country:mexique

  • Grande promo : faites chier les Mayas ! - ★ Les chiens noirs du Mexique ★
    http://brols.mardyck.org/post/2012/12/20/promo
    En fait, je suis ravie d’avoir retrouvé Mr Le Chieur au détour d’un billet de La Bouseuse (Oui, je sais, on a les affinités qu’on peut !). On dirait bien que les bons blogs ne sont pas mort, ils renaissent de leurs cendres comme l’a fait @grosse_fatigue en son temps. Et un petit coup de pub pour son agenda qui va me faire un bon cadeau pour les fêtes !

    Ô, lecteurtrice adoré(e), toi qui mords la vie à pleines dents en te jouant des conformismes (et en braillant nuitamment des chansons cochonnes pour effrayer le centriste assoupi), réjouis-toi ! Car voici que Les chiens noirs du Mexique t’offrent une belle occasion de faire chier les Mayas, mais aussi les amateurs de fadaises apocalyptiques qui se terrent dans leur abri antiatomique : il te suffit d’acquérir un objet que les premiers n’ont pas été foutus d’inventer et qui rappellera aux seconds combien ils auront l’air con, le 22 au matin, avec leurs provisions de bouffe pour dix ans.

  • [Qui sont les véritables Éco-Terroristes ?] Will the Real Eco-Terrorists Please Stand Up ? http://saltyeggs.com/will-the-real-eco-terrorists-please-stand-up

    Quel était le crime de cette « éco-terroristes » ? A elle construit des plates-formes pétrolières de mauvaise qualité, réduisant les coûts dans le but de faire plus de profit, engendrant la mort de 11 travailleurs sur place et de millions d’autres êtres vivants dans le golfe du Mexique ? [...]
    Ceux qui dominent imposent leurs définitions des termes et des concepts aux dominés. Au point de se renverser en leur contraire. Abattage d’arbres signifie construction. Défrichement des terres : développement. Le « Droit de travailler » signifie le « droit de détruire ». [...]. Et les éco-terroristes ne sont pas ceux qui détruisent la planète, mais ceux qui tentent de les arrêter !

    • Un reportage qui raconte des arrière plans.

      How Rebecca Rubin Became a « Most Wanted » Woman
      The Accidental Terrorist
      by PETRA BARTOSIEWICZ
      http://www.counterpunch.org/2011/01/14/the-accidental-terrorist

      The only known photograph of Rebecca Rubin is a headshot that looks like it was taken for her driver’s license. She’s wearing a plain gray sweatshirt, her long brown hair is unkempt, and her expression is careworn. But splashed across thousands of ‘Wanted’ posters across the country, her face aligned next to those of serial murderers and bank robbers, the headshot sends a message that she is someone to be frightened of. This, though Rubin ? aliases “Kara” and “Little Missy” ? has never harmed a soul.

  • Alerte ! Avalanche transgénique au Mexique
    http://www.grain.org/article/entries/4624-alerte-avalanche-transgenique-au-mexique

    un topo complet sur l’entrée en force des #OGM au #Mexique

    En septembre dernier, Monsanto a présenté les deux premières demandes de permis de plantation commerciale de 700 000 hectares de maïs dans le Sinaloa ; quelques semaines plus tard, Pioneer Hi-Bred International a présenté trois demandes de permis pour la plantation commerciale de 320 000 hectares dans le Tamaulipas.

    En général, on plante dans le Sinaloa 300 000 hectares irriguées avec du maïs, mais Monsanto a demandé qu’on lui en approuve 700 000 pour le présent cycle automne-hiver. En décembre prochain, Monsanto prétend semer du maïs transgénique sur la totalité des hectares irrigués existants dans le Sinaloa (...)

  • CherryPepper - Depuis le Mexique, soutien à Notre-Dame-des-Landes
    http://cherrypepper.eu/index.php/fr/actionsfr/2272-depuis-le-mexique-soutien-a-notre-dame-des-landes

    Une zone agricole est menacée par le gouvernement socialiste français et son premier ministre Jean-Marc Ayrault, qui veut imposer sur ces champs de l’ouest de la France un nouvel aéroport de taille internationale, et ce malgré l’opposition des paysans et des paysannes, des jeunes et d’une bonne partie de la population. Nous savons que ce chantier est complètement inutile vu qu’il y a déjà beaucoup d’aéroports en France, et nous sommes au courant du réchauffement climatique global provoqué par la multiplication des avions que seuls les riches peuvent se payer.

