country:moldavie

  • Anne-Marie Houdebine était une vraie vivante - Féministes en tous genres
    http://feministesentousgenres.blogs.nouvelobs.com/archive/2016/10/20/anne-marie-houdebine-592571.html

    C’est avec une très grande tristesse que nous annonçons le décès brutal d’Anne-Marie Houdebine, linguiste, sémiologue, professeure émérite à l’université Paris-Descartes, féministe et psychanalyste.

    Ce décès est terriblement injuste, plus injuste que ne l’est en lui-même tout décès. Car Anne-Marie Houdebine était, non pas une bonne vivante, non – elle avait trop d’attachement à penser juste, trop de sérieux éthique et trop de conscience politique pour cela –, mais une grande, une vraie vivante. Aussi demeure-t-elle obstinément présente pour celles et ceux qui ont noué avec elle des liens d’amitié.

    Anne-Marie avait résolument pris le parti de la vie. Sans se leurrer. Elle avait trop lu et trop travaillé sur la violence, sur l’irréparable, et sur la Shoah en particulier, pour cela. Sa tenace volonté, son ancrage dans le présent et la fermeté de son engagement à le penser et à y œuvrer la maintenaient à ce point du côté de la vie qu’elle semblait insubmersible. Notre leurre, non pas le sien.

    Sa mort est survenue alors que « Féministes en tous genres » était en train de publier un entretien avec elle, fruit de nombreuses conversations et échanges écrits au cours de l’année 2015-2016. La publication de cet entretien entre Anne-Marie Houdebine et Sylvia Duverger se poursuivra dans les semaines à venir, conformément à ce qui avait été convenu.

    Anne-Marie Houdebine nous a quitté.es alors qu’elle s’apprêtait à partir pour un colloque à Chisinau, en Moldavie, colloque dont elle était l’invitée d’honneur. Elle venait de rédiger l’intervention qu’elle devait y faire et en préparait une autre sur « Les filiations linguistiques de la sémiologie (Saussure, Buyssens, Martinet, Prieto, Hjelmslev, Eco, etc.) » pour le colloque de la Société internationale de linguistique fonctionnelle (SILF), qui se tient à La Rochelle du 17 au 21 octobre 2016. À peine terminée la rédaction d’un rapport de thèse, elle en commençait une autre, et ces derniers temps, bien que fatiguée, elle ne se ménageait pas davantage qu’auparavant lorsqu’il s’agissait de donner de son temps, de son énergie, de sa sagacité à des étudiant.es – à des étudiantes surtout. Car elle avait éprouvé combien il est plus malaisé de faire son chemin lorsque l’on est une femme, qui plus lorsque l’on s’assume féministe. Sur sa générosité avec ses étudiant.es et sur son aptitude à (r)éveiller le désir de savoir et de comprendre d’une façon consciemment engagée, nous renvoyons au beau texte qu’elles ont inspiré à Cécile Canut, aujourd’hui professeure à son tour à l’université Paris-Descartes.

    En décembre 2016, elle devait présenter, au séminaire de recherche de l’Institut Émilie-du-Châtelet (IEC), le dernier livre paru de son vivant auquel elle ait collaboré, L’Académie contre la langue française : le dossier « féminisation » (éditions iXe), avec d’autant plus d’intérêt pour nous qu’elle avait été l’inspiratrice et la linguiste en cheffe de la commission de terminologie chargée en 1984 de ce dossier par Yvette Roudy. Les travaux de cette commission présidée par Benoîte Groult, dont elle saluait ici même l’intrépidité, avaient suscité une déferlante sexiste qui, trente ans plus tard, l’étonnait encore.

  • #Europe pressing harder on countries to take back deported migrants

    As Europe reels from a historic rush of migrants, leaders are searching for new ways to reverse the flow by stepping up deportations.

    The quest led to a deal with Afghanistan that envisions a whole new terminal at the Kabul airport to take deportees. It sent German Chancellor Angela Merkel this week on a whistle-stop tour of African capitals, where she promised an influx of euros in exchange for willingness to take back migrants. And it resulted in an agreement with Turkey that critics say means European nations are biting their tongues about Ankara’s human rights abuses to halt refugees from flowing to Greece.

    https://www.washingtonpost.com/world/europe/europepressing-harder-on-countries-to-take-back-deported-migrants/2016/10/12/c822453a-8fb4-11e6-bc00-1a9756d4111b_story.html?tid=sm_tw
    #renvoi #expulsion #réfugiés #asile #migrations #Afghanistan #réfugiés_afghans #accords #diplomatie #externalisation

  • Un milliard disparaît de Moldavie, par Julia Beurq
    http://www.monde-diplomatique.fr/2016/10/BEURQ/56419 #st

    Avril 2015. La presse et certains hommes politiques évoquent depuis quelques mois l’existence d’une fraude bancaire massive. Sous la pression de la rue, le gouvernement confirme que 1 milliard de dollars ont disparu de trois grands établissements financiers en deux jours. L’équivalent de 13 % du PIB…

    http://www.monde-diplomatique.fr/2016/10/BEURQ/56438

    http://zinc.mondediplo.net/messages/39643 via Le Monde diplomatique

  • La vie en Transnistrie : Du politique au quotidien - REGARD SUR L’EST

    http://www.regard-est.com/home/breve_contenu.php?id=1656

    La vie en #Transnistrie : Du politique au quotidien
    Dossier : « À l’Est, des territoires aux statuts incertains »

    Par Timothé BLATTES*, Samy CHELLALI* & Guillaume GORGE*
    Le 20/09/2016

    La région sécessionniste de Transnistrie est tiraillée entre une Moldavie de plus en plus européenne et un parrain russe de moins en moins présent. Que ressent-on à l’égard de son statut, sur chaque rive du Dniestr, que l’on soit politisé ou non, jeune ou ancien, pro-russe ou pro-européen ?

