisienne accepte de diffuser ce film :

      Le 16 avril à 20h au CENTQUATRE-PARIS (5 rue Curial, P19) : Projection de « Lea Tsemel, avocate (ADVOCATE) », un film de Rachel Leah Jones et Philippe Bellaïche (CANADA/ISRAËL/SUISSE | 2019 | DOCUMENTAIRE | 108 MINUTES). Gratuit, mais je vous conseille de réserver :
      https://billetterie.104.fr/selection/event/date?productId=101530036393

      Lea Tsemel défend les Palestinien.nes : des féministes aux fondamentalistes, des manifestant.es non violent.es aux militant.es armé.es. En tant qu’avocate juive israélienne qui représente des prisonnier.es politiques depuis cinq décennies, Tsemel, dans sa quête inlassable de justice, repousse sans cesse les limites de la pratique de la défense des droits humains. Pour la plupart des Israélien.nes, elle défend l’indéfendable. En ce qui concerne les Palestinien.nes, elle est plus qu’une avocate, elle est une alliée.