    Nous savons aussi, car ils voulaient l’imposer aux villages d’Atenco dans l’État de Mexico, que la construction d’un aéroport entraîne à elle seule la convoitise pour les terres, l’urbanisation accélérée et l’implantation d’industries dans des zones encore rurales, où l’environnement a été préservé. Ce que ces projets amènent, c’est la division et le contrôle social de la population, et encore une fois ce sont les paysans qui se retrouvent spoliés par des constructions imposées de force et uniquement destinées aux gens de la ville ayant beaucoup d’argent.

  • Mexique : le berceau du maïs bientôt recouvert d’OGM ? - Alimentation - Basta !
    http://www.bastamag.net/article2780.html

    Des tortillas à base de maïs OGM, c’est ce que tentent d’obtenir les multinationales Monsanto et Pioneer au Mexique. Elles ont demandé au gouvernement l’autorisation de semer 2,4 millions d’hectares de maïs transgénique à l’Ouest et au Nord du Mexique. Soit une surface aussi grande que le Luxembourg !

  • La folie au centre de la diversité du maïs
    http://www.grain.org/fr/article/entries/4616-diaporama-qui-est-derriere-l-accaparement-des-terres

    D’ici dix jours, le gouvernement du Mexique pourrait approuver une demande d’ensemencer 2,4 million d’hectares avec du maïs transgénique par des géants de l’ágrobusiness mondial tels que Monsanto, DuPont et Dow. Des mouvements sociaux et organisations du Mexique demandent votre appui pour bloquer cette attaque complètement irresponsable contre le centre d’origine de cette culture. Cliquez ici pour lire leur appel. Si vous voulez vous adhérer à cette lettre, envoyez un message de soutien avec le nom de votre organisation et votre pays à <miriam.boyer@yahoo.de>.

  • 20 novembre 1910 : début de la #Révolution mexicaine (#PanchoVilla et #Zapata) 1) http://www.lutte-ouvriere.org/documents/archives/la-revue-lutte-de-classe/serie-1960-1963/article/tierra-y-libertad
    + 2) http://www.lutte-ouvriere.org/documents/archives/la-revue-lutte-de-classe/serie-1960-1963/article/tierra-y-libertad-ii-la-terre#histoire

    Lorsque, en 1910, éclata la Conspiration dite de Madero, le #Mexique connaissait depuis 37 ans une dictature qualifiée par les uns de « paternelle », par les autres de « tyrannique », selon que les observateurs faisaient partie des classes privilégiées ou des classes pauvres. Mais sans doute rien ne peut-il mieux illustrer cette dictature que la règle d’action adoptée par Porfirio #Diaz, le tout-puissant président, et qui fut reprise plus tard par un successeur un peu mieux averti cependant des réalités de la #dictature moderne : « Il vaut mieux verser un peu de mauvais sang pour épargner celui des honnêtes gens ».
    Les « honnêtes gens » sont ceux que représentent Don Porfirio, et « Carmelita », « comme l’appelle ce peuple qui l’aime tant » (selon Madame Meloizes-Lefaivre, épouse du représentant diplomatique de la France auprès du Mexique), en leur résidence de Chapultepec.
    Le mauvais sang, c’est celui des « peones », c’est-à-dire celui des ouvriers qui travaillent sur les « haciendas », dans les « monterias » ou dans les « cafetales » des maîtres...

  • PRESIDENTIELLE AMERICAINE • Un vote pas si démocratique | Courrier international
    http://www.courrierinternational.com/article/2012/11/07/un-vote-pas-si-democratique

    Le système électoral états-unien comporte de nombreux dysfonctionnements. Même au Mexique on ne l’envie pas, affirme cet éditorialiste mexicain qui se demande s’il est nécessaire de féliciter « la démocratie la plus vénérée du monde » ?