    #moldavie #ex-urss #états_de_facto

  • Octobre 2016, en kiosques
    http://www.monde-diplomatique.fr/2016/10


    Les États-Unis tentés par le risque ; des Pirates à l’assaut de l’Islande ; braderie forestière au pays de Colbert ; la gouvernance contre la démocratie ; au Gabon, la mécanique du népotisme s’enraye ; irréductibles Druzes du Golan ; comment Erdoğan a maté l’armée turque ; le Maroc pétrifié par son roi ; Israël ou la religion de la sécurité ; les vengeurs masqués de la rue mexicaine ; qui a tué Berta Cáceres ? Après le « casse du siècle » en Moldavie ; Gibraltar, dernière colonie d’Europe ; appétit chinois, incurie française ; perceptions et réalités de l’autoritarisme dans le Sud-Est asiatique ; séductions de la bohème ; Direction des Ressources Heureuses

  • Un maire se félicite de la chasse aux migrants

    En Hongrie, Laszlo Toroczkai est fier des milices privées arrêtant les réfugiés qui traversent sa commune pour rejoindre l’ouest de l’Europe.


    http://www.lematin.ch/monde/maire-felicite-chasse-migrants/story/16766960
    #asile #migrations #réfugiés #xénophobie #racisme #Hongrie #patrouilles #chasse_aux_migrants #anti-réfugiés #milices #Asotthalom #Europe_centrale

    • *Pig-head propaganda: Hungary’s war on refugees*

      “What crime did we commit for 40 police officers to surround us? It’s like they think we are terrorists or criminals,” 48-year old Khatoon, a Yazidi woman from Iraq who had several family members who were murdered or taken hostage by the jihadist group Isis, told me.

      https://euobserver.com/opinion/134762
      #porc #cochon #islamophobie

    • En #Bulgarie, cette milice secrète à l’accent russe qui #traque les migrants

      La région à cheval entre la Bulgarie et la Turquie est une pièce maîtresse dans le dispositif de sécurité européen. C’est aussi ici qu’opèrent ces milices de volontaires qui font la chasse aux migrants. Reportage au sein de la plus importante – et la plus secrète – d’entre elles.

      Il a fallu montrer patte blanche, argumenter, négocier chaque détail. L’#Union_Vassil_Levski - #BNO_Shipka, organisation paramilitaire et patriotique, n’aime pas les curieux. « Nous sommes les seuls et véritables gardiens de la frontière de l’Europe face à la menace islamiste », nous avait annoncé #Vladimir_Roussev à Varna, principale ville au nord de la mer Noire, où se trouve son QG. Plus connu sous le nom de guerre de « Walter », ce petit homme râblé à la moustache fournie, dirige d’une main de fer l’organisation regroupant essentiellement d’anciens officiers des forces de sécurité du pays et qui affiche, selon lui, pas moins de 800 membres. Lui-même ex-colonel de l’armée de terre, Vladimir a du mal à se défaire du jargon militaire lorsqu’il nous expose ses activités : il y est question de « front » et de « base arrière », de « logistique » et de « chaîne de commandement ». Nous comprenons que la véritable action ne se passe pas à Varna, mais beaucoup plus au sud.

      « #Patrouilleurs volontaires »

      Cap donc sur Bourgas à l’autre bout de la côte, où après plusieurs jours d’attente nous allons enfin recevoir le feu vert de « Walter » pour rejoindre ses miliciens déployés à la frontière turque. Les instructions arrivent la veille, codées : il y est question d’une « randonnée dans la nature ». Le rendez-vous est fixé à Marinka, petit village à la lisière de la Strandja, cette montagne sauvage à cheval entre la Bulgarie et la Turquie. De nouveau l’attente, puis le doute.

      Ces redoutables « patrouilleurs volontaires » qui inondent la Toile de leurs exploits, existent-ils vraiment ? C’est alors que deux voitures, comme sorties de nulle part, nous prennent en sandwich. Un grand gaillard aux cheveux retenus par un catogan en surgit pour nous inviter à les suivre. Nous prenons la direction de Malko Tarnovo, le principal poste-frontière de la région, avant de bifurquer vers la mer, direction le village de Iasna Poliana, nommé d’après la dernière résidence du grand classique russe Tolstoï.

      Le hameau, situé à quelque 30 km de la frontière, est connu pour servir de halte, ou de point de rassemblement, des migrants – ou du moins ceux qui ont réussi à échapper aux checkpoints mis en place par la police. La toponymie du lieu, renvoyant à l’auteur de Guerre et Paix, vient s’ajouter à un autre élément troublant : l’homme qui nous a adressé la parole avait indiscutablement l’accent russe, un accent reconnaissable parmi mille dans ce pays connu pour avoir été le plus fidèle allié de l’Union soviétique.

      Equipement militaire

      Nous quittons la route goudronnée pour nous engager sur une piste qui nous mène encore plus à l’intérieur des terres. Devant une cabane utilisée par les chasseurs, les deux véhicules déversent une demi-douzaine de jeunes avant de repartir. En quelques minutes, ces derniers tronquent leur jean, t-shirt et baskets contre un équipement militaire complet : treillis, bottes, gourde, sac à dos, radio. A cela s’ajoutent de longs couteaux accrochés à leur ceinture, une bombe lacrymogène et un pistolet à air comprimé. Et des cagoules, noires, qu’ils vont enfiler « pour des raisons de sécurité ».