    La démocratie étasunienne comporte d’énormes failles, beaucoup plus qu’en France. Et le vote électronique (fournis par des entreprises privées) n’arrange rien.
    #USA #Démocratie #Obama #Romney #Vote_électronique

  • #Murs, capteurs et #drones entre Mexique et États-Unis | Penser l’espace
    http://www.penserlespace.com/etudes-de-cas/murs-capteurs-et-drones-entre-mexique-et-etats-unis

    Qu’entendons-nous par « mur » ? C’est un « système de systèmes » car un mur seul ne sert strictement à rien. Mais c’est également cela qui rend couteux son maintien soit son entretien : caméras de vidéosurveillance, capteurs, patrouilles, accessoires des agents, hélicoptères, drones, etc. Souvent ce que l’on entend par l’idée de mur c’est un ensemble de composants. On trouve généralement deux barrières assez hautes entourées de fossés et de talus constitués de fils de fer barbelés ; au milieu se situe une route afin de faciliter les interventions de la police des frontières. Le mur constitue donc une zone tampon déterminée.

    #surveillance #frontières #mexique #etats-unis

  • Nous sommes la crise du capitalisme et nous devrions en être fiers
    http://cqfd-journal.org/Nous-sommes-la-crise-du

    Il avait mis à mal les dogmes de gauche dans son livre Changer le monde sans prendre le pouvoir, le sens de la révolution aujourd’hui (Syllepse-Lux, 2008) et ne s’était pas fait que des amis parmi les représentants des partis d’extrême gauche et les militants professionnels. Aujourd’hui, John Holloway revient avec Crack Capitalism, 33 thèses contre le capital (Libertalia, 2012). On y gamberge dur, on y lit qu’il n’y a pas de petite révolte, que le capitalisme n’est pas qu’une forme d’organisation économique, que le temps de l’horloge ou l’identification de genre sont des formes propres à la dynamique capitaliste, que la fin de ce système c’est ici et maintenant. Discussion avec un Irlandais installé au Mexique, chercheur erroriste sans chapelle qui, en pensant le monde à l’envers, remet les idées à l’endroit.

    • http://editionslibertalia.com/Crack-Capitalism.html

      « La révolution ne consiste pas à détruire le capitalisme mais à refuser de le fabriquer. La présenter comme la destruction du capitalisme, c’est partir perdant, c’est ériger un grand monstre en face de nous, si terrifiant que, soit nous renonçons par désespoir, soit nous en concluons que notre seule façon de tuer le monstre est de construire un grand parti avec des dirigeants héroïques qui se sacrifient (et tous ceux autour d’eux) au nom de la révolution. Nous partons à nouveau perdants, cette fois en élaborant une grande fable d’héroïsme, de direction, de sacrifice, d’autorité et de patience, une fable peuplée de saints – Lénine, Trotski, Rosa, Mao, le Che, Marcos ou qui vous voudrez – qui reproduit ce que nous voulons détruire. »

  • Plus d’une prison sur deux est contrôlée par le crime organisé au Mexique
    http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2012/09/25/plus-d-une-prison-sur-deux-est-controlee-par-le-crime-organise-au-mexique_17

    Près de 60 % des prisons mexicaines sont sous le contrôle du crime organisé, a estimé lundi 24 septembre la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH), organisme public autonome, lors de la présentation d’un rapport sur la situation dans une centaine de prisons.

    #prison #mexique #narcos

  • La crise syrienne au prisme latino-américain | Janaina Herrera (Les carnets de l’Ifpo)
    http://ifpo.hypotheses.org/4144

    De mars 2011 à septembre 2012, les positions des gouvernements latino-américains ont oscillé entre franche hostilité à l’égard des rebelles syriens et attachement à une solution négociée avec le régime. Rares sont ceux, tels le Chili ou le Mexique, qui ont clairement condamné les exactions du régime syrien. Comment expliquer que les nations latino-américaines, qui ont pour la plupart subi des décennies de dictatures militaires, ne montrent pas davantage d’enthousiasme et d’empathie vis-à-vis de la révolution syrienne ? (...) Source : Les carnets de l’Ifpo

  • La crise syrienne au prisme latino-américain (Venezuela, Brésil et Argentine) | Les carnets de l’Ifpo
    http://ifpo.hypotheses.org/4144

    De mars 2011 à septembre 2012, les positions des gouvernements latino-américains ont oscillé entre franche hostilité à l’égard des rebelles syriens et attachement à une solution négociée avec le régime. Rares sont ceux, tels le Chili ou le Mexique, qui ont clairement condamné les exactions du régime syrien.

    Comment expliquer que les nations latino-américaines, qui ont pour la plupart subi des décennies de dictatures militaires, ne montrent pas davantage d’enthousiasme et d’empathie vis-à-vis de la révolution syrienne ?

    Nous proposons d’analyser les positions de la diaspora syro-libanaise au Venezuela, au Brésil et en Argentine et de revenir sur la tournée du président Bachar al-Assad en Amérique latine (juin 2010) comme temps fort du rapprochement latino-syrien

    • Intéressant, mais l’article comporte un biais certain.

      Il analyse les positions des pays d’Amérique latine qui ne sont pas alignés sur Washington sur la crise syrienne, pays dont les positions sont pourtant assez diverses, comme toutes fondées sur de mauvaises raisons et, en tout cas, déterminés par des facteurs extérieurs à la connaissance de la réalité supposée de cette crise par les équipes dirigeantes : poids de la diaspora libano-syrienne, méconnaissance des réalités du régime, liens anciens et alliances avec Damas, anti-impérialisme de gauche excessif, ...

      Cependant que l’article occulte trois faits, ou au moins refuse d’envisager trois hypothèses :
      – l’hypothèse que ces positions peuvent aussi avoir à faire avec le refus de principe du droit d’ingérence (au moins pour le Brésil de Roussef), et ce dans un contexte qui a vu récemment deux gouvernements démocratiques (au Honduras et au Paraguay) renversés par des coups d’Etat constitutionnels manifestement soutenus par Washington.
      – l’explication du fait que les deux seuls pays d’Amérique latine a avoir condamné sans nuance al-Assad et soutenu les initiatives américaines en Syrie - positions qui traduiraient de l’empathie pour la révolution syrienne, selon l’article - sont justement les deux seuls pays d’importance dont les élites politiques sont alignées sur Washington, non seulement sur ce sujet, mais sur la plupart des autres : le Chili et le Mexique - je ne sais qu’elle est la position de la Colombie sur ce sujet, mais je la devine... Du coup que l’article n’évoque pas comme hypothèse explicative des positions du Chili et du Mexique, à côté de l’"empathie", les liens de ces deux pays avec Washington me semble être une sérieuse lacune !
      – l’hypothèse selon laquelle la position assez extrême de Chavez, la plus favorable au régime de Damas, pourrait aussi avoir à voir avec les deux tentatives de renversement qu’il a subies dont la première, en 2002, à la suite d’une sorte de révolution colorée d’inspiration américaine et à habillage idéologique démocratique ; évènements dont on peut supposer qu’ils pourraient avoir logiquement généré une sorte de méfiance chez Chavez contre toute révolte de ce type là quand elle est soutenue et qu’elle semble concorder avec les intérêts américains.

  • Christiania : micro-société subversive ou « hippieland » ?
    http://www.scribd.com/doc/106238283/Christiania-micro-societe-subversive-ou-%C2%AB-hippieland-%C2%BB #PAZ #ZAP #Christiana #Danemark #autogestion #squat #société #copenhague #ville

    Christiania semble pouvoir être qualifiée de zone autonome permanente, selon la définition d’Hakim Bey, écrivain américain qui est principalement connu pour ses théories des zones autonomes. Auto-proclamée « ville libre », le quartier de Christiania s’auto-organise selon des principes de démocratie directe et offre un contraste saisissant avec le reste de la ville,bien plus commun aux grandes villes traditionnelles.

    Bien qu’il existe ou ait existé d’autres expériences de « zones autonomes permanentes » à travers le monde, Christiania parait toutefois atypique. A la différence des villages autogérés du Chiapas et d’Oaxaca au Mexique, fruits d’une lutte armée entamée par une partie de la population qui s’est élevée face aux autorités, Christiania a été conquis de manière pacifique, face à la quasi-indifférence des autorités en 1971. Sa particularité provient aussi de sa situation géographique :en plein centre-ville d’une capitale européenne, à un kilomètre à peine du parlement s’érige donc, une zone auto-proclamée « ville libre » (« freetown »), en opposition et en décalage total avec l’image de la métropole. Les quarante ans de la « ville libre de Christiania » (« Fristaden Christiania » en danois) furent célébrés par une semaine entière de festivités à partir du 26septembre 2011.