      « Nous ne portons rien d’illégal », précise l’homme à l’accent russe qui est à la fois leur instructeur et leur chef de groupe. Il nous présente les membres de la patrouille par leur nom de code : « Boxeur », « Coq », « Glissière de sécurité », « Ingénieur » et « Astika » (une marque de bière locale) pour la seule femme du groupe. Lui, c’est « Chamane ». Après avoir fait une série de pompes, les membres de la patrouille sont désormais prêts. Ils sont invités à ne pas se montrer « agressifs » envers les migrants mais sont autorisés à « agir selon les circonstances ». « Nous sommes en opération. Ceci n’est pas un entraînement », rappelle « Chamane ».
      « Devenir quasi invisible »

      Les cinq jeunes s’enfoncent dans la forêt, guidés par leur commandant. Ils longent des sentiers, grimpent des collines, enjambent des ravins sans quitter des yeux la forêt : des canettes de Red Bull, des boîtes de cigarettes, des conserves, des bouteilles d’eau ou encore un vêtement abandonné sont des indices qu’ils sont sur la bonne piste. Au passage, « Chamane » leur enseigne comment placer un poste d’observation, traverser à découvert, ramper et se fondre dans la nature. « Le but c’est de voir l’autre avant d’être vu. Devenir quasi invisible, pour avoir l’avantage sur l’ennemi », explique-t-il.

      Vu l’absence de migrants à cette heure de la journée, le groupe va se faire la main sur des bergers, avant d’approcher au plus près une étable, toujours en « mode furtif ». Régulièrement, « Chamane » immobilise le groupe avant d’envoyer l’un de ses membres inspecter les environs pendant que les autres font le guet. « Je leur enseigne les techniques de base des Spetsnaz, les forces spéciales russes, en milieu hostile : renseignement, diversion, dissimulation », reconnaît-il.

      En fait, dans cette patrouille tout est russe : la terminologie, les techniques utilisées et même les cartes – issues de l’état-major soviétique – parce que « celles de l’OTAN sont nulles », s’amuse le mystérieux commandant. Et lui, qui est-il ? D’une prudence de Sioux, le Russe livre très peu de détails sur lui-même : on comprendra qu’il est un vétéran du Caucase du Nord, qu’il a fait la deuxième guerre de Tchétchénie (1999-2000) et qu’il est bien officier, diplômé d’une école militaire. Il explique sa présence ici par ses origines bessarabes, cette ancienne région aujourd’hui partagée entre l’Ukraine et la Moldavie, foyer de nombreux bulgares ethniques qui ont bénéficié d’un « droit au retour » dans leur patrie historique. « La Russie n’a rien à voir dans cette histoire, pour le meilleur comme pour le pire d’ailleurs », tient-il à préciser. « C’est à nous, ici, de faire le boulot. Pratiquement à mains nues. »
      « Effet de surprise »

      On l’aura compris, pour « Chamane » et ses camarades l’ennemi ce sont bien les migrants. « Il s’agit à 90% des combattants étrangers, avec une hiérarchie et de réflexes de guerriers », croient-ils savoir en soulignant qu’ils ne croisent ici, dans cette région présentée comme une bifurcation de la fameuse « route balkanique », que des groupes de jeunes Afghans. Tous des hommes, avec dans leur sillage des Pakistanais, des Irakiens et, parfois, des Iraniens. Ils affirment en appréhender plusieurs par semaine, qu’ils remettent aux gardes-frontières. « On évalue d’abord la taille, puis la dangerosité du groupe avant de surgir du bois. Le plus souvent l’effet de surprise est tel que les intrus se laissent faire », poursuit « Chamane ».

      « Nous ne sommes pas des chasseurs de migrants, mais des citoyens responsables ! », met en garde depuis Varna Vladimir Roussev. A Sofia, plusieurs voix se sont élevées contre les activités de son organisation, certains demandant au contre-espionnage bulgare d’enquêter sur la présence de ces instructeurs russes qu’ils ont comparé aux « petits hommes verts » de Vladimir Poutine, les commandos sans signes distinctifs envoyés en Ukraine. En juin dernier, le Comité Helsinki pour la défense des droits de l’homme a demandé au Parquet d’interdire les activités de l’organisation paramilitaire, jugées anticonstitutionnelles et dangereuses. « Ces idiots ne savent pas qu’ils sont, eux aussi, sur la liste des hommes à abattre des combattants de Daech [Etat islamique]. Juste après les notables juifs », dit encore « Walter » en insistant lourdement sur le dernier point. Là aussi, on l’aura compris.

      https://www.letemps.ch/monde/bulgarie-cette-milice-secrete-laccent-russe-traque-migrants

      #Bulgarie #milices #asile #migrations #réfugiés #anti-réfugiés #xénophobie #racisme

    • "Cacciatori di migranti" in Bulgaria, stasera il reportage del TG1 insieme all’Osservatorio

      Ai confini esterni dell’Unione europea, alla frontiera tra Bulgaria e Turchia, gruppi di autoproclamanti “difensori dell’Europa” pattugliano i boschi alla ricerca di migranti che tentano di entrare nel paese, per poi proseguire lungo la “rotta balcanica” verso i paesi ricchi dell’UE.

      http://www.balcanicaucaso.org/aree/Bulgaria/Cacciatori-di-migranti-in-Bulgaria-stasera-il-reportage-del-TG1-insi

    • Bulgaria, ronde anti-immigranti sul confine con la Turchia

      Difendere Bulgaria ed UE dall’“invasione” dei migranti: in Bulgaria vari gruppi di auto-proclamati “patrioti” pattugliano il confine con la Turchia e il governo lascia fare

      http://www.balcanicaucaso.org/Media/Multimedia/Bulgaria-ronde-anti-immigranti-sul-confine-con-la-Turchia
      Existe aussi en anglais :
      http://www.balcanicaucaso.org/eng/Media/Multimedia/Bulgaria-anti-immigrant-patrols-at-the-border-with-Turkey

    • Bulgarie : #Petar_Nizamov, le « chasseur de réfugiés », a été acquitté

      Petar Nizamov, l’un des chefs des « milices anti-migrants », était assigné à résidence depuis la diffusion en avril 2016 d’une vidéo où on le voyait arrêter manu militari trois Afghans. La justice bulgare vient de le blanchir de toutes les accusations qui portaient contre lui.


      http://www.courrierdesbalkans.fr/Bulgarie-Petar-Nizamov-le-chasseur-de-refugies-a-ete-acquitte-par

    • Bulgarian Vigilantes Patrol Turkey Border to Keep Migrants Out

      Figures in camouflage and ski masks gather at a fishing lodge. Many are armed with long knives, bayonets and hatchets.