    Tout cela implique une série de questionnement concernant les relations entre l’Etat, et les différentes institutions compétentes, en résumé « le pouvoir », et Christiania, ainsi que sur la portée contestatrice d’une telle « ville libre » après quarante ans d’existence

  • États-Unis : les immigrants mexicains rentrent chez eux (Réseau Education Sans Frontières - La Presse)
    http://www.educationsansfrontieres.org/article44636.html
    En fait, les migrations ont toujours suivi la prospérité : devenez un pays pauvre et vous n’aurez plus de problèmes d’immigration !

    « Les gens réalisent que le coût de la vie est cher aux États-Unis, explique M. Beaver. Du côté mexicain, vous pouvez louer une maison pour 200 $ par mois ou moins. Ici, c’est au moins le triple. »

    Jessica Herrera n’a pas la nationalité mexicaine, mais elle s’apprête à commencer un nouveau travail au Mexique.

    « Un hôtel à Mexicali m’offre 600 $ par mois pour travailler comme réceptionniste, dit-elle, debout à l’ombre d’un chêne devant la maison familiale, à Calexico. C’est un bon salaire pour le Mexique. Ils cherchent des gens qui parlent l’espagnol et l’anglais, ce n’est pas facile à trouver là-bas. »

    Du côté mexicain, louer une petite maison coûte 100 $ par mois, indique-t-elle. Et la facture d’électricité oscille autour de 12 $. »

  • Châteaux, chapeaux, narcos | Xavier Lapeyroux
    http://www.monde-diplomatique.fr/2012/09/LAPEYROUX/48122

    Un roi, un jardin luxuriant, un zoo, des gardes et des servantes, des lapins, des chapeaux : l’histoire commence comme un conte au pays des merveilles, hors du monde et du temps, et va pourtant donner à voir et à comprendre l’envers du #Mexique. Tochtli, le jeune narrateur, vit sous haute (...) / Mexique, Criminalité, #Politique, #Corruption - 2012/09

    #Criminalité #2012/09

  • #Mexique, terre de combats | Franck Gaudichaud
    http://www.monde-diplomatique.fr/2012/08/GAUDICHAUD/48049

    La terre qui vit naître la première grande révolution du XXe siècle évoque aujourd’hui davantage les cartels de la drogue que l’émancipation sociale , mais le bref essai de l’historien James D. Cockcroft consacré au Mexique permet de resituer l’histoire du pays dans le temps long . L’auteur, un marxiste (...) / Mexique, #Histoire, #Amérindiens, Mouvement de contestation, Parti politique, #Politique, #Syndicalisme - 2012/08

    #Mouvement_de_contestation #Parti_politique #2012/08

  • Entre Mexique et Etats-Unis, une frontière inutile ?

    Article signalé par Elisabeth Vallet au Canada

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20120816trib000714707/reportage-sur-une-frontiere-americano-mexicaine-entrave-au-developpement-e

    Reportage sur une frontière américano-mexicaine, entrave au développement économique

    Isabelle Boucq, à San Diego | 16/08/2012

    Le long de cette frontière, la plus longue entre un pays développé et un pays en voie de développement avec près de 3 200 kilomètres, 10 000 immigrants sont morts depuis 1994, le plus souvent de soif ou par noyade. En parallèle, les échanges entre les deux pays ont atteint 460 milliards de dollars en 2011 (373 milliards d’euros).

    « Les Etats-Unis n’ont jamais accepté que voler la moitié du Mexique en 1846 était mal. Les commentateurs conservateurs véhiculent une image des Mexicains comme des sous-humains », s’insurge Enrique Morones, le fondateur de Border Angels. Depuis 1986, son association apporte une aide humanitaire à ceux qui traversent la frontière dans des conditions dangereuses, par exemple en déposant de l’eau et de la nourriture dans le désert. Elle milite aussi pour une réforme de la politique d’immigration et la légalisation des 11 millions de sans-papiers aux Etats-Unis.