      The 35 men and women are on the hunt in Strandzha Massif, a forested mountain range on Bulgaria’s border with Turkey. Migrants trying to cross into Europe are their prey.

      http://www.nbcnews.com/storyline/europes-border-crisis/bulgarian-vigilantes-patrol-turkey-border-keep-migrants-out-n723481

    • Ceux qui disent « halte » aux migrants

      La frontière turco-bulgare, aux marches de l’Europe, est la nouvelle route utilisée par les passeurs de migrants. En Bulgarie, pour stopper cet afflux de clandestins, une unité de volontaires, encadrée par des vétérans de l’armée, s’organise pour faire le travail de la police.


      http://www.lefigaro.fr/international/2017/12/08/01003-20171208ARTFIG00028-en-bulgarie-avec-ceux-qui-disent-halte-aux-migran

    • Dutch #Pegida leader and expelled German deputy hunt migrants on Bulgaria border

      The former frontwoman of Germany’s Pegida anti-Muslim movement and a leader of its Dutch offshoot have travelled to Bulgaria to hunt down migrants attempting to cross the border from Turkey, it has emerged.


      http://www.telegraph.co.uk/news/2016/07/04/pegida-pair-hunt-migrants-with-vigilantes-on-bulgaria-border

    • Human rights experts: Unchecked atmosphere of anti-migrant discourse results in abuses

      They call them “migrant hunters” or “citizen protection” organizations. They are volunteers, whose self-appointed job is to patrol Bulgaria’s border with Turkey, seeking out people trying to cross. - See more at: http://www.ohchr.org/EN/NewsEvents/Pages/MigrationXenophobiaRacisminBulgaria.aspx?platform=hootsuite#sthash.8B8AouOl.d

      http://www.ohchr.org/EN/NewsEvents/Pages/MigrationXenophobiaRacisminBulgaria.aspx?platform=hootsuite
      #hongrie #asile #migrations #réfugiés #xénophobie

    • Bulgarian Vigilantes Patrol Turkey Border to Keep Migrants Out

      Figures in camouflage and ski masks gather at a fishing lodge. Many are armed with long knives, bayonets and hatchets.

      The 35 men and women are on the hunt in Strandzha Massif, a forested mountain range on Bulgaria’s border with Turkey. Migrants trying to cross into Europe are their prey.

      Patches on their irregular uniforms — a coat of arms bearing a snarling wolf’s head framed by Cyrillic text — proclaim them to be members of the Bulgarian National Movement Shipka, abbreviated in Bulgarian as “BNO Shipka.”

      Members of the paramilitary organization form into ranks as their leader, Vladimir Rusev, speaks. A former colonel who says he fought in Chechnya as a volunteer alongside Russians, Rusev declares his support for a man they admire: President Donald Trump.

      “The CIA is trying to undermine Trump,” said Rusev, a compact 58-year-old with a neat mustache and short-cropped hair. “They want to destroy him. We offer our support to him.”

      Trump’s hard-line stance on immigration and vocal criticism of Islam finds an appreciative audience here.

      Most BNO Shipka members are friendly, courteous and open. The organization’s website projects a different message: slick videos replete with firearms and military training, and declarations that Europe must be defended against Islam.

      Rusev claims they have as many as 50,000 members, although NBC News was unable to verify this number.

      “I’m not nationalistic or anything like that. I’m just a patriot,” said Nikolai Ivanov, a 34-year-old who was one of the group’s founding members in 2014.

      “Many of these immigrants are not just some guys who are trying to run away from war. They are from age 17 to 35, with good physiques and training,” Ivanov added. “It’s not a problem that they are Muslims. The problem is it’s a different civilization. They don’t think like us, they have a totally different view about life, about everything.”

      While the group has been criticized by human rights advocates, it isn’t hard to find people who agree with Ivanov’s views in Bulgaria. The head of the country’s border police praised a nationalist volunteer group for intercepting migrants in April.
      Rust Belt of the Balkans

      Bulgaria occupies a place at the seams. Looking east, this Eastern Orthodox crossroads shares a traditional alliance with Russia. To the south is Turkey, once home to a Muslim empire that for centuries dominated the region. The European Union, with liberal values and a promise of wealth, lies to the west.

      Since the end of the Cold War, Bulgaria has firmly embraced the West — joining NATO in 2004 and the EU in 2007. But the rapid rise in living standards for its seven million citizens stalled during the financial crisis of 2007-2008. Now, average annual income remains the lowest in the EU, even when measured by purchasing power.

      In the Soviet era, heavy industry and chemical production dominated the economy. Now, abandoned factories litter a landscape replete with decaying smokestacks and depopulated villages.

      On top of this, Bulgaria has become a major overland route as Europe grapples with a migration crisis due to its borders with Turkey, Greece, Macedonia, Serbia and Romania.

      According to Eurostat, 20,165 people applied for asylum in Bulgaria in 2015, the most recent year for which firm numbers were available. This was a fraction of the around 1.2 million who claimed asylum in the EU that year, more than three quarters of whom were from majority Muslim countries.

      Although only a handful of Europe-bound migrants have settled in Bulgaria, concern about the newcomers resonates in a country that was dominated for centuries by the Ottoman Turks.

      Ivanov believes the refugee crisis was part of a plan in which ISIS militants would slip into the country and attack. Then, neighboring Turkey would deploy troops to Bulgaria under the auspices of the NATO alliance, he said, effectively reclaiming a portion of the lost Ottoman Empire.

      Conspiracy theories like this abound among BNO Shipka members, some of whom make a point of speaking Russian. Their affinity for Moscow is perhaps understandable in the context of Bulgaria’s unhappy history with its Muslim-majority neighbor. Shipka, after all, refers to a battle in which a Russo-Bulgarian force defeated the Ottoman Turks in 1877.

      Bulgaria’s weak economy and status outside the borderless Schengen area means most migrants aim for Greece as a gateway to more prosperous countries further west.

      So the “refugee situation here is not that serious,” said Krassimir Kanev, a founder of the human rights group Bulgarian Helsinki Committee. "Bulgaria is a transit country, the refugees want to move to [other] EU countries.”

      However, Bulgaria “registered 31,281 new arrivals in 2015, which represents 89.3 percent of all land arrivals in the EU for the same year,” according to a report by Radoslav Stamenkov, the head of the Bulgaria office at the International Organization for Migration. The “migration shock” that began in 2013 created social tensions “in a country that had a very limited experience of receiving migrants,” Stamenkov wrote.

      Kanev sees BNO Shipka and similar groups as xenophobic nationalists at best, or at worst, violent and racist extremists. In October 2015, an Afghan migrant was shot and killed when he tried to cross into Bulgaria. In November, protests by locals over rumors of disease forced the temporary closure of the country’s largest refugee camp and led to riots.

      “There are ongoing criminal proceedings against a number of these groups,” Kanev said. Bulgarian vigilantes have detained migrants and tied them up, sometimes beating and humiliating them before forcing them back across the border, he added.

      Asked for its position on vigilante groups, Bulgaria’s Interior Ministry did not respond.
      Jokes and Cigarettes

      Back in the forests of the Strandzha Massif, BNO Shipka is going out on patrol. In bitter cold and with snow on the ground, this isn’t the high season for refugees crossing from Turkey. Some still try.

      After a series of short speeches by leaders, members gear up and head toward the border. But the presence of a large group of people in ski masks and military regalia dashing from cover to cover in view of the highway attracts the attention of local authorities.

      Two border police officers, accompanied by several soldiers armed with assault rifles, drive up in four-by-fours and ask for an explanation. They seem less concerned than confused. Most BNO Shipka members wear Bulgarian military fatigues from their own service so the groups merge, trading jokes and cigarettes. Only the slung rifles indicate who is an active soldier and who is a vigilante.

      The authorities seem unsure what to do, particularly with members of the media present.

      A BNO Shipka squad leader informs journalists that police are letting them continue, but the training mission has been completed and the team will return to the fishing lodge. As the group marches back, police follow them having called in reinforcements.

      No one is detained or questioned further, but police return the following day.

      Undeterred, BNO Shipka members record a video message to Trump. They put on snow camouflage oversuits and sneak around police stationed at the road leading to the lodge.

      Asked if he is afraid Bulgaria is losing its identity, founding member Ivanov nods. "If we don’t do something soon,” he said. “It’s not just Bulgaria, but all of Europe.”

      BNO Shipka didn’t catch any migrants this time. Still, they intend to keep looking.


      https://www.nbcnews.com/storyline/europes-border-crisis/bulgarian-vigilantes-patrol-turkey-border-keep-migrants-out-n723481

  • En Israël, le dirigeant d’extrême droite Avigdor Lieberman devrait prêter serment mardi 24 mai en tant que ministre de la défense, en charge notamment des territoires palestiniens occupés. En réalité, l’« ère Lieberman » a commencé dès mars 2009, lorsque celui-ci fut nommé ministre des affaires étrangères dans un précédent gouvernement déjà dirigé par Benyamin Netanyahou. « Dans sa Moldavie natale, il exerçait le métier de videur de boîte de nuit, commentait alors l’historien Schlomo Sand. Maintenant, ce sont les Arabes qu’il veut vider. »

    Les Palestiniens d’Israël, otages de l’extrême droite, par Joseph Algazy & Dominique Vidal (mai 2009) http://www.monde-diplomatique.fr/2009/05/ALGAZY/17049 #st

    Lire aussi « Israël à l’heure de l’Inquisition », par Charles Enderlin (mars 2016) http://www.monde-diplomatique.fr/2016/03/ENDERLIN/54916

    http://zinc.mondediplo.net/messages/27336 via Le Monde diplomatique

    • Le ministre de la Défense démissionne et met en cause Netanyahou
      http://www.lejdd.fr/International/Israel-le-ministre-de-la-Defense-demissionne-et-met-en-cause-Netanyahou-786861

      "Malheureusement, des éléments extrémistes et dangereux ont pris le contrôle d’Israël et du Likoud et menacent la société." C’est par cette phrase que, vendredi, l’ancien ministre de la Défense israélienne Moshe Yaalon a expliqué sa démission. « J’ai dit au Premier ministre qu’étant donné son comportement au cours des derniers événements et mon manque de confiance en lui, je démissionnais du gouvernement et de la Knesset (Parlement) et prenais mes distances avec la vie politique », a également écrit Moshé Yaalon sur Twitter. 

      Certes, son sort était de toute façon scellé. Mercredi, Benyamin Netanyahou avait offert son poste à l’ultranationaliste Avidgor Lieberman. Mais selon les observateurs, le siège de ministre des Affaires étrangères lui était promis. Yaalon n’en a pas voulu. Dans la foulée, il a aussi abandonné son mandat de député.

      À 66 ans, c’est sans doute la première fois que ce militaire de carrière revendique une désertion. Son engagement au sein de Tsahal remonte à la guerre du Kippour en 1973. Il a ensuite gravi tous les échelons de l’institution jusqu’à devenir chef d’état-major en 2002. Ce n’est qu’en 2005 qu’il se tourne vers la politique, en rejoignant le Likoud (droite), le parti de Netanyahou. En 2013, ce dernier lui confie les clés du ministère de la Défense. Il le confirme à son poste deux ans plus tard.