    #frontières #murs #etats-unis #mexique #économie #migrations #asile

    • La tech contre-clandestins israelienne utilisée par les Etats-Unis à la frontière mexicaine
      06/08/2012
      (...) Récemment, les Etats-Unis ont fait appel à la compagnie israélienne Elta, filiale d’Israël Aerospace Industries (IAI), afin qu’elle installe des systèmes de un radar unique, conçu pour empêcher l’immigration clandestine et le trafic de drogue qui passe à travers sa frontière sud.

      Pour assurer cette mission, le gouvernement américain a dépensé des millions de dollars afin de s’offrir le dernier petit bijou de la société israélienne (IAI), le radar ELM-2112. (...)

      http://siliconwadi.fr/4503/un-radar-made-in-israel-entre-les-etats-unis-et-le-mexique

  • Criminalité : Google abat ses cartes contre les cartels- Ecrans
    http://www.ecrans.fr/Google-abat-ses-cartes-contre-les,15056.html?var_mode=calcul

    Pour mieux comprendre comment fonctionne le marché parallèle de la drogue, le patron de Google Ideas, Jared Cohen et celui de Google Inc., Eric Schmidt se sont récemment rendus au Mexique pour rencontrer les dirigeants et les fonctionnaires qui y combattent les narcotrafiquants. « Défaits, impuissants, ils ont été tellement endurcis dans leur expérience avec les cartels qu’ils ont perdu la bataille et qu’ils ont perdu espoir, a commenté Eric Schmidt durant la conférence. « La technologie est la solution. »

    Non mais WTF ? C’est vraiment n’importe quoi.

  • L’anarchisme latino-américain, la littérature et les arts, ou comment rendre populaire la culture savante et savante la culture populaire
    http://amerika.revues.org/2889

    Disons d’emblée que notre objectif se limite ici à proposer un aperçu général du statut de la culture et des pratiques artistiques dans les mouvements anarchistes en Amérique latine à la charnière des xixème et xxème siècles. Peut-être convient-il de préciser, tout d’abord, que l’anarchisme émerge vers 1870 au Mexique et à Cuba, autour de 1880 dans le Río de la Plata, et se développe jusqu’aux années vingt, tandis qu’il est plus tardif dans les pays andins, tels le Pérou et le Chili, où il couvre la période 1900-1930. Partout, les anarchistes ont cherché à concurrencer les sources de production et de diffusion des biens symboliques et des discours de légitimation de la culture bourgeoise dominante, afin de cimenter une identité collective des milieux populaires et de leur insuffler une conscience révolutionnaire sur la base d’une culture de classe (principes, idées, imaginaires, traditions, codes, rituels, etc.). Nous nous interrogerons sur la nature de cette culture développée par les libertaires, plus particulièrement dans ses rapports à la culture dite savante et à la culture dite populaire, en ayant à l’esprit que les anarchistes prétendaient fonder leur action sur une connaissance scientifique de la réalité sociale. Nous évoquerons successivement de manière synthétique les arts graphiques, la littérature, le théâtre, la presse, le projet éducatif et la musique.

    via http://raforum.info/spip.php?article6692&lang=en

  • Calligraphie lumineuse mexicaine | epimae
    http://reflets.info/calligraphie-lumineuse-mexicaine

     « La photographie c’est un art ; c’est mieux qu’un art, c’est le phénomène solaire où l’artiste collabore avec le soleil. » Alphonse de Lamartine Ecrire avec la lumière… le photographe s’inscrit en tant que scribe de l’élément naturel le plus magique dans notre monde : le rayon lumineux. Chacun a un style d’écriture différent : réaliste, flou, noir et blanc ou outrageusement coloré… on trouve autant de calligraphies lumineuses qu’il y a de photographes. Ces derniers s’évertuent depuis fort longtemps à capturer la lumière dans leur chambre noire afin d’en faire un poème photographique. Et c’est bien avant l’invention de Niepce que les humains ont tenté de comprendre l’essence même du rayon lumineux afin d’en maîtriser les lois et les aléas. Il est toujours difficile de présenter le travail d’un “captureur d’images”. Il est tout aussi ardu et subjectif de sélectionner les prises de vue ou les séries les plus caractéristiques d’un photographe afin d’en saisir son âme et son message. C’est vers un pays de couleurs, de lumière et de contrastes que cette chronique va vous emmener : le Mexique qui a été très largement la proie de photographes amateurs ou professionnels. La ville de Mexico a vu naître (...)