  • « Les migrations sont irrépressibles »

    LE MONDE | 05.08.2015 à 10h56 • Mis à jour le 05.08.2015 à 16h15 | Propos recueillis par Jean-Baptiste de Montvalon

    Je reproduis cet entretien avec Michel Foucher parce que je suis curieux de savoir ce vous pensez de son approche

    #réfugiés #migrations #asile #europe #eu #calais #douvres

    Caché sous la remorque d’un camion, un migrant tente de passer la frontière avec le Royaume-Uni, le 24 juin, à Calais.

    Géographe, ancien ambassadeur, Michel Foucher est titulaire de la chaire de géopolitique appliquée au Collège d’études mondiales. Il est l’auteur de nombreux ouvrages, parmi lesquels L’Obsession des frontières (éd. Tempus Perrin, 2012).

    Face à la crise des migrants à Calais, un député du Parti pour l’indépendance du Royaume-Uni (UKIP) a suggéré que l’Angleterre reprenne la ville, tandis que des élus français ont souhaité que les contrôles à l’entrée du Royaume-Uni soient déplacés à Douvres… Que vous inspire cette « bataille » autour d’une frontière intra-européenne ?

    Si une « bataille » s’annonçait, les « bourgeois de Calais » sauraient cette fois résister à un siège… Nos capacités stratégiques ont progressé depuis la guerre de Cent Ans ! Que ce scénario de reconquête soit énoncé par un député eurosceptique est amusant et a le mérite, si l’on peut dire, d’exhumer une vieille carte mentale : la Manche fut, jusqu’au XIXe siècle, une mer pour deux royaumes, donc une aire d’affrontement. Devenue mer intérieure européenne, c’est la seule dotée d’un double toponyme sur les cartes officielles : Manche et English Channel. Dans la tradition militaire anglaise, la mer sépare et fait frontière ; en France, c’est la côte fortifiée.

    Lire le reportage « J’essaie tous les jours de passer en Angleterre »

    Où est la frontière franco-britannique ?

    Elle se situe là où s’effectuent les contrôles de douane et de police : à la gare du Nord et à Saint-Pancras, à Roissy et Heathrow, à Douvres, Calais, comme dans une douzaine d’autres ports. La frontière juridique est maritime, à mi-distance des côtes des Etats riverains, et terrestre, au milieu du tunnel sous la Manche selon le traité signé à la cathédrale de Canterbury en février 1986, en présence de la reine Elisabeth et du président Mitterrand. Ces limites fixent l’aire d’extension de la convention de Schengen, que Londres a refusée tout en ouvrant ses portes aux migrants des Etats ayant adhéré à l’Union européenne en 2004, surtout Polonais et Baltes.

    Que recouvre sur notre continent la notion de frontière ?

    Les limites de la souveraineté et de l’identité nationales demeurent. En passant de Strasbourg à Kehl, en Allemagne, sur le pont de l’Europe, l’absence de contrôle douanier n’efface en rien les traits propres aux deux nations. L’espace de l’Europe instituée est plus fluide. La liberté de circulation est saluée par les opinions européennes, quand elle s’applique à elles-mêmes.

    Mais la mise en commun d’attributs de souveraineté suppose de bâtir à chaque instant des accords collectifs, comme on l’a vu lors de la crise grecque. L’Etat-nation, doté de son enveloppe frontalière – limite, pas barrière – est le noyau de base mais, dans le monde tel qu’il a l’inconvénient d’être, il doit se développer de concert avec les autres pour peser.

    Le coût humain et financier des migrations va-t-il engendrer un renforcement des frontières ou les remettre en cause ?

    Le calcul du coût suppose une typologie fine, selon les trajectoires migratoires. De qui parle-t-on ? Des Français de Londres ? Des Kurdes de Berlin ? Des Maliens d’Ile-de-France ? Des Syriens de Stockholm ? Les études sérieuses montrent que les bénéfices, individuels et collectifs, sont nettement supérieurs aux coûts : travail fourni, compétences importées et acquises, envoi de salaires aux familles des lieux d’origine. A l’âge global, chacun, dans l’ancien tiers-monde comme en Moldavie, sait qu’ailleurs l’herbe est plus verte. Les migrations sont irrépressibles. La prospérité et la sécurité de l’Europe la rendent attractive. Il faut renforcer la concertation dans la gestion des régimes frontaliers, au-delà des circonstances exceptionnelles.

    Après les drames autour des Canaries, Madrid a réalisé qu’il était aussi important d’aider la Mauritanie ou le Sénégal que les pays andins hispanophones. L’accès légal à l’espace européen pour étudier ou exercer une activité suppose une démarche cogérée avec les pays de départ. La convention de Schengen n’avait qu’un objectif interne, de libre circulation réservée aux ressortissants des pays signataires. Les crises et drames actuels posent la question d’une action à l’extérieur de l’Union européenne : aide ciblée au développement, programmes cogérés de migration circulaire et surtout de mobilité dans les zones d’interaction migratoire et, parfois, interventions dans les zones de crise.

    Lire le compte-rendu Plus de 2 000 hommes, femmes et enfants sont morts « aux portes de l’Europe » en 2015

    Des chercheurs étudient les conséquences d’une éventuelle ouverture de toutes les frontières. Que vous inspire cette piste de travail ?

    L’article 13 de la Déclaration universelle des droits de l’homme affirme en effet le droit à quitter son pays. Cette liberté n’est pas encore acquise partout. Mais le droit d’émigrer ne trouve pas son corollaire dans celui d’immigrer. La disparité dans le régime des visas est grande : il est plus facile à un Danois d’aller en Indonésie que l’inverse. Les visas pour entrer dans l’espace Schengen sont exigés dans 134 Etats. Il n’est pas certain que l’asymétrie de traitement soit durable, au nom de l’égalité des droits des Etats. Le Sénégal a rétabli les visas pour les Français, et se rendre en Algérie n’est pas simple – message de réciprocité, en quelque sorte. Toutes les pistes méritent d’être expérimentées, d’abord celles traitant de la mobilité, depuis et vers l’Europe instituée.

    Lire sur Les Décodeurs Comment fonctionne la politique migratoire entre le Royaume-Uni et la France ?

    Quel jugement portez-vous sur la façon dont les politiques français abordent cette question des frontières et des migrations ?

    La frontière civilisée est une interface et une ressource. Sa fonction de barrière ne s’impose qu’en cas de menace directe sur notre sécurité. Un changement de discours politique sur ces questions serait salutaire, avec la reconnaissance publique de la réalité durable des mobilités et la nécessaire construction de dispositifs les encadrant : visas de travail de longue durée, cogestion des mobilités entre pays de départ et pays d’arrivée, mise en place de règles pour détruire le régime illégal des passeurs…

    Ce qui est en jeu est également notre choix d’un rapport au monde. L’image positive du Royaume-Uni, projetée au loin par le message des Jeux olympiques de Londres, en 2012, cette image d’un pays moderne et multiculturel, ouvert et globalisé, nourrit une attraction irrésistible, même au fin fond du Soudan. D’où l’afflux vers Calais. Les Français – opinion et dirigeants –, qui candidatent pour des JO en 2024 et une Exposition universelle en 2025, seraient bien inspirés d’y réfléchir et d’assumer enfin toutes les composantes d’une politique d’ouverture, dans un monde de communication instantanée, loin d’un illusoire repli sur soi.

  • Depuis 2003, le Sirba Octet fait revivre la tradition musicale populaire des musiques klezmer et tziganes de l’Europe de l’Est. Composé du violoniste Richard Schmoucler et de ses confrères de l’Orchestre de Paris, le Sirba Octet mêle joyeusement arrangements classiques et danses populaires de Roumanie, Moldavie, Russie et Pologne (Doina, Hora, Sirba...).

    Leur cinquième album Tanzt !, qui signifie Danse ! propose une envolée musicale expressive, suave et dansante interprétée par le Sirba Octet dans un florilège de titres marqués par les sonorités traditionnelles. Autant d’émotions et de surprises que les klezmorims et les musiciens tziganes offraient à leur public en traversant les villages pour y animer les fêtes et les mariages.

    Un voyage virevoltant et poétique exécuté par des virtuoses passionnés à voir absolument en concert du 20 au 22 novembre à l’Espace Pierre Cardin !

    https://www.youtube.com/watch?v=uTjmFzxX83E&feature=youtu.be

  • D.D.T. : comment l’#URSS a empoisonné les campagnes moldaves

    L’URSS n’y est pas allée de main morte avec les #pesticides dans les années 1970-80 en Moldavie. L’agriculture moldave a servi de terrain d’expérimentation à Moscou et, aujourd’hui encore, les effets de l’épandage massif de produits toxiques, dont le D.D.T., se font sentir sur la population et la biodiversité.

    http://www.courrierdesbalkans.fr/articles/d-d-t-comment-l-urss-a-empoisonne-les-campagnes-moldaves
    #DDT #agriculture #Moldavie #soviétisme
    cc @odilon

  • #Agriculture : la #Moldavie emprunte 12 millions de dollars pour les petits producteurs

    Devant la grogne des agriculteurs moldaves, le gouvernement de Chișinău s’est finalement décidé à emprunter 12 millions de dollars pour aider les #petits_producteurs fragilisés par l’#embargo_russe. Reste que le problème est loin d’être résolu sur le long terme.

    http://www.courrierdesbalkans.fr/le-fil-de-l-info/la-banque-mondiale-soutient-les-agriculteurs-moldaves-et-la-refon

  • #Moldavie : les #agriculteurs sont fauchés comme les blés

    Le secteur agricole emploie 400 000 personnes en Moldavie, et constitue l’un des piliers de l’économie nationale. Mais les paysans moldaves se sentent abandonnés par l’Etat, et menacent de paralyser le pays le 27 mai lors d’une énième journée de manifestation.


    http://www.courrierdesbalkans.fr/articles/agriculture-en-moldavie-un-combat-contre-des-moulins-a-vent.html
    #agriculture

  • #FASCISME ET #ANTIFASCISME EN #MOLDAVIE SUR FOND DE GUERRE EN #UKRAINE

    " Décidément, la lecture des événements de la « Grande Guerre pour la défense de la patrie », selon les uns, et de la « Seconde Guerre mondiale » selon les autres, demeure divergente en Moldavie tandis que l’initiative des seconds de remplacer la « Journée de la Victoire » (contre l’Allemagne nazie) par la « Journée de l’Europe » n’a guère enthousiasmé les premiers. Qu’est-ce que le fascisme et l’antifascisme en République de Moldavie à l’heure de la guerre en Ukraine ? Dans les considérations qui suivent, des faits et plusieurs pistes à même d’apporter quelques éléments de réponse à cette question sont proposés."

    http://www.courrierdesbalkans.fr/bazar/blogs/l-en-dehors-balkanique-o-le-blog-de-nicolas-trifon/blog-o-fascisme-et-antifascisme-en-moldavie-sur-fond-de-guerre-en

  • Blog • #Fascisme et #antifascisme en #Moldavie sur fond de guerre en #Ukraine

    La Moldavie n’a pas été représentée officiellement aux cérémonies de Moscou à l’occasion de la parade militaire du 9 mai 2015, le président de la République Nicolae Timofti ayant préféré marquer cette date aux côtés des vétérans moldaves. 2150 vétérans dont 114 qui avaient combattu au sein de l’armée roumaine ont été décorés en cette occasion. « On fête ainsi également les criminels SS, les nazis, ceux qui ont lutté dans l’armée d’Antonescu », s’est indigné le leader du Parti des socialistes Igor Dodon. http://www.dw.de/9-mai-moldova-se-debarasează-timid-de-semnificația-sovietică-a-sărbătorii/a-18438558


    http://www.courrierdesbalkans.fr/bazar/blogs/l-en-dehors-balkanique-o-le-blog-de-nicolas-trifon/blog-o-fascisme-et-antifascisme-en-moldavie-sur-fond-de-guerre-en