  • Au Mexique, retour de la « dictature parfaite » ? (Le Monde diplomatique)
    http://www.monde-diplomatique.fr/carnet/2012-07-04-Mexique

    Le candidat du Parti révolutionnaire institutionnel (PRI, centre) a remporté la présidentielle mexicaine. Si son adversaire de gauche Andrés Manuel López Obrador dénonce une fraude massive – probable –, celle-ci ne suffit peut-être pas à expliquer le retour du PRI au pouvoir. Au cœur d’une campagne marquée par la violence que déchaîne le trafic de drogue, une partie de la société mexicaine semble avoir estimé que le PRI était le mieux placé pour « négocier » avec les cartels (...) Source : Le Monde diplomatique

  • Au #Mexique, retour de la « dictature parfaite » ?
    http://www.monde-diplomatique.fr/carnet/2012-07-04-Mexique

    Le candidat du Parti révolutionnaire institutionnel (PRI, centre) a remporté la présidentielle mexicaine. Si son adversaire de gauche Andrés Manuel López Obrador dénonce une fraude massive – probable –, celle-ci ne suffit peut-être pas à expliquer le retour du PRI au pouvoir. Au cœur d’une campagne (...) / Mexique, Criminalité, Élections, Parti politique, #Politique, #Violence, #Dictature, #Drogue - La valise diplomatique

    #Criminalité #Élections #Parti_politique #La_valise_diplomatique

  • #Paraguay (juin 2012) - Honduras (juin 2009) : d’un coup d’Etat à l’autre
    http://www.cadtm.org/Paraguay-juin-2012-Honduras-juin

    Le 22 juin 2012, suite à une procédure expéditive, le Sénat paraguayen contrôlé par l’oligarchie mécontente des réalisations de Fernando Lugo a destitué le président démocratiquement élu au suffrage universel en 2008. Le 23 juin 2012, un large front de la résistance s’est mis en place pour obtenir le rétablissement de la démocratie. A la date du 24 juin, sept pays latino-américains ont retiré ou rappelé leurs ambassadeurs du Paraguay (Argentine, Brésil, Colombie, Uruguay, Pérou, Equateur, Mexique). Cinq ont annoncé qu’ils ne reconnaissaient pas le nouveau gouvernement : Venezuela, Bolivie, Equateur, Salvador et Nicaragua. Le Mercosur dont l’économie paraguayenne dépend fortement pour ses échanges commerciaux a décidé de ne pas inviter le nouveau régime à représenter le pays lors de la réunion qui se tient le 29 juin 2012 à Mendoza en Argentine. Au Paraguay, la mobilisation populaire en défense de la démocratie est en train de s’organiser. Il est important qu’elle puisse s’appuyer sur un maximum de soutien international.

    Au #Honduras, trois ans se sont écoulés depuis le #Coup_d’Etat perpétré contre le président Zelaya et contre le peuple hondurien qui l’avait élu. Le pays est depuis plongé dans une crise sans précédent. La violence s’est considérablement accrue à l’égard de celles et ceux qui résistent pour défendre les libertés et droits fondamentaux du peuple et pour dénoncer l’orientation ultralibérale du gouvernement de Porfirio Lobo, à la solde de l’oligarchie et des transnationales complices du Coup. Les syndicalistes, mitant-e-s associatifs et des droits humains, féministes, homosexuel-le-s, membres des communautés indigènes et afro-descendantes, journalistes d’opposition, etc., subissent pressions, intimidations, harcèlements et agressions - quand ils ne tombent pas sous les balles -, de la part du pouvoir d’Etat mais aussi de la part de groupes paramilitaires et de milices privées qui sévissent en toute impunité.

    #journalisme #néolibéralisme