  • Blog • Pourquoi un scénario criméen ne tient pas en #Transnistrie

    Dès le lendemain de l’annexion de la #Crimée par la #Russie, les regards des analystes et des journalistes se sont tournés vers la Transnistrie. Certains ignoraient jusque là l’existence de cette région séparatiste de Moldavie. D’autres, dans un souci grotesque de vulgarisation, se sont plu à la présenter comme la « Bordurie » d’Hergé. Pour eux en tout cas, il ne faisait aucun doute que Moscou entendait y répéter le scénario criméen. Les articles et reportages relayant les craintes de plusieurs partis politiques et médias en Moldavie se sont alors multipliés.


    http://www.courrierdesbalkans.fr/bazar/blogs/roumanophilie/blog-o-pourquoi-un-scenario-crimeen-ne-tient-pas-en-transnistrie-

  • Guerre en #Ukraine : l’armée moldave s’entraîne avec l’#Otan et renforce son arsenal

    Alors que les combats se poursuivent chez son voisin ukrainien, la Moldavie participe jusqu’au 30 avril à une série d’exercices militaires organisés en Roumanie par l’Otan. Les autorités de Chișinău souhaitent acquérir du matériel neuf et créer des bases modernes d’ici 2018.

    http://www.courrierdesbalkans.fr/le-fil-de-l-info/guerre-en-ukraine-l-armee-moldave-s-entraine-avec-l-otan-et-renfo
    #Moldavie

  • #Transnistrie, #Gagaouzie, #Taraclia : la #Moldavie à l’épreuve des particularismes

    Depuis qu’elle s’est libérée du joug soviétique en août 1991, la République de Moldavie ressemble à un petit puzzle dont les pièces menacent constamment de se détacher. A l’est, les séparatistes de Transnistrie sont parvenus à créer un Etat fantôme reposant sur la nostalgie de l’URSS. Au sud, la Gagaouzie jouit d’une très grande autonomie et menace de prendre son indépendance si le pays continue de se rapprocher de l’Union européenne. Pour compliquer le tout, les Bulgares de Taraclia sont en passe d’obtenir un statut inédit : celui de « département national culturel ».

    http://www.courrierdesbalkans.fr/minorites-moldavie

  • Pour tenter de comprendre l’Ukraine – 55 : l’Ukraine d’aujourd’hui-9- Koutchma-8

    Anatoliy Kyrylovytch Kinakh est né dans un village en Moldavie – à l’époque : RSS moldave – en 1954. C’est à l’âge de 17 ans qu’il se rend à Leningrad – actuellement Saint-Pétersbourg – pour devenir étudiant en 1972 à l’Institut de la construction navale où il obtient son diplôme d’ingénieur en 1978. Après avoir terminé ses études supérieures, Kinakh commence sa carrière d’ingénieur au chantier naval de Tallinn – capitale de l’Estonie, mais aussi principal port du golfe de Finlande, mer Baltique – avant de travailler pour l’usine « Ocean » de Mykolaïv – ville fondée par le prince Potemkine – où se trouvent les trois chantiers navaux principaux, à savoir :

    http://lesazas.org/2015/03/01/pour-tenter-de-comprendre-lukraine-55-lukraine-daujourdhui-9-koutchma-8

  • Open Data Index : la France se hisse à la 3ème place mondiale - Next INpact
    http://www.nextinpact.com/news/91253-open-data-index-france-se-hisse-a-3eme-place-mondiale.htm

    "Fini l’humiliation. En 2013, la France s’était retrouvée en 16ème place de l’Open Data Index, derrière la Bulgarie et la Moldavie, et surtout très loin du Royaume-Uni, du Danemark et des États-Unis, qui caracolaient alors en tête de ce classement. Mais cette année, l’Hexagone obtient une 3ème place méritée, quand bien même des « progrès importants » restent à consentir selon l’Open Knowledge Foundation."

    #public

  • Moldavie : référendum pour l’intégration à l’UE
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article2363

    Les dernières élections législatives de Moldavie, du dimanche 30 novembre, reproduisent le scénario ukrainien, avec le clivage pro-européen et pro-russe. Cette donnée de divergence d’opinion à grande échelle et sans conciliabule, elle rebondit souvent dans les pays de l’est-européen émancipés de l’ancien bloc… Ce qui crée au sein de la population une angoisse dans l’indifférence, ou bien en l’absence de médiateurs, des partenaires et des instances pouvant faire éviter l’explosion. Les électeurs moldaves qui (...)

    diplomatie, présence, officiels, relations, échanges, politique internationale, rapports,

    / #diplomatie,_sécurité,_commerce,_économie_mondiale, #crise,_capitalisme,_économie,_justice,_Bourse, économie, politique, arts, corruption, opposition, (...)

    #diplomatie,_présence,_officiels,_relations,_échanges,_politique_internationale,_rapports, #économie,_politique,_arts,_corruption,_opposition,_démocratie

  • Elections législatives en #Moldavie : une lutte entre les pro-européens et les pro-russes
    http://www.taurillon.org/elections-legislatives-en-moldavie-une-lutte-entre-les-pro-europeens-et

    En attendant le jour du vote des élections législatives en Moldavie, ce dimanche, 25 partis politiques sont en campagne. Certains soutiennent l’idée d’un rapprochement avec la Russie, d’autres se déclarent pro-européens. Ce qui les unit c’est un discours de lutte contre la #Corruption, dans lequel les mots « démocratie » et « justice » restent lettre morte.

    Actualité

    / Corruption, #Partenariat_Oriental, Moldavie